La Maison Battue par les Vents, le roman du Vatican aux ESR

 

Nouvelle parution inédite aux Éditions Saint-Remi

« L’un des ouvrages les plus puissants de la décennie »

(Florida Times – Union)

La Maison Battue par les Vents, le roman du Vatican.

La Maison Battue par les Vents, le roman du Vatican,
par Malachi Martin
traduit de l’anglais par François Thouvenin

Les éditions Saint-Remi

Belle impression offset, papier 70 gr., 792 pages, format 16×24,
couverture pelliculée : 25 €
Lire un extrait :
La Maison Battue Par Les Vents

Les éditions Saint-Remi viennent de faire paraître la version française du célèbre roman de Malachi Martin, « Windswept House, a Vatican Novel », (« La Maison Battue par les Vents, Le Roman du Vatican »), qui était paru aux USA en 1996. Ce livre a connu un grand succès dans sa version anglaise, plusieurs centaines de milliers d’exemplaires vendus.

La traduction professionnelle de grande qualité a été réalisée par François Thouvenin. Il est également le traducteur d’autres ouvrages que nous avons publiés : Brouillard Rouge sur l’Amérique de W. Carr, Du Sang Sur l’Autel, Histoire secrète de la société occulte la plus dangereuse du monde de Craig Heimbichner, Impérialisme, Judaïsme et Communisme, ces trois forces qui dominent le monde de Istvàn BAKONY.

 

 


 

En Interview sur Radio Courtoisie :
mercredi 18 novembre à 10h45,
François Thouvenin, le traducteur et Bruno Saglio, directeur des Éditions Saint-Remi, étaient reçus par Benoît Mancheron dans son émission Au fil des pages, sur cet ouvrage de Malachi Martin, un roman à clefs, témoignage important sur les manœuvres
de destruction de la fonction pontificale au Vatican :


« Pourtant, personne en 1962 ne pouvait prévoir avec précision dans quelle mesure Rome, ses évêques et ses Papes allaient faire ami-ami avec ce que beaucoup de gens devaient appeler plus tard des loups en habits ecclésiastiques poursuivant un but mortel pour la doctrine et la moralité catholiques romaines. » p. 217

Écoutez l’émission « Au fil des pages » du 18/11/2015 :

 
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Ndlr du CatholicaPedia Blog : Il est à noter que dans cet interview les intervenants Bruno Saglio et François Thouvenin parlent de “Papes” concernant les divers occupants du Siège Apostolique de Rome depuis la mort de Pie XII en sachant très bien qu’en fait ce sont des anti-Papes usurpateurs voulus et choisis par « Eux »… quant à Benoît Mancheron (saintpiediste), il « botte [carrément] en touche » concernant le problème capital de l’invalidité des « nouveaux sacrements » dénoncé par Rore Sanctifica et soulevé par Bruno Saglio…

 

 
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Ce livre nous semble toujours d’actualité, — poursuit l’éditeur —, car il met en scène des personnages sombres qui tentent une prise en main complète du Vatican au service d’un futur Gouvernement Mondial. Il était même prémonitoire, car ces agents du complot cherchent à se débarrasser du « pape slave », jugé insuffisamment docile à leur plan, et le scénario retenu est la démission forcée. Scénario qui se réalisera plus tard en réalité avec Benoît XVI. Ce fait apporte sérieux et crédibilité aux informations données par Malachi Martin, qui a vu de près ce qui ce passait au Vatican. Ce roman semble donc avoir été un prétexte pour décrire une sombre réalité, et avertir ses contemporains.

Nous avons ajouté une annexe, page 37, qui identifie chacun des noms des personnages du roman avec les personnages réels.

 

La Guerre froide est terminée. Avec des capacités et une audace impossibles à envisager jusqu’à présent, une improbable coalition internationale d’intérêts politiques, financiers et religieux supérieurs voit enfin dégagé devant elle l’itinéraire devant aboutir à son objectif ultime : l’établissement d’une société mondiale unique, l’Utopie.

Avec pour seuls points communs un immense pouvoir et l’ambition démesurée d’en acquérir davantage encore, avec pour slogan l’unité et la prospérité mondiales, avec la trahison, le scandale et l’assassinat comme armes toutes prêtes à servir, ces hommes ont à la fois les moyens et la volonté de s’approprier le mécanisme mondial convenant parfaitement à la réalisation de leurs plans : la plus ancienne, la plus habile et la plus stable chancellerie politique du monde, le Vatican.

Au vortex de cette lutte à mort et aux côtés d’un Pape rompu aux conflits se tiennent deux frères américains, Paul et Christian Gladstone – l’un avocat, l’autre prêtre – qui font figure de pions parfaits. Le premier succombe aux crocs acérés de la cupidité, le second deviendra l’un des très proches alliés du Pape et finira par découvrir les plus noirs secrets de la Rome pontificale.

De l’Amérique à la Russie en passant par l’Europe, parmi de vastes paysages comme dans des couloirs clandestins, une distribution riche et variée – présidents et hommes politiques, saints et pécheurs, faiseurs de papes et aspirants à la papauté – s’entrechoque sur fond d’événements dramatiques et parfois sanglants, tandis que le sort du monde est en jeu.

Étroitement associé à Jean XXIII et au Cardinal Augustin Bea, l’ancien jésuite d’origine irlandaise MALACHI MARTIN (1921-1999) est l’auteur de best-sellers nationaux tels que Les Jésuites, The Final Conclave et Hostage to the Devil.

Né dans le Comté de Kerry, en Irlande, il étudia à l’Université catholique de Louvain, en Belgique. Il y reçut des doctorats en langue sémitique, en archéologie et histoire orientale. Il étudia ensuite à Oxford et à l’université hébraïque de Jérusalem.

Ordonné prêtre le 15 août 1954, il est professeur à l’institut biblique de Rome de 1958 à 1964, et accomplit certaines missions délicates pour le cardinal Augustin Bea (dont il était le secrétaire privé), et pour les antipapes Jean XXIII et Paul VI. Relevé en 1964 par Montini-Paul VI de ses vœux de pauvreté et d’obéissance à sa propre demande, il reste cependant prêtre. Déménageant à New York il devient un auteur international connu de romans. Ses essais défendent en général les théories du traditionalisme et intégrisme catholique. De tendance traditionaliste, il est déçu des orientations données à l’Église Catholique par le conciliabule Vatican II (d’Eux). Il mentionne fréquemment Monseigneur Lefebvre dont il est sympathisant, sans faire partie de son association.

 


 

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55 commentaires

  1. Ludovicus dit

    Les « guillemets » sont choses ardues à la radio et n’oublions pas que nous sommes chez Monsieur de Lesquen. Cela permet cependant la promotion de l’ouvrage qui touchera un public un peu plus large que d’accoutumé.
     

  2. hagetmau dit

    Livre très important mis à part quelques petits défauts conciliaires de quelqu’un qui travailla avec le Cardinal Bea, un des traîtres responsables de « Nostra Ætate » et de la modification  de la position bi-millénaire de l’Église sur la question Juive.

