Archive for the ‘Invalidité nouveaux sacrements’ Category
RORE SANCTIFICA : Conférence de M. Philippe Bourcier de Carbon
LHR ayant été obligés de reporter en mai et juin la conférence de M. Bourcier de Carbon sur le nouveau rituel du sacre des évêques, il a pu enfin trouver une date convenant à tous.
Cette conférence exceptionnelle sur un sujet aussi important, aura bien lieu :
Conférence de
M. Philippe Bourcier de Carbon
Le nouveau rituel du Sacre des Évêques
Pourquoi en changer ? Histoire de ce combat depuis les Anglicans ; l’équipe de faussaires ; les mensonges
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Les travaux du site Rore Sanctifica ; les essais de réfutation ; les escroqueries.
La situation en 2015.
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Bilan et gravité de la situation
Bourcier de Carbon, Polytechnicien, après avoir été le fondateur du CIELT (Centre International d’Études sur le Linceul de Turin), a dirigé les travaux du Comité International de Recherches Scientifiques sur les origines et la validité de Pontificalis Romani (Rore Sanctifica) et est certainement le meilleur spécialiste sur la question.
Le dimanche 27 septembre 2015
14h30
Salle Loïc Merlant
(à côté de La Poste)
Rue de la mairie
44130 Fay de Bretagne
Localisation GPS : | Latitude : -1.79043000 |
Longitude : 47.41444000 |
Possibilité de pique-niquer sur place
Invitez vos amis et même les contradicteurs.
Il y aura toute possibilité de débattre.
À diffuser : un bon dimanche en perspective
La théologie brillante de Richard Williamson…
La théologie brillante de Richard Williamson…
Williamson et la “messe” moderne
Pour Monseigneur Williamson :
« La Novus Ordo ‘Messe’ est Mauvaise,
mais OK si elle “Nourrit votre Foi” »
(La nouvelle ‘Messe’ est Mauvaise,
mais bien si elle “Nourrit votre Foi”)
Nous critiquions depuis longtemps la “théologie” absurde, non-catholique et intransigeante de la Société Lefebvriste Saint Pie X. Maintenant, elle devient vraiment pauvre et bizarre comme vient juste de le démontrer récemment l’Évêque Anglais “à la Rose” Richard Nelson Williamson, consacré par Monseigneur Marcel Lefebvre en 1988.
Bien que dorénavant il ne fasse plus partie de la F$$PX officielle, il est maintenant partie prenante de la fausse “résistance” semi-traditionaliste contre le Vatican Moderniste qui reconnaît François Ø et ses cinq prédécesseurs, de malheureuse mémoire, comme de légitimes Papes Catholiques Romains.
Le 28 juin 2015, Mgr Williamson donnait une conférence à Mahopcac, New York. L’ensemble du discours prononcé par Son Excellence a été posté au complet et est disponible ici (écoutez à vos risques et périls) :
À la fin de la conférence, il y avait une séance de questions-réponses durant laquelle Mgr Williamson a été interrogé sur l’assistance à la “Nouvelle Messe” (sic !), qui est, le culte moderniste Novus Ordo Missae du “pape” Paul VI.
La réponse de 10 minutes de l’évêque “à la Rose” fut un parangon, du charabia illogique et absurde de la F$$PX qui était, comme on pouvait s’y attendre, totalement dépourvu de tous principes théologiques Catholiques discernables.
LA « GRANDE NOUVELLE » DE LA SALETTE EST-ELLE UN ORACLE DIVIN ?
Après Le “secret” donné par la « Belle Dame » à Mélanie Calvat poursuivons quelques temps avec Maurice CANIONI dans son dernier livre :
Dieu Sera Servi et Glorifié
Par Maurice CANIONI
(Extraits)
INTRODUCTION
La Sainte Église est Maîtresse par son pouvoir doctrinal, sanctificateur, législatif et coercitif ; elle est Reine car toutes les nations, doivent lui être « assujetties et lui obéir (Dan. 7, 27). »
La concorde de la Sainte Église et de la puissance civile est voulue par Dieu. Elle est éminemment aimable et désirable, car elle concourt à la Gloire de Dieu, édifie le Règne social de Notre-Seigneur Jésus-Christ, facilite aux individus, aux familles, aux sociétés l’acquisition du nécessaire à la vie temporelle dans la paix sociale, et surtout à chaque personne la poursuite du salut éternel.
