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Archive for avril, 2016

28 avril : Anniversaire du Dies Natalis de Saint Louis-Marie Grignion de Montfort

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Saint Louis-Marie Grignion de Montfort

 

 

28 avril : Anniversaire du Dies Natalis de Saint Louis-Marie Grignion de Montfort

 

Nous fêtons cette année le tricentenaire du Dies natalis (1) du Révérend Père de Montfort.

Louis-Marie de Montfort

Saint Louis-Marie Grignion de Montfort (2) est né le 31 Janvier 1673 à Montfort sur Meu, en Bretagne, Missionnaire Apostolique, fondateur des prêtres Missionnaires de la Compagnie de Marie et de la Congrégation des Filles de la Sagesse, il est mort à St Laurent sur Sèvre (Vendée) le 28 avril 1716.

Saint Louis-Marie Grignion de Montfort a été béatifié par Léon XIII, le 22 janvier 1888, et il a été canonisé par Pie XII, le 20 juillet 1947.

 

Si les saints n’apparaissent pas fortuitement sur la scène du monde,
ce n’est pas non plus le hasard qui, après leur mort,
détermine l’époque de leur glorification….

Cardinal Pie

 

 

Dans « Vie du vénérable Louis-Marie Grignion de Montfort : missionnaire apostolique, fondateur des prêtres missionnaires de la Compagnie de Marie et de la Congrégation des Filles-de-la-Sagesse » M. l’abbé Pauvert, curé de Châtellerault, écrit en Préface de son édition de 1875 :

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Le Souverain Pontife a déclaré que le Vénérable serviteur de Dieu Louis-Marie Grignion de Montfort a pratiqué toutes les vertus d’une manière héroïque.

Venerable LM Grignion

Ce Décret solennel prouve qu’il n’y a aucun doute sur la sainteté de sa vie et de sa mort, et que ses vertus ont été assez héroïques et assez opportunes pour être dans notre siècle une glorification de Notre-Seigneur Jésus-Christ, une preuve de l’énergie de sa grâce, une protestation contre les iniquités contemporaines, par conséquent un exemple et un nouveau stimulant de vertu pour les fidèles.

Monseigneur l’Évêque de Poitiers, dans un de ses éloquents panégyriques, dit ces belles paroles :

« Si les saints n’apparaissent pas fortuitement sur la scène du monde, ce n’est pas non plus le hasard qui, après leur mort, détermine l’époque de leur glorification. Dans le ciel des élus comme au firmament visible, c’est sur un signal du Très-Haut que les étoiles longtemps cachées et comme endormies dans un point reculé de l’espace, accourent en criant : Nous voici, et qu’elles commencent de briller pour celui qui les a faites : Stellae vocatae sunt et dixerunt : adsumus ; luxerunt ei cum jucunditate, qui fecit illas (Bar. III, 35).

Des rapports secrets et permanents ont été établis entre l’Église triomphante et l’Église militante, et quand Dieu nous destine de nouveaux combats sur la terre, presque toujours il nous montre de nouveaux alliés et de puissants protecteurs dans les cieux. »

C’est aussi sous ce rapport que cette cause a été envisagée à Rome.

« L’époque la plus glorieuse pour la France est le siècle de Louis XIV. Tous les genres de gloire s’y trouvent concentrés : victoires éclatantes, agrandissement du royaume, fin des guerres civiles, honneur et protection accordés au commerce, aux arts et aux sciences, réunion d’hommes célèbres dans l’armée, dans la magistrature et le clergé, construction de monuments splendides, gloire de la France rayonnant dans toutes les parties du monde. Mais, sous ces dehors brillants, on voyait poindre des germes de désordre ; trop concentré dans la recherche du luxe, de la richesse et de la gloire, le peuple français se détournait des pensées austères de la religion et du désir de ses fins immortelles.

Les voluptés et les délices franchissaient la cour qui les avait vues naître, corrompaient les âmes et préparaient la dissolution des mœurs. En un mot, malgré l’éclat du siècle de Louis XIV, la France laissait prévaloir chez elle les trois concupiscences dont parle l’apôtre bien-aimé : celle de la chair, celle des yeux, et l’orgueil de la vie qui vient du monde et non du Père.

