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Sainte Pâque de Résurrection à tous !
Sainte Pâque de Résurrection
à tous !
de la part de Mgr. Andrés Morello
Mercredi 23 mars 2016
Mercredi Saint
Chers Fidèles et Amis,
L’ordre de la société se corrompant, il est logique que la paix s’en évanouisse peu à peu puisque c’est de l’ordre que naît la paix. Les sociétés ne veulent pas, de par une volonté perverse et erronée, imposer et suivre les prescriptions de l’ordre surnaturel et de l’ordre naturel qui ont tous deux Dieu pour origine. Dieu a été banni de la vie quotidienne, de la législation en vigueur, de l’éducation, de la vie sociale et familiale. Du moins, les hommes croient qu’ils l’ont chassé à la manière de l’autruche qui, en se couvrant la tête de son aile, ne voit pas ce qui l’entoure.
Ce désordre généralisé trouvait une contradiction permanente dans la vérité catholique, dans la vie chrétienne, dans la sereine et ferme affirmation qu’en faisait la Sainte Église Catholique par ses Pontifes et ses prêtres. Le désordre antichrétien et antinaturel avait besoin d’une bénédiction, avait besoin d’être canonisé par l’Église pour vaincre les résistances du peuple chrétien.
Saint Pierre renierait-il à nouveau le Christ et, avec lui, les Évêques et les Clercs ? Cela est impossible ou nous devrions rejeter la Foi puisque le Christ a dit : « et tu conversus confirma fratres tuos » « et toi, quand tu seras converti, confirme tes frères » (S. Luc 22,32).
Si la Foi de Saint Pierre ne pouvait faillir, et il était impossible qu’elle faillît, alors il fallait quelqu’un qui parût commander, obliger, légiférer, qui menât les âmes paître non pas vers les prairies célestes, mais vers la zizanie empoisonnée de l’ennemi de Dieu. Saint Pierre n’a plus jamais trahi, et il ne pourrait le faire, il fallait donc quelqu’un sans son autorité mais qui parût la détenir pour obtenir l’obéissance du peuple chrétien.
Cette Pâque de Résurrection nous trouve confronté à la perplexité et à la confusion des chrétiens devant un enseignement qui n’est pas celui de Jésus-Christ, devant une morale laïque qui incite au péché et nous fait un devoir de consentir et de vivre avec le mal qui nous entoure.
Au milieu de ce désordre et en présence de ce magistère des méchants, les uns abandonnent la lutte, beaucoup s’enferment dans la solitude, d’autres s’érigent en docteurs et législateurs, bien peu persévèrent dans le bien, la plus grande partie se laisse aller à une frénésie à laquelle nous invitent le monde, ses maîtres et ses pontifes.
Et Dieu ? Dieu est toujours là, il continue de gouverner, de diriger les hommes comme il dirige l’univers, les astres, les montagnes et les marées. « Mes paroles ne passeront point » (S. Marc 13,31). « Qui n’amasse pas avec moi, dissipe » (S. Luc 11,23).
Que la Foi inébranlable en Notre-Seigneur Jésus-Christ nous trouve dans cette Pâque assemblés à son sépulcre sacré, attendant qu’Il ressuscite et élève sa main toute-puissante pour tout rétablir dans l’ordre et la paix. Que chacun soit à la place que Dieu lui a assignée !
Sainte Pâque de Résurrection à tous !
† Monseigneur Andrés Morello
Religion mondiale
Notre ami Jean-Marie de la Salle m’a fait parvenir sa méditation sur l’un des derniers blasphèmes de Chaos Jorge, nous l’en remercions :
Religion mondiale
Par Jean-Marie de la Salle
Chers amis,
François, 6è “pape” de la secte conciliaire vient d’innover dans la manière de présenter ses intentions de prières du mois qui seront désormais l’objet de courts clips vidéo répandus sur les néfastes et inutiles réseaux sociaux (Facebook, Twitter).
Cela montre à l’évidence que François, ses supérieurs et celui qu’ils adorent, Lucifer n’ont plus beaucoup de temps avant que Notre Seigneur intervienne et règne non plus par les méfaits de son absence, mais par les bienfaits de sa présence (Cardinal Pie).
Bergoglio est en train d’avancer dans l’établissement de la religion universelle, ce qui est patent par rapport à ses prédécesseurs de malheureuse mémoire c’est qu’il n’avance plus masqué ou usant d’artifice. Il pose carte sur table et dit clairement “Je détruis !”
Le 1er commandement est violé sans ménagement et par son scandale invite toujours plus les conciliaires a en faire autant mais aussi toute âme qui recherche la vérité.
Mes chers amis que cela ne nous trouble point. Gardons notre calme et notre sérénité ayons une vue surnaturelle des choses. Prenons de la hauteur. Il est clair que nous n’en avons plus pour longtemps avant que la Colère et ce merveilleux attribut de Dieu qu’est Sa Sainte Justice se déversent sur nous si bien que les discours disant “cela peut durer encore longtemps” ne tiennent plus.
Notre problème à nous catholiques n’est pas de nous demander quand ; ni même le comment ; mais à regarder Notre Seigneur, à le contempler, le chercher pour faire sa Volonté. En effet, la prochaine manifestation de sa Divine Justice doit nous faire exprimer au Bon Dieu les plus vifs sentiments de gratitude. Nous si médiocres par nos péchés et justement châtiés pour les péchés publics de notre nation… ce n’est pas à nos pères, Seigneur que vous avez exigiez qu’ils satisfassent (réparent) pour votre Majesté offensé, pour Sa Sainte Église bafouée, pour votre Divine Mère dénigrée, ni à votre Sainte Justice mais à nous pauvres microbes, pâles copies de nos ancêtres, êtres dégénérés ! Quelle prévenance mon Dieu pour de si incapables créatures. Par nous même, nous ne serons pas à la Hauteur de l’évènement, mais avec votre Grâce nous saurons nous montrer digne de votre Colère. Préservés ou retranchés de cette vallée de larmes, si nous mourrons, puisse cela être avec la Foi Catholique intégrale et l’assurance que vous règneriez de nouveau pleinement sur notre beau pays qui est le Vôtre et sur le monde entier.
