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Archive for the ‘Dom Guéranger’ tag

23 avril : Saint Georges, chef et conducteur des armées chrétiennes

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Dom Guéranger
Année Liturgique

St Georges tuant le dragon

Le XXIII Avril, Saint George, Martyr.

 

Couvert de sa brillante armure, monté sur son coursier rapide, et perçant de sa lance le dragon, George se montre aujourd’hui sur le Cycle, comme le valeureux champion du Christ ressuscité. L’Église d’Orient, qui ne l’appelle que le grand Martyr, a transmis de bonne heure son culte à l’Église d’Occident, et la chevalerie chrétienne l’a aimé et honoré comme l’un de ses plus chers patrons. Son martyre eut lieu en ces jours de la Pâque, afin qu’il apparût aux fidèles comme le gardien du glorieux sépulcre, de même qu’Étienne, le Proto-martyr, veille auprès du berceau de l’Enfant-Dieu.

L’Église Romaine n’a pas de Légende sur saint George dans son Office ; on lit en place un passage de saint Cyprien sur les combats des Martyrs. La raison de cette dérogation à l’usage ordinaire est fondée sur une particularité qui remonte jusqu’au V° siècle. En 496, dans un célèbre concile tenu à Rome, le pape saint Gélase donnant le catalogue des livres que les fidèles pouvaient lire sans danger et avec profit, et de ceux qu’ils devaient éviter, signale parmi ces derniers certains Actes de saint George, comme rédigés par un écrivain hérétique et inepte, et défend d’en faire usage. Il existait cependant d’autres Actes du saint Martyr en Orient, totalement différents de ceux qui avaient eu cours à Rome, mais on ne les connaissait pas dans cette ville. Le culte de saint George ne souffrit en rien dans la ville sainte de ce manque d’une Légende véridique. Une Église stationnale, Titre cardinalice, s’y éleva dès les premiers siècles, et subsiste encore sous le vocable de Saint-George-au-Voile-d’or ; mais la Liturgie a continué de porter la trace de la sainte sévérité du canon de Gélase, par l’omission du récit de la vie du Martyr dans son Office.

Les Bollandistes ont eu entre les mains plusieurs copies des Actes proscrits, qu’ils ont trouvés en effet remplis de détails absurdes ; mais ils se sont gardés de les reproduire. Le P. Papebrock a donné en place les véritables Actes, écrits en grec, cités par saint André de Crète, et dans lesquels se développe l’admirable caractère de saint George, qui exerça un haut emploi militaire dans les armées romaines, sous l’empire de Dioclétien. Il fut une des premières victimes de la grande persécution, et souffrit à Nicomédie. Son courage fit une telle impression sur Alexandra, femme de Dioclétien, que cette princesse se déclara chrétienne, et mérita de partager la couronne du saint guerrier.

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SESSION DE FORMATION ANTILIBÉRALE 2015 des ACRF

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Nos Amis du Christ Roy de France nous communiquent le programme de leur Session de Formation Antilibérale pour cet été 2015 :

 

Demandez le programme 2015

 

 

Session de Formation Antilibérale 2015 des ACRF

Traiter dans l’esprit de Jésus-Christ, les intérêts de Jésus-Christ. Saint Charles Borromée.

 

Derrière les disputeurs sont venus les sophistes ;
derrière les sophistes, les voluptueux ;
derrière les voluptueux, les bourreaux ;
derrière les bourreaux, les barbares ;
les barbares qui passent par les armes,
bourreaux et voluptueux, sophistes et disputeurs.
Ne leur résistent que les hommes de Foi.

(Mgr Justin Fèvre, Histoire du catholicisme libéral).