« Mais Dieu, qui ne manque jamais à son Église et qui lui suscite des hommes choisis pour les besoins de leur époque, envoya à ce peuple séduit un homme dont toute la vie prêchait la folie de la croix. Tous les yeux se tournèrent vers cet homme puissant en œuvres et en paroles, dont les discours rappelaient les saintes pensées de la foi et inculquaient l’humilité et l’austérité de la loi évangélique. Dieu lui donna une manière d’être profondément ennemie des tendances de son époque : il ne voyait que par la foi, ne recherchait que la bassesse, n’aspirait qu’à la souffrance, et méprisait toute considération humaine.

Cette opposition flagrante et visible, qui était une censure des mœurs contemporaines, fournit aux ennemis de la doctrine et de la morale évangéliques une occasion de persécuter cet homme, de calomnier ses actions et ses paroles, de blâmer ses démarches comme singulières et déplacées. Cette persécution était si artificieuse qu’elle influença des hommes prudents et pieux qui le repoussaient ou le traitaient durement, en sorte qu’il souffrit de la part des bons et des méchants.

Admirable économie de la Providence ! Cet homme, tiré du monde pour confondre par la folie de la croix la sagesse du monde, devint, par la persécution, plus conforme à l’image de celui qui fut détesté et poursuivi par les hommes. »

Si la vie du V. Montfort fut une protestation contre le sensualisme de ses contemporains, l’Église, en proclamant ses vertus héroïques, nous donne une leçon et un exemple dont nous avons aussi grand besoin que les Français du XVIIIe siècle. Les germes de corruption qui ne faisaient qu’éclore se sont épanouis en toute liberté. Le besoin de la jouissance, l’horreur de la privation sont aujourd’hui le mobile de notre activité fiévreuse. C’est le but de l’énergie sociale et individuelle, c’est là que tendent les découvertes industrielles, les théories politiques et scientifiques. La morale elle-même s’est énervée : elle ne cherche plus sa sanction dans l’idée de Dieu et l’espoir de la récompense infinie ; elle n’impose le devoir et la répression des appétits que comme une condition de paix et de bien-être ici-bas ; elle nie la parole de l’Évangile qui avait dit : Heureux ceux qui pleurent ; elle soutient l’affirmation contraire et dit : Heureux ceux qui sont dans la joie ; elle étouffe l’idée surnaturelle dans son atmosphère sensualiste.

À notre époque, il faut donc étudier ces héros de la croix qui ont suivi de plus près la trace de leur maître. …

(…)

Dieu est admirable dans ses Saints. Ils sont le chef-d’œuvre de la sagesse et de la miséricorde infinie …

(…)

Nous avons trois preuves péremptoires de la mission céleste du V. Montfort : l’existence de ses deux congrégations, les miracles opérés par son intercession, le jugement de l’Église …

(…)

Il est une autre preuve de la mission du V. Montfort ; moins visible que les autres, elle n’échappe pas aux observateurs attentifs.

Lorsque les révolutionnaires de 93 promenèrent sur la France leurs fureurs impies, beaucoup de provinces courbèrent la tête, quelques-unes applaudirent ; deux seulement, la Vendée et la Bretagne, dirent comme les Machabées :

« Il vaut mieux mourir que de voir l’opprobre de notre nation ».

Pour quel motif ces deux contrées limitrophes, mais séparées par une barrière infranchissable, celle du langage, lancèrent-elles au combat leurs catholiques populations ? Parcourez notre histoire : à aucune époque, ont-elles été signalées comme plus pieuses que les autres ? S’étaient-elles jamais mises à la tête du mouvement religieux ? À la brillante période des croisades, ont-elles envoyé de plus nombreuses phalanges sous les étendards de la croix ? Non ; recueillez toutes les complaintes vendéennes, pas une seule qui en ait gardé le souvenir. Lisez les nombreuses ballades bretonnes, si soigneusement conservées ; une seule y fait allusion, encore c’est pour décrire les malheurs qui ensanglantèrent le manoir breton, pendant que le châtelain guerroyait outre-mer. Ont-elles fourni plus de chevaliers aux ordres militaires ? Non encore, puisque la langue bretonne n’était pas comptée au nombre de celles qui donnaient des électeurs pour le choix du grand Maître de Malte.

