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COMPRENDRE L’AGONIE de L’ÉGLISE

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COMPRENDRE L’AGONIE de L’ÉGLISE

 

 

Christus Novum Instituit Pascha se Ipsum Immolandum ab Ecclesia (Concile de Trente, Session XXIII, ch. I)

 

 

Ab Ecclesia. Par et dans l’intimation de l’Église. Car la Messe est le Sacrifice de l’Église, comme la Croix est celui de Jésus. Le Sacrifice de Jésus est, en même temps, dans la Messe, celui de l’Église, par conformation à son Chef, meurt pour ressusciter, il faut, pour comprendre ce qui se passe actuellement pour la Messe, considérer le Mystère du Sacrifice de Jésus en l’instant où Jésus est mort.

Christus Seipsum obtulit. Jésus s’offre Lui-même. C’est la marque propre de son Sacrifice, dans la Messe comme dans la Croix. La Messe est le Sacrifice de Jésus, et le Sacrifice de l’Église. La Messe en tant qu’elle est le Sacrifice de l’Église, est ab Ecclesia, en l’acte même où elle renouvelle sacramentellement l’acte du Christ s’offrant Lui-même a Seipso. C’est la même mission, la même intimation, qui issue du Christ se prolonge jusqu’à la fin du temps : a Seipso, ab Ecclesia. Le Mystère de la Messe qui demeure ab Ecclesia, au temps où l’Église paraît mourir, est substantiellement le Mystère du Sacrifice que le Christ consomme a Seipso en l’instant même de l’« In manus tuas … »

Il s’agit bien d’un Mystère. La structure, cependant, en est familière. La perte de conscience qui accompagne graduellement un évanouissement rend manifeste que l’on n’a pas prise sur le dernier instant. Cet instant semble se rapprocher inexorablement, mais on n’a pas prise sur lui, car on ne peut en avoir conscience comme dernier instant. Comment, dès lors, Jésus a-t-Il pu S’offrir Lui-même Seipso. Jusqu’au bout, jusqu’à l’instant où, même par la partie inférieure de l’âme, Il est devenu Voyant ? Comment a-t-Il pu consommer l’Oblation a Seipso, même par ce vouloir plénièrement humain que dominait cependant l’immanence de la mort ?

C’est en Marie que ce Mystère se réalise. « Admirabile Commercium » … non entre Nature divine et nature humaine, mais entre la Personne du Verbe incarné et la personne de Sa Mère, Marie, parce qu’Elle n’est pas morte, a vécu l’achèvement de Sa durée terrestre, dans Son premier et unique instant d’Éternité. Marie a vécu d’une manière pleinement humaine ce dont Jésus fut privé par l’épreuve de la mort : avoir prise sur l’achèvement d’une durée qui finit avec la vie. Marie a reçu gratuitement, en l’acte de l’assomption, cela même à quoi Elle s’était disposée en le communiquant à Jésus, lors de l’ultime dans l’Oblation. Jésus, à Cana, a voulu recevoir de Marie l’achèvement du Vouloir qu’Il Lui communiquait, en ce qui concerne l’Heure qui déjà était celle de l’Oblation. Jésus, en accomplissant ce « premier signe » qui rayonnait de Gloire et introduisait la Croix, aurait pu disposer de tout sans Marie. Mais Jésus, en Sa Sagesse, fixait définitivement les normes du rapport que soutient le Chef de l’Église, Celle qui est la Mère de l’Église en étant sa propre Mère.

Économie de partage qui fut un luxe de l’Amour à l’aube glorieuse de la Passion, économie de partage grâce à laquelle Jésus possède ce dont l’eussent humainement privé les lois de nature, en l’ultime achèvement de l’Immolation. C’est dans l’acte de Marie, qui est Sien comme Marie est Sienne, que Jésus réalise plénièrement et humainement que Son propre Sacrifice soit a Seipso jusqu’en l’ultime achèvement. C’est bien l’économie fixée définitivement à Cana, et qui tout simplement manifeste dans l’ordre psychologique l’ontologie de l’Incarnation. Jésus reçoit de Marie humainement ce qu’Il lui communique divinement. Jésus manifeste gracieusement à Cana l’inexorable Nécessité qu’Il veut pâtir en S’incarnant. Le Verbe Incréé, originellement, ne pourrait, sans Marie, subsister humainement a Seipso. Le Verbe incarné, ultimement, ne pourrait, sans Marie, s’immoler, humainement, a Seipso. Comme les choses procèdent, ainsi elles font retour ; l’alpha est l’omega, in mensura, in numero, in pondere.

Le Sceau de la Sagesse est imprimé dans le Principe même de l’Incarnation rédemptrice. Le Verbe incarné rédempteur s’achève en vertu de Marie et en Marie, comme Il procède humainement en vertu de Marie et en Marie, immuablement toute relative à Lui.