Je disais plus haut qu’il nous faut être calme et serein, il nous faut prendre de la Hauteur, il nous faut aller sur la Montagne. Quelle montagne me demanderiez-vous ? C’est saint Louis-Marie Grignon de Montfort qui a la réponse dans sa Prière embrasée commentant le Psaume LXVII :
« Qui est, Seigneur, Dieu de vérité, cette mystérieuse montagne dont Vous nous dites tant de merveilles, sinon Marie, Votre chère Épouse, dont Vous avez mis les fondements sur les cimes des plus hautes montagnes ? Fundamenta ejus in montibus sanctis. Mons in vertice montium. »
La Très Sainte Vierge Marie, Mère de Dieu, Secours des Chrétiens, ne nous abandonnera pas, elle est Notre douce Mère, elle se tient prête à triompher pour son Divin Fils. Elle a déjà écrasé la tête orgueilleuse de Satan par son Humilité. Ayons donc à cœur, de souffrir avec cette Mère de Douleurs pour pouvoir avec Elle se réjouir de la Résurrection de l’Épouse Mystique de son Divin Fils dont nous sommes les membres. Il nous faut rechercher Marie, La prier, Lui demander les grâces pour plaire à Dieu et pour lui plaire afin d’être agréable à Dieu. Avec la Très Sainte Vierge Marie, il nous faut prendre notre part de souffrances au pied de la Croix, si nous ne pouvons nous mortifier dans la Chair, soyons du moins mortifiés d’esprit, aussi vrai que le Divin Maître nous enseigne que nous périrons tous, si nous ne faisons pas pénitence.
Enfin mes amis je voudrais conclure en nous invitant tous à l’Espérance car la quintessence des événements, la lecture providentielle que l’on peut faire tous les jours de l’actualité, doit nous inciter “à lever la tête car la délivrance est proche” comme le dit Notre Seigneur Jésus-Christ dans ses saints Évangiles.
Nous savons que Dieu ne varie pas, qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement, que ce qui n’est pas Dieu n’est rien, qu’Il est Tout et que nous ne sommes riens. Il est le Tout-Puissant abandonnons-nous donc au Père des Miséricordes. Sa Providence veille.
Si Ses reproches ne durent pas sans fin (psaume 102), nous pouvons sereinement espérer qu’il y aura sous peu, comme dit la Sainte Vierge Marie à La Salette : une réconciliation de Dieu avec les hommes.
Alors je vous invite comme le conclut le Psaume XXVI, 14 :
« Attends le Seigneur agis avec courage, que ton cœur soit ferme et espère au Seigneur. »
Les mensonges, les hérésies, les outrages, les blasphèmes ne changeront pas la Majesté du Bon Dieu.
Édifions le Prochain par les bonnes œuvres, fuyons les bouffonneries, les bavardages et polémiques inutiles et les mondanités. Soyons dans l’Être et non dans le paraître. Que notre prochain sache qu’en effet plus que de vouloir qu’Ils règnent sur nous, Jésus et Marie règnent déjà en nous,
Adjutorium Nostrum in Nomine Domini
Qui Fecit Caelum et Terram!
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Un petit Jésus en plastique
Innovation de François : son intention de prière en vidéo.
Le pape : « La majeure partie des habitants de la planète se déclarent croyants. C’est un fait qui devrait encourager les religions à dialoguer. Nous devons prier sans cesse pour cela et travailler avec ceux qui pensent d’une autre manière. »
Je mets ma confiance en Bouddha, dit la lama.
Je crois en Dieu, dit le rabbin.
Je crois en Jésus-Christ, dit le prêtre.
Je crois en Dieu, Allah, dit l’imam.
Le pape : « Beaucoup pensent de manières différentes, ressentent les choses différemment, cherchent ou rencontrent Dieu de diverses manières (on voit alors le pape recevant une statue de Bouddha). Dans cette multitude, dans cet éventail de religions, nous avons une seule certitude pour tous : nous sommes tous enfants de Dieu. »
Je crois en l’amour, dit la lama.
Je crois en l’amour, dit le rabbin.
Je crois en l’amour, dit l’imam.
Je crois en l’amour, dit le prêtre.
Le pape : « Je compte sur vous pour diffuser mon intention de ce mois : que le dialogue sincère entre les hommes et les femmes de différentes religions porte des fruits de paix et de justice. Je compte sur ta prière. »
Pendant ces dernières phrases apparaissait en gros plan Bouddha, la Menorah, un Jésus en plastique et un chapelet musulman. Les quatre sont ensuite réunis. Faites votre choix et croyez en l’amour (si vous prenez les quatre il y en a un gratuit).
N.B. — Cette vidéo a été mise en ligne le jour même de l’Épiphanie. Le jour où se manifeste le Fils de Dieu, Roi du ciel et de la terre, que les païens viennent adorer en lui apportant leurs trésors. Difficile de ne pas entendre le ricanement…
Addendum
Voir le commentaire d’Antonio Socci, qui cite opportunément l’évangile de saint Jean :
« Mais quant à tous ceux qui l’ont reçu, Il leur a donné le pouvoir de devenir enfants de Dieu, à ceux qui croient en son nom, qui non du sang, ni de la volonté de la chair, ni de la volonté de l’homme, mais de Dieu sont nés. »
LE MYSTÈRE D’INIQUITÉ vu du Saint Suaire
Arnaud-Aaron Upinsky est un spécialiste international confirmé du Linceul de Turin.