Il faut donc en conclure que cette exaltation et cette intrépidité de l’esprit religieux dans les provinces de l’Ouest sont dues à des causes récentes et presque contemporaines. La Bretagne le dut aux prédications de Michel le Nobletz, du P. Maunoir et du P. Bernard.

La Vendée le dut exclusivement au V. Montfort et à ses successeurs, qui firent passer leur foi et leur enthousiasme dans l’âme des prêtres et des paysans vendéens. C’est du pays où existait la maison mère de son ordre que partit le premier signal qui commença cette guerre de géants où gain de cause resta aux vaincus. Vers 1797, en voyant ces campagnes incultes, ces granges brûlées, ces villages veufs de leurs 400 mille habitants tombés sous le plomb ou sous le fer, les sages de l’époque déploraient ce sang versé pour rien : ils ne savaient pas que Dieu le conserve comme un trésor quand il a coulé pour la justice. La Vendée était à terre, mais sa sublime plaidoirie restait sans réponse. Elle avait prouvé que le sol français tremblera toujours sous les pas des oppresseurs de la vérité catholique ; tandis que la main du premier Consul semblait ouvrir les églises désertes et les cathédrales dévastées, c’étaient Cathelineau, Bonchamp, Larochejaquelein, Lescure, Charrette, d’Elbée, c’étaient ces laboureurs martyrs enfouis sous leurs sillons ensanglantés, c’étaient tant de pieuses paysannes, tant de pures jeunes filles guillotinées, fusillées ou noyées dont les ombres héroïques agitaient sur leurs gonds rouillés les portes de nos églises, les ouvraient à deux battants et y faisaient entrer à flots les populations redevenues catholiques. Sans cet immense holocauste, des législateurs révolutionnaires n’auraient jamais deviné la force latente du catholicisme. Dieu, d’ailleurs, n’eût pas laissé finir si vite ces saturnales où des impies dansaient les pieds dans le sang.

Les martyrs de la Vendée jouèrent auprès de la justice divine le rôle de ces victimes de l’Apocalypse qui disaient à Dieu : « Jusques à quand, Seigneur, qui êtes saint et vrai, ne faites-vous pas justice et ne vengez-vous pas notre sang ? » Cette vengeance miséricordieuse ne se fit pas attendre.

Que ce mépris de la mort, que cette foi ardente, que cette haine de l’impiété soit l’œuvre de Montfort et de ses fils qui continuèrent à évangéliser ces contrées, tous l’attestent, amis et ennemis, et les Pères du Concile provincial de Poitiers, demandant la béatification du V. Montfort, et les documents que Gensonne et autres fournirent à la Convention, et l’incendie de la maison de Saint-Laurent, le massacre des religieuses et des frères, et le martyre de deux missionnaires égorgés comme propagateurs du fanatisme dans la Vendée.

Toutes ces preuves de la sainteté et de la mission divine du V. Montfort ne sont plus nécessaires après le Décret du Souverain Pontife qui proclame ses vertus héroïques…

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L’existence de Jésus-Christ « remise en cause » !

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Breaking News
(signifiant Édition Spéciale)

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Une correspondante nous adresse cette nouvelle, nous l’en remercions.

Cette information vient d’une association de soutien à Israël !!!

Tous ces contempteurs de la Chrétienté peuvent affirmer que l’eau ne bout pas à cent degréselle bout quant même à 100° !!!

Cave Ne Cadas

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logo Europe Israël news
22 avril 2016

À la demande des pays Arabes et le vote de la France, l’UNESCO a voté une résolution remettant en cause l’existence de Jésus. Chrétiens réveillez vous !

Jésus chassant les marchands du Temple

Il ne s’agit pas d’un canular : L’UNESCO, sur proposition des pays arabes, a voté une résolution négationniste remettant en cause l’existence même de Jésus, voire du Christianisme, le 18 avril 2016.

Avec l’Espagne, la Slovénie, la Suède et la Russie, la France a voté favorablement cette résolution.

