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La Maison Battue par les Vents, le roman du Vatican aux ESR
Nouvelle parution inédite aux Éditions Saint-Remi
« L’un des ouvrages les plus puissants de la décennie »
(Florida Times – Union)
La Maison Battue par les Vents, le roman du Vatican,
par Malachi Martin
traduit de l’anglais par François Thouvenin
Belle impression offset, papier 70 gr., 792 pages, format 16×24,
couverture pelliculée : 25 €
Lire un extrait : La Maison Battue Par Les Vents
Les éditions Saint-Remi viennent de faire paraître la version française du célèbre roman de Malachi Martin, « Windswept House, a Vatican Novel », (« La Maison Battue par les Vents, Le Roman du Vatican »), qui était paru aux USA en 1996. Ce livre a connu un grand succès dans sa version anglaise, plusieurs centaines de milliers d’exemplaires vendus.
La traduction professionnelle de grande qualité a été réalisée par François Thouvenin. Il est également le traducteur d’autres ouvrages que nous avons publiés : Brouillard Rouge sur l’Amérique de W. Carr, Du Sang Sur l’Autel, Histoire secrète de la société occulte la plus dangereuse du monde de Craig Heimbichner, Impérialisme, Judaïsme et Communisme, ces trois forces qui dominent le monde de Istvàn BAKONY.
En Interview sur Radio Courtoisie :
mercredi 18 novembre à 10h45,
François Thouvenin, le traducteur et Bruno Saglio, directeur des Éditions Saint-Remi, étaient reçus par Benoît Mancheron dans son émission Au fil des pages, sur cet ouvrage de Malachi Martin, un roman à clefs, témoignage important sur les manœuvres
de destruction de la fonction pontificale au Vatican :
« Pourtant, personne en 1962 ne pouvait prévoir avec précision dans quelle mesure Rome, ses évêques et ses Papes allaient faire ami-ami avec ce que beaucoup de gens devaient appeler plus tard des loups en habits ecclésiastiques poursuivant un but mortel pour la doctrine et la moralité catholiques romaines. » p. 217
Écoutez l’émission « Au fil des pages » du 18/11/2015 :
Ce livre nous semble toujours d’actualité, — poursuit l’éditeur —, car il met en scène des personnages sombres qui tentent une prise en main complète du Vatican au service d’un futur Gouvernement Mondial. Il était même prémonitoire, car ces agents du complot cherchent à se débarrasser du « pape slave », jugé insuffisamment docile à leur plan, et le scénario retenu est la démission forcée. Scénario qui se réalisera plus tard en réalité avec Benoît XVI. Ce fait apporte sérieux et crédibilité aux informations données par Malachi Martin, qui a vu de près ce qui ce passait au Vatican. Ce roman semble donc avoir été un prétexte pour décrire une sombre réalité, et avertir ses contemporains.
Nous avons ajouté une annexe, page 37, qui identifie chacun des noms des personnages du roman avec les personnages réels.
La Guerre froide est terminée. Avec des capacités et une audace impossibles à envisager jusqu’à présent, une improbable coalition internationale d’intérêts politiques, financiers et religieux supérieurs voit enfin dégagé devant elle l’itinéraire devant aboutir à son objectif ultime : l’établissement d’une société mondiale unique, l’Utopie.
Avec pour seuls points communs un immense pouvoir et l’ambition démesurée d’en acquérir davantage encore, avec pour slogan l’unité et la prospérité mondiales, avec la trahison, le scandale et l’assassinat comme armes toutes prêtes à servir, ces hommes ont à la fois les moyens et la volonté de s’approprier le mécanisme mondial convenant parfaitement à la réalisation de leurs plans : la plus ancienne, la plus habile et la plus stable chancellerie politique du monde, le Vatican.
