Archive for the ‘Invalidité nouveaux sacrements’ Category
In memoriam † Paul Schoonbroodt R.I.P.
Le 26 mai 2012, Monsieur le curé Paul Schonnbroodt entrait dans son éternité. Ne l’oubliez pas dans vos prières.
Service « anniversaire » du défunt † « In Anniversario Defunctorum »
Collecte
Seigneur Dieu des miséricordes, accordez à l’âme de votre serviteur Paul Schoonbroodt, dont nous commémorons le jour anniversaire de la déposition, le lieu du rafraîchissement, la béatitude du repos et la splendeur de la lumière.Secrète
Soyez propice, Seigneur, à nos supplications en faveur de l’âme de votre serviteur Paul Schoonbroodt, dont c’est aujourd’hui l’anniversaire, et pour laquelle nous vous offrons ce sacrifice de louange, afin que vous daigniez lui faire partager le sort de vos Saints.Postcommunion
Accordez-nous, s’il vous plaît ô Dieu tout-puissant, que l’âme de votre serviteur Paul Schoonbroodt, dont nous commémorons l’anniversaire de la déposition, étant purifiée par ces sacrifices, obtienne à la fois le pardon et le repos éternel. Par Notre-Seigneur.
Prions pour le repos de son âme.
† Requiescat in pace †
Que son âme repose en paix !
MIRACULEUX : Le curé Schoonbroodt raconte le double miracle eucharistique de 1971 à Steffeshausen
En 1971, juste après son installation comme curé dans sa paroisse de Steffeshausen, Monsieur le Curé Schoonbroodt est « favorisé » d’un double miracle eucharistique.
Dernier « excommunié » vivant des sacres de 1988 (lors du tournage de cette interview), M. le Curé Paul Schoonbroodt raconte son installation dans son église paroissiale en 1971 en Belgique à Steffeshausen et puis le double miracle eucharistique des 3 octobre et 12 décembre 1971, qui, quarante ans avant sa révélation publique, le conforte désormais dans son combat pour la préservation du Sacerdoce catholique sacramentellement valide et contre la généralisation d’un faux clergé invalide dans l’église Conciliaire depuis 1969, suite à l’abandon total du rite de consécration épiscopale de rite latin deux fois millénaire de l’Église suite aux réformes issues de Vatican II.
Steffeshausen (Belgique), octobre 2011
Toutes les informations sont disponibles sur : http:// virgo-maria.org
Toutes les vidéos du curé Schoonbroodt sur : http://www.youtube.com/user/MrVirgoMaria
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MIRACULOUS: Father Schoonbroodt, double Eucharistic miracle observed in Steffeshausen in 1971
Father Schoonbroodt died May 26, 2012 following a car accident the month before. Pray for him!
† R.I.P.
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La Validité du Sacerdoce Catholique en voie d’extinction
papeFrançois (Jésuite) indifférent, voire dédaigneux envers la liturgie !
Un conciliaire, Mr Florent Husson, nous explique ici pourquoi papeFrançois est indifférent, voire dédaigneux envers la liturgie ! C’est, dit-il, :
« Le défaut congénital des Jésuites depuis 500 ans, car cela ne date en rien du concile Vatican II, leur défaut depuis leur fondation donc, c’est leur indifférence, voire leur dédain envers la liturgie, et il faudra faire avec… »
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Mr Florent Husson : “La barrette de St Pierre des Latins” Les Jésuites et la liturgie
SOURCE – “Abbé” Florent Husson – ‘La barrette de St Pierre des Latins’ – avril 2013
Les Jésuites et la liturgie
Des auditeurs attentifs au sermon du premier dimanche de la Passion m’ont demandé d’expliciter les propos que j’avais alors tenus : « Le défaut congénital des Jésuites depuis 500 ans, car cela ne date en rien du concile Vatican II, leur défaut depuis leur fondation donc, c’est leur indifférence, voire leur dédain envers la liturgie, et il faudra faire avec… ». Ce jugement a semblé péremptoire à certains, mais il est fondé sur 500 ans d’histoire…
Après les premières apparitions « liturgiques » du Pape François (je dois avouer que l’absence de numérotation fait bizarre, et qu’il est difficile de dire « de François » comme nous disions « de Paul VI, de Benoît XVI »), certains journalistes catholiques ont hissé haut le pavillon de leur jubilation de voir disparaître les fastes rétablis par Benoît XVI, car pour être « un Pape des pauvres », il faut donc, selon leur esprit mal (in)formé, être un « Pape a-liturgique », voire « anti-liturgique ».
D’abord ils oublient le soin qu’apportait Saint François d’Assise à la liturgie (1), confondant selon l’idéologie des années 70 amour des pauvres et misérabilisme, ensuite ils oublient que le nouveau Pape est un jésuite.
Et c’est bien là réellement le fond du problème…
Benoît XVI, profond théologien dont la spiritualité était marquée tant par la patristique que la liturgie, avait des racines aux antipodes de la spiritualité des Jésuites.
En effet, la Compagnie de Jésus fut fondée par Saint Ignace de Loyola et reconnue par Rome en 1540 : nous sommes en plein dans le règne de la devotio moderna, cette dévotion née avec l’Imitation de Jésus-Christ (2), un chemin spirituel qui privilégie l’individualisme à la piété populaire du Moyen-Âge.
Les grands de ce monde, à la fin du Moyen-Âge, disaient encore le bréviaire liturgique, nous connaissons nombre de manuscrits comme les « Grandes Heures », et donc ils vivaient spirituellement en union avec l’Église et tous les chœurs de moines, moniales, religieux et chanoines qui chantaient l’office.
