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François Bergoglio plus corrompu que les pharisiens

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La bête à deux têtes : La secte conciliaire !

La bête à deux têtes : La secte conciliaire !

« Une autre bête a deux têtes sort de terre, et prête son appui à la première en forçant les hommes a lui ériger une idole, à l’adorer, et à porter le chiffre de son nom. » (Apocalypse du bienheureux Jean dévoilée ou Divulgation de la doctrine secrète du christianisme ; Adolphe Bertet, 1870)

Les deux “papes” de l’église Conciliaire (Bénoïte et Franzozo) sont les Anne & Caïphe de la secte conciliaire, les ennemis de Jésus… pour La Passion de l’Église

Qui est le pharisien Caïphe de notre époque ?

Jésus devant le Sanhédrin

François Bergoglio accuse l’Église de Caïphe, celle des temps bibliques, d’être « corrompue », mais il semble aveugle au fait qu’a notre époque, sa secte conciliaire est bien plus corrompue que celle du Grand Prêtre Caïphe ne l’a jamais été.

 

L’expression « endurcis dans le péché » décrit à la perfection Bergoglio et son clergé conciliaire corrompu, qui n’ont rien entrepris de concret pour mettre fin au déferlement des crimes pédophiles de la secte conciliaire.

Le Grand Prêtre de la secte conciliaire : Caïphe-Bergoglio !

 

* * *

 

François Bergoglio ne voit pas qu’il est plus corrompu que les pharisiens qui, du moins, n’ont jamais eu à gérer un holocauste sexuel contre des enfants !

 (traduit du site TRADITIO)

 

 Mattias Stom : Jésus-Christ devant Caïphe

Qui est le pharisien Caïphe de notre époque ?

François Bergoglio accuse l’Église de Caïphe, celle des temps bibliques, d’être « corrompue », mais il semble aveugle au fait qu’a notre époque, sa secte conciliaire est bien plus corrompue que celle du Grand Prêtre Caïphe ne l’a jamais été.

L’expression « endurcis dans le péché » décrit à la perfection Bergoglio et son clergé conciliaire corrompu, qui n’ont rien entrepris de concret pour mettre fin au déferlement des crimes pédophiles de la secte conciliaire.

 

L’aveuglement de « Monsieur l’Innocence », alias François Bergoglio, est inimaginable. Le 27 mars 2014, dans le sermon qu’il prononçait devant cinq cents membres du parlement italien lors d’une messe conciliaire célébrée en la basilique Saint-Pierre, il a déclaré : « les membres de la classe dirigeante – docteurs de la foi, Sadducéens et Pharisiens – s’étaient si endurcis dans leur péché qu’ils en étaient devenus corrompus ».

Les législateurs ont dû rester bouche bée, car Bergoglio se révélait ainsi inconscient du fait que ses propres critères le classent dans le camp des corrompus, davantage encore que le Grand Prêtre Caïphe. L’« endurcissement dans le péché », voilà en effet qui décrit parfaitement la corruption de Bergoglio et de son clergé conciliaire. Tel est donc le Grand Prêtre de la secte conciliaire, qui n’a rien entrepris de concret pour mettre fin à l’immense scandale causé par cette dernière avec ses affaires de détournement de fonds et de prédation sexuelle ; tel est celui qui a proclamé dernièrement que ladite secte avait souffert davantage que ses jeunes victimes !

« Monsieur l’Innocence » est si englué dans la boue conciliaire qu’il lui est impossible de s’en sortir. C’est un narcissiste qui ne se présente comme étant « Monsieur l’Humilité » que pour la « com » et la propagande. Notre Seigneur Jésus-Christ a condamné ce genre de comportement de façon expresse dans l’Évangile selon saint Matthieu (6 :16-21), proclamé en ce dernier Mercredi des Cendres. Dans son « homélie », Bergoglio a prétendu que plus que pécheurs, les pharisiens étaient corrompus, « parce qu’il leur était impossible d’écouter la voix du Seigneur ». Or, Bergoglio s’est montré lui-même sourd à la voix du Seigneur quand on a proclamé l’Évangile en question.

Bergoglio s’avère incapable de voir son propre péché alors même que ce dernier lui revient en pleine figure. À ses yeux, invertis, athées et marxistes sont tous dignes de louanges, mais il reste aveugle à sa propre corruption, qui fait de lui le pire de tous les papes conciliaires. Du moins Benoît Ratzinger a-t-il rassemblé ce qui lui restait de dignité en abdiquant de la charge qu’il avait salie.

Dans son « homélie », Bergoglio a dénoncé une « théologie de la foi » qu’enseigne l’Église catholique, non la secte conciliaire de l’intéressé. Il a aussi parlé de la « miséricorde » et de la « compassion » du Christ, omettant complètement de tempérer ces propos par la mention de la Justice et des commandements de Notre Seigneur. Ce que Notre Seigneur a dit en fait, et plusieurs fois, c’est ceci : « Si vous m’aimez, gardez mes commandements » (Jean 14 :15/DRV et al.)

[Certains éléments de ce commentaire ont été empruntés à Catholic World News.]

 

Fidèles catholiques, Bergoglio ne cesse de démontrer qu’il déteste la Foi catholique traditionnelle. Il veut lui substituer une invention à lui, une idéologie moderniste et libérale encore plus radicale, voire marxiste qui ignore à la fois le Christ, la doctrine catholique ainsi que la Loi morale naturelle de Dieu. En un an seulement, il a démoli ainsi, comme nul autre avant lui, ce qui restait du catholicisme !

 

 

Source : http://www.traditio.com/comment/com1403.htm#140331