Archive for the ‘Christianisme’ tag
Un impénitent plagiaire épiscopal !
Et pendant ce temps là………
Un impénitent plagiaire épiscopal !
Et pendant ce temps là………
“Willy” nous avait habitué à une théologie pour le moins charabiantesque, bizarroïde (ça rime avec “intégroïde” !) et somme toute complètement incompréhensible jusqu’à ce qu’il vienne d’ajouter l’une de ces « grâces » épiscopa-les (-liennes ?) à son palmarès : le plagiat !
WILLIAMSON" width="400" height="200" />
Eh oui ! “Willy” nous lit et même assidument ! Son œil gauche, fixé sur une chimère, lorgne sans cesse sur nos écrits, tandis que son œil droit, procède en expert à la « reductio ad sedevacantem », afin qu’il NE puisse être dit qu’il nous ressemble un peu, même de loin !
Pris soudain d’une inspiration soudaine, il découvre la sentence de l’exorcisme de Léon XIII tout en nous gratifiant d’une autre, complètement hallucinée : « L’autorité est à l’envers, renversée » nous dit-il, pensant sans doute que Léon XIII va faire mieux passer Williamson !…
Et comme pour mieux asséner cette “vérité épiscopale” à ses lecteurs et partisans, il donne dans le registre familier et nous déclare sans rire : « L’Église (oui, la vraie !) est fichue, du sommet jusqu’en bas ! » Pour ajouter ensuite, de peur de réveiller des instincts bassement sédévacantistes :
« Je ne suis pas sédévacantiste. »
LA « GRANDE NOUVELLE » DE LA SALETTE EST-ELLE UN ORACLE DIVIN ?
Après Le “secret” donné par la « Belle Dame » à Mélanie Calvat poursuivons quelques temps avec Maurice CANIONI dans son dernier livre :
Dieu Sera Servi et Glorifié
Par Maurice CANIONI
(Extraits)
INTRODUCTION
La Sainte Église est Maîtresse par son pouvoir doctrinal, sanctificateur, législatif et coercitif ; elle est Reine car toutes les nations, doivent lui être « assujetties et lui obéir (Dan. 7, 27). »
La concorde de la Sainte Église et de la puissance civile est voulue par Dieu. Elle est éminemment aimable et désirable, car elle concourt à la Gloire de Dieu, édifie le Règne social de Notre-Seigneur Jésus-Christ, facilite aux individus, aux familles, aux sociétés l’acquisition du nécessaire à la vie temporelle dans la paix sociale, et surtout à chaque personne la poursuite du salut éternel.
Dans L’illusion libérale, Louis Veuillot décrit admirablement cette alliance des deux forces : la tiare et l’épée, la parole de Vérité et le bras séculier :
« La société chrétienne, dans l’état normal, se maintient et s’étend au moyen de deux forces qui doivent être distinctes non séparées, unies non confondues, subordonnées non égales. L’une est la tête, l’autre le bras ; l’une est la parole suprême et souveraine du pontife, l’autre la puissance sociale. La société chrétienne étant premièrement et avant tout chrétienne, soumet tout à cette première loi ; et elle met toutes choses en leur place, parce qu’elle met d’abord à sa place son seul vrai Seigneur et Maitre, Jésus-Christ. Elle le met à sa place souveraine dans la société comme tous les fidèles le mettent à sa place souveraine dans les âmes [et dans la famille] ; et de là naissent l’ordre, la liberté, l’unité, la grandeur, la justice, l’empire, la paix. Ainsi, à travers et malgré les déchirements suscités par les passions de l’infirmité humaine, se forma dans sa variété magnifique cette communauté de l’Europe qu’on pût appeler la République ou même la Famille chrétienne ; œuvre merveilleuse, brisée par l’hérésie lorsque la paix intérieure et le progrès des arts lui promettaient la gloire d’étendre au genre humain tout entier le bienfait de la Rédemption. […] Ces deux pouvoirs unis, distincts et subordonnés, par lesquels la société chrétienne se régit, c’est ce que l’on appelle les deux glaives. Car la parole ne serait rien, si elle ne pouvait être, à certain moment, aussi un glaive. La mansuétude du Christ a voulu deux glaives pour que la répression tombât plus tardive et pût être prévenue. Le premier glaive, celui qui ne déchire que les ténèbres, demeure au pouvoir patient et infailliblement éclairé du Pontife. L’autre, le glaive matériel, est dans la main du représentant de la société, et afin qu’il n’erre pas, il doit obéir au commandement du Pontife. C’est le Pontife qui le fait sortir du fourreau et qu’il y fait rentrer. Son office est de réprimer l’erreur agressive, une fois définie et condamnée, de la lier, de l’abattre ; de donner protection à la vérité, soit qu’elle ait besoin de se défendre, soit qu’elle se trouve dans la nécessité d’attaquer à son tour. La main séculière doit faire passage à la vérité, assurer la liberté de ses enseignements, garder au loin la vie de ses ambassadeurs et de ses disciples (1). »
La Révolution de 1789 a déclenché le paroxysme de la guerre à mort entre les deux postérités (Gen. 111, 15). Dans le but d’instaurer l’imperium de Satan sur les nations et sur l’humanité, les gouvernants qui en sont issus pervertissent les cœurs et les intelligences par les lois et l’instruction, corrompent le christianisme par les modes et les principes maçonniques, instrumentalisent l’Église pour l’affaiblir, l’isoler du peuple chrétien et l’éliminer. Confronté au mépris, à la haine et à la violence des États antichristiques, le Saint-Siège proclama fidèlement la Vérité mais, en pratique, fit preuve d’esprit de conciliation et, au prix de grands sacrifices, « pour le bien et la paix du monde », dira Pie XI, pactisa avec ses ennemis.
