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La F$$PX publie une énième Réfutation du sédévacantisme
La F$$PX est en voie (accélérée) de ralliement… outre les rumeurs circulant sur l’Internet, les derniers évènements, comme : la publication du factum du R.P. Pierre-Marie des BonsHommes d’Avrillé, alias “Dominicus” que nous vous avons présenté le 22 décembre, et la publication (retardée !) d’une énième Réfutation du sédévacantisme par la F$$PX — préfacée par son Excellence Bernie Fellay le destructeur, comme pour apporter les gages nécessaires — que nous vous présentons aujourd’hui… viennent conforter que “Tout se passe selon le Plan…” et que (comme nous vous le signalions le 18 novembre) † Bernie Fellay envisage actuellement la signature finale suite à la proposition d’accord que Rome a envoyé à Menzingen récemment !
Il est minuit moins le quart Mgr Fellay…
Cave Ne Cadas
Comment des aveugles essayent d’y voir clair
(suite)
Tandis que les néo-tradis John Salza et Robert Siscoe se débattaient avec le « processus d’édition » de leur nouvel ouvrage contre le sédévacantisme, dont la publication (prévue mi-décembre) se heurtait à des « retards imprévus » [qu’ils attribuent au Diable !], nous vous présentons ci-dessous les divers arguments qu’ils présentent dans leur livre de 700 pages.
Tout d’abord, voici la présentation qu’ils en font sur leur site de promotion et de vente :
Vrai ou Faux Pape ?
Réfutation du sédévacantisme
et d’autres erreurs modernes
par John Salza et Robert Siscoe
Avant-propos de Son Excellence Bernard Fellay
qui écrit :
« Une réfutation complète et définitive, fermement enraciné dans l’ecclésiologie, depuis longtemps nécessaire.
Nous prions donc que Vrai ou faux pape ? trouve sa place chez de nombreux catholiques de bonne volonté.
Le livre de Messieurs Salza et Siscoe va sûrement fournir beaucoup de précision au lecteur. »
« True or False Pope ? » (vrai ou faux Pape ?) est la réfutation du sédévacantisme la plus documentée, détaillée et systématique qui soit. Dans cet ouvrage de sept cents pages, John Salza et Robert Siscoe présentent des déclarations émanant de Papes, de conciles œcuméniques et de Docteurs de l’Église que vous ne trouverez jamais sur un site sédévacantiste. Au moyen de citations directes des principaux apologistes actuels du sédévacantisme, Salza et Siscoe révèlent comment les tenants de cette théorie ont déformé les enseignements de leurs Papes et théologiens favoris, en particulier saint Robert Bellarmin, et aussi comment ils vont jusqu’à se contredire entre eux. L’ouvrage révèle également les nombreuses tactiques calamiteuses auxquelles recourent les sédévacantistes afin de « prouver » la justesse de leurs vues, c’est-à-dire de défendre l’indéfendable.
Les auteurs commencent par démontrer que le sédévacantisme aboutit logiquement à une négation hérétique des attributs (visibilité, indéfectibilité et infaillibilité) de l’Église, ainsi que des marques de cette dernière, notamment l’apostolicité. Après avoir évoqué les liens qui unissent l’homme à la véritable Église, ils exposent la distinction entre l’hérésie et les erreurs moindres, et ils expliquent que le péché d’hérésie ne suffit pas à couper quelqu’un de l’Église. Ils analysent ensuite d’une manière très détaillée ce que fait l’Église dans l’éventualité d’un Pape hérétique, en se fondant sur les enseignements de tous les théologiens classiques ayant traité de la question. Puis, après une explication très importante de la portée de l’infaillibilité (papale, conciliaire, disciplinaire, nouvelle Messe, canonisations), ils réfutent les arguments des sédévacantistes contre les nouveaux rites de consécration épiscopale et d’ordination des prêtres. Enfin, ils concluent en affirmant la position des Catholiques traditionnels, qui consiste à reconnaître tout en résistant, et ils exposent par le menu les fruits amers du sédévacantisme.
Cet ouvrage pionnier démontre que la thèse sédévacantiste constitue une réaction excessive à la crise dans l’Église, qui s’apparente à la « religion réflexive » du protestantisme. Cela explique pourquoi les sédévacantistes sont divisés en nombreuses factions et sectes opposées les unes aux autres et se condamnant mutuellement, certaines d’entre elles ayant même élu leurs propres « Papes ». Le livre souligne aussi que l’Église subit actuellement une Passion mystique analogue à celle de Notre Seigneur Jésus-Christ. Comme ceux qui avaient perdu leur foi dans le Christ pendant la Passion, les sédévacantistes ont perdu leur foi en l’Église, Son Corps Mystique. Et ce faisant, ils ont pris rang parmi les plus grands persécuteurs de l’Église. Quelle que soit la perspective qu’on adopte sur la crise de l’Église, quiconque lira ce livre en conclura avec la plus grande certitude que loin de constituer une solution à cette crise, le sédévacantisme — l’une des grandes erreurs modernes de notre temps — ne saurait être adopté ou défendu de bonne foi par aucun Catholique véritable.
