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« Ab Ecclesia » – « Ab Maria »
Pour faire suite à notre article « La destruction du sacerdoce : le but de Vatican d’Eux… », nous vous proposons une réflexion de Monseigneur L.M. Guérard des Lauriers :
« Ab Ecclesia » – « Ab Maria »
Mes très chers frères, nous allons souligner l’opportunité de la fête que nous célébrons eu égard à la situation dans laquelle se trouve l’Église. Nous avons déjà dit ensemble que, selon le Concile de Trente, la Messe est offerte « ab ecclesia per Sacerdotes ». Per Sacerdotes, c’est inéluctable, puisque la force sacramentelle du sacrifice exige un sacerdoce ministériel. Mais il y a également, primordialement, ab ecclesia, c’est-à-dire toute messe, en droit, est impérée par l’Église et donc en fait par celui qui a l’Autorité dans l’Église. En sorte que le sacrifice qui est offert, qui est substantiellement celui du Christ, reste même à l’intérieur de l’Église, en ce qui concerne l’Église expressément le sacrifice du Christ, et ainsi c’est d’ailleurs l’unité du sacrifice qui se trouve assurée : toute messe est en droit offerte ab ecclesia par intimation du Pape, cela par la hiérarchie et par les pouvoirs qui sont communiqués aux prêtres. Or actuellement ce point est clos ; et si cette chose n’est pas sensible, elle n’en est pas moins très très grave. C’est l’économie de l’Église elle-même, qui se trouve mise en cause, et c’est en fait l’unité du sacrifice qui est également compromise, sur un point secondaire, il est vrai, mais enfin il n’y a pas de détail dans les choses de Dieu, et cela donc, nous devons en souffrir ; il y a un manque, il y a un état de privation dans toutes messes, même celles qui sont les plus correctes, les plus conformes à ce qu’elles doivent être, il y a dans toutes messes un état de déficience, une privation eu égard à cette intimation absente. Et nous pouvons dans ces circonstances extrêmes, auxquelles il n’y a pas de remède, pas de remède humain sur ce point, nous pouvons nous tourner vers la Très Sainte Vierge : « habeamus cum fiducia » adressons-nous à Elle avec confiance ; il n’est pas question de dire qu’il ait un remplacement parce que l’ordre sacramentel est l’ordre sacramentaire, et donc l’Église en tant qu’institution ne peut pas être remplacée par autre chose qu’elle-même, c’est le drame que nous vivons, mais cependant il y a une suppléance ; s’il n’y a pas remplacement il peut y avoir suppléance, c’est-à-dire l’effet qui est produit par l’intimation de l’Église, la conséquence de l’ « ab ecclesia » peut très bien être réalisée par la Très Sainte Vierge même, et d’une manière plus précise, par Dieu, il suffit pour le comprendre de revenir à l’origine des choses, à la source des choses : comment Jésus fonde-t-il l’Église, c’est à une communication qui est issue de Lui-même, a d’abord primordialement pour objet Lui-même. Lui-même en état de sacrifice. Et puis, cette communication constitue par ordre les membres de l’Église et parmi eux, ceux qui ont pouvoir, plus précisément de perpétuer l’Église. Eh ! bien Jésus donne aux prêtres, aux évêques, au Pape, donne prise par le pouvoir qu’Il leur communique ; Il leur donne prise sur cette communication même dans laquelle Il fonde l’Église. Et donc il y a premièrement, en vertu du sacerdoce, une prise sur la communication physique que Jésus fait de Lui-même, c’est le sacrifice de la Messe, et il y a par l’épiscopat une prise sur les membres de l’Église qui sont le corps mystique du Christ. Et cela donc c’est pour ainsi dire irrécupérable ; c’est-à-dire que cela ne peut être que comme cela. Et cependant cette communication que Jésus exerce, et qu’Il exerce par les prêtres à qui Il donne pouvoir sur sa propre communication ; cette communication, elle appartient à la Très Sainte Vierge en droit. Cela est un mystère que nous devons adorer ; Tout ce qui émane de Jésus, parce que Lui-même procède de Marie, et parce qu’Il a voulu associer la Très Sainte Vierge à