 

Madame, Mademoiselle, Monsieur

Dans son Année liturgique, à l’occasion de la Fête de la Sainte Famille, Dom Guéranger observe :

« Par les grâces qui chaque jour et à chaque instant sont versées sur lui, par la multitude des vertus qu’il met en action, enfin par le bonheur dont il est l’écrin, le foyer chrétien est « comme le vestibule du Paradis ». Aussi ne faut-il pas s’étonner s’il est l’objet de continuelles attaques des ennemis du genre humain ; et si ceux-ci remportent parfois des triomphes plus signalés sur le royaume fondé ici-bas par Notre Seigneur, « c’est lorsqu’ils réussissent à souiller le mariage, à détruire l’autorité des parents, à refroidir les affections et les devoirs qui lient l’enfant à son père et à sa mère. Aucune invasion de hordes barbares, s’avançant à travers une contrée florissante et la ravageant par le fer et le feu, n’est aussi odieuse aux regards du ciel qu’une loi qui sanctionne la dissolution du lien matrimonial, ou qui arrache les enfants à la garde et à la direction de leurs parents ». Ne croirait-on pas ces lignes écrites d’hier, pour notre temps ?

 

En qualité de parents chrétiens, vous avez évidemment le souci de transmettre à vos enfants une éducation solidement et intégralement catholique. Rude et difficile mission à remplir aujourd’hui ! Même les « écoles de la Tradition » sont infectées de libéralisme et  ressemblent trop souvent à ces écoles religieuses de l’immédiat avant-Concile, où la foi catholique n’était plus transmise dans toutes ses exigences, entraînant les résultats que l’on connaît. Par ailleurs, aujourd’hui, dans nombre de familles catholiques, combien d’enfants, parvenus à l’âge adulte, ne persévèrent pas dans les principes reçus, parce que mal ou pas enseignés, sombrant alors dans des chutes lamentables ?

L’éducation catholique et sa transmission est donc aujourd’hui la question la plus cruciale et la plus angoissante qui est posée aux familles demeurées fidèles à la Foi de la Sainte Église romaine (rien à voir, bien entendu, avec sa contrefaçon conciliaire). Cette transmission est aujourd’hui, dans les faits, laissée à votre seule et entière responsabilité, l’École catholique ne jouant plus son rôle d’auxiliaire de l’éducation des enfants.

A contrario, le cadre familial demeure, au milieu des ruines accumulées par la Révolution dans la société ecclésiastique et civile, un îlot encore (relativement) préservé et le lieu où peuvent se former les caractères chrétiens et se transmettre l’incomparable richesse du patrimoine spirituel, intellectuel, moral, artistique du Catholicisme sans concession aux erreurs modernes.

Ce Catholicisme sans concession aux erreurs et aux compromis de la « modernité », ce Catholicisme de Mirari vos, du Syllabus, de Pascendi et de la Lettre sur le Sillon, c’est le Catholicisme antilibéral, dont vous connaissez les principales figures françaises, le Cardinal Pie, Mgr Gaume, Mgr Delassus, Dom Prosper Guéranger, Louis Veuillot, etc.

Cependant, dans le cours de l’année, il vous est bien difficile de prendre le temps et l’énergie nécessaires pour rassembler les matériaux intellectuels de ce catholicisme antilibéral, les organiser et les présenter à vos enfants de manière à « transmettre ce qui a été reçu ». Les organisateurs de cette session tiennent vivement à ce que les deux parents suivent l’ensemble de la formation pour pouvoir ensuite échanger entre eux. Ils tiennent pour cela à libérer le plus possible les mères de famille des tâches matérielles générales indispensables (pas de course, de cuisine, de vaisselle). Un vrai repos…

Bien entendu, la session est également ouverte aux couples sans enfants et aux célibataires. C’est la raison pour laquelle des pères et des mères de famille catholiques, en collaboration avec des conférenciers, spécialistes du combat catholique antilibéral, vous proposent de les rejoindre pour une semaine de 4 jours de formation de toute la famille (parents + enfants à partir de 15 ans), puisée aux meilleures sources spirituelles, historiques et morales du Catholicisme antilibéral.

Cette session de formation se déroulera en Vendée, en un lieu fermé, réunissant les familles qui souhaitent bénéficier de cette formation.

Espérant très ardemment vous accueillir à notre session de formation des familles dans l’esprit du Catholicisme antilibéral, dans cette attente, nous vous prions d’agréer l’expression de nos sentiments chrétiens en Jésus-Christ Roi de France et en Sa Très sainte Mère, Reine de France.

