Archive for the ‘Pape Pie XII’ Category
1er Mai : Ora et labora !
1er Mai : Ora et labora ! (1)
Revenons un moment sur ce premier Mai que le Monde a fêté dimanche. Fête du Travail pour les uns (les socialo-communistes), Fête de Saint Joseph Artisan pour les chrétiens…
Léon XIII (1810-1903) surnommé le “Pape des ouvriers”, voyant les graves dérives et les injustices dans le monde du Travail avait donné Saint Joseph comme Patron à tous les travailleurs et Pie XII a institué la Fête de St Joseph Artisan en 1955 devant le péril du danger communiste.
Extraits de l’encyclique de Léon XIII “Quamquam pluries” du 15 août 1889
Dans cette encyclique, Léon XIII rappelle d’abord que, dans toutes les périodes de grandes difficultés, l’Église implore Dieu et Marie, avec ferveur et persévérance. Il indique également que la ferveur chrétienne s’étant beaucoup refroidie de son temps, les moyens humains sont impuissants pour porter remède aux graves dangers qui menacent l’Église. Aussi exhorte-t-il les fidèles à prier Marie davantage, notamment pendant le mois d’octobre, mois du Rosaire.
Mais le Saint Père avait un autre dessein, objet de cette encyclique : inciter le peuple chrétien “à invoquer, avec une grande piété et une grande confiance, en même temps que la Vierge, Mère de Dieu, son très chaste Époux, le Bienheureux Joseph ; ce que nous estimons de science certaine être, pour la Vierge elle-même, désiré et agréable.” Cette dévotion est déjà répandue dans le peuple de Dieu grâce à l’action de nombreux Pontifes romains. Mais elle doit “s’enraciner davantage dans les mœurs et les institutions catholiques”, et Léon XIII en donne les principales raisons :
“Saint Joseph fut l’Époux de Marie et il fut le père de Jésus-Christ. De là ont découlé sa dignité, sa ferveur, sa sainteté et sa gloire… Comme Joseph a été uni à la bienheureuse Vierge par le lien conjugal, il n’est pas douteux qu’il n’ait approché, plus que personne, de cette dignité suréminente par laquelle la Mère de Dieu surpasse de si haut toutes les natures créées… En donnant Joseph pour époux à la Vierge, Dieu lui donna non seulement un compagnon de sa vie, un témoin de sa virginité, un gardien de son honneur, mais encore, en vertu même du pacte conjugal, un participant de sa sublime dignité…”
Ainsi, Joseph a été, de par la volonté divine, le gardien du Fils de Dieu, regardé par les hommes comme son père. “Et le Verbe de Dieu lui était humblement soumis, Il lui obéissait et lui rendait tous les devoirs que les enfants sont obligés de rendre à leurs parents.”
De son côté Joseph supportait les charges que la nature impose aux pères de famille. “Il s’appliqua à protéger avec un souverain amour et une sollicitude quotidienne son Épouse et le divin Enfant ; il gagna régulièrement par son travail ce qui était nécessaire à l’un et à l’autre pour la nourriture et le vêtement ; il préserva de la mort l’Enfant menacé par la jalousie d’un roi, en lui procurant un refuge ; dans les incommodités du voyage et les amertumes de l’exil, il fut constamment le compagnon, l’aide et le soutien de la Vierge et de Jésus. Or, la divine maison que Joseph gouverna avec l’autorité d’un père, contenait les prémices de l’Église naissante…”
C’est pourquoi la multitude des chrétiens qui composent l’Église lui est particulièrement confiée. “Il est donc naturel et très digne du bienheureux Joseph que, de même qu’il subvenait autrefois à tous les besoins de la famille de Nazareth et l’entourait saintement de sa protection, il couvre maintenant de son céleste patronage et défende l’Église de Jésus-Christ…”
L’Église admet que le “Joseph des temps anciens, fils du patriarche Jacob, fut la figure du nôtre et, par son éclat, témoigna de la grandeur du futur gardien de la divine famille.” En effet, dans l’ancien patriarche, on reconnaît le nouveau : “Comme le premier Joseph fit réussir et prospérer les intérêts domestiques de son maître et rendit bientôt de merveilleux services à tout le royaume, de même le second, destiné à être le gardien de la religion chrétienne, doit être regardé comme le protecteur et le défenseur de l’Église, qui est vraiment la maison du Seigneur et le royaume de Dieu sur la terre.”
