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Archive for the ‘secte Conciliaire’ tag

Brève V2.6

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La secte conciliaire livre à domicile

 

La clinique de la Miséricorde à Caen

Le courrier électronique ayant sensiblement diminué la charge des facteurs, il a fallu chercher et leur trouver des activités annexes… Justement, la clinique de la Miséricorde à Caen a concocté une solution « originale » pour fournir un travail supplémentaire à l’un des préposés de « La Poste » de la ville. Dorénavant il distribuera… la communion aux malades qui le souhaitent !

 

Il sera accompagné d’une bonne sœur afin de rassurer le patient sur la nature du colis !…

Sans commentaire !

(Source : « Lectures Françaises » – n° 683 – Mars 2014DPFVAD – BP 70001 – Chiré en Montreuil) : http://www.chire.fr/CT-443-lectures-francaises.aspx

 

Bishop Richard Williamson’s « Eleison Comments » – No. CCCXLVIII – 348 ; Scandaleux… encore une fois

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Le Bon Pasteur, par Philippe de Champaigne. Peinture à l'huile (XVe siècle).Jésus est le bon pasteur. Il aime et connaît ses brebis par leur nom. Jésus-Christ, après sa Résurrection, demande à Pierre s’il l’aime et lui confie le troupeau à mener au pâturage… Cette mission il ne la confie pas seulement à Pierre, mais à tous les autres Apôtres.

Successeur des apôtres, l’évêque a mission d’être le bon berger…

Le mot « évêque » provient du mot gallo-roman *episcu, forme raccourcie du mot latin chrétien episcopus, lui-même adapté du grec Eπίσκοπος / episkopos qui veut dire « surveillant », c’est-à-dire : « Celui qui veille sur son troupeau »…

Mgr Williamson est d’une tout autre “trempe”… L’ex-anglican de la FSSPX devenu évêque, celui que Mgr Lefebvre n’aurait jamais dû choisir pour les sacres de 1988 :

« Ceux qui, quittant l’hérésie ou le schisme, viennent à l’Église ca­tholique ne sont pas admis à la cléricature » (Saint Augustin : De unice Baptismo, ch. 12).

Monseigneur Williamson : est un leurre ; Virgo-Maria nous l’a assez expliqué !

Pour Mgr Williamson, que l’on soit dans la secte conciliaire (cette Église de Dieu, dixit Willy), dans la F$$PX, voire même chez les sédévacs (que Mgr est bon… même nous, nous pourrions nous sauver), après tout, pourquoi pas !!!

Dans son dernier Commentaire Eleison, que vous pourrez lire en PDF plus bas, il explique que :

Si chacun est persuadé d’y faire son salut, laissons-le alors tranquillement !!!

Certains seraient certes dans l’erreur… mais bon, c’est manifestement accessoire pour Mgr Williamson.

Pourtant, il déclare au tout début que l’on ne peut plaire à Dieu sans la foi !!!

Manifestement, nous aurions tous la même foi, conciliaires, frateux ou sedevacs !!!!

Au secours ! Au fou !

Chers Lecteurs, je vous l’apprends… Vous avez la même foi que François Ø. Et que Mgr Williamson…

 

 

François Ø un bon pasteur ?

François Ø un bon pasteur ?

 

Questions Objectives à Monsieur l’Abbé Jean-Luc Lafitte …suite

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Questions Objectives à Monsieur l’Abbé Jean-Luc Lafitte

(suite de http://wordpress.catholicapedia.net/?p=13019)

Mises au Point de Louis-Hubert Remy,

7 mars 2014, en la fête de saint Thomas d’Aquin

Quand comprendra-t-on que celui qui engendre la zizanie ou la division
n’est pas celui qui dénonce l’erreur,
mais celui qui enseigne l’erreur ou ne la combat pas ?

 

Ayant été surpris par certains commentaires de ce fil, et n’ayant pas pu intervenir pendant ces jours de débat, je me permets de le reprendre car il me semble que l’on est passé à côté de l’essentiel. Je ne règle pas mes comptes, comme vont dire les sots, je défends la vérité. Soyez exigeants avec vos prêtres, nous disait l’abbé Vérité.

