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Projet de repentances à l’usage de la secte conciliaire
Projet de repentances à l’usage de la secte conciliaire
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1. Je me repens d’avoir fait appel à des théologiens hétérodoxes (pour ne pas dire hérétiques), déjà stigmatisés à ce titre par Rome, et à des bouillons de culture syncrétistes comme Taizé, ainsi que de m’être appuyée sur les élucubrations de ces catholiques plus que douteux pour préparer en secret – voire en loges – le deuxième Concile œcuménique du Vatican, dit « pastoral » et non pas dogmatique, dont le but véritable (et atteint) était de faire « 1789 dans l’Église », formule lancée d’un ton triomphant juste après le concile par le Cardinal franc-maçon Suenens.
2. Je me repens, en particulier, d’avoir truqué ce concile avant même qu’il commence et d’y avoir pratiqué jusqu’au bout le coup de force permanent, dans la plus pure tradition de l’Agitprop bolchevique… Il est vrai que lors de tractations conduites à Metz en 1962 entre le Cardinal Tisserand et le patriarche de Moscou, je m’étais engagée à ne pas y renouveler l’indispensable condamnation du communisme génocide, ennemi juré de Dieu et de la chrétienté, mon but étant d’assurer la présence « œcuménique » à Rome de membres de l’église « orthodoxe » russe noyautée par le KGB, agissant ainsi au mépris des catholiques dont la persécution par Moscou et ses satellites n’avait jamais cessé et ne s’est du reste pas ralentie depuis, bien au contraire, alors même que les naïfs croient le communisme vaincu. Ainsi ai-je pactisé partout avec la Révolution pérenne et son dernier avatar en date, allant jusqu’à trahir – au nom de mon Ostpolitik insensée – les catholiques des pays où règne ce régime abject, par exemple en « lâchant » les Uniates d’Ukraine, que n’ont cessé de persécuter nos « frères séparés » prétendument orthodoxes, mais authentiquement à la botte de Moscou et haineusement anti-romains.
3. Je me repens d’avoir proscrit – de la façon la plus arbitraire, illégale et totalitaire qui soit – la célébration de la seule Messe qui vaille : celle, immémoriale, que le pape saint Pie V a restaurée en donnant aux prêtres le droit de la célébrer jusqu’à la fin des temps, non sans fulminer d’avance l’anathème contre quiconque prétendrait les en empêcher. Cette attitude aberrante devait me conduire à excommunier (de facto, sinon de jure, et pour cause !) les derniers catholiques et leurs pasteurs – taxés de schisme – tout en laissant pérorer et parader à son aise l’hérésie néo-moderniste, quand je ne l’y encourageais pas. Témoin, entre autres, le grand charivari que j’ai permis aux « charismatiques » (ces convulsionnaires d’inspiration protestante et possédés par « l’esprit », certes, mais lequel ?) d’organiser au cœur même de la chrétienté, dans la basilique Saint-Pierre de Rome, puis sur son parvis, alors même que partout dans le monde, je fermais les lieux saints à la Tradition et à ses cérémonies authentiquement catholiques.
4. Je me repens d’avoir désacralisé le Saint Sacrifice de la Messe au point de le transformer en une sorte d’événement festif New Age axé sur l’adoration de l' »Homme » plus que de Dieu. Je me repens d’en avoir fait un simple mémorial, un vulgaire « repas communautaire » niant implicitement la Présence réelle et la Transsubstantiation, au point de rendre la fréquentation de la « messe de Paul VI » recommandable aux protestants par leur hiérarchie, qui – depuis Luther, ce moine défroqué, débauché et déséquilibré – exclut que la Messe puisse être ce qu’elle a été, est et restera toujours et avant tout : un Sacrifice propitiatoire non sanglant. Je me repens d’avoir institué là un office protestant à 98 %, avec un zeste de Kabbale (« Dieu de l’univers » au lieu de « Dieu des forces célestes » pour traduire Deus Sabaoth) et un soupçon de jargon maçonnique (« fruits de la terre et du travail des hommes » au lieu de « le pain sacré de la vie éternelle et le calice de l’éternel salut » pour traduire Panem sanctum vitæ æternæ, et Calicem salutis perpetuæ), ce qui est peu surprenant lorsqu’on songe que cette « messe » est sortie tout armée d’une obscure commission (une loge, en somme) dont j’avais confié la présidence au prélat franc-maçon Annibale Bugnini, assisté de six conseillers protestants et de quelques néo-modernistes jouant les « catholiques alibis ». Je me repens d’avoir profané les lieux saints en les prêtant à n’importe qui pour n’importe quel usage, en reléguant le Saint-Sacrement dans les bas-côtés, voire la sacristie, en laissant déposer les hosties par des mains non consacrées dans des mains non consacrées, en permettant à des jeunes filles de servir la « messe », en remplaçant l’autel par une table à repasser tournant le dos à Dieu, mais faisant face à l' »Homme » (dont Paul VI a même proclamé fièrement que j’avais le culte !), en supprimant la clôture du chœur, en ôtant les statues, etc. etc., bref, en faisant tout pour éliminer le respect dû au surnaturel. Je me repens d’avoir jeté aux orties le latin, langue sacrée depuis que les premiers chrétiens l’ont empruntée à leurs persécuteurs pour adorer Dieu d’une seule voix dans tout l’Empire romain, surmontant providentiellement ainsi la malédiction de Babel. Je me repens d’avoir voulu, par tous ces attentats, tuer le Saint Sacrifice de la Messe dans l’espoir fou et impie d’étouffer l’Église Catholique, dont il est le fondement, afin de me substituer définitivement à celle-ci.