Dans L’illusion libérale, Louis Veuillot décrit admirablement cette alliance des deux forces : la tiare et l’épée, la parole de Vérité et le bras séculier :
« La société chrétienne, dans l’état normal, se maintient et s’étend au moyen de deux forces qui doivent être distinctes non séparées, unies non confondues, subordonnées non égales. L’une est la tête, l’autre le bras ; l’une est la parole suprême et souveraine du pontife, l’autre la puissance sociale. La société chrétienne étant premièrement et avant tout chrétienne, soumet tout à cette première loi ; et elle met toutes choses en leur place, parce qu’elle met d’abord à sa place son seul vrai Seigneur et Maitre, Jésus-Christ. Elle le met à sa place souveraine dans la société comme tous les fidèles le mettent à sa place souveraine dans les âmes [et dans la famille] ; et de là naissent l’ordre, la liberté, l’unité, la grandeur, la justice, l’empire, la paix. Ainsi, à travers et malgré les déchirements suscités par les passions de l’infirmité humaine, se forma dans sa variété magnifique cette communauté de l’Europe qu’on pût appeler la République ou même la Famille chrétienne ; œuvre merveilleuse, brisée par l’hérésie lorsque la paix intérieure et le progrès des arts lui promettaient la gloire d’étendre au genre humain tout entier le bienfait de la Rédemption. […] Ces deux pouvoirs unis, distincts et subordonnés, par lesquels la société chrétienne se régit, c’est ce que l’on appelle les deux glaives. Car la parole ne serait rien, si elle ne pouvait être, à certain moment, aussi un glaive. La mansuétude du Christ a voulu deux glaives pour que la répression tombât plus tardive et pût être prévenue. Le premier glaive, celui qui ne déchire que les ténèbres, demeure au pouvoir patient et infailliblement éclairé du Pontife. L’autre, le glaive matériel, est dans la main du représentant de la société, et afin qu’il n’erre pas, il doit obéir au commandement du Pontife. C’est le Pontife qui le fait sortir du fourreau et qu’il y fait rentrer. Son office est de réprimer l’erreur agressive, une fois définie et condamnée, de la lier, de l’abattre ; de donner protection à la vérité, soit qu’elle ait besoin de se défendre, soit qu’elle se trouve dans la nécessité d’attaquer à son tour. La main séculière doit faire passage à la vérité, assurer la liberté de ses enseignements, garder au loin la vie de ses ambassadeurs et de ses disciples (1). »
La Révolution de 1789 a déclenché le paroxysme de la guerre à mort entre les deux postérités (Gen. 111, 15). Dans le but d’instaurer l’imperium de Satan sur les nations et sur l’humanité, les gouvernants qui en sont issus pervertissent les cœurs et les intelligences par les lois et l’instruction, corrompent le christianisme par les modes et les principes maçonniques, instrumentalisent l’Église pour l’affaiblir, l’isoler du peuple chrétien et l’éliminer. Confronté au mépris, à la haine et à la violence des États antichristiques, le Saint-Siège proclama fidèlement la Vérité mais, en pratique, fit preuve d’esprit de conciliation et, au prix de grands sacrifices, « pour le bien et la paix du monde », dira Pie XI, pactisa avec ses ennemis.
On dévoile ici une plaie que d’aucuns préféreraient sans doute laisser ensevelie sous la poussière des archives de la petite histoire ! Cependant, hier, aujourd’hui et demain sont un, et le courage de la vérité de l’histoire du temps passé est garant de celui de la vérité de l’heure présente. Depuis le Concordat de 1801, sous la contrainte des gouvernants issus de la Révolution, le Vatican, par volonté de résignation et d’accommodement, a laissé se distendre jusqu’à la rupture l’amarre qui retenait la société chrétienne solidement fixée au Port, c’est-à-dire le Droit chrétien public fondé sur la théologie et la loi ecclésiastique. Cette politique vaticane généra ce que l’on peut dénommer une antithèse entre la Parole de Vérité et les actes relevant des rapports avec la puissance civile antichrétienne.
