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Twist again à Rio : « la façon dont on prie, c’est la façon dont on croit »

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Les JMJ 2013 de Rio se sont terminées hier soir sur la plage de Copacabana à Rio de Janeiro avec papeFrançois et deux à trois millions de personnes…

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Avant la coupe du monde de football de 2014 et les Jeux olympiques d’été de 2016, les JMJ 2013 constituent le premier des trois événements mondiaux majeurs dont l’organisation a été confiée au Brésil. (!!!!! Wikipedia.org : Journées mondiales de la jeunesse 2013) C’est tout vous dire !…

Quelques singeries en différé des JMJ de Rio !

JMJ : Jamboree Mondial des Jobards —
Dans ma jeunesse, JMJ, avait une toute autre signification. Jésus, Marie, Joseph mais les moins de cinquante ans ne doivent pas savoir !

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JMJ : le plus grand lupanar du monde : Soutanes et bikinis sur la plage de Copacabana

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RIO DE JANEIRO – Deux millions de personnes étaient rassemblées samedi soir sur la plage de Copacabana à Rio de Janeiro avec le pape François pour le début de la veillée de prière des Journées mondiales de la jeunesse (JMJ), a estimé le Vatican.

« Il y a deux millions de personnes », a indiqué le porte-parole du Vatican, le père Federico Lombardi, à l’AFP, alors que la célèbre plage carioca était noire de monde, totalement recouverte de tentes et de sacs de couchage.

Le maire de Rio, Eduardo Paes, a estimé samedi que près de trois millions de personnes assisteront dimanche sur la plage de Copacabana à la messe de clôture des JMJ célébrée par le pape François.

« Je m’attends à ce que l’on batte le record (d’affluence) de l’histoire de la plage de Copacabana. Je pense qu’il y aura entre 2,5 et 3 millions de personnes », a déclaré le maire samedi lors d’une conférence de presse.

« J’en vois beaucoup qui ne sont pas catholiques, qui n’ont pas la ferveur chrétienne mais qui viennent voir le pape », a souligné le maire.

 

M. l’abbé Marchiset nous a parlé dimanche avant-dernier (au Neuvième dimanche après la Pentecôte) des sacrilèges dans les sanctuaires, mais il faut parler aussi de ces attitudes liturgiques conciliaires. Suivant l’adage « la façon dont on prie, c’est la façon dont on croit », ces attitudes manifestent une toute autre foi, et bien sûr n’expriment pas cette vertu d’humilité et n’incitent guère à la contrition des péchés !

Un Festival de Viande : Un Carnaval … Un Bonheur Extrême pour Bergoglio

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quand il fut élu “pape”, il a dit, « arrêtons avec le carnaval »

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Alors que l’auto-destruction de l’église Conciliaire s’approfondit chaque jour, Francisco/Bergoglio se trouve des joies au Brésil, en jouissant de son carnaval grotesque.

Nous voyons ici le bonheur qu’il a quand il a salué un groupe d’Indiens d’Amazonie, après avoir terminé une rencontre qui l’a eu comme protagoniste principal dans le Théâtre Municipal de Río de Janeiro :

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JMJ 2013 : Les Princes de L’eglise Conciliaire (de V2.d’eux) Donnent un Exemple de Spiritualité et de Recueillement

 

 

Un Esprit de Recueillement et de Réflexion Profondément Sacramentelle dans la JMJ 2013

 

Un échantillon impressionnant de « l’esprit » qui anime « l’église » …

Pénitence ! Réparation ! Discours !
Paraissent crier les milliers et milliers de cœurs contrits par leurs péchés.

Les vêtements révèlent aussi la profondeur du sens pénitentiel de ce rassemblement massif.

Les mêmes mouvements, la piété affectée qui élève l’âme et de la musique sacrée ont composé le cadre idéal pour cette manifestation de la foi « qui déplace les montagnes » (de pognon)

Francisco ne se lasse pas de répéter « Je veux une église pauvre » … Et c’est ce que nous avons !

Très pauvre et misérable … angoissante …

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Le Carnaval de la JMJ 2013

 

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Neuvième dimanche après la Pentecôte – 2013

Mes bien chers frères, avec l’Épître et l’Évangile de ce neuvième dimanche après la Pentecôte, l’Église nous met en garde contre l’idolâtrie.

Considérons donc cette mise en garde, et regardons tout d’abord la gravité du culte d’idolâtrie.