5. Je me repens d’être revenue sur les enseignements de tous les papes d’avant 1958, ne serait-ce qu’en cautionnant cette monstruosité maintes fois condamnée qu’est la « liberté religieuse », porteuse de laïcisme, donc de révolte permanente contre le Christ-Roi, sous l’influence évidente des « libres-penseurs » que j’avais accueillis en mon sein. Je me repens, en fait, d’avoir ridiculisé dans l’esprit de l’immense majorité des catholiques les notions de dogme, de doctrine et de magistère, exposant ainsi les âmes au doute, à l’indifférence, à l’apostasie et aux ténèbres extérieures. Je me repens d’avoir été le loup déguisé en brebis et fourvoyant celles-ci pour mieux les perdre.
6. Je me repens d’avoir laissé (ne serait-ce qu’en France) bon nombre de mes évêques, archevêques et cardinaux – infiltrés dans l’Église par ses pires ennemis – délirer de la manière à la fois la plus grotesque et la plus crapuleuse dans tous les domaines possibles, par exemple :
— en fraternisant ouvertement avec lesdits ennemis – athées, talmudistes, marxistes, protestants et maçons, entre autres – au point même, pour beaucoup, de se faire carrément francs-maçons… quand il ne s’agit pas de francs-maçons qui se sont faits prêtres et ont progressé dans les deux hiérarchies à la fois selon les excellents préceptes de leurs grands ancêtres de la Haute Vente d’Italie ;
— en fermant les églises de France aux « indésirables » – à savoir les membres de la droite nationale non païenne qui souhaitaient recevoir le baptême ou auxquels leurs proches voulaient donner des obsèques religieuses, ou encore les fidèles de la Tradition décédés, parmi lesquels des prêtres – pour mieux en ouvrir les portes à tout ce qui n’est pas catholique et, de préférence, tout ce qui est le plus anti-catholique ;
— dans une logique suicidaire, en faisant don à l’islam prosélyte et conquérant (surtout pas aux « intégristes », c’est-à-dire au petit reste de catholiques véritables !) des églises désertées par les fidèles à cause de la dérive conciliaire, précisément ; or, c’est là, pour ce même islam, un signe infaillible de faiblesse et la preuve qu’il a désormais le champ libre sur le territoire d’une chrétienté dont les pasteurs mêmes s’appliquent à hâter la décomposition ; à cause de ces ventres mous, l’Europe occidentale n’est plus tout à fait le dar-el-harb (pays de la guerre avec les « infidèles ») que les mahométans ont vainement cherché à envahir pendant treize à quatorze siècles ; elle est même en passe de s’assimiler au dar-el-islam (pays de la « paix » mahométane) et de voir ainsi ses habitants s’intégrer bon gré mal gré à l’oumma (communauté des mahométans), dont les membres méprisent, ostracisent et persécutent les non-mahométans, qui ne sont à leurs yeux que des dhimmis (citoyens de deuxième ordre, assujettis quand même à l’odieuse chariah (loi mahométane) ;
— en pétitionnant, défilant et manifestant à la moindre occasion avec la racaille trotskiste, qui est fanatiquement internationaliste, immigrationniste, francophobe, anticléricale, avorteuse et homophile ;
— en multipliant les déclarations, prises de position et actions les plus bassement démagogiques, collaborationnistes, voire hérétiques, car bien dans l’irrespirable « air du temps », qui est à l’hédonisme, au relativisme, au naturalisme, à la tiédeur, au métissage forcé, à la destruction des nations, à la tolérance de l’intolérable, etc. etc. etc.
7. Je me repens d’avoir introduit l’erreur dans la Vérité, c’est-à-dire d’avoir obscurci cette dernière – ce qui insulte à la mémoire de tous les martyrs ayant versé leur sang pour elle depuis deux mille ans – en prônant, pratiquant et imposant un faux œcuménisme, véritable piège du Malin qui revient à faire croire que tout se vaut : la vraie Religion et les fausses ; or, ce prétendu œcuménisme (qui m’attire du reste le mépris croissant des fausses religions : beau résultat parmi d’autres !) dépouille évidemment ladite Religion de tout son crédit auprès des fidèles comme des âmes qui auraient pu s’y convertir, mais qui sont désormais fortement incitées à continuer de chercher d’impossibles « voies de salut » dans leurs cultes hérétiques, schismatiques, païens ou sataniques habituels, tandis que les ex-fidèles – complètement désorientés – perdent la Foi en tout ou partie et deviennent indifférents, quand ils ne se laissent pas coopter par des sectes religieuses ou antireligieuses, ayant pignon sur rue ou non.
