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BABYLONE A VOLÉ LE NOM DE LA NOUVELLE JÉRUSALEM

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Important

 

Babylone a Volé le Nom de la Nouvelle Jérusalem

 

Comment l’Église est-Elle Éclipsée ?

 

L'Église éclipsée

par Amabilus Manziaci

 

« Et je vis une femme assise sur une bête écarlate, pleine de noms de blasphème,
ayant sept têtes et dix cornes » (Apo, XVII, 3).

 

 

Notre-Dame de La Salette aurait-elle confondu les Tartuffes de la « Tradition » et autres Bourgeois Gentilshommes de la théologie ?

ND de La Salette

Comprendre le Dépôt de la Foi implique de remonter aux principes les plus élevés. Le premier d’entre eux appartient au domaine de l’histoire : connaître et assimiler les circonstances historiques de la Révélation. C’est en vertu de l’acte de Foi que nous consentons à ne pas pouvoir remonter au-delà de ce premier axiome (1). Le deuxième principe qui lui est subordonné, dépend de l’ordre de la philosophie. L’intelligence théologique est bâtie avec et sur lui, mais c’est encore en vertu de l’acte de Foi que nous décidons d’assujettir notre discours philosophique au principe premier du donné transcendant et historique de la Révélation (2).

À partir de ces fondements, nous concevons en premier lieu, le Dépôt de la Foi, et en particulier, nous concevons l’Église sous son rapport semper idem ab initio. En second lieu, nous observons un fait nouveau ; ce fait peut être désigné sous le terme de « désordre », en ce sens qu’il signifie un fait où la pérennité d’une entité et l’intangibilité de sa définition, se trouvent confrontées à une conjoncture semblant les contredire. Cette réalité de scandale, — de « pierre qui risque de faire chuter » — reste pour nous à éclaircir et à qualifier au regard d’un ensemble de faits procédant antérieurement de l’entité de l’Église semper idem.

Et c’est à l’aune de ce rapport, double et hiérarchisé, que nous pouvons tenter de nous éclairer à l’unique lumière du Dépôt de la Foi, quittes à devoir jeter un regard critique sur les diverses thèses émises dans la « tradition ». Si chacune allègue rendre compte avec pertinence de la situation de l’Église depuis 1958, toutes participent d’une déficience commune ; vouloir accommoder toujours plus le Catholicisme à une agression qui devient de plus en plus intransigeante (3).

Notre propos veut compléter et préciser nos aperçus précédents intitulés : « Les mille erreurs des traditionalistes » et « Ces traditionalistes qui talmudisent le Droit divin »(4) sur le plan historique, théologique et métaphysiques. Il embrassera d’abord la portée du concept d’Église semper idem depuis 1958, puis les conséquences que le désordre suscite au sein de l’Église, et enfin les réactions autodestructrices qu’il inspire dans les esprits traditionalistes.

 

Sommaire :

  1. Voir l’Église semper idem en deçà de l’Église « en désordre ».

Pourquoi l’Église ne peut pas changer.

Ôter son masque à la Rome de Noé, Sodome et Babylone, qui prétend que l’Église change.

Nostalgie de l’Église « en ordre », les traditionalistes adhèrent au Leurre Conciliaire perpétuel.

  1. Le désordre, c’est l’Église éclipsée par le Leurre d’« un milieu Conciliaire organisé »

Comment se pose le problème entre les notions de « toujours » et de « désordre ».

La Thèse absurde d’une succession pontificale errant à long terme.

  1. Les diversions traditionalistes d’un grand désordre falsificateur.

 

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Written by Iéschoua incorrect

juin 19th, 2015 at 11:58 pm

Posted in Amabilus Manziaci,Droit Divin,Église Éclipsée,La Question

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DOM GUÉRANGER, MONSEIGNEUR GAUME, MÊME COMBAT

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En ce vendredi de la quatrième semaine après Pâques, nous vous soumettons une bonne méditation avec ce texte de Dom Prosper Guéranger, OSB, qui démontre que ce moine, liturgiste, théologien et fondateur de Solesmes et Mgr Gaume ont mené le même combat…

Nous le dédicaçons tout spécialement à monsieur l’abbé Belmont !
(voir la Réponse aux attaques contre Mgr Gaume des ESR)