Ce révisionnisme musulman vise non seulement à la négation pure et simple du Judaïsme en Terre Sainte mais aussi à l’existence même du Christianisme et de Jésus Christ.

En effet, si le Monde accepte qu’il n’y ait aucun lien entre les Juifs et Jérusalem, entre les Juifs et le Mont du Temple, alors Jésus ne serait plus qu’une légende inventée.

Selon le Nouveau TestamentJésus était Juif et c’est à Jérusalem qu’il se rendit pour prier au Temple. 

Dès les évangiles de Matthieu et de Luc, nous sommes transportés à Jérusalem où sont relatées les dernières années du règne d’Hérode le Grand. Nazareth, Bethléem et, bien sûr, Jérusalem.

La capitale de David est le lieu de plusieurs épisodes des évangiles de l’enfance : la vision de Zacharie dans le Temple (Lc 1,5-23), la venue des Mages auprès d’Hérode (Mt 2,1-12) et la présentation de Jésus au Temple à 40 jours (Lc 2,22-38). Douze ans plus tard, c’est la rencontre du jeune Jésus avec les docteurs de la Loi (Lc 2,41-52).

Jésus lance en public, dans le Temple, les paroles prophétiques qui annoncent la chute de la ville et la destruction du Temple.

Le Temple est le cœur du peuple Juif : le grand lieu de la prière, des sacrifices et des grandes fêtes liturgiques. Les disciples s’extasient devant son architecture imposante : “ Maître, regarde : quelles pierres, quelles constructions ! ” (Mc 13,1).

Luc, Jésus passait le jour dans le Temple à enseigner et il sortait passer la nuit sur le mont des Oliviers ” (Lc 21,37).

Quand Jésus monte à Jérusalem, c’est pour se rendre au Temple, l’un des lieux importants de l’évangile. Jean mentionne des montées de Jésus pour les fêtes de Pâque (2,13; 11,55), des Tentes (7,2), de la Dédicace (Hanoukka : 10,22) et pour une fête Indéterminée (5,1). Jésus va prier au Temple.

L’importance de Jérusalem, ville juive, et du Temple Juif sont au centre des évangiles.

Il est donc pour le moins étrange qu’aucune autorité religieuse Chrétienne ne se soit élevée contre cette résolution révisionniste qui remet en cause tous les fondements du Christianisme et du Judaïsme.

Ainsi pour l’UNESCO, le Temple de Salomon, celui d’Hérode, n’auraient pas existé : ce ne seraient que des mythes juifs, illégitimes, auxquels il faudrait tordre le cou, à défaut de pouvoir tordre le cou de chaque Juif ?

Ce sont des tonnes et des tonnes de pierres de toutes tailles et des poussières formées par les déblais du creusement d’une vaste salle de prière sous l’esplanade des mosquées, là où se trouvait le Temple qui n’aurait jamais existé ; ce lieu où les Juifs n’auraient jamais mis les pieds pour honorer l’Éternel, ni à l’époque de Jésus, ni avant ?

Pour parachever le tout, l’UNESCO décide que le site du Mur Occidental (Mur des Lamentations) n’a aucun lien avec le Peuple juif ; le passé est abrogé par un acte bureaucratique qui accuse de mythomanie le Peuple juif, ainsi que les quatre évangiles canoniques.

L’UNESCO considère ainsi que toute l’histoire du Judaïsme mais aussi du Christianisme, de Rome sont des mensonges, délirants et insensés. Les écrits relatés par Flavius Josèphe, dans son livre de plus de 1000 pages, « la guerre des Juifs » contre Rome sont également des mensonges et des fables.

Flavius rappellera que le siège de la cité « de sainteté », mené par Titus et ses légions, – lieu dont l’UNESCO décide qu’il n’a pas de lien historique avec les Juifs – coûtera un million de vies de Juifs (hommes, femmes, enfants).

Cette résolution s’inscrit dans la volonté de l’Islam et du monde Arabe de s’imposer en effaçant progressivement toute trace du Judaïsme et du Christianisme en Terre Sainte.

