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Archive for the ‘Très Sainte Vierge’ tag

CATÉCHISME DU SAINT-ESPRIT

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La Pentecôte

La Pentecôte – Heures d'Étienne Chevalier, enluminées par Jean Fouquet Musée Condé, Chantilly

À quelques jours de la Pentecôte (du grec ancien πεντηκοστὴ ἡμέρα / pentêkostề hêméra, « cinquantième jour ») — fête chrétienne qui célèbre la venue du Saint-Esprit sur la Très Sainte Vierge et les Apôtres dans le Cénacle de Jérusalem —, Notre ami lecteur, Joseph-Marie, nous adresse pour publication ce petit catéchisme du Saint-Esprit : « Ce catéchisme voudrait vulgariser l’encyclique du Pape Léon XIII « Divinum illud Munus » du 29 mai 1897, sur la mission du Saint-Esprit ; il voudrait se faire l’humble messager du grand maître qu’est ce Pape auprès des plus petits de ses disciples et leur expliquer son enseignement sur le Saint-Esprit ».

 

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Catéchisme du Saint-Esprit

 

Lettre-Préface

 

Le R.P. Nérée-Marie, O.F.M.
Guardien du Couvent du Christ-Roi,
Chateauguay-Bassin. Province du Québec.

 

Mon Révérend Père,

 

Vous allez donc bientôt mettre sous presse un livre dont l’objet est de faire connaître, aimer et prier davantage le Saint-Esprit. Comment ne pas vous en féliciter comme d’une entreprise aussi opportune que bienfaisante ?

Sans prétendre à la nouveauté et à l’invention, vous visez surtout à mettre à la portée de tous, en des termes clairs et simples, et sous forme catéchistique, une doctrine assez peu connue. Pour trop de chrétiens, de catholiques même, l’Esprit-Saint, en effet, n’est que le Dieu Inconnu dont parlait saint Paul aux Athéniens.

Pendant que toutes sciences humaines, vaines souvent, sont approfondies et diffusées dans le monde entier, pourquoi faut-il que la science des choses divines, que l’Auteur même de la seule science digne de ce nom, demeure dans l’ombre et les ténèbres ? Comment expliquer l’indifférence d’une multitude à l’égard de ce Divin Esprit, qu’on a pu appeler l’Âme de l’Église, et le Sanctificateur des hommes ; le Consolateur ; le Feu divin ; l’Amour personnifier…

En rappelant des vérités essentielles et souverainement pratiques, vous aurez fait votre bonne part, mon Révérend Père, pour dissiper ces ténèbres, et faire rendre à la Troisième Personne de la Sainte Trinité un culte plus éclairé, plus profond, plus reconnaissant, et conforme, partant, aux vœux de la Sainte Église.

« Le Père Éternel, nous dit saint Alphonse, non content de nous donner son Fils pour nous sauver par sa mort, a voulu nous donner encore le Saint-Esprit, afin qu’il habitât dans nos cœurs et les tînt continuellement embrasés d’amour ».

C’est un grand honneur que de contribuer par la plume et la parole à l’entretien de cette Flamme vivante : cet honneur a été le vôtre. Il n’en faut pas davantage, j’en suis sûr, pour répondre à votre pieuse ambition. Puissent vos lecteurs dire avec plus de ferveur que jamais, grâce au zèle brûlant d’un digne fils du Séraphique François, Gloire soit au Père,au Fils et au Saint-Esprit.

 

Croyez-moi bien vôtre en Notre-Seigneur.

 

J.-Alfred LANGLOIS

Évêque de Valleyfield.

 

 

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Pour compléter ce catéchisme vous lirez aussi l’encyclique du Pape Léon XIII « Divinum illud Munus » du 29 mai 1897, sur la mission du Saint-Esprit :

Lettre encyclique Divinum Illud Munus
Sur le Saint Esprit – Léon XIII

 

Léon xiii

Donné à Rome, près de Saint-Pierre, le 9 mai 1897

À tous Nos Vénérables Frères les Patriarches, Primats, Archevêques et Évêques du monde catholique, en grâce et communion avec le Siège Apostolique.

Léon XIII, pape

Vénérables Frères Salut et Bénédiction Apostolique.

 

 

DISCOURS CHRÉTIEN DE VLADIMIR POUTINE : Vive la Sainte Russie !

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Discours Chrétien de Vladimir Poutine : Vive la Sainte Russie !