 

Lors donc que Jésus prononce humainement « In manus tuas… », commence le plus profond Mystère que Jésus transfert humainement à sa Mère, parce que le Verbe Incréé l’a de toute éternité inscrit en Son Épouse bien aimée, Celle qui est la première de l’ordre créé. C’est en vertu de Marie et en Marie que se consomme ultimement, d’une manière parfaite humainement, le « a Seipso » qui constitue le cachet propre de l’Oblation accomplie par le Verbe Incarné expirant humainement, sans encore être humainement investi d’Éternité. Seipsum a Seipso obtulit. Seipsum, per Ipsam et cum Ipsa et in Ipsa ultime obtulit. L’« In manus tuas » s’achève sur terre dans la Compassion de douleur : In Corde Matris. Et, ainsi achevé au regard à la durée créée, il s’achève au Ciel, en y devenant Éternité, dans la Compassion de Gloire : Sedet a dexteram Patris.

Jésus expire… C’est cependant jusqu’au bout qu’Il consomme, même humainement, Son Sacrifice a Seipso. Et c’est par Marie, avec Marie, en Marie.

Ce qui est vrai de Jésus, en vertu de la Mère de Jésus, est vrai de l’Église en vertu de la Mère de l’Église. C’est le même Mystère, puisque l’Église c’est Jésus manifesté, puisque Marie est Mère de l’Église non parce qu’Elle y est première mais parce qu’Elle est Mère de Jésus ; puisque le Sacrifice de l’Église c’est le Sacrifice de Jésus, puisque l’agonie de l’Église en est la conformation à l’agonie de Jésus. La Messe demeure, comme il se doit, ab Ecclesia dans l’Église qui agonise, comme le Sacrifice de Jésus demeure a Seipso ultimement au temps où Jésus expira. Cela est possible, cela est certain ; car c’est le même Mystère. Jésus expirant, S’offre Lui-même a Seipso en Marie Sa Mère ; l’Église, agonisant, impère la Messe ab Ecclesia en Marie Sa Mère. Elle, la Vierge immortelle et la Mère « inviolée », opère qu’au temps de l’ultime abandonnement, la Messe demeure ab Ecclesia, comme au temps de l’« In manus tuas » Elle opéra que le Sacrifice de Jésus demeurât a Seipso. Mais nous ne pouvons ressentir quelque chose de ce Mystère qu’en vivant dans l’abandon, l’« In manus tuas » auquel Dieu, par les circonstances, nous ramène avec autant de Rigueur que de Miséricorde.

Le Christ a institué la Pâque nouvelle ; Il en a confié la réalisation aux paroles que le prêtre prononce selon le mode intimatif et à l’intention de l’Église ab Ecclesia, dont le prêtre est le ministre en l’acte même du Sacrifice. Le signe crucial de l’agonie, pour l’Église militante qui par nature est visible, c’est qu’il n’est pas actuellement possible d’y personnifier d’une manière visible le ab Ecclesia qui intime au nom de l’Église le Sacrifice de l’Église. Car il reviendrait en droit au « cardinal Wojtyla », (Ratzinger, Bergoglio) , supposé qu’il soit « una cum Ecclesia », d’être, en l’acte même de sa propre célébration, la norme vivante et l’intimation active de la célébration du Sacrifice dans toute l’Église. Mais étant donné que le « cardinal Wojtyla », (Ratzinger, Bergoglio) célèbre une dite n.m. qui est incompatible avec chacune des notes de l’Église, il est impossible qu’il soit « una cum Ecclesia » en l’acte du Sacrifice qui est celui de l’Église. Le Sacrifice de l’Église militante, laquelle fut fondée par le Christ comme société visible, ne peut donc plus être signifié et normé et intimé comme étant ab Ecclesia par et dans une personne visible. L’Église militante, dont les membres ont en propre de continuer à offrir le Sacrifice, c’est-à-dire de célébrer la Messe qui est la Messe. L’Église militante perd, en la personne du Chef dont elle est privée, la maitrise de l’acte qu’elle ne laisse pas d’exercer.

Nombreux sont les symptômes que l’Église est en agonie. Cependant, les symptômes ne sont pas, en général, ce en quoi consiste la maladie. Ce en quoi consiste, en vérité, l’état de mort pour l’Église « occupée », c’est ce selon quoi elle se trouve providentiellement conformée à son Chef, selon l’acte-état par lequel Il rendit Sa propre Mission pour ainsi dire co-essentielle à son Être de Verbe incarné. Jésus, bien que conservant dans l’Âme le pouvoir de « reprendre sa vie » par la force d’immortalité, perd humainement la maîtrise de l’acte dans lequel Il s’échappe à Soi-même. En cela consiste l’état de mort vécu dans la durée créée. Cet état est, en Jésus, le Sceau ultime de la Sagesse, car l’extase d’impuissance réalisée dans le Sacrifice, manifeste l’extase de sur-mesure qui est propre à l’esse du Verbe incarné.