Voir son site sur le Linceul : ► http://linceuldeturin.info/
À ce titre, il a profité de la nouvelle ostension, en 2015, pour continuer le combat du Linceul.
Autorité reconnue du Linceul, il a donc interrogé, dans les formes diplomatiques voulues dans cette situation, celui qui, à la place qu’il occupe, est l’interlocuteur obligé.
Nous avons lu avec attention cette lettre, car elle soulève de vrais débats… et met l’anti-Pape François Ø de la secte Conciliaire devant les contradictions de celle-ci depuis 1958 !
Car l’Église Catholique a reconnue Officiellement Depuis 1934 l’authenticité du Linceul de Turin !!!
C’est la secte Conciliaire qui ne veut pas la reconnaitre…
Voir notre article du 4 mai 2013 (Fête et Messe du Saint Suaire) : http://wordpress.catholicapedia.net/4-mai-fete-et-messe-du-saint-suaire/
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Le secret du reniement du “Pape” qui désarme la chrétienté !
Dans son premier entretien « Et vous qui dites-vous que je suis ? » Arnaud-Aaron Upinsky, mathématicien, épistémologue et linguiste, avait exposé les impérieuses raisons qui l’avaient incité, le 29 mars 2015, à adresser a papeFrançois, au nom de la Science, une Lettre Ouverte lui demandant de procéder à la reconnaissance officielle de l’authenticité du Linceul de Turin — recélant la preuve scientifique du fait fondateur de notre ère — pour en revenir au statut de véritable Relique de la Passion et de la Résurrection qui n’avait cessé d’être celui reconnu par l’Église, de 1473 à 1988, et pour mettre un terme définitif à l’intolérable ambiguïté attribuée au Linceul, authentique pour les uns, faux pour certains, objet criminel pour les autres. Le doute sur le Linceul de Turin doit cesser, l’Église doit trancher, allez-vous le vénérer ou l’Adorer ? lui avait-t-il écrit. En dépit de la censure, cette Lettre Ouverte à l’anti-Pape François Ø, diffusée dans le monde entier, traduite en italien, espagnol, allemand, anglais, russe… et âprement discutée au Vatican, a créé un véritable électrochoc à bas bruit. Mais lors de son face-à-face avec le Linceul, dans l’obscurité de la cathédrale de Turin, le 21 juin 2015, pour sa visite exceptionnelle clôturant l’ostension de 2015, quelle réponse François a-t-il donnée, aux yeux du Monde entier, à cette Question de la Reconnaissance — « Qui dites-vous que je suis » — posée au nom de la Communauté Scientifique Internationale, réunie à Rome en 2013, ayant procédé à la reconnaissance officielle de l’authenticité scientifique. La Réponse éblouissante du pseudo « Pape », la presse l’a cachée et le public, même averti, a cru qu’il ne s’était « rien passé », tant le « secret » fut bien gardé. Pourtant cette réponse historique fut telle que plus rien ne sera comme avant. Réponse à vivre comme un fait biblique se dévoilant selon la grille de lecture religieuse du Temps et de « l’économie de la Révélation » : comme la figure du reniement de Pierre, mise en ombres et lumières dans toute l’histoire de l’art chrétien. Aujourd’hui, dans ce deuxième entretien, Arnaud-Aaron Upinsky, Directeur du Symposium de Rome et auteur de cinq livres sur le Linceul, nous révèle l’énigme de la venue exceptionnelle de cet Anti-Pape à Turin, le 21 juin 2015, le décryptage bien gardé de la réponse du Saint Siège à sa Lettre Ouverte du 29 mars 2015, la clef initiatique de la pièce géopolitique scientifico-religieuse dont dépend l’avenir de la Chrétienté, de l’Europe et de l’Humanité : « Le secret du reniement du “Pape” qui désarme la Chrétienté ! »
« Qui dites-vous que Je suis? » (Arnaud-Aaron Upinsky)
Jésus Sauveur et Grand Prêtre de l’Humanité
Jésus Sauveur
Et Grand Prêtre de l’Humanité
Nous donnons ici un résumé des idées théologiques nécessaires à la bonne intelligence de tous les Offices consacrés au culte de Jésus-Christ Prêtre et Sauveur. Nous grouperons ces idées sous les titres suivants : Le sacrifice invisible. – Le péché. – La rédemption. – Le sacrifice du Calvaire. – Le sacrifice eucharistique. – Jésus Prêtre.
4 MAI : Fête et Messe du Saint Suaire
Ce samedi 4 mai 2013, nous fêtons Le Saint Suaire de Notre Seigneur Jésus-Christ.
Jules II valida, en 1506, d’une bulle papale la création d’une Messe du Saint Suaire — la « Missa sanctae Sindonis » — dans laquelle sera dite cette prière :
« Tout-puissant, Dieu éternel, en mémoire de la passion de votre seul fils engendré, vous nous avez laissé le saint suaire sur lequel son image est imprimée. »
Ce pape institue également une fête annuelle du Saint-Suaire fixée au 4 mai, et donne officiellement à la chapelle de Chambéry où il vient d’être placé – et dont la construction avait débuté en 1408 à la demande d’Amédée VIII – le titre de Sainte-Chapelle.
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Die Quarta Mensis Maij, Missa Sanctæ Syndonis
Introït
Le Seigneur Jésus Christ s’est humilié jusqu’à la mort, la mort de la croix ; C’est pourquoi Dieu l’a exalté, et lui a donné un nom qui est au-dessus de tous les noms, Alleluia Alleluia.
Ps. Je chanterai pour toujours la miséricorde du Seigneur ; J’annoncerai ta vérité d’une génération à l’autre.
Gloire au Père, et au Fils, et au Saint Esprit ; Comme il était au commencement, et maintenant et toujours, et dans tous les siècles des siècles. Amen.
