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papeFrançois (Jésuite) indifférent, voire dédaigneux envers la liturgie !

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Un conciliaire, Mr Florent Husson, nous explique ici pourquoi papeFrançois est indifférent, voire dédaigneux envers la liturgie ! C’est, dit-il, :

« Le défaut congénital des Jésuites depuis 500 ans, car cela ne date en rien du concile Vatican II, leur défaut depuis leur fondation donc, c’est leur indifférence, voire leur dédain envers la liturgie, et il faudra faire avec… »

* * *

Mr Florent Husson : “La barrette de St Pierre des Latins” Les Jésuites et la liturgie

SOURCE – “Abbé” Florent Husson – ‘La barrette de St Pierre des Latins’ – avril 2013


Les Jésuites et la liturgie

Des auditeurs attentifs au sermon du premier dimanche de la Passion m’ont demandé d’expliciter les propos que j’avais alors tenus : « Le défaut congénital des Jésuites depuis 500 ans, car cela ne date en rien du concile Vatican II, leur défaut depuis leur fondation donc, c’est leur indifférence, voire leur dédain envers la liturgie, et il faudra faire avec… ». Ce jugement a semblé péremptoire à certains, mais il est fondé sur 500 ans d’histoire…

Après les premières apparitions « liturgiques » du Pape François (je dois avouer que l’absence de numérotation fait bizarre, et qu’il est difficile de dire « de François » comme nous disions « de Paul VI, de Benoît XVI »), certains journalistes catholiques ont hissé haut le pavillon de leur jubilation de voir disparaître les fastes rétablis par Benoît XVI, car pour être « un Pape des pauvres », il faut donc, selon leur esprit mal (in)formé, être un « Pape a-liturgique », voire « anti-liturgique ».

D’abord ils oublient le soin qu’apportait Saint François d’Assise à la liturgie (1), confondant selon l’idéologie des années 70 amour des pauvres et misérabilisme, ensuite ils oublient que le nouveau Pape est un jésuite.

Et c’est bien là réellement le fond du problème…

Benoît XVI, profond théologien dont la spiritualité était marquée tant par la patristique que la liturgie, avait des racines aux antipodes de la spiritualité des Jésuites.

En effet, la Compagnie de Jésus fut fondée par Saint Ignace de Loyola et reconnue par Rome en 1540 : nous sommes en plein dans le règne de la devotio moderna, cette dévotion née avec l’Imitation de Jésus-Christ (2), un chemin spirituel qui privilégie l’individualisme à la piété populaire du Moyen-Âge.

Les grands de ce monde, à la fin du Moyen-Âge, disaient encore le bréviaire liturgique, nous connaissons nombre de manuscrits comme les « Grandes Heures », et donc ils vivaient spirituellement en union avec l’Église et tous les chœurs de moines, moniales, religieux et chanoines qui chantaient l’office.

Or la devotio moderna va faire disparaître cette union, chacun aura désormais son livre de spiritualité qui lui plaît le plus, et selon les époques, qui l’Imitation, qui le Combat Spirituel de Scupoli (3), qui l’Introduction à la vie dévote de Saint François de Sales (4). C’est l’époque qui verra les fidèles à la Messe faire leurs propres dévotions privées, ne s’occupant guère du célébrant sauf à la consécration et aux élévations.

Saint Ignace est donc totalement imprégné de cet esprit qui est de fait la mentalité de l’Église au XVIème siècle, et ses Exercices Spirituels dont il commence l’écriture en 1523 l’attestent. Tous ses efforts personnels sont tendus vers les études et les exercices spirituels. Et cela transparaît en 1539 dans l’esquisse des statuts de la future Compagnie, quand, à côté de l’obéissance à un Préposé général et l’exaltation de la pauvreté, on trouve le refus du cérémonial monastique, et en particulier de la prière collective. Si on lit bien Saint Ignace, on en arrive à avoir l’impression que l’examen de conscience est plus important que l’assistance à la Messe.

