Archive for the ‘Infaillibilité de l’Église’ Category
LE SEDEVACANTISME, où la malhonnêteté du Père Pierre-Marie des BonsHommes d’Avrillé, alias “Dominicus”
Suite à notre article du 16 décembre (2014)… « Quand le Sel de la Terre parle de la “Thèse” » dans lequel nous vous promettions de revenir en détail sur ce texte du Sel de la Terre N° 79 qui a déjà été réfuté de longue date… et sur l’incompétence de ce Pierre-Marie des BonsHommes d’Avrillé, alias “Dominicus” démontré et démonté… aussi bien par le CIRS (Comité International de Recherches Scientifiques, Rore Sanctifica) que par Louis-Hubert Remy des ACRF (Amis du Christ Roi de France)… Où il en était de même pour l’abbé Gleize, démontré et démonté… aussi bien par Virgo-Maria et Bruno Saglio des ESR (Éditions Saint-Remi)…
Nous vous proposons de commencer par la réfutation de LHR basée sur Le Sel de la Terre, n° 36, de mars 2001 qui était la première édition de ce « petit catéchisme ». La deuxième édition parue dans le Sel de la Terre N° 79 , fut, selon les BonsHommes d’Avrillé, revue et notablement augmentée, en tenant compte des débats et des objections suscités par la première édition… (fausse allégation !)
Lisez jusqu’au bout chers lecteurs… le plus croustillant est dans le dernier tiers de cet article…
Ludovicus : MISE AU POINT
Voici d’abord le commentaire de Gilbert Chevalier :
CONCLUSION
Du père Calmel ce texte lisez,
Et après cela, vous-mêmes concluez.
« Le moderniste a ceci de commun avec d’autres hérétiques, qu’il refuse toute révélation chrétienne. Mais parmi ces hérétiques, il présente ceci de particulier qu’il dissimule son refus. Le moderniste, on ne le saura jamais suffisamment, est un apostat doublé d’un traître. Saint Pie X, dans sa lucidité, avait bien vu ce qui était en train de se préparer. Le modernisme n’est pas seulement une hérésie classique : pire encore, il est toutes les hérésies sans en être une en particulier, quoique la pire de toutes. C’est pour cela qu’on a tant de peine à trouver des hérésies explicites chez eux ; s’il était si facile de débusquer des hérésies évidentes dans les thèses modernistes, le modernisme ne serait pas si pernicieux. On ne doit donc pas considérer les modernistes comme des catholiques qui se trompent, mais, à l’instar de saint Pie X, les considérer comme les tenants de toutes les hérésies, et par conséquent les tenir pour les pires ennemis de l’Église dans laquelle ils se sont infiltrés pour la détruire. Le moderniste, pour ne pas être mis hors de l’Église, reconnaît d’abord toute sa doctrine et l’ensemble de la structure ecclésiastique ; ensuite et peu à peu, il travaille à vider de leur vraie signification tous les dogmes et à détourner de sa fonction la structure de l’Église ; enfin, une fois au pouvoir, il éjecte les vrais catholiques hors de cette même structure ; et pour couronner le tout, il va même jusqu’à mettre dehors le véritable Dieu pour le remplacer par une vague divinité panthéiste. On peut se demander avec saint Pie X, si une telle crise n’est pas celle qui doit précéder l’arrivée du fils de perdition. En effet, une fois le terrain bien disposé, le temps pour l’Antéchrist de s’asseoir dans le temple vide et de se faire passer pour Dieu lui-même devient propice. »
(Le R.P. Calmel, dans sa préface du catéchisme de Lémius, lequel catéchisme explique « Pascendi » de saint Pie X en questions-réponses)
N’avais-je pas raison de dire
Tout ce qu’ici j’avais à dire ?
Gilbert Chevalier
l’Aveugle-Vendéen
(16/04/2014)
Et voici ensuite le document du Révérend Père Calmel qui écrivait cet article intitulé “Le modernisme actuel” dans la revue Itinéraires n°184, Juin 1974, p. 141-153)
*
Vous avez bien lu :
Pour une part, mais pour une part seulement, la question de l’autorité du chef visible de l’Église se trouvera résolue si nous savons que dans certains cas l’exercice de son autorité peut être mauvais. Le dogme de foi défini au Concile premier du Vatican nous oblige de distinguer l’infaillibilité, laquelle ne fait aucun doute dans certaines conditions données, de l’impeccabilité laquelle n’est pas un privilège papal ; Il Peut Donc Arriver au Pape de Faillir, Non Seulement dans l’Ordre des Mœurs, Mais, Jusqu’à un Certain Point, Dans l’Ordre de la Foi Elle-Même [Cette affirmation n’est pas catholique]. Or à partir d’une certaine gravité dans les défaillances du pape en tant que gardien de la foi, à partir d’un certain seuil, l’épreuve est à la limite de nos forces. Nous savons, nous savons désormais d’expérience, qu’il ne nous suffit point, pour la supporter sans fléchir, d’avoir une juste notion, une notion chrétienne de l’autorité réservée au pape et de l’obéissance que nous lui devons. La prière seule nous permettra d’accueillir cette épreuve, venue par le chef visible de l’Église, de telle sorte que nous vivrons plus que jamais de la vie de l’Église. Par suite de la défaillance du chef visible [Si le chef défaille, surtout dans la foi il cesse d’être chef], nous sommes obligés, plus que jamais, de nous tenir très proches du chef invisible et victorieux, Notre-Seigneur Jésus-Christ. Nous sommes obligés, plus que jamais, de mettre notre recours et de trouver notre refuge dans le Cœur Immaculé de la Mère du Souverain Prêtre, la Vierge de la Compassion et du Cénacle, dont la supplication est toute-puissante sur le cœur de son Fils.