L’Église est en état de mort, et elle doit l’être, par conformité à son Époux crucifié. Elle doit l’être, comme Lui, éminemment dans l’acte du Sacrifice et par l’intériorité. Ne pas pouvoir être « una cum Wojtyla », (Ratzinger, Bergoglio) , ce n’est, pour l’Église, qu’être attaché à la Croix, c’est vivre l’état intime de son Sauveur crucifié. Bien que forte des promesses de pérennité, l’Église perd humainement la maîtrise de l’acte qui est pour elle la source de Sainteté et le sceau de l’unité. Jésus vécut cet état, non seulement parce qu’Il fut attaché à la Croix, mais principalement dans son Cœur et sous le regard du Père : « In manus tuas… » ; et c’est ainsi, c’est seulement ainsi, que Jésus S’achève en Marie, que Jésus en vérité accomplit jusqu’au bout Son propre Sacrifice a Seipso, en l’accomplissant par Marie, avec Marie, en Marie.

Les membres du Christ qui composent actuellement l’Église militante doivent vivre l’agonie de l’Église, non seulement en se refusant à être « una cum Wojtyla », (Ratzinger, Bergoglio) , mais principalement en pâtissant que cette Église dont ils sont les pierres vivantes, actualise par un état de privation en l’acte même du Sacrifice, l’intime abandonnement que pâtit Jésus en ne dominant plus de Son propre Sacrifice. Ce ne sont pas ceux qui seulement disent : « Je ne suis pas una cum Wojtyla, (Ratzinger, Bergoglio) qui sont l’Église ; sont l’Église ceux qui par abandon allant jusqu’à l’abandonnement, pénètrent dans l’« In manus tuas » du Chef de l’Église.

C’est seulement en cet état, qui fut celui de Jésus, que l’Église peut, quant au Sacrifice, s’achever en Marie comme s’acheva Jésus. Si Jésus n’eût pas été dans l’abîme de l’« In manus tuas », Il eût dû S’abdiquer Soi-même pour confier à Marie l’ultime accomplissement du Sacrifice ; et ce Sacrifice n’eût plus été a Seipso mais « de marie ». C’est seulement dans l’état de l’« In manus tuas », de l’abandon-abandonnement, que les membres de Jésus, qui sont l’Église, peuvent recevoir « de Marie et en Marie », comme étant à la fois par-fait et parfaitement ab Ecclesia, l’achèvement du Sacrifice que Jésus a commis à l’Église.

Marie n’est ni Jésus, ni l’Église, ni chaque membre de l’Église. Marie est immaculée, victorieuse, immortelle ; blessée mais inviolée, immolée mais inconsummée, Veille subsistante et cachée ? Et Marie veille, encore et encore, jusqu’à la fin des temps. Elle veille toute Messe comme elle veilla le Sacrifice de Jésus. Elle accueille en son Cœur transpercé, et vaillante le dépose en Trinité, l’acte du Sacrifice qui, sans Elle, s’enlisait dans la durée créée. Sa Victoire est une Victoire d’Éternité.

Mais le mens n’en entend les merveilleux accents que s’il demeure humblement dans l’abîme de l’abandonnement. La victoire qui a vaincu le monde, c’est notre Foi. Or, Sagesse Incréée incarnée dans l’humilité, c’est dans « Celle qui a cru » que l’« l’Auteur et Consommateur de la Foi », Lui-même a remporté le meilleur de Sa propre Victoire : in manus tuas, commendo spiritum meum ; Seipsum a Seipso obtulit in Corde Matris ; sedet ad dexteram Patris. Il est le « Victorieux » de l’ultime Combat, en Celle qui est la Victoire de la Foi ; Il est humainement, dans le sein du Père, en vertu de « Celle qui suis en Trinité ». Et Marie, Mère de Jésus et Mère de L’Église, sourit, radieuse à ses enfants apeurés. « Et maintenant, mes enfants, écoutez Mon Chant qui est saveur et Victoire d’Éternité. Par Moi, en Moi qui suis Mère de Jésus, par Moi, non par Pierre ni par Jean, mais pour eux tous avec Moi, le Sacrifice de Jésus fut a Seipso jusqu’en l’ultime de l’abandonnement. Par Moi, en Moi, qui suit la Mère de l’Église, non par Wojtyla ou quelqu’autre que ce soit, mais pour tous ceux qui se veulent humblement avec Moi, le Sacrifice de la Messe demeure ab Ecclesia.

 

Père M.L. Guérard des Lauriers O.P.

 

 

 

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L’évêque est le vicaire du Christ (1)

 

« Les rois des nations s’en rendent les maîtres, leurs princes reçoivent le nom de Bienfaiteurs. Ce ne sera pas ainsi parmi vous. Celui qui voudra parmi vous devenir grand sera votre serviteur ; celui qui voudra parmi vous être premier sera votre esclave » (Luc, XXII, 25 ; Matth., XX, 26-27). Vérité profonde que le pape saint Grégoire a rendue familière en prenant le titre de serviteur des serviteurs de Dieu.