Déjà le 21 octobre 2015, l’UNESCO avait classé le Caveau des patriarches et la Tombe de Rachel, deux lieux saints juifs en Israël, comme des sites musulmans de l’État palestinien.

Les pays arabes ont même accusé Israël de fabriquer de fausses tombes juives à Jérusalem !

Il n’y aurait pas de « Mont du Temple » et pas de Mont Moriah – il n’y aurait que l’Esplanade des Mosquées et le Haram al Sharif ou « Noble Sanctuaire ».

On peut tout à fait considérer en bon laïc que toutes ces histoires de lieux saints ne sont que des sornettes, mais alors il faut s’abstenir de préférer une sornette à une autre, surtout lorsque l’une des sornettes précède toutes les autres de quelques millénaires.

L’un des épisodes les plus pathétiques de l’échec des négociations de paix à Camp David en 2000 était une scène largement documentée qui a vu Yasser Arafat tenter de convaincre un Bill Clinton ahuri que cette histoire de Temple juif était un mythe et qu’il n’y a en réalité aucun lien entre les juifs et Jérusalem.

Sans rentrer dans un développement théologique, il semble essentiel de rappeler ici une évidence : c’est parce que Jérusalem est sainte pour les Juifs qu’elle l’est devenue pour les Chrétiens puis pour les Musulmans.

Si le Coran est largement silencieux sur Jérusalem (le nom même de la ville n’y figure pas), la tradition islamique est truffée de références explicites au fait que le Noble Sanctuaire, la Mosquée d’Al-Aqsa et le Dôme du Rocher ont été érigés sur le lieu exact du Temple de Salomon.

Il ne serait pas venu à l’esprit du Calife Omar, qui a construit la première mosquée sur le Mont du Temple au VIIe siècle, de nier le lien consubstantiel entre ce lieu et le judaïsme. La tradition islamique rapporte que c’est même un rabbin yéménite fraîchement converti à l’islam qui lui indiqua le lieu précis de la « pierre de la fondation » sur laquelle est bâti aujourd’hui le Dôme du Rocher.

Le théologien Ibn Taymiyya (XIIIe siècle), considéré comme l’une des références religieuse centrales du courant wahhabite et salafiste, était si convaincu du lien entre ce lieu saint et les juifs qu’il s’en méfiait.

Salomon n’était pas juif mais bien musulman

L’une des preuves les plus absurdes de cette réécriture de l’histoire nous vient des revirements du WAQF, l’organisme en charge de la gestion des lieux saints musulmans à Jérusalem. Les guides publiés et distribués par le WAQF aux visiteurs avant la création de l’État d’Israël s’enorgueillissaient de cette filiation avec le premier et le deuxième Temple juif et en particulier avec la figure du roi Salomon.

Le nouveau guide publié et diffusé en 2014 nie tout lien entre le Mont du Temple ou même le Mur de Lamentations et le peuple juif…

Le comble est probablement l’affirmation dans cette dernière publication que le roi Salomon n’était pas juif mais bien… musulman (ce qui est bien sûr difficile à réconcilier avec la chronologie étant donné que son règne précède l’avènement de l’islam d’à peu près 1 500 ans.).

L’UNESCO veut faire disparaitre la civilisation Judéo-Chrétienne

Ce sont les fondements de la civilisation Judéo-Chrétienne qui sont remis en cause avec la complicité de la diplomatie française

Cette résolution infâme, soutenue par la France, devrait soulever l’indignation de l’Église et des Chrétiens qui jusque là restent bien silencieux.

Nier tout lien entre le Judaïsme et le Mont du Temple, nier l’existence du Temple de Jérusalem où se déroula la vie de Jésus, où il pria, où il prêcha, c’est nier également l’existence même de Jésus mais aussi les fondements du Christianisme.

Sans Temple Juif à Jérusalem, tous les évangiles sont remis en cause.

Pourtant pas une seule autorité Chrétienne ne s’est élevée contre ce révisionisme historique et religieux de l’UNESCO sous la pression arabe…

Une fois de plus, seuls les Juifs dénoncent cette manipulation de l’histoire opérée par le monde arabe…

Le Dr Francis Weill écrivant au Préfet du Doubs suite au vote de cette résolution résume bien les faits :

« Ce vote est insensé : le Temple juif de Jérusalem, dont ce mur est un vestige, a été édifié environ mille ans avant notre ère. Le mur a été bâti au plus tard au  1er siècle par Hérode le Grand.