L’IMPASSE DE LA « RÉSISTANCE »
Une nouvelle hérésie : le Williamsonisme
L’IMPASSE DE LA « RÉSISTANCE »
Mgr Williamson – 13 septembre 2014
Ni les libéraux ni les sédévacantistes n’apprécient de s’entendre dire qu’ils sont comme pile et face d’une même monnaie, mais cela est vrai [Il ne suffit pas de l’affirmer pour que cela soit, cette affirmation n’est nullement fondée]. Par exemple, ni les uns ni les autres ne peuvent concevoir une troisième alternative. Voyez par exemple dans sa Lettre à Trois Évêques du 14 avril 2012 comment Mgr. Fellay ne pouvait voir d’autre alternative à son libéralisme qui ne fût le sédévacantisme. Inversement, pour plus d’un sédévacantiste, si quelqu’un accepte que l’un des Papes Conciliaires ait été réellement Pape, alors on ne peut être qu’un libéral, et si quelqu’un critique le sédévacantisme, alors il promeut le libéralisme. Mais pas du tout !
Pourquoi non ? Parce que les uns comme les autres commettent la même erreur qui consiste à exagérer l’infaillibilité du Pape [Quand d’autres ont une fâcheuse tendance à la relativiser]. Pourquoi ? Ne serait-ce pas parce que les uns comme les autres ils sont des hommes modernes, lesquels croient plus dans les personnes que dans les institutions ? Et pourquoi cela devrait-il être un trait de l’homme moderne ? Parce que plus ou moins à partir du Protestantisme, de moins en moins d’institutions ont véritablement recherché le bien commun, tandis qu’elles ont de plus en plus recherché quelqu’intérêt particulier, tel l’argent (ma réclamation contre vous), ce qui diminue bien sûr le respect que nous leur devons. Ainsi par exemple, des hommes bons ont évité, pour un temps, à l’institution pourrie de la banque moderne de produire immédiatement tous ses effets mauvais, mais les banksters pourris actuels ont fini par montrer ce qu’étaient en elles-mêmes, depuis le début, ces institutions que sont le système bancaire de la réserve fractionnaire et les banques centrales. Le Diable est présent dans les structures modernes, grâce aux ennemis de Dieu et des hommes.
Il est donc compréhensible que des Catholiques modernes aient eu tendance à mettre trop de foi dans le Pape et trop peu dans l’Église [Ubi est Petrus ibi Ecclesia], et voilà la réponse à ce lecteur qui me demandait pourquoi je n’écris pas au sujet de l’infaillibilité comme le font les manuels classiques de théologie catholique. Ces manuels sont merveilleux dans leur genre, mais ils ont tous été écrits avant Vatican II, et ils ont tendance à attribuer au Pape une infaillibilité qui appartient à l’Église [Mgr Williamson préfère la banque au banquier]. Par exemple, le sommet de l’infaillibilité peut être présenté dans les manuels comme étant une définition solennelle par le Pape, ou par le Pape avec un Concile, mais dans tous les cas par le Pape. Le dilemme libéral-sédévacantiste en a été une conséquence et en même temps un châtiment de cette tendance à surestimer la personne et à sous-estimer l’institution, car l’Église n’est pas une institution purement humaine. [Elle est même fondée sur Pierre, par la Vérité incarnée qui a prié pour que sa foi ne défaille pas et qu’il puisse confirmer ses frères]
Et cette tendance est erronée parce que, en premier lieu, le Magistère Solennel, en tant que la couche de neige qui recouvre la montagne du Magistère Ordinaire, ne constitue le sommet de cette montagne que dans un sens très restreint – il est totalement soutenu par le sommet rocheux sous-jacent à la neige. Et en second lieu, cela ressort du texte le plus autorisée de l’Église au sujet de l’infaillibilité, à savoir la Définition du Concile vraiment catholique, Vatican I (1870), grâce auquel nous savons que l’infaillibilité du Pape vient de l’Église, et non l’inverse [Erreur grossière, la Primauté a été accordée à Pierre dans les trois domaines : enseignement, gouvernement, sanctification, c’est lui le fondement posé par Jésus-Christ et de ce fondement que vient l’infaillibilité de l’Église]. Lorsque le Pape engage