sa propre œuvre rédemptrice, à cause de cela, tout ce qui émane de Lui en droit, émane d’Elle. Et donc, la prise que Jésus a communiquée à Son Église sur ce qui émane de Lui, et qui constitue l’Église ; cette sorte d’autoréflexion en Sa personne et de l’Église elle-même, parce que l’Église prend possession d’elle-même en vertu du pouvoir que Dieu exerce sur elle, cela c’est vrai ici en un autre sens plus intime, plus personnel, plus caché. Cette communication sur laquelle l’Église a prise, sur laquelle le Pape, les évêques, les prêtres ont prise sur cette communication Marie a prise, Elle d’abord. C’est ce mystère qu’aujourd’hui nous devons contempler. Et s’il y a une déficience, actuellement, dans l’état de privation, dans la prise de conscience que l’Église fait de son propre privilège, nous pouvons bien penser que la Très Sainte Vierge le sait, le porte, qu’Elle le vit, et par conséquent, quant à l’effet qui est produit, quant à la conséquence qui doit résulter de cette prise de possession de la communication exercée par le Christ par l’Église, quant à l’effet donc, la Très Sainte Vierge arrange ; Elle fait comme si, Elle fait que les choses soient comme si. Il suffit que nous lui demandions, que nous nous tournions vers Elle, et je ne vous apprends rien, tous nous savons cela, mais cependant ce point, même parmi les traditionalistes est un peu obscur ; on ne fait pas attention à cela, et cependant c’est peut-être le point le plus important parce que c’est le culte même de Dieu qui est là en cause ; c’est la splendeur du Sacrifice, c’est l’économie du Sacrifice qui se trouve mis en état de dégradation, et l’una-cum ne fait que se greffer là-dessus, pour ainsi-dire, la querelle de l’una-cum est une question parasite, pour ainsi-dire, par rapport à celle de la doctrine que nous venons de rappeler. Eh ! bien, la Très Sainte Vierge est là, et puisque nous ne pouvons pas dire que la messe soit « ab Ecclesia », nous pouvons, nous devons dire qu’elle soit : « ab Maria ». La Très Sainte Vierge assiste autrement par le lien personnel qu’elle a avec Notre-Seigneur, elle a prise sur cette même communication qui est pour l’Église constituante, constituante pour l’Église, aussi bien de chaque fidèle que de ceux qui, dans l’Église exercent des fonctions. La Très Sainte Vierge Marie a prise sur tout cela ; Elle est Mère, Elle est Mère de l’Église, Elle est Mère des fidèles, Elle est Mère de ceux qui ont pouvoir dans l’Église, Elle est Mère de tous et de chacun et donc Elle a prise sur cette communication… Et donc Elle est qualifiée, et dans son cœur. On peut imaginer un dialogue pour dire à Jésus l’hommage de ces messes que nous célébrons ; c’est lui qui en donne la substance, mais l’hommage des messes doit revenir d’abord à Lui, Il est l’auteur et le consommateur de la foi, Il est l’auteur et le consommateur du sacrifice. Eh ! bien, cette valeur d’hommages propres, les messes ne l’ont plus par la voie hiérarchique, par la voie de l’Église, parce qu’ils ne sont pas proclamés et, affirmés ; ils ne peuvent pas être vécus en étant : « ab Ecclesia ». Ce qui leur manque du côté de l’Église, provisoirement éclipsée, c’est la Très Sainte Vierge Marie qui peut le leur rendre. Encore une fois, ce n’est pas un remplacement, c’est une suppléance. Nous pouvons observer que la Très Sainte Vierge opère dans son cœur maternel l’accueil et le désir de ses enfants frustrés, parce que son Cœur est d’abord, en premier lieu, et Elle supplée par les sentiments de son Cœur, par sa fidélité, par sa veille, par sa prière, par la continuation de la Corédemption qu’Elle a acquise dans le ciel, par tout cela, Elle fait que chaque messe qui, provisoirement ne peut pas être « ab Ecclesia », chaque messe soit : « ab Maria ».
Mgr L.M. Guérard des Lauriers
Le Traditionalisme c’est comme le poisson…Ça pourrit par la Tête !!!
Le Traditionalisme c’est comme le poisson…Ça pourrit par la Tête !!!
ou quand une chapelle tradi se prend pour l’Église Catholique !