 

L’équipe d’organisation de la Semaine d’amitié et de formation
pour les familles dans l’esprit de l’école catholique antilibérale.

 

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Prière Préparatoire pour le Succès de la Session

 

Réciter en famille matin et soir la Prière des Francs :

Dieu Tout-puissant et Éternel, qui pour servir d’instrument à Votre divine volonté dans le monde, et pour le triomphe et la défense de Votre Sainte Église, avez établi l’empire des Francs, éclairez toujours et partout leurs fils de Vos divines lumières, afin qu’ils voient ce qu’ils doivent faire pour établir Votre règne dans le monde et que, persévérant dans la charité et dans la force, ils réalisent ce qu’ils auront vu devoir faire. Par Notre-Seigneur Jésus-Christ vrai Roi de France.

 

Consignes pour la Session

Évidemment, tous viennent avec bonne humeur, laissant soucis et chagrins à la maison. Partageons la joie de se retrouver entre chrétiens.

Évidemment, nous aurons le souci d’obéir à Dieu, de donner un bon exemple aux enfants par une tenue irréprochable:

— pour hommes et femmes, ni bermuda, ni short ; pour les dames et demoiselles, une tenue chrétienne, c’est-à-dire respectant la pudeur et la vertu. Nos mères chrétiennes avaient des jupes dont la longueur était précise : assises, genoux recouverts.

— pour les hommes et dames : bras couverts à la chapelle.

— pour les dames et demoiselles : tête couverte.

 

Cette année la session aura lieu en Vendée du 26 au 30 juillet (lieu précisé après réception de l’inscription).

Arrivée le dimanche 26 juillet (sainte messe à 18 h), départ le jeudi 30 juillet à 16 h. Repas assuré du dîner du dimanche au déjeuner du 30 inclus. Pour ceux qui arrivent avant le dimanche 30, prévoir pique-nique.

Programme indicatif :

  • Ouverture de la session dimanche 26 à 16 h. Sainte messe à 18 h.
  • Thèmes des conférences prévues :

a) Pour les nouveaux : Vocation et Mission de la France – La royauté sacrale chrétienne – Invalidité des sacres épiscopaux et destruction du sacerdoce catholique – Grande fresque de l’histoire de France à la lumière de la Providence Divine – Les faux amis, vrais ennemis : grille amis-ennemis – La crise de la Foi – L’avenir prévisible.

b) Pour les anciens: Le grand combat 1517-2017 – La City et les Rothschild – Témoignage sur Jean Guitton et les « papes » conciliaires – Abbé Crozat : de la Révolution dans la loi – Notions essentielles de philosophique scolastique – Étape importante de la Civilisation chrétienne : les Capitulaires de Charlemagne – Interprétation de l’Apocalypse : Holzhauser, Clorivière… – La démonologie – La chevalerie chrétienne et saint Michel.

  • Clôture de la session : Jeudi 30 juillet à 16 h.

Coût de la session 100 € par adultes (gratuit jusqu’à 12 ans, 50 € entre 13 et 18 ans), chèque à l’ordre de ACRF à joindre obligatoirement à l’inscription. En cas de désistement, il sera retenu 50 € par dossier.

Merci à ceux qui peuvent nous aider financièrement. Merci de nous trouver des donateurs dans votre entourage pour aider les familles et certains participants à faibles ressources.

Les organisateurs se réservent le droit de refuser l’inscription de toute personne n’ayant pas l’esprit correspondant à cette session.

Apporter duvet ou draps, couvertures, oreiller, serviette de toilette, serviette de table, torchons, lampe électrique (et pile), missel, chapelet, 2 cahiers (un pour note de conférences, un pour noter conseils et résolution), de quoi écrire, clé USB, ordinateur ou tablette. Ni radio, ni télé.

Possibilité de tout enregistrer mais amener et gérer son propre matériel.

Pensez à faire connaître cette session et à en parler dans votre entourage, surtout auprès des jeunes.

Pour tous renseignements appeler le 07 81 90 85 70.