    Dans cet ouvrage dont la traduction française est la bienvenue, figure un long chapitre sur l’effarante intronisation de Satan, au Vatican, dans la Chapelle Paoline, en plein Concile (1963), une semaine après l’élection de Montini, l’élu du Clan  Rampolla, le « Désiré des Collines Temporelles Maçonniques »

    Un autre ouvrage de Malachi Martin, tout aussi important est « Vatican, le Trésor de St Pierre », paru aux Éditions du Rocher, à la fin des années 80. On y apprend, notamment, que pour traiter avec le Monde, la Loge a exigé que tous les Secrétaires d’État du Vatican soient affiliés à la Maçonnerie. Ainsi en a-t-il été depuis Pie IX, sauf l’intermède de St Pie X…

    Il y a aurait beaucoup à dire sur d’autres titres de Malachi Martin — qui fut l’un des rares à lire l’authentique 3° Secret de Fatima, pas le misérable bricolage du 26 juin 2000 ! — : « The Final Conclave », « Hostage to the Devil » …

    En tout cas, l’ouvrage qui vient de sortir, mérite d’être lu pour les précieux renseignements qu’il livre sur la caverne de brigands, le nid de serpents qu’est devenue la Rome qui sera bientôt le Siège de l’Antéchrist !

    Hagetmau
     

  3. Ludovicus dit

    Ajoutons que le Mystère d’Iniquité aidant, ces « papes » le sont au moins à titre coloré et selon l’erreur commune, aucun prélat, évêque, cardinal, n’ayant protesté ou dénoncé solennellement.

    Ce qui est moins compréhensible, c’est que Malachi Martin ait défroqué, ait cessé d’être prêtre pour combattre, contrairement à un Don Luigi Villa.
     

    • Edouard-Marie dit

      « Ajoutons que le Mystère d’Iniquité aidant, ces « papes » le sont au moins à titre coloré et selon l’erreur commune, aucun prélat, évêque, cardinal, n’ayant protesté ou dénoncé solennellement. »
       
      >>> C’est du même tonneau, à un degrés moindre, que ce que dit la FSSPX ou Verrua : chercher à justifier une légitimité, même infime, à ces sombres hérétiques qui n’ont rien à voir avec l’Église Catholique.

      Ni formellement, ni matériellement, ni « à titre coloré ».

      Depuis quand l’erreur commune pourrait être invoquée pour leur concéder un titre sans valeur, alors même que l’opinion théologique certaine exprimée par les Catholiques Semper Idem démontre par 1000 fois que cette secte ne fait plus illusion puisqu’elle a « tout changé » et qu’elle n’est plus l’Église Catholique mais la secte Conciliaire.

       

      http://wordpress.catholicapedia.net/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_wacko.gif

      • Ludovicus dit

        Ils le sont à titre coloré et selon l’erreur commune pour la plupart et c’est à cela qu’il faut essayer d’ouvrir les yeux, ce qui est l’élémentaire charité fraternelle.

        Cela ne leur confère aucun titre, cela n’a rien avoir avec la FSPPX ou Verrua.

        Qu’est-ce qu’une OPINION théologique CERTAINE ?

        Que la secte occupante ne soit pas l’Église nous sommes parfaitement d’accord ; les semper idem, dont je fais partie depuis déjà un certain temps ne sont pas non plus l’Église.

        Voici une très intéressante approche, par un expert :

         
        https://youtu.be/uHxyII04iWM
         

        • Edouard-Marie dit

          Pourquoi, dans ce milieu, il est impossible de demeurer durablement dans la simplicité ?

          Cela est là aussi un mystère.

           

          Et pourquoi parler de titre coloré si ce n’est pas un titre.

          Et si ce n’est pas un titre, alors ce n’est rien du tout.

          C’est une baliverne qui contribue à encore embrouiller ceux qui cherchent.

           

           

          • Fert Fert Fert dit

            Parce que dans ce milieu il n’y à guère de gens humbles ! c’est pourquoi « l’armée de Gédéon » va être encore réduite…à une dimension domestique et familiale ! Car nous n’y sommes pas encore mon cher Édouard !
             

          • Ludovicus dit

            Dans ce milieu, nego je ne fais pas partie de ce milieu.

            Le terme à titre coloré est le terme technique en théologie morale, pour signifier un titre seulement apparent, donc cela n’a rien à voir avec le materialiter.

            Le problème est de discuter avec des interlocuteurs qui n’ont aucune formation philosophique et théologique sur des sujets éminemment complexe.

            Pour faire simple, vous, comme moi, n’avons aucune autorité dans l’Église.

            Pour faire simple 98 % des personnes, se disant catholiques, pensent que « François » est le pape. Le traiter de clown blanc, n’apporte pas grand chose, ne résout rien et ne fait rire personne.

            En son temps l’abbé de Nantes avait dit qu’un seul évêque aurait pu stopper la machine infernale du concile en s’y opposant ouvertement publiquement en quittant l’aula pour ne pas participer à ce brigandage, pour notre malheur, aucun ne l’a fait.
             

            • Cave Ne Cadas dit

              Pour moi… François Ø EST & restera toujours un « Clown Blanc » ne vous en déplaise mon cher Ludovicus
               

               

               

              • Ludovicus dit

                Cher Cave Ne Cadas, vous faites comme bon vous semble, cependant vous me permettrez peut-être d’avoir une opinion et de l’exprimer.

            • Edouard-Marie dit

              Vous dites que vous n’êtes pas de ce milieu, mais vous en avez les caractéristiques hélas, en ergotant sur des détails, sous le couvert de la précision philosophique et théologique mais au détriment de la Vérité.
              C’est du légalisme ! Sous couvert d’être précis et juste sur l’apparence, vous mettez de côté la Foi, qu’ils n’ont pas, et qui suffit à les exclure de toute appartenance à la catholicité.

              Pour faire simple 98 % des personnes, se disant Catholiques, pensent que  « François » est le Pape

              Quand bien même il y en aurait 99.999 % voir même osons le dire, 100 %, cela ne changerait rien.
              Celui qui n’est rien du tout demeure rient du tout, quand bien même l’unanimité des individus, faillibles, le tiendraient pour quelque chose. 

              Quelque soit les apparences vaguement Catholiques dont se parent les hérétiques de la secte Conciliaires, continuer à leur attribuer, par légalisme, quelque titre que ce soit, c’est persister à leur donner une once de légitimité qu’ils n »ont plus … et maintenir une certaine forme de confusion, à un degré moindre que la thèse, mais tout de même. 
               

  4. charles dit

    Messieurs !!!

    Je n’ai bien sûr pas la prétention de clore le débat mais il faut s’en tenir aux faits, à ce qui est,  et se souvenir que tout ce qui est un peu trop compliqué est suspect et provient très probablement du ou des démons ! (et aussi de la malice des hommes, ce qui revient à peu près au même !)

    Ouvrons définitivement les yeux, même si ça fait très mal, car nous allons contempler en face notre propre châtiment !

    Voici les dernières élucubrations d’un personnage qui est considéré comme le « Souverain Pontife » par 98 % au moins de ceux qui se prétendent catholiques, le sont réellement ou ne portent cette qualité que par habitude, culture ou réflexe sociologique…

    « Bien que les dogmes luthériens et catholiques soient « différents, l’heure de la diversité réconciliée est arrivée ».

    « N’avons-nous pas le même baptême ? »

    « Et si nous avons le même baptême, nous devons cheminer ensemble ».