On dévoile ici une plaie que d’aucuns préféreraient sans doute laisser ensevelie sous la poussière des archives de la petite histoire ! Cependant, hier, aujourd’hui et demain sont un, et le courage de la vérité de l’histoire du temps passé est garant de celui de la vérité de l’heure présente. Depuis le Concordat de 1801, sous la contrainte des gouvernants issus de la Révolution, le Vatican, par volonté de résignation et d’accommodement, a laissé se distendre jusqu’à la rupture l’amarre qui retenait la société chrétienne solidement fixée au Port, c’est-à-dire le Droit chrétien public fondé sur la théologie et la loi ecclésiastique. Cette politique vaticane généra ce que l’on peut dénommer une antithèse entre la Parole de Vérité et les actes relevant des rapports avec la puissance civile antichrétienne.
Cette « fine diplomatie », menée opiniâtrement durant près de 150 ans, a sapé la résistance des autorités religieuses et celle des fidèles à la grande SÉDUCTION de la fin du temps des Nations (Lc. 21, 24). Elle a favorisé et accéléré la « défaite des saints » (Apoc. 13,7) en soumettant les baptisés, constitutionnellement, juridiquement, socialement, aux « pouvoirs établis » tous imbus « des valeurs et des principes » sataniques de la Révolution. Tôt ou tard, « les chefs, les conducteurs du peuple » devaient butter sur l’alternative, soit d’une remise en ordre RADICALE afin d’œuvrer réellement pour le règne social et politique de Notre-Seigneur Jésus-Christ, soit de fuir en avant en définissant, formulant, en principes et en droit, leur transmutation du royaume de Dieu en paradis socialiste et démocratique. La deuxième voie a été choisie en Vatican II qui a réalisé les épousailles des Princes de l’Église avec la démocratie de la maçonnerie universelle et transmué la religion de Jésus-Christ en un diabolique syncrétisme religieux. Contra factum non valet argumentum.
L’Église a perdu sa suprématie sur les Peuples, les Nations et les États quand elle a été privée de son bras séculier. « La force à sa place et faisant son office, voilà l’état régulier. […] Il faudrait (…) donner avec joie tout son sang pour remettre la force dans son sens légitime, pour l’attacher au seul service du droit. La force doit protéger, affermir, venger le plus grand, le plus illustre, le plus nécessaire droit de l’homme, qui est de connaitre et de servir Dieu ; elle doit mettre l’Église à même de dispenser ce droit à tout homme sur la terre. N’abandonnons pas cette vérité que le catholique libéral jette et noie dans le courant, avec tant d’autres (2). »
L’impuissance grandissante du Saint-Siège, sa collusion avec les ennemis du Christ-Roi, l’asservissement des nations chrétiennes aux puissances antichristiques, triple cause instrumentale de l’apostasie générale, étaient-ils inéluctables, irrémédiables ? Mysterium iniquitatis !
