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Deux amours ont bâti deux cités…

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Deux amours ont bâti deux cités…

31 octobre,
Vigile de la Toussaint.

(Nous reprenons avec plaisir l’article de Maître-Chat Lully pour ce beau jour de la Toussaint… Bonne fête à tous ! Cave Ne Cadas)

 

Le Christ en gloire entouré des saints, Giovanni Battista Beinaschi

Le Christ en gloire entouré des saints, Giovanni Battista Beinaschi, 17e siècle ;
musée du Hiéron à Paray le Monial

 

En ce jour de vigile de la Toussaint, nos regards sont déjà tournés vers cette Sainte Cité — la Jérusalem céleste —, qui est le terme de notre espérance et le but auquel tend toute notre vie chrétienne : la Sainte Cité à laquelle nous devons aspirer, la Sainte Cité où nous attendent tous les saints qui nous ont précédés et montré la voie, la Sainte Cité dont la liturgie de demain détaillera la gloire et la félicité de la foule immense des sauvés qui la peuplent, parce que, ici-bas, ils ont vécu les Béatitudes évangéliques, la Sainte Cité en laquelle ne peuvent entrer et vivre à jamais que ceux qui meurent dans la grâce et la miséricorde du Seigneur…

Pour nous mieux préparer à célébrer cette fête de tous les Saints, permettez-moi de vous inviter à lire ou à relire, à méditer dans le recueillement et le silence, cette célèbre page de notre glorieux Père Saint Augustin : celle extraite de « La Cité de Dieu », où le saint docteur d’Hippone parle des « deux cités », celle de la terre et celle du ciel, et de leurs caractéristiques.
La fameuse phrase « deux amours ont bâti deux cités… » commence le chapitre vingt-huit du quatorzième livre de « La Cité de Dieu », mais, parce qu’il y a en réalité dans le texte un « donc » : « Deux amours ont donc bâti deux cités » (en latin : itaque), il m’a semblé important de vous retranscrire ci-dessous la partie du chapitre vingt-sept qui précède et justifie le développement de Saint Augustin lorsqu’il commence à parler de ces « deux cités ».
Avec Saint Augustin, c’est dans la vision globale du mystère de la chute (des anges et des hommes) et de la Rédemption, et donc de la tentation et du combat spirituel — par lequel l’homme, fidèle à la grâce divine, parvient à la victoire —, qu’il nous faut sans cesse nous replacer.

La fête de tous les Saints, qui — en ce monde de ténèbres — entrouvre aux yeux de nos âmes la lumineuse vision du Ciel, doit être pour nous un vif stimulant à nous montrer forts et généreux dans le combat spirituel, un encouragement à nous livrer davantage à l’action de la grâce, un puissant motif pour mettre à mort en nous tout ce qui est contraire à l’amour divin, et un tremplin spirituel pour décupler toutes nos énergies afin de vivre toujours plus intensément l’esprit des Béatitudes.

Belle, fervente et très sainte fête de tous les Saints !

Lully.

 

 

Le Christ en gloire entouré des saints

Le Christ en Sa gloire, entouré des Saints

 

« Deux amours ont bâti deux cités… »

 

De même que nous ne saurions vivre ici-bas sans prendre des aliments, et que nous pouvons néanmoins n’en pas prendre, comme font ceux qui se laissent mourir de faim, ainsi, même dans le paradis, l’homme ne pouvait vivre sans le secours de Dieu, et toutefois il pouvait mal vivre par lui-même, mais en perdant sa béatitude et tombant dans la peine très-juste qui devait suivre son péché.

Qui s’opposait donc à ce que Dieu, lors même qu’Il prévoyait la chute de l’homme, permît que le diable le tentât et le vainquît, puisqu’Il prévoyait aussi que sa postérité, assistée de Sa grâce, remporterait sur le diable une victoire bien plus glorieuse ?

De cette sorte, rien de ce qui devait arriver n’a été caché à Dieu ; Sa prescience n’a contraint personne à pécher, et Il a fait voir à l’homme et à l’ange, par leur propre expérience, l’intervalle qui sépare la présomption de la créature de la protection du Créateur.

