20046

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LE MYSTÈRE D’INIQUITÉ vu du Saint Suaire

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Arnaud-Aaron Upinsky est un spécialiste international confirmé du Linceul de Turin.

Voir son site sur le Linceul : http://linceuldeturin.info/

À ce titre, il a profité de la nouvelle ostension, en 2015, pour continuer le combat du Linceul.

Autorité reconnue du Linceul, il a donc interrogé, dans les formes diplomatiques voulues dans cette situation, celui qui, à la place qu’il occupe, est l’interlocuteur obligé.

Le Linceul de Turin

Nous avons lu avec attention cette lettre, car elle soulève de vrais débats… et met l’anti-Pape François Ø de la secte Conciliaire devant les contradictions de celle-ci depuis 1958 !

Car l’Église Catholique a reconnue Officiellement Depuis 1934 l’authenticité du Linceul de Turin !!!

 

C’est la secte Conciliaire qui ne veut pas la reconnaitre

Voir notre article du 4 mai 2013 (Fête et Messe du Saint Suaire) : http://wordpress.catholicapedia.net/4-mai-fete-et-messe-du-saint-suaire/

 

François face au Linceul

 

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Le secret du reniement du “Pape” qui désarme la chrétienté !

 

 

Dans son premier entretien « Et vous qui dites-vous que je suis ? » Arnaud-Aaron Upinsky, mathématicien, épistémologue et linguiste, avait exposé les impérieuses raisons qui l’avaient incité, le 29 mars 2015, à adresser a papeFrançois, au nom de la Science, une Lettre Ouverte lui demandant de procéder à la reconnaissance officielle de l’authenticité du Linceul de Turin — recélant la preuve scientifique du fait fondateur de notre ère — pour en revenir au statut de véritable Relique de la Passion et de la Résurrection qui n’avait cessé d’être celui reconnu par l’Église, de 1473 à 1988, et pour mettre un terme définitif à l’intolérable ambiguïté attribuée au Linceul, authentique pour les uns, faux pour certains, objet criminel pour les autres. Le doute sur le Linceul de Turin doit cesser, l’Église doit trancher, allez-vous le vénérer ou l’Adorer ? lui avait-t-il écrit. En dépit de la censure, cette Lettre Ouverte à l’anti-Pape François Ø, diffusée dans le monde entier, traduite en italien, espagnol, allemand, anglais, russe… et âprement discutée au Vatican, a créé un véritable électrochoc à bas bruit. Mais lors de son face-à-face avec le Linceul, dans l’obscurité de la cathédrale de Turin, le 21 juin 2015, pour sa visite exceptionnelle clôturant l’ostension de 2015, quelle réponse François a-t-il donnée, aux yeux du Monde entier, à cette Question de la Reconnaissance — « Qui dites-vous que je suis » — posée au nom de la Communauté Scientifique Internationale, réunie à Rome en 2013, ayant procédé à la reconnaissance officielle de l’authenticité scientifique. La Réponse éblouissante du pseudo « Pape », la presse l’a cachée et le public, même averti, a cru qu’il ne s’était « rien passé », tant le « secret » fut bien gardé. Pourtant cette réponse historique fut telle que plus rien ne sera comme avant. Réponse à vivre comme un fait biblique se dévoilant selon la grille de lecture religieuse du Temps et de « l’économie de la Révélation » : comme la figure du reniement de Pierre, mise en ombres et lumières dans toute l’histoire de l’art chrétien. Aujourd’hui, dans ce deuxième entretien, Arnaud-Aaron Upinsky, Directeur du Symposium de Rome et auteur de cinq livres sur le Linceul, nous révèle l’énigme de la venue exceptionnelle de cet Anti-Pape à Turin, le 21 juin 2015, le décryptage bien gardé de la réponse du Saint Siège à sa Lettre Ouverte du 29 mars 2015, la clef initiatique de la pièce géopolitique scientifico-religieuse dont dépend l’avenir de la Chrétienté, de l’Europe et de l’Humanité : « Le secret du reniement du “Pape” qui désarme la Chrétienté ! »

En visite à Turin François se recueille

 

« Qui dites-vous que Je suis? » (Arnaud-Aaron Upinsky)

 

 

François à Turin en 2015

 

Lettre Ouverte d’Arnaud-Aaron Upinsky à papeFrançois

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Arnaud-Aaron Upinsky est un spécialiste international confirmé du Linceul de Turin.