Or la devotio moderna va faire disparaître cette union, chacun aura désormais son livre de spiritualité qui lui plaît le plus, et selon les époques, qui l’Imitation, qui le Combat Spirituel de Scupoli (3), qui l’Introduction à la vie dévote de Saint François de Sales (4). C’est l’époque qui verra les fidèles à la Messe faire leurs propres dévotions privées, ne s’occupant guère du célébrant sauf à la consécration et aux élévations.
Saint Ignace est donc totalement imprégné de cet esprit qui est de fait la mentalité de l’Église au XVIème siècle, et ses Exercices Spirituels dont il commence l’écriture en 1523 l’attestent. Tous ses efforts personnels sont tendus vers les études et les exercices spirituels. Et cela transparaît en 1539 dans l’esquisse des statuts de la future Compagnie, quand, à côté de l’obéissance à un Préposé général et l’exaltation de la pauvreté, on trouve le refus du cérémonial monastique, et en particulier de la prière collective. Si on lit bien Saint Ignace, on en arrive à avoir l’impression que l’examen de conscience est plus important que l’assistance à la Messe.
Malheureusement, le Pape Paul III, en approuvant la compagnie, va entériner ce choix d’Ignace, et fera des Jésuites le premier ordre religieux dispensé de la liturgie communautaire, véritable anomalie depuis les débuts des ordres religieux dans l’Église au IVème siècle.
On lit dans les constitutions jésuites : « Parce que les occupations qu’on prend pour aider les âmes sont de grande importance, qu’elles sont propres à notre Institut et très nombreuses, et que d’autre part notre séjour en tel ou tel lieu est précaire, les Nôtres n’auront pas l’office du chœur pour les heures canoniales ni pour chanter des messes ou d’autres offices ; car pour ceux (5) que leur dévotion (6) pousserait à les entendre, il y aura abondance de lieux où ils satisfassent leur désir. Quant aux Nôtres, il convient qu’ils s’occupent de ce qui est davantage propre à notre vocation (7), pour la gloire de Dieu ».
Et en ce qui concerne l’apostolat : « Si, dans certaines maisons ou dans certains collèges, on jugeait que cela conviendrait, on pourrait, à l’heure où il doit y avoir dans l’après-midi une prédication ou un enseignement, ne dire que les vêpres pour retenir le peuple avant ces enseignements ou ces prédications. On pourrait aussi le faire habituellement les dimanches et jours de fête, sans musique d’orgue ni plain-chant, mais sur un ton qui soit religieux, agréable et simple. Et cela, parce que et pour autant que l’on jugerait que le peuple serait par-là porté à fréquenter davantage les confessions, les sermons et les enseignements, et non pas pour une autre raison (8) ».
Donc il n’est pas question de former le Jésuite à l’Ars celebrandi, c’est-à-dire la capacité de célébrer dignement : le Jésuite dit son bréviaire seul et les Messes sont réduites à leurs plus simples dispositions liturgiques : « Pour les Messes plus importantes que l’on dira, quoique simplement lues, il pourra y avoir, en considération de la dévotion et de la convenance, deux servants vêtus de surplis, ou un seul, selon ce qui pourra se faire dans le Seigneur ».
Pas de Messes chantées, et encore moins de Messes solennelles.
Mais en plus, la liturgie communautaire pour les fidèles confiés à la charge des Jésuites n’a de sens que si elle amène « à fréquenter davantage les confessions, les sermons et les enseignements ».
Saint Ignace voulait des soldats pour les missions étrangères, l’éducation des jeunes, l’instruction des pauvres. Et il est manifeste que face à l’hérésie protestante, l’Église avait besoin de soldats. Mais c’est oublier que les moines « traditionnels » avaient été aussi des soldats car c’est eux qui évangélisèrent l’Europe ! Et des religieux comme les Capucins, fervents fers de lance de la lutte anti-protestante (il suffit de voir l’action de Saint Laurent de Brindes, Docteur de l’Église, ou le martyre de Saint Fidèle de Sigmaringen, massacré par des réformés) n’ont abandonné ni l’office choral, ni les solennités liturgiques (9)… et pourtant… c’étaient des franciscains (10).
De plus, comme l’indique le paragraphe des Constitutions sur la liturgie dans l’apostolat, on s’aperçoit que pour un Jésuite, la liturgie n’est qu’un moyen, un outil.
Et cela donnera lieu au XXème siècle à la grande « hérésie » liturgique qui veut faire de la Messe une simple catéchèse, et non plus, comme l’enseigne le concile Vatican II, « la source et le sommet de la vie chrétienne ». C’est ainsi qu’entre deux guerres, les nombreux Jésuites aumôniers scouts (n’oublions pas que le Père Sevin était Jésuite) posèrent les prodromes de la réforme liturgique, réforme à but uniquement pastoral et catéchétique.
On comprend donc pourquoi le défaut congénital des Jésuites depuis 500 ans est leur indifférence, voire leur dédain envers la liturgie, sauf quand ils peuvent l’utiliser dans un but de formation.
Certes, il y a eu de célèbres liturgistes Jésuites, comme le Père Jungmann. Mais quand on lit leurs ouvrages, on s’aperçoit qu’il ne s’agit pas de théologie liturgique, mais qu’en bons universitaires et scientifiques, ils s’appliquent à étudier les rites et les prières comme un chirurgien étudierait le corps humain, et leurs ouvrages sont sans âme, ni spiritualité.
Alors, ne demandons pas à un Pape Jésuite, héritier d’une telle tradition, d’être un bon liturge… Il ne le sera pas, non par parti-pris, mais par formation, je dirai même par constitution.
