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SCOOP : Mgr LEFEBVRE ET SEDEVACANTISME SONT INCOMPATIBLES !!!!
QUI L’EÛT CRU ????????????….

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Nous avons déjà eu l’occasion de dénoncer maintes fois, les frasques du Perroquet de Suresnes, alias J.R. du CrayLa Sapinière (.info) nous avait donné aussi un florilège de ses débordements dans la presse et l’Internet.

 

Aujourd’hui, Pierre Legrand nous donne un nouvel article où il est une nouvelle fois question des frasques de « J.R. » — l’auteur caché de La Porte Latine —, dit Le Perroquet de Suresnes… L’homme orchestre par excellence, l’éminence grise du ralliérisme de l’abbé Lorans à Menzingen, tandis que † Bernie Fellay le couve et le couvre !…

Jacques-Regis du Cray, alias Côme de Prévigny, alias Ennemond (dit « Le Perroquet de Suresnes »)

Jacques-Regis du Cray,
alias Côme de Prévigny,
alias Ennemond (dit « Le Perroquet de Suresnes »)

Cave Ne Cadas

 

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SCOOP : Mgr Lefbvre et sedevacantisme sont incompatibles !!!!
Qui l’eût cru ????????????….

 

ou quand “Ennemont” cite Mgr Lefebvre dans un but bien précis !

 

 

« …il est possible que nous soyons dans l’obligation de croire que ce pape n’est pas Pape. Car il semble à première vue — je ne veux pas encore le dire d’une manière solennelle et formelle — mais il semble à première vue — qu’il soit impossible qu’un pape soit hérétique publiquement et formellement. Notre Seigneur lui a promis d’être avec lui, de garder sa foi, de le garder dans la foi. Comment celui auquel Notre Seigneur a promis de le garder dans la foi définitivement et sans qu’il puisse errer dans la foi, peut-il en même temps être hérétique publiquement et quasi apostasier ?

Voici un problème qui vous concerne tous, qui ne concerne pas moi seulement. Si l’on nous a persécutés, si maintenant on nous traite comme des gens qui sont presque hors de l’Église, pourquoi ? Parce que nous sommes restés catholiques… »
(Mgr Lefebvre en 1986)

 

J.R. du Cray, dit Le Perroquet de SuresnesL’incorrigible “Ennemond”, âme damnée de la mouvance traditionaliste una cum et ralliée de fait, nous balance, croyant bien faire, des extraits de paroles de Mgr Lefebvre qui sont à l’analyse assez révélatrices ET du malaise ET du déni qui n’ont que trop présidé à la Fraternité depuis ses origines…

“Ennemond” dégaine tout de suite son arme de destruction massive en nous affirmant que « sédévacantisme » et lefebvrisme sont parfaitement incompatibles !

Ne pas « reconnaître » le « pape » et donc son autorité ainsi qu’adhérer à la thèse du R.P. Guérard sont des crimes inexpiables qui valent excommunication majeure et expulsion pure et simple de la congrégation “Fraternelle”…

Il faut donc citer le Pontife au canon de la Messe et signer une « profession de foi » avant toute ordination….histoire de tenir les troupes par un pernicieux serment.

“Ennemond” le malicieux en appelle au contexte pour dédouaner Mgr L. d’avoir, au cours de ses nombreuses conférences et entretiens, pris quelques libertés de « nuances, de doute et d’interrogations » qui loin de signifier ce qu’elles signifiaient était à réinterpréter dans un contexte forcément et obstinément una cum ! Voilà qui est admirable ! La modération de la pensée de Monseigneur par le contexte !!! Le tout assorti de l’aveu que les condamnations du « sédévacantisme » par Monseigneur sont bien plus nombreuses que ses doutes et interrogations.

Lorsqu’on s’est forgé une idole, il est vrai qu’il faut ensuite l’honorer d’un culte public même si la tentation est parfois grande d’être quelque peu transgressif, même par hypothèse ou par doute…..

Ensuite nous entrons dans le vif du sujet car “Ennemond” le fourbe cède la parole à Mgr Lefebvre, ayant bien pris soin de nous rappeler auparavant que les propos du prélat sont comme sacralisés par la proximité de son décès !