Dans le passage de l’Épître aux Corinthiens, saint Paul se reporte à l’épisode de l’adoration du veau d’or. Il a cette mise en garde contre l’idolâtrie : « Ne devenez point idolâtres non plus, comme quelques-uns d’entre eux, dont il est écrit : Le peuple s’assit pour manger et boire, et ils se levèrent pour jouer ». Nous savons en effet que pendant que Moïse était monté au Sinaï, le peuple porté au mal, avait demandé à Aaron de lui faire un dieu, et Aaron avait ôté tout frein au peuple, l’exposant à devenir une risée parmi ses ennemis. Retenons bien la cause de cette débauche, car les mêmes causes produisant les mêmes effets, nous comprendrons la cause de ce que nous voyons aujourd’hui.

Devant l’idolâtrie et la débauche du peuple, Moïse brisa donc les tables de la loi et réduisant en poudre le veau d’or, il en fit boire aux enfants d’Israël. Et le premier châtiment de cette idolâtrie fut immédiat : Moïse dit à tous les enfants de Lévi : « Ainsi parle Yahweh, le Dieu d’Israël : Que chacun de vous mette son épée à son côté ; passez et repassez dans le camp d’une porte à l’autre, et que chacun tue son frère, chacun son ami, chacun son parent ! ». Vingt-trois mille hommes exécutèrent l’ordre. Les lévites furent récompensés de cet acte courageux en étant associés au service du culte.

Considérons alors la cause et le châtiment de ce grave péché d’idolâtrie, car vous n’êtes pas sans savoir, mes bien chers frères, que ce qui est arrivé aux hébreux, a été écrit pour notre instruction. Nous avons donc vu que c’est Aaron qui a ôté tout frein au peuple hébreu. Les hébreux qui se sont alors livrés à l’idolâtrie et puis à la débauche. Aujourd’hui, c’est la prévarication des clercs, des évêques tout particulièrement, abandonnant leurs fonctions de gardiens de la foi et de la morale, qui a comme conséquence directe, ce culte de l’homme à travers ces nouvelles liturgies, et puis toute cette débauche dans la morale, dans les mœurs. Oui, les rênes se trouvent débridées, et le peuple fait continuellement la fête. Et comme pour s’étourdir, il ne sait même plus que choisir dans tous ces divertissements qui sont l’occasion bien souvent de licences et de débauches.

Mais, mes bien chers frères, je serais incomplet dans ces explications, si je ne vous parlais pas également  des  sacrilèges dans les églises, dans les sanctuaires bénis, consacrés, qui ont donc été les demeures de Dieu ici-bas. Car dans une église qui possède encore son mobilier religieux, tout rappelle que ce lieu est redoutable que c’est la demeure de Dieu. Vous le savez, l’Église reprend ces paroles de Jacob, lorsqu’il réalisa la portée de son songe, quand il prit alors la pierre qui lui avait servi d’oreiller, l’érigea en stèle et répandit de l’huile à son sommet. En effet il s’écria : « Que ce lieu est redoutable, il n’est autre que la demeure de Dieu, c’est la porte du Ciel », et il appela ce lieu Béthel, c’est-à-dire la maison de Dieu. La liturgie reprend donc ces paroles pour les appliqués désormais aux sanctuaires catholiques.

Réfléchissez alors quelques instants sur ce qui se passe dans ces sanctuaires, à tous ces sacrilèges, sous l’égide d’un clergé qui permet toutes sortes de spectacles et qui officie dans des cérémonies qui n’ont plus rien à voir avec la sainte Messe et la sainte liturgie catholique. Comme Aaron, se sont eux malheureusement qui commettent ces iniquités et qui conduisent le peuple dans toutes ces iniquités. C’est bien sûr le démon qui aspire à tout cela ! Mgr Gaume le dit dans son Traité sur le Saint-Esprit : « Comme autrefois pour les Juifs, écrit-il, Satan pousse aujourd’hui les chrétiens à toutes sortes d’iniquités : c’est ce que saint Paul appelle « l’idolâtrie spirituelle, dont l’effet immédiat est d’anéantir en tout ou en partie la salutaire influence de l’auguste mystère de la Rédemption ».

Et parmi toutes ces iniquités, il faut bien parler de toutes ces messes, certes valides, mais malheureusement au cours desquelles les prêtres et les fidèles qui se disent de Tradition, sont en union avec l’hérétiques au Canon de la messe ! Cette union avec l’hérétique constitue un délit qui, ne nous y trompons, pas, car rien n’est petit dans le culte envers Dieu, est du type sacrilège.