Florent Husson.
Ndlr du CatholicaPedia :
Mr Florent Husson est un simple laïc officiant de manière “extraordinaire” dans le diocèse de Nancy et de Toul…
Ces prétendus abbés qui portent la soutane et font profession de célébrer la messe de Saint Pie V, ne sont en réalité, le sachant ou non, que de simples laïcs, entièrement démunis de tout véritable pouvoir sacramentel et sacrificiel.
Les prétendues messes qu’ils disent dans le rite de Saint Pie V sont absolument invalides et leurs fidèles n’y adorent que du pain, tout comme restent sacramentellement invalides les pseudo-absolutions qu’ils délivrent.
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Nous vous proposons maintenant de visionner une “ordination” totalement invalide d’un jésuite à Marseille par l’abbé aposta Georges Paul Pontier (voir son pedigree ici) :
Source : http://www.jesuites.com/2013/04/ordination-dun-jesuite-a-marseille/
Voir aussi :
A Marseille, les jésuites sont dans la ville (Article dans le journal La Provence)
[1] Saint François d’Assise, epistola ad cleros.
[2] Date de composition et auteur contestés, entre la fin du XIVème siècle et le début du XVème siècle.
[3] 1588
[4] 1608
[5] Les fidèles
[6] La liturgie est donc une affaire de dévotion privée, non « d’Église ».
[7] Le culte divin, premier devoir d’un prêtre, n’est donc pas la vocation d’un Jésuite…
[8] La liturgie n’a donc pas de valeur en soi.
[9] Dans les limites permises par le fait qu’un couvent ne reçoit en général pas plus de douze religieux, ce qui limite bien sûr le déploiement de la liturgie. Le Cérémonial capucin prévoit par exemple des Messes non chantées avec encensement.
[10] Les Capucins sont une branche de l’Ordre franciscain, fondée au XVIème siècle pour un retour aux origines radicales de la Règle de Saint François.
L’autisme règne chez les clercs…
L’autisme règne chez les clercs…
De polars cléricaux en polars monastiques (nous y reviendrons), dignes des meilleurs « SAS » de Gérard de Villiers, le petit monde du Tradiland (1) de la FSSPX en parvient à un autisme de plus en plus flagrant et va même, ce qui est inouï, jusqu’à faire l’impasse totale sur les travaux de Rore Sanctifica au sujet de l’invalidité radicale des ordinations conciliaires.
Dans un long texte, les prêtres anti-ralliéristes découvrent grâce à un site anglo-saxon intitulé « TRUETRAD » que les ordinations « posent des doutes dans l’église Conciliaire » ! Mieux vaut tard que jamais !
Et ils ajoutent sans rire que :
« Nous disons seulement qu’il y a un doute positif et que ce doute est suffisant pour nécessiter qu’on réordonne sous condition (laquelle ?) les prêtres venant de l’église Conciliaire. »
Et, plus loin :
« Pour cette raison, il est crucial pour le salut de tout catholique que ses prêtres soient validement ordonnés. Parce que la révolution conciliaire a maintenant 50 ans et parce que cette révolution est un mauvais arbre, qui ne peut produire que de mauvais fruits (Mat. 7,18), le but de cet article est de développer la discussion, et d’arriver à la vérité, en ce qui concerne un des mauvais fruits de la révolution post-conciliaire : c’est-à-dire le nouveau rite de l’ordination institué par le Pape Paul VI en 1968. »
Et nos bons abbés nous avertissent que :
« Les résultats présentés ici vont affecter certains lecteurs plus que d’autres. (Tiens ! tiens !) Certains assistent au nouvel ordo missae, au moins quelquefois. Beaucoup d’autres assistent exclusivement à la messe traditionnelle mais, en maints endroits, cette messe est dite par des prêtres qui ont été ordonnés selon le nouveau rite (sic !) et sont « venus à la tradition » plus tard. »
Mais chers amis lecteurs, ne vous semble-t-il pas que nous sachions tout cela déjà depuis un bon bout de temps ???
Nos bons abbés ne lisaient-ils pas les meilleures feuilles et études à ce sujet ??? ET voilà où ils en sont réduits en 2013 ! À découvrir, bien imparfaitement, le problème majeur de la crise de l’Église : celui de l’extinction du sacerdoce valide ! Ce serait seulement pitoyable, s’ils n’allaient en plus rechercher chez les autres – ceux qui en gros pensent comme eux et sont infestés des mêmes tares originelles – la solution demi-vérité à leur interrogation…
Après de longs développements indigestes et peu probants sur le sens des mots qui varie selon l’église dont on parle, ils en viennent, sur la pointe des pieds, à nous proposer ce résumé de leur pensée hésitante :
« En résumé, la forme du nouveau rite de l’ordination n’accomplit pas la même chose parce qu’elle ne signifie pas la même chose que la forme du rite catholique traditionnel de l’ordination. »
Cette culture théologique du doute, nous laisse un sentiment de malaise et de conviction inachevée.
Toutefois nos abbés se rattrapent un peu par la très longue citation de Michael Davies et ses sept exemples.
Les dix-sept points qui suivent (dont certains ont été “pompés” dans les tomes de Rore-Sanctifica !), ainsi que les notes finales, montrent à l’évidence que tous les doutes des abbés devraient être définitivement levés. C’est pourquoi nous incitons le lecteur à les lire avec intérêt, même si ces points lui paraissent être des redites de ce qu’il a lu dans le passé !