 

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Dom Guéranger, Monseigneur Gaume, Même Combat

Vendredi de la quatrième semaine après Pâques

Dom Prosper Guéranger vers 1840

Dom Prosper Guéranger vers 1840

 

Béni soit notre Sauveur ressuscité qui nous a dit en ces jours : « Celui qui croira et sera baptisé, sera sauvé ! » Grâce à Sa miséricorde, nous croyons et nous avons été régénérés dans le saint Baptême ; nous sommes donc dans la voie du salut. Il est vrai que la foi ne nous sauverait pas sans les œuvres ; mais les œuvres aussi sans la foi seraient incapables de nous mériter le salut. Avec quel transport ne devons-nous pas rendre grâces à Dieu qui a produit en nous par Sa grâce ce don inénarrable, premier gage de notre béatitude éternelle ! Avec quel soin ne devons-nous pas veiller à le conserver intact, à l’accroître par notre fidélité ! La foi a ses degrés, comme les autres vertus ; notre prière doit donc être souvent celle que les Apôtres adressèrent à Jésus : « Seigneur, augmentez en nous la foi » (Luc. XVII, 5).

Nous sommes appelés à vivre dans un siècle où la foi est diminuée chez la plupart de ceux qui croient : et c’est là l’un des plus grands dangers qui peuvent assaillir le chrétien en ce monde. Quand la foi est languissante, la charité ne peut que se refroidir. Jésus demande à Ses disciples s’ils pensent que, lors de Son dernier avènement, Il trouvera encore de la foi sur la terre (Luc. XVIII, 8). N’est-il pas à craindre qu’elle ne soit voisine de nous, cette époque où les cœurs seront comme paralysés par le manque de foi !

La foi procède de la volonté mue par l’Esprit-Saint. On croit, parce qu’on veut croire ; et c’est pour cette raison que le bonheur est dans la foi. L’aveugle à qui Jésus rendit la vue, exhorté par Lui à croire au Fils de Dieu, répond : « Quel est-Il ? afin que je croie en Lui » (Jean. IX, 36). Ainsi devons-nous être disposés en présence de l’objet de notre foi. Croire, afin de connaître ce que nous ne connaîtrions pas sans la foi ; alors Dieu se manifeste à notre pensée et à notre cœur.

Mais vous rencontrez des chrétiens qui se scandalisent des saintes hardiesses de la foi. Ils nous parlent sans cesse des droits de la raison ; ils accusent les fidèles de méconnaître sa dignité, son étendue, son origine divine. Que les fidèles se hâtent donc de leur répondre : « Nous n’avons garde de nier la raison ; l’Église nous fait un devoir de reconnaître l’existence d’une lumière naturelle en nous ; mais en même temps elle nous enseigne que cette lumière, déjà obscurcie par l’effet de la chute originelle, serait incapable, fût-elle même demeurée dans son intégrité, de découvrir par ses seules forces la fin à laquelle l’homme est appelé, et les moyens d’y parvenir. La foi seule peut établir l’homme dans les conditions de la destinée sublime à laquelle la divine bonté l’a appelé ».

D’autres se persuadent qu’il existe pour le chrétien parvenu à l’âge du développement de la raison, une sorte de liberté de suspendre l’exercice de la foi, afin d’examiner s’il est raisonnable de continuer à croire. Combien font naufrage contre l’écueil que leur présente ce coupable préjugé ! La sainte Église cependant enseigne depuis les Apôtres jusqu’à nos jours, et continuera d’enseigner jusqu’à la fin des siècles, que l’enfant qui a reçu le saint Baptême a reçu en même temps la foi infuse dans son âme, qu’il est pour jamais membre de Jésus-Christ et enfant de Son Église ; et que si, à l’âge de raison, la foi est combattue en lui par le doute, il reçoit la grâce pour anéantir le doute par la foi, et risquerait son salut en suspendant sa croyance. Non assurément que l’Église lui interdise de confirmer sa foi par la science ; loin de là ; car alors il ne cesse pas de croire. C’est « la foi qui cherche l’intelligence », selon la belle parole du grand saint Anselme, et pour récompense elle la trouve.