Malheureusement, le Pape Paul III, en approuvant la compagnie, va entériner ce choix d’Ignace, et fera des Jésuites le premier ordre religieux dispensé de la liturgie communautaire, véritable anomalie depuis les débuts des ordres religieux dans l’Église au IVème siècle.

On lit dans les constitutions jésuites : « Parce que les occupations qu’on prend pour aider les âmes sont de grande importance, qu’elles sont propres à notre Institut et très nombreuses, et que d’autre part notre séjour en tel ou tel lieu est précaire, les Nôtres n’auront pas l’office du chœur pour les heures canoniales ni pour chanter des messes ou d’autres offices ; car pour ceux (5) que leur dévotion (6) pousserait à les entendre, il y aura abondance de lieux où ils satisfassent leur désir. Quant aux Nôtres, il convient qu’ils s’occupent de ce qui est davantage propre à notre vocation (7), pour la gloire de Dieu ».

Et en ce qui concerne l’apostolat : « Si, dans certaines maisons ou dans certains collèges, on jugeait que cela conviendrait, on pourrait, à l’heure où il doit y avoir dans l’après-midi une prédication ou un enseignement, ne dire que les vêpres pour retenir le peuple avant ces enseignements ou ces prédications. On pourrait aussi le faire habituellement les dimanches et jours de fête, sans musique d’orgue ni plain-chant, mais sur un ton qui soit religieux, agréable et simple. Et cela, parce que et pour autant que l’on jugerait que le peuple serait par-là porté à fréquenter davantage les confessions, les sermons et les enseignements, et non pas pour une autre raison (8) ».

Donc il n’est pas question de former le Jésuite à l’Ars celebrandi, c’est-à-dire la capacité de célébrer dignement : le Jésuite dit son bréviaire seul et les Messes sont réduites à leurs plus simples dispositions liturgiques : « Pour les Messes plus importantes que l’on dira, quoique simplement lues, il pourra y avoir, en considération de la dévotion et de la convenance, deux servants vêtus de surplis, ou un seul, selon ce qui pourra se faire dans le Seigneur ».

Pas de Messes chantées, et encore moins de Messes solennelles.

Mais en plus, la liturgie communautaire pour les fidèles confiés à la charge des Jésuites n’a de sens que si elle amène « à fréquenter davantage les confessions, les sermons et les enseignements ».

Saint Ignace voulait des soldats pour les missions étrangères, l’éducation des jeunes, l’instruction des pauvres. Et il est manifeste que face à l’hérésie protestante, l’Église avait besoin de soldats. Mais c’est oublier que les moines « traditionnels » avaient été aussi des soldats car c’est eux qui évangélisèrent l’Europe ! Et des religieux comme les Capucins, fervents fers de lance de la lutte anti-protestante (il suffit de voir l’action de Saint Laurent de Brindes, Docteur de l’Église, ou le martyre de Saint Fidèle de Sigmaringen, massacré par des réformés) n’ont abandonné ni l’office choral, ni les solennités liturgiques (9)… et pourtant… c’étaient des franciscains (10).

De plus, comme l’indique le paragraphe des Constitutions sur la liturgie dans l’apostolat, on s’aperçoit que pour un Jésuite, la liturgie n’est qu’un moyen, un outil.

Et cela donnera lieu au XXème siècle à la grande « hérésie » liturgique qui veut faire de la Messe une simple catéchèse, et non plus, comme l’enseigne le concile Vatican II, « la source et le sommet de la vie chrétienne ». C’est ainsi qu’entre deux guerres, les nombreux Jésuites aumôniers scouts (n’oublions pas que le Père Sevin était Jésuite) posèrent les prodromes de la réforme liturgique, réforme à but uniquement pastoral et catéchétique.

On comprend donc pourquoi le défaut congénital des Jésuites depuis 500 ans est leur indifférence, voire leur dédain envers la liturgie, sauf quand ils peuvent l’utiliser dans un but de formation.

