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De l’impossibilité de juger ou de déposer un VRAI PAPE
Si François est un vrai Pape, vous voilà coincés avec !
De l’impossibilité de juger ou de déposer un vrai Pape
(Photographie : Hulton-Deutsch Collection/CORBIS)
Le Pape : il juge tout le monde et n’est jugé par personne
d’après Novus Ordo Watch
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Reconnaître la secte Conciliaire comme étant l’Église catholique ne va pas sans conséquences. Idem pour le fait de croire que Jorge Bergoglio est le Vicaire du Christ bien que ce soit un apostat public. Si Bergoglio est validement Pape, alors aucun pouvoir sur terre ne peut le priver de sa papauté. S’il est vraiment le successeur de Pierre, il peut démissionner volontairement, mais nul ne peut lui ôter son pontificat.
Cette vérité évidente met à mal la position du camp des “R&R” « Reconnaître-tout-en-résistant » (c’est-à-dire les « semi-traditionalistes »), maintenant que François se comporte de manière si évidemment non catholique, nuisant ainsi au catholicisme gravement et aux yeux de tous.
La situation devenant de plus en plus intenable au fil des jours, on entend tout et n’importe quoi : de ridicules pétitions exigeant que François devienne catholique ou démissionne, ou bien encore des appels ouverts à sa destitution par les « évêques » ou les « cardinaux ». Le nouveau livre anti-sédévacantiste True or False Pope? (vrai ou faux Pape ?) de John Salza et Robert Siscoe tente même de fournir une justification théologique pour déposer le Pape et prétend montrer comment cela peut se faire.
Oui, vous avez bien lu : Ceux-là même qui ne cessent de rabâcher qu’on ne peut « juger le Pape » lancent à présent des appels… pour que le « Pape » soit jugé. Tout se passe décidément de façon bizarre dans le Novus Ordo-Land : les sédévacantistes se font vivement réprimander pour « juger le Pape », conscients qu’ils sont que si les enseignements catholiques ont un sens, Jorge Bergoglio ne peut absolument pas être un Pape valide, tandis que ceux qui croient que François est bel et bien un Pape valide peuvent, sans le moindre état d’âme, non seulement le traiter comme l’idiot du village, le contredire, le tourner en dérision et le critiquer à volonté, mais aller jusqu’à exiger que d’autres membres de l’« Église » procèdent à sa destitution, le tout – bien entendu – sans « juger le Pape ». Bienvenue au Far West ! De toute évidence, il est grand temps que nous examinions ce que l’Église catholique enseigne sur la possibilité ou l’impossibilité de juger un Pape validement régnant ou de le « déposer ».
Que signifie « juger le Pape » ?
Théologie de la fausse résistance : Le Pape parle, mais c’est vous qui décidez !
À propos de “jugement privé”…
Théologie de la fausse résistance :
Le Pape parle, mais c’est vous qui décidez !
Qui a besoin d’un Pape alors qu’il existe
des tamiseurs et des résistants autoproclamés ?
par Novus Ordo Watch
On dirait que cette année nous réserve un véritable Armaggedon entre la fausse position traditionaliste “R&R” « reconnaître-tout-en-résistant » et le sédévacantisme. Qu’il en soit donc ainsi, car la question est d’une très grande importance. La stratégie appliquée à l’heure actuelle par John Salza et Robert Siscoe – coauteurs de « True or False Pope? » (Vrai ou Faux pape ?) – fait penser à un “une-deux de boxeur” visant à enterrer le débat sous une flopée de brefs articles afin de nous submerger, ainsi que de diviser pour régner en insistant sur des questions ne pouvant recueillir notre accord. Le but de l’opération est d’empêcher une réaction unifiée de notre part et de nous paralyser, en quelque sorte, dans l’espoir peut-être que nous nous déchirerons entre nous au lieu de nous en prendre aux deux personnages en question.
Fort bien. Mais cette stratégie échouera.