8. Je me repens, dans le même ordre d’idées, d’avoir organisé à Assise, puis un peu partout en souvenir de ce happening démentiel, de véritables pandémoniums des fausses religions, mises sur le même pied que la vraie. Je me repens de n’avoir rien voulu comprendre aux avertissements du Ciel lorsque, onze ans jour pour jour après ce premier et gigantesque scandale, Assise a été frappée par un tremblement de terre dévastateur qui – entre autres signes sans équivoque – devait causer la destruction du maître-autel de la cathédrale, sur le tabernacle duquel on avait obligeamment prié les bouddhistes de poser leur idole, tandis que sous ce même autel, dans la crypte, la châsse contenant les reliques de saint François demeurait intacte. Je me repens d’avoir réédité le même exploit « œcuménique » dans le sanctuaire marial de Fatima ou, grâce à mes soins empressés, une idole hindoue a été adorée dans la chapelle des apparitions.
9. Je me repens d’avoir cherché à faire croire que les « avancées conciliaires » (par exemple, l’ « abolition » du démon et du péché originel et actuel) étaient irréversibles, comme si quelques dizaines d’années de tragiques errances rappelant la folie arienne pouvaient gommer dix-neuf siècles de saint et patient labeur au service de cette Foi, de cette Espérance et de cette Charité qu’a prêchées Celui dont le Nom est le seul par lequel nous puissions être sauvés.
10. Je me repens d’avoir gaspillé en des JMJ purement médiatiques et ostentatoires – destinées à prouver la vigueur de la Foi des jeunes, mais ayant au contraire crûment mis à nu la désolante ignorance des intéressés en matière de religion – la soif d’absolu d’une jeunesse en friche qui, lorsqu’elle parvient à échapper au bourrage de crâne ambiant, constate l’inanité du Novus Ordo Missae et se dirige de plus en plus vers le catholicisme de Tradition.
11. Je me repens d’avoir tout mis en œuvre afin de diviser le mouvement traditionaliste, d’abord en tirant prétexte des sacres de 1988 pour terroriser une partie des « tradis » et les pousser à quitter la Fraternité Sacerdotale Saint-Pie X (je leur avais fait miroiter un leurre en forme d’indult), ensuite en laminant la Fraternité Saint-Pierre – produit pourtant bien docile de cette scission – par des grenouillages indignes, enfin en essayant de provoquer le même genre d’éclatement au sein du noyau organisé de la résistance catholique, la Fraternité Saint-Pie X, œuvre de Mgr Marcel Lefebvre, à laquelle j’ai proposé, selon ma bonne habitude, des « discussions ». Je me repens d’avoir agi, ce faisant, sous l’inspiration de celui dont le nom signifie « diviseur ».
12. Je me repens d’avoir déboussolé un peu plus encore les fidèles en pratiquant la « repentance » à tort et à travers, autrement dit en battant ma coulpe sur la poitrine des saints papes qui se sont succédé au cours des siècles, et cela pour des fautes imaginaires qui sont en réalité des hauts faits : avoir évangélisé les païens en renversant leurs idoles selon les instructions du Divin Maître, redressé les hérésies en les combattant résolument lorsqu’elles prétendaient s’imposer par les armes, rouvert les routes de Jérusalem aux pèlerins après des siècles pendant lesquels l’islam prédateur les avait impunément tués, rançonnés ou réduits en esclavage, voire – comme le Vénérable Pape Pie XII – sauvé des milliers de juifs de l’extermination, pour se faire accuser longtemps après de s’être désintéressé de leur sort et même d’avoir collaboré avec les nazis, sans que je réagisse avec toute la fermeté voulue contre d’aussi nauséeuses calomnies, le pontife en question présentant à mes yeux la tare manifeste d’avoir été le dernier pape préconciliaire, autant dire le dernier pape incontestablement catholique en dépit de ses faiblesses.
13. Je me repens d’avoir accéléré ma fuite en avant vers le précipice à mesure que s’affirmait mon cuisant échec. L’arbre se juge à ses fruits, et les miens – tout colorés et appétissants qu’ils peuvent être à la vue de certains – se sont révélés secs, amers, gâtés ou moisis à la dégustation de tous ceux qui conservent tant soit peu de palais. Ainsi, je me repens d’avoir provoqué la désaffection des églises, monastères et séminaires et d’avoir tendu, devant ce véritable désastre, l’écran de fumée d’une prétendue « nouvelle Pentecôte » pour tenter de faire oublier les déclarations de Paul VI lui-même déplorant que les « fumées de Satan » se fussent introduites dans l’Église.