La nature même du vocabulaire employé par le prélat démontre l’ambivalence foncière des termes appartenant à l’Église éclipsée et pouvant donc être interprétés comme des signifiants à géométrie variable selon l’auditoire auquel on s’adresse et son degré de « conscientisation » de la crise…

Mgr Marcel Lefebvre

 

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LA « GRANDE NOUVELLE » DE LA SALETTE EST-ELLE UN ORACLE DIVIN ?

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Après Le “secret” donné par la « Belle Dame » à Mélanie Calvat poursuivons quelques temps avec Maurice CANIONI dans son dernier livre :

 

Dieu Sera Servi et Glorifié

Par Maurice CANIONI

(Extraits)

 

Canioni : Dieu sera servi et glorifié

 

INTRODUCTION

La Sainte Église est Maîtresse par son pouvoir doctrinal, sanctificateur, législatif et coercitif ; elle est Reine car toutes les nations, doivent lui être « assujetties et lui obéir (Dan. 7, 27). »

La concorde de la Sainte Église et de la puissance civile est voulue par Dieu. Elle est éminemment aimable et désirable, car elle concourt à la Gloire de Dieu, édifie le Règne social de Notre-Seigneur Jésus-Christ, facilite aux individus, aux familles, aux sociétés l’acquisition du nécessaire à la vie temporelle dans la paix sociale, et surtout à chaque personne la poursuite du salut éternel.

Veuillot par NadarDans L’illusion libérale, Louis Veuillot décrit admirablement cette alliance des deux forces : la tiare et l’épée, la parole de Vérité et le bras séculier :

« La société chrétienne, dans l’état normal, se maintient et s’étend au moyen de deux forces qui doivent être distinctes non séparées, unies non confondues, subordonnées non égales. L’une est la tête, l’autre le bras ; l’une est la parole suprême et souveraine du pontife, l’autre la puissance sociale. La société chrétienne étant premièrement et avant tout chrétienne, soumet tout à cette première loi ; et elle met toutes choses en leur place, parce qu’elle met d’abord à sa place son seul vrai Seigneur et Maitre, Jésus-Christ. Elle le met à sa place souveraine dans la société comme tous les fidèles le mettent à sa place souveraine dans les âmes [et dans la famille] ; et de là naissent l’ordre, la liberté, l’unité, la grandeur, la justice, l’empire, la paix. Ainsi, à travers et malgré les déchirements suscités par les passions de l’infirmité humaine, se forma dans sa variété magnifique cette communauté de l’Europe qu’on pût appeler la République ou même la Famille chrétienne ; œuvre merveilleuse, brisée par l’hérésie lorsque la paix intérieure et le progrès des arts lui promettaient la gloire d’étendre au genre humain tout entier le bienfait de la Rédemption. […] Ces deux pouvoirs unis, distincts et subordonnés, par lesquels la société chrétienne se régit, c’est ce que l’on appelle les deux glaives. Car la parole ne serait rien, si elle ne pouvait être, à certain moment, aussi un glaive. La mansuétude du Christ a voulu deux glaives pour que la répression tombât plus tardive et pût être prévenue. Le premier glaive, celui qui ne déchire que les ténèbres, demeure au pouvoir patient et infailliblement éclairé du Pontife. L’autre, le glaive matériel, est dans la main du représentant de la société, et afin qu’il n’erre pas, il doit obéir au commandement du Pontife. C’est le Pontife qui le fait sortir du fourreau et qu’il y fait rentrer. Son office est de réprimer l’erreur agressive, une fois définie et condamnée, de la lier, de l’abattre ; de donner protection à la vérité, soit qu’elle ait besoin de se défendre, soit qu’elle se trouve dans la nécessité d’attaquer à son tour. La main séculière doit faire passage à la vérité, assurer la liberté de ses enseignements, garder au loin la vie de ses ambassadeurs et de ses disciples (1). »

La Révolution de 1789 a déclenché le paroxysme de la guerre à mort entre les deux postérités (Gen. 111, 15). Dans le but d’instaurer l’imperium de Satan sur les nations et sur l’humanité, les gouvernants qui en sont issus pervertissent les cœurs et les intelligences par les lois et l’instruction, corrompent le christianisme par les modes et les principes maçonniques, instrumentalisent l’Église pour l’affaiblir, l’isoler du peuple chrétien et l’éliminer. Confronté au mépris, à la haine et à la violence des États antichristiques, le Saint-Siège proclama fidèlement la Vérité mais, en pratique, fit preuve d’esprit de conciliation et, au prix de grands sacrifices, « pour le bien et la paix du monde », dira Pie XI, pactisa avec ses ennemis.