    « C’est une question à laquelle chacun doit répondre personnellement, en étant sincère avec lui-même »

    « À votre question, je réponds seulement par une question. Comment puis-je faire avec mon mari pour que la Cène du Seigneur m’accompagne sur ma route ? C’est un problème auquel chacun doit répondre. Un pasteur, ami, me disait : ‘Mais nous croyons que le Seigneur est présent là. Il est présent. Vous, vous croyez que le Seigneur est présent. Quelle est la différence ?’ — ‘Ce sont les explications, les interprétations…’« 

    « La vie est plus grande que les explications, les interprétations. Faites toujours référence au baptême. Une foi, un baptême, un Seigneur ! C’est ce que nous dit Paul ; et à partir de là, tirez les conséquences. Moi, je n’oserais jamais vous donner la permission de faire cette chose parce que ce n’est pas de ma compétence. Un baptême, un Seigneur, une foi : parlez avec le Seigneur, et allez de l’avant. Je n’ose pas, je n’ose pas dire davantage. »

     
    (propos tenus par le « pape François » au temple luthérien de Rome)
     

     


     

    Alors , chers amis, à ce stade, on va faire simple…et je vais vous dire tout crument que tout « catholique » qui adhère à (sous divers prétextes)  ou ne rejette pas en bloc ces déclarations inouïes, s’exclut par le fait même de la Communion Catholique telle qu’elle fut enseignée et vécue durant tous les siècles, sauf le nôtre !

    Je n’ai besoin d’aucune autorité pour vous affirmer cela, je n’ai besoin d’aucun rang hiérarchique dans l’Église, je n’ai même pas besoin de la moindre autorité morale  pour vous démontrer, non seulement par le sensus fidei mais aussi par le simple bon sens et l’honnêteté intellectuelle la plus élémentaire, l’antinomie absolue et radicale des affirmations d’un tel personnage avec la doctrine catholique et la foi de toujours !

    L’« erreur commune » a pour conséquence directe et immédiate de déposséder l’âme qui s’y attache coupablement, de la grâce sanctifiante, garante de l’intégrité de la foi.

    Elle est donc un critère exclusivement négatif ! Elle ne justifie rien, elle n’excuse rien, elle ne dédouane quiconque de fouiller la question dans la juste limite de ses moyens et des grâces que Dieu aura bien voulu lui envoyer. AU FOR EXTERNE, il n’y a donc aucune justification ou explication tant soit peu arrangeante qui tienne, au regard de l’expression de la vérité et de la vraie foi.

    Lorsque François-Bergoglio déclare au sujet des attentats de Paris :

    « Tant de barbarie nous laisse effarés,  et nous fait nous demander comment le cœur de l’homme peut concevoir et réaliser des choses aussi horribles, qui ont bouleversé non seulement la France mais aussi le monde entier »

    On voit bien que cet homme ne peut pas être à la tête de l’Église Catholique qui depuis deux mille ans déclare avec l’Ancien et le Nouveau Testament qu’on ne saurait à aucun prix mettre sa confiance en l’homme ! Son effarement est à la mesure de ses espoirs humanistes provisoirement déçus !

    On remarquera que le « Nous » de majesté a cédé la place au « nous » collectif, mais ne soyons pas dupes de telles dérives lexicales !…

    Et comme me l’a dit un de mes dévoués correspondants privés :

     

    « Que l’on soit athée ou croyant, ce qui arrive à notre pays ressemble de plus en plus à un châtiment immanent, et force est d’espérer qu’il est encore temps de redresser la barre avant que la France (avec l’Occident tout entier) ne sombre dans l’abîme. Veut-on de la Croix ou du croissant ? Le choix est d’une tragique simplicité, car il est désormais patent que le laïcisme socialiste a pitoyablement échoué à proposer une troisième voie crédible. Quand les Huns d’Attila ravageaient l’Europe chrétienne, on savait y reconnaître à l’époque un « fléau de Dieu ». Que dire aujourd’hui de cette vague de terreur islamiste qui commence à déferler sur la chrétienté endormie ? »

     

    Ces quelques lignes ne sont pas hors sujet dans la mesure où notre faculté de reconnaître les « fléaux de Dieu » peut aussi s’extrapoler aux choses de la foi.

    Le devoir d’un catholique confirmé est d’être justement fidèle aux promesses de son baptême et de refuser toute compromission publique ou reconnaissance officielle des loups qui dévorent ou cherchent à dévorer les moutons de la bergerie… Ce refus doit s’accompagner de gestes et attitudes concrètes de refus et de chasse à l’intrus !

    Même si la vertu de prudence vient bien souvent modérer les initiatives imprudentes ou orgueilleuses, le « nullam partem » d’un catholique ne doit pas rester un vain mot ou une figure de style pour les salons littéraires ou les salons tout court !!!

    Et par-dessus tout, le nombre et sa diabolique séduction, laissera le catholique de marbre, à l’instar de son rédempteur qui, lors de Sa Passion, est resté silencieux la plupart du temps…

    Alors, cher Ludovicus, quand bien même 99,99 % des prétendus évêques auraient prévariqué, cela ne doit entamer nullement la foi et l’espérance du catholique ! La foi seule alors nous informe et les paroles de Notre-Seigneur sont notre consolation. Soyons sûrs qu’elles s’accompliront pour tous les temps, y compris le nôtre,  comme elles se sont déjà accomplies il y a deux mille ans.
     

     

  5. charles dit

    « En son temps l’abbé de Nantes avait dit qu’un seul évêque aurait pu stopper la machine infernale du concile en s’y opposant ouvertement publiquement en quittant l’aula pour ne pas participer à ce brigandage, pour notre malheur, aucun ne l’a fait. »

     

    Cher Ludovicus ! Vous citez l’Abbé de Nantes…de bien triste mémoire malgré l’enthousiasme suscité à l’époque par ses « libelles d’accusation »…et vous semblez prendre en compte et à la lettre ses paroles et écrits qui ne sont pas d’Évangile !

     

    Ce faisant vous apportez de l’eau à mon modeste moulin puisque :

         1/ on ne stoppe pas une machine INFERNALE, sauf si l’on est un artificier aguerri et pourvu des moyens adéquats.

         2/ il est connu que la grande majorité des évêques des années soixante étaient mal formés et déjà pour beaucoup gangrénés par un progressisme soft et un état d’esprit prêt à « réformer l’Église » (ce n’est pas nouveau: l’Enfer est toujours pavé des meilleures intentions!)

         3/ s’opposer publiquement nécessite un courage et une force d’âme ainsi que des moyens financiers et médiatiques que ne possédaient pas les évêques de cette époque… Les groupes de pression avaient déjà, et eux seuls, le vent en poupe !

         4/ quitter « l’aula » aurait équivalu à s’isoler et s’exclure immédiatement de la communion catholique et donc à considérer que ceux qui sont restés ne sont plus catholiques : nous n’avons pas eu la grâce d’avoir des saints et/ou des martyrs capables d’un tel geste sacrificiel… Pourquoi ? parce que les châtiments étaient déjà décrétés et au-dessus de nos têtes… On ne refait pas l’histoire et nul ne saurait s’opposer à la volonté de Dieu.