Nous assistons de plus en plus à la relativement lente décomposition doctrinale du traditionalisme et de ses prêtres, prieurs et supérieurs. Ce texte m’a paru tellement emblématique et scandaleux que je souhaite le livrer séance tenante à mes lecteurs afin qu’ils soient édifiés et renforcés dans la vertu surnaturelle et le courage spirituel qu’il y a d’être un catholique semper idem par les (mauvais) temps qui courent……
Dans son immense bonté et miséricorde, Dieu a toujours accordé aux âmes droites et de bonne volonté, nonobstant leurs mérites défaillants et leurs péchés personnels, de nombreux signes et moyens divers pour discerner où se trouve le véritable esprit de l’Église et l’expression de la vérité connue.
Depuis un demi-siècle, ces signes, fort nombreux et variés, s’accumulent à loisir…sauf pour les ignorants invincibles, les mondains, les gens de mauvaise foi et les aveugles volontaires.
Afin d’aller à l’essentiel dans le sordide, le scandaleux, l’incroyable, le blasphématoire et l’immonde, je vais tenter une petite sélection pour mettre sous les yeux des lecteurs la réalité des choses.
Je tiens à préciser, même si d’aucuns le jugeront superflu, que nous autres au CatholicaPedia sommes censés n’avoir nulle part aucune avec les soi-disant opposants à Sa Majesté Fellay et encore moins les yeux de Chimène pour l’un de leur plus illustre mentor, c’est à dire Mgr Williamson, l’évêque à la rose.
On a beau être blindé, lorsque j’ai lu ce texte, qui relate des faits, j’ai cru ne pas en croire mes yeux, même si je me suis dit que peut-être “La Sapinière” ne faisait pas dans la dentelle syntaxique en présentant les dires et gestes de tous ces bons prêtres tradis. Il est vrai que, grâce aux braves “gens” de “La Question”, nous avons été habitués au pire du pire dans les plus beaux emballages estampillés « catholique pur Label Rouge de Droit Divin ». En matière de leurres, ils sont en effet dans l’excellence !!!… Reconnaissons-le humblement…car en enfer ou au purgatoire, ils risquent sans doute de manquer cruellement de compliments. Alors si c’est une dernière charité à leur faire, faisons-la !!!
Comme catholiques, nous avons le plus grand respect pour les clercs validement consacrés/ordonnés et n’avons pas l’habitude de nous attaquer aux hommes sans oublier la grandeur intrinsèque de leur sacerdoce et l’exigence de charité qu’il y a à les mettre devant leurs contradictions, leurs erreurs de jugement, leurs hérésies voire leurs blasphèmes. Ces jugements au for externe n’entament en rien l’idée que nous nous faisons du prêtre in persona Christi dans l’exercice de ses fonctions sacrées.
Alors voici les passages que j’ai relevés et qui m’ont apparu comme être les plus inacceptables au regard de la foi, de la justice et de l’équité. (Les quelques rares commentaires en vert sont de votre serviteur)
1/ M. l’abbé de la Motte, le prieur de la FSSPX à Perpignan, a refusé de donner la sainte communion à cette dame : nos lecteurs liront tout le développement dans le corps de l’article. Ce n’est pas la première fois que des prêtres de la “tradition” se permettent de priver des baptisés de la Sainte Communion…
2/ Restriction de liberté pour Madame V. : M. l’abbé Renaud Joubert de la Motte avait convoqué Madame V. pour lui demander de renoncer à recevoir chez elle Mgr Williamson (de quel droit ?), et il l’avait « avertie des sanctions si elle posait quand même cet acte public » (de quel droit ?). Les deux « de quel droit », assez savoureux, ne sont pas de moi mais figurent dans le texte de “La Sapinière” !
3/ M. l’abbé de la Motte exigeait « une lettre d’excuse pour avoir reçu Mgr Williamson chez elle, un dimanche, pendant la messe du prieuré » et « une lettre d’engagement à ne pas faire de mauvais esprit et de prosélytisme, (ce qu’au demeurant, elle ne faisait pas) pour la fameuse résistance au sein du prieuré… »
L’abbé de la Motte avait donné ordre à ses vicaires de refuser la communion à Mme. V. et cela au mépris du droit canonique de l’Église.