Comme annoncé précédemment, nous devons résister à la tentation de réagir point par point à tout ce que l’on nous jette à la figure en ce moment. Pour l’instant, nous restons sur notre quant-à-soi en nous bornant à observer le déroulement de l’opération. Nos réponses viendront, mais ne consisteront pas en des ripostes directes et frénétiques au coup par coup. Au lieu de cela, nous développerons calmement nos arguments au moment voulu. Peut-être ces gens essayent-t-ils de nous paniquer, mais si tel est le cas, c’est raté. Bien que nous indiquions des liens avec eux, nous avons remarqué qu’ils ne nous rendaient pas la pareille. C’est malheureux, mais nous nous en accommoderons. Voici une brève récapitulation des « posts » les plus récents que nous avons publiés au sujet de leur livre et(ou) de leur position :
- True or False Pope: On that alleged « irrational » Sedevacantist Response (Vrai ou faux Pape : sur cette réaction sédévacantiste prétendument « irrationnelle »)
- True or False Popes? Novus Ordo Watch Page on Sedevacantism (Vrais ou faux Papes ? Page de Novus Ordo Watch sur le sédévacantisme)
- TRADCAST 010: A Critical Look at the Endorsements for the book True or False Pope? (TRADCAST 010 : Regard critique sur les approbations recueillies par le livre « True or False Pope? »
- TRADCAST 009: Dismantling John Salsa’s interview on TradCatKnight Radio (Part 1) (TRADCAST 009 : dissection de l’interview de John Salza diffusée par TradCatKnight Radio – première partie)
- TRADCAST 011: Dismantling John Salsa’s interview on TradCatKnight Radio (Part 2) (TRADCAST 011 : dissection de l’interview de John Salza diffusée par TradCatKnight Radio – seconde partie)
- Sedevacantism and Private Judgment (Sédévacantisme et jugement privé)
- Why do Many Traditionalists Fear Sedevacantism? (Pourquoi beaucoup de traditionalistes ont-ils peur du sédévacantisme ?)
- Francisco Suarez on Heretical Popes (Francisco Suarez sur les papes hérétiques)
- Have the Gates of Hell Prevailed against the Church? Les Portes de l’Enfer ont-elles prévalu contre l’Église ?)
Alors que nous attendons toujours notre exemplaire de « True or False Pope? » (allez, les gars, dépêchez-vous !), il est temps de braquer à nouveau le projecteur sur la position par laquelle Salza et Siscoe entendent remplacer le sédévacantisme en tant qu’unique position « catholique traditionnelle » authentique par une posture fréquemment appelée “R&R” « reconnaître-tout-en-résistant » et qui peut se résumer aussi par la formule :
« Le Pape a parlé, mais c’est VOUS qui décidez ! »
La sédévacantophobie…
Analyse d’un blocage mental,
la sédévacantophobie
Pourquoi tant de traditionalistes ont-ils peur du sédévacantisme ?
par Novus Ordo Watch
Pour nous, Catholiques semper idem…
La Sainte Écriture nous enseigne que lorsque Dieu Tout Puissant a créé l’homme, Il l’a créé — ainsi que toute sa progéniture — à Son image et à Sa ressemblance. « Puis Dieu dit : “Faisons l’homme à notre image, selon notre ressemblance…” » (Gen. 1 :26 ; cf. Gen. 2 :7). Par « image » et « ressemblance, il faut entendre notre intellect et notre volonté, dont la possession nous distingue des animaux (cf. Pape Léon XIII, Encyclique Exeunte Iam Anno, par. 14). Notre intellect et notre volonté appartiennent à notre âme rationnelle, que Dieu a infusée dans notre corps. La fonction de notre intellect est de savoir, et celle de notre volonté est d’aimer. Mais que devons-nous connaître et aimer ? Notre intellect nous a été donné pour connaître ce qui est vrai, et notre volonté nous a été donnée pour aimer ce qui est bien. Le vrai et le bien sont ainsi les objets attitrés de notre intellect et de notre volonté, respectivement.
Sur ce site Internet (Novus Ordo Watch,ndlr), beaucoup de choses ont trait au débat sur la nature de la crise traversée par l’Église catholique, notamment en ce qui concerne le Pontificat romain (la papauté). De par sa nature même, tout argument relève de l’intellect, dans la mesure où il fait partie de l’opération intellectuelle appelée raisonnement discursif. Autrement dit, l’argumentation a pour but d’éclairer l’intellect, lequel peut dès lors animer la volonté, mais à la seule condition qu’on n’introduise pas dans la volonté un obstacle qui l’empêche d’agir ou la gêne dans son action.
Depuis longtemps, hélas ! beaucoup de gens ne laissent plus des preuves suffisantes éclairer leur intellect ; au lieu de cela, ils refusent d’admettre que le Siège de Pierre est vacant (ou, en tout cas, qu’il n’est validement occupé ni par François, ni par Benoît XVI, bien qu’il soit possible, en théorie du moins, qu’existe un Pape valide dont — pour une raison ou pour une autre — l’existence ne peut se manifester. Avec de telles personnes, il est vain de continuer à argumenter, parce que, répétons-le, tout argument relève de l’intellect, tandis que chez les intéressés, l’obstacle réside non dans l’intellect, mais dans la volonté.
La bataille continue… VRAI OU FAUX PAPE ?
La Bataille a Commencé
Vrai ou Faux Pape ?