Certes, il y a eu de célèbres liturgistes Jésuites, comme le Père Jungmann. Mais quand on lit leurs ouvrages, on s’aperçoit qu’il ne s’agit pas de théologie liturgique, mais qu’en bons universitaires et scientifiques, ils s’appliquent à étudier les rites et les prières comme un chirurgien étudierait le corps humain, et leurs ouvrages sont sans âme, ni spiritualité.

Alors, ne demandons pas à un Pape Jésuite, héritier d’une telle tradition, d’être un bon liturge… Il ne le sera pas, non par parti-pris, mais par formation, je dirai même par constitution.

 

Florent Husson.

 

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Ndlr du CatholicaPedia :

Mr Florent Husson est un simple laïc officiant de manière “extraordinaire” dans le diocèse de Nancy et de Toul…

Ces prétendus abbés qui portent la soutane et font profession de célébrer la messe de Saint Pie V, ne sont en réalité, le sachant ou non, que de simples laïcs, entièrement démunis de tout véritable pouvoir sacramentel et sacrificiel.

Les prétendues messes qu’ils disent dans le rite de Saint Pie V sont absolument invalides et leurs fidèles n’y adorent que du pain, tout comme restent sacramentellement invalides les pseudo-absolutions qu’ils délivrent.

Annuaire diocésain Nancy

Diocèse de Nancy et de Toul

 

M. l’abbé Florent Husson

Année de naissance : 1967

Année d’Incardination : 1993

Année d’Ordination : 1994

Année de dernière nomination : 2007

chargé de la célébration de la messe dominicale selon l’Ordo Missae de 1962

167 avenue de Strasbourg – 54000 Nancy

abbefh@gmail.com

Prêtre coopérateur

Saint-Pierre – Notre-Dame de Bonsecours

 

http://nancy.annuaire-eglise.net/displayElem.php?a=nancy&get=unitorg&id=40

http://nancy.annuaire-eglise.net/getxml.php?a=nancy&get=personne&id=873

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Coat_of_arms_of_Franciscus

 

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Nous vous proposons maintenant de visionner une “ordination” totalement invalide d’un jésuite à Marseille par l’abbé aposta Georges Paul Pontier (voir son pedigree ici) :

sj_france_une

Source : http://www.jesuites.com/2013/04/ordination-dun-jesuite-a-marseille/

Voir aussi :
A Marseille, les jésuites sont dans la ville  (Article dans le journal La Provence)

Marseille_les-jesuites-sont-dans-la-ville

 


[1] Saint François d’Assise, epistola ad cleros.

[2] Date de composition et auteur contestés, entre la fin du XIVème siècle et le début du XVème siècle.

[3] 1588

[4] 1608

[5] Les fidèles

[6] La liturgie est donc une affaire de dévotion privée, non « d’Église ».

[7] Le culte divin, premier devoir d’un prêtre, n’est donc pas la vocation d’un Jésuite…

[8] La liturgie n’a donc pas de valeur en soi.

[9] Dans les limites permises par le fait qu’un couvent ne reçoit en général pas plus de douze religieux, ce qui limite bien sûr le déploiement de la liturgie. Le Cérémonial capucin prévoit par exemple des Messes non chantées avec encensement.

[10] Les Capucins sont une branche de l’Ordre franciscain, fondée au XVIème siècle pour un retour aux origines radicales de la Règle de Saint François.

 

Written by Cave Ne Cadas

avril 12th, 2013 at 2:42 pm

Posted in église Conciliaire,Invalidité nouveaux sacrements,Jésuites

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ABBÉ CÉRIANI : COMMENTAIRES SUR LE COMMENTAIRE ELEISON 270 : QUI DIVISE ?