Cette « fine diplomatie », menée opiniâtrement durant près de 150 ans, a sapé la résistance des autorités religieuses et celle des fidèles à la grande SÉDUCTION de la fin du temps des Nations (Lc. 21, 24). Elle a favorisé et accéléré la « défaite des saints » (Apoc. 13,7) en soumettant les baptisés, constitutionnellement, juridiquement, socialement, aux « pouvoirs établis » tous imbus « des valeurs et des principes » sataniques de la Révolution. Tôt ou tard, « les chefs, les conducteurs du peuple » devaient butter sur l’alternative, soit d’une remise en ordre RADICALE afin d’œuvrer réellement pour le règne social et politique de Notre-Seigneur Jésus-Christ, soit de fuir en avant en définissant, formulant, en principes et en droit, leur transmutation du royaume de Dieu en paradis socialiste et démocratique. La deuxième voie a été choisie en Vatican II qui a réalisé les épousailles des Princes de l’Église avec la démocratie de la maçonnerie universelle et transmué la religion de Jésus-Christ en un diabolique syncrétisme religieux. Contra factum non valet argumentum.
L’Église a perdu sa suprématie sur les Peuples, les Nations et les États quand elle a été privée de son bras séculier. « La force à sa place et faisant son office, voilà l’état régulier. […] Il faudrait (…) donner avec joie tout son sang pour remettre la force dans son sens légitime, pour l’attacher au seul service du droit. La force doit protéger, affermir, venger le plus grand, le plus illustre, le plus nécessaire droit de l’homme, qui est de connaitre et de servir Dieu ; elle doit mettre l’Église à même de dispenser ce droit à tout homme sur la terre. N’abandonnons pas cette vérité que le catholique libéral jette et noie dans le courant, avec tant d’autres (2). »
L’impuissance grandissante du Saint-Siège, sa collusion avec les ennemis du Christ-Roi, l’asservissement des nations chrétiennes aux puissances antichristiques, triple cause instrumentale de l’apostasie générale, étaient-ils inéluctables, irrémédiables ? Mysterium iniquitatis !
Pourquoi s’étonner ? C’est notre histoire depuis la fin du 17ème siècle, résumée dans la « grande nouvelle » apportée à La Salette. La sainte foi sera oubliée, le relâchement pour le service de Dieu sera universel ; les méchants se livreront à toutes sortes de crimes : le blasphème, la profanation du dimanche, la violation de l’abstinence et du jeûne, l’oubli de la prière ; les gouvernants se ligueront pour combattre Jésus-Christ ; les bruits de guerre rempliront la terre ; les mauvais livres abonderont, personne ne s’entendra plus, on ne verra qu’homicides ; une fausse lumière accumulera les ténèbres sur toute la terre, le Saint-Siège perdra la foi et l’Église sa visibilité ; de grands malheurs s’abattront sur l’humanité à la mesure de ses crimes qui percent la voûte des cieux. Nous sommes les témoins et les acteurs de ce drame de la fin des temps brossé par la Vierge à grands traits bibliques. Les hommes s’inquiètent et s’angoissent pour leur avenir ; ils espèrent un libérateur, un homme providentiel qui remettrait de l’ordre dans la maison de l’humanité : Satan se rendra roi du monde en la personne de l’Antéchrist.
Mais alors, le dernier jour du monde serait-il proche ? La Très Sainte Vierge ne le laisse pas entendre. Au contraire, elle promet le Règne de Dieu après la purification universelle et le renouvellement de toutes choses.
CHAPITRE I
La « Grande Nouvelle »
de la Salette
Est-Elle un Oracle Divin ?
« Et Bien, Mes Enfants.
Vous le Ferez Passer à Tout Mon Peuple »
Dans le cours de cette étude, nous appliquerons fréquemment les paroles de Notre-Dame de La Salette aux évènements et à la tragique situation ecclésiale actuelle. Nous pensons en effet qu’il y aurait grande imprudence et sûrement inconvenance, sinon du mépris envers la divine Marie, de ne pas éclairer par ses avertissements la « crise affreuse » que nous traversons, et de ne pas voir en eux une confirmation du jugement théologique que nous devons porter sur ce drame sans précédent. Certains clercs et laïcs, bien que se disant dévots de La Salette, se récrieront : Le Message de la Vierge de La Salette n’est pas un oracle divin, il n’est qu’une révélation privée ; par conséquent nous sommes tenus à certaines réserves dans son utilisation et son interprétation ; on ne peut, sans analogies imprudentes ou prophétisme de mauvais aloi, en voir la réalisation dans l’évolution ecclésiale du dernier siècle et demi, ni l’appliquer aux gravissimes et inouïs désordres actuels.
La seule solution : que SON Règne arrive !
Thierry Martin, essayiste, a donné une conférence sur le Christ Roi de France à Saint Benoît-sur-Loire ce 20 juin dernier :
La seule solution : que SON Règne arrive !
« Adveniat regnum tuum, que votre règne arrive !