À ce titre, il profite de la nouvelle ostension, en 2015, pour continuer le combat du Linceul.

Autorité reconnue du Linceul, il interroge, dans les formes diplomatiques voulues dans cette situation, celui qui, à la place qu’il occupe, est l’interlocuteur obligé.

Le Linceul de Turin

Lisons avec attention la lettre qui suit, car elle soulève de vrais débats… et met l’antiPape de la secte Conciliaire devant les contradictions de celle-ci depuis 1958 !

Car l’Église Catholique a reconnue Officiellement Depuis 1934 l’authenticité du Linceul de Turin !!!

C’est la secte Conciliaire qui ne veut pas la reconnaitre Voir notre article du 4 mai 2013 (Fête et Messe du Saint Suaire) : http://wordpress.catholicapedia.net/4-mai-fete-et-messe-du-saint-suaire/

 

François face au Linceul

 

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François Bergoglio plus corrompu que les pharisiens

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La bête à deux têtes : La secte conciliaire !

La bête à deux têtes : La secte conciliaire !

« Une autre bête a deux têtes sort de terre, et prête son appui à la première en forçant les hommes a lui ériger une idole, à l’adorer, et à porter le chiffre de son nom. » (Apocalypse du bienheureux Jean dévoilée ou Divulgation de la doctrine secrète du christianisme ; Adolphe Bertet, 1870)

Les deux “papes” de l’église Conciliaire (Bénoïte et Franzozo) sont les Anne & Caïphe de la secte conciliaire, les ennemis de Jésus… pour La Passion de l’Église

Qui est le pharisien Caïphe de notre époque ?

Jésus devant le Sanhédrin

François Bergoglio accuse l’Église de Caïphe, celle des temps bibliques, d’être « corrompue », mais il semble aveugle au fait qu’a notre époque, sa secte conciliaire est bien plus corrompue que celle du Grand Prêtre Caïphe ne l’a jamais été.

 

L’expression « endurcis dans le péché » décrit à la perfection Bergoglio et son clergé conciliaire corrompu, qui n’ont rien entrepris de concret pour mettre fin au déferlement des crimes pédophiles de la secte conciliaire.

Le Grand Prêtre de la secte conciliaire : Caïphe-Bergoglio !

 

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Le “Joyeux Noël” de Jean-Paul Sartre

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Écrit en 1940 pendant sa captivité en Allemagne, voici un texte de Jean-Paul Sartre sur Noël . Étonnant, non ?

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Le “Joyeux Noël” de Jean-Paul Sartre

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Athée, critique de l’aliénation religieuse… et auteur d’une très belle description de la Nativité. C’est en 1940, alors qu’il est prisonnier en Allemagne que le futur auteur de L’Être et le Néant signe cette « crèche vivante » à la demande de ses compagnons de détention. Cette expérience contribue à faire muer cet individualiste en philosophe de la liberté.