Rappels :
- Promotion de « True or False Pope ? » par The Remnant
- Interview de Salza et Siscoe par CFN au sujet de leur livre (lien en anglais)
- « Sedevacantism, Fatima & Masonry » (John Salza), TCK Radio ; (lien vidéo en anglais)
Source : http://www.trueorfalsepope.com/
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Le n°36 de La Voix des Francs Catholiques est paru
Le n°36 de « La Voix des Francs Catholiques » est paru
revue trimestrielle des éditions Saint-Remi
Histoire – Politique – Religion – Sciences – Littérature
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Défense des historiens catholiques du XIXe siècle face à la critique moderne
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ÉDITORIAL
Mgr Williamson a procédé au sacre de l’abbé Faure en Argentine le 19 mars dernier. Le 23 mars il l’a annoncé par eMail et a présenté les justifications de ce sacre. Il a envoyé le même jour un message destiné aux sédévacantistes, pour tenter de les réfuter, intitulé Arguments émotionnels.
Mgr Williamson y prétend que les sédévacantistes agissent par manque de réflexion, plus avec leur cœur qu’avec leur intelligence ! Il ne faut pas manquer de toupet pour affirmer pareille chose.
Lorsque l’on se penche une minute sur toutes les études théologiques qui ont été écrites par tous les tenants du sédévacantisme, tout esprit honnête y reconnaîtra plus le travail de l’intelligence éclairé par la Foi que celui du cœur, qui ici n’a pas sa place.
Dans son mot Mgr Williamson essaie de réfuter deux arguments des sédévacantistes. Examinons son argumentation et faisons en ressortir les conséquences doctrinales, à la lumière des enseignements du Magistère infaillible de l’Église.
Soulignons tout de suite, qu’une fois de plus, aucune référence du Magistère n’est donnée par Mgr Williamson, tout est dans son imagination personnelle.
Nouvelle Réfutation des « coquins d’Avrillé »…
Encore eux ! toujours eux !
« Sel de la terre » n° 91 – Hiver 2014-2015
p. 174-175 (article non signé)
Fin de citation de l’article du Sel de la terre
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Réponse d’un simple laïc à l’article mensonger et calomniateur des dominicains (?) d’Avrillé, car : « Mon Dieu, je crois fermement toutes les vérités que vous avez révélées, et que vous nous enseignez par votre Église, parce qu’étant la Vérité même vous ne pouvez ni vous tromper, ni nous tromper. » (Acte de Foi)
Certains se scandaliseront des propos tenus contre des religieux d’un ordre si prestigieux et si saint …dans le passé. La vraie question à se poser est : par qui le scandale arrive ? Et donc malheur à qui ?
MONSEIGNEUR WILLIAMSON VOIT CE QUE NUL N’A JAMAIS VU
Mgr Williamson, dans son “Eleison Comments” Numéro CCCLXXIV – 374 (Français) sur les « Papes Faillibles » professe de nouvelles hérésies :
Monseigneur Williamson Voit ce que Nul n’a Jamais Vu
Par Osko de Radio Cristiandad
QUE NUL N’A JAMAIS VU" width="400" height="383" />
Ne se satisfaisant plus d’émettre ses railleries habituelles, Mgr Williamson a décidé de publier un point de vue carabiné dans son ELEISON 374, et il nous semble déraper complètement désormais. Il y expose sa THÈSE d’une manière plus précise que d’ordinaire, car son intention – inhabituelle pour lui – paraît être de défendre avec une véhémence accrue, non seulement la thèse Anti-Sédévacantiste, mais aussi la légitimité de la position soutenue par ceux qui croient toujours que l’église Conciliaire et officielle EST l’Église catholique.
En cela, il s’apparente à la « ligne médiane », qui est de plus en plus erratique, à la néo-FSSPX, qui se rapproche sans cesse de Rome (autre parallèle pour la collection de l’abbé Ceriani) et des conciliaires, qui sont de plus en plus apostats, bien qu’ils aient évidemment l’illusion d’être catholiques, de penser en catholiques et d’agir en catholiques, car il croient que la Doctrine catholique EST la doctrine du conciliabule Vatican II, que l’on peut être moderniste tout en restant catholique et que l’œcuménisme conciliaire est catholique. C’est pourquoi ils trouvent génial d’assister aux cultes protestants, de semer des oliviers de la paix ici ou là en compagnie des Juifs et des musulmans, ainsi que d’organiser des « rencontres interreligieuses » à Assise, des « matches de football interreligieux », des « journées de réflexion interreligieuses », des « messes interreligieuses », etc. etc. Tout cela, nous le savons, et nous en sommes écœurés.
Ah, j’oubliais : en plus, ils croient que les « messes » conciliaires du Novus Ordo sont catholiques… N’est-ce pas, Mgr Williamson ? À moins que vous ne vous hasardiez à affirmer sans équivoque qu’Elles ne le sont pas ?
Autrement dit, ils croient TOUS que Bergoglio est pape, alors que nous autres croyons que non, point final. Là est toute la différence entre eux et nous.