On dévoile ici une plaie que d’aucuns préféreraient sans doute laisser ensevelie sous la poussière des archives de la petite histoire ! Cependant, hier, aujourd’hui et demain sont un, et le courage de la vérité de l’histoire du temps passé est garant de celui de la vérité de l’heure présente. Depuis le Concordat de 1801, sous la contrainte des gouvernants issus de la Révolution, le Vatican, par volonté de résignation et d’accommodement, a laissé se distendre jusqu’à la rupture l’amarre qui retenait la société chrétienne solidement fixée au Port, c’est-à-dire le Droit chrétien public fondé sur la théologie et la loi ecclésiastique. Cette politique vaticane généra ce que l’on peut dénommer une antithèse entre la Parole de Vérité et les actes relevant des rapports avec la puissance civile antichrétienne.

Cette « fine diplomatie », menée opiniâtrement durant près de 150 ans, a sapé la résistance des autorités religieuses et celle des fidèles à la grande SÉDUCTION de la fin du temps des Nations (Lc. 21, 24). Elle a favorisé et accéléré la « défaite des saints » (Apoc. 13,7) en soumettant les baptisés, constitutionnellement, juridiquement, socialement, aux « pouvoirs établis » tous imbus « des valeurs et des principes » sataniques de la Révolution. Tôt ou tard, « les chefs, les conducteurs du peuple » devaient butter sur l’alternative, soit d’une remise en ordre RADICALE afin d’œuvrer réellement pour le règne social et politique de Notre-Seigneur Jésus-Christ, soit de fuir en avant en définissant, formulant, en principes et en droit, leur transmutation du royaume de Dieu en paradis socialiste et démocratique. La deuxième voie a été choisie en Vatican II qui a réalisé les épousailles des Princes de l’Église avec la démocratie de la maçonnerie universelle et transmué la religion de Jésus-Christ en un diabolique syncrétisme religieux. Contra factum non valet argumentum.

L’Église a perdu sa suprématie sur les Peuples, les Nations et les États quand elle a été privée de son bras séculier. « La force à sa place et faisant son office, voilà l’état régulier. […] Il faudrait (…) donner avec joie tout son sang pour remettre la force dans son sens légitime, pour l’attacher au seul service du droit. La force doit protéger, affermir, venger le plus grand, le plus illustre, le plus nécessaire droit de l’homme, qui est de connaitre et de servir Dieu ; elle doit mettre l’Église à même de dispenser ce droit à tout homme sur la terre. N’abandonnons pas cette vérité que le catholique libéral jette et noie dans le courant, avec tant d’autres (2). »

L’impuissance grandissante du Saint-Siège, sa collusion avec les ennemis du Christ-Roi, l’asservissement des nations chrétiennes aux puissances antichristiques, triple cause instrumentale de l’apostasie générale, étaient-ils inéluctables, irrémédiables ? Mysterium iniquitatis !

Pourquoi s’étonner ? C’est notre histoire depuis la fin du 17ème siècle, résumée dans la « grande nouvelle » apportée à La Salette. La sainte foi sera oubliée, le relâchement pour le service de Dieu sera universel ; les méchants se livreront à toutes sortes de crimes : le blasphème, la profanation du dimanche, la violation de l’abstinence et du jeûne, l’oubli de la prière ; les gouvernants se ligueront pour combattre Jésus-Christ ; les bruits de guerre rempliront la terre ; les mauvais livres abonderont, personne ne s’entendra plus, on ne verra qu’homicides ; une fausse lumière accumulera les ténèbres sur toute la terre, le Saint-Siège perdra la foi et l’Église sa visibilité ; de grands malheurs s’abattront sur l’humanité à la mesure de ses crimes qui percent la voûte des cieux. Nous sommes les témoins et les acteurs de ce drame de la fin des temps brossé par la Vierge à grands traits bibliques. Les hommes s’inquiètent et s’angoissent pour leur avenir ; ils espèrent un libérateur, un homme providentiel qui remettrait de l’ordre dans la maison de l’humanité : Satan se rendra roi du monde en la personne de l’Antéchrist.

Mais alors, le dernier jour du monde serait-il proche ? La Très Sainte Vierge ne le laisse pas entendre. Au contraire, elle promet le Règne de Dieu après la purification universelle et le renouvellement de toutes choses.