4/ Comme Mme V. demandait à un jeune vicaire comment elle pourrait faire ses Pâques, celui-ci répondit à cette dame qui avait lutté dès la première heure contre la révolution conciliaire, sur un ton désinvolte, qu’elle n’avait qu’à aller à la Fraternité St Pierre… (oui !! vous avez bien lu !!!) Ah ! ces jeunes…ça ne respecte plus rien !!!!! Hihihi !
5/ Abbé Bouchacourt : « Mgr Williamson divise la tradition. En sillonnant la France comme il le fait ; il est subversif (…) Mgr Williamson se comporte comme un loup. Il faut l’éloigner et l’empêcher de nuire. L’organisation d’un prieuré n’est pas démocratique. » Ce cher Abbé n’a pas sa langue tradi dans sa bouche !!! Que ne met-il son autorité au service de la véritable Église et de la foi !!!
6/ Entre temps, M. l’abbé de la Motte a décidé d’abandonner la FSSPX pour rallier l’église (la secte) conciliaire. Lors d’une messe pour son départ (car maintenant de tels gestes se fêtent dans la FSSPX) (sic!!!), la petite cérémonie fit plus penser à une simple mutation de prieur qu’à la trahison d’un combattant (mais puisqu’on vous dit que rien n’a changé dans la Fraternité !). Toute honte bue…… écœurant !…
7/ « M. l’Abbé de la Motte quitte la FSSPX pour se mettre au service du diocèse de Versailles. » déclare un vicaire de l’Abbé de La Motte !!! Ah ! l’hypocrisie traditionaliste…c’est quelque chose !…
8/ L’abbé Rousseau, après avoir été sanctionné pour sa vive réaction contre les pseudo canonisations de François, fut tout de même désigné, en catastrophe, nouveau prieur de Perpignan. Bien fait, na !
9/ Le même Abbé Rousseau fut choisi pour exercer un odieux chantage aux sacrements auprès de Madame V. !!! C’est ainsi que ça se passe chez les tradis…
10/ La FSSPX a bel et bien perdu la tête. Hélas ! il n’y a pas qu’elle !!! suivez mes regards……
11/ La FSSPX cache son fléchissement doctrinal par un durcissement pastoral inique. Pastoral…hummm…ou dictatorial ???
12/ La FSSPX n’a aucune juridiction ordinaire sur les fidèles du Christ. …vaste et crucial sujet sur lequel je me garderai bien de m’étendre ici…
13/ « la juridiction de suppléance donne une autorité limitée assez délicate à exercer. L’autorité juridictionnelle de l’évêque ne lui venant pas d’une nomination romaine, mais de la nécessité du salut des âmes, il devra l’exercer avec une délicatesse particulière. » (Mgr Lefebvre en note du 20 fév. 1991 cité dans Sel de la Terre n° 87, p. 142)
14/ la domination de la FSSPX est devenue aujourd’hui une domination perverse.
Les répressions, exclusions et sanctions qu’elle sème à tout vent manifestent une grave dérive morale car doctrinale. Quand en tirerez-vous les véritables conséquences et conclusions Messieurs les clercs de l’opposition ???…ça urge !……
15/ « l’Église officielle est l’Église visible, c’est l’Église catholique ; un point c’est tout ! » (Mgr Fellay en déc. 2014) N’est-ce pas très clair pour tout le monde ??? En tout cas cela devrait l’être !…. O Mysterium Iniquitatis…
21 janvier 1793, il y a 222 ans mourait martyr de la Foi Catholique le Roi Très Chrétien Louis XVI
In memoriam
Souvenons-nous, ce 21 janvier, il y aura 222 ans que mourait martyr de la Foi Catholique le Roi Très Chrétien Louis XVI.