14. Je me repens d’avoir réservé un enterrement de première classe au miracle comme aux révélations de Fatima, et notamment d’avoir menti au moins par omission sur le troisième secret (qui m’est archi-défavorable : cela, du moins, est un secret de Polichinelle) tout en ne m’opposant pas aux « apparitions mariales » de Medjugorje, qui ne sauraient venir du Ciel tant les messages de la « Gospa » sont répétitifs, lénifiants, inconsistants… conciliaires en quelque sorte, tant elles attirent les « charismatiques » comme les sanies attirent les mouches, tant les voyants et leurs « sponsors » présentent une sainteté pour le moins douteuse. Je me repens donc, d’une part d’avoir censuré la Très Sainte Vierge Marie, d’autre part d’avoir prétendu reconnaître sa parole dans une véritable bouillie pour les chats… tout en continuant d’ignorer avec une pertinacité infernale les avertissements très clairs qu’elle a donnés à La Salette en 1846 et qui annonçaient mes ignominies actuelles.
15. Je me repens d’avoir mis le Saint Linceul de Turin sous l’éteignoir depuis sa prétendue datation au carbone 14 de 1988, alors que j’ai appris depuis – en toute certitude – que celle-ci n’était qu’une grossière imposture. Il est vrai que je n’ai pas tardé à me coucher devant la fausse science et ses diktats antichrétiens, par exemple les fariboles évolutionnistes que Jean Rostand – leur tenant athée – avait eu le courage quelque peu schizophrène de dénoncer en écrivant que l’ « Évolution » était « un conte de fées pour grandes personnes ». Je me repens d’avoir vu en fait dans le Saint Linceul, comme dans son message miraculeux et sans ambiguïté, un obstacle massif à ma seule véritable obsession : l’extension de l’ « œcuménisme » à tout et n’importe quoi. Aux « extra-terrestres » aussi, depuis peu !…
16. Je me repens d’avoir contribué – notamment par cet œcuménisme dévoyé – à ériger le trône de l’Antéchrist, dont le règne passera par l’instauration d’une religion mondiale n’ayant évidemment rien à voir avec la Religion Catholique et ne pouvant déboucher que sur la fin des temps annoncée par saint Jean dans son Apocalypse, point d’orgue de la Révélation. Les précurseurs de l’ « homme d’iniquité » auront été nombreux en mon sein…
17. Je me repens d’avoir « canonisé » le rose-croix Roncalli et le théosophe Wojtyla, ainsi que d’avoir envisagé la « canonisation » de l’abominable Montini, « canonisant » du même coup le conciliabule hérétique Vatican II et ses tristes hérauts.
18. Je me repens d’avoir entraîné, par ces innombrables et criminels errements en tous genres, la chute en enfer d’un grand nombre d’âmes, et je sais qu’il m’en sera demandé raison au Jugement Dernier, dont j’attends le Jour en tremblant.
19. Je me repens de ne pouvoir me repentir de tous mes méfaits et manquements tant ils ont été nombreux et tant leur seule évocation m’épouvante aujourd’hui.
20. Je me repens, pour l’essentiel, d’avoir sombré dans le schisme et l’hérésie en me séparant du Catholicisme de toujours et d’avoir sévi jusqu’en cet instant béni où, avec la plus vive et la plus sincère contrition, ainsi que le fervent espoir de voir le Juge Suprême pardonner à mes membres, j’ai l’indicible soulagement de me réintégrer enfin à l’Église Une, Sainte, Catholique, Apostolique et Romaine, seule porteuse du message de Vérité de Notre Seigneur Jésus-Christ, unique Sauveur des hommes de bonne volonté, à laquelle je restitue humblement les clefs de saint Pierre dont j’ai usurpé la garde pendant un demi-siècle environ.
21. Je me repens. Je me repens. Je me repens… Je Me Repens !!…
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François
MONSEIGNEUR WILLIAMSON VOIT CE QUE NUL N’A JAMAIS VU
Mgr Williamson, dans son “Eleison Comments” Numéro CCCLXXIV – 374 (Français) sur les « Papes Faillibles » professe de nouvelles hérésies :
Monseigneur Williamson Voit ce que Nul n’a Jamais Vu
Par Osko de Radio Cristiandad
QUE NUL N’A JAMAIS VU" width="400" height="383" />
Ne se satisfaisant plus d’émettre ses railleries habituelles, Mgr Williamson a décidé de publier un point de vue carabiné dans son ELEISON 374, et il nous semble déraper complètement désormais. Il y expose sa THÈSE d’une manière plus précise que d’ordinaire, car son intention – inhabituelle pour lui – paraît être de défendre avec une véhémence accrue, non seulement la thèse Anti-Sédévacantiste, mais aussi la légitimité de la position soutenue par ceux qui croient toujours que l’église Conciliaire et officielle EST l’Église catholique.