On en rencontre d’autres qui admettent qu’au sein même de la société chrétienne, il peut exister des philosophes, c’est-à-dire des hommes étrangers à la foi, professant sur Dieu et sur Sa créature un enseignement où la parole révélée n’est pour rien, une morale dépourvue de l’élément surnaturel. Des chrétiens acceptent ces philosophes, les louent et les honorent, leur reconnaissent plus ou moins implicitement le droit d’être ce qu’ils sont. Aveugles, qui ne voient pas qu’ils sont en présence de l’apostat ! qui ne sentent pas le frisson qu’éprouvèrent tous les enfants de l’Église, lorsque Julien, cherchant en vain à laver la trace ineffaçable de son baptême, se déclara philosophe sous les yeux d’une génération issue des Martyrs !

Parlerons-nous des tristes effets que produit pour la foi la fréquentation des hérétiques, les complaisances périlleuses qu’elle entraîne, les arrangements déplorables qu’elle fait naître dans un grand nombre d’esprits ? La terrible ligne de démarcation tracée par saint Jean, dans sa deuxième Épître (II JOHAN. X, 11), tend à s’effacer ; et la rappeler seulement serait déjà pour plusieurs un sujet de scandale. Il n’y paraît que trop par la facilité avec laquelle se contractent ces mariages mixtes qui commencent par la profanation d’un sacrement, et conduisent doucement à l’indifférentisme la partie catholique, qu’un entraînement, ou des calculs humains, ont égarée dans des voies si peu sûres. Quelles clameurs n’exciterions-nous pas si, dans notre pays, nous osions parler le langage qu’osait tenir dans Londres un illustre apôtre de la piété catholique ? Prenons du moins la liberté de le répéter après lui :

« L’ancienne haine de l’hérésie devient rare ; on perd l’habitude de regarder Dieu comme l’unique vérité, en sorte que l’existence des hérésies n’est plus un sujet d’épouvante. On tient pour certain que Dieu ne doit rien faire qui nous soit pénible, et que Son autorité ne doit prendre aucune forme désagréable ni blessante pour la liberté de Ses créatures. Comme le monde a rejeté les idées exclusives, il faut bien que Dieu suive le progrès et mette de côté des principes surannés dans Sa conduite à notre égard. Les majorités doivent finir par avoir le dessus : telle est la règle et le fait d’expérience dans un pays constitutionnel. C’est ainsi que la discorde et l’erreur en religion ont fini par devenir moins odieuses et moins alarmantes, simplement parce qu’on s’y est accoutumé. Il faut une certaine hardiesse de cœur et d’intelligence pour croire que toute une grande nation ait tort, ou que tout un siècle puisse aller de travers. Mais la théologie, dans sa simplicité, met bravement le monde tout entier au ban comme pécheur, et ne trouve pas de difficulté à n’assigner à la vraie Église qu’une portion modérée de la population du globe. La croyance dans la facilité du salut hors de l’Église est fort douce, si nous avons des parents ou des amis dans les liens de l’hérésie ; de plus, si nous voulons admettre cette maxime, le monde nous pardonnera une foule d’erreurs et de superstitions, et nous fera l’honneur de nous complimenter de notre religion comme étant un produit littéraire ou philosophique de notre crû, plutôt qu’un don de Dieu. Est-ce donc là un si grand avantage, pour que tant de gens en soient si enchantés, le paient si cher et sans regret ? Il est clair que cette croyance diminue notre estime pour l’Église, et doit affaiblir notre empressement à convertir les autres. Ceux qui font le moins d’usage du système de l’Église, sont naturellement ceux qui le connaissant et l’estimant le moins, seront le moins en état d’en juger ; et avec cela, ce sont justement ceux qui sont les premiers à faire généreusement le sacrifice des prérogatives de l’Église aux exigences de la mollesse et de l’indifférentisme modernes » (William Faber. Conférences spirituelles. Le ciel et l’enfer, page 341).