L’évêque est immuablement fixé en ce service, livré pour toujours aux âmes. C’est là un état particulier et que l’évêque doit à sa consécration même. Par elle, il se trouve mis en appartenance spéciale à l’égard de Dieu, appartenance réelle, imprimée en son âme, et qui le marque à l’effigie du Christ, Roi et souverain Prêtre. Mais il appartient à Dieu pour l’Église. Mieux que cela : il n’appartient à Dieu que parce qu’il appartient à l’Église, corps mystique du Christ. Il est sacré évêque pour elle, pour la servir en la régissant ; ce service est le but premier, la raison d’être de son élévation à l’épiscopat, comme le service de l’Eucharistie était le but premier, la raison d’être de son élévation au presbytérat. Sa nouvelle consécration l’attache, le voue à ce service, le fixe pour toujours en l’état de pasteur des âmes.

La Tradition chrétienne a exprimé d’un mot heureux l’existence et le caractère indissoluble de ce lien : elle appelle l’évêque l’époux de l’Église. La comparaison est fort juste : l’union contractée par le prélat a la force du lien matrimonial ; aussi sa consécration ne serait-elle pas valide, pas plus qu’un mariage forcé, si elle n’était librement consentie. En cette union l’évêque est le vicaire du Christ ; il tient sa place. Aussi, comme Lui, est-ce de l’Église universelle qu’il devient l’époux, à elle qu’il s’attache pour toujours.

De cette union mystique, l’anneau pastoral est l’expressif symbole : « Recevez l’anneau en gage de la foi jurée, dit à l’évêque son consécrateur ; vous conserverez une fidélité absolue à l’épouse de Dieu, la Sainte Église ; vous la garderez inviolée ».

L’évêque appartient donc à l’Église. « Dieu m’ôta à moi-même pour me prendre à Lui et me donner aux peuples, afin que je ne vécusse plus que pour Lui et pour eux ». Pasteur des âmes au nom du Christ, il lui faut garder le troupeau, guider les brebis, aller à leur recherche si elles s’égarent et les ramener sur ses épaules, les défendre contre toute attaque. Plutôt que de les abandonner à l’heure du danger, il doit mourir pour elles, à l’exemple de Celui qui a « commencé de faire et d’enseigner » (Actes, I, 1). « Le Bon Pasteur offre sa vie pour les brebis » (Jean, X, II).

 

L’efficace supplication de la prière de Consécration :

« C’est pourquoi, nous vous en supplions, Seigneur, à votre serviteur, élu de vous pour accomplir le saint ministère du Sacerdoce Suprême, accordez votre grâce, afin que ce que figuraient, en ces voiles sacrés de l’ancien culte, la splendeur de l’or, le feu étincelant des bijoux, et le chatoiement des étoffes variées (Exode, Ch. 28, 5-43), brille de tout son éclat dans la vie et dans les actes de votre Pontife.

Enrichissez donc votre Prêtre de la somme des vertus qui le rendront apte à votre ministère ; et que, paré de tous les ornements spirituels, il reçoive la céleste onction qui doit le sanctifier. »

 

[1] L’Épiscopat cime du sacerdoce – La vie spirituelle – décembre 1932 n° 3

 

 

 

Un troisième Évêque pour la deuxième “VOIE SANS ISSUE” est prévu…

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Mgr Richard Nelson Williamson vient d’annoncer par son dernier “Commentaire Eleison”, n° CDXLIX (449), qu’il donnera à la (fausse) “Résistance” un troisième Évêque le 19 mars prochain…

 

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Commentaires Eleison

par Son Excellence Mgr Richard Williamson

 

Dom Thomas, père abbé du monastère Sainte Croix sera sacré évêque

 

Dom Tomás

 

Des Évêques.
La Fraternité est toujours en danger.
Les Évêques résistants doivent suppléer !