En cela, il s’apparente à la « ligne médiane », qui est de plus en plus erratique, à la néo-FSSPX, qui se rapproche sans cesse de Rome (autre parallèle pour la collection de l’abbé Ceriani) et des conciliaires, qui sont de plus en plus apostats, bien qu’ils aient évidemment l’illusion d’être catholiques, de penser en catholiques et d’agir en catholiques, car il croient que la Doctrine catholique EST la doctrine du conciliabule Vatican II, que l’on peut être moderniste tout en restant catholique et que l’œcuménisme conciliaire est catholique. C’est pourquoi ils trouvent génial d’assister aux cultes protestants, de semer des oliviers de la paix ici ou là en compagnie des Juifs et des musulmans, ainsi que d’organiser des « rencontres interreligieuses » à Assise, des « matches de football interreligieux », des « journées de réflexion interreligieuses », des « messes interreligieuses », etc. etc. Tout cela, nous le savons, et nous en sommes écœurés.
Ah, j’oubliais : en plus, ils croient que les « messes » conciliaires du Novus Ordo sont catholiques… N’est-ce pas, Mgr Williamson ? À moins que vous ne vous hasardiez à affirmer sans équivoque qu’Elles ne le sont pas ?
Autrement dit, ils croient TOUS que Bergoglio est pape, alors que nous autres croyons que non, point final. Là est toute la différence entre eux et nous.
Ils croient qu’un pape peut être un zozo apostat, alors que nous autres croyons que non.
Ils croient que l’église Conciliaire est l’Église catholique de toujours, alors que nous autres croyons que non.
C’est pourquoi le présent article relatif au numéro 374 d’ELEISON a pour objet de réfuter les dires de Mgr Williamson en insistant sur ce que nous y percevons comme étant des incohérences ou des contradictions ; il vise même à aller au-delà en démontrant que le système préconisé présente un danger pour ceux qui l’adoptent.
Nous traiterons de ce dernier point en dernier, dans une sorte d’annexe.
Et si certains de nos lecteurs trouvent notre ton quelque peu agressif, il nous faudra leur répondre qu’ils ont raison, mais que s’il ne l’est pas davantage, c’est parce que nous avons eu la prudente idée de lire ce numéro d’ELEISON muni d’un grand verre de bon whisky, confortablement installé dans notre fauteuil, avec en musique de fond la belle « Suite bergamasque » de Claude Debussy (1), qui a la particularité de nous apaiser, tout comme le whisky (bénis soient donc l’une et l’autre).
L’hérésie “feeneyiste” vue par l’Abbé Belmont
M. l’Abbé Belmont a publié ce dimanche, une intéressante contribution sur l’hérésie “feeneyiste”.
Bien qu’il arrive toujours au secours de la victoire !… M. l’abbé Belmont clôt de façon lumineuse une discussion qui n’aurait jamais dû commencer sur les Baptême de désir et Baptême de sang.
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Voici son article (les accentuations sont de nous) :
Un nouveau débarquement, corrupteur de la foi
Par Abbé Hervé Belmont
Un triste phénomène humain – dû à l’ignorance du paresseux, à la prétention de l’imbécile ou à l’aveuglement de l’orgueilleux – accompagne la vie de l’Église catholique pendant son pèlerinage sur la terre. Lorsque paraît une erreur, quelques-uns de ceux qui la veulent combattre tombent dans une erreur contraire et s’y retranchent avec d’autant plus d’entêtement qu’ils veulent (ou prétendent) combattre l’erreur. C’est même un funeste enchaînement qui peut se produire.
Ainsi, lorsqu’Arius a nié la divinité de Jésus-Christ, un certain Apollinaire s’est dressé contre son erreur en affirmant que Jésus-Christ est Dieu (ce qui est vrai) parce qu’il n’a pas d’âme humaine et que la divinité en tient lieu (ce qui est faux). Cette nouvelle erreur, qui est une négation du mystère de l’Incarnation et donc de la Rédemption, fut à son tour combattue par Nestorius qui affirmait qu’en Jésus-Christ il y a deux natures intègres qui n’ont pas fusionné (ce qui est vrai) et que l’union entre ces deux natures est simplement morale (ce qui est faux), ce qui le faisait blasphémer en niant la maternité divine de la sainte Vierge Marie.
On comprend donc qu’il ne suffit pas de s’opposer à l’erreur : il faut encore le faire sans tomber dans une autre erreur, laquelle peut être tout aussi destructrice de la vérité de la foi.
Le Père Feeney, les “Frères” Dimond et l’enseignement de l’Église sur le dogme “Extra Ecclesiam nulla salus” et les baptêmes de désir et de sang
— Partie II —
Le Père Feeney, les “Frères” Dimond et l’enseignement de l’Église sur le dogme “Extra Ecclesiam nulla salus” et les baptêmes de désir et de sang.