         5/ Ainsi donc tous les évêques présents se sont montrés indignes de leur épiscopat.
     
    Il faut donc considérer que l’Église subsiste, et c’est de foi, quelque part dans un petit nombre d’évêques non présents en 1963 et cachés aux yeux du monde, puisque la succession apostolique empêchent que les « portes de l’Enfer » prévalent sur l’Église.

    Non seulement la continuité de la succession apostolique est morale mais l’on doit en bonne logique considérer que si l’Église est privée pour un temps de Pape, elle peut l’être aussi, du moins d’une manière visible, pour ce qui est des évêques catholiques, car « les méchants auront de plus en plus l’avantage » (Mgr Pie) et il ne faudra donc plus chercher les véritables évêques dans les institutions terrestres, car il n’y aura quasiment plus de foi sur la terre…
     

  6. Alex dit

    On n’a pas besoin de ce roman de 792 pages, car le mal est fait, l’Église militante est totalement neutralisée, la papauté auto-démise de ses fonctions pour toujours.

    Je ne fréquente plus le milieu sédévacantiste, qui ne représente rien en fait que des sectes auto-déterminées…  Avec ce refus de reconnaître que le saint-siège a été auto-détruit pour toujours depuis plus de 50 ans de révolution conciliaire, dès que paul-6 déposa la tiare aux 3 pouvoirs : Enseigner, sanctifier & gouverner, la fin de ces 3 pouvoirs est consommée.

    La démission de Benoit-16 renforce cet état de fait : le saint-siège bimillénaire n’existe plus, il est remplacé par autre chose en perpétuelle révolution.

    Les milieux de la tradition s’imaginent être encore d’Église alors qu’ils ne le sont plus, non plus.

    Les combats qu’il fallait mener à temps et remporter, ont tous été perdu les uns après les autres, c’est donc trop tard.

    Le temps joue en faveur de la nouvelle religion mondiale, toute transmission a été rompue définitivement, c’est ça la réalité.

    Je me moque complètement des sacres clandestins et vaseux de prétendus évêques très largement douteux, et qui en tous cas ne produisent aucun bon fruit catholique mais entretiennent avec leurs curés, leurs clientèles dupées.

    Alors la position de non una cum  ne garantit rien de Catholicité et de vérité, et je suis surpris que sur ce blog et autres forums dits de tradition, beaucoup se raccrochent à la foi seule comme les protestants.

    Car c’est bien là aussi le vice de la révolution conciliaire néo-protestante, c’est de faire de tout le monde des protestataires des autres, semant divisions et confusions innombrables.

    Le non una cum, ce n’est donc pas le lieu de l’ordre mais celui du désordre, alternatif certes, mais désordre quand même : les schismatiques conciliaires refoulent des traditionalismes schismatiques à leur tour…

    Le bon-sens est de s’avouer humainement vaincu par Lucifer et sa mafia romaine mondialiste. Un bouquin de plus pour évoquer la mafia conciliaire ?… C’est enfoncer une porte déjà ouverte… pour qui cela excite et amuse.

    Le traditionalisme n’est en fait qu’un sentimentalisme religieux complètement impuissant, ça va sans dire, qui mène au replis identitaire sans fondement ni droit (même « juridiction extraordinaire » légaliste et abusive, bidon), sans le roc de la papauté disparu à jamais.

    « La maison battue par les vents », ce « roman du vatican »  est en réalité un vatican-coquille vide siphonnée de l’intérieur, qui ne présente aucun intérêt pour aujourd’hui et demain, et ne sert qu’à alimenter des ragots, des intrigues, des discussions vaines.
     

    • Cave Ne Cadas dit

      Alex, vous révélez ici votre « vrai » (???) opinion…
      Je vous ai laissé parler (mal ???) pour donner votre avis…
      Je crois que vous n’avez plus rien à faire ici…
       
      « votre ‘bon-sens’ est de vous avouer humainement vaincu par Lucifer et sa mafia romaine mondialiste »…
       
      Vous n’avez pas compris (étudié ???) le problème de l’éclipse révélé par Notre Dame…
      Et donc, vous n’avez pas compris que la secte Conciliaire N’EST PAS l’Église catholique…
       
      Deux entités totalement différentes qui fait que vous restez au bord de la route, totalement “pommé” !
      …et que vous ne savez pas où est l’Église.
       
      Nous, Catholique Semper idem, (et non pas “sedevacantiste”) avons la sérénité et savons que la solution viendra de Dieu… que nous attendons sereinement…

      « vous vous moquez complètement des sacres [que vous dites] “clandestins et vaseux” de “prétendus évêques” “très largement douteux” »…
       
      Vos « moqueries » sont justement le résultat de votre ignorance (aveuglement ???)…
       

    • Edouard Marie dit

      Quel désespoir, mon cher Alex, dans vos propos, c’est terrible.
      On se doit à la lecture de pareille prose de prier pour vous.

      Quel désespoir !    http://wordpress.catholicapedia.net/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_sad.gif
       

  7. Bonjour,

     

    J’ai une question complètement hors-sujet,

    concernant le paiement des impôts à l’organe judéo-maçonnique. Je voudrais savoir si nous sommes tenus (catholiquement) de payer les charges sociales et les impôts liés à nos activités, si nous sommes capables de nous en défaire. Je souhaite demander si quelqu’un dispose d’un appui théologique (des sources) sur ce sujet. Qu’en est-il lorsque l’on connaît l’utilisation majoritairement criminelle et inutile qui en est faite ? Comment s’en dégager sans devenir voleur, puisque nous avons pour beaucoup des retours financiers de par la Gueuse (aides au logement, allocations familiales…etc.).

    Voilà, je vous remercie beaucoup.

     

    Salutations aux CSI

    François

     

    • gg dit

      Les « retours » de la Gueuze sont infinitésimaux, par rapport aux 80 % qui nous sont volés !

       

      L’essentiel, c’est de ne pas se faire prendre, car outre les emm….dements, il pourrait y avoir scandale…

       

    • Edouard-Marie dit

      Un abbé sédévac de l’ouest, dont je tairais le nom, m’avait dit, quand je lui avais posé la question, qu’il était moralement possible quand on était dans la difficulté à subvenir aux besoins élémentaires, de ne pas tout déclarer, pour limiter le montant de l’Impôt.

      Ne manquant pas d’ajouter que si on se fait prendre, on se fait prendre.

      De toute façon, impôt, taxes sociales ou même contravention de stationnement, ils ne lâchent rien !!
      J’ai souvenir d’un courrier d’huissier pour environ 40 balles (33 de contravention majorée + 7  environ de frais de justice (sic).

      La république étant notre châtiment, les impôts écrasant, servant des causes impies, font parties du châtiment, et frauder peut parfois amener à des désordres bien pire.

      Le milieu qui ne va pas bien compte beaucoup d’individus agissant ainsi, en costume cravate ou en habit de religieux, hélas.    http://wordpress.catholicapedia.net/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_negative.gif

      C’est une contrainte à offrir, et, pour ceux qui vivront jusqu’au règne du Sacré Cœur, ils auront l’occasion de se « payer » de toute ces mauvaisetés par la grande grâce  et la joie ineffable, après avoir contempler la Justice de Dieu, de voir et de vivre  Son règne.
       