Depuis le Chapitre Général de juillet 2012, lorsque la Fraternité Saint Pie-X, sous la direction de Mgr Fellay, fit une embardée décisive vers un accord de compromission avec la Rome conciliaire, les Catholiques de la Tradition se sont demandé quelle était la position des deux autres Évêques de la Fraternité, Mgr Tissier de Mallerais (MgrT) et Mgr de Galarreta (MgrG), car les deux ont été plutôt discrets en public depuis ce temps-là. Or, de fermes paroles prononcées par chacun d’eux le mois dernier ont soulevé des espoirs pour le futur de la Fraternité. Ces espoirs sont-ils justifiés ? Les Catholiques risquent d’avoir à demeurer sur leur garde . . .
Le sermon de Confirmations de MgrT prononcé le 31 janvier à Saarbrücken en Allemagne ne pouvait être ni plus droit ni plus clair. Par exemple : Dans sa confrontation avec Rome, la Fraternité ne doit jamais s’engager dans le compromis ou le calcul. Nous ne pouvons jamais négocier avec Rome tant que les représentants de la Néo-église (sic) s’accrochent aux erreurs de Vatican II. Toute discussion de notre part avec Rome doit être sans ambiguïté aucune, et avoir comme but la conversion des représentants de la Néo-église à notre seule et unique véritable Tradition catholique. Aucun compromis ni calcul jusqu’à ce qu’ils aient surmonté leurs erreurs conciliaires et soient revenus à la Vérité.
Paroles admirables ! La droiture n’est pas le problème chez MgrT. Il n’est point politicien, que Dieu l’en bénisse. Mais lorsqu’il faut traduire les mots en action, son « Cinquantisme » le fait obéir à son Supérieur et retomber dans la ligne des politiciens de la Fraternité qui règnent depuis le QG de la FSSPX à Menzingen. Rien n’indique que cela ne se reproduira pas cette fois-ci aussi, mais on peut toujours prier pour que, comme dit le proverbe, « Même un ver de terre peut se retourner ». MgrT est loin d’être un ver de terre, mais il se cache à lui-même, ou ne peut tout simplement pas voir, toute la malice des actions de Menzingen. Ce n’est pas seulement l’unité et le bien-être de la Fraternité qui est en jeu, mais la continuation de l’Opération Survie de la Foi catholique qui a été l’œuvre de Mgr Lefebvre.
Au contraire, MgrG est un politicien. Malheureusement, on ne possède pas tout le texte de la conférence qu’il prononça à Bailly, en France, le 17 janvier, car les mots exacts comptent, et ainsi on ne peut le citer qu’à partir d’un résumé de sa pensée : les dernières propositions théologiques et canoniques de Rome pour un accord Rome-Fraternité demeurent inacceptables, mais le Pape veut certainement un accord et il est parfaitement capable d’ignorer ses propres subordonnés et d’imposer à la Fraternité une reconnaissance « unilatérale ». Une telle reconnaissance pourrait certainement faire du mal à l’intérieur de la Fraternité, mais si elle n’avait rien fait pour l’obtenir, elle ne pourrait rien faire à ce sujet. Mais la Providence sera capable de veiller une fois de plus sur l’œuvre de Mgr. Lefebvre.
Mais, Excellence, depuis plusieurs années Menzingen fait tout ce qu’elle peut par la négociation politique pour en arriver à une reconnaissance officielle de Rome, et son éventuelle arrivée « unilatérale » serait un simple faux-semblant pour tromper les traditionalistes. C’est ainsi qu’on liquiderait la Fraternité en feignant, sans doute avec la permission discrète de Rome, que cela avait été la faute de Rome. Mais le fait demeure que la Fraternité de Monseigneur Lefebvre aurait été définitivement trahie, et vous avec votre protestation feinte, « Non, non, mille fois non . . . mais, peut-être ben qu’oui » auriez à répondre de ne pas avoir fait tout ce que vous auriez pu et dû faire pour bloquer cette trahison.
Dom TomásBref, le système de lumières d’urgence de l’Église universelle dans les ténèbres Conciliaires, qu’est la Fraternité, vacille lui-même et est en danger de ne plus jeter de lumière. Par conséquent, l’équipe de réparation qu’est la « Résistance » pour sauvegarder le système d’urgence (!!!), est toujours nécessaire, et cette équipe a besoin d’une suffisance de bons contremaîtres. Un troisième Évêque pour la « Résistance » est prévu, comme l’an dernier le 19 mars au monastère près de Nova Friburgo au Brésil. Il est son Prieur, Don Thomás D’Aquin, fidèle guerrier et vétéran de la guerre post-conciliaire pour la défense de la Foi. Que Dieu soit avec lui et avec tous les humbles et fidèles serviteurs de Dieu.

Kyrie eleison.

 


 

 

Ce à quoi “France-Fidèle” commente :

France Fidèle

Il est à prévoir une réaction négative de Menzingen (Mgr Fellay – Ennemond) et des libéraux de tout crin . Il est évident que le père Thomas qui s’était opposé fermement au ralliement du Barroux en 1988 ne correspond pas au profil diplomatique qu’aurait souhaité Mgr Fellay et ce dernier ne manquera pas de manifester son dépit et sa colère.
Comme les libéraux ont l’art d’attaquer les personnes pour éviter de se placer sur le terrain de la doctrine, le père Thomas sera sûrement gratifié de belles méchancetés par ces gens là.
L’autre attaque portera sur l’état de nécessité : pourquoi un troisième évêque puisque deux auraient pu suffire ? L’état de nécessité est d’abord doctrinal puisqu’il s’agit d’abord d’un péril quand à la disparition de la Foi catholique dans la mesure où Rome sombre plus profondément dans l’apostasie. Il n’y a pas besoin de lunettes noires pour le voir ! Dans la mesure où la fsspx ( qui était la colonne du combat de la foi) a rompu avec sa sage ligne en 2012 et que les 3 évêques de la fsspx sont effectivement et actuellement divisés sur les rapports à tenir avec cette Rome apostate, il semble de toute nécessité que soit constitué un petit corps d’évêques unis dans l’affirmation de la Foi et fermes ( en théorie et en pratique ) dans leurs positions à tenir vis à vis de cette Rome qui apostasie. Les bons catholiques sauront ainsi dans quelle direction regarder et quelle conduite à tenir jusqu’à ce que les choses reviennent en ordre à Rome (à moins que ce ne soit la fin des temps ).
Nous savons de Foi que les portes de l’enfer ne prévaudront pas contre l’Église et ce petit noyau de trois évêques sera la manifestation de cette promesse de Notre Seigneur.