« “Les laïcs peuvent être trompés, mais les clercs se trompent difficilement sans être de mauvaise foi, surtout si cela dure longtemps” (Mgr de Castro-Meyer). En effet un clerc a tous les livres disponibles pour vérifier sa position. » (citation tirée de la page 72 du livre “Quarante ans d’erreurs. Réfutation des arguments erronés concernant l’infaillibilité de l’Église” de l’abbé Michel Marchiset)
Partie II : La chaîne catholique et le boulet de l’hérésie
Être créé, l’homme a une intelligence limitée. Nous en faisons l’expérience quotidiennement. En effet, n’utilisons-nous pas de multiples objets (voiture, téléphone, ordinateur, …) dont nous ne pourrions expliquer tous leurs fonctionnements internes si l’on nous le demandait ? Certains d’entre nous pourraient probablement – avec un certain effort – acquérir la connaissance du fonctionnement de plusieurs de ces objets. Mais il est évident que nous ne pourrons jamais acquérir personnellement la connaissance du fonctionnement de tous les objets qui nous entourent. Notre intelligence et notre mémoire sont bien trop limitées pour cela. De même, l’homme se rend compte qu’il est bien loin de comprendre tous les phénomènes naturels qui l’environnent (avalanche, tremblement de terre, …). Au contraire, plus il réfléchit à certains de ces phénomènes, plus il est à même de mesurer son ignorance face à la création (Prenons pour seul exemple, le Linceul de Turin. L’étude de cet objet a ouvert beaucoup plus de questions qu’elle n’en a résolues) et à fortiori face à son Créateur.
L’homme n’est qu’une créature. La contemplation des œuvres de son Créateur devrait donc l’amener à une grande humilité.
S’il en est ainsi des choses naturelles, qu’en est-il alors des choses surnaturelles et en particulier de ce que l’on nomme les “mystères” dans la religion catholique ?
Devant les mystères révélés par Dieu, l’acte de foi est nécessaire. Nous croyons d’une foi surnaturelle le mystère de la Sainte Trinité, le mystère de l’Incarnation, le mystère de la Rédemption, … Credo. « Mon Dieu, je crois fermement toutes les vérités que vous nous avez révélées et que vous nous enseignez par votre Église, parce que vous ne pouvez ni vous tromper et ni nous tromper. »
Pourtant, à première vue, un seul Dieu en trois personnes, un Dieu qui s’incarne, un Dieu qui meurt sur une croix, …, tout ceci semble défier notre raison !!! Et pourtant, nous y croyons ! Nous y croyons non à cause de notre intelligence mais à cause de l’autorité de celui qui nous a révélé ces mystères, c’est-à-dire Dieu lui-même ! Credo.
Ces vérités transmises par Dieu nous sont également enseignées par son Église. D’où la nécessaire soumission à l’Église et à son enseignement. Credo. L’histoire des hérésies n’est rien d’autre que l’histoire de la non soumission de l’intelligence des hérésiarques au magistère de l’Église.
Voici ce que le grand Bossuet enseignait à ce sujet :
« Quand donc nous nous mettons à raisonner, nous devons d’abord poser comme indubitable que nous pouvons connaître très certainement beaucoup de choses, dont toutefois nous n’entendons pas toutes les dépendances ni toutes les suites. C’est pourquoi la première règle de notre logique, c’est qu’il ne faut jamais abandonner les vérités une fois connues, quelque difficulté qui survienne, quand on veut les concilier ; mais qu’il faut au contraire, pour ainsi parler, tenir toujours fortement comme les deux bouts de la chaîne quoiqu’on ne voie pas toujours le milieu par où l’enchaînement se continue. »
Prenons quelques exemples pour illustrer les propos de Bossuet. Voici deux bouts d’une même chaîne qui ont toujours posé problème à nos intelligences :
- La Providence de Dieu et notre liberté
- La toute-puissance de Dieu et le mal dans le monde
- L’infinie bonté de Dieu et l’enfer
Sur le dernier exemple donné, le raisonnement de bon nombre de nos contemporains est de nier l’existence de l’enfer (ou bien de le déclarer “vide”) ce qui est évidemment une hérésie. Dieu est certes miséricordieux mais il est également juste.
Revenons-en maintenant au Père Feeney :
Le magistère de l’Église nous enseigne que hors de l’Église, il n’y a pas de salut : “Extra Exclesiam nulla salus”. Voici le premier bout de notre chaîne.
Le magistère de l’Église nous enseigne également que l’ignorance invincible excuse l’homme de sa non-appartenance à l’Église (Pie IX, Allocution Singulari quadam du 9 décembre 1854). Voici le deuxième bout de notre chaîne.
Le premier bout de cette chaîne n’exclut pas le second bout, contrairement à ce que font les successeurs du Père Feeney. Ces derniers refusent de poser l’acte de foi pourtant indispensable face à l’enseignement du Magistère sur l’ignorance invincible.