Quelle perte du sacré en 50 ans ! Quel commerce liturgique ne s’exerce-t-il pas dans les sanctuaires. On y danse, on s’y trémousse ! Et je n’ose bien sûr vous décrire la frénésie qui se manifeste dans certains concerts qui n’ont évidemment rien de religieux dans les édifices construits pour et par la foi catholique.

Pour nous mettre en garde de tout cela, l’Église a donc choisi ce passage de l’Évangile où nous voyons l’exemple de Notre Seigneur chasser les profanateurs du Temple et manifester son zèle pour le respect de la maison de Dieu. Notre Seigneur prend des cordes et chasse vendeurs et acheteurs du Temple. « Il est écrit, dit-Il : Ma maison sera appelée maison de prière ; mais vous, vous en faites une caverne de voleurs ».

Comprenons bien, par conséquent, que tout ce qui se passe depuis bien des décennies, que toutes ces différentes iniquités dans les lieux saints attirent la justice de Dieu. Tout cela nous attirent des châtiments, la juste justice de Dieu et saisissons une fois encore que Vatican II (d’eux), est le châtiment mérité de cette prévarication du clergé, et que dans cette révolution conciliaire, comme dans toute révolution d’ailleurs, il est nécessaire d’ôter le frein au peuple.

Les toujours mêmes ennemis du Christ et de l’Église, ces ennemis très rusés, comme le dit Léon XIII dans son Exorcisme, ont donc par l’intermédiaire du clergé prévaricateur, exécuté ce plan de la conjuration antichrétienne et réussi à ôter le frein au peuple. Rappelez-vous ce que dit  l’abbé Julio Meinvielle dans son ouvrage Les trois peuples. Il dit que « les ennemis déclarés de l’Église commencèrent à avoir du succès dans leur criminelle entreprise, seulement quand les chrétiens commencèrent à s’affaiblir dans l’esprit de leur vie intérieure ».

Désormais, nous le constatons bien à grande échelle, plus de sens chrétien, plus d’esprit de sacrifice, dans la vie même du baptisé, du clerc, voire chez beaucoup de religieux, de religieuses. Si bien que ces ennemis ont gagné et gagnent actuellement encore de grandes victoires pour la perte des âmes. Aussi, mes bien chers frères, puisque nous avons vu ce que fut le premier châtiment pour l’idolâtrie du peuple hébreu, châtiment qui fut immédiat, comprenons que le châtiment pour l’idolâtrie et les débauches d’aujourd’hui a réellement commencé.

Ce que nous vivons prépare la période du Sixième âge de l’Église que saint Jean décrit au chapitre XIII de l’Apocalypse. saint Jean parle de la bête qui monte de la mer. Cette bête, comme le dit le Père de Clorivière dans son Interprétation littérale de l’Apocalypse, c’est le monde idolâtre, ennemi de Jésus-Christ et de son Église. « Le dragon, précise-t-il, a suscité le monde ou l’assemblage des méchants du sein du siècle, comme d’une mer orageuse, pour continuer sa révolte parmi les hommes et les attirer avec lui dans l’abyme de la perdition ». C’est donc cet « assemblage des méchants » qui sert d’instrument au démon pour faire la guerre et porter les hommes à se ranger à sa suite et surtout, à lui rendre un culte idolâtre, car l’idolâtrie a toujours été le moyen de détourner les âmes du véritable culte envers Dieu.

C’est ce qui explique toutes ces religions, la multiplication de tous ces cultes idolâtres de par le monde, car le démon maintien ainsi ces âmes en son pouvoir.

Nous savons que son succès sera grand, avec ce temps qui lui est donné et ce plus de puissance que Notre Seigneur lui permet pour détruire l’Église, comme l’a entendu Léon XIII, mais dans des limites toutefois que Notre Seigneur impose. C’est pourquoi, il ne restera qu’un petit troupeau de véritables fidèles, et c’est la raison pour laquelle la très sainte Vierge dit bien à La Salette : « Combattez, enfants de lumière, vous, petit nombre qui y voyez ».