l’ensemble des quatre conditions nécessaires à un enseignement ex cathedra, alors, déclare la Définition, il possède « cette infaillibilité dont le Divin Rédempteur a voulu que son Église ait le privilège lorsqu’elle définit un point de la doctrine ». Mais, évidemment ! D’où pourrait bien venir l’infaillibilité, sinon de Dieu ? [L’infaillibilité est l’assistance du Saint-Esprit qui confirme qu’une vérité appartient à la Révélation, c’est l’impossibilité de tomber dans l’erreur en matière de foi et de mœurs] Les meilleurs parmi les êtres humains – et quelques Papes ont été de très bons êtres humains – peuvent rester exempts d’erreur, c’est-à-dire, être inerrants, mais du moment qu’ils ont le péché originel ils ne peuvent être infaillibles comme Dieu seul peut l’être [Et le baptême, la grâce, l’ordre, la grâce d’état, l’assistance du Saint-Esprit ?]. S’il leur arrive d’être infaillible cette infaillibilité passe par leur humanité, mais en venant de l’extérieur, venant de Dieu, qui choisit de la concéder à travers l’Église catholique, et cette infaillibilité n’a pas besoin de durer plus longtemps que le temps nécessaire pour faire la Définition.
Par conséquent en dehors des moments ex cathedra du Pape, rien ne l’empêche de dire des aberrations telles que celles de la nouvelle religion de Vatican II. Par conséquent ni les libéraux ni les sédévacantistes n’ont besoin ni ne doivent prêter attention à ces aberrations, parce que, comme disait Mgr. Lefebvre, ils ont 2000 ans d’enseignement Ordinairement infaillible de l’Église derrière eux pour juger qu’il ne s’agit là que d’un ensemble d’aberrations. [Et François peut quand même, malgré tout, rester pape un pape faillible, dans une Église infaillible, voilà la nouvelle religion que nous propose Mgr Williamson]
Kyrie eleison.
MONSEIGNEUR WILLIAMSON VOIT CE QUE NUL N’A JAMAIS VU
Mgr Williamson, dans son “Eleison Comments” Numéro CCCLXXIV – 374 (Français) sur les « Papes Faillibles » professe de nouvelles hérésies :
Monseigneur Williamson Voit ce que Nul n’a Jamais Vu
Par Osko de Radio Cristiandad
QUE NUL N’A JAMAIS VU" width="400" height="383" />
Ne se satisfaisant plus d’émettre ses railleries habituelles, Mgr Williamson a décidé de publier un point de vue carabiné dans son ELEISON 374, et il nous semble déraper complètement désormais. Il y expose sa THÈSE d’une manière plus précise que d’ordinaire, car son intention – inhabituelle pour lui – paraît être de défendre avec une véhémence accrue, non seulement la thèse Anti-Sédévacantiste, mais aussi la légitimité de la position soutenue par ceux qui croient toujours que l’église Conciliaire et officielle EST l’Église catholique.
En cela, il s’apparente à la « ligne médiane », qui est de plus en plus erratique, à la néo-FSSPX, qui se rapproche sans cesse de Rome (autre parallèle pour la collection de l’abbé Ceriani) et des conciliaires, qui sont de plus en plus apostats, bien qu’ils aient évidemment l’illusion d’être catholiques, de penser en catholiques et d’agir en catholiques, car il croient que la Doctrine catholique EST la doctrine du conciliabule Vatican II, que l’on peut être moderniste tout en restant catholique et que l’œcuménisme conciliaire est catholique. C’est pourquoi ils trouvent génial d’assister aux cultes protestants, de semer des oliviers de la paix ici ou là en compagnie des Juifs et des musulmans, ainsi que d’organiser des « rencontres interreligieuses » à Assise, des « matches de football interreligieux », des « journées de réflexion interreligieuses », des « messes interreligieuses », etc. etc. Tout cela, nous le savons, et nous en sommes écœurés.
Ah, j’oubliais : en plus, ils croient que les « messes » conciliaires du Novus Ordo sont catholiques… N’est-ce pas, Mgr Williamson ? À moins que vous ne vous hasardiez à affirmer sans équivoque qu’Elles ne le sont pas ?
Autrement dit, ils croient TOUS que Bergoglio est pape, alors que nous autres croyons que non, point final. Là est toute la différence entre eux et nous.