    • morin dit

      Rendez à César ce qui appartient à César et à Dieu ce qui appartient à Dieu.

      En disant cela le Christ « bottait en touche » connaissant l’hypocrisie des pharisiens.

      Ils connaissaient la Loi mais mais ne l’appliquaient pas, l’occupation Romaine était le châtiment de leurs renoncements, de leurs crimes et de leur prostitution devant Mamon.

      Dieu leur avait fait conquérir par les armes la terre promise, ils étaient devenu les bras armés de Dieu qui leur faisait ainsi voir le sort qu’il réservait à ceux qui le méprisaient.

      Pour nôtre époque présente, Dieu nous soumets aux mêmes types de châtiments, nous l’avons progressivement renié, il n’y a plus qu’à « payer » et offrir cette punition en rémission de nos péchés.

      Les Juifs ont pleuré sur la destruction du Temple, nous, nous pleurons sur la destruction de l’Église.

      Ils se lamentaient de payer des impôts, nous subissons le même sort.

      Nous n’avons plus qu’à dire comme Job : « Dieu m’a tout donné, il m’a tout repris, Dieu soit loué ».

       

      • charles dit

        Cher Morin ! chers lecteurs…

        À quelques détails près, cher Morin,  je vous suis sur ce terrain du « rendez à César ce qui est à César »…vous m’avez devancé !!! En effet, comme dit notre ami Édouard, il nous faut accepter de payer le tribu à « César », que cela nous plaise ou non, que cela nous conforte dans l’opinion que César est un fieffé coquin, un despote, un dictateur, un échappé de l’enfer, etc… etc…… Bref, nous sommes condamnés à payer…en espérant qu’au jour funeste nous n’aurons pas à payer l’impôt islamique afin de pouvoir rester en vie !… Il serait bien vaniteux de ne pas nous attendre au pire comme au meilleur… Un catholique doit pouvoir rendre grâces dans toutes les situations, même et surtout dans celles qui lui sont si contraires……

        Nous ne saurions compromettre notre foi et notre salut uniquement pour des questions d’argent et lorsque nous aurons franchi le miroir nous n’aurons plus besoin de pièces, de billets et de compte en banque !!! Le « rendez à Dieu » est beaucoup plus important dans cette perspective de la rédemption de nos vies fugaces sur cette terre…

        Mais je serai incomplet si je ne citais pas aussi les paroles de Notre-Seigneur répondant à Pilate « Tu n’aurais sur moi aucun pouvoir, s’il ne t’avait été donné d’en haut. C’est pourquoi celui qui me livre à toi commet un plus grand péché. »

        C’est là toute la théologie et l’ambiguïté du pouvoir terrestre : tout pouvoir est donné ou permis par Dieu et l’on ne saurait contester un pouvoir — in se — en tant que pouvoir, qu’il soit parfaitement illégitime, infernal ou despotique. Ces caractères qui impriment à ce pouvoir son caractère de châtiment, n’enlèvent  en rien le respect sacré que l’on doit avoir pour ce qui a été voulu ou permis par Dieu (« que Votre Volonté soit faite sur LA TERRE comme au Ciel »).

        Ainsi pouvons-nous considérer l’individu Hollande comme particulièrement représentatif d’un régime diaboliquement occulte (la République dite française) mais sa position à la tête de la pyramide visible lui confère des droits sur nous (à la fois pour notre salut et notre châtiment) et nous ne pouvons être en déni de son pouvoir de magistrat suprême (et de chef des armées)  à la tête du Royaume en l’absence du Lieutenant du Christ que nous avons nous-mêmes chassé du Royaume. Il (Hollande…et toute sa clique !) n’aurait aucun pouvoir sur nous si telle n’était pas la volonté de Dieu. Or en ce qui concerne les nations, Dieu exerce ici même sur cette terre, en temps et en heure, son infinie Justice !

        L’acceptation du châtiment et la reconnaissance de l’origine  obligatoirement divine de tout  pouvoir, ne doit pas nous détourner du juste combat contre les forces du mal à l’œuvre dans un régime qui plaît à Satan. Payons nos impôts pour éviter un plus grand mal (et, comme dit Morin, dans un état d’esprit d’expiation) mais ne cédons rien sur le plan de la doctrine et ne soyons pas les contempteurs frileux de la démocratie (« le mensonge universel ») et de ses moyens subtils et pervers pour capter et nos suffrages et nos coupables pensées.

        Jusqu’à la fin du monde, il y aura une lutte perpétuelle contre les puissances toujours renaissantes du chaos. Un chrétien conséquent ne doit se laisser ni  impressionner et encore moins se laisser abattre ! Il doit voir le Doigt de Dieu partout à l’œuvre dans les destinées du monde.  Un Père éduque et pour cela récompense mais aussi punit et parfois châtie très rudement… Fera-t-il une différence entre tous ses enfants ? Non, car il les aime tous d’un amour qui échappe à l’entendement humain.

        Chaque âme a besoin comme les cités d’être couronnée de remparts… L’ennemi le plus redoutable ce ne sont pas les séides d’un régime, ce ne sont même pas les barbares qu’ils soient islamistes ou pas, non…les plus à craindre pour nos âmes sont ces monstres de la nuit, ces démons nocturnes qui instrumentalisent nos peurs pour nous faire tout renier et jusqu’aux bienfaits de notre civilisation. Nous ne sommes plus protégés, notamment surnaturellement, et c’est bien ça le pire des châtiments ! Nous sommes exposés, jusque dans des lieux jadis sacrés et consacrés, aux démons de l’hérésie, du schisme et de l’apostasie rampante, qu’elle soit mondaine ou révolutionnaire, et nous ne saurions mieux nous livrer à mille dangers qu’en étant en perpétuel déni de ce terrible mouvement dialectique qui a saisi de ses soubresauts maléfiques le monde, la civilisation chrétienne et jusqu’à la maison de Dieu elle-même…

        Blessée dans son esprit et dans sa chair, notre malheureuse Europe  s’épuise en vains remèdes humains et politiques… Malheur d’un monde sans Dieu qui refuse de Lui laisser la place qui Lui revient ! Il nous semble qu’en un moment, l’effort séculaire s’abolit ! Et que les vrais barbares c’est nous, nous qui nous sommes libérés de nos contraintes ancestrales et avons renoncé au vrai « nous » libérateur de la raison ordonnatrice, ce qui entraîne la ruine fatale de l’édifice tout entier…

        Et comme la nature a horreur du vide, d’autres, animés d’une  « foi » radicale, s’y engouffrent pour combler ce vide et ainsi sauver l’honneur de Dieu qui peut ainsi exercer Sa Justice, expression de Son Infinie Miséricorde et gage de Son Amour Éternel pour ses créatures.

         

        Nous devons être des militants de l’universalisme de la vérité car les idéologies ne suffisent pas à nourrir l’homme qui meurt de faim au point de se jeter corps et âme dans des idéologies mortifères ou des voies sans issue…

        La sagesse que l’Occident incarne ne doit pas périr, ne peut pas périr car elle symbolise des valeurs éternelles qui font que la finalité de l’être c’est nous et nous seuls chrétiens qui en avons la clé……
         

  8. FDB dit

    Je suis assez d’accord avec les deux dernières interventions. La question posée par François Foucher est sans doute venue à l’esprit de beaucoup à un moment ou un autre. Ça paraît légitime.