Voilà donc, mes bien chers frères, ce qu’il en sera de l’idolâtrie au Sixième âge, mais vous l’aurez compris, tout est déjà présent aujourd’hui dans les esprits, et la secte conciliaire a son veau d’or  qui s’appelle l’œcuménisme. Elle qui fait en sorte que ses membres ne croient plus aux dogmes, rejettent tout dogmatisme, elle s’est érigé un super dogme, celui de la religion et de la fraternité universelle. Écoutez comment, d’une façon prophétique Mgr Gaume, dans son ouvrage Où allons-nous, l’annonçait : « l’œcuménisme érigé en dogme, le dogme de la religion et de la fraternité universelle », dit-il. En quelques mots nous avons donc la synthèse de ce que nos contemporains pensent aujourd’hui.

Mais même si certains clercs de la fausse majorité traditionnelle parlent très certainement ce matin de tout cela, de ce qui revient a de l’idolâtrie, au culte de l’homme, inspiré par le démon, et prêchent contre les profanateurs de la liturgie et puis sur le zèle pour le respect de la maison de Dieu, il ne faut pas oublier que beaucoup d’entre eux sont en union avec l’hérétique au Canon de la Messe ! Alors, mes bien chers frères, n’acceptons absolument pas ces iniquités dans le culte qui est rendu à Dieu par le saint Sacrifice de la Messe. Ayons le plus grand respect de tout ce qui touche au culte divin !

Et puis, ne soyons pas idolâtres de nous-mêmes. S’affirmer être personnel, par exemple, c’est bien sûr de l’égoïsme. Mais il y a également  la sensualité,  qui est une forme d’idolâtrie, l’idolâtrie de soi-même, qui mène malheureusement aux péchés graves.

Aussi, puisque Notre Seigneur nous a montré que jadis le Temple était la maison de son Père, rappelons-nous que nos âmes, par le Baptême sont le temple du Saint-Esprit. De même que nous comprenons combien les demeures de dieu sont souillées, polluées par toutes sortes de cérémonies sacrilèges, comprenons aussi combien nous devons préserver nos âmes de toutes ces formes d’idolâtrie de soi-même.

Notre-Dame connaissant la sévérité miséricordieuse de son divin Fils à l’égard des profanateurs de notre sainte religion, et le temps des châtiments ayant déjà commencé, demandons-lui les grâces nécessaires pour toujours avoir ce respect de tout ce qui touche au culte divin et préserver notre âme de toutes ces formes d’idolâtrie.

Ainsi soit-il.

Abbé Michel Marchiset

 

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Ézéchiel 22, 26-28
Louis Segond (LSG)

26 Ses sacrificateurs violent ma loi et profanent mes sanctuaires, ils ne distinguent pas ce qui est saint de ce qui est profane, ils ne font pas connaître la différence entre ce qui est impur et ce qui est pur, ils détournent les yeux de mes sabbats, et je suis profané au milieu d’eux.

27 Ses chefs sont dans son sein comme des loups qui déchirent leur proie; ils répandent le sang, perdent les âmes, pour assouvir leur cupidité.

28 Et ses prophètes ont pour eux des enduits de plâtre, de vaines visions, des oracles menteurs; ils disent: Ainsi parle le Seigneur, l’Éternel! Et l’Éternel ne leur a point parlé.

 

St Matthieu  24, 32-42

32. Du figuier apprenez cette comparaison : Dès que sa ramure devient tendre et que ses feuilles poussent, vous savez que l’été est proche.
33. Ainsi, lorsque vous verrez toutes ces choses, sachez que (l’événement) est proche, aux portes.
34. Je vous le dis en vérité, cette génération ne passera point que toutes ces choses ne soient arrivées.
35. Le ciel et la terre passeront, mais mes paroles ne passeront point.
36. Quant à ce jour et à l’heure, nul ne les connaît, pas même les anges des cieux, mais le Père seul.
37. Tels furent les jours de Noé, tel sera l’avènement du Fils de l’homme.
38. Car de même que dans les jours qui précédèrent le déluge, on mangeait et on buvait, on épousait et on était épousé, jusqu’au jour où Noé entra dans l’arche,
39. et qu’ils ne surent rien, jusqu’à la venue du déluge qui les emporta tous, ainsi sera aussi l’avènement du Fils de l’homme.
40. Alors, de deux (hommes) qui seront dans un champ, l’un sera pris, l’autre laissé ;
41. de deux femmes qui seront à moudre à la meule, l’une sera prise, l’autre laissée.
42. Veillez donc, puisque vous ne savez pas quel jour votre Seigneur doit venir.