Oraison
Dieu, qui nous avez laissé les traces de votre passion dans le saint Suaire où Joseph d’Arimathie avait enveloppé votre très saint corps déposé de la croix : Soyez nous propice, et concédez nous de parvenir à la gloire de la résurrection à travers votre mort et sépulture. Vous qui, étant Dieu, vivez et régnez en l’unité du Saint Esprit dans tous les siècles des siècles. Amen.
Épître
Lecture du Prophète Isaïe.
Voici ce que dit le Seigneur Dieu : Dites à la fille de Sion : Voici que vient ton Sauveur : Il a sa récompense avec lui. Qui est-il celui-ci qui vient de Edom, les vêtements teints de pourpre ? Il est beau dans ses habits, il s’avance dans la splendeur de sa force. C’est moi, qui parle dans la justice, et je combats pour sauver. Pourquoi alors ta robe est-elle rouge, et tes vêtements sont comme ceux de celui qui vient du pressoir ? Seul, j’ai pressé le raisin, et personne n’est venu avec moi. J’ai pressé tous les peuples dans ma fureur, et je les ai écrasés dans ma rage. Et leur sang a giclé sur mes vêtements, et j’ai sali tous mes habits. En mon cœur s’est levé le jour de la vengeance, l’année de la rédemption est venue. J’ai regardé autour de moi, et il n’y avait personne pour m’aider, j’ai cherché, et il n’y avait personne. C’est ma main qui m’a sauvé, ma fureur elle-même m’est venue en aide. Et j’ai écrasé les peuples dans ma fureur, et je me suis enivré de mon indignation, j’ai réduit à néant leur force. Je me souviendrai de la miséricorde du Seigneur, je louerai le Seigneur notre Dieu pour toutes les choses qu’il a faites pour nous.
Évangile
Suite du Saint Évangile selon Saint Marc.
En ce temps-là : Le soir étant venu (c’était la préparation du Sabbat), Jospeh d’Arimathie, homme noble appartenant aux autorités, qui attendait le royaume de Dieu, vint avec audace chez Pilate pour demander le corps de Jésus. Pilate se demandait s’il était déjà mort. Il fit alors venir le centurion, et l’interrogea si Jésus était déjà mort. L’ayant appris du Centurion, il donna le corps à Joseph. Joseph alors acheta un linceul dans lequel il déposa le corps. Et il le mit dans un sépulcre qui était creusé dans la roche, et il roula une grande pierre devant la porte du sépulcre.
Alléluia
Alléluia, Alléluia. Salut, notre Roi : Vous seul avez eu pitié de nos erreurs : vous avez obéi au Père, en vous laissant conduire à la croix, comme un doux agneau, pour être tué. Alléluia.
Alléluia. À vous la gloire, à vous la couronne suprême de la louange et de l’honneur. Alléluia.
Offertoire
Aaron étant entré dans le Tabernacle pour offrir sur l’autel un holocauste pour les péchés des fils d’Israël, il se revêtit d’une tunique en lin. Alléluia.
Secrète
Seigneur, acceptez ces dons, comme vous avez accepté la Passion glorieuse de votre Fils pour le salut du monde. Vous qui vivez et régnez…
Communion
Joseph d’Arimathie, ayant acheté un Suaire et y déposant le Seigneur, il l’enveloppa dans le Linceul. Alléluia.
Postcommunion
Seigneur, vous avez rassasié votre famille par les dons sacrés. Par la mort temporelle de votre Fils, que ces mystères nous rappellent, nous vous demandons de nous rappeler que nous pouvons nous attendre de vous la vie éternelle. Par le même Seigneur Jésus Christ…
© Luca Basilio Ricossa. 1998. (http://lrs.perso.neuf.fr/syndon/missa.html)
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L’Église a reconnu comme authentique
Le Saint Suaire, Officiellement Depuis 1934
Par la Voix du Pape Pie XI
par la prière indulgenciée suivante.
(Indulgence plénière à gagner demain 4 mai, fête du saint Suaire)
Prière indulgenciée
à réciter devant le saint Suaire
Ô Seigneur, vous qui avez daigné laisser les traces de votre présence en ce monde et les gages indéniables de votre amour sur le très saint linceul dans lequel votre Corps adorable fut enveloppé lorsqu’on le descendit de la Croix, ah ! par les mérites de votre Passion, et en considération de ce vénérable linge qui a servi à votre sépulture, faites-nous la grâce que, lorsque viendra le jour de la résurrection, nous devenions participants de cette gloire dans laquelle vous vivez éternellement. Ainsi soit-t-il !
Après l’ostension solennelle du saint Suaire en 1932 (et les belles photos d’Enrie) le pape Pie XI, dans un bref du 23 mars 1934, a accordé une indulgence plénière selon les termes suivants : « Est accordée l’indulgence plénière pour le jour du 4 mai, fête du saint Suaire, et deux autres jours à leur choix pendant l’année, aux fidèles qui, s’étant confessés et ayant communié selon les intentions du souverain Pontife, vénéreront dévotement la relique ou l’image du saint Suaire en récitant la prière ci-dessus.
« De plus, indulgence de 500 jours chaque fois que l’on récitera la même prière avec un cœur contrit. »
Par cette prière indulgenciée, l’Église a donc proclamée comme authentique la relique insigne du saint Suaire.
C’est bien l’image de Notre Seigneur Jésus-Christ qui s’est imprimée miraculeusement sur ce linge, preuve miraculeuse de la Résurrection.
Cette image ne peut être une simple icône sanglante, elle car si c’est une icône :
- 1° c’est fait par un homme ; et
- 2° il est donc possible d’en refaire une. Nous mettons au défi qui que ce soit d’en refaire une copie.
http://www.a-c-r-f.com/html/2010_4-mai-fete-du-saint-suaire.html
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Pour aller plus loin et connaitre la vérité et les bons ouvrages à lire, nous vous conseillons d’aller sur le site d’Arnaud Upinsky qui fut directeur du Symposium de Rome de juin 1993, il présida à l’ultime évaluation du Linceul par la communauté scientifique internationale.