Qui oserait dire que Dieu n’ait pu empêcher la chute de l’homme et de l’ange ?

Mais Il a mieux aimé la laisser en leur pouvoir, afin de montrer de quel mal l’orgueil est capable, et ce que peut sa grâce victorieuse.

Deux amours ont donc bâti deux cités : l’amour de soi-même jusqu’au mépris de Dieu, celle de la terre, et l’amour de Dieu jusqu’au mépris de soi-même, celle du ciel.

L’une se glorifie en soi, et l’autre dans le Seigneur ; l’une brigue la gloire des hommes, et l’autre ne veut pour toute gloire que le témoignage de sa conscience ; l’une marche la tête levée, toute bouffie d’orgueil, et l’autre dit-à Dieu : « Vous êtes ma gloire, et c’est Vous qui me faites marcher la tête levée » (Ps. III, 4) ; en l’une, les princes sont dominés par la passion de dominer sur leurs sujets, et en l’autre, les princes et les sujets s’assistent mutuellement, ceux-là par leur bon gouvernement, et ceux-ci par leur obéissance ; l’une aime sa propre force en la personne de ses souverains, et l’autre dit à Dieu : « Seigneur, qui êtes ma vertu, je Vous aimerai » (Ps. XVII, 2).

Aussi les sages de l’une, vivant selon l’homme, n’ont cherché que les biens du corps ou de l’âme, ou de tous les deux ensembles ; et si quelques-uns ont connu Dieu, ils ne Lui ont point rendu l’honneur et l’hommage qui Lui sont dus, mais ils se sont perdus dans la vanité de leurs pensées et sont tombés dans l’erreur et l’aveuglement.

En se disant sages, c’est-à-dire en se glorifiant de leur sagesse, ils sont devenus fous et ont rendu l’honneur qui n’appartient qu’au Dieu incorruptible à l’image de l’homme corruptible et à des figures d’oiseaux, de quadrupèdes et de serpents ; car, ou bien ils ont porté les peuples à adorer les idoles, ou bien ils les ont suivis, aimant mieux rendre le culte souverain à la créature qu’au Créateur, qui est béni dans tous les siècles (Rom. I, 21-25).

Dans l’autre cité, au contraire, il n’y a de sagesse que la piété, qui fonde le culte légitime du vrai Dieu et attend pour récompense dans la société des saints, c’est-à-dire des hommes et des anges, l’accomplissement de cette parole : « Dieu tout en tous » (1 Cor. XV, 28).

Saint Augustin,
« La Cité de Dieu », livre XIV, 2 ème moitié du chap. 27 et chap. 28.

 

Christ de Gloire, détail

« Alors Dieu sera tout en tous ! » (1 Cor. XV, 28)

 

 

 

Quis ut Deus ?

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   Neuvaine à saint Michel   

 

Statue de L’Archange Saint Michel écrasant Satan représenté par un dragon.

À partir de demain pour les 20-29 septembre une neuvaine à saint Michel à votre choix !

saint Michel patron de la France…

Saint Michel éducateur de Jeanne…

 

Nous vous proposons néanmoins la neuvaine suivante pour être en union de prières avec nous :

 

Neuvaine à Saint Michel

et aux neuf Chœurs des Anges

 

Neuf Chœurs des Armées Célestes

 

Réciter avant la prière du jour :

 

Trois Notre Père, trois Je vous salue Marie et trois Gloire au Père.

 

Premier jour (en l’honneur des Séraphins) :

Prince très glorieux de la milice céleste,

Saint Michel Archange, défendez-nous dans le combat

contre les princes et les puissances, contre les dominateurs de ce monde de ténèbres,

contre les esprits méchants répandus dans l’air.

Venez au secours des hommes que Dieu a faits à l’image de Sa propre nature,

et rachetés à grand prix de la tyrannie du démon.

Ainsi soit-il.

 

Deuxième jour (en l’honneur des Chérubins) :

Saint Michel, Prince de la milice des Anges, je vous invoque, exaucez-moi.