 

CHAPITRE I

 

La « Grande Nouvelle »
de la Salette
Est-Elle un Oracle Divin ?

 

Notre-Dame de La Salette

« Et Bien, Mes Enfants.
Vous le Ferez Passer à Tout Mon Peuple »

 

Dans le cours de cette étude, nous appliquerons fréquemment les paroles de Notre-Dame de La Salette aux évènements et à la tragique situation ecclésiale actuelle. Nous pensons en effet qu’il y aurait grande imprudence et sûrement inconvenance, sinon du mépris envers la divine Marie, de ne pas éclairer par ses avertissements la « crise affreuse » que nous traversons, et de ne pas voir en eux une confirmation du jugement théologique que nous devons porter sur ce drame sans précédent. Certains clercs et laïcs, bien que se disant dévots de La Salette, se récrieront : Le Message de la Vierge de La Salette n’est pas un oracle divin, il n’est qu’une révélation privée ; par conséquent nous sommes tenus à certaines réserves dans son utilisation et son interprétation ; on ne peut, sans analogies imprudentes ou prophétisme de mauvais aloi, en voir la réalisation dans l’évolution ecclésiale du dernier siècle et demi, ni l’appliquer aux gravissimes et inouïs désordres actuels.

 

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Written by Cave Ne Cadas

juillet 11th, 2015 at 11:00 pm

Posted in Église Éclipsée,Invalidité nouveaux sacrements,La Salette,Maurice Canioni,Notre-Dame de La Salette,Oracle Divin,Prophétie,sedevacance

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QUESTIONS OBJECTIVES À MONSIEUR L’ABBÉ LAFITTE

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Questions Objectives à Monsieur l’Abbé Jean-Luc Lafitte

 

À propos d’une conférence de doctrine « L’appartenance à l’Église catholique ».

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La quatrième condition énoncée pour l’appartenance à l’Église catholique serait de reconnaître le pape comme Vicaire de NSJC, mais cela est insuffisant ; Boniface VIII dans Unam Sanctam déclare qu’il est nécessaire au salut d’être soumis au Vicaire du Christ, c’est-à-dire de lui obéir quand il exerce son gouvernement, qui est distinct de l’enseignement.

Donc, première question : Jean XXIII, Paul VI,, Jean-Paul I, Jean-Paul II, Benoit XVI, François Ier furent-ils, ou sont-ils les Vicaires du Christ ?

Sachant qu’ils ont : modifiés en substance les sacrements institués par NSJC et le seul véritable sacrifice source de toutes les grâces, modifiés la doctrine en adoptant des thèses condamnées auparavant par leur prédécesseurs, qu’ils tentent de modifier la constitution divine et monarchique de l’Église, qu’ils se prostituent avec les démons des fausses religions, ils ne peuvent-être que schismatiques, et donc en dehors de l’Église. Comment peuvent-ils être alors des papes véritables ?

« Car toute faute, même un péché grave, n’a pas de soi pour résultat – comme le schisme, l’hérésie, ou l’apostasie – de séparer l’homme du Corps de l’Église » Pie XII Mystici Corporis Christi.

 

L’obéissance au Souverain Pontife n’est-elle due qu’en matière de foi et de mœurs ?

Celui qui agit comme successeur de NSJC et non comme son représentant, comme son Vicaire, peut-il être considérer comme le pape légitime, alors qu’il usurpe le pouvoir de son Maître ?

Que le pape ne soit pas infaillible à chaque fois qu’il ouvre la bouche, cela est évident, et qui pourrait être assez insensé pour soutenir une telle bêtise, mais le Magistère Ordinaire ? Cela limiterait le Vicaire du Christ à être un instrument inerte, et non humain, et c’est contraire à la constatation du progrès de l’explicitation du dépôt qui demeure le même en substance mais passe de l’implicite à l’explicite.

« Le Magistère de l’Église, établi ici-bas d’après le dessein de Dieu pour garder perpétuellement intact le dépôt des vérités révélées et en assurer la connaissance aux hommes, s’exerce chaque jour par le pontife romain et les évêques en communion avec lui » Pie XI Mortalium animos.

 

Les « marques » de l’Église, appelées dans le catéchisme notes, ne comportent pas celle de « persécution », même si cela a été souvent le lot de l’Église, ce ne peut être une note intrinsèque et distinctive, cela est un ajout personnel, de qui ?