Voilà les réflexions que Nous avons jugées les plus propres à vous offrir quelques consolations dans un si horrible désastre. C’est pourquoi, pour achever ce qui nous reste à dire, Nous vous invitons au service solennel que Nous célébrerons avec vous, comme de coutume, pour le repos de l’âme du roi Louis XVI. Quoique ces prières funèbres puissent paraître superflues, quand il s’agit d’un chrétien qu’on croit avoir mérité la palme du martyr, puisque saint Augustin dit que l’Église ne prie pas pour les martyrs, mais qu’elle se recommande plutôt à leurs prières, cependant cette sentence du saint docteur doit s’entendre et s’interpréter, non pas de celui qui est simplement réputé martyr par une personne purement humaine, mais de celui qui est formellement reconnu tel par un jugement du Saint Siège apostolique. En conséquence Nos vénérables frères, on vous indiquera par notre ordre le jour où Nous procéderons ensemble selon l’usage, dans Notre chapelle pontificale, aux obsèques publiques de Sa Majesté très chrétienne, Louis XVI, roi de France.
En téléchargement, connue mais pas assez, l’allocution du Pape Pie VI du 17 juin 1793 au sujet de cet assassinat.
Il y a 222 ans, le 21 janvier 1793 à 10h22, Louis XVI était exécuté par décapitation à Paris, sur la place de la Révolution (Paris) (ancienne place Louis XV, devenue en 1795 la place de la Concorde).
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Louis XVI fut déclaré « martyr » par le Pape Pie VI.
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Ô jour de triomphe pour Louis XVI à qui Dieu a donné et la patience dans les tribulations, et la victoire au milieu de son supplice ! Nous avons la ferme confiance qu’il a heureusement échangé une couronne royale toujours fragile et des lys qui se seraient flétris bientôt, contre cet autre diadème impérissable, que les anges ont tissu de lys immortels.
Un autre Sermon de saint Jean Chrysostome sur la Nativité
Saint Jean Chrysostome
Homélie pour la Nativité de
Notre-Seigneur Jésus-Christ.
Tome VI, p. 579-585
AVERTISSEMENT.
L’homélie sur la fête de Noël est citée par saint Cyrille d’Alexandrie sous le nom de saint Chrysostome et une partie de ce que ce Père en a cité se trouve dans les actes du concile d’Éphèse. Malgré un témoignage si positif ; on a cependant émis des doutes sur l’authenticité de cette homélie telle que nous l’avons. Ces doutes se fondent sur ce que saint Cyrille, dans sa citation, rapporte à la sainte Vierge les paroles suivantes : Elle embrasse le Soleil de justice qui ne peut être circonscrit, tandis que dans notre homélie, elles sont dites de Béthléem. C’est sur ce fondement que Tillemont ne veut voir dans le morceau suivant qu’un centon formé de passages empruntés tantôt à saint Chrysostome, tantôt à saint Athanase : quoi qu’il en soit, homélie ou centon, la pièce est fort belle et ne manque ni de suite dans les idées, ni d’unité dans le style.
Fuites à Menzingen : Nouvelle réunion prévue avec Rome…
Ça bouge de tous les côtés à Menzingen…
Alors que la Fraternité envoie à Rome depuis quelques temps les CV de tous ses prêtres, pour préparer leur intégration… les réunions se succèdent entre Menzingen & Rome.
Et les fuites aussi !!!
Le 2 octobre 2014, une « Note interne confidentielle de la Maison Générale » sur la suite de l’entrevue de Mgr Fellay avec « Mgr » Muller avait fuitée… (voir ci-après)
Ces jours-ci c’est une autre « Note interne confidentielle de la Maison Générale » au sujet d’une réunion de membres de la Fraternité avec le « cardinal » Brandmüller qui vient de fuiter…
VATICAN D’EUX : Le “Pape” qui n’aime pas les prêtres…
Le “Pape” qui n’aime pas les prêtres
Notre ami « Jean Marie de la Salle » (bien connu de nos Internautes commentateurs et commentatrices) nous soumet un article traduit de l’italien très éclairant sur le « Saint Père » de la Fraternité Saint Pie X, des Néo-Résistants (Willy compris), du blogue « La Question » entre autres et des Ralliés Ecclesia Dei.
L’article recommandé est publié par un blogueur très favorable à Ratzinger-Benoît(16) « Benoît-&-Moi.fr »… Voyez comme ILS s’aiment !!!
Bien sur le vocabulaire est totalement conciliaire.
Un article d’Antonio Mastino, qui déboulonne quelque peu la statue du Commandeur – précédé d’un avertissement nécessaire (27/11/2014, mise à jour le 30/11, à propos du « limogeage » du cardinal Burke)