Épistémologie du Linceul et mythe du C14. C’est en raison de ses travaux d’épistémologie qu’il fut appelé à faire la synthèse épistémologique du Linceul de Turin au symposium de Paris (1989). Il fit sensation en y donnant sa réponse épistémologique à la datation au C14 qu’il déclara « scientifiquement fausse », déclaration catégorique faite vingt ans avant que cette vérité ne triomphe. Comme directeur du symposium de Rome de juin 1993, il présida à l’ultime évaluation du Linceul par la communauté scientifique internationale, engagée dans les recherches, au sein de laquelle il joue un rôle décisif. Aujourd’hui, en 2010, l’effondrement du mythe de la datation au C14 – « lâchée » par tous et succombant jusque dans les média d’une manière définitive avec l’émission d’ARTE du 3 avril 2010 -, les conclusions de son épistémologie d’ensemble du Linceul ayant triomphé, plus rien, ne s’opposant à la reconnaissance de la vérité du Linceul, il passe maintenant à l’étape suivante, dans son dernier livre « L’Église à l’épreuve du Linceul », pour demander que l’Église tire désormais toutes les conséquences de la nouvelle situation apparue à l’heure de l’ostension de 2010.
http://linceuldeturin.info/index.html
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Saint Suaire du Christ à Nice – Comme chaque année depuis 1620, les Pénitents Rouges de Nice organisent les « Fêtes du Saint Suaire ».
Ces manifestations se déroulent en la chapelle éponyme au fond du cours Saleya.
Nice est l’une des rares villes au monde, avec Turin et Chambéry, à pouvoir célébrer des Fêtes du Saint Suaire.
La raison en est simple, Nice et le Linceul du Christ ont appartenu à la Maison de Savoie pendant des siècles !
C’est le Duc de Savoie Charles III qui, fuyant devant les troupes de François 1er, Roi de France, se réfugia à Nice avec sa famille et ses « trésors », qui permit cette rencontre.
Le long séjour de cette Relique sacrée dans les murs du Château de Nice, pendant 7 années consécutives de 1536 à 1543, institua une dévotion particulière des Niçois à son encontre.
C’est dans l’ancienne cathédrale Sainte Marie du Château que fut conservé ce Saint Linceul à l’abri de tous dommages malgré les nombreuses péripéties de l’histoire dont il fut le témoin silencieux.
Pendant son séjour, il fit l’objet de plusieurs “Ostensions” privées et d’une « Ostension » publique, qui eut lieu le Vendredi Saint 30 mars 1537 du haut de la tour Bellanda, devant des milliers de fidèles qui le vénérèrent depuis la plage des “Ponchettes”.
C’est en souvenir de ce séjour que s’érigea en 1620 à Nice la “Confrérie du Saint-Suaire”, aujourd’hui confrérie des Pénitents Rouges.
Cette confrérie construisit une chapelle en 1621, qui fut démolie en 1659 et reconstruite, à l’emplacement actuel, la même année. Elle prit le nom de Chapelle du Saint-Suaire.
Cette chapelle donna son nom à la rue adjacente et c’est ainsi que Nice peut s’enorgueillir, fait unique dans les annales, de posséder une « Rue Saint Suaire » depuis le XVIIème siècle.
Cet intérêt patrimonial et ces liens d’affection des Niçois firent naître des œuvres artistiques admirables, dans tout le comté, représentant le Saint Linceul. Notamment le tableau du peintre niçois Gioan Gasparo Baldoino daté du 4 mai 1660, jour de la Fête Liturgique du Saint Suaire, fête qui fut instituée en 1506 par le Pape Jules II.
Les scientifiques aussi surent tenir compte de la spécificité de Nice et de ses rapports toujours vivaces avec ce linge, sans doute le plus étudié au monde, en organisant plusieurs colloques scientifiques Internationaux en 1995, 1997 et 2006 qui eurent un réel impact.
Cette conjonction d’événements justifia d’ailleurs le titre qui fut décerné en 1997 à la ville de Nice par le Président du Centre International d’Études du Linceul de Turin : « Nice Capitale Française du Saint-Suaire »
La Fausse Humilité de l’Hérésie
La Fausse Humilité de l’Hérésie
Où il est question d’un nouvel acte liturgique impie et sacrilège
accompli par Bergoglio, ainsi que d’une massive indigestion
L’emploi démagogique du terme Humilité (pris comme signifiant et signifié) commence à être vraiment fastidieux.
Aussi entend-on traiter ici d’une nouvelle aberration liturgique des dirigeants de l’église Conciliaire, dont Bergoglio est à présent le chef.
Elle s’appuie sur le geste accompli par Notre Seigneur Jésus-Christ lors de la Dernière Cène, dont l’important rappel se fait au cours des cérémonies du Jeudi Saint.
Le pire est que, faussant tout à fait la signification complète et véritable du Lavement des Pieds, la secte moderniste qui occupe les charges apostoliques accélère encore sa chute précipitée vers les enfers en se livrant à une représentation Vulgaire, sciemment destinée à enténébrer les intelligences et à détruire la foi ou ce qu’il en reste.
On le sait bien : c’est là un acte honteux, insupportable, sacrilège, blasphématoire, vulgaire, démagogique et impie, c’est une imposture intolérable, etc. etc.
Mais jusqu’à quand allons-nous continuer d’exhaler nos plaintes ? Il nous semble beaucoup plus sain pour l’esprit de ne plus nous scandaliser de toutes ces choses, de comprendre d’où elles viennent, puis de passer au large sans autre forme de procès.