Au sujet de cette prétendue “réponse irrationnelle”
des sédévacantistes
par Novus Ordo Watch
D’accord, nous avons quelque peu modifié la couverture…
Mais c’est à seule fin de rappeler aux gens quel est
l’homme qui, selon les auteurs, empêche les portes de
l’enfer de prévaloir contre la secte moderniste…
L’année 2016 de Notre Seigneur promet d’être emplie de feux d’artifice. En prévision de la sortie officielle de l’ouvrage intitulé « Vrai ou faux Pape ? » — 700 pages d’arguments contre le sédévacantisme écrites par John Salza et Robert Siscoe et publiées par la Fraternité Saint-Pie X —, les auteurs ont ouvert sur leur site Internet une section « Sedevacantist Watch » (surveillance du sédévacantisme). Dans cette section, ils ont posté leur premier article intitulé « The Sedevacantist’s [sic] Irrational Response to the Book, True or False Pope? » (la réponse irrationnelle des sédévacantistes au livre « Vrai ou Faux Pape ? »), qui représente environ trois pages et demie au format PDF. Nous ne voudrions pas que les choses dégénèrent en une guerre de blogues sur divers points de détail, mais nous tenons cependant à répliquer à ce premier article et à ce qu’il affirme là :
« “True or False Pope” de John Salza et Robert Siscoe n’est pas encore en vente que les sédévacantistes se précipitent déjà. Ils ont créé des sites Internet et produit au moins trois vidéos jusqu’à présent pour contrer un livre qu’aucun d’eux n’a lu. Pourquoi cet ouvrage-là suscite-t-il une réaction aussi vive, telle qu’on n’en avait pas vu d’aussi irrationnelle ces derniers temps ? Et pourquoi n’a-t-on presque rien entendu de la part des mêmes individus lors de la publication, il y a quelques mois, d’un autre ouvrage contre les erreurs du sédévacantisme ? »
Tout d’abord, nous ne nous « précipitons » pas. Nous nous bornons à préparer prudemment la vague de fond des discussions qu’il sera aussi normal qu’obligatoire de notre part de déclencher en réaction à l’ouvrage attendu. Ensuite, l’article posté par nos contradicteurs avait manifestement pour but de susciter notre réponse, et c’est à cela que nous nous astreignons dans le présent message.
Quant à la création alléguée de sites Internet, à quels sites est-il fait allusion ? Nous n’en avons créé aucun. Nous avons simplement acquis un nom de domaine – trueorfalsepopes.com – et nous l’avons intégré dans notre section créée pour traiter du livre en question, de même que pour défendre le sédévacantisme en général. Nous n’avons entendu parler de la création d’aucun site Internet par quiconque. Messieurs Siscoe et Salza seraient-ils assez aimables pour fournir des précisions à ce sujet ? En outre, Novus Ordo Watch n’a produit qu’une seule vidéo, qui démontre que selon les enseignements catholiques, il n’est pas possible de croire que François est un Pape valide tout en adhérant à ce que l’Église enseigne sur la papauté. Nous avons connaissance d’une seule autre vidéo, qui a été produite par un prêtre catholique en prévision de la sortie du livre et qui traite de la question générale de savoir pourquoi tant de gens semblent avoir une peur irrationnelle du sédévacantisme.
ILS N’ONT PAS CHANGÉ !
LEUR VOIE EST TOUJOURS SANS ISSUE !
Ils n’ont Pas Changé !
Leur Voie Est Toujours Sans Issue !
Nos chers abbés “anti-ralliéristes” viennent de nous pondre une sorte de communiqué dont les termes ne souffrent guère de ce mal qu’on appelle l’ambiguïté !
Nous avons le plaisir d’apprendre qu’il existe deux sortes au moins de sédévacantismes… le simple (“modéré” !!!) et le dogmatique. Le simple ne condamnerait en fait personne et n’affirmerait pas la vérité…comme certaine ! Et donc pourrait coexister dans une amicale promiscuité avec nos chers résistants, ce qui leur conviendrait tout à fait !
On ne sait s’il faut hésiter entre un fou-rire nerveux, à une telle aussi grotesque lecture, ou considérer sans rire, du haut de notre intransigeance dogmatique de « sédévacs de la pire espèce » (appellation dont me gratifia un énergumène conciliaire qualifié de “chercheur” sur un blogue de “la fin des temps”) que le mot “lefebvriste” est devenu un gros mot, voire une insulte de 1ère classe !
Les “ponts sont donc coupés” entre les Abbés et nous car au fond, comme pour tous les autres, ils savent pertinemment que le seul et véritable ennemi capable de leur faire et du tort et de l’ombre, ce sont les sédévacantistes (dogmatiques !!! sic!)
Et nous retrouvons le même et sempiternel refrain sur le manque de charité qui semble, pour ces messieurs caractérisé par des « jugements à l’emporte-pièce » !!!
La conclusion est bien entendu sans appel, conformément à un syllogisme grossier qui veut que là où il y manque de “charité” (définition ?), il y ait des jugements à l’emporte-pièce, jugements qui sont donc générés obligatoirement par l’erreur…qui elle-même relève du manque de charité…etc… et blablabla !
J’écrivais récemment que le traditionalisme, sous toutes ses formes, patauge dans l’informel et l’approximatif…mais là nos bons abbés résistants deviennent tout à coup très dogmatiques et très clairs pour nous délivrer leur parole d’évangile : Le Sédévacantisme Est Dans l’Erreur.