« …vous serez davantage de votre pays, à mesure que vous serez plus chrétiens. Est-ce que la France n’est pas liée au christianisme par toutes ses fibres ? N’avez-vous pas lu, en tête de la première charte française, ces mots tant de fois répétés par l’héroïne d’Orléans : « Vive le Christ qui est roi des Francs » ? N’avez-vous pas lu le testament de saint Remy, le père de notre monarchie et de toutes ses races régnantes ? N’avez-vous pas lu les testaments de Charlemagne et de saint Louis, et ne vous souvenez-vous pas comment ils s’expriment concernant la sainte Église romaine et le vicaire de Jésus-Christ ? Le programme national de la France est là ; on est Français quand, à travers les vicissitudes des âges, on demeure fidèle à cet esprit. Les pharisiens, tristes citoyens, n’osèrent-ils pas un jour dénier à Jésus-Christ le sentiment patriotique ? « Mais c’étaient eux, reprend saint Ambroise, qui abdiquaient l’amour de la patrie, en se faisant les envieux de Jésus » (…). Je renvoie hardiment cette même réplique à tous les détracteurs de notre civisme. Les apostats de la France, ce sont les ennemis de Jésus-Christ. Quoi qu’on fasse, il n’y aura jamais de national en France que ce qui est chrétien. »
Mgr Pie, prêchant à Nantes le panégyrique de saint Émilien,
le 8 novembre 1859.
De L’INVALIDITÉ des “ÉVÊQUES” et des “CARDINAUX” conciliaires
Sur l’Invalidité des “évêques” et des “cardinaux” :
L’ordinal de Paul VI est Invalide
parce qu’il est la copie servile de l’ordinal anglican qui ne transmet pas le sacerdoce.
Depuis Paul VI inclus, les “papes” conciliaires ne sont pas élus selon la loi de la Sainte Église et leur invalidité est certaine en raison de cette même loi.
Disputatio avec le RP Laurent (Capucin de Morgon)
… où l’incompétence doctrinale !
Un de nos amis et fidèle lecteur du CatholicaPedia Bog habitant à proximité des capucins de Morgon a été amené à les fréquenter de manière assidue (ce sont eux qui l’ont baptisé) avant de préférer faire un plus gros sacrifice et d’aller à l’IMBC à Lyon…
Ayant débattu avec Le père gardien (qui fut son directeur spirituel) du sédévacantisme et de la question de l’infaillibilité pontificale, il put constater que ce “directeur spirituel” n’y connaissait rien du tout, en ayant eu droit à des réponses du genre :
— La très mythique « si votre père vous demande de vous tuer, vous ne le faites pas mais il reste toujours votre père »
— « donc le pape est hérétique ? » (lui) — « Non, on ne dit pas que le pape est hérétique mais qu’il dit des hérésies » (le Père Antoine)
Voyant sa consternation, et la difficulté à avancer quoi que ce soit de tangible, le Père Antoine l’a donc orienté vers le Père Laurent (maître des étudiants) et il a donc débattu avec ce dernier… qui avait étudié la question pour l’occasion et le moins qu’on puisse dire c’est que ça se sentait que c’était tout frais.
Après le premier rendez vous, notre ami a donc préparé une réfutation de tous ses arguments (par écrit et que vous pourrez lire plus bas…) en vue de leur rendez vous suivant et le Père Laurent à abdiqué à tous les arguments ! Toutefois il a continué de s’accrocher en disant que l’invalidité des nouveaux sacrements que notre ami avançais était encore à prouver (notre ami “fidèle semper idem” lui ayant précisé que des travaux avait été fait mais le Père Laurent ne semblait pas convaincu…) et que le problème du sédévacantisme c’est qu’il n’y a pas de solution (…pour eux !!! enfermement dans un point de vue purement humain), une voie de garage comme ils se plaisent à dire.
Notre correspondant et ami, souligne que le gros problème des capucins de Morgon est qu’ils ont clairement de graves lacunes en matière de doctrine, et aussi que lorsqu’ils étudient ils ne prennent leurs informations que dans les livres et revue de la Fraternité (pour les livres… il ne se souviens plus des titres, la revue étant bien sûr « Le Sel de la Ierre »).
Donc à son humble avis, ils sont plus ignorants que malhonnêtes mais pour ça c’est au bon Dieu de juger.
Il espère donc que ces informations pourront aider quelques uns à se faire une opinion plus claire.
En digne fils du Père Eugène de Villeurbanne qui pourra sauver l’ordre des capucins du modernisme ?
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