 

Les chapelles de la « Tradition »

Unité : De foi ? De charité ?

Même sacrements ? Provenance des Saintes Huiles ?

Reconnaissent le pape, (François ?) comme Vicaire de NSJC ?

Una cum ? Non una cum ?

Même gouvernement ? Lequel ?

Même obéissance aux pasteurs légitimes ?

Qui sont les pasteurs légitimes ? À quels évêques obéissent les prêtres de ces chapelles ? Ces évêques à qui obéissent-ils ?

Prières chaque jour pour la conversion de « ces Messieurs de Rome », les intrus ? Les autorités légitimes ? Les schismatiques ?

Mgr Fellay, Mgr Tissier de Mallerais, Mgr Williamson, Mgr de Galarreta, Mgr Dolan, Mgr, Sandborn, Mgr Morello, Mgr Stuyvert,…sont-ils des pasteurs légitimes de la sainte Église catholique apostolique et romaine ? Ont-ils la même foi ? Sont-ils unis par la même charité ? Sont-ils soumis à un même gouvernement ?

 

 


 

Ndlr du CaholicaPedia Blog :

Dans cette conférence de doctrine, l’abbé Lafitte prononce des paroles plus qu’ambigües :

8’08 ; 16’59 ; 18’43 ??????? Mr l’abbé Lafitte, un “una cum” caché ???

 

de 8’08 à 8’38 :

« 4-  Reconnaitre le Pape Comme Vicaire de Notre Seigneur Jésus-Christ

« L’Église Catholique n’est pas le corps mystique du Pape, mais le Corps Mystique du Christ.

« Le Pape est Vicaire du Christ, c’est à dire représentant du Fils de Dieu sur terre et successeur du premier Pape Saint Pierre. Il n’est en aucun cas successeur de Notre Seigneur Jésus-Christ, car il serait alors lui-même Dieu. »

 

de 16’37 à 17’20 :

« Les Chapelles de la Tradition Sont-Elles Catholiques ?

« Les fidèles de nos chapelles de la Tradition :

– sont baptisés ;

– croient et professent la Foi Catholique ;

– participent aux mêmes Sacrements ;

reconnaissent le Pape comme Vicaire de Notre Seigneur Jésus-Christ. (16’49)

« Nous sommes donc pleinement Catholique ; (16’59) nous prions chaque jour pour la conversion de ces messieurs de Rome, mais n’acceptons pas les changements substantiels introduits depuis 1962 dans l’Église, parce “qu’il vaut mieux obéir à Dieu qu’aux hommes” (Actes V, 29). »

 

de 18’25 à 19’04 :

« Conclusion

« Nous n’avons jamais prétendu être l’Église Catholique mais nous voulons de tout notre cœur lui appartenir résolument, et nous considérons comme fils soumis de la Sainte Église.

(18’43) « Nous n’appartenons pas à l’église Conciliaire, ni ne sommes de l’église de Monseigneur Lefebvre, mais un rameau bien vivant de l’Église Une, Sainte, Catholique, Apostolique, Romaine et Persécutée, hors de laquelle nul ne peut être sauvé. »

 

 

SCANDALE : de la Simonie conciliaire !

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L'abbé apostat Jean-Charles DescubesLe Salon Beige (blogue quotidien d’actualité par des laïcs catholiques conciliaires &/ou ralliés) nous apprend (hier) que le pseudo-“archevêque” de Rouen, (primat de Normandie !!! mort de rire) Mgr (MÔnsieur l’abbé apostat) Jean-Charles Descubes (totalement invalide et usurpateur d’Eux !! “Ordination épiscopale” le 9 mars 1997 par le card. Pierre Eyt pedigree ici) a décidé de brader le patrimoine de l’Église catholique usurpé par SA secte Conciliaire et de commettre en plus le grave péché de Simonie, — condamnée par le deuxième concile du Latran en 1139, et le concile de Trente qui réaffirme, par un décret intitulé « De invocatione, veneratione et reliquiis sanctorum et de sacris imaginibus » du 3 décembre 1563, l’importance de la vénération des reliques pour que le Seigneur accorde ses bienfaits — puisque de nombreux lots de cette vente sont des reliques de Saints de l’Église catholique (par exemple) : Ste Radegonde [lot n°2] ; SS Innocent, Jules, Georges, François de Sales, Jean l’Évangéliste [lot n°3] ; Ste Theodora et St Vincent [lot n°4] ; St Magne et St Honnestus [lot n°6] ; etc. etc.