Nous, au moins, n’avons pas ce privilège d’être dans l’erreur au plan théologique, comme vous Messieurs les Abbés, puisque notre seul crime est en fait un manque de “charité”…selon la conception qu’en ont tous les libéraux et semi-libéraux.
Nous ne sommes donc pas dans « la bonne ligne et le bon esprit », ce que nous savions depuis fort longtemps !!! Et en plus nous avons l’audace d’en tirer quelque gloire non pour nous-mêmes, instruments misérables, mais pour la vérité et la foi de toujours de l’Église.
Le fin mot de ces messieurs semble résider dans leur axiome de base « nullam partem« , axiome bien pratique pour ne tirer aucune conclusion qui s’impose à toute âme de bonne volonté.
Mais comme nous sommes, paraît-il, une « vraie boîte de Pandore », chacun viendra y puiser ce qu’il voudra, quand il voudra et comme il voudra ! Mais surtout n’allons chercher aucune vérité pour sauver notre âme, nous mériterions alors ce qualificatif d’infâmie qui nous réduit à n’être qu’une « opinion théologique« …
Bref ! Nous sommes condamnés sans appel, car « mauvais pour les âmes » (sic!).
Après une telle sentence, il n’y a plus rien à ajouter…
« C’est l’erreur plus que le vice qui les a perdus.
Le vice et même le crime ont des limites, l’erreur n’en a pas.
Il faut donc dire la vérité sans finesse, ni stratégie habile. »
Mgr Delassus, Semaine Religieuse de Cambrai, 1884, p. 735
Un terrible châtiment !!!!
(document à lire avec attention )
pour information……
Un terrible châtiment, celui de l’aveuglement spirituel, touche les prêtres traditionalistes de plein fouet ! Lisez plutôt et notamment tout le délirant chapître mis en encadré rouge par mes soins ! (Y aller directement)
Source : “Avec l’Immaculée” (les anti-ralliéristes de la F$$PX)
Jean-Paul II était-il franc-maçon ?
Il semble bien que tous les papes depuis Vatican II soient francs-maçons (ici, “Avec l’Immaculée” découvre l’Eau-Chaude !!!), sauf Jean-Paul Ier (c’est d’ailleurs pour cela qu’il a été assassiné, le soir du jour où il avait signifié leur renvoi à deux francs-maçons, Marcinkus et Villot). Les preuves selon lesquelles Jean XXIII et Paul VI étaient francs-maçons abondent. (cf. ici, ici, ici). Après Jean XXIII et Paul VI, étudions Jean-Paul II. Jean Paul II est arrivé après l’assassinat de Jean-Paul Ier, ce qui n’est déjà pas bon signe. C’est lui qui a lancé les cérémonies sacrilèges d’Assise, en 1986. On sait que le but de la franc-maçonnerie est de fondre toutes les religions en une seule religion mondiale et c’est le but poursuivi par les réunions d’Assise. C’est Jean-Paul II qui a instauré le nouveau code de droit canon (1983). Mgr Lefebvre (qui fut lui-même ordonné et consacré Évêque par un F∴M∴ notoire !!!) disait que ce nouveau code de droit canon, (appliqué dorénavant par Mgr Fellay pour le renvoi des prêtres de la Fraternité), était pire que Vatican II.
C’est aussi sous le pontificat de Jean-Paul II qu’a été changé le serment demandé aux prêtres avant leur ordination. Mgr Lefebvre a dit lors de son jubilé au Bourget : « La nouvelle profession de foi qui a été rédigée par le cardinal Ratzinger contient explicitement l’acceptation du Concile et de ses conséquences. (…) Comment pouvons-nous l’accepter ! » (Le Bourget, 19 nov. 1989)
« C’est un fait très grave. Car il demande à tous ceux qui se sont ralliés, ou qui pourraient le faire, de faire une profession de foi dans les documents du Concile et dans les réformes post-conciliaires. Pour nous, c’est impossible ». (Fideliter, janv. 1991, n°79 p. 4)
« Telle qu’elle est, cette formule [de la profession de foi] est dangereuse. Cela démontre bien l’esprit de ces gens avec lesquels il est impossible de s’entendre ». (Fideliter n°70 p. 16, juillet 1989 ; n°73 p. 12 et n°76 p. 11)
Mgr Lefebvre, à la fin de sa vie, a parlé de l’esprit du concile Vatican II en l’associant à l’esprit de Jean-Paul II. C’est à propos du concile et de Jean-Paul II qu’il a parlé d’une perversion totale de l’esprit : Voici un passage de la conférence du 6 septembre 1990 à Écône :