Cela n’empêche pas que nous puissions tenter de les analyser et de les étudier, puis de transmettre nos conclusions à autrui pour notre propre édification, afin qu’ayant laissé derrière nous les soupirs et les lamentations, nous bâtissions de solides fondations nous permettant de rester fermes dans la Foi.
D’où la longueur inévitable du présent texte.
Nous espérons qu’à la fin, le lecteur aura pleinement saisi ce que signifie cette Apostasie qui pénètre en tout, au moyen de tout, au détriment de Tous… et de Toutes.
Humilité Et Action Prophétique
Rien de ce qu’a fait Notre Seigneur ne saurait être indifférent ou superflu, mineur ou sans importance. Absolument tout ce qui est consigné dans les quatre Évangiles fait partie de ces choses dont Dieu a voulu qu’elles nous parvinssent et qu’elles fussent non seulement connues, mais conservées par ceux qui se nomment disciples du Christ.
L’épisode du Lavement des Pieds des Apôtres durant la Dernière Cène est un acte prophétique, ainsi qu’on peut le voir dans l’Évangile selon saint Jean. Aussitôt après la relation de cet acte vient un texte composé en quelque sorte de trois parties : c’est toujours le cas chez saint Jean, qui utilise un système narratif comprenant à la fois signes et discours.
Il est indubitable qu’à l’instar de tout acte prophétique, le lavement des pieds est censé être porteur d’une signification. Quant à savoir quel est le sens principal de ce geste, les divers critères retenus par les commentateurs font apparaître plusieurs possibilités :
a) Symbole d’humilité et d’abnégation (acte à valeur d’exemple moral)
b) Symbole de purification des disciples par la parole de Jésus
c) Symbole sacramentel : allusion à l’Eucharistie ou au baptême, ou encore aux deux à la fois
d) Symbole de la mort et de la résurrection du Christ
En définitive, l’interprétation qui est aujourd’hui la plus diffusée, la plus populaire et la plus utilisée, y compris par la démagogie d’un certain clergé Qui A Dévié De La Foi, est celle – moralisatrice – du célèbre Exemple d’Humilité. Selon moi, il ne faut pas chercher à expliquer pour quels motifs on abuse de cette interprétation-là, d’autant plus à l’heure actuelle, où le « Pape de l’Humilité » ou « Pape des Pauvres » – acclamé par le monde – s’efforce ad nauseam de la porter à des sommets historiques.
Mais… s’agit-il Uniquement ou, du moins, Principalement d’un acte à valeur d’exemple moral ? Et même, en l’espèce, de quel genre d’humilité parle-t-on ?
Voyons cela.
« Pendant le souper, lorsque déjà le diable avait mis dans le cœur de Judas, fils de Simon Iscariote, le dessein de le livrer… »
« Jésus, qui savait que son Père avait remis toutes choses entre ses mains, et qu’il était sorti de Dieu et s’en allait à Dieu… »
Comme on peut le constater, le style est solennel, et Jésus sait parfaitement d’où il vient et où il va. Il n’est pas le jouet d’un destin aveugle. Il est certain de son itinéraire et du sens de sa Mort Rédemptrice.
Ces mains entre lesquelles repose tout le pouvoir du Père vont s’employer à l’humble ministère consistant à laver des pieds. Ce sont ces mêmes mains qui seront bientôt perforées par des clous.
« … se leva de table, posa son manteau et, ayant pris un linge, il s’en ceignit. Puis il versa de l’eau dans le bassin et se mit à laver les pieds de ses disciples, et à les essuyer avec le linge dont il était ceint. »
Lisons avec une attention particulière le texte suivant :
À la double action de déposer et de remettre le manteau correspond l’action consistant à se lever de table et à se rasseoir. Symbolise-t-elle le moment où il s’assiéra de nouveau au côté du Père, après s’être mis aux pieds des hommes pour les racheter ? En tout état de cause, elle ne manque pas de signification, comme nous l’avons souligné au début du présent article.
« Il vint donc à Simon Pierre ; et Pierre lui dit :
“Quoi, vous, Seigneur, vous me lavez les pieds !”
Jésus lui répondit :
“Ce que je fais, tu ne le sais pas maintenant, mais tu le comprendras bientôt”. »
Ce dialogue avec Pierre sera la clé permettant de saisir la signification Principale du passage. On voit Pierre impulsif, comme toujours, et l’on remarque l’habileté de Jean à mêler la psychologie à la symbolique. L’impulsivité de Pierre décrite dans le récit de saint Jean cadre bien avec ce que nous savons de l’intéressé grâce aux trois autres Évangiles.
« Pierre lui dit :
“Non, jamais vous ne me laverez les pieds.”
Jésus lui répondit :
“Si je ne te lave, tu n’auras point de part avec moi. ”»
Cette phrase de Jésus est essentielle pour comprendre la signification théologique du lavement des pieds. Ce dernier permet aux disciples de recevoir l’héritage (littéralement : « avoir part avec »). L’humiliation de Jésus est source de salut pour qui se laisse laver, c’est-à-dire sauver par Lui.
On voit combien cette profonde signification théologique dépasse de très loin un simple exemple d’Humilité à valeur moralisatrice !
Il est permis de se demander quelle partie de tout cela se retrouve Éclipsée par la « représentation » théâtrale grotesque et blasphématoire qu’a donnée Bergoglio…
« Simon-Pierre lui dit :
“Seigneur, non seulement les pieds, mais encore les mains et la tête !” »
Cela fait penser à un malentendu. Pierre n’a pas compris ce que Jésus voulait lui dire. Si le lavement des pieds permet de partager l’héritage, Pierre semble penser que plus il se laissera laver, plus il héritera. Sa simplicité permet à Jésus, reprenant la parole, d’expliquer la signification profonde de ce qu’il vient d’accomplir. Il ne me paraît pas possible que malgré la gravité de l’heure ainsi que l’imminence des angoisses et des souffrances, Notre Seigneur n’ait pas au moins souri de cette réaction de Pierre, de sa simplicité et de sa faible jugeote.