L’islam est apparu en l’an 622 de notre ère : sept siècles plus tard. Cette résolution est donc scientifiquement stupide et moralement malveillante. Elle reprend une thèse négationniste constante de l’islam, qui, pour de raisons de politique actuelle, nie toute présence juive (et donc primo-chrétienne) antique en Israël. Il y a vingt ans déjà j’ai entendu personnellement le grand mufti de Jérusalem exprimer cette position : pour lui, le Mur est le mur de soutènement de sa mosquée.

Ainsi, même si la science a prouvé qu’un objet est noir, il suffit que l’islam désire qu’il soit qualifié de blanc pour que le gouvernement français accepte de se plier à sa volonté.

Ce faisant, nos gouvernants ont installé tous les Français dans un statut de dhimmis. Ce fait est lourd de danger pour l’avenir. Ce vote n‘est pas seulement insensé ; il est indigne.

Nos forces de défense se battent contre l’islamisme conquérant. Et voilà qu’à l’UNESCO notre pays à concédé à l’État islamique une immense victoire culturelle.

Notre gouvernement a toujours proclamé sa détermination à lutter contre l’antisémitisme ; mais en l’occurrence il a apporté, sur la scène internationale, son soutien à un certain antisémitisme. »

Les Chrétiens doivent absolument dénoncer cette manipulation de l’histoire qui remet en cause l’existence même du Christ.
Chrétiens réveillez vous !

© Christian De Lablatinière pour Europe Israël News

 

 

Église catholique versus Secte maranne conciliaire

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Église catholique

 

versus

Secte maranne conciliaire

 

*
*     *

 

Pour l’Église catholique, un atelier extraordinairement novateur conçoit, entre 1225 et 1235, sur le chantier de la Cathédrale de Strasbourg, les parties supérieures du croisillon sud et le Pilier des Anges, puis les tympans des deux portails sud et le couple de l’Église et de la Synagogue placé de part et d’autre de ces portails. Ces deux figures de femmes, allégories des religions chrétienne et judaïque, comptent parmi les plus célèbres chefs-d’œuvre de l’art occidental du Moyen Âge.

Portail sud de la Cathedrale de Strasbourg

 

La Synagogue vaincue et l’Église triomphante appartiennent à une symbolique traditionnelle dont les représentations se multiplient à partir du milieu du XIIIe siècle. À gauche, l’Église victorieuse et couronnée, tenant dans ses mains le calice et la bannière que surmonte la croix, considère avec assurance la Synagogue. Celle-ci, qui tient une lance brisée, détourne sa tête aux yeux bandés, expression de son refus de reconnaître dans le Christ le Messie attendu. Elle paraît laisser tomber les tables de la Loi, symbole de l’Ancien Testament dépassé. Ces sculptures encadraient à l’origine une figure du roi Salomon placé entre les deux portails, assis sur un trône et tenant une épée, figure aujourd’hui disparue. Ces figures élancées sont empreintes d’une très grande humanité. Toutes deux caractérisent la brève période de raffinement qui marque la fin du règne des Hohenstaufen. La finesse des drapés fluides, qui laissent percevoir la densité des corps, ainsi que les poses majestueuses, renvoient également à la statuaire de l’Antiquité, qui bénéficie au début du XIIIe siècle d’un regain d’intérêt désigné sous le nom de « Renaissance antique ».

 

* * *

 

Pour le secte maranne Conciliaire, une statue commandée par l’Institut de relations juives et catholiques à l’Université Saint-Joseph de Philadelphie appelée “Synagogue et Église dans notre temps” représente « deux femmes assises l’une à côté de l’autre, comme deux sœurs »…

Synagoga and Ecclesia in Our Time par Joshua Koffman 2015

   Une image vaut mille mots !   
Là vous en avez deux !

 

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NORMALISATION !!! Retour à “la normale” ou régularisation d’une “Tradition” désintégrée ?