    Ma réflexion est la suivante :

         Il faut faire attention à ne pas prendre trop de risques en tentant de frauder. Si certaines catégories de population peuvent à peu près faire tout ce qu’elle veulent, sans être inquiétées, il en va tout autrement pour la plèbe que nous sommes. L’administration centrale sait être impitoyable. D’autant plus que les moyens de recoupements informatiques actuels décuplent les possibilités de contrôle. Sans compter les risques de délation de voisins qui n’apprécient pas de voir une famille partir à la Messe tous les dimanches matin. Se faire racketter par la Gueuse pour financer l’avortement, la rééducation nationale et le remplacement de population ne nous réjouit pas. Mais se faire prendre, pourrait avoir des conséquences sans doute pire pour une famille. Il faut peser le pour et le contre.
         Je me dis aussi que si ces mesures sont injustes, est-ce à nous de nous faire justice nous même ? La seule justice à attendre, n’est-elle pas celle de Dieu. Tout ceci est une croix à porter, comme le reste.

    Pour finir, je mes souviens d’une citation dont j’ai oublié la source : la république gouverne très mal mais se défend très bien.

     

    • Cave Ne Cadas dit

      « La République gouverne mal, mais elle se défend bien »

      …affirmait en son temps Anatole France.
       
      Si Maurras aimait à citer cette phrase, elle n’en est pas moins d’Anatole France…
       

  9. FDB, je comprend très bien ce que vous dites. Je suis conscient que dans le cas où l’on prenne un risque, « frauder » peut finalement faire plus de mal que de bien. Il existe néanmoins certaines professions où il est parfaitement possible de s’en dégager sans aucun risques.

     

    Ma question est donc à prendre au sens brut : Peut-on s’affranchir du paiement de ces impôts/charges sociales  de manière légitime (sans commettre d’iniquité, indépendamment des conséquences possibles).

     

    Morin, Édouard-Marie, vos réponses respirent clairement de la faiblesse « contre-productive ».

    Bien entendu qu’on peut tout simplement se laisser voler, mais pour savoir ça,  j’avais d’une part tout simplement pas besoin de vos « réflexions ». À cela, c’est comme si un type se présente à vous et veut vous voler votre argent, pour s’acheter un fusil et tuer un enfant. Si vous êtes en mesure d’éviter ce racket, est-ce que vous allez tendre l’autre joue et le laisser commettre son larcin, au motif que ce n’est pas à vous de vous défendre ?
     

    • Edouard Marie dit

      En fait, François Foucher, il se trouve que FDB dit la même chose que Morin ou moi même, d’une manière différente.

      Si vous demandez des avis, pour ainsi réagir à ceux qui ne vous plaisent pas, alors soyez cohérent, cherchez les réponses tout seul.

      Je ne doute pas que vous, grand mystique vivant en hermite* et ayant acquis la sagesse (mais avec la bouche encore pleine du lait sucré des convertis) vous serez inspiré de la meilleure réponse à cette problématique.

      Puis vous pouvez aussi poser la questions à certains clercs, qui ont eu maille à partir avec la justice pour ces questions là, et qui du reste ont surement du, à défaut d’édifier, bien faire rire le personnel de l’administration judiciaire, qui, voyant la roublardise de ce milieu « Tradi », s’est sans doute dit qu’avec des « Catholiques » pareils, la Révolution avait de beaux jours devant elle.

      L’impôt c’est une des facettes du joug républicain, lequel est un châtiment, et un châtiment, se boit jusqu’à la lie.
       

       

       


      (*) ainsi que vous l’annonciez il y a quelques mois dans vos commentaires.
       

      • charles dit

        Je souscris aux observations d’Édouard car notre jeune ami François a besoin d’être recadré dans ses recherches et interrogations lorsqu’elles ne sont pas cohérentes. Ce qui n’est pas méchant à son égard mais au contraire doit lui être salutaire !

        Pour les nuls en orthographe, il est intéressant de noter que le substantif « ermite » ou « hermite » peut s’écrire indifféremment avec ou sans  « h »…… Il me semble toutefois qu’il est davantage usité sous sa forme sans « h »……
         

    • Cave Ne Cadas dit

      Chouan,
      La « hiérarchie de Juridiction » n’a jamais été institué par NS Jésus-Christ… Elle est d’institution humaine par l’Église.
       
      Seule la « Hiérarchie sacrée » a été établie par NS Jésus-Christ.
       
      Jésus-Christ choisit Lui-même Ses apôtres et les établit Ses ministres, les envoyant de part le monde en leur donnant le pouvoir de prêcher, de lier et de délier, d’instruire et de gouverner les peuples qu’ils auraient convertis…
       

      De la Hiérarchie

      « Cliquer pour agrandir »

       
      « Bibliothèque sacrée, ou dictionnaire universel historique, dogmatique, canonique, géographique et chronologique des sciences ecclésiastiques … par les révérends pères Richard et Giraud …Volume 13 »
      https://books.google.fr
       

      • Fert Fert Fert dit

        François F. a tellement payé d’impôts qu’il n’a plus un sous ! on l’appelle maintenant « François fauché ».

        Oupss ! c’était pour rire !
         

      • Chouan dit

         
        Page 54,  Art 192 : La hiérarchie de juridiction, instituée par notre Seigneur Jésus-Christ se compose du Souverain Pontife et des évêques qui lui sont subordonnés.
        Source : Institutions canonique à l’usage des curies épiscopales, du clergé paroissial, et des familles religieuses en conformité avec le code de droit canonique et les décisions les plus récentes du Saint-Siège 1924.
         
        Joseph Pie Mothon O.P :  http://wordpress.catholicapedia.net/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_wacko.gif    https://archive.org/stream/institutionescan01moth#page/n7/mode/2up

         

        • Cave Ne Cadas dit

          Pas d’accord avec vous mon cher Chouan
           
          La Hiérarchie d’Ordre a bien été établie par NS J-C comme je l’ai montré précédemment…
           
          …mais la Hiérarchie de Juridiction est d’institution ecclésiastique
           
          Vous avez vos sources… (votre source répète à l’envie ce qui est dit dans le CDC d’institution ecclésiastique…) j’ai les miennes :
           

          Comme il y a dans l’Église deux puissances, l’une de l’ordre et l’autre de la juridiction, il y a aussi deux hiérarchies, l’une de l’ordre et l’autre de la juridiction.

          La hiérarchie de l’ordre est celle qui a été établie pour former le corps de Jésus-Christ, en commémoration de sa dernière cène, à l’effet de sanctifier les fidèles intérieurement par la participation du sacrement de l’eucharistie. Cette hiérarchie est composée des clercs qui sont dans les ordres mineurs, et de ceux qui sont dans les ordres sacrés. Cette dernière hiérarchie est d’institution divine.

          La hiérarchie de la juridiction est celle qui a été établie pour le gouvernement et la conduite de ces mêmes fidèles, et pour leur procurer une espèce de sanctification extérieure ; et cette hiérarchie est composée du pape, des patriarches, des primats, des métropolitains ou archevêques, des évêques et des autres prélats de l’Église ; elle est d’institution ecclésiastique.