Souriant donc peut-être, il poursuit ainsi :
« Jésus lui dit :
“Celui qui a pris un bain n’a besoin que de laver ses pieds ; il est pur tout entier. Et vous aussi, vous êtes purs, mais non pas tous.”
Car il savait quel était celui qui allait le livrer ; c’est pourquoi il dit : “Vous n’êtes pas tous purs.” »
Bien que Judas ait pris un bain et qu’on lui ait lavé les pieds, il n’est pas pur, et il s’est empêché lui-même de recevoir en lui les effets du lavement des pieds.
Après qu’il leur eut lavé les pieds et qu’il eut repris son manteau, il se remit à table et leur dit :
“Comprenez-vous ce que je vous ai fait ?” »
Sans la première interprétation, on aurait affaire à un simple moralisme dans lequel Jésus n’offrirait qu’un exemple de certaines vertus, en l’espèce l’humilité que nous autres pourrions imiter aisément. Or, tel n’est pas le cas. Pour pouvoir laver les pieds aux autres, nous devons commencer par nous laisser laver de notre orgueil, de notre suffisance. Mais sans la deuxième interprétation, le lavement des pieds pourrait demeurer un simple rite qui ne nous changerait pas intérieurement.
« Vous m’appelez le Maître et le Seigneur ; et vous dites bien, car je le suis. Si donc moi, le Seigneur et le Maître, je vous ai lavé les pieds, vous devez aussi vous laver les pieds les uns aux autres. Car je vous ai donné l’exemple, afin que, comme je vous ai fait, vous fassiez aussi à vous-mêmes. »
Jésus a accompli ce genre d’actes prophétiques à maintes reprises au cours de sa vie parmi les hommes. C’est pourquoi nous ne pouvons nous cantonner dans un moralisme étroit, bien que le chrétien doive évidemment imiter les actions et le style de vie de Jésus, dans l’esprit où Jésus agissait et vivait.
Cette action par laquelle Notre Seigneur nous donne un nouveau Sacrement (il s’agit d’un sacramental), n’en a pas moins une profondeur théologique considérable, une signification mystérieuse, quoique accessible à la connaissance humaine, comme nous l’avons vu dans cet article déjà long.
Conclusion :
Cher lecteur, si vous êtes parvenu à la fin du présent article, qui est long par nécessité et bien malgré nous, je pense que vous serez d’accord avec les réflexions suivantes :
Laver Les Pieds à Des Personnes Qui N’Ont Pas Foi Dans Le Christ, Y Compris Au Cours Des Cérémonies Solennelles Du Jeudi Saint, Est Une Aberration Liturgique.
Répéter Cette Action Prophétique Et Sacrée De Notre Seigneur Sur Des Personnes Qui, En Outre, Professent Une Religion Fausse Et Blasphématoire Est Une Bouffonnerie Et Un Sacrilège.
La Prétendue Humilité Que l’on Entend Afficher Ainsi Est Absolument Fausse.
L’humilité, cela consiste en fait à s’agenouiller devant la Vérité et à enseigner qu’en dehors d’elle, nul ne peut faire son salut ; ce n’est pas confirmer des infidèles dans leurs fausses croyances pour complaire aux sensibilités dévoyées des foules en accomplissant des gestes démagogiques.
Peut-on penser qu’il est catholique et conforme à la volonté de Jésus-Christ de présenter cette dernière, parmi les solennités de la Semaine Sainte, vidée de son contenu chrétien et au comble de la pusillanimité mondaine et hérétique, en mettant de jeunes musulmans à la place qui fut celle des Apôtres ?
Le dessein de Bergoglio n’est autre que d’évacuer la substance catholique et de la remplacer par une autre substance, syncrétiste, mondaine, maçonnique et, de plus, éloignée de la véritable humilité, le tout dans le cadre d’une des solennités liturgiques les plus majestueuses et les plus importantes de l’Église catholique.
L’acte de Bergoglio est une représentation qui ne fait qu’accomplir l’Éclipse de la Foi et qui, de ce fait, montre l’Éclipse de l’Église.
Sous le manteau de fumée de l’« humilité » se cache un véritable vide doctrinal, ce qui n’en fait jamais qu’un de plus…
Si ce geste grossier et ridicule du « pape humble » n’est pas une manifestation publique d’hétérodoxie, force est de se demander ce qui pourrait bien l’être.