Une lectrice (conciliaire qui ne fait pas la différence entre l’Église et la secte) nous adresse cette supplique :

De quel droit brader le patrimoine des catholiques ? Un évêque n’en est pas le propriétaire, n’en est-il pas que le gardien et le conservateur ? Et l’on nous demande de participer « généreusement » au denier du culte et chantiers des cardinaux ou évêques ? Qu’ils ne s’étonnent de n’être plus suivis et d’avoir des caisses de plus en plus vides, d’après ce qu’en disent les journaux ! N’y aurait-il pas perte catastrophique du sens du sacré et de « Dieu premier servi ». Où est la gloire de Dieu, puisque le beau – à l’échelle humaine – Lui est refusé ?

Je voudrais bien qu’on m’explique. Merci à celui ou celle qui est compétent de bien vouloir m’éclairer.

Qu’en pensez-vous ?
Bien cordialement
C…

 

L’archevêché de Rouen brade son patrimoine : des reliques en vente à Drouot. Et pas seulement…

Le catalogue de la vente est ici. Un lecteur m’envoie la lettre qu’il a adressé à l’archevêque :

« Monseigneur,

Apprenant la vente imminente, ce jeudi 30 janvier, par une Maison de ventes de Rouen, Normandy Auction (Me Frémaux-Lejeune), d’une partie des collections de l’Archevêché – Art Sacré. Exceptionnelle collection de : reliquaires, paperoles, canivets. Important ensemble de calices, ostensoirs, textile. Dessins anciens, projets de vitraux, bois sculptés, icônes, ivoires – nous restons dans l’incompréhension de la tournure de cette dispersion.

Ni la Commission d’Art Sacré, ni la communauté chrétienne du diocèse, auquel ce patrimoine appartient symboliquement, n’ont été consultés. A l’inverse, la communauté chrétienne n’est pas oubliée du reste lorsqu’il s’agit de contribuer aux charges du diocèse.

Nous apprécierions que vous vous justifiiez de la décision prise de façon isolée. Y a-t-il réellement un cas de force majeure qui oblige à la vente ?

Aussi, si ces objets ont indéniablement un caractère sacré, ils ont aussi une valeur marchande en tant qu’Art.

Pourquoi organiser une vente loin de Rouen, sans en informer la communauté chrétienne ou, plus largement, les communautés religieuses encore attachées à la beauté de ce patrimoine, elles-mêmes disposées à enchérir ?

En procédant à la vente, dans une petite salle du quartier Drouot, de ces objets dont la liste est consultable sur des sites pour initiés (sallevv.com, auction.fr), nous sommes vraiment tenus à l’écart.

Enfin, comment oublier le texte du 2 décembre 2008 du Département Art Sacré de la conférence épiscopale de France, signé Monseigneur Robert Le Gall, rappelant l’interdiction de la vente des reliques ?

Code de Droit Canonique. Canon 1190 :
&1. Il est absolument interdit de vendre des saintes reliques
. &2. Les reliques insignes et celles qui sont honorées d’une grande vénération populaire ne peuvent en aucune manière être aliénées validement ni transférées définitivement sans la permission du Siège Apostolique. &3. La disposition du &2 vaut également pour les images qui sont honorées d’une grande vénération populaire dans une Eglise.

Il vous est possible, à tout le moins, de renoncer à la vente de ces reliques.

Merci, Monseigneur, pour votre réponse, restant dans l’attente de connaître la suite que vous donnerez à cette décision

Bien respectueusement ».

Lahire (du Salon Beige)

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Dvinferno Pope Nicholas <abbr>III</abbr>

Dante parlant à Nicolas III, envoyé en enfer pour simonie ; gravure sur bois de Gustave Doré pour la Divine Comédie, 1861.

La Simonie doit son nom à Simon le Magicien qui voulut acheter à saint Pierre son pouvoir de faire des miracles (Actes, VIII.9-21), ce qui lui valut la condamnation de l’apôtre :

« Que ton argent périsse avec toi, puisque tu as cru que le don de Dieu s’acquérait à prix d’argent ! ».

 

C’est ce que nous répondons aussi à ce Sieur Descubes, l’apostat de Rouen !

Jean-Charles Descubes