Pourquoi s’étonner ? C’est notre histoire depuis la fin du 17ème siècle, résumée dans la « grande nouvelle » apportée à La Salette. La sainte foi sera oubliée, le relâchement pour le service de Dieu sera universel ; les méchants se livreront à toutes sortes de crimes : le blasphème, la profanation du dimanche, la violation de l’abstinence et du jeûne, l’oubli de la prière ; les gouvernants se ligueront pour combattre Jésus-Christ ; les bruits de guerre rempliront la terre ; les mauvais livres abonderont, personne ne s’entendra plus, on ne verra qu’homicides ; une fausse lumière accumulera les ténèbres sur toute la terre, le Saint-Siège perdra la foi et l’Église sa visibilité ; de grands malheurs s’abattront sur l’humanité à la mesure de ses crimes qui percent la voûte des cieux. Nous sommes les témoins et les acteurs de ce drame de la fin des temps brossé par la Vierge à grands traits bibliques. Les hommes s’inquiètent et s’angoissent pour leur avenir ; ils espèrent un libérateur, un homme providentiel qui remettrait de l’ordre dans la maison de l’humanité : Satan se rendra roi du monde en la personne de l’Antéchrist.
Mais alors, le dernier jour du monde serait-il proche ? La Très Sainte Vierge ne le laisse pas entendre. Au contraire, elle promet le Règne de Dieu après la purification universelle et le renouvellement de toutes choses.
CHAPITRE I
La « Grande Nouvelle »
de la Salette
Est-Elle un Oracle Divin ?
« Et Bien, Mes Enfants.
Vous le Ferez Passer à Tout Mon Peuple »
Dans le cours de cette étude, nous appliquerons fréquemment les paroles de Notre-Dame de La Salette aux évènements et à la tragique situation ecclésiale actuelle. Nous pensons en effet qu’il y aurait grande imprudence et sûrement inconvenance, sinon du mépris envers la divine Marie, de ne pas éclairer par ses avertissements la « crise affreuse » que nous traversons, et de ne pas voir en eux une confirmation du jugement théologique que nous devons porter sur ce drame sans précédent. Certains clercs et laïcs, bien que se disant dévots de La Salette, se récrieront : Le Message de la Vierge de La Salette n’est pas un oracle divin, il n’est qu’une révélation privée ; par conséquent nous sommes tenus à certaines réserves dans son utilisation et son interprétation ; on ne peut, sans analogies imprudentes ou prophétisme de mauvais aloi, en voir la réalisation dans l’évolution ecclésiale du dernier siècle et demi, ni l’appliquer aux gravissimes et inouïs désordres actuels.
La seule solution : que SON Règne arrive !
Thierry Martin, essayiste, a donné une conférence sur le Christ Roi de France à Saint Benoît-sur-Loire ce 20 juin dernier :
La seule solution : que SON Règne arrive !
« Adveniat regnum tuum, que votre règne arrive !
« …vous serez davantage de votre pays, à mesure que vous serez plus chrétiens. Est-ce que la France n’est pas liée au christianisme par toutes ses fibres ? N’avez-vous pas lu, en tête de la première charte française, ces mots tant de fois répétés par l’héroïne d’Orléans : « Vive le Christ qui est roi des Francs » ? N’avez-vous pas lu le testament de saint Remy, le père de notre monarchie et de toutes ses races régnantes ? N’avez-vous pas lu les testaments de Charlemagne et de saint Louis, et ne vous souvenez-vous pas comment ils s’expriment concernant la sainte Église romaine et le vicaire de Jésus-Christ ? Le programme national de la France est là ; on est Français quand, à travers les vicissitudes des âges, on demeure fidèle à cet esprit. Les pharisiens, tristes citoyens, n’osèrent-ils pas un jour dénier à Jésus-Christ le sentiment patriotique ? « Mais c’étaient eux, reprend saint Ambroise, qui abdiquaient l’amour de la patrie, en se faisant les envieux de Jésus » (…). Je renvoie hardiment cette même réplique à tous les détracteurs de notre civisme. Les apostats de la France, ce sont les ennemis de Jésus-Christ. Quoi qu’on fasse, il n’y aura jamais de national en France que ce qui est chrétien. »
Mgr Pie, prêchant à Nantes le panégyrique de saint Émilien,
le 8 novembre 1859.
14 novembre. Saint Josaphat Kuncewicz de Wladimir, archevêque de Polotsk et martyr. 1623.
La seule solution pour la conversion de la Russie !
Dom Guéranger, L’Année Liturgique
Le XIV Novembre
Saint Josaphat, Évêque et Martyr.