Ils croient qu’un pape peut être un zozo apostat, alors que nous autres croyons que non.
Ils croient que l’église Conciliaire est l’Église catholique de toujours, alors que nous autres croyons que non.
C’est pourquoi le présent article relatif au numéro 374 d’ELEISON a pour objet de réfuter les dires de Mgr Williamson en insistant sur ce que nous y percevons comme étant des incohérences ou des contradictions ; il vise même à aller au-delà en démontrant que le système préconisé présente un danger pour ceux qui l’adoptent.
Nous traiterons de ce dernier point en dernier, dans une sorte d’annexe.
Et si certains de nos lecteurs trouvent notre ton quelque peu agressif, il nous faudra leur répondre qu’ils ont raison, mais que s’il ne l’est pas davantage, c’est parce que nous avons eu la prudente idée de lire ce numéro d’ELEISON muni d’un grand verre de bon whisky, confortablement installé dans notre fauteuil, avec en musique de fond la belle « Suite bergamasque » de Claude Debussy (1), qui a la particularité de nous apaiser, tout comme le whisky (bénis soient donc l’une et l’autre).
La Salette : vérités et mensonges, conséquences contemporaines
Notre-Dame de La Salette est le nom sous lequel les fidèles catholiques désignent la Vierge Marie en tant qu’apparue à deux enfants le 19 septembre 1846 en haut du village de La Salette-Fallavaux, près de Corps (Isère).
Pour le 168ème anniversaire de « L’apparition de Notre Dame sur la sainte montagne de La Salette » nous vous proposons la conférence qu’a donné sur le sujet un de nos Amis du Christ Roi de France lors de la Session Antilibérale de cet été 2014 :
La Salette : vérités et mensonges, conséquences contemporaines
Les cieux parlent suffisamment pour que les croyants comprennent
et insuffisamment pour que les incroyants ne comprennent pas. Pascal
Dans cet exposé, nous commencerons par faire un historique de l’apparition, en mettant l’accent sur l’histoire extraordinaire de Mélanie Calvat, la voyante de La Salette, et sur la réaction des ecclésias-tiques par rapport au Secret confié à Mélanie. Puis dans une deuxième partie, nous étudierons les enseignements que la Sainte Vierge a voulu nous donner lors de cette apparition.
Morceaux choisis :
Que s’est-il passé depuis Vatican d’Eux ?
Disputatio avec le RP Laurent (Capucin de Morgon)
… où l’incompétence doctrinale !
Un de nos amis et fidèle lecteur du CatholicaPedia Bog habitant à proximité des capucins de Morgon a été amené à les fréquenter de manière assidue (ce sont eux qui l’ont baptisé) avant de préférer faire un plus gros sacrifice et d’aller à l’IMBC à Lyon…
Ayant débattu avec Le père gardien (qui fut son directeur spirituel) du sédévacantisme et de la question de l’infaillibilité pontificale, il put constater que ce “directeur spirituel” n’y connaissait rien du tout, en ayant eu droit à des réponses du genre :
— La très mythique « si votre père vous demande de vous tuer, vous ne le faites pas mais il reste toujours votre père »
— « donc le pape est hérétique ? » (lui) — « Non, on ne dit pas que le pape est hérétique mais qu’il dit des hérésies » (le Père Antoine)
Voyant sa consternation, et la difficulté à avancer quoi que ce soit de tangible, le Père Antoine l’a donc orienté vers le Père Laurent (maître des étudiants) et il a donc débattu avec ce dernier… qui avait étudié la question pour l’occasion et le moins qu’on puisse dire c’est que ça se sentait que c’était tout frais.
Après le premier rendez vous, notre ami a donc préparé une réfutation de tous ses arguments (par écrit et que vous pourrez lire plus bas…) en vue de leur rendez vous suivant et le Père Laurent à abdiqué à tous les arguments ! Toutefois il a continué de s’accrocher en disant que l’invalidité des nouveaux sacrements que notre ami avançais était encore à prouver (notre ami “fidèle semper idem” lui ayant précisé que des travaux avait été fait mais le Père Laurent ne semblait pas convaincu…) et que le problème du sédévacantisme c’est qu’il n’y a pas de solution (…pour eux !!! enfermement dans un point de vue purement humain), une voie de garage comme ils se plaisent à dire.
Notre correspondant et ami, souligne que le gros problème des capucins de Morgon est qu’ils ont clairement de graves lacunes en matière de doctrine, et aussi que lorsqu’ils étudient ils ne prennent leurs informations que dans les livres et revue de la Fraternité (pour les livres… il ne se souviens plus des titres, la revue étant bien sûr « Le Sel de la Ierre »).
Donc à son humble avis, ils sont plus ignorants que malhonnêtes mais pour ça c’est au bon Dieu de juger.
Il espère donc que ces informations pourront aider quelques uns à se faire une opinion plus claire.
En digne fils du Père Eugène de Villeurbanne qui pourra sauver l’ordre des capucins du modernisme ?
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