 

Written by Cave Ne Cadas

juillet 29th, 2013 at 10:22 pm

Posted in église Conciliaire,JMJ,Jorge Mario Bergoglio

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Abbé H. L. Roméro : “En tant qu’argentin, j’ai honte”

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Dans son sermon du 17 mars 2013, M. l’Abbé Héctor Lázaro Romero, à Rennes, déclare au sujet de l’élection de papeFrançois : « En tant qu’argentin, j’ai honte  » !

La semaine dernière, nous avons assisté à des évènements très graves que les moyens de communication ont rapportés. Aux yeux du monde, le collège cardinalice a élu celui qui se fait appeler François. En tant qu’argentin, j’ai honte. Ce François, considéré comme un cardinal primat de l’Argentine et archevêque de Buenos Aires, était vraiment l’ami des ennemis de Notre-Seigneur. On l’a vu, lors des fêtes juives, à la synagogue de Buenos Aires, à côté du rabbin, kippa sur la tête, en train d’allumer le chandelier. Lors d’un “congrès charismatique” à Buenos Aires, en présence du prédicateur des exercices spirituels du Vatican, Bergoglio s’était mis à genoux devant des pasteurs protestants pour recevoir leur soit disant bénédiction. On l’a vu aussi, le soir de son élection, avant de donner la bénédiction à la foule, s’incliner vers elle pour qu’elle prie Dieu de le bénir lui-même ; c’est un geste inouï ! Dans ses premières paroles à la foule, il s’était présenté avec insistance comme “l’évêque de Rome” et il n’a pas prononcé, même pas une fois, le mot “Pape”, dans un autre geste inouï qui va dans le sens, toujours, de la destruction de l’autorité et de la collégialité épiscopale de Vatican II.

Il a pris le nom de François. Il y a une fable, comme les fables dites de La Fontaine, qui nous parle du roi Midas. Tout ce que touchait le roi devenait de l’or. Et bien les modernistes, tout ce qu’ils touchent, ils le salissent, ils le détruisent, et, permettez-moi l’expression, ils le pourrissent. Il a profané le nom d’un très grand saint : saint François d’Assise qui n’a rien à voir avec cette “fraternité universelle” dont il a parlé le soir de son élection, ni avec l’œcuménisme conciliaire, puisque saint François n’a pas hésité à aller dans les terres islamiques pour essayer de convertir le sultan, le roi musulman, en disant devant lui, sans peur et sans respect humain, pendant que les imams, entourant le sultan, serraient les dents de rage, que Jésus est le seul vrai Dieu et que pour sauver son âme, le sultan devait abandonner la fausse religion de l’islam.

Ni l’Église, ni saint François n’ont rien à voir non plus avec cette pauvreté qui va plus ou moins dans le sens de la Gauche. L’Église enseigne l’esprit de pauvreté et la pauvreté volontaire et condamne toute sorte de socialisme, de communisme, qui suppriment ou qui mettent en danger la propriété privée et qui montent les classes les unes contre les autres.

Pour tout cela, Jorge Bergoglio, François, n’est pas Pape, tout comme ses prédécesseurs de Vatican II, et ne peut pas être Pape, en vertu de l’assistance divine du Saint-Esprit qui est accordée à l’autorité légitime de l’Église. Et le Saint-Esprit, manifestement, n’est pas là, en ayant abandonné le Vatican, mes chers amis, depuis quelques décennies. Et on pourrait ajouter à tout cela, la question de son ordination sacerdotale avec le rit réformé qui est plus que douteux ((Nous nous disons INVALIDE !!!)). Ce n’est pas possible d’être en communion avec ces modernistes, avec François, avec la synagogue et les autres religions. Pensez à cela sérieusement. On ne peut pas être en communion avec ces gens-là, à la liturgie, à la messe, puisque la messe c’est tellement important pour nous, catholiques, puisque c’est le centre de notre vie. Du fait d’accorder de l’importance à cette question dépend la conservation de la Foi, pour nous, pour nos enfants, pour les générations futures.

 

Extrait du sermon de Monsieur l’Abbé Héctor Lázaro Romero, Rennes, le 17 mars 2013. Publié par notre confrère Clément LECUYER : http://www.catholique-sedevacantiste.com/article-sermon-de-mr-l-abbe-romero-concernant-la-nomination-de-bergoglio-en-tant-qu-argentin-j-ai-honte-116449159.html