Reste une dernière et épineuse question que nos bons abbés se gardent bien de soulever : après tout ce qu’ils viennent de nous fournir comme preuves évidentes de l’invalidité des ordinations et rites conciliaires, comment peuvent-ils encore accorder la moindre autorité à une hiérarchie elle-même invalide et tombée dans l’apostasie ?
P. Legrand
Appendice 2 – Comment l’église conciliaire a enlevé du nouveau rite d’ordination toute référence claire à ce qui est l’essence du prêtre catholique. Exemples
Michael Davies donne le résumé suivant du rite d’ordination de l’église conciliaire :
« Le rite d’ordination traditionnel a été remodelé de la manière la plus drastique et, suivant l’exemple de Cranmer, cela a été accompli principalement par la soustraction de prières et de cérémonies en usage précédemment, prières et cérémonies qui donnaient une signification sacerdotale explicite à la formule indéterminée spécifiée par Pie XII, comme forme essentielle… Cette formule déclare en effet que les candidats à l’ordination doivent être élevés à la prêtrise – mais c’est aussi ce que dit le rite anglican. Dans le contexte du Pontifical romain traditionnel il n’y avait pas le moindre soupçon d’ambiguïté – dans le nouveau rite il y en a certainement. » OOM, p. 74.
Exemple I : la tradition (c. à d. la remise) de la patène et du calice au nouveau prêtre. Dans le rite d’ordination catholique traditionnel, l’évêque donne à chaque prêtre le calice contenant du vin et de l’eau, et la patène avec une hostie. Chaque nouveau prêtre les prend entre l’index et le majeur, de manière à toucher à la fois la patène et le calice, pendant que l’évêque dit à chacun : « Recevez le pouvoir d’offrir à Dieu le Sacrifice et de célébrer la Messe tant pour les vivants que pour les morts au nom du Seigneur. » Cette prière montre ce qu’est l’essence du sacerdoce et elle a été abolie dans le nouveau rite.
Le nouvel ordinal garde cette cérémonie mais substitue la prière suivante à celle qui vient d’être citée : « Acceptez du saint peuple de Dieu les dons qui doivent lui être offert. Sachez ce que vous faites et imitez le mystère que vous célébrez : modelez votre vie sur le mystère de la croix du Seigneur. » Nouveau rite d’ordination, § 26. La prière catholique traditionnelle est tout à fait incompatible avec la conception conciliaire du prêtre. La prière de remplacement de l’ordinal moderne s’ajuste confortablement à ce sens conciliaire.
Commentaire de Davies : « C’est très important de noter que les protestants évangéliques, qui nient toute distinction d’essence entre prêtres et laïcs, sont prêts à accepter une ‘tradition’ du calice et de la patène pourvu qu’elle ne soit accompagnée d’aucune prière suggérant que le prêtre nouvellement ordonné a été investi d’un sacerdoce ministériel (externe) lui donnant des pouvoirs refusés au laïc, en particulier celui d’offrir le sacrifice… Le révérend (protestant) Peter Toon écrit qu’une telle cérémonie indiquerait que l’Eglise a donné au nouveau prêtre le droit de ‘‘présider à la Sainte Communion’’. S’il n’y a pas d’allusion au sacerdoce ministériel dans le reste du service, aucun sacerdoce ministériel ne peut être vu dans la remise du calice. » OOM, p. 87.
Exemple II : la prière après la vêture dans le rite d’ordination traditionnel est incompatible avec la définition du ‘prêtre’ dans l’église conciliaire ; elle a donc été éliminée du nouveau rite.
Dans le rite catholique traditionnel de l’ordination, l’évêque dit une prière incluant la référence au Saint Sacrifice de la Messe pendant lequel un prêtre « transforme par une sainte bénédiction le pain et le vin en le corps et le sang de votre Fils en faveur de votre peuple. » Cette prière, incompatible avec la définition du prêtre de l’église conciliaire, a été abolie.
Exemple III : la traditionnelle bénédiction finale.
Dans le rite catholique traditionnel d’ordination, l’évêque donne cette bénédiction : « que la Bénédiction du Dieu tout puissant, le † Père, le † Fils et le Saint † Esprit descende sur vous, afin que vous soyez bénis dans l’Ordre sacerdotal et que vous puissiez offrir, pour les péchés et les offenses du peuple, des hosties agréables au Dieu tout puissant, à qui appartient honneur et gloire dans les siècles des siècles. » Cette bénédiction n’est pas conforme à la définition conciliaire du prêtre, parce qu’elle renvoie à « l’ordre sacerdotal » qui offre le « sacrifice propitiatoire pour les péchés et les offenses du peuple. » L’ordinal moderne abolit cette bénédiction.
Exemple IV : la transmission cérémonielle du pouvoir d’absoudre les péchés.
Dans le rite catholique traditionnel d’ordination, chaque nouveau prêtre s’agenouille devant l’évêque qui impose ses deux mains sur la tête de chacun à son tour et dit : « Recevez le Saint Esprit. Les péchés seront remis à ceux à qui vous les remettrez, et ils seront retenus à ceux à qui vous les retiendrez. » Le nouveau rite d’ordination abolit cette cérémonie qui manifeste clairement un pouvoir du prêtre qui le sépare des laïcs.
Exemple V : le changement du « dernier avis » de l’évêque.
Dans le rite catholique traditionnel d’ordination, l’évêque prévient les nouveaux prêtres qu’offrir le Saint Sacrifice de la Messe est « une charge assez dangereuse » et qu’ils doivent apprendre le cérémonial auprès d’autres prêtres expérimentés avant de prendre une responsabilité si redoutable (voir le rite traditionnel du dernier avis de l’évêque). Cet avis est incompatible avec la notion conciliaire du prêtre parce qu’il n’y a pas de « danger » à offrir un simple repas commémoratif. Cet avis a été aboli dans l’ordinal moderne.