En lieu et place de l’acte de foi qu’ils refusent de poser, ils s’érigent en “Super Magistère” jugeant ainsi eux-mêmes ce qui doit être cru ou non dans le magistère de l’Église. Ils agissent ainsi exactement comme les membres de la FSSPX qui eux aussi se permettent de juger ce qui est – selon eux – bon, moins bon voire mauvais dans le Magistère de l’Église. Ainsi, nous avons le loisir de découvrir que le Pape Pie IX – pour ne prendre qu’un seul exemple – a enseigné à plusieurs reprises l’erreur (sic) !!! Après plus de 150 ans, il était donc temps que quelqu’un réagisse contre ce scandale. Grâces soient donc rendues à Dieu d’avoir suscité les “Frères” Dimond et l’abbé Marchiset pour suppléer aux carences de Pie IX et des véritables Papes qui lui succédèrent, saint Pie X en tête !!
Leur péché (ceux des successeurs du Père Feeney) est d’aller directement contre la vérité connue. Ces vérités sont enseignées dans tous nos catéchismes. Et pourtant, ils les nient pertinacement. Ce sont de véritables aveugles conduisant des aveugles.
Chers lecteurs, ne riez pas ! Comme nous le montrerons bientôt, tous les catéchismes de ces 200 ans dernières années comportent – selon les successeurs du Père Feeney – des hérésies graves contre la foi. Et même celui du Concile de Trente ! Vraiment, une fois de plus, louons le Bon Dieu de nous avoir suscité les “Frères” Dimond et l’abbé Marchiset, véritables marteaux (1) contre l’hérésie !!
En refusant les deux bouts de la chaîne catholique, ces bien tristes personnages se proposent d’exporter à travers le monde le boulet de l’hérésie. À l’heure de l’Internet où jamais l’erreur n’a pu se propager aussi rapidement, quelle responsabilité !
Nordland.
(à suivre…)
[1] À ne pas confondre avec la saucisse de Morteau que l’on trouve également en Franche-Comté.
Le Père Feeney, les “Frères” Dimond et l’enseignement de l’Église sur le dogme “Extra Ecclesiam nulla salus” et les baptêmes de désir et de sang
— Partie I —
Le Père Feeney, les “Frères” Dimond et l’enseignement de l’Église sur le dogme “Extra Ecclesiam nulla salus” et les baptêmes de désir et de sang.
« “Les laïcs peuvent être trompés, mais les clercs se trompent difficilement sans être de mauvaise foi, surtout si cela dure longtemps” (Mgr de Castro-Meyer). En effet un clerc a tous les livres disponibles pour vérifier sa position. » (citation tirée de la page 72 du livre “Quarante ans d’erreurs. Réfutation des arguments erronés concernant l’infaillibilité de l’Église” de l’abbé Michel Marchiset)
Partie I : Introduction
Le dogme “Hors de l’Église, point de salut”, les baptêmes de désir et de sang, le Père Feeney, les “Frères” Dimond, …, voici un univers qui m’est déjà familier depuis quelques années.
En effet, je me connectais alors régulièrement sur le site Internet des “Frères” Dimond pour lire chaque semaine “l’hérésie de la semaine” de Benoît XVI. Trouvant cette rubrique intéressante, j’avais alors commandé un de leurs ouvrages. Je reçus non seulement cet ouvrage mais également divers DVD et publications en sus.
Cet ouvrage était le fameux livre du “Frère” Michael Dimond, « Outside the Catholic Church, there is absolutely no salvation ». Je lus assez rapidement ce livre en anglais. À première vue, la foule de citations (plus de 700) jointe à l’autorité même de ces citations (Conciles, Papes, …) font penser que l’auteur a raison. Néanmoins, une fois terminé ce livre, un malaise certain m’avait envahi !!! En effet, on apprenait pêle-mêle que saint Thomas d’Aquin, saint Alphonse de Liguori, saint Ambroise, …, divers Papes dont Pie IX et Pie XII, …, le catéchisme du Concile de Trente, le code de droit canon de 1917, …, étaient tous dans l’erreur. Je compris alors que pour imposer sa thèse sur le dogme “Hors de l’Église, point de salut” et sur les baptêmes de désir et de sang, le “Frère” Dimond se devait de détruire méthodiquement tout ce qui la contredisait.
Quelques lectures supplémentaires sur l’Internet me firent découvrir que les thèses du Père Feeney, reprises et propagées par les “Frères” Dimond, étaient un véritable objet de discorde parmi les “traditionalistes” anglophones. Des discussions sans fin inondent les forums. Des milliers de pages de controverse leur sont dédiées. Les anathèmes et noms d’oiseaux volent ! Bref, c’est une véritable pétaudière qui était jusqu’alors inconnue du monde francophone.