Inscription et chèque à envoyer à : ACRF, BP 2, 44140 Aigrefeuille.

 

 

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Fiche d’Inscription à la Session de Formation Antilibérale 2015

Les Amis du Christ Roy de France

Aucune inscription ne sera prise en considération

Si elle n’est pas accompagnée du chèque de règlement correspondant

Le tout à faire parvenir

Avant le 1er Juillet au plus tard pour faciliter l’organisation de la Session

 

à ACRF, BP 2, 44140 Aigrefeuille

 

 

Nouvelle Réfutation des « coquins d’Avrillé »…

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Encore eux ! toujours eux !

« Sel de la terre » n° 91 – Hiver 2014-2015

« Sel de la terre » n° 91 – Hiver 2014-2015

 

p. 174-175 (article non signé)

Quand les prêcheurs se sont vus obligés de contredire publiquement le pape…

 

Les DOMINICAINS sont combattants de la foi. C’est leur vocation dans l’Église. Lorsque la foi est en danger, ils ont le devoir spécial de parler. Parfois, c’est un devoir crucifiant, mais c’est leur mission : ils ne peuvent rejeter leur croix propre.

C’était à Avignon, au temps du pape Jean XXII, ami et protecteur de l’Ordre Dominicain, et qui avait canonisé saint Thomas d’Aquin. En Allemagne et en Italie, les Frères Prêcheurs se faisaient les défenseurs intrépides du Saint-Siège, en face des prétentions de l’empereur Louis de Bavière. Cela avait déclenché contre eux les plus terribles persécutions : chassés de leurs couvents, maltraités, tournés en dérision, les religieux erraient comme des proscrits dans les campagnes, où les habitants n’osaient même pas leur prêter abri.

Les choses en étaient là lorsqu’un incident malheureux mit l’Ordre entre le marteau et l’enclume : le pape, pour lequel les frères enduraient mille persécutions, se mit à défendre publiquement une thèse des plus hasardeuses. Pour Jean XXII, s’appuyant sur quelques textes patristiques peu clairs, les âmes ne jouiraient pas de la vision béatifique qu’après la résurrection générale. Il avait beau déclarer que c’était une opinion personnelle qu’il soumettait au jugement de l’Église, il avait pour cette opinion toute la tendresse exclusive d’un père, et il se mit à la défendre avec une ténacité peu commune. Il y eut de grands remous, jusqu’à la cour du roi de France (Philippe VI) et à l’Université de Paris. Certains clercs se prirent à défendre le pape et en reçurent quelques avantages. Le maitre de l’Ordre, Barnabé de Verceil, arrivant à Avignon en plein tumulte, eut la franchise et le courage de manifester publiquement son étonnement et sa désapprobation d’une telle nouveauté doctrinale. Le pape le punit en lui interdisant de rentrer dans son pays – l’Italie. Deux Maitres en théologie de notre ordre, ayant pris le relais de leur Supérieur général pour défendre la vérité, furent jetés en prison.

Lutter à la fois contre l’empereur et contre le pape, contre un pape qui jusqu’ici les aimait et avait été leur protecteur, jamais les Prêcheurs ne s’étaient trouvés en pareille situation. Il faut dire qu’ils surent tenir l’équilibre : défendre le Saint-Siège en ce en quoi il devait être défendu, et sauver en même temps la vérité compromise par une opinion personnelle du successeur de Pierre, au risque de paraitre ingrats envers leur bienfaiteur. Louis de Bavière fut si émerveillé du dévouement désintéressé des frères que, malgré sa haine contre eux, il ne put s’empêcher de les admirer et de dire publiquement : « Vraiment, cet Ordre est bien l’Ordre de la Vérité ».

Comment tout cela se termina-t-il ?

Barnabé de Verceil n’en vit pas la fin sur cette terre. Il mourut en exil (à cause du pape) à Paris, au couvent Saint Jacques, le 10 janvier 1332.