Exemple VI : l’onction.
Dans le rite catholique traditionnel d’ordination, l’évêque oint les mains des nouveaux prêtres, spécialement les pouces et les index qui vont toucher les hosties. Pendant l’onction de chaque prêtre il dit : « Daignez, Seigneur, consacrer et sanctifier ces mains par cette onction et notre bénédiction. » Il fait ensuite le signe de la croix sur les mains de chaque prêtre et continue : « Afin que tout ce qu’elles béniront soit béni, et que tout ce qu’elles consacreront soit consacré et sanctifié au nom de Notre Seigneur Jésus Christ. » Cette prière a été supprimée de l’ordinal moderne parce qu’elle est incompatible avec la conception du sacerdoce de l’église conciliaire. Le rite moderne d’ordination prescrit l’onction des paumes sans mention spéciale des pouces et index (nouveau rite §24). Par omission, cette suppression de l’accent catholique mis sur les ‘doigts sacerdotaux’ manifeste encore l’opinion conciliaire du sacerdoce.
Exemple VII : la monition aux ordinands.
Dans le rite catholique traditionnel d’ordination, l’évêque s’adresse aux ordinands en un sermon incluant ces mots : « Le Prêtre doit sacrifier, bénir, présider, prêcher, baptiser. » Cette monition a été abolie et remplacée par une ‘homélie’ au choix de l’évêque, sur les devoirs du prêtre.
Résumé
Davies évalue ainsi le rite moderne d’ordination : « Comme la précédente partie le précise, toutes les prières du rite traditionnel qui établissaient spécifiquement le rôle essentiel du prêtre en tant qu’homme ordonné pour offrir le sacrifice propitiatoire pour les vivants et pour les morts, ont été supprimées… La plus importante des raisons qui ont incité Léon XIII à déclarer invalides les Ordres Anglicans était l’élimination systématique de toute référence à la nature sacrificielle de la Messe dans les rites de communion et d’ordination de Cranmer. C’est un fait que j’ai étudié en détail dans Cranmer’s Godly Order et je ne vais pas le répéter ici. Les Réformateurs étaient prêts à accepter que l’Eucharistie soit un sacrifice de louange et de gratitude et rien d’autre… Si le nouveau rite catholique est considéré comme satisfaisant, alors toute l’argumentation d’Apostolicae Curae est sapée. Si le nouveau rite catholique, ayant été purgé de toute prière définissant les pouvoirs essentiels du sacerdoce, est valide, alors il n’y a aucune raison pour que [les divers ordinaux anglicans déclaré invalides par Léon XIII] ne soient pas valides eux aussi. »
[1] Il s’agit du site “contestataire” mais dans la ligne una cum de la F$$PX “Avec l’Immaculée”
WILLY réactive l’opération britannique de “voiture balai” de la tradition
Un lecteur nous écrit…
WILLY réactive l’opération britannique
de “voiture balai” de la tradition – seconde mâchoire.
Bien entendu cet évêque catholique n’acceptera Jamais de souffler mot sur l’invalidité sacramentelle Intrinsèque Radicale Et Certaine de la nouvelle “consécration épiscopale” de rite latin imposée à l’Église Catholique Romaine par Montini-Paul VI depuis le 18 juin 1968 (“constitution apostolique” Pontificalis Romani), soit depuis aujourd’hui 45 ans, et la Perte Irrémédiable Du Sacerdoce Sacrificiel sacramentellement valide de Melchisédek de la “Nouvelle et éternelle Alliance” qui en découle à présent pour l’“église Conciliaire” apostate romaine, et la raréfaction, voire la quasi disparition, actuellement en cours du Sacerdoce Sacrificiel de Notre Seigneur Jésus-Christ sur la surface de la terre.
( http://www.rore-sanctifica.org
http://catholicapedia.net/pages_html/Rore-Sanctifica_Benoit.html )
Bien entendu, il ne s’agit là apparemment pour Mgr Richard Williamson que d’un point tout à fait secondaire, qu’il est tout à fait inutile, voire inopportun, de seulement évoquer !
Comme si la Foi catholique et son maintien dans le monde ne découlait pas des grâces de Salut du Sacerdoce Sacrificiel Valide de “La Nouvelle et Éternelle Alliance” :
Ce N’Est Pas La Foi Catholique Qui Produit Le Sacerdoce Sacrificiel Valide,
C’Est Exactement L’Inverse !
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Lettre Ouverte Aux Prêtres De La Fraternité Saint Pie X
Source : http://www.lasapiniere.info/lettre-ouverte-aux-pretres-fsspx/
Mgr Williamson, Pâques, 31 mars 2013, Santa Cruz, Bresil
Cher confrères,
La publication récente de la Déclaration Doctrinale adressée le 15 Avril de l’année dernière par le Conseil Général de la Fraternité Saint Pie X aux autorités de l’Église à Rome confirme nos pires craintes. Il nous a fallu attendre presque un an pour savoir ce qu’elle contenait. Elle prouve une fois pour toutes que les chefs actuels de la Fraternité entendent la mener dans une direction tout autre que celle tracée pour elle par Mgr. Lefebvre, pour l’approcher des idées et des buts de Vatican II.