 

3_voies-sans-issues

 

 

Mons. Andrés Morello : In Memoriam S. Excia. Robert Fidelis McKenna O.P.

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Monseñor Andrés Morello nous adresse, pour publication, les deux Lettres suivantes :

 

Compañía de Jesús y de María
Monasterio Nuestra Señora de Guadalupe

† Monseñor Andrés Morello

 

Son Excellence Monseigneur Robert Fidelis McKenna

 

8 juillet 1927 – 16 décembre 2015

 

Robert Fidelis McKenna O.P.

In Memoriam

 

 

Mgr Robert Fidelis McKenna

 

 

Le seize de ce mois, peu de temps avant la nuit la plus paisible et la plus sacrée de l’histoire, Son Excellence Monseigneur F. McKenna a rendu son âme à Dieu, Seigneur et Juge de chaque homme. Tout ce qui est passager et accidentel, tout les aléas pouvant surgir dans la vie de quelqu’un, tout ce qui est arrivé de grave à la Sainte Église au cours des dernières décennies, tout cela s’est effacé devant l’accès de son âme à l’éternité.

Tout homme – sauf ceux qui furent si intimement proches du Sauveur durant Sa vie mortelle – est redevable à Dieu. Le jugement d’une vie entière et, par-dessus tout, la détermination d’un destin éternel sont des choses qui appartiennent exclusivement à Dieu, mais ceux d’entre nous ayant connu les êtres qui ne sont plus ici-bas et sur lesquels s’est refermé le rideau de l’éternité peuvent du moins porter témoignage, afin que le souvenir des disparus resplendisse dans notre mémoire.

Mgr McKenna fut un prêtre, un évêque, un religieux. Ceux qui ont bénéficié de son sacerdoce savent combien il a œuvré pour soutenir les âmes chrétiennes confiées à ses soins, de même que tous ceux qui recouraient à ses services de près ou de loin. Il fut aussi un évêque qui, pour répondre aux besoins des temps que nous vivons, s’attachait à conserver la Foi intacte face au modernisme, à multiplier les prêtres et à préserver l’épiscopat catholique, contribuant ainsi avec succès à la pérennité de l’Église. Il fut enfin un religieux, et tous ceux d’entre nous qui l’ont connu peuvent témoigner qu’il l’était dans toute sa conduite comme dans sa manière de penser et de travailler. Tant son sacerdoce que son épiscopat furent marqués par son état de religieux, grâce auquel jamais il ne cherchait à se mettre en valeur ou à jouer un rôle de premier plan, se bornant à accomplir ses devoirs au service de la Vérité. Mgr McKenna a œuvré à la préservation du trésor de la vie religieuse avec ses sœurs, en aidant d’autres religieux, en soutenant – aussi longtemps que ses forces le lui permirent – les Dominicains de Lawrence (Massachusets) et en promettant d’aider au maintien de notre famille religieuse, avec tous les autres membres de l’Alliance des Évêques Catholiques (composée des évêques McKenna, Oravec, Vida Elmer, Hesson et Martinez), ce qui témoignait d’une volonté dont nous lui serons toujours reconnaissants.

La vie d’un homme de bien laisse derrière elle des leçons qui restent porteuses d’enseignements alors même que l’intéressé ne nous console plus de sa présence.

Devant son exemple, faisons le bien. Enseignons la bonne doctrine et faisons de notre vie quotidienne le meilleur de nos arguments.

Prions avec confiance pour que l’âme de Mgr McKenna soit dès maintenant et à jamais intimement proche de Dieu. Puisse Notre Seigneur bénir cette âme et toutes les nôtres.

Saint Noël !

Patagonie, 19 décembre 2015

† Mgr Andrés Morello

 

Traduction : le CatholicaPedia.net
(Que notre traducteur soit encore une fois et toujours remercié pour son travail professionnel)

 

 

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Compañía de Jesús y de María
Monasterio Nuestra Señora de Guadalupe

† Monseñor Andrés Morello

 

À tous les membres de la Compagnie,

à nos fidèles et amis

21 décembre 2015

Saint Thomas, Apôtre

 

Dieu vous bénisse,

Par la grâce de Dieu, nous voici déjà aux portes de Noël, tout près des jours sacrés au cours desquels le Sauveur de l’humanité S’est rapproché de nous.