 

Signalons encore comme l’une des marques de la décadence de l’esprit de foi chez un grand nombre qui remplissent d’ailleurs les devoirs du chrétien, l’oubli, l’ignorance même des pratiques les plus recommandées par l’Église. Combien de maisons habitées exclusivement par des catholiques, où l’on chercherait en vain une goutte d’eau bénite, le cierge de la Chandeleur, le rameau consacré le jour des Palmes : ces objets sacrés et protecteurs que les huguenots du XVI° siècle poursuivaient avec tant de fureur, et que nos pères défendaient au prix de leur sang ! Quelle défiance chez beaucoup d’entre nous, si l’on parle devant eux de miracles qui ne sont pas consignés dans la Bible ! Quelle incrédulité superbe, s’ils entendent dire quelque chose des phénomènes de la vie mystique, des extases, des ravissements, des révélations privées ! Quelles révoltes soulèvent en eux les récits héroïques de la pénitence des saints, ou même les plus simples pratiques de la mortification corporelle ! Quelles protestations contre les nobles sacrifices que la grâce inspire à certaines âmes d’élite, qu’elle pousse à briser en un moment les liens les plus chers et les plus doux, pour aller s’ensevelir, victimes volontaires, derrière les grilles impénétrables d’un monastère ! L’esprit de foi révèle au vrai catholique toute la beauté, toute la convenance, toute la grandeur de ces pratiques et de ces actes ; mais l’absence de cet esprit est cause que beaucoup n’y voient qu’excès, inutilité, et manie.

La foi aspire à croire ; car croire est sa vie. Elle ne se borne donc pas à adhérer au strict symbole promulgué par la sainte Église. Elle sait que cette Épouse de Jésus possède en son sein toutes les vérités, bien qu’elle ne les déclare pas toujours avec solennité et sous peine d’anathème. La foi pressent le mystère non encore déclaré ; avant de croire par devoir, elle croit pieusement. Un aimant secret l’attire vers cette vérité qui semble sommeiller encore ; et quand le dogme éclate au grand jour par une décision suprême, elle s’associe avec d’autant plus de transport au triomphe de la parole révélée dès le commencement, qu’elle lui a rendu plus fidèle hommage dans les temps où une obscurité sacrée la dérobait encore à des regards moins purs et moins pénétrants que les siens.

 

 

Alsace-Moselle : les “cultes” préconisent l’abrogation du délit de blasphème

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Le site des ralliés “Ecclesia Dei” « Riposte Catholique » ((Détenu par Guillaume Jourdain de Thieulloy
Guillaume de Thieulloy, un assistant de Jean-Claude Gaudin, le sénateur-maire UMP de Marseille est en fait à la tête d’un réseau de médias. Il détient une entreprise de presse, GT éditions, et dirige – en plus de l’Observatoire de la christianophobie et du Salon BeigeNouvelles de France, l’Osservatore Vaticano, le portail Riposte catholique, le magazine Les 4 Vérités, ou encore les Éditions Muller, dont le dernier ouvrage édité s’intitule Dix bonnes raisons de restaurer la monarchie. Il est également le créateur du Collectif Famille Mariage (CFM) et de Defensor Christi, une association ayant vocation, explique-t-il, à « mettre en place une mission de sensibilisation au parlement à Bruxelles et à créer un groupe de défense juridique des chrétiens au niveau européen ».
Source : http://www.lemondedesreligions.fr)) ainsi que BFMTV/RMC nous apprennent que les représentants des principaux “cultes” en Alsace-Moselle, y compris l’islam, et le sénateur UMP Grosdidier demandent que le délit de blasphème, toujours en vigueur dans le droit local, soit abrogé

 

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En Alsace-Moselle, les cultes préconisent l’abrogation du délit de blasphème

 

Riposte Catholique

Les représentants des principaux « cultes » en Alsace-Moselle, y compris l’islam, demandent que le délit de blasphème, toujours en vigueur dans le droit local, soit abrogé. Conciliaires, protestants, juifs et musulmans ont fait cette proposition le 6 janvier – à la veille de l’attaque sanglante contre Charlie Hebdo – lors d’une audition commune à Paris devant l’Observatoire de la laïcité, une instance rattachée aux services du Premier ministre.

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F$$PX : Il s’en passe des choses à St Nicolas !!!

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Document : Il s’en passe des choses à St Nicolas !!!