 

Dom GuérangerDom Guéranger, au 9 avril de L’année Liturgique, cite quelques phrases de saint Cyrille dans son combat contre Nestorius qui devrait être apprise par cœur par tous les catholiques militants :

Saint Cyrille d'Alexandrie« Quand le pasteur se change en loup, c’est au troupeau de se défendre tout d’abord. Régulièrement sans doute la doctrine descend des évêques au peuple fidèle, et les sujets, dans l’ordre de la foi, n’ont point à juger leurs chefs. Mais il est dans le trésor de la révélation des points essentiels, dont tout chrétien, par le fait même de son titre de chrétien, a la connaissance nécessaire et la garde obligée. Le principe ne change pas, qu’il s’agisse de croyance ou de conduite, de morale ou de dogme. Les trahisons pareilles à celle de Nestorius sont rares dans l’Église ; mais il peut arriver que des pasteurs restent silencieux, pour une cause ou pour l’autre, en certaines circonstances où la religion même serait engagée. Les vrais fidèles sont les hommes qui puisent dans leur seul baptême, en de telles conjectures, l’inspiration d’une ligne de conduite ; non les pusillanimes qui, sous le prétexte spécieux de la soumission aux pouvoirs établis, attendent pour courir à l’ennemi, ou s’opposer à ses entreprises, un programme qui n’est pas nécessaire et qu’on ne doit point leur donner. »

(…) Cyrille tenta de ramener Nestorius. Mais le sectaire s’opiniâtrait ; à défaut d’arguments, il se plaignait de l’ingérence du patriarche. Comme toujours en pareille circonstance, il se trouva des hommes d’apaisement qui, sans partager son erreur, estimaient que le mieux eût été en effet de ne pas lui répondre, par crainte de l’aigrir, d’augmenter le scandale, de blesser en un mot la charité. À ces hommes, dont la vertu singulière avait la propriété de s’effrayer moins des audaces de l’hérésie que de l’affirmation de la foi chrétienne, à ces partisans de la paix quand même, Cyrille répondait :

(…) « Que ne puis-je, répondait Cyrille, satisfaire l’évêque de Constantinople, apaiser l’amertume de mon frère ! Mais c’est de la foi qu’il s’agit ; le scandale est dans toutes les Églises ; chacun s’informe au sujet de la doctrine nouvelle. Si nous, qui avons reçu de Dieu la mission d’enseigner, ne portons pas de remède à de si grands maux, au jour du jugement y aura-t-il pour nous assez de flammes ? Déjà la calomnie, l’injure, ne m’ont pas manqué ; oubli sur tout cela : que seulement la foi reste sauve, et je ne concéderai à personne d’aimer plus ardemment que moi Nestorius. Mais si, du fait de quelques-uns, la foi vient à souffrir, qu’on n’en doute point : nous ne perdrons pas nos âmes, la mort même fût-elle sur notre tête. Si la crainte de quelque ennui l’emporte en nous sur le zèle de la gloire de Dieu et nous fait taire la vérité, de quel front pourrons-nous célébrer en présence du peuple chrétien les saints martyrs, lorsque ce qui fait leur éloge est uniquement l’accomplissement de cette parole : Pour la Vérité, Combats Jusqu’à la Mort ! (Eccli. IV, 33) »

(…) « Quant à ce qui est de moi, écrit-il à ses clercs résidant pour lui dans la ville impériale, peine, vivre et mourir pour la foi de Jésus-Christ est mon plus grand désir. Comme il est écrit, je ne donnerai point de sommeil à mes yeux, je ne clorai point mes paupières, je n’accorderai point de repos à ma tête (Psalm CXXXI, 4 – 5), que je n’ai livré le combat nécessaire au salut de tous. C’est pourquoi, bien pénétrés de notre pensée, agissez virilement ; surveillez l’ennemi, informez-vous de ses moindres mouvements. Au premier jour je vous enverrai, choisis entre tous, des hommes pieux et prudents, évêques et moines ; dès maintenant je prépare les lettres, telles qu’il les faut et pour qui il convient. J’ai résolu pour la foi du Christ de travailler sans trêve, et de supporter tous les tourments, même réputés les plus terribles, jusqu’à ce qu’enfin m’arrive de subir la mort qui sera douce pour une telle cause. »

Et dom Guéranger finit par cette consigne :

(…) Ô vous qui portâtes à l’erreur des coups si terribles, montrez aux docteurs de nos temps la manière de vaincre : qu’ils sachent comme vous s’appuyer sur Pierre ; qu’ils ne se désintéressent de rien de ce qui touche à l’Église ; qu’ils regardent toujours comme leurs propres ennemis, et leurs seuls ennemis, ceux du règne de Dieu. Dans vos sublimes écrits, les pasteurs apprendront la vraie science, celles des saintes Lettres, sans laquelle leur zèle serait impuissant. Les Chrétiens comprendront à votre école qu’ils ne peuvent espérer croître dans la vertu, sans grandir dans la foi tout d’abord, sans développer en eux la connaissance du mystère de l’Homme-Dieu. En un temps où le vague des notions suffit à tant d’âmes, répétez à tous que « c’est l’amour du vrai qui conduit à la vie ». (Cyr. Al. Homil. div I).