Ce Noël-ci arrive au milieu d’un monde qui devient chaque jour plus confus, plus violent et plus impitoyable. Ce monde dans lequel un jeu d’intérêts et d’ambitions personnels — dont nous avons une certaine notion, mais qu’il nous est difficile de discerner dans son ensemble — amène beaucoup de gens à parler de paix sans jamais s’efforcer vraiment de travailler à l’instaurer.

La complète inversion des valeurs — tant celles du christianisme que celles du simple bon sens — ne fait qu’ajouter à la violence ambiante. En acceptant des choses qui vont à l’encontre de leur identité, de leur nature et de leur inclination logique, les hommes suivent des voies qui les conduisent automatiquement à l’immodestie et à l’indécence, à la débauche et à l’abjection, comme à la perte de toute sérénité, de toute quiétude, des facultés de sain raisonnement et du respect mutuel.

Dans les relations sociales, on ne voit que confusion et égoïsme, et dans les relations internationales ne règne que l’ambition.

Au lieu d’être le dictateur des normes, le phare servant à écarter les âmes des écueils, l’exemple de la conduite à tenir, l’église officielle s’est ouverte à tous les normes du monde, et en acceptant ces dernières, de même que la manière de parler du monde, elle a perdu la paix, donc aussi l’ordre et la capacité de pacifier comme de mettre de l’ordre.

Parmi toute cette confusion dans les idées, les expressions et la conduite, parmi les non-croyants et même les croyants, la règle suprême est toujours l’Évangile, car c’est lui qui recèle ce qu’il nous faut croire et enseigner, de même que la manière dont nous devons vivre. Tout ce qui nous détourne ou nous sépare de cette règle doctrinale et morale n’est ni chrétien, ni catholique. Il s’agit non seulement d’enseigner ce que Notre Seigneur Jésus-Christ nous a enseigné, mais de le faire fidèlement et avec l’intention et la manière de Jésus-Christ. Son intention était d’honorer Son Père et de sauver les âmes ; Sa manière était évangélique et vertueuse comme celle de nul autre, ce qui Lui permettait de dire : « Apprenez de moi » (saint Matthieu, 11 : 29).

Apprenons la leçon que Notre Seigneur nous a donnée, et comme Lui, traversons cette vie en faisant le bien. (cf. saint Marc, 7 : 27).

Dieu vous bénisse et vous permette de passer un Saint Noël.

† Mgr Andrés Morello

 

Traduction : le CatholicaPedia.net
(Que notre traducteur soit encore une fois et toujours remercié pour son travail professionnel)

 

 

 

LE XI NOVEMBRE. SAINT MARTIN, ÉVÊQUE ET CONFESSEUR.

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Philippe de Villiers parle des murs porteurs pour reconstruire et sauver la France..

Voilà le mur fondateur de la France ! Voilà l’exemple à suivre !

Saint Martin le Miséricordieux, Patron de la Nation Franque.

Vitrail de Saint Martin, église Saint-Martin d'Arc-en-Barrois

Saint Martin le Miséricordieux, Patron de la Nation Franque, évêque de la ville de Tours, donnez-nous la victoire spirituelle sur l’ennemi.

On le fête le 11 novembre. Il est également fêté, localement, le 4 juillet. Sa ville, Tours, est le siège de la victoire de Clovis. Une portion de son manteau était précieusement conservée dans les trésors du peuple Franc. En 511, le pèlerinage de Tours est déclaré « Pèlerinage de la Gaule » par le Concile d’Orléans réuni par Clovis.

 

 

Dom GUÉRANGER

Dom Prosper Guéranger

L’Année Liturgique

 

Le XI Novembre. Saint Martin, Évêque et Confesseur.

 

Saint Martin, Évêque et Confesseur.

 

3660 églises dédiées à saint Martin au seul pays de France, presque autant dans le reste du monde, attestent l’immense popularité du grand thaumaturge. Dans les campagnes, sur les montagnes, au fond des forêts, arbres, rochers, fontaines, objets d’un culte superstitieux quand l’idolâtrie décevait nos pères, reçurent en maints endroits et gardent toujours le nom de celui qui les arracha au domaine des puissances de l’abîme pour les rendre au vrai Dieu. Aux fausses divinités, romaines, celtiques ou germaniques, enfin dépossédées, le Christ, seul adoré par tous désormais, substituait dans la mémoire reconnaissante des peuples l’humble soldat qui les avait vaincues.

C’est qu’en effet, la mission de Martin fut d’achever la déroute du paganisme, chassé des villes par les Martyrs, mais jusqu’à lui resté maître des vastes territoires où ne pénétrait pas l’influence des cités.

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Jérôme Bourbon accuse : Bergoglio agent actif du mondialisme !

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Jérôme Bourbon accuse : Bergoglio agent actif du mondialisme !