Le trouble continuant à grandir, le roi de France demanda à l’université de Paris de trancher la question. Le 19 décembre 1333, vingt-neuf maitres en théologie réunis par Philippe VI au château de Vincennes, déclarèrent en sa présence et en présence d’une nombreuse assemblée de princes, d’évêques, de religieux, de fideles, que les âmes exemptes ou délivrées du purgatoire jouissaient de la vision béatifique de l’essence divine. Ils envoyèrent au pape une lettre pleine de soumission et de déférence, ne jugeant pas sa personne*, insistant même – pour le ménager – sur le fait qu’il avait toujours considéré son opinion comme privée, mais affirmant sans ambigüité qu’il n’était pas possible de la soutenir au nom de l’Église. Jean XXII fit une rétractation solennelle de sa thèse sur son lit de mort, un an plus tard, le 3 décembre 1334, en présence de cardinaux et prélats, et de notaires publics**.

 

* Ils n’en avaient pas le pouvoir : le pape ne peut être jugé par personne de son vivant. « Le premier siège n’est jugé par personne » (canon 1556 du code de Droit canon de 1917).

** Nous nous sommes inspirés, pour cet article, de l’ouvrage du père MORTIER O.P., Histoire des Maitres Généraux de l’Ordre des Frères Prêcheurs, Paris, Alphonse Picard, 1907, t. III, « Barnabé de Verceil (1324-1332), Quinzième Maitre Général », chapitre IV : « La vision béatifique », p. 63-86.

Fin de citation de l’article du Sel de la terre

 

 

* * *

 

Réponse d’un simple laïc à l’article mensonger et calomniateur des dominicains (?) d’Avrillé, car : « Mon Dieu, je crois fermement toutes les vérités que vous avez révélées, et que vous nous enseignez par votre Église, parce qu’étant la Vérité même vous ne pouvez ni vous tromper, ni nous tromper. » (Acte de Foi)

 

Mes Pères,

N’ayant pas et n’ayant pas pu vérifier dans l’ouvrage du père MORTIER O.P., Histoire des Maitres Généraux de l’Ordre des Frères Prêcheurs, Paris, Alphonse Picard, 1907, t. III, « Barnabé de Verceil (1324-1332), Quinzième Maitre Général », chapitre IV : « La vision béatifique », p. 63-86, je ne sais ce que vous entendez par : Nous nous sommes inspirés, où commence, où finit l’inspiration ? Qu’avez-vous ou que n’avez-vous pas trafiqué ? Vous connaissant on peut s’attendre à tout !

 

 

 

Certains se scandaliseront des propos tenus contre des religieux d’un ordre si prestigieux et si saint …dans le passé. La vraie question à se poser est : par qui le scandale arrive ? Et donc malheur à qui ?

 

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Du Saint Carême et de la dévotion à la Sainte Face de Notre-Seigneur

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Du Saint Carême et de la dévotion à la Sainte Face de Notre-Seigneur.

 

En ce Mardi dans la Quinquagésime,

Fête de la Sainte Face de Notre-Seigneur Jésus-Christ.

L’image de la Sainte Face de Notre-Seigneur diffusée à la suite du miracle du 6 janvier 1849L’image de la Sainte Face de Notre-Seigneur diffusée à la suite du miracle du 6 janvier 1849
et telle qu’elle est exposée dans l’« Oratoire de la Sainte Face », à Tours

 

Le mardi dans la Quinquagésime est le jour particulier qui, à la veille de l’entrée dans le grand et saint Carême, a été assigné pour la célébration de la fête liturgique de la Sainte Face de Notre-Seigneur Jésus-Christ.

Ce n’est pas une fête inscrite au calendrier universel, mais une fête propre à certains diocèses, paroisses ou congrégations religieuses, et c’est aussi – bien évidemment – la fête patronale de l’Archiconfrérie de la Sainte Face.

L’origine de cette archiconfrérie est liée à Monsieur Léon Papin-Dupont, surnommé « le saint homme de Tours » (1797-1876) : ce pieux laïc a marqué profondément le catholicisme du XIXe siècle et pas seulement à Tours, où il vécut, car il eut, en effet, un rayonnement qui dépassa les frontières de la France.