« Ce combat entre l’Église et les libéraux modernistes, c’est celui du concile Vatican Il. Il ne faut pas chercher midi à quatorze heures. Et cela va très loin. Plus on analyse les documents de Vatican II et l’interprétation qu’en ont données les autorités de l’Église, plus on s’aperçoit qu’il s’agit non seulement de quelques erreurs, l’œcuménisme, la liberté religieuse, la collégialité, un certain libéralisme, mais encore d’une perversion de l’esprit. C’est toute une nouvelle philosophie, basée sur la philosophie moderne du subjectivisme. Le livre que vient de faire paraître un théologien allemand, et qui, j’espère sera traduit en français afin que vous puissiez l’avoir en mains, est très instructif de ce point de vue. Il commente la pensée du Pape, spécialement une retraite que, simple évêque, il prêcha au Vatican. Il montre bien que tout est subjectif chez le Pape. Quand on relit ensuite ses discours, on s’aperçoit bien que telle est sa pensée. Malgré les apparences, ce n’est pas catholique. La pensée que le Pape a de Dieu, de Notre Seigneur, vient du tréfonds de sa conscience et non pas d’une Révélation objective à laquelle il adhère par son intelligence. Il construit l’idée de Dieu. Il a dit dernièrement, dans un document invraisemblable, que l’idée de la Trinité n’a pu venir que très tard, parce qu’il fallait que la psychologie de l’homme intérieur puisse être capable d’arriver à la Trinité Sainte. C’est donc que l’idée de la Trinité n’est pas venue d’une révélation, mais du tréfonds de la conscience. C’est toute une autre conception de la Révélation, de la foi et de la philosophie, c’est une perversion totale. »
N’oublions pas non plus les cérémonies sacrilèges de bénédiction du pape par des sorciers Indiens d’Amérique. En voici une :
(source : site sédévacantiste Most Holy Family monastery.)
N’oublions pas le signe de Shiva qu’il s’est fait imposer sur le front, la cérémonie secrète avec les sorciers dans le bois de Lomé, le baiser qu’il a donné au Coran, la phrase sacrilège : « Que saint Jean-Baptiste protège l’Islam » etc.
Jean-Paul II avait donc une pensée maçonnique, mais mise à part son arrivée sur le siège de Pierre après l’assassinat de Jean-Paul Ier par des francs-maçons, avons-nous d’autres indices qu’il était franc-maçon ? Oui, nous en avons :
Ce document intéressant mentionne que Jean-Paul II a reçu trois fois les B’nai B’rith au Vatican : la première fois, c’était le 22 mars 1984. Le pape a, paraît-il, commencé son discours de façon originale, en nommant trois fois de suite les B’nai B’rith « Mes chers amis, mes chers amis, mes chers amis ». Le script du Vatican ne mentionne pas que le pape ait fait cette triple appellation. Mais quand on voit comment la Fraternité Saint-Pie X en prend à son aise avec les scripts, par exemple celui de la conférence de Mgr de Galarreta à Villepreux le 13 octobre 2012, on peut se dire que le Vatican est bien capable d’en faire autant avec les discours du pape. On ne voit pas pourquoi les sédévacantistes auraient inventé cette triple appellation. D’ailleurs, on voit que le Vatican s’est trompé dans la date du discours qui était le 22 mars et non le 2 mars, comme il est noté ici. Ce discours du pape du 22 mars 1984 insiste lourdement à plusieurs reprises sur les liens de fraternité et le lien spirituel (« spiritual link ») que le pape a avec ces B’nai B’rith et avec tous les Juifs en général. Vous pouvez le lire en anglais sur le lien ci-dessus. Il vaut son pesant.
Jean-Paul II faisait partie du Rotary club : Armando Corona, grand maître de la maçonnerie italienne en 1986 a dit, dans la revue officielle du Rotary italien du 9 septembre 1986, après avoir exalté « les valeurs spirituelles communes à la maçonnerie et aux Rotary Clubs », que l’excommunication à l’égard de la maçonnerie a disparu et en même temps les interdits canoniques à l’égard des Rotary clubs. Il affirme ensuite que « le pape Jean-Paul II lui-même est un Paul Harris fellow » (c’est-à-dire un rotarien). Cela n’a pas été démenti (à la connaissance du juge Agnoli, édité au Courrier de Rome). Le pape Jean-Paul II a reçu à plusieurs reprises les rotariens au Vatican et il a loué les principes de leur association. Pourtant le Père Pirri, jésuite, a dit : « le Rotary ne diffère absolument pas de la Franc-maçonnerie. » (source)
Jean-Paul II a élevé au rang de cardinal deux personnages officiellement francs-maçons, d’après la liste Pecorelli : Fiorenzo Angelini et Virgilio Noé. (source)
Non seulement on constate des indices de franc-maçonnerie chez Jean-Paul II mais aussi des indices de satanisme. Jean-Paul II a fait ce signe, soi-disant pour plaisanter, mais en fait, ce geste est très connoté :
On peut voir que ce signe est prisé par Lady Gaga :
Ici Lady Gaga le fait en dehors de l’œil.