Vous êtes peut-être happés par le ministère quotidien, mais cette Déclaration doit retenir votre attention sérieuse. Elle signifie que les âmes dont vous êtes en tant que prêtres responsables sont soumises, à travers vous-mêmes, à des Supérieurs qui entendent les mener, avec vous-mêmes, envers et jusque dans la grande apostasie des temps modernes. On se rappelle que ce sont les supérieurs qui font les sujets et pas l’inverse. En effet, n’avons-nous pas récemment vu bon nombre de prêtres de la Fraternité, l’un après l’autre, renoncer au combat de la Foi tel que Mgr. Lefebvre le menait, pour se laisser aller à suivre le courant très fort et très différent qui coule, depuis des années, d’en haut de la Fraternité jusqu’en bas ?
Une analyse détaillée de la Déclaration ne fera que confirmer le danger caché dans chacun de ces dix alinéas, danger seulement esquissé ci-dessous :
I
La fidélité promise à « l’Église catholique » et aux « Pontifes romains » se laisse aujourd’hui facilement égarer vers l’église conciliaire en tant que telle, et vers les Pontifes conciliaires. Il faut des distinctions pour enlever l’ambiguïté.
II
Accepter ce qu’enseigne le Magistère dans Lumen Gentium # 25 peut facilement entraîner l’obligation de croire aux doctrines de Vatican II, vu surtout que la Déclaration cite en note la Profession de Foi établie par Rome en 1989.
III
1. Accepter ce qu’enseigne le troisième chapitre de Lumen Gentium sur le Collège des Évêques, signifie, malgré la « Nota Prævia », s’ouvrir à la mortelle collégialité du Concile et à la démocratisation de l’Église.
2. Reconnaître le Magistère comme seul interprète authentique de la Révélation court le risque grave de soumettre la Tradition au Concile, surtout lorsque l’interprétation de toute différence entre les deux comme étant une rupture est à rejeter (voir III, 5 ci-dessous).
3. Définir la Tradition comme « la transmission vivante de la Révélation » est très ambiguë, ambiguïté que viennent confirmer les paroles vagues sur l’Église et la citation du Verbum Dei #8 qui suivent, également ambiguës.
4. Proposer que Vatican II doive « éclairer » la Tradition en « l’approfondissant et explicitant » est tout à fait Hégélien (depuis quand les contradictoires s’explicitent-ils au lieu de s’exclure ?), et il risque de distortionner la Tradition pour l’adapter aux multiples erreurs du Concile.
5. Affirmer que les nouveautés de Vatican II doivent être interprétées à la lumière de la Tradition, mais que toute interprétation qui impliquerait qu’il y a rupture entre les deux est à rejeter, c’est de la plus pure folie (toutes les chemises doivent être bleues, mais toute chemise d’une autre couleur est à prendre pour bleue !). Cette folie n’est pas autre que celle de « l’herméneutique de la continuité » de Benoit XVI.
6. Accréditer les nouveautés de Vatican II comme étant matière légitime de discussion théologique, c’est sous-estimer gravement leur nocivité. Elles ne sont bonnes qu’à condamner.
7. Juger que les nouveaux Rites sacramentaux furent légitimement promulgués favorise gravement l’erreur. Le Nouvel Ordre de la Messe est beaucoup trop nocif au bien commun de l’Église pour être une vraie loi.
8. « Promettre de respecter » comme faisant partie du droit de l’Église le nouveau Code du Droit Canon, c’est respecter un certain nombre de lois soi-disantes qui sont directement contraires à la doctrine de l’Église.
Chers confrères, quiconque étudie ces alinéas dans le texte original doit conclure que leur auteur ou auteurs ont renoncé au combat de Mgr. Lefebvre pour la Tradition, et sont passés dans leur esprit au camp de Vatican II. Voulez-vous qu’avec vos ouailles vous soyez formés par de tels Supérieurs ?
Et qu’on ne vienne pas nous dire que les deux premiers alinéas de la Déclaration et les trois derniers suivent de près le Protocole signé par Mgr. Lefebvre le 5 mai, 1988, en sorte qu’elle reste fidèle au Fondateur. Tous nous savons que le 6 mai il a répudié ce Protocole, parce qu’il s’est rendu compte lui-même que trop de concessions y étaient faites pour que la Fraternité pût continuer de se battre pour la Tradition.
Qu’on ne dise pas non plus qu’il n’y plus de danger puisque la Déclaration a été « retirée » par le Supérieur Général. Cette Déclaration est le fruit empoisonné de toute une mentalité libérale au sommet de la Fraternité, mentalité qui n’a pas été avouée, encore moins rétractée.
Une troisième erreur est de dire qu’il n’y plus de problème, puisque aucun accord n’a été signé avec les apostats de Rome. De fait le problème est moins l’accord lui-même que le désir d’un accord qui obtiendrait pour la Fraternité la reconnaissance officielle, et ce désir-là est toujours présent. Suivant tout le monde moderne et l’église conciliaire, les chefs de la Fraternité semblent n’avoir plus aucune notion de la primauté de la vérité, en particulier de la vérité catholique.
Chers confrères, il faut supporter ce qu’on ne peut pas changer. Les chefs aveugles sont un châtiment de Dieu. Mais le moins que vous puissiez faire en face de cette Déclaration désastreuse, c’est de l’étudier pour vous-mêmes avec tout ce qui l’a précédé, sinon vous allez perdre votre Fraternité sans vous en rendre compte, tout comme la masse des catholiques ont perdu leur Église suite à Vatican II. Et une fois que vous aurez bien compris pour vous-mêmes toute l’étendue du désastre, vous devrez dire la vérité à vos ouailles de la Fraternité, à savoir le danger auquel leurs Supérieurs exposent leur foi et partant leur salut éternel. Il y va de la Foi.