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F$$PX : Il s’en passe des choses à St Nicolas !!!

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Document : Il s’en passe des choses à St Nicolas !!!

Église Saint-Nicolas-du-Chardonnet
 

Bien que cet article provienne des “résistants” internes de la FSSPX, on le lira avec intérêt et on notera les conseils donnés. Certaines phrases, très emblématiques, ont été mises en rouge par mes soins. Vos avis sont les bienvenus.

 


 

Sr Marie Lætitia excommuniée ?

 

Voici le texte officiel relatant les faits qui se sont passés à Saint Nicolas du Chardonnet, dimanche 28 décembre 2014.

Dimanche 28 décembre 2014

Excommunication d’une religieuse

Saint Nicolas du Chardonnet

à la Paroisse Saint-Nicolas-du-Chardonnet

 

« Pendant la messe, vers la fin du Credo, Monsieur l’abbé de La Rocque vient me trouver et me demande de le suivre à la sacristie. Afin d’éviter tout scandale, j’obtempère. Une fois dans son bureau, il m’explique qu’il a eu Mgr de Galarreta au téléphone. Celui-ci lui confirme (ce qu’il savait déjà) qu’une lettre m’a été adressée, le 8 septembre dernier, me signifiant mon renvoi de la congrégation des Dominicaines de Brignoles et, partant, le relèvement de mes vœux. Je dois en conséquence quitter immédiatement l’habit que je porte indûment. Aussi Monsieur le curé a-t-il prévenu tous ses vicaires de ne plus désormais me donner la communion.

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Rappel aux incrédules : Jésus-Christ EST NÉ le 25 décembre

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La synagogue gardait la promesse écrite ; l’Église possède l’objet de la promesse.

"La Nativité entre les prophètes Isaïe et Ezéchiel" par Duccio Di Buoninsegna

« La Nativité entre les prophètes Isaïe et Ézéchiel » par Duccio Di Buoninsegna

 

Aujourd’hui, le lien antique est brisé, le diable est couvert de confusion, les démons se sont enfuis, la mort est détruite, le paradis est ouvert, la malédiction est effacée, le péché a été banni, l’erreur a été vaincue, la vérité est revenue, et la parole de la piété est répandue et propagée en tous lieux. La vie du ciel est implantée sur la terre, les anges communiquent avec les hommes, les hommes ne craignent point de s’entretenir avec les anges. Et pourquoi ? Parce qu’un Dieu est venu sur la terre et l’homme dans le ciel, et qu’ainsi tout a été uni et mêlé. Il est venu sur la terre, lui qui est tout entier dans le ciel, et, étant tout entier dans le ciel, il est tout entier sur la terre. Étant Dieu, il s’est fait homme, sans renoncer à sa divinité. Étant le Verbe, non sujet au changement, il s’est fait chair : il s’est fait chair afin d’habiter parmi nous. Il n’est point devenu Dieu, mais il était Dieu. Mais il s’est fait chair, afin qu’une crèche pût recevoir Celui que le ciel ne pouvait contenir. Il est donc posé dans la crèche, afin que Celui qui nourrit toute créature reçoive d’une vierge mère la nourriture qui convient à un petit enfant.

Et de nombreuses personnes (ou sites) véhiculent la désinformation sur la date de naissance de Notre-Seigneur Jésus-Christ incarné… pour détruire La Vérité, par le mensonge — selon l’enseignement de Voltaire « mentez, mentez, il en restera toujours quelque chose », et de son père le diable — qui a été pourtant maintes fois réfuté depuis belle lurette et en particulier par Saint Jean Chrysostome au IVe siècle, par Rohrbacher en 1876 et par l’abbé Michel Marchiset qui tous les ans nous le rappelle dans son sermon de Noël ou de l’Épiphanie :

[audio:http://catholicapedia.net/audio/ab-Marchiset_Jesus-Christ-est-ne-un-25-Decembre.mp3|titles=Jésus-Christ est né un 25 Décembre|artists=Abbé Marchiset]

Voici donc, une nouvelle fois, la réfutation, pour la gloire de Dieu et le salut des âmes :

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