Serge Lama qui avait fait pourtant dans sa jeunesse une chanson à la sainte Vierge
et sur la crise de l’Église le fait aussi. Son discours a changé à présent. Il est devenu mauvais.
Prions pour lui.
Jean-Paul II utilisait aussi, à la suite de Paul VI, la croix tordue, emblème de sorcellerie :
Pour en savoir plus sur cet art expressionniste religieux qui a été condamné en son temps par Benoît XV, lire cet article bien documenté avec Google traduction (nombreuses photos) : http://www.traditioninaction.org/HotTopics/c031_Cross.htm
Photo provenant de PAUL VI… bienheureux ? par Don Luigi Villa
La Croix tordue ?
Pour répondre à cette question, nous revenons à un auteur catholique, Piers Compton, et ce qu’il écrit dans son livre “The Broken Cross: Hidden Hand in the Vatican”, Channel Islands, Neville Spearman, 1981.
Ce crucifix tordu est un symbole sinistre, utilisée par les satanistes, au sixième siècle, qui a été repris au moment de Vatican II. Ce fut une croix tordue ou cassée, sur laquelle figurait un personnage répugnant et déformé du Christ. Les sorciers noirs et les sorcières du Moyen Âge en avaient fait usage pour représenter la “Marque de la Bête”.
Source : http://www.paperblog.fr/5432285/l-etoile-a-cinq-branches-la-croix-tordue-paul-vi-et-la-franc-maconnerie/#Otw3HAFA1kQCYDWl.99
Jean-Paul II a même siégé sur un trône avec une croix inversée (signe sataniste) dessinée dans le dossier. Il a porté aussi des ornements avec une croix inversée.
Source des images ci-dessous (Most holy Family Monastery) :
« The instruction of the popes
Various popes have also told us that popes can err from the Faith and should then be resisted.
Pope Innocent III († 1216) stated that a pope can “wither away into heresy” and “not believe” the Faith.
“The pope should not flatter himself about his power, nor should he rashly glory in his honour and high estate, because the less he is judged by man, the more he is judged by God. Still the less can the Roman Pontiff glory, because he can be judged by men, or rather, can be shown to be already judged, if for example he should wither away into heresy, because “he who does not believe is already judged.” (St. John 3:18) In such a case it should be said of him: ‘If salt should lose its savour, it is good for nothing but to be cast out and trampled under foot by men.’” (Sermo 4)
Pope Adrian VI († 1523) stated that “it is beyond question” that a pope can “err in matters touching the Faith”, he can “teach heresy” in decrees. He also stated “many Roman Pontiffs were heretics”.
“If by the Roman Church you mean its head or pontiff, it is beyond question that he can err even in matters touching the faith. He does this when he teaches heresy by his own judgement or decretal. In truth, many Roman pontiffs were heretics. The last of them was Pope John XXII († 1334).” (Quaest. in IV Sent.; quoted in Viollet, Papal Infallibility and the Syllabus, 1908).*
(* According to the 1907 Catholic Encyclopedia, this work was published in 1512 from the notes of his student and without his supervision, but as it saw “many editions” it would appear that the pope did not repudiate the passage as not his own, in a work attributed to him.)
Venerable Pope Pius IX († 1878) recognised the danger that a future pope would be a heretic and “teach contrary to the Catholic Faith”, and he instructed, “do not follow him.”
“If a future pope teaches anything contrary to the Catholic Faith, do not follow him.” (Letter to Bishop Brizen)
Pope Adrian II († 872) admitted that papal heresy “renders lawful the resistance of subordinates to their superiors, and their rejection of the latter’s pernicious teachings.”
“We read that the Roman Pontiff has always possessed authority to pass judgment on the heads of all the Churches (i.e., the patriarchs and bishops), but nowhere do we read that he has been the subject of judgment by others. It is true that Honorius was posthumously anathematised by the Eastern churches, but it must be borne in mind that he had been accused of heresy, the only offence which renders lawful the resistance of subordinates to their superiors, and their rejection of the latter’s pernicious teachings”.
However, I must disagree with Pope Adrian when he said that heresy was the only offence that justified resistance: the Saints and Doctors have informed us otherwise, as we shall see.
Further, Pope Honorius I († 638) was not merely “accused of heresy” or “anathematised by the Eastern Churches”: he was anathematised as a heretic by the ecumenical Council of III Constantinople, whose Acts were confirmed by Pope Leo II († 683).
“We foresaw that, together with them, also Honorius, before Pope of Old Rome, is cast out of the Holy Catholic Church of God and anathematized, for we have found by his writings sent to [the heretic] Sergius, that he followed the thinking of the latter in everything, and continued his impious principles. […] To Sergius, the heretic, anathema! To Cyrus, the heretic, anathema! To Honorius, the heretic, anathema!”