 

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LA QUESTION : Quand les “traditionalistes” dans l’erreur se font moucher par un “disciple pénitent”

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Blogue La Question

relance du fil de discussion sur La Question

Mgr Williamson : réponses aux erreurs des sédévacantistes | La Question : Actualité Religieuse

 

Réponses sur un blogue…

Les mille et une erreurs traditionalistes

 

Un certain Le disciple pénitent vient de relancer le fil de la discussion sur le sédévacantisme dans le blogue La Question.

 

* * *

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Written by Cave Ne Cadas

mars 7th, 2014 at 12:33 am

Posted in hérésies,Infaillibilité de l’Église,Invalidité nouveaux sacrements,La Question,Le disciple pénitent,Le Mystère d'iniquité,Polémique,sedevacance

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Bergoglio 1er – François ZérØ moderniste et hérétique

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Bergoglio 1er – François ZérØ

moderniste et hérétique

 

ImportantBergo(go)glio, « homme au langage pervers » (St Pie X) a remis officiellement le dimanche 24 novembre 2013 à 36 représentants de l’église Conciliaire et publiée mardi 26, une lettre d’Exhortation au chaos évangélique : “Evangelii Gaudium” (1) – première exhortation “apostolique” de François Ø (qui ne veut pas qu’on l’appelle François 1er) – venant clôturer officiellement l’« Année de la foi » qui avait été lancée par Benoît 1er de Vatican d’Eux (XVI) le 11 octobre 2012.

Exhortation “Evangelii gaudium”, « la joie de l’Évangile »Cette lettre ‘apostolique’ “Evangelii gaudium”, « la joie de l’Évangile » (aux ‘évêques’, ‘prêtres’, ‘diacres’, personnes ‘consacrées’ et à tous les fidèles laïcs (…ouf !) sur l’Annonce de l’Évangile dans le monde d’aujourd’hui) est, non seulement très fastidieuse à lire parce qu’elle consiste en 1000 conseils “pastoraux”, qui sont des plus réformateurs et révolutionnaires

Mais elle est surtout « imprégnée jusqu’aux moelles du venin d’erreur puisé chez les adversaires de la Foi ! » (St Pie X)  de la première à la dernière ligne !

« Nous taire n’est plus de mise, » dit Saint Pie X (2), « si Nous voulons ne point paraître infidèle au plus sacré de Nos devoirs »… Nous devons donc, nous aussi dénoncer les hérésies – le pire mal qui existe sur terre –, et nous devons vous éclairer…pour que vous gardiez la Foi !

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Written by Cave Ne Cadas

février 3rd, 2014 at 10:24 pm

Posted in église Conciliaire,Jorge Mario Bergoglio

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SCANDALE : de la Simonie conciliaire !

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L'abbé apostat Jean-Charles DescubesLe Salon Beige (blogue quotidien d’actualité par des laïcs catholiques conciliaires &/ou ralliés) nous apprend (hier) que le pseudo-“archevêque” de Rouen, (primat de Normandie !!! mort de rire) Mgr (MÔnsieur l’abbé apostat) Jean-Charles Descubes (totalement invalide et usurpateur d’Eux !! “Ordination épiscopale” le 9 mars 1997 par le card. Pierre Eyt pedigree ici) a décidé de brader le patrimoine de l’Église catholique usurpé par SA secte Conciliaire et de commettre en plus le grave péché de Simonie, — condamnée par le deuxième concile du Latran en 1139, et le concile de Trente qui réaffirme, par un décret intitulé « De invocatione, veneratione et reliquiis sanctorum et de sacris imaginibus » du 3 décembre 1563, l’importance de la vénération des reliques pour que le Seigneur accorde ses bienfaits — puisque de nombreux lots de cette vente sont des reliques de Saints de l’Église catholique (par exemple) : Ste Radegonde [lot n°2] ; SS Innocent, Jules, Georges, François de Sales, Jean l’Évangéliste [lot n°3] ; Ste Theodora et St Vincent [lot n°4] ; St Magne et St Honnestus [lot n°6] ; etc. etc.