Inconnue jusqu’à l’apparition du site “la-foi.fr”. Ce site a traduit une bonne partie des travaux des “Frères” Dimond et a donc rendu possible la diffusion dans le monde francophone des hérésies du Père Feeney et de ses successeurs.
Puis, début 2014, un abbé m’apprenait que plusieurs de ses fidèles avaient déserté sa chapelle car ces derniers étaient devenus Feeneyistes. Triste constat : cette hérésie strictement circonscrite au monde anglophone s’était maintenant répandue chez nous, en France !
Au début du mois de mai, on me sollicita pour donner une conférence lors de la session antilibérale organisée par les ACRF en août. J’acceptai volontiers et proposai de faire une conférence sur le Père Feeney.
Peu après, j’appris que l’abbé Marchiset aurait embrasé les hérésies du Père Feeney. Je restai un peu circonspect… mais peu de temps après vint la confirmation de cette funeste nouvelle par la réception d’un document adressé à ses fidèles par l’abbé Marchiset déclarant qu’il soutenait dorénavant les hérésies du Père Feeney et des “Frères” Dimond.
Stupeur, tristesse et consternation !
Les sessions antilibérales dans le prieuré de l’abbé à Mouthier-Haute-Pierre ! Les processions du 15 août ! Les Messes dans la crypte rénovée du prieuré ! Les sermons antilibéraux publiés à travers Fidem Servavi. Le rédacteur courageux des débuts de Virgo-Maria. La dernière retraite pour hommes de l’abbé Vérité. Une veillée pascale au prieuré. Quelques nuits bien fraîches passées au prieuré en hiver. Les merveilleux paysages de la vallée de la Loue. Le trentain célébré pour le repos de l’âme d’un membre de ma famille, …
L’abbé Marchiset, c’était tout cela ! Plus qu’un prêtre, c’était un ami !
Nos chemins se séparent maintenant irrémédiablement. Du moins tant que l’abbé Marchiset suit – malheureusement – la voie de l’hérésie. Seul ou presque face à l’enseignement de l’Église (ce fameux Magistère Ordinaire Universel qui servit pourtant de sujet au livre “Quarante d’erreurs” à ce même abbé !!!). La preuve en est dans son sermon du 4ième dimanche après la Pentecôte de cette année. Non possumus.
Les quelques articles qui suivront cette introduction seront bien évidemment dédiés en particulier à l’abbé Marchiset. Nous avons l’espoir que nos travaux, tout imparfaits qu’ils le sont, l’aideront à revoir sa position. Je demande donc à tous nos lecteurs de prier spécialement pour monsieur l’abbé. Beaucoup d’entre nous ont directement ou indirectement bénéficié à un moment ou à l’autre de notre vie de ses bons services (Pensons par exemple à son livre sur l’infaillibilité). À notre tour de le lui les rendre.
Ainsi donc vont paraître, dans les prochaines semaines, divers articles sur le Père Feeney et les hérésies actuelles sur le dogme “Hors de l’Église, point de salut” et les baptêmes de sang et de désir. Ces articles sont pour la plupart tirés de la conférence prononcée en août. Ils ont été retravaillés pour une publication écrite.
Nordland.
(à suivre…)
Rivarol : Abbé Anthony Cekada : “Bergoglio est un moderniste typique des années 1960-1970 !”
Jérôme BOURBON, dans le dernier “Rivarol” – N° 3152 du 31/7/2014 – à recueilli les propos de l’abbé Anthony CEKADA sur Bergo(go)glio.
Nota : Bien que l’abbé Cekada a publié en son temps une étude érudite concernant l’invalidité des nouveaux “sacres” conciliaires de 1968 (cf. Rore-Sanctifica) il est désolant que dans cette publication de RIVAROL celui-ci, tout en défendant la position sédévacantiste, ne précise pas (et entretient même la confusion) que l’église Conciliaire est une entité différente de l’Église catholique.
L’abbé Cekada a réalisé son étude érudite concernant l’invalidité des nouveaux “sacres” conciliaires de 1968 suite aux travaux du Comité International Rore Sanctifica :
S’il dit bien que cette Église (en utilisant justement un “É” majuscule blasphématoire !) n’est pas catholique, que « ce que dit Bergoglio n’est pas catholique »… « qu’il ne faut pas suivre Bergoglio pour rester catholique »… à aucun moment il ne précise que cette église n’est pas l’Église Catholique !
A-t-il compris le problème de l’éclipse ?
Nous regrettons donc que dans l’article que vous allez lire ci-dessous la typographie ne vous aide pas a définir clairement lorsqu’il parle de l’église Conciliaire ou de l’Église catholique… (Le problème peu venir aussi de Jérôme Bourbon & de Rivarol, auquel cas nous les encourageons à être plus précis !)
Ndlr du CatholicaPedia : Les accentuations sont de nous.
Rivarol n°3152 du 31/7/2014 au 3/9/2014
Abbé Anthony Cekada : “Bergoglio est un moderniste typique des années 1960-1970 !”