 

La conversion de la Russie en marche : Il ne manque plus que la très sainte Vierge !

 

1025e anniversaire de la christianisation de la Russie« Votre présidence est un miracle ! » Lors des festivités de l’été 2013, du 1025e anniversaire de la christianisation de la Russie, le patriarche Kirill n’avait pas caché son enthousiasme à l’égard de Vladimir Poutine…

 

Vladimir Poutine a parlé…

… C’était le 19 septembre dernier.

 

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Vatican d’Eux : Marie, Mère de Dieu… « allez-voir ailleurs ! »

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Pour la première fois, le site Conciliaire EAQ (« l’Évangile au Quotidien »), censé présenter le “martyrologe officiel” romain (remanié continuellement depuis le très progressiste Vatican.II, d’Eux…), associé aux événements principaux de la « nouvelle liturgie », a passé « à la trappe » ce 8 décembre, jour de la solennité de l’Immaculée Conception de la Très Sainte Vierge, tandis qu’à Lourdes les fidèles accourent… pour fêter la Théotokos (*). Que cherchent les « bernard-l’hermite » qui dirigent la « Communication » de l’église Conciliaire ???

Immaculée Conception de la Très Sainte Vierge

(*) Le titre de Théotokos (du grec Θεοτόκος, « qui a enfanté Dieu »), attribué à Marie, apparaît sous la plume d’Alexandre d’Alexandrie en 325, l’année du concile de Nicée.

Voici la preuve en images :

L'Évangile au Quotidien du 2013.12.08

L'Évangile au Quotidien du 8 décembre 2013

 

L'Évangile au Quotidien du 2013.12.09

L'Évangile au Quotidien du 9 décembre 2013


 

 

Et à Lourdes (conciliaire)… on continue comme si de rien n’était(C’est le foutoir !!! dans cet église Conciliaire)

Voici la preuve en images :

siteDeLourdes_2013.12à droite, vous avez « le programme » du dimanche 8 décembre…

Lien : http://fr.lourdes-france.org/tv-lourdes/

…et quand vous cliquez sur le lien, vous avez cela :

lien_siteDeLourdes_2013.12

 

Ils ontTout Détruit
http://www.a-c-r-f.com/documents/LHR-Ils_ont.pdf

 

L’Immaculée Conception de la Très Sainte Vierge

 

Notre-Dame du Perpétuel Secours

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Notre-Dame du Perpétuel Secours

Vierge très puissante

 Notre-Dame du Perpétuel Secours

 

Ce petit ouvrage conte l’histoire providentielle du tableau de Notre Dame du Perpétuel Secours, retrace tous les miracles qui y sont attachés et se termine par quelques prières à adresser à notre Mère bien-aimée.

Notre-Dame du Perpétuel Secours - Vierge très puissante

Le culte de Notre-Dame du Perpétuel Secours arrive à son heure et répond parfaitement aux nécessités actuelles de l’Église et des âmes. Priez avec ardeur la Vierge Miraculeuse afin que l’Église triomphe de ces effroyables luttes au milieu desquelles tant d’âmes périssent.

Quelles ressources reste-t-il au pécheur endormi dans les bras de Satan ? La Providence leur montre Notre-Dame du Perpétuel Secours. Son intercession est assez puissante pour réveiller les âmes assoupies et ressusciter celles qui dorment d’un mortel sommeil.

Aujourd’hui il faut s’embarquer sur une frêle nacelle et la mer n’est jamais calme : c’est toujours la tempête ! Comment voulez-vous qu’on arrive au port ? Rassurez-vous, Dieu nous donne Notre-Dame du Perpétuel Secours. Marie vous est perpétuellement offerte. Priez, priez beaucoup et votre vie sera chrétienne et sainte sera votre mort.

Prière à Notre Dame du Perpetuel SecoursPrière à Notre-Dame du Perpetuel Secours

Notre-Dame du Perpétuel Secours

Vatican d’Eux : Huitième Anniversaire de la mort de Roger Schutz

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Nous avons reçu cet article d’un fidèle lecteur :

 

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Huitième anniversaire de l’exécution du « Frère » Roger ?

 

 Roger Schutz

 

Le 18 août 2005 (certains disent le 16 ?), le fondateur de Taizé est mort « assassiné. » La presse unanime en a fait le panégyrique. Valeurs actuelles (1), du 19, le qualifiait d’ « homme de paix ».