So we see that popes have told us that a pope can “wither away into heresy” and “not believe” the Faith; that “it is beyond question” that a pope can “err in matters touching the Faith”, he can “teach heresy” in decrees; that “many Roman Pontiffs were heretics”; that a pope may be a heretic and “teach […] contrary to the Catholic Faith”, in which case we are to follow the instruction “do not follow him”; and that papal heresy “renders lawful the resistance of subordinates to their superiors, and their rejection of the latter’s pernicious teachings.” »
* * *
Traduction (nos notes en vert) :
1ère déformation du texte !
« Le Pontife pourrait être jugé par les hommes ou plutôt être montré comme jugé,
s’il arrivait qu’il s’évanouisse dans l’hérésie, car « celui qui ne croit pas est déjà jugé » (Jn.3,18). »
(Innocent III, sermon 4 pour l’anniv. de sa consecr. pontif.)
Il faut donc une condition. La voici :
S’il arrivait qu’il s’évanouisse dans l’hérésie
Innocent III – Sermon 4 – L’hérésie subjective ou formelle qui se présente dans le cas d’un refus obstiné ou d’un doute concernant ce que l’on sait être d’enseignement officiel du Magistère, est indispensable pour que l’on soit considéré comme hérétique formel. Si c’était le cas d’un pape, il cesserait d’être pape. “Si jamais un pape, en tant que personne privée, tombait dans l’hérésie, il serait tout de suite déchu du pontificat.” – St. Alphonse de Liguori, Œuvres Complètes. 9:232.
“Un pape manifestement hérétique cesse automatiquement d’être Pape et tête de l’Église tout comme il cesse automatiquement d’être chrétien et membre de l’Église, il peut donc subir jugement et peine de la part de l’Église. Tel est l’enseignement de tous les anciens Pères de l’Église qui enseignent que les hérétiques manifestes perdent immédiatement toute juridiction”. St Robert Bellarmin, De Romano Pontifice, II.30.
Ce texte, même s’il est signalé au titre des « œuvres » du pontife, après examen très attentif, ne se trouve pas en effet cité dans le Magnum Bullarium Romanum de Cherubini.
D’après les recherches de l’abbé Zins, cette citation provient d’un ouvrage mis l’index par l’Église.
(voir la note “Rappel” ci-dessous !)
(idem…voir la note “Rappel” ci-dessous !)
Les théories des ennemis de l’Église à propos des Papes Vigile, Honorius ou saint Libère ont été réfutées par les meilleurs historiens catholiques…
(idem…voir la note “Rappel” ci-dessous !)
Ainsi qu’on le voit…l’auteur anglo-saxon de ces lignes est un faussaire !
Rappel :
Face aux hérésies et au modernisme des prétendus « papes » qui se succèdent sur la chaire de Pierre depuis Vatican II (Paul VI, J-P II et Benoît XVI), certains prétendent qu’il est possible que le Vicaire du Christ puisse tomber dans l’hérésie. Ainsi, pour tâcher de prouver ses dires, l’abbé Boulet (F$$PX) dans une de ses études en 2004 se base essentiellement sur des propos qu’aurait tenus le Pape Adrien VI († 1523). Le site LaQuestion vient récemment d’y faire référence afin de réfuter la position « sédévacantiste ». Voici cette fameuse citation :
« Si dans l’Église Romaine, on considère la tête ou le pontife, il est hors de question qu’un Pape peut errer dans les domaines touchant à la foi. Il le fait quand il enseigne une hérésie par son jugement propre ou par ses décrets. En vérité, beaucoup de Pontifes Romains ont été hérétiques. Le dernier en date était le Pape Jean XXII (†1334). »
Nous pouvons constater que l’abbé Boulet – tout comme le site LaQuestion – n’indique aucune source. Faut-il s’en étonner ? Non, car d’après les recherches de l’abbé Zins, cette citation provient d’un ouvrage mis l’index par l’Église. La source exacte de cette citation du pape Adrien VI est celle-ci : Quaest. in IV Sent. ; cité in Viollet, L’infaillibilité pontificale et le Syllabus :
Par ailleurs, l’abbé Belmont réagit à l’époque en écrivant un article dans son bulletin Notre-Dame de la Sainte Espérance, (n° 219) :
« En vérité, c’est chez les ennemis de l’Église qu’on trouve citée cette (prétendue) déclaration d’Adrien VI. Ainsi dans la justification des évêques schismatiques d’Utrecht :
« Déclaration des évêques de Hollande adressée à toute l’Église catholique et acte d’appel des bulles d’excommunication lancées contre eux par Léon XII les 25 août 1825 et 13 janvier 1826 ». En vérité, ces révoltés ne mettent pas dans la bouche d’Adrien VI le nom de Jean XXII, que l’auteur canadien place [sans vergogne] à l’intérieur de ses guillemets.