Au vortex de cette lutte à mort et aux côtés d’un Pape rompu aux conflits se tiennent deux frères américains, Paul et Christian Gladstone – l’un avocat, l’autre prêtre – qui font figure de pions parfaits. Le premier succombe aux crocs acérés de la cupidité, le second deviendra l’un des très proches alliés du Pape et finira par découvrir les plus noirs secrets de la Rome pontificale.
De l’Amérique à la Russie en passant par l’Europe, parmi de vastes paysages comme dans des couloirs clandestins, une distribution riche et variée – présidents et hommes politiques, saints et pécheurs, faiseurs de papes et aspirants à la papauté – s’entrechoque sur fond d’événements dramatiques et parfois sanglants, tandis que le sort du monde est en jeu.
Étroitement associé à Jean XXIII et au Cardinal Augustin Bea, l’ancien jésuite d’origine irlandaise MALACHI MARTIN (1921-1999) est l’auteur de best-sellers nationaux tels que Les Jésuites, The Final Conclave et Hostage to the Devil.
Né dans le Comté de Kerry, en Irlande, il étudia à l’Université catholique de Louvain, en Belgique. Il y reçut des doctorats en langue sémitique, en archéologie et histoire orientale. Il étudia ensuite à Oxford et à l’université hébraïque de Jérusalem.
Ordonné prêtre le 15 août 1954, il est professeur à l’institut biblique de Rome de 1958 à 1964, et accomplit certaines missions délicates pour le cardinal Augustin Bea (dont il était le secrétaire privé), et pour les antipapes Jean XXIII et Paul VI. Relevé en 1964 par Montini-Paul VI de ses vœux de pauvreté et d’obéissance à sa propre demande, il reste cependant prêtre. Déménageant à New York il devient un auteur international connu de romans. Ses essais défendent en général les théories du traditionalisme et intégrisme catholique. De tendance traditionaliste, il est déçu des orientations données à l’Église Catholique par le conciliabule Vatican II (d’Eux). Il mentionne fréquemment Monseigneur Lefebvre dont il est sympathisant, sans faire partie de son association.
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La destruction du sacerdoce : le but de Vatican d’Eux…
La destruction du sacerdoce, but de Vatican d’Eux
Cet objectif est atteint et doit être sans cesse rappelé.
Les travaux de Rore Sanctifica sont irréfutables et irréfutés.
Le but de l’Adversaire est atteint. C’était primordial et pourtant silence partout !
Pire, on fait tout dévier sur des leurres, comme la survivance de Paul VI ou le matérialiter—formaliter.
Revenons à la seule réalité depuis 50 ans : la destruction irréversible du sacerdoce.
Le concile de Trente nous avait rappelé que seul NSJC avait créé les sacrements et enseigné les Apôtres entre la Résurrection et l’Ascension sur la matière et la forme des sacrements.
Tous ces rituels nous assuraient de la validité et des effets efficaces. Il n’y avait aucune raison de les changer.
Alors pourquoi les changer ? Il n’y a qu’une seule raison : pour les remplacer par des rituels invalides et sans effet.
Pour comprendre le combat gigantesque qui s’est livré pour détruire l’ancien rituel du sacre des évêques en le remplaçant par un nouveau rituel ontologiquement invalide, voici une chronologie des faits survenus depuis plus de 150 ans. Cet énorme travail, arrêté en 2007, permet de comprendre les multiples interventions internationales pour parvenir à détruire et substituer.
Une telle chronologie mérite une sérieuse méditation pour saisir toute la lutte entre les vrais Vicaires de NSJC, et les membres du camp de l’Adversaire, le tout sous le regard de la TSVM, mère de l’Église et du clergé, particulièrement de l’épiscopat, de ces évêques, successeurs des Apôtres, eux dont elle a dirigé les consciences après l’Ascension. Elle connaît trop bien leurs faiblesses, leur courage, leur amour de Dieu. Elle est particulièrement leur Mère !