Contemporain de François de Sales et de Vincent de Paul, Josaphat Kuncewiez a l’allure d’un moine grec du XI° siècle, pénitent à la façon d’un ascète de la Thébaïde. Étranger à la culture intellectuelle de l’Occident, il ne connaît que les livres liturgiques et les textes sacrés à l’usage de son église ; prêtre, archimandrite, réformateur de son Ordre basilien, et enfin archevêque, il combat toute sa vie contre les conséquences du schisme de Photius ; et martyr, il cueille enfin dans cette lutte la palme de la victoire. Cependant la scène se passe en pleine Europe, dans des contrées soumises alors à la Pologne catholique, sous le règne du plus pieux de ses rois. Comment expliquer ce mystère ?
Un projet talmudique… initié par… un protestant !
Noachisme : Un Rabbin, un Iman et un Pasteur pour un seul Lieu de Culte !
UNE" width="800" height="414" />
L’église-mosquée-synagogue de Berlin ou la disparition des Anciennes Religions.
C’est à Berlin qu’a été lancée cette idée de lieu de culte unique pour les trois religions juive, musulmane et protestante. Il n’est pas question ici de catholique, pas encore.
Il s’agit donc d’un projet de rapprochement entre ces trois cultes que d’aucuns trouveront certainement génial.
« Berlin est la ville des merveilles et des miracles », affirme le rabbin Tovia Ben Chorin, l’un des trois “rêveurs” à avoir imaginé le lieu. « C’est là que l’extermination des juifs a été programmée. Maintenant, la première maison pour les trois religions dans le monde va être construite ici. » Pour l’imam qui porte également le projet, Kadir Sanci, cette « Maison de l’Unité » est une manière de rappeler que « la grande majorité des musulmans sont pacifiques et non-violents ». (Sic !) « C’est aussi un lieu, ajoute-t-il, où des cultures différentes peuvent apprendre l’une de l’autre. »
D’après le The Time of Israel, c’est une « maison de prière et d’enseignement » sur le christianisme, le judaïsme et l’islam. La « Maison de l’Unité » (The House of One) a pour but de refléter les croyances de Berlin tout en aidant les trois communautés à vivre ensemble.
Pour nos “Frères aînés”… Chaos Jorge a battu ses prédécesseurs : « Dans chaque chrétien se trouve un juif »
C’est EUX qui le disent…
Le pape François a battu ses prédécesseurs : « Dans chaque chrétien se trouve un juif »
Hier, le Pape François a battu tous les records de ses prédécesseurs. Il a reconnu qu’à « l’intérieur de chaque chrétien se trouve un Juif », et a ajouté que « vous ne pouvez pas être un vrai chrétien, si vous ne reconnaissez pas vos racines juives » – « ce n’est pas raciste et religieux », a déclaré le souverain pontife. Soulignant la présence continue du judaïsme dans le christianisme, François est allé dans le même sens que Jean-Paul II, qui a appelé les Juifs, les «frères aînés» des chrétiens.
Le pape a dit qu’il prie les Psaumes de David, en tant que Juif, puis effectue le rite de l’Eucharistie en tant que chrétien.
Une grande interview a été publiée sur le journal espagnol La Vanguardia avec le pontife qui a exprimé son opinion concernant le dialogue entre le judaïsme et le christianisme qui devrait inclure une étude des racines juives au sein du christianisme et la « floraison du judaïsme dans le christianisme. » Le Pape a reconnu que le sujet est explosif, mais s’est dit convaincu qu’il est « possible de vivre comme des frères. »
Le pape s’est prononcé contre tout fondamentalisme religieux, affirmant qu’elle est basée bien trop souvent sur la violence, comme la violence de nos jours « au nom de Dieu » qui est absurde.
Il a répondu à la question qui l’a incité à se rendre vers « l’œil de l’ouragan » : le Moyen-Orient. Selon le pape, il est allé parce qu’il a été invité par le président Peres, et sachant que c’était la fin de son mandat présidentiel, le souverain pontife a été contraint de se dépêcher. Il a dit que chaque chrétien devrait visiter la Terre Sainte, car c’est là-bas que « tout a commencé », comme le « le ciel sur la terre » et « vous pouvez sentir ce qui nous attend dans l’au-delà, dans la Jérusalem céleste. »
En effet, les temps messianiques sont très proches.
* * *
Et dans le début de interview qui a été publiée sur le journal espagnol La Vanguardia, il déclare être « convaincu que la persécution des chrétiens aujourd’hui est plus forte que dans les premiers siècles de l’Église. » !!!
« Aujourd’hui il y a plus de martyrs chrétiens que dans cette époque. Et ce n’est pas imaginaire, c’est par le nombre »…