Une lectrice (conciliaire qui ne fait pas la différence entre l’Église et la secte) nous adresse cette supplique :

De quel droit brader le patrimoine des catholiques ? Un évêque n’en est pas le propriétaire, n’en est-il pas que le gardien et le conservateur ? Et l’on nous demande de participer « généreusement » au denier du culte et chantiers des cardinaux ou évêques ? Qu’ils ne s’étonnent de n’être plus suivis et d’avoir des caisses de plus en plus vides, d’après ce qu’en disent les journaux ! N’y aurait-il pas perte catastrophique du sens du sacré et de « Dieu premier servi ». Où est la gloire de Dieu, puisque le beau – à l’échelle humaine – Lui est refusé ?

Je voudrais bien qu’on m’explique. Merci à celui ou celle qui est compétent de bien vouloir m’éclairer.

Qu’en pensez-vous ?
Bien cordialement
C…

 

L’archevêché de Rouen brade son patrimoine : des reliques en vente à Drouot. Et pas seulement…

Le catalogue de la vente est ici. Un lecteur m’envoie la lettre qu’il a adressé à l’archevêque :

« Monseigneur,

Apprenant la vente imminente, ce jeudi 30 janvier, par une Maison de ventes de Rouen, Normandy Auction (Me Frémaux-Lejeune), d’une partie des collections de l’Archevêché – Art Sacré. Exceptionnelle collection de : reliquaires, paperoles, canivets. Important ensemble de calices, ostensoirs, textile. Dessins anciens, projets de vitraux, bois sculptés, icônes, ivoires – nous restons dans l’incompréhension de la tournure de cette dispersion.

Ni la Commission d’Art Sacré, ni la communauté chrétienne du diocèse, auquel ce patrimoine appartient symboliquement, n’ont été consultés. A l’inverse, la communauté chrétienne n’est pas oubliée du reste lorsqu’il s’agit de contribuer aux charges du diocèse.

Nous apprécierions que vous vous justifiiez de la décision prise de façon isolée. Y a-t-il réellement un cas de force majeure qui oblige à la vente ?

Aussi, si ces objets ont indéniablement un caractère sacré, ils ont aussi une valeur marchande en tant qu’Art.

Pourquoi organiser une vente loin de Rouen, sans en informer la communauté chrétienne ou, plus largement, les communautés religieuses encore attachées à la beauté de ce patrimoine, elles-mêmes disposées à enchérir ?

En procédant à la vente, dans une petite salle du quartier Drouot, de ces objets dont la liste est consultable sur des sites pour initiés (sallevv.com, auction.fr), nous sommes vraiment tenus à l’écart.

Enfin, comment oublier le texte du 2 décembre 2008 du Département Art Sacré de la conférence épiscopale de France, signé Monseigneur Robert Le Gall, rappelant l’interdiction de la vente des reliques ?

Code de Droit Canonique. Canon 1190 :
&1. Il est absolument interdit de vendre des saintes reliques
. &2. Les reliques insignes et celles qui sont honorées d’une grande vénération populaire ne peuvent en aucune manière être aliénées validement ni transférées définitivement sans la permission du Siège Apostolique. &3. La disposition du &2 vaut également pour les images qui sont honorées d’une grande vénération populaire dans une Eglise.

Il vous est possible, à tout le moins, de renoncer à la vente de ces reliques.

Merci, Monseigneur, pour votre réponse, restant dans l’attente de connaître la suite que vous donnerez à cette décision

Bien respectueusement ».

Lahire (du Salon Beige)

* * *

Dvinferno Pope Nicholas <abbr>III</abbr>

Dante parlant à Nicolas III, envoyé en enfer pour simonie ; gravure sur bois de Gustave Doré pour la Divine Comédie, 1861.

La Simonie doit son nom à Simon le Magicien qui voulut acheter à saint Pierre son pouvoir de faire des miracles (Actes, VIII.9-21), ce qui lui valut la condamnation de l’apôtre :

« Que ton argent périsse avec toi, puisque tu as cru que le don de Dieu s’acquérait à prix d’argent ! ».

 

C’est ce que nous répondons aussi à ce Sieur Descubes, l’apostat de Rouen !

Jean-Charles Descubes