Joignons-nous au camp de la Vérité et soyons, là où nous sommes, des apôtres de ce camp de la Vérité :
Les « évêques » conciliaires se croient évêques, nous font croire qu’ils sont évêques, mais ils ne sont qu’évêques de la secte conciliaire et en aucun cas évêques catholiques. Leurs sacres sont invalides, leurs ordinations invalides, leurs prêtres sans pouvoir ni de consacrer, ni d’absoudre.
CHRONOLOGIE
Il convient d’abord de MÉDITER soigneusement cette chronologie
(et de la Compléter Intelligemment)
Ensuite, Il faut Absolument Diffuser le plus Largement cette chronologie
Il LEUR fallait que la France mourût
Un livre à lire, même en 2015 ; il y aurait quelques commentaires à faire, mais le lecteur est assez intelligent pour comprendre.
L’auteur écrit en POSTSCRIPTUM :
Ce livre est un livre d’assemblage dont les pièces maîtresses sont les grands événements historiques vécus par nous-mêmes. C’est sa force.
Mais il peut se trouver des lecteurs qui, plus exigeants, voudraient qu’à cette puissance soit régulièrement ajoutée la preuve par le document sensationnel.
À ceux-ci, il convient de rappeler qu’en matière de société secrète et à l’exception, avons-nous dit, des documents saisis par surprise dans les loges au cours des perquisitions de 1940, et de quelques autres, auxquels des circonstances exceptionnelles ont attaché une présomption particulière d’authenticité, tout document de société secrète peut toujours être contesté, parce qu’il peut toujours être vrai ou faux, et, s’il est vrai, il peut encore avoir été volontairement créé et égaré par les loges pour dérouter l’OPINION.
Il ne faut jamais l’oublier, la société secrète, c’est le mensonge sous toutes ses formes ; et elle ne serait pas secrète si ce n’était pour mentir. Cela va de soi.
Aussi n’est-il jamais arrivé, peut-on dire, que la publication d’un document maçonnique sensationnel n’ait aussitôt provoqué l’explosion d’un vacarme de dénégations, qui finissaient bien souvent par jeter le doute sur sa valeur et réduisait à peu de chose, sinon à rien, l’œuvre du commentateur.
Que faire, donc ?
Renoncer, déclarer forfait, et laisser le champ libre aux assassins de la France et de la civilisation chrétienne, c’eût été une solution, et la plus simple assurément.
C’est la solution des « attentistes ».
Nous en avons choisi une autre, parce que, pour prouver ce que nous savons être la vérité, il restait le procédé dit de recherche scientifique, le procédé qui, partant des données acquises, tourne et retourne la matière, et, par l’observation, la déduction et la confrontation, pose et repose inlassablement les questions :
« Il n’y a pas d’effet sans cause, et rien ne se fait tout seul. Quelle est la cause ? »
Puis, la cause entrevue :
« Est-ce logique ? Y a-t-il confirmation ou contradiction ? Le Tout est-il Cohérent ? »
Supprimez ce procédé, et il n’est plus ni science, ni tribunal qui subsistent.
C’est pourquoi, prenant notre point d’appui sur des bases solidement établies, notamment :
a) La franc-maçonnerie, invention et création uniquement anglaise ;
b) Le despotisme, maçonnique, régnant sur les francs-maçons aussi bien que sur la France, au cours de DEUX siècles de notre Histoire, et ce despotisme agissant invariablement pour l’Angleterre contre la France ;
c) La Révolution russe, préparée, menée et réussie par les juifs, payés de surcroît par l’or juif du milliardaire américain Jacob Schiff, et quelques autres ; et le juif devenu par elle, le féodal, et le féodal exclusif de la Russie ;
d) Le juif, pareillement roi et féodal des révolutions communistes hongroises et espagnoles ;
e) Les incohérences effarantes, mais en apparence seulement, de la Diplomatie anglaise, souveraine maîtresse de l’Europe de 1918 à 1939,
Notamment :
Au traité de Versailles : L’Autriche dépecée et l’Allemagne unifiée et renforcée mais affamée ;
Par la suite : La Victoire saccagée, en même temps que le réarmement allemand voulu et protégé par l’Angleterre,
nous avons démontré l’obligation, pour atteindre les Buts harmonisés de L’État Juif, de l’Angleterre et de l’Amérique, de passer préalablement par la mort de la France.