Église Saint-Nicolas-du-Chardonnet
 

Bien que cet article provienne des “résistants” internes de la FSSPX, on le lira avec intérêt et on notera les conseils donnés. Certaines phrases, très emblématiques, ont été mises en rouge par mes soins. Vos avis sont les bienvenus.

 


 

Sr Marie Lætitia excommuniée ?

 

Voici le texte officiel relatant les faits qui se sont passés à Saint Nicolas du Chardonnet, dimanche 28 décembre 2014.

Dimanche 28 décembre 2014

Excommunication d’une religieuse

Saint Nicolas du Chardonnet

à la Paroisse Saint-Nicolas-du-Chardonnet

 

« Pendant la messe, vers la fin du Credo, Monsieur l’abbé de La Rocque vient me trouver et me demande de le suivre à la sacristie. Afin d’éviter tout scandale, j’obtempère. Une fois dans son bureau, il m’explique qu’il a eu Mgr de Galarreta au téléphone. Celui-ci lui confirme (ce qu’il savait déjà) qu’une lettre m’a été adressée, le 8 septembre dernier, me signifiant mon renvoi de la congrégation des Dominicaines de Brignoles et, partant, le relèvement de mes vœux. Je dois en conséquence quitter immédiatement l’habit que je porte indûment. Aussi Monsieur le curé a-t-il prévenu tous ses vicaires de ne plus désormais me donner la communion.

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VATICAN D’EUX : Le “Pape” qui n’aime pas les prêtres…

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Le “Pape” qui n’aime pas les prêtres

 

Notre ami « Jean Marie de la Salle » (bien connu de nos Internautes commentateurs et commentatrices) nous soumet un article traduit de l’italien très éclairant sur le « Saint Père » de la Fraternité Saint Pie X, des Néo-Résistants (Willy compris), du blogue « La Question » entre autres et des Ralliés Ecclesia Dei.

L’article recommandé est publié par un blogueur très favorable à Ratzinger-Benoît(16) « Benoît-&-Moi.fr »Voyez comme ILS s’aiment !!!

Bien sur le vocabulaire est totalement conciliaire.

 

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François et don Ciotti, le "prêtre anti-mafia"Un article d’Antonio Mastino, qui déboulonne quelque peu la statue du Commandeur – précédé d’un avertissement nécessaire (27/11/2014, mise à jour le 30/11, à propos du « limogeage » du cardinal Burke)

 

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Le Manteau de Noé : Ta perfection est-elle semblable à la perfection divine ?

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Adeptes du « Manteau de Noé » *

 

Une nouvelle fois « des lecteurs » de notre blogue ont récemment préféré attaquer celui qui dénonce le scandale plutôt que celui qui provoque le scandale !

(*) Le manteau de Noé : façon pudique de cacher ou de minimiser une question gênante.
(http://fr.wikipedia.org/wiki/Expressions_bibliques#Gen.C3.A8se)

De nouveaux commentaires des sieurs Alain Cassagnau lien permanent et Morin lien permanent sont venus relancer le débat sur les fautes des prêtres en nous accusant (bien sûr) de « grands donneurs de leçons du « tradiland »… et de « manquer de charité et de prudence »

Ces Pauvres sires ! n’ayant rien compris à la « charité »… nous leur donnons à lire et à méditer ce qu’enseignait un jésuite spécialiste des retraites de saint Ignace et des retraites aux clercs…

R.P. José MACH, S.J.

Le Trésor du Prêtre

répertoire des principales choses que le prêtre doit savoir pour se sanctifier lui-même et sanctifier les autres

Extraits du Tome I – pp. 137 à 149, en PDF ci-dessous.

 

« Imaginez-vous que vous êtes entouré des saints prêtres, des missionnaires et des Apôtres ; et écoutez Jésus-Christ qui vous fait cette question : Est-ce que vous ne pouvez pas être vous-même ce que ceux-ci ont été ?

Vous y êtes obligé :

I. Par votre titre de Chrétien.

II. Par votre dignité de Prêtre.

III. Par la sainteté que Dieu exigeait des Prêtres dans l’ancienne loi.

IV. Par l’idée que les saints nous donnent du prêtre. »

 

On a perdu le sens du péché
surtout de celui du prêtre !

Catholiques, réveillez-vous.

 

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