« Mais, comme c’est aujourd’hui Noël, vous avez le droit d’exiger qu’on vous montre la crèche. La voici. Voici la Vierge et voici Joseph et voici l’Enfant Jésus. L’artiste a mis tout son amour dans ce dessin mais vous le trouverez peut-être un peu naïf. Voyez, les personnages ont de beaux atours mais ils sont tout raides : on dirait des marionnettes. Ils n’étaient sûrement pas comme ça. Si vous étiez comme moi dont les yeux sont fermés… Mais écoutez : vous n’avez qu’à fermer les yeux pour m’entendre et je vous dirai comment je les vois au-dedans de moi. La Vierge est pâle et elle regarde l’enfant. Ce qu’il faudrait peindre sur son visage c’est un émerveillement anxieux qui n’a paru qu’une fois sur une figure humaine. Car le Christ est son enfant, la chair de sa chair et le fruit de ses entrailles. Elle l’a porté neuf mois et elle lui donnera le sein et son lait deviendra le sang de Dieu. Et par moments, la tentation est si forte qu’elle oublie qu’il est Dieu. Elle le serre dans ses bras et elle dit : mon petit ! Mais, à d’autres moments, elle demeure tout interdite et elle pense : Dieu est là – et elle se sent prise d’une horreur religieuse pour ce Dieu muet, pour cet enfant terrifiant. Car toutes les mères sont ainsi arrêtées par moments devant ce fragment rebelle de leur chair qu’est leur enfant et elles se sentent en exil à deux pas de cette vie neuve qu’on a faite avec leur vie et qu’habitent des pensées étrangères. Mais aucun enfant n’a été plus cruellement et plus rapidement arraché à sa mère car il est Dieu et il dépasse de tous côtés ce qu’elle peut imaginer. Et c’est une dure épreuve pour une mère d’avoir honte de soi et de sa condition humaine devant son fils. Mais je pense qu’il y a aussi d’autres moments, rapides et glissants, où elle sent à la fois que le Christ est son fils, son petit à elle et qu’il est Dieu. Elle le regarde et elle pense : « Ce Dieu est mon enfant. Cette chair divine est ma chair. Il est fait de moi, il a mes yeux et cette forme de sa bouche c’est la forme de la mienne. Il me ressemble. Il est Dieu et il me ressemble. » Et aucune femme n’a eu de la sorte son Dieu pour elle seule. Un Dieu tout petit qu’on peut prendre dans ses bras et couvrir de baisers, un Dieu tout chaud qui sourit et qui respire, un Dieu qu’on peut toucher et qui vit. Et c’est dans un de ces moments-là que je peindrais Marie, si j’étais peintre, et j’essaierais de rendre l’air de hardiesse tendre et de timidité avec lequel elle avance le doigt pour toucher la douce petite peau de cet enfant-Dieu dont elle sent sur ses genoux le poids tiède et qui lui sourit. Et voilà pour Jésus et pour la Vierge Marie.

Et Joseph ? Joseph, je ne le peindrai pas. Je ne montrerai qu’une ombre au fond de la grange et deux yeux brillants. Car je ne sais que dire de Joseph et Joseph ne sait que dire de lui-même. Il adore et il est heureux d’adorer et il se sent un peu en exil. Je crois qu’il souffre sans se l’avouer. Il souffre parce qu’il voit combien la femme qu’il aime ressemble à Dieu, combien déjà elle est du côté de Dieu. Car Dieu a éclaté comme une bombe dans l’intimité de cette famille. Joseph et Marie sont séparés pour toujours par cet incendie de clarté. Et toute la vie de Joseph, j’imagine, sera pour apprendre à accepter. »

Extrait de Bariona, ou le jeu de la douleur et de l’espoir, de Jean-Paul Sartre, in Théâtre complet, pp. 1163-1165, Pléiade © Éditions Gallimard.

 

sartre1970La Nativité d’un athée

Jean-Paul Sartre, le philosophe de la liberté, athée, auteur d’une description émerveillée de la crèche de Noël et de la nativité du Christ ? On a du mal à le croire. Et pourtant, ce texte est extrait d’une pièce de théâtre, Bariona, ou le jeu de la douleur et de l’espoir, écrite, mise en scène et jouée par Sartre – grimé en Balthazar, le Roi mage ! – en 1940, alors qu’il était prisonnier au Stalag XII-D de Trèves, en Allemagne. À l’approche de Noël, des compagnons de captivité, dont beaucoup sont catholiques, sollicitent Sartre pour qu’il écrive une pièce qui leur redonnerait espoir.

Source : http://www.philomag.com/les-idees/le-joyeux-noel-de-jean-paul-sartre-6448