Après avoir dégagé au passage la concordance de ce programme avec les enseignements du Talmud, nous avons consacré DEUX chapitres à vérifier sa concordance avec tous les grands événements nationaux français et internationaux européens intervenus depuis la guerre de 1914-1918, événements que nul ne peut nier, puisqu’il les a vécus, mais auxquels, en dehors des BUTS précités de L’État Juif, de l’Angleterre et de l’Amérique, nul ne peut trouver non plus, ni une signification valable, ni un enchaînement, ni encore moins, une liaison qui fasse du tout, un TOUT, UN et COHÉRENT.
Libre à chacun, d’ailleurs, de se livrer à la contre‑épreuve et de démontrer, par exemple :
1° Que ce fut uniquement par hasard ou pour toute autre raison – à dire et justifier – qu’à l’encontre de l’attente unanime du monde entier, qui tenait pour acquis l’amoindrissement de l’Allemagne et le renforcement de l’Autriche, l’Angleterre, souveraine maîtresse du Traité de Versailles, dépeçait l’Autriche et renforçait l’Allemagne unifiée, en attendant de favoriser ensuite son réarmement par tous moyens en son pouvoir, mais tout cela en ayant bien soin de l’affamer.
Libre à chacun de prouver que, ce faisant, l’Angleterre ne voulait que la paix et la grandeur de la France.
2° Que ce fut encore pour que la France jouît en paix de sa victoire et restât une Nation forte qu’elle nous fit saccager cette victoire et pulvériser toutes les garanties – cependant bien faibles – que nous y trouvions pour que « cela ne recommençât pas », cependant que, par sa franc‑maçonnerie, elle ameutait L’OPINION contre le seul homme d’État français qui osât vouloir et tenta une entente définitive de la France avec l’Allemagne et l’Italie. À ce point que, parlant du président LAVAL, le chef de la propagande anglaise en France put dire après le triomphe du Front Populaire, en 1936 : « Il nous a coûté cher, mais nous l’avons eu. »
3° Que l’or juif ne fut pour rien dans la Révolution russe.
4° Que les juifs n’ont aucun pouvoir en Russie.
5° Qu’ils ne furent pour rien dans les Révolutions communistes hongroises et espagnoles.
6° Que les colossales usines russes, dont le monde vient d’apprendre l’existence au loin, en Sibérie, qui, en dix-huit mois, ont pu jeter 18.000 tanks dans la bataille, sortirent de terre par hasard, ou sans aucune autre intention que de prémunir la Russie contre une attaque de l’Esthonie ou de la Finlande.
7° Que c’était enfin pour plaisanter que le juif Salomor Ash écrivait dans les Nouvelles littéraires du 10 février 1940 : « Cette guerre est la nôtre, et vous la faites pour nous ».
À tous ces faits, à tant d’autres, il faut trouver des raisons solides et valables. Mais ce résultat atteint, il n’y aura encore rien de fait si ces explications ne font pas un TOUT. Le TOUT, qui est UN et COHÉRENT. Le TOUT qui donne réponse à TOUTES les objections.
Voilà ce qu’il faudra encore échafauder, et le propos de cette étude deviendra alors un néant, auquel l’auteur s’engage à souscrire sur-le-champ.