           
          Cours alphabétique et méthodique de droit canon dans les rapports avec le droit Ecclésiastique : H-M (1860. 544 p.)
          Michel André Abbé
          chez l’Auteur et a la Librairie Catholique de F. Boullotte, 1859

           
          https://books.google.fr
           

           

  10. Bon Édouard-Marie,

     

    En premier lieu, on ne saurait trop critiquer les

    ermites, qui te sont supérieurs (quoi que tu puisses

    en penser), et ce particulièrement quand on se rend :

     

    1/ À des messes una cum

    2/ Auprès d’une institution ralliée (les dominicains d’avrillé)

    3/ Délibérément, en toute illégalité, et en pleine aversion

    avec les lois de la Sainte Église, alors que tu pourrais très bien faire autrement.

    Ça, c’est d’une part, tu es un fraudeur.

     

    Pour en revenir à ma question. J’ai consulté un prêtre allemand

    (CMRI), expert en théologie morale qui m’a donné cette explication

    à ce sujet :

     

         1/ Les impôts doivent être payés

         2/ Les catholiques ne sont pas tenus de payer des impôts excessifs.

              — L’institution étatique ne peut pas par exemple, imposer des impôts de l’ordre de (plus de ?) 70 % des revenus.

              — L’impôt sur l’héritage est parfaitement illégitime et ne doit pas être payé.

     

    Maintenant si tu prends un gérant d’une entreprise individuelle, c’est

    presque la moitié des gains qui sont retenus en imposition diverses.

    Tu ajoutes à cela les 20 % de TVA prélevés sur tous les achats de la personnes

    plus les taxes d’habitation et autres extras, et tu en arrive (globalement)

    pratiquement à 70 %. Or tout ces impôts sont disséminés à travers

    plusieurs caisses, qui ont finalement un minimum de légitimité et la Gueuse te reverse une part sous forme d’allocation.

    Je cherchais donc à savoir si nous ne buvions pas volontairement plus que la lie, et s’il pouvait exister un moyen individuel de s’en défendre légitimement — pas que la république est un châtiment (parce que ça, tu t’en doutes bien, je suis au courant).

     

     

    • Edouard Marie dit

      La petite attaque ad-hominem de notre anachorète de bac à sable, fraîchement converti, et déjà futur docteur de la Loi a trouvé écho dans les bas fonds de la toile, chez certains vieux débris licencieux du pays d’Orléans.
      Non que mon cas soit d’un grand ou même d’un petit intérêt, mais la Vertu de Justice, qui exige de vérifier ses informations, n’étouffant ni l’un ni l’autre, il convient de préciser.

      Il a été dit :

      En premier lieu, on ne saurait trop critiquer les ermites, qui te sont supérieurs (quoi que tu puisses en penser), et ce particulièrement quand on se rend :
      1/ À des messes
      una cum
      2/ Auprès d’une institution ralliée (les dominicains d’Avrillé)
      3/ Délibérément, en toute illégalité, et en pleine aversion avec les lois de la Sainte Église, alors que tu pourrais très bien faire autrement.
      Ça, c’est d’une part, tu es un fraudeur.

       

      1/ J’ai déjà expliqué ma position ici même, en réponse à GG, il y a quelques mois de cela.
      Par ailleurs je n’ai jamais communié à une Messe Una Cum, de quelques communautés « traditionalistes » que ce soit.

      2/ Je ne met plus les pieds chez les Moines Dominicains pères d’Avrillé, (dont un d’eux était Non Una Cum), et ce depuis un bon moment.

      3/ (Pour JPB) Il n’y a aucun lieu de Messe desservi par l’Institut Mater Boni Consilii dans tout l’Ouest, ou bien alors ils se cachent !
      Difficile donc pour de me faire le reproche de ne pas y aller.

      4/ J’ai la Messe Non Una Cum ponctuellement, dans une chapelle Sédévacantiste Bretonne, et Don Guéranger le reste du temps.

      5a/ Monsieur Bontemps ferait bien de s’occuper de ses propres mœurs et de la vie spirituelle de sa famille, dont il aura à rendre compte : cela s’impose !

      En effet, il est l’exemple frappant qu’il ne suffit pas de faire les communions-qui-vont-bien, pour être un Catholique édifiant.

      5b/ Même chose pour Monsieur Foucher, qui prétend beaucoup, et en premier lieu d’être ermite, de méditer beaucoup et de nous faire partager sa mystique (sic).
      Mais si j’avais usé de ses procédés, j’aurais offert  au lecteur un portrait de Monsieur Foucher, tel que je l’ai vu il y a un an de cela, et qui contraste pas mal avec ce qu’il prétend.

       

  11. Je souscris aux observations d’Édouard car notre jeune ami François a besoin d’être recadré dans ses recherches et interrogations lorsqu’elles ne sont pas cohérentes. Ce qui n’est pas méchant à son égard mais au contraire doit lui être salutaire !

    Pour les nuls en orthographe, il est intéressant de noter que le substantif « ermite » ou « hermite » peut s’écrire indifféremment avec ou sans  « h »…… Il me semble toutefois qu’il est davantage usité sous sa forme sans « h »……

    Ce que je dis Charles est parfaitement cohérent. Pourquoi par exemple payer les droits de succession si nous n’y sommes pas tenus. Libre à vous de faire des cadeaux à l’ennemi, moi j’aimerai savoir ce que nous sommes tenus de payer.
     

    • morin dit

      En Allemagne il me semble qu’il n’y a pas de droits de succession, ce prêtre Allemand ne dit que ce qui se passe chez lui.

      En France ce n’est pas le cas.

      Si vous voulez payer moins d’impôts et de charges sociales, allez trouver un très bon comptable.

      Le législateur, cet ennemi du peuple, n’est pas stupide au point de payer autant que le « pékin moyen », il a en général prévu quelques échappatoires que seuls les très bons comptables vont oser mettre en œuvre pour vous soulager.

      Malheureusement il n’y a pas plus de bons avocats, notaires et comptables qu’il n’y a de bons prêtres.

      Les gens qui veulent du bien à leurs semblables sont rares, pour beaucoup c’est service minimum et facturation maximum.

       

      • Cave Ne Cadas dit

        Les prêtres du CMRI en Allemagne sont américains… et non pas allemands…
        De très bons prêtres en particulier dont j’ai pu faire la connaissance en Angleterre ! puisqu’ils déservent la seule chapelle non una cum d’Angleterre ! (ELY)
         
        … le plus grand (ni par la taille, ni par la qualité… mais par le nombre de « chapelle tradi ») Mr Ramé… est incarcéré pour « malversation »…
         

      • Visiblement si, il doit y avoir des droits de successions :

        […] Allerdings muss man sich nicht verpflichtet fühlen, offenkundig ungerechte Steuern zu zahlen. So bewerte ich persönlich z.B. die Erbschaftssteuer im Prinzip grundsätzlich als höchst unmoralisch und verwerflich, weil der Staat hier auf eine sehr freche Weise von den Todesfällen seiner Bürger profitiert. […]

         
        Traduction : néanmoins il ne faut pas se sentir forcé de payer des impôts qui sont manifestement injustes. Je considère personnellement (parmi ceux-ci) les impôts de successions comme immoraux et pouvant être ignorés, parce que l’état profite ici d’une manière insolente des cas de décès de ses citoyens
         

    • Edouard-Marie dit

      Et bien dans ce cas, ne les payez pas …

      Et surtout, surtout, après avoir ostensiblement affiché cette intention publiquement et sous votre vrai nom.

      http://wordpress.catholicapedia.net/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_good.gifhttp://wordpress.catholicapedia.net/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_good.gif
       

  12. FDB dit

    Pour Monsieur Foucher,

    Je tiens à préciser les points suivants concernant le statut de gérant. Il concerne les gérants de SARL, et s’ils sont majoritaires, relèvent du statut de travailleur non salarié. Le gérant s’acquitte alors de cotisations sociales à hauteur d’environ 46 % du revenu net. Pour les impôts, il paie pour le compte de sa société l’impôt sur les sociétés frappant le bénéfice qui est de 15 à 33 % selon le chiffre d’affaire. Il faut pour cela faire des bénéfices.