À tous les membres que nous sommes de cette Fraternité dont Mgr Lefebvre a fait une forteresse mondiale de la Foi, Notre Seigneur pose la question de Jean VI, 67 : « Voulez-vous vous aussi me quitter ? »
Et à tous et à chacun d’entre vous j’offre la bénédiction épiscopale de votre serviteur dans le Christ,
+Richard Williamson,
Nova Friburgo, Jeudi Saint, 2013.
Abbé H. L. Roméro : “En tant qu’argentin, j’ai honte”…
Dans son sermon du 17 mars 2013, M. l’Abbé Héctor Lázaro Romero, à Rennes, déclare au sujet de l’élection de papeFrançois : « En tant qu’argentin, j’ai honte » !
La semaine dernière, nous avons assisté à des évènements très graves que les moyens de communication ont rapportés. Aux yeux du monde, le collège cardinalice a élu celui qui se fait appeler François. En tant qu’argentin, j’ai honte. Ce François, considéré comme un cardinal primat de l’Argentine et archevêque de Buenos Aires, était vraiment l’ami des ennemis de Notre-Seigneur. On l’a vu, lors des fêtes juives, à la synagogue de Buenos Aires, à côté du rabbin, kippa sur la tête, en train d’allumer le chandelier. Lors d’un “congrès charismatique” à Buenos Aires, en présence du prédicateur des exercices spirituels du Vatican, Bergoglio s’était mis à genoux devant des pasteurs protestants pour recevoir leur soit disant bénédiction. On l’a vu aussi, le soir de son élection, avant de donner la bénédiction à la foule, s’incliner vers elle pour qu’elle prie Dieu de le bénir lui-même ; c’est un geste inouï ! Dans ses premières paroles à la foule, il s’était présenté avec insistance comme “l’évêque de Rome” et il n’a pas prononcé, même pas une fois, le mot “Pape”, dans un autre geste inouï qui va dans le sens, toujours, de la destruction de l’autorité et de la collégialité épiscopale de Vatican II.
Il a pris le nom de François. Il y a une fable, comme les fables dites de La Fontaine, qui nous parle du roi Midas. Tout ce que touchait le roi devenait de l’or. Et bien les modernistes, tout ce qu’ils touchent, ils le salissent, ils le détruisent, et, permettez-moi l’expression, ils le pourrissent. Il a profané le nom d’un très grand saint : saint François d’Assise qui n’a rien à voir avec cette “fraternité universelle” dont il a parlé le soir de son élection, ni avec l’œcuménisme conciliaire, puisque saint François n’a pas hésité à aller dans les terres islamiques pour essayer de convertir le sultan, le roi musulman, en disant devant lui, sans peur et sans respect humain, pendant que les imams, entourant le sultan, serraient les dents de rage, que Jésus est le seul vrai Dieu et que pour sauver son âme, le sultan devait abandonner la fausse religion de l’islam.
Ni l’Église, ni saint François n’ont rien à voir non plus avec cette pauvreté qui va plus ou moins dans le sens de la Gauche. L’Église enseigne l’esprit de pauvreté et la pauvreté volontaire et condamne toute sorte de socialisme, de communisme, qui suppriment ou qui mettent en danger la propriété privée et qui montent les classes les unes contre les autres.
Pour tout cela, Jorge Bergoglio, François, n’est pas Pape, tout comme ses prédécesseurs de Vatican II, et ne peut pas être Pape, en vertu de l’assistance divine du Saint-Esprit qui est accordée à l’autorité légitime de l’Église. Et le Saint-Esprit, manifestement, n’est pas là, en ayant abandonné le Vatican, mes chers amis, depuis quelques décennies. Et on pourrait ajouter à tout cela, la question de son ordination sacerdotale avec le rit réformé qui est plus que douteux ((Nous nous disons INVALIDE !!!)). Ce n’est pas possible d’être en communion avec ces modernistes, avec François, avec la synagogue et les autres religions. Pensez à cela sérieusement. On ne peut pas être en communion avec ces gens-là, à la liturgie, à la messe, puisque la messe c’est tellement important pour nous, catholiques, puisque c’est le centre de notre vie. Du fait d’accorder de l’importance à cette question dépend la conservation de la Foi, pour nous, pour nos enfants, pour les générations futures.
Extrait du sermon de Monsieur l’Abbé Héctor Lázaro Romero, Rennes, le 17 mars 2013. Publié par notre confrère Clément LECUYER : http://www.catholique-sedevacantiste.com/article-sermon-de-mr-l-abbe-romero-concernant-la-nomination-de-bergoglio-en-tant-qu-argentin-j-ai-honte-116449159.html
Les pitreries du “papeFrançois” ouvrent les yeux de nombreux fidèles
À l’heure ou les pitreries du “papeFrançois” ouvrent les yeux de nombreux fidèles de la “fausse majorité traditionnelles” (dixit M. l’abbé Marchiset) et de ralliés comme Yves Daoudal, qui sur son Blogue fait la recension de celles-ci et écrivait le 14 mars :
En moins de 24 heures, le nouveau pape aura multiplié les gestes de rupture.
et :
Il est le premier pape à paraître au balcon de Saint-Pierre de Rome sans aucun ornement liturgique, et ne daigne revêtir une étole que pour la bénédiction urbi et orbi, récitée et non chantée.
Il commence son allocution par « Bonsoir » et la termine par « Bonne nuit », comme tous ces prêtres réfractaires à tout esprit liturgique qui commencent la grand-messe par « Bonjour à tous » et la terminent par « Bon dimanche ».