 Taizé

Sous le titre général L’Europe entière rend hommage à Frère Roger, le même numéro du Monde note la « tristesse de Benoît XVI Entamant, mercredi 17 août, son audience publique hebdomadaire à Castel Gandolfo par quelques phrases : j’ai reçu une nouvelle très triste, terrible…Le frère Roger était pour moi surtout l’un des piliers de l’Europe qui s’unit. » Si Benoît XVI le connaissait le 17, l’assassinat du frère Roger a donc eu lieu au plus tard le 16. Pourquoi, la presse n’en a-t-elle parlé que le 19, en le datant du 18 ? Curieux, mais ce  n’est pas la seule anomalie dans cette affaire !

L’homme d’un réseau.

 

« Le Frère (notons la majuscule) Roger, 90 ans, avait consacré toute sa vie…aux jeunes de plusieurs nationalités », indique Valeurs actuelles, qui poursuit : « Protestant, diplômé en théologie, Roger Schutz était arrivé de Suisse en août 1940, en Saône et Loire, dans le petit village de Taizé, non loin de Cluny, pour y fonder une communauté monastique œcuménique travaillant à la réconciliation des chrétiens. Taizé se trouvait…à quelques kilomètres de la ligne de démarcation. Frère Roger avait alors hébergé de nombreux réfugiés en particulier des juifs qui fuyaient la zone occupée…des milliers de jeunes venus du monde entier, protestants, catholiques, orthodoxes se retrouvaient chaque semaine à Taizé pour y prier. Les rencontres de Taizé organisées chaque année depuis 1978…attirent à chaque fois plusieurs milliers de jeunes (plus de 80 000 à Paris en 2002)… »

 

Le journal Le Monde (2) ne consacre pas moins de trois colonnes entières à la biographie du frère Roger, dans son numéro du 18 août ! On y apprend qu’ « en 1940…sa maison devient un refuge (qui) accueille sans distinction juifs, réfugiés politiques et résistants… Le 11 novembre 1942, à la suite d’une dénonciation, sa maison est fouillée de fond en comble par la gestapo…Roger Schutz est obligé de quitter Taizé et de repasser la frontière (a-t-il bénéficié de protections, pour n’avoir eu qu’une si faible sanction ?)son projet communautaire va mûrir dans l’éloignement de Genève. C’est là que le rejoignent ses premiers compagnons de route suisses comme lui, Max, un théologien… » Max ThurianLe Monde n’en dit pas plus de Max Thurian qui eut, à n’en pas douter, avec Roger Schutz des liens qui ne sont pas au-dessus de tout soupçon. Curieux ce silence sur le compagnon du frère Roger, dont on ne nous dit nullement ce qu’il est devenu, alors qu’il a partagé sa notoriété des années durant.

 

On nous apprend par contre que le frère Roger est né le 12 mai 1915 en Suisse près de Neuchâtel d’un pasteur protestant suisse et d’Amélie Marsauche, appartenant elle aussi à l’église prétendue réformée. Sa mère est originaire de Bourgogne où il passe ses vacances ; de là son choix de Taizé. « En famille, on lisait Blaise Pascal et Angélique Arnaud. »

Ce que Le Monde omet de nous dire, c’est que les Schutz sont cousins des Schlumberger. Richissimes banquiers suisses, cette famille est notoirement connue en milieu protestant pour être de race israélite. Roger Schutz était donc lui aussi de « la race élue ». Quant à Max Thurian, c’est un cousin de Giscard, prétendu d’Estaing. Ce dernier, le jour de son emménagement à l’Élysée, s’est vanté à la télévision, de descendre du comte de Saint Germain. Celui-ci est un juif occultiste qui joua un certain rôle dans la préparation de la Révolution dite française.

Ce que nous apprend par contre Le Monde c’est que : « en 1948, (ayant fait une) demande à l’évêque d’Autun (d’utiliser l’église du lieu)…(Roger Schutz) reçoit une réponse chaleureusement positive signée du nonce apostolique…Mgr Angelo Roncalli. Ce fut le début d’une longue amitié Jean XXIII est l’un des hommes qui auront le plus compté pour le prieur de Taizé. »

Roncalli, Bea, Taizé (Schutz et Thurian)

Roncalli-Jean XXIII, le Cardinal Bea et Frères Roger et Max Thurian

Comment la demande insignifiante d’user de l’église d’un patelin obscur, qui plus est adressée à l’évêque d’Autun, est-elle parvenue au nonce apostolique à Paris ? Comment la requête d’un inconnu, protestant de surcroît, put-elle être prise en compte et recevoir une réponse chaleureusement positive du futur « pape » Jean XXIII ? Ceci ne peut se comprendre que si elle a cheminé par une filière occulte composée d’initiés, bref par un réseau d’amitiés au service de la Cause. Là est également l’explication du fait que « de 1962 à 1965, Frère Roger est l’un des observateurs les plus attentifs du concile Vatican II », en clair, un des protagonistes les plus actifs du brigandage qui substituera au catholicisme romain, l’œcuménisme judéo-maçonnique.