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Alors que beaucoup soutiennent Mgr Williamson comme leur “Héros ” — n’ayant pas compris qu’il était un leurre — comme le site récent (néo-antiaccordiste) antiModernisme.info qui publie vaillamment « Été chaud 2012, Mgr Williamson sur les pas de Mgr Lefebvre » !

Monseigneur Williamson pense et parle vrai. A ce titre il est le digne héritier de Mgr Lefebvre. Certains diront que Monseigneur Lefebvre ne s’était pas avancé comme Monseigneur Williamson dans des matières politiques et historiques « délicates » …et aurait ainsi été un modèle de combattant de la Foi.
Notre confrère remet les pendules à l’heure…

… et ne voyant pas l’étiquette qu’il a de collé sur le front : « NAZI » (Qui va le suivre ?),

l’abbé Juan Carlos Cériani remet, lui aussi, les pendules à l’heure… et énonce quelques vérités dans son article ci-dessous, publié sur Cristiandad :

Abbé Cériani : Commentaires sur le Commentaire Eleison 270 : Qui divise ?

COMMENTAIRES

sur le Commentaire Eleison 270

QUI DIVISE ?

 

 

            Dans son Commentaire Eleison 270 du 15 septembre 2012, Monseigneur Williamson analyse le chapitre VII de l’Évangile selon saint Jean et l’applique à ceux qui seraient vraiment en train de diviser les rangs de la Tradition.

De même que la division actuelle de l’Église est imputable non à Monseigneur Lefebvre ni à ceux qui l’ont suivi, mais principalement aux autorités de l’Église qui sont en train de déformer la vraie religion, de même, les véritables responsables de la division actuelle des rangs de la Tradition seraient ceux qui promeuvent un pot-pourri composé de Vérité catholique et d’erreur conciliaire.

S’il en est ainsi, c’est parce que la Vérité prend le pas sur l’autorité comme sur l’unité.

Pour parvenir à cette conclusion, Mgr Williamson, partant d’une première question fondamentale – Où est la vérité en l’an 2012 ? – pose une série d’autres questions qui appellent des réponses évidentes, mais auxquelles il omet de répondre, et ce dans un dessein bien précis.

 

On me permettra donc de proposer à Mgr Williamson quelques réponses à ces questions :