Le Marquis de La Franquerie écrivait en note 37, page 48 de son célèbre « Lucifer & le pouvoir occulte » :
L’Angleterre a toujours été le principal ennemi héréditaire de la France et le roi d’Angleterre se permettait de s’intituler Roi d’Angleterre et de France. (…)
« La France devra toujours se méfier de l’Angleterre ! »
Quand le Sel de la Terre parle de la “Thèse”
Quand le Sel de la Terre parle de la “Thèse”……
Petit commentaire préliminaire : il convient de renvoyer dos à dos les tenants de la dite thèse et leurs doctes critiques envers celle-ci, en la personne des dominicains d’Avrillé.
Les mots et expressions mis en rouge, montrent à l’évidence que cette réfutation de la Thèse, ainsi que la Thèse elle-même, est :
— contraire au bon sens le plus élémentaire… ;
— contraire à la saine raison ;
— contraire au principe de non-contradiction ;
— participe de présupposés radicalement mensongers au regard de la doctrine catholique ;
— occulte complètement le caractère d’extinction de la Thèse émis par l’auteur même à l’origine de cette thèse… ;
— participe de la corruption doctrinale des notions d’autorité et d’intention ;
— évacue la finalité ultime du fait liturgique en tant que manifestation rituelle de la Vérité et donc de l’oblation pure…
RAPPEL : Le satanisme au Vatican
Le satanisme au Vatican
Le 21 juin 1963, Giovanni Battista Montini, devient “pape” sous le nom de Paul VI. Quatre années plus tard, en 1967, Yves Saint Laurent publie chez l’éditeur Claude Tchou « La Vilaine Lulu », un album de bandes dessinées qui énumère les pratiques criminelles des sectes sataniques. L’ouvrage du célèbre couturier français porte en introduction la mention : « toute ressemblance avec des personnes qui existent ou qui ont existé est parfaitement voulue. Toutes ces aventures ont été tirées de faits réels ». Or, « Lulu »([1]), l’incarnation du mal dessinée par Yves Saint Laurent, parvient au sommet de l’Église. C’est précisément ce que des prêtres catholiques dénoncent en ces termes : « L’intronisation de Lucifer, l’Archange déchu, s’est déroulée au sein de la Citadelle Catholique Romaine, le 29 juin 1963 », une semaine après le couronnement du “pape”.
Lecture et Tradition, juin 2014
Lecture et Tradition
Nouvelle série, n° 38, juin 2014
L’équipe de Lecture et Tradition, par deux de ses plus anciens collaborateurs, vient, lors de son dernier numéro consacré à la présentation de deux livres sur le Concile, de prendre des positions qui seront « l’objet de quelques désaccords ou de virulentes désapprobations ».
Nos positions sont connues. Elles sont autrement précises. Quand Jean-Baptiste Geffroy (JBG), repris par Jérôme Seguin (JS), parle de “bourbier conciliaire” cette image me paraît bien insuffisante. De plus, pour un catholique habitué à un vocabulaire très strict, elle ne veut rien dire. C’est ce qui nous différencie.
De même parler de « 50 années de délabrement » c’est minimiser une situation bien plus grave. On a vu se mettre en place une destruction systématique des “sacrements”, des catéchismes, des dogmes, des missions, des séminaires, des bibliothèques, etc., etc. en un mot : de tout. On voit le résultat 50 ans après : des séminaires vides, des églises vides, des dizaines de milliers de “prêtres” défroqués (1), une chrétienté dans un état déplorable, une haine de ʺla Foi de toujoursʺ. Dernier exemple, le diocèse de Poitiers supprime 604 paroisses pour n’en retenir que 28 sur les deux départements de la Vienne et des Deux-Sèvres. On a retenu le nom de saint Jean XXIII pour une de ces paroisses mais pas celui de saint Hilaire (2).
C’est beaucoup plus qu’un délabrement, c’est une démolition, une destruction, un massacre, un carnage, pour une mort voulue, obstinément voulue. C’est le fruit de démons menteurs, de démons tueurs, d’ennemis irréductibles qui ont apparemment réussi à faire disparaitre la Sainte Église de Dieu !