 

L’Europe judéo-maçonnique.

 

Et Le Monde de poursuivre : « Les rencontres avec Paul VI furent également confiantes. Au cours de son voyage dans la région lyonnaise, le 5 octobre 1986, Jean Paul II franchit le seuil de la communauté : « je me suis senti poussé par une nécessité intérieure » dira le pape ; ajoutant cette autre formule restée célèbre « on passe à Taizé comme on passe près d’une source ». Karol Wojtyla aimait le Frère Roger qu’il avait invité à prêcher dans son ancien diocèse de Cracovie devant 200 000 mineurs. » Ce qu’omet pourtant de dire Le Monde, c’est que Katz Wojtyla, dont le marranisme est notoire, vint de nombreuses fois à Taizé avec l’autorisation du gouvernement polonais communiste et que, lors de l’écroulement du mur de Berlin, les manifestants chantaient des cantiques appris à Taizé !

Karol Wojtyla aimait le Frère Roger

...et quelques années plus tard...toujours le même amour !

Ainsi avons-nous affaire à une entreprise politico-religieuse à dimension mondialiste puisque Le Monde toujours, nous apprend que le frère Roger devait « déclarer à l’UNESCO en 1989 :  « Il dépend des jeunes que la grande famille européenne sorte de l’ère de la méfiance » c’est « l’une des urgences des années à venir… Le tournant », précise Le Monde, « est « le concile des jeunes » que le prieur de Taizé convoque en pleine bourrasque de l’après 68… Avant 1970, par centaines, des jeunes venaient déjà passer Pâques sur la colline : ils sont 2 500 en 1970…7 500 puis 16 000, 18 000, 20 000 à Pâques 74, 50 000 le 30 août suivant pour l’ouverture du « le concile des jeunes ». Banc d’essai pour les JMJ », conclut Le Monde.

Concluons en matière de réseau subversif, sur cette phrase du Monde : «  Hubert Beuve-Méry, fondateur du Monde, était un grand ami de Frère Roger et un visiteur assidu de Taizé. » Lorsqu’on a en tête la conclusion relative à « La face cachée du Monde », que ce journal n’est autre qu’ « une loge maçonnique, courroie de transmission du judaïsme mondialiste », la boucle est bouclée ! 

 

Une drôle de mort !

 

Lorsque la nouvelle tombe, le 18 août, « frère Roger a été poignardé » Au fur et à mesure, on apprend qu’il a été égorgé ! Le Parisien daté de ce jour, titre « La roumaine qui a égorgé frère Roger ».

Luminata Solcanu, l’assassin présumé.L’assassin présumé, dont on a pu prouver qu’elle avait acheté le couteau la veille, prétend ne pas avoir porté le coup qui a tranché la trachée artère du prieur œcuménique. Une femme frêle comme apparaît être Luminata Solcanu sur les photos qu’on a publiées d’elle, a-t-elle pu porter un tel coup ? Elle prétend également, ainsi que l’indique Le Parisien (3), avoir « voulu avertir frère Roger d’un complot de moines francs-maçons ». Le Monde (4), confirme les propos tenus par la jeune femme par le témoignage même du procureur de la République Coste, chargé de l’affaire près du tribunal de Mâcon. Il y a en outre toute une variation sur le nom de la coupable présumée. Dénommée Luminata Sunacu, dans Le Parien, elle devient Luminata Solcanu dans Valeurs actuelles et dans Le Monde du même jour, mais Luminata Solcan dans celui du 20 août. Bref ! On saura au Jugement Dernier.