Ils croient qu’un pape peut être un zozo apostat, alors que nous autres croyons que non.
Ils croient que l’église Conciliaire est l’Église catholique de toujours, alors que nous autres croyons que non.
C’est pourquoi le présent article relatif au numéro 374 d’ELEISON a pour objet de réfuter les dires de Mgr Williamson en insistant sur ce que nous y percevons comme étant des incohérences ou des contradictions ; il vise même à aller au-delà en démontrant que le système préconisé présente un danger pour ceux qui l’adoptent.
Nous traiterons de ce dernier point en dernier, dans une sorte d’annexe.
Et si certains de nos lecteurs trouvent notre ton quelque peu agressif, il nous faudra leur répondre qu’ils ont raison, mais que s’il ne l’est pas davantage, c’est parce que nous avons eu la prudente idée de lire ce numéro d’ELEISON muni d’un grand verre de bon whisky, confortablement installé dans notre fauteuil, avec en musique de fond la belle « Suite bergamasque » de Claude Debussy (1), qui a la particularité de nous apaiser, tout comme le whisky (bénis soient donc l’une et l’autre).
Disputatio avec le RP Laurent (Capucin de Morgon)
… où l’incompétence doctrinale !
Un de nos amis et fidèle lecteur du CatholicaPedia Bog habitant à proximité des capucins de Morgon a été amené à les fréquenter de manière assidue (ce sont eux qui l’ont baptisé) avant de préférer faire un plus gros sacrifice et d’aller à l’IMBC à Lyon…
Ayant débattu avec Le père gardien (qui fut son directeur spirituel) du sédévacantisme et de la question de l’infaillibilité pontificale, il put constater que ce “directeur spirituel” n’y connaissait rien du tout, en ayant eu droit à des réponses du genre :
— La très mythique « si votre père vous demande de vous tuer, vous ne le faites pas mais il reste toujours votre père »
— « donc le pape est hérétique ? » (lui) — « Non, on ne dit pas que le pape est hérétique mais qu’il dit des hérésies » (le Père Antoine)
Voyant sa consternation, et la difficulté à avancer quoi que ce soit de tangible, le Père Antoine l’a donc orienté vers le Père Laurent (maître des étudiants) et il a donc débattu avec ce dernier… qui avait étudié la question pour l’occasion et le moins qu’on puisse dire c’est que ça se sentait que c’était tout frais.
Après le premier rendez vous, notre ami a donc préparé une réfutation de tous ses arguments (par écrit et que vous pourrez lire plus bas…) en vue de leur rendez vous suivant et le Père Laurent à abdiqué à tous les arguments ! Toutefois il a continué de s’accrocher en disant que l’invalidité des nouveaux sacrements que notre ami avançais était encore à prouver (notre ami “fidèle semper idem” lui ayant précisé que des travaux avait été fait mais le Père Laurent ne semblait pas convaincu…) et que le problème du sédévacantisme c’est qu’il n’y a pas de solution (…pour eux !!! enfermement dans un point de vue purement humain), une voie de garage comme ils se plaisent à dire.
Notre correspondant et ami, souligne que le gros problème des capucins de Morgon est qu’ils ont clairement de graves lacunes en matière de doctrine, et aussi que lorsqu’ils étudient ils ne prennent leurs informations que dans les livres et revue de la Fraternité (pour les livres… il ne se souviens plus des titres, la revue étant bien sûr « Le Sel de la Ierre »).
Donc à son humble avis, ils sont plus ignorants que malhonnêtes mais pour ça c’est au bon Dieu de juger.
Il espère donc que ces informations pourront aider quelques uns à se faire une opinion plus claire.
En digne fils du Père Eugène de Villeurbanne qui pourra sauver l’ordre des capucins du modernisme ?
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Abbé Marchiset “feeneyiste”… il tombe dans l’hérésie !
Cœur Douloureux et Immaculé de Marie, intercédez pour nous…
Abbé Marchiset “feeneyiste”… il tombe dans l’hérésie !
Nous savions depuis quelques mois que l’abbé Michel Marchiset avait été séduit par la thèse du Père Leonard Feeney suite à la fréquentation de sa chapelle “non una cum” de Mouthier Haute-Pierre du très néfaste Jérémy le « petit pape de Genève », du site « www.la-foi.fr » dont nous vous avions mis en garde dans notre article du 18 mai 2014 :
« Le site “la foi.fr” est nocif pour votre foi ! »
Lien : http://wordpress.catholicapedia.net/le-site-la-foi-fr-est-nocif-pour-votre-foi/
Depuis quelques jours la “chute” de l’abbé Marchiset est publique… le site « www.la-foi.fr » a en effet publié le sermon de l’abbé du « Quatrième dimanche après la Pentecôte » (2014) :