Je vous supplie de prendre mon âme, au dernier jour,

sous votre très Sainte garde et de la conduire au lieu du rafraîchissement, de la

paix et du repos, où les âmes des Saints attendent dans la joie ineffable

le jugement à venir et la Gloire de la Résurrection.

Que je parle ou me taise, que je veille ou je dorme,

que je marche ou me repose, gardez-moi dans l’accomplissement de toutes mes œuvres,

dans tous les actes de ma vie.

Préservez-moi des tentations des démons et des peines de l’enfer.

Ainsi soit-il.

 

Troisième jour (en l’honneur des Trônes) :

Grand défenseur du peuple chrétien, Saint Michel Archange,

pour remplir dignement la mission qui vous a été confiée de défendre l’Église,

terrassez l’hérésie, exterminez les schismes et confondez l’incrédulité.

Multipliez vos victoires sur les monstres infernaux qui veulent détruire notre Foi.

Que l’Église de Jésus Christ accueille

de nouveaux fidèles et s’agrège des royaumes entiers

afin qu’elle puisse peupler le Ciel d’âmes élues, pour la plus grande Gloire

du Divin Rédempteur, à qui vous-même devez vos triomphes, vos mérites,

votre éternelle félicité.

Ainsi soit-il.

 

Quatrième jour (en l’honneur des Dominations) :

Ô vous, Saint Michel qui êtes le Prince et le porte-étendard des bons Anges,

assistez-moi toujours dans votre bonté et sauvez-moi.

Des légions de l’ange des ténèbres, préservez-moi,

afin que, sous votre conduite, je partage la lumière des bons Anges.

Devant le trône du Juge Suprême, soyez mon défenseur,

plaidez ma cause et conjurez la colère du Juste Vengeur.

Que, par vous, à mes travaux, à mon repos,

à mes jours et à mes nuits, soit donnée la prospérité ;

que ma pensée soit toujours prête pour les œuvres de Dieu.

Ainsi soit-il.

 

 

Cinquième jour (en l’honneur des Puissances) :

Saint Michel Archange,

vous que la Sainte Église vénère comme son gardien et son protecteur,

le Seigneur vous a confié la mission d’introduire dans la félicité les âmes rachetées.

Priez donc le Dieu de paix d’écraser Satan sous ses pieds

afin qu’il ne puisse plus retenir les hommes dans ses chaînes et nuire à l’Église.

Présentez au Très-Haut nos prières,

afin que, sans tarder, le Seigneur nous fasse Miséricorde.

Vous-même, saisissez le dragon, l’antique serpent qui est diable et Satan,

et jetez-le enchaîné dans l’abîme, pour qu’il ne séduise plus les nations.

Ainsi soit-il.

 

 

Sixième jour (en l’honneur des Vertus) :

Saint Michel Archange défendez-nous dans le combat,

afin que nous ne périssions pas au jour du redoutable Jugement.

Prince très glorieux, souvenez-vous de nous,

et priez le Fils de Dieu pour nous,

partout et toujours.

Quand vous combattiez le dragon, on entendit dans le Ciel la voix de ceux qui disaient :

« Salut, Honneur et Gloire au Dieu Tout-Puissant » !

La mer se souleva, la terre trembla, quand vous êtes descendu du Ciel.

Venez au secours du peuple de Dieu.

Ainsi soit-il.

 

 

Septième jour (en l’honneur des Principautés) :

Ô Saint Michel, Prince trois fois Saint de la milice sacrée,

chargé par Dieu d’organiser et conduire les phalanges Angéliques,

très digne de tout culte, de toute louange et de toute éloge :

éclairez mes sens intérieurs, fortifiez mon pauvre cœur agité par les tempêtes de cette vie,

élevez vers les hauteurs de la céleste sagesse mon esprit incliné vers les choses de la terre ;

affermissez mes pas chancelants

et ne permettez pas que j’abandonne le sentier qui conduit aux Cieux ;

guérissez les plaies de mon âme ;

faites disparaître la trace de toutes les souffrances

qu’engendrent en moi mes misères et mes malheurs.