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NORMALISATION !!! Retour à “la normale” ou régularisation d’une “Tradition” désintégrée ?


 

 

« Si un ordre donné semble injuste, on a toujours la possibilité d’un recours à l’autorité supérieure, mais à la condition d’avoir d’abord obéi. Et, comme il n’existe ici-bas aucune autorité qui soit supérieure à celle du Souverain Pontife, vicaire de Jésus-Christ, Notre Seigneur, la conséquence logique, inévitable est qu’il faut se soumettre à ses ordres, à ses conseils et à ses désirs, en faisant abstraction complète de nos jugements particuliers. »
(Aventino – La doctrine de Léon XIII)

« Le Pontife Romain successeur de Saint Pierre dans sa primauté,
a non seulement la primauté d’honneur, mais le pouvoir de

juridiction suprême et entier sur l’Église Universelle,
tant dans les matières qui concernent
la foi et les mœurs,
que dans celles qui se rapportent à la discipline et au
gouvernement de l’Église répandue dans le monde entier. »

(Canon 218 – Codex 1917)

 

 

________________

 

 

Dans un document hallucinant de sophismes, d’erreurs et de dénis, l’Abbé Franz Schmidberger adresse à tous les membres de la FSSPX un document sous forme de Lettre dont on nous dit qu’il a été distribué à tous les prêtres de la Fraternité il y a quelques semaines…

La “Résistance” interne (et son organe officiel : France FidèleUnion Sacerdotale Marcel Lefebvre – NNSS Faure, Williamson, Thomas d’Aquin) y va de sa critique “catholique” et se dit terrifiée (sic!) au vu de « cette désintégration planifiée » sous prétexte de « normalisation » (on appréciera les relents historiquement nauséabonds de ce terme…).

Nous autres, catholiques semper idem, sommes aussi terrifiés mais, contrairement à la dite  “Résistance”, nous ne sommes pas surpris et ne mettons pas notre espérance chrétienne dans une illusoire conversion des prétendues “autorités” apostâtes et hérétiques de Rome et d’ailleurs…

Bien conscient que son document allait appeler pour le moins quelques réserves, notre Abbé et grand ami de Joseph Ratzinger *, consacre tout un chapitre pour répondre aux objections dont il présuppose par ailleurs qu’elles viendront principalement de la fameuse Résistance

Le petit travail d’analyse et de commentaires que l’on m’a suggéré en “haut lieu” semble assurément dépasser, et de très loin, mes forces et mes compétences personnelles. Néanmoins, suppliant l’Esprit Saint d’y mettre son petit grain de sel bénit, je vous propose , chers lecteurs forcément indulgents, de passer en revue les diverses assertions de l’Abbé, d’en démasquer l’esprit pervers, d’en débusquer les sophismes, oublis, dénis et raisonnements captieux. Et s’il s’avère que je n’ai pas été à la hauteur de mes prétentions, nul doute que d’autres catholiques se feront un devoir sacré de venir rectifier, compléter ou commenter mon modeste article. Car, comme dit l’Abbé, « la conversion réclame notre collaboration », étant bien entendu qu’il s’agit avant tout et principalement de …la nôtre !!!

Notons au passage que le titre lui-même requiert notre attention ; normalisation évoque un “retour à la normale” et rien que cela permet de savourer combien grande est la distance entre la coupe d’un retour de l’Église et les lèvres d’un clerc impatient de la retrouver dans toute l’ampleur de son « mystère », comme dit l’Abbé F. S. !

 

Fidèle à ma méthode de l’insert, qui vaut ce qu’elle vaut, je propose à mes lecteurs de lire ou relire ce document accablant en leur faisant profiter de mes petits commentaires, en mettant en relief (gras, italiques, couleurs) les incongruités de l’Abbé et les mots ou passages qui fâchent, persuadé que nos lecteurs prendront la plus grande part aux commentaires et réflexions qui leur reviennent au fil de leur lecture.

Pierre LEGRAND.