    Il paie ensuite l’impôt sur ses revenus personnels selon le barème en vigueur, comme pour les autres. Il en va ainsi des autres taxes qui s’appliquent aux particuliers.

    Quant à la TVA, si elle concerne l’entreprise, il reverse à l’administration centrale la différence entre la TVA sur les achats et les produits. Dans ce cas, il ne fait que fournir à l’État une prestation d’encaissement-décaissement, puisqu’au final, il achète et vend hors taxe.

    On ne peut donc pas mettre tous les prélèvements sur le même plan (taxes, impôts et cotisations sociales).

    Il faudrait plutôt parler du taux de prélèvement obligatoire et des dépenses contraintes (assurances obligatoires et compagnie).  Ce serait sans doute différent.

    Pour les impôts sur les successions, c’est typiquement révolutionnaire : spoliation de la propriété privée et réduction des patrimoines familiaux (associé à l’abolition du droit d’aînesse).

    Deux remarques complémentaires :

              ce qui est très contestable est la CSG qui est une taxe s’appliquant en partie sur l’impôt.
              Le concept de la TVA est une invention française : cocorico. Elle s’est pratiquement aussi bien diffusée dans le monde que les droits de l’homme. Si nous demandions des royalties proportionnelles, nous serions un pays de rentier…

     

  13. FDB merci beaucoup pour ces précisions qui sont exactes.

    Je traduis donc ici l’intégralité du message reçu de ce prêtre.

    À propos du paiement des impôts (voir en annexe une copie issue d’un livre de théologie morale). À propos du point 4 sur la page 356, il serait à mon avis absolument nécessaire d’ajouter que l’état a l’obligation morale de n’exiger de ses citoyens qu’un impôt juste. En soit, il s’agit de notre obligation de payer des impôts, et il s’agit même d’une obligation grave. En effet, l’état (même un état maçonnique) s’assure de garantir l’ordre public (de par l’organe policier et judiciaire) et doit, par exemple assurer les coûts des écoles, des jardins d’enfants…etc.

    Néanmoins il ne faut pas se sentir forcé de payer des impôts qui sont manifestement injustes. Je considère personnellement (parmi ceux-ci) les impôts de succession comme immoraux et pouvant être ignorés, parce que l’état profite ici d’une manière insolente des cas de décès de ses citoyens. Lorsqu’un père ou une mère a travaillé dur toute sa vie pour pouvoir laisser quelque chose aux enfants, en quoi l’état peut-il encore prélever quelque chose en raison du décès des parents ? De mon point de vue cette pratique s’inscrit dans le domaine de la plus haute immoralité, et c’est même pervers. Maintenant, nous sommes tenus par les lois de payer ces droits de succession… et nous sommes durement réprimés en cas de non-paiement.

    La juste mesure doit également être observée par l’état. Si l’état devait instituer une taxation horrible de l’ordre de 70-90 % des revenus, nous ne serions pas tenus en conscience de nous en acquitter. Il s’agirait alors d’une dictature de l’état. Si par exemple quelqu’un venait m’annoncer qu’il s’est défait d’une taxation de 70-75 % sur des revenus pour lesquels il avait déjà été imposé une première fois, je ne lui ferai aucun reproches. Comme expliqué, tout est une question de limites raisonnables. En pratique toute exagération provenant d’une partie ou d’une autre est immorale.

     

     

    • Cave Ne Cadas dit

      Mon cher François,
       
      au lieu de d’ergoter depuis quelques jours sur cette question… pourquoi n’avoir pas commencé par la publication de ce message ?
      …puisque la réponse y est !!!

      Maintenant, nous sommes tenus par les lois de payer ces droits de succession… et nous sommes durement réprimés en cas de non-paiement.

       
      Ainsi donc, chercher une garantie morale pour un acte que nous ne ferions pas, même dans l’obligation de le faire… c’est bien (???) mais ça ne sert pas à grand chose (à rien ?)
       
      Il serait utile néanmoins de nous indiquer la source du document de théologie morale donné en copie annexe par ce bon prêtre…
      ENSUITE LE DÉBAT SERA CLOS.
       

       

  14. Mon cher François,
    au lieu de
    d’ergoter depuis quelques jours sur cette question… pourquoi n’avoir pas commencé par la publication de ce message ?
    …puisque la réponse y est !!!

     

    Mon cher Cave Ne Cadas,

    Voici en premier lieu l’annexe dont nous parlons :

    https://www.imageshost.eu/image/oov
     
    À cela, si je n’ai pas mis ce document à disposition dès le début,

    c’est que

         1/ Mon but était d’obtenir des appuis théologiques sur le sujet, qui vous m’excuserez, semble pouvoir intéresser tout le monde (je ne comprend pas votre hâte à vouloir CLORE LE SUJET)

         2/ Je n’ai jamais prétendu que ce prêtre soit extraordinaire, ainsi la nécessité de financer des écoles où l’on mène les enfants à la perdition ne me paraît pas vraiment nous conférer une obligation morale…

         3/ Que j’ai eu des avis divergents de la part d’autres prêtres (allant dans un sens ou dans l’autre), et dont les positions à ce sujets étaient beaucoup plus tranchées (vous m’excuserez, nous n’avons plus de prêtres – à qui se fier ?).

         4/ Qu’il existe pour certaines activités des moyens techniques permettant de s’affranchir d’une partie des impôts, et que si cela devait être légitime il serait avisé que nous puissions prendre les moyens nous défendre (il s’agirait même là d’un devoir).

     

    Vous m’excuserez d’avoir posé une question technique aux passionnés de doctrine que nous sommes…
     

  15. Bien chers amis,

     

    Je souhaite simplement utiliser ce billet pour clarifier publiquement ma position vis-à-vis du paiement des impôts à la gueuse.

     

    Je crois également que les impôts doivent être payés et que ces ponctions doivent être considérées par nous comme une Croix à porter jusqu’à la venue du Christ-Roi

    (rendez à César ce qui est à César)

     

    Je souhaite m’excuser vis-à-vis des scandales que j’ai pu provoquer par une discussion antérieure que nous avons eu à ce sujet (j’étais fatigué, c’est pas de ma faute et tout ça…).

     

    Voilà, Bon jeûne à Vous !

     

    François
     

     


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