Les funérailles de Frère Roger

Une foule estimée par la communauté de Taizé entre 10 et 12.000 personnes ont assisté aux funérailles de Frère Roger. Un écran géant a été mis en place en dehors de l'église de la communauté de Taizé, où les funérailles ont eu lieu, pour les milliers de personnes qui n'ont pas pu y entrer.
Le président allemand Horst Koehler, le ministre français de l'Intérieur Nicolas Sarkozy et le clergé du monde entier y ont participé.
Le service a été dirigé conjointement par Walter Kasper, haut responsable du Vatican chargé de réunir les églises chrétiennes, et le successeur désigné de frère Roger, frère Alois Leser, un catholique d'origine allemande.


 

Toutefois, il nous semble que Solcanu pourrait être la forme roumaine de Solcan et que Le Monde informerait ainsi ses lecteurs initiés, en imprimant que l’auteur présumé de l’assassinat se nomme Solcan, nom indubitablement juif comme Laban, Lacan, Gozlan… Ce qui laisserait supposer l’hypothèse d’un règlement de comptes ?

Beaucoup de Roumains sont passés par Taizé. L’affaire Ceauscescu n’était pas si ancienne et y avait trempé un candidat à l’émigration pour Israël. Trotski n’est-il pas mort d’un coup de pic à glace ? Les haines dans ces milieux sont terribles.

 

Frère Roger, principal artisan de l’attentat sacrilège contre la messe.

 

Mais le non du « frère » Roger restera attaché, dans la mémoire des catholiques, à l’attentat sacrilège contre la sainte Messe. Ainsi, le nom de ce prétendu « homme de paix » restera attaché à l’un des plus grands attentats sacrilèges de tous les temps : la tentative au XX° siècle, heureusement avortée par la grâce de Dieu, de destruction de la sainte Messe catholique.

En effet, si le novus ordo missae de 1969 fut proposé par une commission officielle, présidée par le cardinal Bugnini, promulgué par Paul VI et imposé, en 1970, en France par un épiscopat apostat depuis 1958, les travaux préparatoires furent diligentés par une sous commission, dont le noyau dirigeant était constitué des « frères Roger Schutz et Max Thurian ».

 

Ils furent photographiés avec l’ensemble des membres de cette sous-commission. Cette photographie fut diffusée dans le monde entier, car elle fit l’objet d’une publication sur la page de couverture des Informations Catholiques Internationales, cliché repris depuis par plusieurs publications traditionalistes.

Paul VI et les ‘Observateurs protestants’ qui ont participé aux discussions sur la ‘Réforme liturgique’.

Ce n’est pas par hasard que Paul VI a inclus dans le “Consilium” chargé de la réforme liturgique, jusqu’à six membres protestants, qui représentaient le “Conseil Mondial des Églises”, c’est-à-dire : L’église d’Angleterre, l’église Luthérienne et la Communauté protestante de Taizé. Voici les noms de ces membres protestants qui ont collaboré à l’élaboration du “Novus Ordo Missæ” : Georges, Jasper, Sephard, Konnet, Smith et Thurian. Parmi eux, deux Anglicans (l’un Anglais, l’autre Américain), un membre du Conseil Mondial Luthérien ; un autre, membre du Conseil Mondial des Églises, et deux autres luthériens de Taizé.
(Le “Pape” et les pasteurs le 10 avril 1970)


 

On mesure ici l’importance du rôle joué par les deux complices. Il ressort du reste que le texte lui même, qui fut promulgué par le marrane Montini, avait été rédigé par frère Roger, lui-même. Il s’en servait pour célébrer à Taizé ce qu’il avait l’hypocrisie d’appeler la messe ! Mais « Desiderium impiorum peribit : le désir des impies périra », leurs efforts contre la messe se sont soldés par un échec. Il en ira de même en ce qui concerne ceux qu’ils ont déployés, de concert avec Katz Wojtyla, en faveur de la construction européenne. Déjà la confusion des langues se profile à l’horizon politique entre les protagonistes : Allemagne, France, Grande Bretagne …

 

Mais revenons à la date de sa mort. Nous avons dit au plus tard le 16. Ne serait-ce pas plutôt le 15 ? On sait, par la vénérable Marie d’Agréda, auteur de la Cité Mystique, qui révèle des faits surnaturels de l’histoire de la Très Sainte Vierge, que cette dernière donna l’ordre à ses anges d’exécuter Hérode, le persécuteur impénitent de l’Église naissante, l’assassin de saint Jean Baptiste et de Saint Jacques.