Ainsi soit-il.

 

Huitième jour (en l’honneur des Archanges) :

Archange Saint Michel, qui avez pour mission de recueillir nos prières,

de diriger nos combats et de peser nos âmes,

je rends hommage à votre beauté, si semblable à celle de Dieu,

qu’après Son Verbe Éternel, aucun esprit céleste ne vous est comparable,

à votre pouvoir sans limites en faveur de ceux qui vous sont dévots ;

à votre volonté, harmonieusement unie à celle du Cœur Sacré de Jésus

et du Cœur Immaculé de Marie, pour le bien de l’homme.

Défendez-moi contre les ennemis de mon âme et de mon corps.

Rendez-moi sensible le réconfort de votre assistance invisible

et les effets de votre vigilante tendresse.

Ainsi soit-il.

 

Neuvième jour (en l’honneur des Anges) :

Glorieux Archange Saint Michel,

grand zélateur de la Gloire de Dieu et protecteur de l’Église Universelle,

vous à qui le Tout-Puissant a confié la mission de recevoir les âmes à la sortie du corps

pour les présenter au Très Juste Juge,

daignez me secourir dans mon dernier combat.

Accompagné de mon bon Ange gardien,

venez à mon aide et chassez loin de moi tous les esprits infernaux.

Ne permettez pas qu’ils m’épouvantent alors.

Fortifiez-moi dans la Foi, l’espérance et la charité,

afin que mon âme, portée par vous à son Juge,

soit introduite aussitôt au lieu du repos,

pour y régner éternellement avec son Rédempteur,

dans la société des esprits bienheureux.

Ainsi soit-il.

 


 

 

 

Un autre Sermon de saint Jean Chrysostome sur la Nativité

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Saint Jean Chrysostome

 

saint Jean Chrysostome

Homélie pour la Nativité de
Notre-Seigneur Jésus-Christ
.

 

Tome VI, p. 579-585

 

AVERTISSEMENT.

L’homélie sur la fête de Noël est citée par saint Cyrille d’Alexandrie sous le nom de saint Chrysostome et une partie de ce que ce Père en a cité se trouve dans les actes du concile d’Éphèse. Malgré un témoignage si positif ; on a cependant émis des doutes sur l’authenticité de cette homélie telle que nous l’avons. Ces doutes se fondent sur ce que saint Cyrille, dans sa citation, rapporte à la sainte Vierge les paroles suivantes : Elle embrasse le Soleil de justice qui ne peut être circonscrit, tandis que dans notre homélie, elles sont dites de Béthléem. C’est sur ce fondement que Tillemont ne veut voir dans le morceau suivant qu’un centon formé de passages empruntés tantôt à saint Chrysostome, tantôt à saint Athanase : quoi qu’il en soit, homélie ou centon, la pièce est fort belle et ne manque ni de suite dans les idées, ni d’unité dans le style.

 

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PRIÈRE POUR LES ÂMES LES PLUS DÉLAISSÉES DU PURGATOIRE

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Prière pour les âmes les plus abandonnées du Purgatoire

Extase de Marie-Julie Jahenny du 10 novembre 1881

« Mon Dieu, je m’unis maintenant à tous les Anges et les Saints, pour délivrer ces âmes, qui ont si peu désiré de vous voir, si peu travaillé à se rendre conforme au désir de votre union Divine. »

Elle dit la Sainte Vierge !

« Cette courte prière délivrera promptement ces âmes et les fera immédiatement jouir du repos. »

Que par la miséricorde de Dieu, Les âmes des fidèles trépassés. Reposent en paix. Ainsi soit-il

 

La Sainte Vierge dit que « Cette courte prière délivrera promptement ces âmes et les fera immédiatement jouir du repos. »

Le mois de Novembre est traditionnellement réservé dans l’Église Catholique à la prière pour les fidèles défunts.