 

* : on peut d’ailleurs légitimement se poser la question de savoir si les bouquets de roses offerts par l’Abbé à “l’Abbé Ratzinger” n’ont pas donné des idées de bouquets “spirituels” à Mgr Fellay…quelle vilaine pensée n’est-ce pas !…        

 


 

Abbé Franz Schmidberger (à gauche) Mgr Fellay (à droite)

 

« Normalisation » (Régularisation)

Par M. l’abbé Franz Schmidberger de la FSSPX

 

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F$$PX : un pas de plus vers l’apostasie…

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La fausse RésistanceR&RFrance Fidèle se retrouve “terrifiée” par les Néo-supérieurs de la Néo-F$$PX suite à une lettre de la taupe ralliériste fidèle ratzingerien herr Pfarrer Schmidberger :

(un texte important – plein de sophismes – y compris dans la pseudo réfutation – un pas de plus vers l’apostasie – et bien sûr, aucune réaction sérieuse)

 

France Fidèle Snap

 

« Normalisation »

(Régularisation)

Par M. l’abbé Franz Schmidberger de la F$$PX

 

 

Note de France Fidèle :

Alors que le fondateur de la FSSPX, Mgr Lefebvre, avait exigé des quatre évêques de ne remettre leur épiscopat entre les mains d’un pape redevenu parfaitement catholique, et ce pour éviter la désintégration de la Tradition dans le sein de l’église [secte marrane] Conciliaire, nous assistons, “terrifiés”, à la planification calculée de cette désintégration par les nouveaux supérieurs de la F$$PX sous le prétexte de “Normalisation”. Le document ci-joint a été distribué à tous les prêtres de la F$$PX il y a quelques semaines. Nous venons d’en avoir connaissance. Les clercs sans scrupules qui ont rédigés ce document ont même l’audace de présenter des arguments qui furent tous réfutés par Mgr Lefebvre (cf. document : « reconnaissance canonique, un danger pour la Foi ? »). Puisse l’Esprit de Force aider les prêtres à refuser une telle trahison.

 

Abbé Franz Schmidberger (à gauche) Mgr Fellay (à droite)

Lettre à tous les membres de la FSSPX

 

I. L’Église est un mystère. C’est le mystère de la présence de Dieu parmi nous, notre Sauveur, Dieu, qui ne veut pas la mort du pécheur, mais qu’il se convertisse et qu’il vive. La conversion réclame notre collaboration.

 

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Written by Cave Ne Cadas

avril 19th, 2016 at 11:07

François Ø tend un autre rameau d’olivier à la F$$PX

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C’était aussi prévisible qu’une horloge…
Il est minuit moins cinq Bernie Fellay !
Il est minuit moins cinq Bernie Fellay !

 

 

Selon Mgr Fellay, François proroge au-delà de
l’ « 
Année de la Miséricorde » le pouvoir de confesser reconnu aux prêtres de la F$$PX

 

par Novus Ordo Watch

 

Mgr Bernard Fellay

Mgr Fellay, depuis longtemps à la tête de la Fraternité Saint-Pie X

 

 

On dirait que le plan se déroule comme prévu.
Tout se déroule selon le plan prévu !

Ainsi que nous l’avions prédit, de même que François ouvre une large porte aux « divorcés remariés » (mais c’est malheureusement la porte de l’enfer), il fait montre d’une grande « miséricorde » vis-à-vis de la Fraternité Saint-Pie X de Mgr Lefebvre. Il faut bien euphoriser un peu ces traditionalistes, malgré la très indigeste « exhortation apostolique » qui vient d’être publiée.

 

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« Exhortation apostolique » Amoris Laetitia

“La Joie de l’Amour”
sur l’Amour dans la Famille

 

Le 10 avril 2016, Mgr Bernard Fellay, Supérieur général de la F$$PX, a annoncé lors d’un sermon (à écouter ici en direct) prononcé au Puy-en-Velay (France) que le « Pape » François lui avait annoncé lors d’une récente entrevue au Vatican son intention de proroger au-delà de l’« Année jubilaire de la Miséricorde », qui s’achève le 20 novembre prochain, le pouvoir qu’il avait reconnu à la F$$PX d’entendre validement des confessions. Le fait est rapporté par deux sites Internet français de tendance traditionnelle, Riposte Catholique et Le Salon Beige, dont sont extraits les deux brefs articles qui suivent :

 

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