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« La justice, c’est de rendre à chacun ce qui lui est dû »

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« La justice, c’est de rendre à chacun ce qui lui est dû »

 Karol Józef Wojtyła Santo subito !!!

À l’heure où l’on parle de la « canonisation » de W…. aux fins de « canonisation du ‟Concile” ‟Vatican II”, il est plus que temps de choisir son camp. Un saint est un modèle. La meilleure façon d’honorer un saint est de l’imiter. Pouvons-nous imiter le promoteur des « rencontres » interreligieuses qui à Assise et autres lieux propagent un esprit qu’il est bien difficile de qualifier de saint. Pour clarifier notre pensée nous avons repris l’analyse très documentée publiée en 1986 par le Courrier de Rome. (Marcus) lors de la première rencontre d’Assise Et chacun pourra approuver ou désapprouver cette initiative de la (fausse) hiérarchie actuelle. Mais attention un silence indifférent serait complice de 5 fautes majeures. Nous allons prendre le temps de les discerner. Ceux que W…. a appelés « les représentants des autres religions » ont toujours été appelés plus proprement par l’Église « infidèles » : « sont infidèles en un sens plus général tous ceux qui n’ont pas la vraie foi ; au sens propre les infidèles sont les non-baptisés et ils se divisent en monothéistes (juifs et musulmans), polythéistes (hindous, bouddhistes, etc …) et athées » (Roberti-Palazzini, Dizionario di teologia morale, p. 813). Et ce que Jean-Paul II a appelé les « autres religions » a toujours été appelé plus proprement par l’Église les « fausses religions » : est fausse toute religion non chrétienne « en tant que ce n’est pas la religion que Dieu a révélée et veut voir pratiquer. Est fausse aussi, en outre, toute secte chrétienne non catholique, en tant qu’elle n’accepte ni ne pratique fidèlement tout le contenu de la révélation » (ibidem). Cela dit, les ‟rencontres” d’Assise (et autres lieux dans le même esprit) ne peuvent être considérées, à la lumière de la foi catholique, que comme :

1) Une injure faite à Dieu ;

2) Une négation de la nécessité universelle de la Rédemption ;

3) Un manque de justice et de charité envers les infidèles ;

4) Un danger et un scandale pour les catholiques ;

5) Une trahison de la mission de l’Église et de Saint Pierre.

Analysons ces points très importants sans haine mais sans concession. Il ne s’agit pas d’une polémique gratuite, il y va de la vie éternelle des âmes, de vos âmes, de nos âmes.

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Abbé H. L. Roméro : “En tant qu’argentin, j’ai honte”

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Dans son sermon du 17 mars 2013, M. l’Abbé Héctor Lázaro Romero, à Rennes, déclare au sujet de l’élection de papeFrançois : « En tant qu’argentin, j’ai honte  » !

La semaine dernière, nous avons assisté à des évènements très graves que les moyens de communication ont rapportés. Aux yeux du monde, le collège cardinalice a élu celui qui se fait appeler François. En tant qu’argentin, j’ai honte. Ce François, considéré comme un cardinal primat de l’Argentine et archevêque de Buenos Aires, était vraiment l’ami des ennemis de Notre-Seigneur. On l’a vu, lors des fêtes juives, à la synagogue de Buenos Aires, à côté du rabbin, kippa sur la tête, en train d’allumer le chandelier. Lors d’un “congrès charismatique” à Buenos Aires, en présence du prédicateur des exercices spirituels du Vatican, Bergoglio s’était mis à genoux devant des pasteurs protestants pour recevoir leur soit disant bénédiction. On l’a vu aussi, le soir de son élection, avant de donner la bénédiction à la foule, s’incliner vers elle pour qu’elle prie Dieu de le bénir lui-même ; c’est un geste inouï ! Dans ses premières paroles à la foule, il s’était présenté avec insistance comme “l’évêque de Rome” et il n’a pas prononcé, même pas une fois, le mot “Pape”, dans un autre geste inouï qui va dans le sens, toujours, de la destruction de l’autorité et de la collégialité épiscopale de Vatican II.

Il a pris le nom de François. Il y a une fable, comme les fables dites de La Fontaine, qui nous parle du roi Midas. Tout ce que touchait le roi devenait de l’or. Et bien les modernistes, tout ce qu’ils touchent, ils le salissent, ils le détruisent, et, permettez-moi l’expression, ils le pourrissent. Il a profané le nom d’un très grand saint : saint François d’Assise qui n’a rien à voir avec cette “fraternité universelle” dont il a parlé le soir de son élection, ni avec l’œcuménisme conciliaire, puisque saint François n’a pas hésité à aller dans les terres islamiques pour essayer de convertir le sultan, le roi musulman, en disant devant lui, sans peur et sans respect humain, pendant que les imams, entourant le sultan, serraient les dents de rage, que Jésus est le seul vrai Dieu et que pour sauver son âme, le sultan devait abandonner la fausse religion de l’islam.

Ni l’Église, ni saint François n’ont rien à voir non plus avec cette pauvreté qui va plus ou moins dans le sens de la Gauche. L’Église enseigne l’esprit de pauvreté et la pauvreté volontaire et condamne toute sorte de socialisme, de communisme, qui suppriment ou qui mettent en danger la propriété privée et qui montent les classes les unes contre les autres.

Pour tout cela, Jorge Bergoglio, François, n’est pas Pape, tout comme ses prédécesseurs de Vatican II, et ne peut pas être Pape, en vertu de l’assistance divine du Saint-Esprit qui est accordée à l’autorité légitime de l’Église. Et le Saint-Esprit, manifestement, n’est pas là, en ayant abandonné le Vatican, mes chers amis, depuis quelques décennies. Et on pourrait ajouter à tout cela, la question de son ordination sacerdotale avec le rit réformé qui est plus que douteux ((Nous nous disons INVALIDE !!!)). Ce n’est pas possible d’être en communion avec ces modernistes, avec François, avec la synagogue et les autres religions. Pensez à cela sérieusement. On ne peut pas être en communion avec ces gens-là, à la liturgie, à la messe, puisque la messe c’est tellement important pour nous, catholiques, puisque c’est le centre de notre vie. Du fait d’accorder de l’importance à cette question dépend la conservation de la Foi, pour nous, pour nos enfants, pour les générations futures.

 

Extrait du sermon de Monsieur l’Abbé Héctor Lázaro Romero, Rennes, le 17 mars 2013. Publié par notre confrère Clément LECUYER : http://www.catholique-sedevacantiste.com/article-sermon-de-mr-l-abbe-romero-concernant-la-nomination-de-bergoglio-en-tant-qu-argentin-j-ai-honte-116449159.html