Roger Schutz n’aurait-il pas enfreint, en pénétrant dans le domaine sacré de la sainte Messe, une interdiction ? Ne serait-ce pas en vertu de cet impératif moral que Dieu, dans sa justice, lui a réservé la fin qu’il a rencontrée au cours d’une célébration de son propre ordo missae et qu’il aurait dès lors pleinement méritée ?

Une exécution le 15 août, ne serait-ce pas une marque de la punition infligée, comme pour Hérode, à la demande de la Sainte Vierge ?

 

 

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Benoît <abbr>XVI</abbr>, le 29 décembre 2012, sur le parvis de la basilique Saint-Pierre au Vatican

Benoît XVI, le 29 décembre 2012, sur le parvis de la basilique Saint-Pierre au Vatican (Alberto Pizzoli / AFP)
Benoît XVI a participé samedi 29/12/2012 en fin d'après-midi à une célébration œcuménique sur le parvis de la basilique Saint-Pierre en présence de 40.000 jeunes chrétiens – catholiques, protestants et orthodoxes – venus à Rome à la rencontre européenne de Taizé.

 

Et ça continu toujours sous François 1er (Bergo(go)glio) :

Frère Alois (prieur de Taizé) avec pape François

Frère Alois (prieur de Taizé) avec pape François

 

 


[1] Le journal de Bloch-Dassault.

[2] En page 16

[3] Du 19 août, en page 12.

[4] Également du 19 août, en page 7.

Written by Cave Ne Cadas

août 22nd, 2013 at 5:14 pm

Posted in Frère Roger,Luthériens de Taizé

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C’EST LE MOIS DE MARIE, C’EST LE MOIS LE PLUS BEAU…

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Radio Courtoisie

Radio Courtoisie, la radio libre du pays réel et de la francophonie, mercredi 8 mai à 10:45, le Livre du Jour de Benoît Mancheron recevait Louis-Hubert REMY et Thierry MARTIN, pour les livres :

« La Vierge Marie dans l’histoire de France »

et

I-Grande-12238-marie-reine-de-france-regnum-galliae-regnum-mariae.net

« Marie, Reine de France »

Écouter l’émission :

[audio:http://catholicapedia.net/audio/2013-05-08_Radio-Courtoisie_LHR-TM_Mois-de-Marie.mp3|titles=LdJ Benoît Mancheron|artists=Louis-Hubert Remy et Thierry MARTIN]

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Prière à Marie de saint Bernard de Clairvaux

Ô vous qui flottez sur les eaux agitées de la vaste mer, et qui allez à la dérive plutôt que vous n’avancez au milieu des orages et des tempêtes, regardez cette étoile, fixez vos yeux sur elle, et vous ne serez point engloutis par les flots.

Quand les fureurs de la tentation se déchaîneront contre vous, quand vous serez assaillis par les tribulations et poussés vers les écueils, regardez Marie, invoquez Marie.

Quand vous gémirez dans la tourmente de l’orgueil, de l’ambition, de la médisance, et de l’envie, levez les yeux vers l’étoile, invoquez Marie.

Si la colère ou l’avarice, si les tentations de la chair assaillent votre esquif, regardez Marie.

Si, accablé par l’énormité de vos crimes, confus des plaies hideuses de votre cœur, épouvanté par la crainte des jugements de Dieu, vous vous sentez entraîné dans le gouffre de la tristesse et sur le bord de l’abîme du désespoir, un cri à Marie, un regard à Marie.

Dans les périls, dans les angoisses, dans les perplexités, invoquez Marie, pensez à Marie.

Que ce doux nom ne soit jamais loin de votre bouche, jamais loin de votre cœur ; mais pour obtenir une part à la grâce qu’il renferme, n’oubliez point les exemples qu’il vous rappelle.

En suivant Marie, on ne s’égare point,
en priant Marie, on ne craint pas le désespoir,
en pensant à Marie, on ne se trompe point ;
si elle vous tient par la main, vous ne tomberez point,
si elle vous protège, vous n’aurez rien à craindre,
si elle vous conduit, vous ne connaîtrez point la fatigue,
et si elle vous est favorable, vous êtes sûr d’arriver ;
vous comprendrez ainsi par votre propre expérience pourquoi il est écrit : « Le nom de la vierge était Marie. »

Seconde Homélie. Sur les gloires de la Vierge mère.

2e Homélie, 17, A la louange de la Vierge Mère, Bernard de Clairvaux

http://www.abbaye-saint-benoit.ch/saints/bernard/tome02/homelie/missus/missus02.htm