 


 

Marie-Julie JAHENNY

« La stigmatisée Bretonne »

1850 – 1941

Marie-Julie a eu de très nombreuses apparitions de Notre Seigneur. Elles ont commencé le 6 janvier 1873 et ont duré pratiquement jusqu’à sa mort.
La Sainte Vierge a assisté Marie-Julie tout au long de sa vie mystique. La première apparition de Notre Dame a eu lieu le 22 février 1873.
Marie-Julie a été stigmatisée.. Le Docteur Imbert-Gourbeyre, spécialiste en stigmatisation, avait à la demande de Mgr Fournier examiné Marie-Julie. C’est à la suite de ces différentes visites qu’il avait pu dire : « il n’y a pas de fraude à la Fraudais ».
Marie-Julie JAHENNY a reçu de Notre-Seigneur les moyens naturels et surnaturels que ses amis devront utiliser pour se protéger pendant la période des châtiments.

À ce jour Marie-Julie n’a toujours pas été reconnue par l’Église. De son vivant Mgr Fournier et Mgr Le Fer de la Motte, Évêques de Nantes, lui étaient favorables et lui rendaient visite. Notre Seigneur a dit que c’est Lui qui ferait tout concernant Marie-Julie. Elle a eu également la visite du Cardinal Pacelli.

La Sainte Messe, rite Saint Pie V, est célébrée chez Marie-Julie :

« Je vous donne un avertissement. Les disciples qui ne sont pas de Mon Évangile sont maintenant en grand travail pour refaire à leurs idées, et sous l’empire de l’ennemi des âmes, une messe qui renferme des paroles odieuses à mes yeux » (extases du 27 novembre 1902 et du 10 mai 1904).
Se reporter à la bulle « Quo Primum Tempore » du Pape Saint Pie V (1570) organisant définitivement la célébration du Saint Sacrifice de la Messe.

Le 22 février 1873, elle eut sa première apparition de la Sainte Vierge : « Je vais mourir, dit Marie-Julie. Je sentais que mon cœur s’en allait. J’étais cloutée sur mon lit, je pleurais. J’ai fermé les yeux. Je vis la Sainte Vierge. Tous croyaient que j’étais morte à cause de mon immobilité. Vers 11 h, mes yeux s’ouvrirent et restèrent fixés sur la Sainte Vierge. Je revins à la vie naturelle pour quelques instants puis je retombais dans mon premier état. Il se passait dans mon âme un grand bonheur. J’ouvre les yeux et je vois la Sainte Vierge en blanc couronnée et appuyée d’un bras sur une grande croix blanche. J’avais peur. »
Elle me dit : « Ma chère enfant, ne crains pas. Je suis la Vierge Immaculée, tu souffres. » Puis elle se penche vers moi, son bras droit était sur son cœur et le gauche appuyé sur la Croix, et me promet ma guérison pour le 2 mai à 3 heures du soir. « Ne crains pas, je suis la Vierge Immaculée. Je reviendrai te visiter. » La Reine du Ciel annonça aussi à sa servante des souffrances tous les jours de 2 à 3 h du soir excepté le samedi où elle souffrirait le matin de 9 à 10 h et cela jusqu’au dimanche de la Passion où un nouvel état commencerait. Tout ceci arriva à la lettre.

En ce mois de novembre, qui est consacré aux âmes du Purgatoire, nous vous recommandons cette prière qui a été donnée à Marie-Julie par la Très Sainte Vierge Marie :

Prière pour les âmes les plus abandonnées du Purgatoire

Mon Dieu, je m’unis maintenant à tous les Anges et les Saints, pour délivrer ces âmes, qui ont si peu désiré de vous voir, si peu travaillé à se rendre conforme au désir de votre union Divine.

Elle dit la Sainte Vierge !

« Cette courte prière délivrera promptement ces âmes et les fera immédiatement jouir du repos. »

10 novembre 1881


 

Cette très courte prière, mais très efficace selon notre Mère du Ciel, peut être récitée plusieurs fois par jour (et à longueur d’année) et tout particulièrement lorsque vous passez à côté d’un cimetière.

Source : Site Officiel de Marie-Julie JAHENNYPrier avec Marie-Julie