* * *
Après que le nouveau“papeFrançois”, comme la rumeur en court sur les médias italiens, a lancer au cérémoniaire pontifical, qui lui présentait la mozette du Souverain Pontife, héritage de la pourpre impériale : « Le carnaval est fini ! »
Le premier Angelus du pape François (Premier dimanche de la Passion)
Le pape François est apparu dimanche 17 mars à midi à sa fenêtre place Saint-Pierre pour son premier Angélus devant une foule de plusieurs dizaines de milliers de personnes. « Bonjour. Après notre première rencontre de mercredi, je suis heureux de vous saluer ce dimanche, le jour du Seigneur (…) sur une place qui grâce aux médias a les dimensions du monde » , a-t-il déclaré, après avoir été accueilli par une clameur à son apparition au balcon de ses futurs appartements privés au 3e étage du palais apostolique.
« Bon dimanche et bon appétit », a-t-il conclu, fidèle à son style empreint de simplicité et de bonhomie.
Contrairement à l’habitude de ses prédécesseurs, il a achevé l’Angélus sans saluer la foule dans différentes langues.
Nous vous proposons deux lectures importantes qui sont les deux premières au Top 10 des téléchargements sur notre site du CatholicaPedia.net :
Downloads (Top 10)
À Quoi Sert Le Pape ?
par Monseigneur GAUME
Les Prêtres Ordonnés Suivant Le Nouveau Rite Sont-Ils Prêtres ?
Les Évêques Sacrés Suivant Le Nouveau Rite Sont-Ils Évêques ?
Ce second texte est capital, écrit en 2003, avec des citations de Bonum Certamen écrites de 1981 à 1992 ; soit 15-25 ans avant les travaux du CIRS (Rore Sanctifica) , il explique la situation actuelle avec le pitre “papeFrançois” qui est démuni de toute grâce sacerdotale !
Après le concile Vatican II, Paul VI a modifié le rite de tous les sacrements. Une réforme aussi générale est pour le moins risquée. En effet, si quelque chose d’essentiel a été modifié, le nouveau rite n’est plus efficace, il ne produit plus la grâce, car il n’est plus le rite que le Christ a institué.
En a-t-il été ainsi dans la réforme du sacrement de l’ordre ? Cette question est de la plus grande importance, car, dans ce cas, la transmission du sacerdoce ne serait plus assurée. Les conséquences en seraient incalculables :
plus de sacerdoce catholique, plus d’eucharistie : il faut un prêtre validement ordonné pour dire la messe ;
plus de sacerdoce, plus de sacrement de pénitence pour remettre les péchés ;
plus d’extrême-onction pour aider les mourants ;
plus de confirmation pour les baptisés.
Par la destruction de ce seul sacrement, l’église Conciliaire ne serait plus l’Église du Christ : elle serait une secte de plus parmi beaucoup d’autres.
Sans être le plus grand de tous les sacrements, celui de l’ordre est indispensable à l’Église. Il est en effet la source de presque tous les autres sacrements. Sans évêque catholique, les hommes pourraient encore être baptisés et se marier religieusement, mais c’en serait fait de toute vie sacramentelle, en particulier du saint sacrifice de la messe et de la présence réelle du Christ dans son état de victime immolée et offerte. Sans sacerdoce valide, l’Église du Christ ne serait plus qu’une secte et rien d’autre.
* * *
Bonum Certamen n° 58, septembre-octobre 1981
Les Hommes Ordonnés, En France, Depuis 1968, Sont-Ils Prêtres ?
Angoissante Question ; Tragique Réponse !
* * *
Bonum Certamen n° 59, novembre-décembre 1981
Aurons-Nous Encore Longtemps Des Évêques Validement Sacrés ?
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Bonum Certamen n° 118, novembre-décembre 1991
L’Ordinal De Paul VI Est Invalide
parce qu’il est la copie servile de l’ordinal anglican
« L’Ordination ne transmet pas le sacerdoce ; mais seulement la mission » (Mgr Vilnet)
A – Étude de la Prêtrise
* * *
Bonum Certamen n° 119, janvier-février 1992
L’Ordinal De Paul VI Est Invalide
B – Étude de l’Épiscopat
Le blog d’Yves Daoudal
13 mars 2013 :
« François Ier »… : http://yvesdaoudal.hautetfort.com/archive/2013/03/13/francois-ier.html
14 mars 2013 :
Du cardinal Bergoglio au pape François : http://yvesdaoudal.hautetfort.com/archive/2013/03/14/du-cardinal-bergoglio-au-pape-francois.html
Bergoglio, décembre 2002 : http://yvesdaoudal.hautetfort.com/archive/2013/03/14/bergoglio-decembre-2002.html
C’est le plus urgent ? : http://yvesdaoudal.hautetfort.com/archive/2013/03/14/c-est-le-plus-urgent.html
Ça continue : http://yvesdaoudal.hautetfort.com/archive/2013/03/14/ca-continue.html
16 mars 2013 :
Trois ou quatre petites choses sur Jorge Bergoglio : http://yvesdaoudal.hautetfort.com/archive/2013/03/16/trois-ou-quatre-petites-choses-sur-jorge-bergoglio.html
Les Franciscains du pape François : http://yvesdaoudal.hautetfort.com/archive/2013/03/16/les-franciscains-du-pape-francois.html
Tout va pour le mieux. Et encore mieux que cela. : http://yvesdaoudal.hautetfort.com/archive/2013/03/16/tout-va-pour-le-mieux-et-encore-mieux-que-cela.html
Le pape François et les évangéliques : http://yvesdaoudal.hautetfort.com/archive/2013/03/16/le-pape-francois-et-les-evangeliques.html