À diffuser
Source : Radio Cristiandad : http://radiocristiandad.wordpress.com/2013/03/28/osko-la-falsa-humildad-de-la-herejia/
Traduction CatholicaPedia.net (que notre traducteur soit ici une nouvelle fois remercié)
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Complément à cet article
Bergoglio accompli un acte scandaleux supplémentaire en lavant les pieds de deux femmes … « En tant que prêtre et évêque je dois être à votre service »…
Le papeFrançois à la prison pour mineurs de Casal del Marmo
Le papeFrançois à la prison pour mineurs de Casal del Marmo : « En tant que prêtre et évêque, Je dois être à votre service. Mais c’est un devoir qui me vient du cœur »…
Données Officielles Du “Vatican Information Service” (VIS)
Cité du Vatican, 29 mars 2013 (VIS). Hier, Jeudi saint, à 17 h, le Pape François a quitté le Vatican pour se rendre à l’Institut pénal pour mineurs de Casal del Marmo en périphérie de Rome où il a célébré, à 17 h 30’ la messe In Coena Domini, première célébration du Triduum pascal, pour une cinquantaine de jeunes détenus. Au cours de la célébration, il a lavé les pieds de dix garçons et deux filles, et a dit dans son homélie que son devoir était d’aider les autres : “Comme prêtre et comme évêque, je dois être à votre service. Mais c’est un devoir qui me vient du cœur”. Au moment du lavement des pieds, le Pape François s’est agenouillé six fois, et chaque fois, il a fait couler de l’eau sur leurs pieds, les a séchés et les a embrassés. Une des filles à qui il a lavé les pieds était italienne et l’autre provenait d’un pays de l’Europe de l’est. Voici l’homélie que le Pape a prononcée après la lecture de l’Évangile :
« Ceci est émouvant. Jésus qui lave les pieds à ses disciples. Pierre ne comprenait rien, il refusait. Mais Jésus lui a expliqué. Jésus –Dieu– a fait cela ! Et il explique à ses disciples: Comprenez-vous ce que je vous ai fait ? Vous m’appelez Maître et Seigneur, et vous dites bien, car je le suis. Si donc je vous ai lavé les pieds, moi le Seigneur et le Maître, vous aussi vous devez vous laver les pieds les uns aux autres. Car c’est un exemple que je vous ai donné pour que vous fassiez, vous aussi, comme moi j’ai fait pour vous. C’est l’exemple du Seigneur: Il est le plus important et Il lave les pieds, parce qu’entre nous celui qui est le plus haut doit être au service des autres. Et c’est un symbole, un signe, non ? Laver les pieds c’est dire : je suis à ton service. Et nous aussi, entre nous, ne devons-nous pas nous laver les pieds tous les jours les uns aux autres ; mais qu’est-ce que cela signifie ? Que nous devons nous aider les uns les autres. Parfois je me suis fâché avec l’un ou avec l’autre… mais… laisse tomber, laisse tomber, et s’il te demande un service, fais-le. Nous aider les uns les autres : voilà ce que Jésus nous enseigne et c’est ce que je fais, et je le fais de tout cœur, parce que c’est mon devoir. Comme prêtre et comme évêque, je dois être à votre service. Mais c’est un devoir qui me vient du fond du cœur : je l’aime. J’aime cela et j’aime le faire parce que c’est ainsi que le Seigneur m’a enseigné. Mais vous aussi aidez-vous: aidez-vous toujours. Les uns les autres. Et ainsi, en nous aidant, nous nous ferons du bien. Maintenant nous allons faire cette cérémonie de nous laver les pieds et pensons, que chacun de nous pense : Est-ce que je suis vraiment disposée, est-ce que je suis disposé, à servir à aider l’autre ? Pensons seulement à cela. Et pensons que ce signe est une caresse de Jésus, que nous fait Jésus, parce que Jésus est venu justement pour cela : pour servir, pour nous aider. »
Ont concélébré avec le Saint-Père : le Cardinal Agostino Vallini, le Substitut de la Secrétairerie d’État, Mgr. Giovanni Angelo Becciu, le Secrétaire du Pape, Mgr. Alfred Xuereb et l’aumônier de la prison, le P. Gaetano Grego. La messe s’est déroulée dans la chapelle du “Père miséricordieux”, et près de 50 jeunes y ont assisté parmi lesquels 11 filles, tous détenus de cette prison. Après la cérémonie, le Pape François a rencontré les jeunes dans le gymnase, en présence, entre autres, de la ministre de la Justice italienne, Mme Paola Severino. Les enfants de la prison ont offert au Pape un crucifix en bois et un prie-Dieu, fait par eux dans les ateliers de l’Institut.
Avant de partir, le Pape a remercié les jeunes de leur accueil et leur a dit : « Ne vous laissez pas voler votre espérance, en avant toujours ! ». Un des enfants lui a demandé pourquoi il avait décidé de venir à Casal del Marmo et le Pape lui a répondu : « C’est un sentiment venu du cœur ; j’ai ressenti cela. J’ai demandé : Où se trouvent ceux qui m’aideront le plus à être humble et à être serviteur comme doit l’être un évêque ? Où se trouvent ceux qui aimeront que je leur rende visite ? On m’a répondu : Peut-être à Casal del Marmo. Et quand on me l’a dit, je suis venu ici. C’est cela qui est venu du cœur, et seulement. Les choses du cœur ne s’expliquent pas, elles viennent d’elles-mêmes. Merci, hein ! ». Au moment de partir, il a dit aux enfants : « Maintenant je m’en vais, merci beaucoup de votre accueil. Priez pour moi et ne vous laissez pas voler l’espérance. En avant toujours ! Merci beaucoup ! ».
http://visnews-fr.blogspot.fr/2013/03/a-de-jeunes-detenus-comme-pretre-et.html
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Brève revue de presse :
Le Point :
Le cardinal Bergoglio l’avait déjà fait à Buenos Aires lors des Jeudis Saints. Mais c’est la première fois à Rome que le “lavement des pieds”, marquant l’attitude de service du Christ envers ses disciples, a lieu dans une prison et aussi qu’il est proposé à des filles.
Signe de la popularité du pape Bergoglio, des fidèles s’étaient postés nombreux sur la rue menant à la prison.
Le lavement des pieds reproduit “un signe qui est une caresse de Jésus”, a dit le pontife de 76 ans, soulignant être venu faire ce geste “de tout cœur”, “comme prêtre et comme évêque”. Une nouvelle fois, il ne s’est pas identifié comme “pape” devant l’assistance.
“Jésus est venu pour servir, pour nous aider. Pensons-y bien : sommes-nous vraiment disposés à servir les autres ?”, a-t-il demandé aux détenus garçons et filles, italiens et non italiens, catholiques, orthodoxes et musulmans.
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Vidéo LCI-TF1 : Jeudi Saint : le pape lave les pieds de détenus, dont des femmes.
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Ouest France : Le pape a lavé les pieds d’une musulmane.
Le pape François a lavé ensuite les pieds de dix jeunes hommes et de deux jeunes filles, une Italienne catholique et une Serbe musulmane.