  • Le rite romain de la Sainte Messe, qui n’avait jamais été dépouillé de ses droits, a perdu de jure sa condition d’unique forme ordinaire et officielle depuis l’adoption du Motu Proprio du 7 juillet 2007. Vrai ou faux ? VRAI.
  • Selon le Motu Proprio de Benoît XVI, la Messe traditionnelle doit être considérée comme abrogée en tant qu’expression ordinaire de la liturgie de l’Église. Vrai ou faux ? VRAI.
  • Par ce Motu Proprio, la Rome antichristique et moderniste a rabaissé le rite romain de la Sainte Messe, la reléguant à la condition de « forme extraordinaire » et l’unissant au « rite bâtard montinien », devenu la « forme ordinaire » de l’unique rite romain. Vrai ou faux ? VRAI.
  • Pour s’adapter à la réalité du Motu Proprio, il est nécessaire de dire que le Missel traditionnel n’a jamais été abrogé en tant que forme extraordinaire. Vrai ou faux ? VRAI.
  • Pour s’adapter à la réalité du Motu Proprio, il est nécessaire de dire que le Missel traditionnel a été abrogé en tant que forme ordinaire. Vrai ou faux ? VRAI.
  • Pour s’adapter à la réalité du Motu Proprio, il est nécessaire de dire qu’on n’est autorisé à célébrer la Messe traditionnelle que comme forme extraordinaire. Vrai ou faux ? VRAI.
  • Pour s’adapter à la réalité du Motu Proprio, il est nécessaire de dire qu’on n’a pas le droit de célébrer la Messe traditionnelle comme forme ordinaire. Vrai ou faux ? VRAI.
  • Au mépris de ces vérités, Mgr Williamson a fait chanter un Te Deum au Séminaire de La Reja pour célébrer la promulgation du Motu Proprio. Vrai ou faux ? VRAI.
  • Mgr Williamson a écrit dans son Commentaire du 15 septembre 2007 : « La Messe dite “tridentine” est pleine de saine doctrine catholique ; cependant, je ne puis que me réjouir de voir le Motu Proprio reconnaître qu’elle n’a jamais été abolie et concéder une certaine liberté pour la célébrer. » Vrai ou faux ? VRAI.
  • Mgr Williamson a reçu de l’abbé Cériani une lettre datée du 21 décembre 2007 (à laquelle il n’a jamais répondu) et où l’auteur écrivait ceci : « Il ne faut pas se laisser séduire par l’illusion qu’à elle seule, la Messe traditionnelle puisse maintenir ou rétablir – forcément et complètement – les prêtres et les fidèles dans la bonne doctrine. Nous en voulons pour preuve le cas des orthodoxes schismatiques, qui n’ont jamais modifié la liturgie depuis des siècles et qui n’en sont pas moins restés hors de l’Église. Lors du concile Vatican II, le Pape et tous les évêques célébraient la Messe traditionnelle, ce qui ne les a pas empêchés de modifier la Tradition de l’Église. Dernièrement, enfin, ceux qui ont signé un accord avec Rome ont peu à peu adhéré aux nouvelles doctrines résultant du concile Vatican II, tout en célébrant la Messe traditionnelle. » Vrai ou faux ? VRAI.
  • Jusqu’à aujourd’hui, Mgr Williamson a confirmé par son silence ce qu’affirme le Décret du 21 janvier 2009 : « Par une lettre du 15 décembre 2008, adressée à Son Éminence le Cardinal Dario Castrillón Hoyos, Président de la Commission pontificale Ecclesia Dei, Mgr Bernard Fellay, également au nom des trois autres évêques consacrés le 30 juin 1988, sollicitait de nouveau la levée de l’excommunication latae sententiae déclarée formellement par le Décret du Préfet de la Congrégation pour les Évêques, en date du 1er juillet 1988. » Vrai ou faux ? VRAI.
  • Mgr Williamson a cosigné la lettre du 29 janvier 2009 à Benoît XVI, où l’on peut lire ceci : « Très Saint-Père, c’est dans l’action de grâces que nous désirons exprimer à Votre Sainteté notre profonde reconnaissance pour l’acte de Sa paternelle bonté et de Son courage apostolique par lequel Elle a rendu inopérante la mesure qui nous a frappés il y a vingt ans à la suite de notre sacre épiscopal. » Vrai ou faux ? VRAI.
  • Mgr Williamson a écrit fin janvier au Cardinal Castrillón Hoyos une lettre se terminant ainsi : « Veuillez accepter aussi, et transmettre au Saint-Père, mes sincères remerciements personnels pour l’acte de paternelle bonté et de courage apostolique par laquelle Elle a rendu inopérante la mesure qui nous a frappés il y a vingt ans à la suite de notre sacre épiscopal. » Vrai ou faux ? VRAI.

 

À la lumière de ces questions et réponses (qui pourraient s’enrichir de ce que Mgr Williamson a publié dans ses Commentaires Eleison des années 2009 à 2012), et en guise de conclusion, afin de dissiper les doutes qu’auraient pu susciter les verbes au conditionnel du début (« … qui seraient vraiment en train de diviser les rangs de la Tradition […] seraient ceux qui promeuvent un pot-pourri composé de Vérité catholique et d’erreur conciliaire), j’affirme ceci :

 

1) que Monseigneur Williamson a divisé et continue à diviser les rangs de la Tradition ;

 

2) que Monseigneur Williamson a promu et continue à promouvoir le pot-pourri composé de vérité catholique et d’erreur conciliaire.

 

 

Y esto, le guste a quien le guste, lo vea quien lo vea, lo reconozca quien lo reconozca…

 

Abbé Juan Carlos Cériani