Nouvel Ordre Mondial

Tous ensembles…tous ensembles… marchons joyeusement vers l’apostasie générale !

 

Tel pourrait être le lancinant refrain d’une “manif new look” des masses catholiques aboutissant à la voie sans issue bien connue de nos lecteurs.

Jérôme Bourbon, directeur de RivarolDans son excellent article du 1er octobre, Jérôme Bourbon, directeur de Rivarol, nous met en garde contre la naïveté qu’il y aurait à douter encore des véritables objectifs de ceux que le traditionalisme bon teint considère encore, contre toute raison, comme les successeurs légitimes des Apôtres.

Marcher sur la tête est devenu un exercice planétaire auquel n’échappe même plus ceux qui s’honorent encore du titre de catholiques !

Pendant ce temps là, un évêque, le “bouquet” en bandoulière, ose encore nous proposer avec toute l’onction épiscopale qui le caractérise, une supplique au Saint Père !!! Nous suggérons à cet ordinaire schismatiquement tradi de porter plainte pour non-conformité du matériel (machine) à remonter le temps : son appareil est resté bloqué et a des sursauts hystériques qui agace les nerfs, comme le ferait un disque rayé qui repasserait indéfiniment le même air sur un vieux gramophone hors d’âge !

Tandis qu’un autre ordinaire, à la rose en blason, se plaint de l’endormissement de l’Europe, cette entité trompeuse, car non fédérée par l’empereur très chrétien qui lui manque cruellement !…

On croit donc rêver en permanence en lisant nos Excellences ! Hélas la réalité nous rattrape chaque jour au galop…comme la mer qui change le Mont St Michel en île…

Les fidèles sont savamment entretenus dans les illusions du passé et les mirages du futur…

Tout cela n’est pas très reluisant et nous laissons nos lecteurs en juger par eux-mêmes. Qu’ils s’arment de courage et lisent les trois articles, même si le premier d’entre eux se lit comme on boit du petit lait !!!

L’apostasie de J.P.²

 

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Vatican d’Eux : saint Gabriel, patron des télécommunications !

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Saint Michel Archange

Pour “EUX”, hier nous ne fêtions pas Saint Michel Archange — qui combattit Lucifer lors de la rébellion des anges déchus et le précipita hors du Ciel par le cri de Victoire : Quis Ut Deus ? —, considéré par l’Église Catholique comme étant le plus puissant et le plus beau de tous les Anges du Ciel.

 

Pour le pseudo-cardinal Parolin, « La mission de Radio Vatican rappelle celle des archanges » :

La mission de Radio Vatican et les saints archanges

Radio Vatican fête saint Gabriel, patron des télécommunications.

Rome, 29 septembre 2015 (ZENIT.org) Marina Droujinina |

Saint Gabriel Archange

« La mission de Radio Vatican rappelle celle des archanges : communiquer fidèlement (!!!), guérir et protéger du mal, et ouvrir la route au Seigneur », a dit le pseudo-cardinal Pietro Parolin.

Le secrétaire d’État du Saint-Siège a présidé la synaxe en la chapelle de la Radio ce mardi 29 septembre, à l’occasion de la fête des saints archanges, spécialement de saint Gabriel, patron des télécommunications, rapporte Radio Vatican.

Pietro Parolin a présidé la synaxe en la chapelle de Radio Vatican

Le pseudo-cardinal Parolin a comparé la mission de Radio Vatican à celle des archanges en précisant qu’elle consistait à « ouvrir la route » au Christ : « Servir le Christ offre l’avantage incomparable de devenir serviteur de la vérité, et ainsi d’être libres de toutes servitudes. »

Le secrétaire d’État du Saint-Siège a salué le « dynamisme » de l’équipe de Radio Vatican en demandant de poursuivre ce chemin « avec beaucoup de sérénité et de confiance », au moment où le nouveau secrétaire pour les communications repense le système d’information du Saint-Siège qui unira les différents médias du Vatican. Radio Vatican restera « un composant fondamental de cette nouvelle réalité », a souligné Parolin.

Dans son “homélie”, le “cardinal” conciliaire a aussi parlé de l’importance de l’information objective et « correcte » (!!!) qui n’était pas soumise à la « tyrannie pesante et superficielle des émotions ». 

Les équipes de Radio Vatican produisent chaque jour 79 programmes en 40 langues. Depuis ce mardi 29 septembre, le père Andrzej Majewski, un jésuite polonais, est le nouveau directeur des programmes de Radio Vatican. Il succède au père Andrzej Koprowski qui occupait ce poste depuis 2003.

(29 septembre 2015) d’après Innovative Media Inc.

 

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Le temps des châtiments est presque là, les portes de l’enfer s’ouvrent lentement… Continuons à Prier Saint Michel Archange :

Il est l’Ange qui combattit Lucifer lors de la rébellion des anges déchus et le précipita hors du Ciel par ce cri de Victoire, qui devint Son Nom :

Quis Ut Deus ?

 

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