On trouve encore le texte latin de cette « citation » dans une histoire protestante des dogmes chrétiens (celle d’Eugène Haag) et ce texte latin porte : plures enim fuerunt pontifices romani hæritici, ce qui en vérité veut dire plusieurs, et non pas beaucoup.
En vérité, on retrouve cette citation chez les gallicans de tout poil, trop contents de l’aubaine.
En vérité, aucun de ceux qui citent ce texte ne fait référence à un acte pontifical. Il semble plutôt qu’ils l’attribuent à un livre publié par Adrien VI (Adriaan Florensz) De ministro Confirmationis (sent. iv, art. 3) que d’ailleurs ils citent de seconde main (au mieux) à travers l’historien Jean de Launoi, qui fut le maître ès gallicanismes de Bossuet au collège de Navarre, et un précurseur des encyclopédistes.
Pour ma part, je n’ai rien trouvé de semblable ni d’approchant dans mon Grand Bullaire Romain. »
Mais ce n’est pas tout. L’abbé Boulet et le site LaQuestion tentent de nous faire croire que « le Bienheureux (sic!) Pape Pie IX (†1878) a reconnu le danger qu’un pape soit hérétique et « enseigne (…) contrairement à la foi Catholique », et il a ordonné: « ne le suivez pas ». Il dit encore : « si, dans le futur, un pape enseigne quoi que ce soit contre la foi Catholique, ne le suivez pas. » (Lettre à Mgr. Brizen). »
Étonnante déclaration du Pape qui a promulgué le dogme de l’infaillibilité pontificale ! Il s’agirait d’une lettre que le pape Pie IX aurait adressée à un certain Mgr Brizen. Là encore, aucune référence donnée. Rien d’étonnant puisque, après de longues recherches, nous ne trouvons aucune trace d’un Mgr Brizen au XIX° siècle ! En revanche, sous le pontificat de Pie IX, un diocèse portait comme nom « Brixen », diocèse ayant eu deux évêques : Mgr Bernhard Galura (év. de 1829 à 1856) et Mgr Vinzenz Gasser (év. de 1856 à 1879).
M. l’abbé Belmont :
« En vérité, le Canadien, qui prend ce texte à son compte, ne cite pas un seul fait : ce serait dangereux, ses lecteurs pourraient aller vérifier ; on est prié de le croire sur parole. Voilà quelqu’un qui insulte l’Église, et il voudrait qu’on le croie sur sa seule parole. C’est une sorte de cléricalisme à rebours.
Non seulement ce serait dangereux de citer un nom, mais il faudrait aussi en être capable. Les théories des ennemis de l’Église à propos des Papes Vigile, Honorius ou saint Libère ont été réfutées par les meilleurs historiens catholiques, en particulier par Dom Guéranger (La Monarchie pontificale ou encore Défense de la sainte Église romaine). Quant à Jean XXII (le Pape qui a canonisé saint Thomas d’Aquin), il s’agit d’un fameux sermon qui mit la chrétienté en feu, mais qu’on ne peut déclarer hérétique, sinon par anachronisme.
L’auteur canadien appartient à ces gens pour lesquels la théologie consiste à tenter de prendre leur Mère en défaut, je veux dire à chercher (et à prétendre trouver) des exemples historiques dans lesquels l’Église se serait trompée, afin d’y découvrir un prétexte à faire ce que bon leur semble – c’est-à-dire n’importe quoi. Ce n’est pas de la théologie, c’est de l’impiété.
Tout cela est malhonnête et d’une nullité affligeante.
Voici un exemple de cette nullité : le « Mgr Brizen », appelé au secours comme destinataire d’une lettre de Pie IX, n’existe pas. Il s’agit de Mgr Vincenz Gasser (1809-1856-1879) prince-évêque de Brixen ou Bressanone (Tyrol du sud, aujourd’hui en Italie). Et la lettre que Pie IX est censé lui avoir adressée est inconnue au bataillon : serait-elle, elle aussi, le fruit d’un cauchemar qui a impressionné un esprit faible ? »
Notre-Dame de la Sainte Espérance, (n° 219)
Affligeant ! Aller chercher des prétendues déclarations chez les ennemis de l’Église ou en inventer pour crédibiliser des thèses fausses, voilà où mène le combat de ceux qui rejettent coûte que coûte la position catholique dite sédévacantiste !
« Un Pape peut enseigner des hérésies » nous dit-on. Non ! Aucune déclaration sérieuse de Papes ou de docteurs de l’Église ne peut être trouvée en faveur de cette affirmation car le Pape « est toujours pur de toute erreur doctrinal […] sa foi est à jamais indéfectible » (Constitution dogmatique Pastor Aeternus – Concile Vatican [le 1 est superflu !!!]).
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À suivre… avec un article intitulé « contre-poison » afin de pouvoir répondre aux criminelles et sacrilèges allégations des prêtres traditionalistes (et anti-ralliéristes !) de la Fraternité.