Tous les hommes de la terre et de toutes les conditions peuvent se recommander à Saint Joseph :
— “les pères de famille trouvent en Joseph la plus belle personnification de la vigilance et de la sollicitude paternelle,
— les époux, un parfait exemple d’amour, d’accord et de fidélité conjugale,
— les vierges ont en lui le modèle et le protecteur de l’intégrité virginale,
— les nobles de naissance apprennent de Joseph à garder, même dans l’infortune, leur dignité,
— les riches comprennent par ses leçons, quels sont les biens qu’il faut désirer et acquérir au prix de tous ses efforts,
— les prolétaires, les ouvriers, les personnes de condition médiocre ont comme un droit spécial à recourir à Joseph et à se proposer son imitation.
Car Joseph, de race royale, uni par le mariage à la plus grande et à la plus sainte des femmes, regardé comme le père du Fils de Dieu, passa sa vie à travailler… Joseph, content du peu qu’il possédait, supporta les difficultés inhérentes à cette médiocrité de fortune avec grandeur d’âme… à l’imitation du Seigneur de toutes choses qui s’assujettit volontairement à l’indigence et au manque de tout.”
Saint Joseph est vraiment le modèle de tous ceux qui vivent du travail de leurs mains. Et “s’ils ont le droit de sortir de la pauvreté et d’acquérir une meilleure situation par des moyens légitimes, la raison et la justice leur défendent de renverser l’ordre établi par la Providence de Dieu. Bien plus, le recours à la force et les tentatives par voie de sédition et de violence sont des moyens insensés qui aggravent, la plupart du temps, les maux pour la suppression desquels on les entreprend…”
L’encyclique de Léon XIII conclut :
“Nous prescrivons que, pendant tout le mois d’octobre, à la récitation du Rosaire, …, on ajoute une prière à Saint Joseph. Il en sera ainsi fait chaque année à perpétuité… C’est une pratique salutaire et des plus louables… de consacrer le mois de mars à honorer, par des exercices de piété quotidiens, le Saint Patriarche… Nous exhortons les fidèles à sanctifier autant que possible le 19 mars, par la piété privée, en l’honneur de leur céleste patron.”
Après avoir reconnu officiellement les associations chrétiennes des travailleurs italiens le 11 mars 1945, Pie XII, s’adressant le 1er mai 1955 à 200.000 ouvriers rassemblés sur la place Saint-Pierre à Rome, leur déclara qu’il instituait une fête de Saint Joseph, ouvrier. Cette fête serait célébrée chaque année le 1er mai en sorte qu’elle puisse exercer, sur tous les travailleurs sans exception, sa bienfaisante influence dans le sens voulu par l’Évangile et préconisé par l’Église.
Pie XII institua en 1955, la fête de Saint Joseph artisan, destinée à remplacer celle du patronage de Saint Joseph.
“…Il ne pourrait y avoir de meilleur protecteur pour vous aider à faire pénétrer dans vos vies l’esprit de l’Évangile… Il est certain qu’aucun travailleur n’en fut jamais aussi parfaitement et profondément pénétré que le père putatif de Jésus qui vécut avec lui dans la plus étroite intimité et communauté de famille et de travail. De même, si vous voulez être près du Christ, nous vous répétons encore : allez à Joseph… Nous avons le plaisir de vous annoncer notre détermination d’instituer — comme nous instituons en réalité — la fête liturgique de Saint Joseph artisan, en la fixant précisément au 1er mai…”
L’institution de cette fête fut accompagnée d’une liturgie nouvelle : Messe et Office.
En christianisant la fête socialo-communiste du 1er Mai, Pie XII donnait solennellement aux travailleurs Saint Joseph comme Patron afin de faire régner le Christ, même dans le monde du travail ; de faire régner la justice et la charité entre les classes sociales ; de sanctifier le travail à l’exemple de Jésus qui nous a montré comment associer dans notre vie prière et travail : « Ora et labora », “prier et travailler” (devise bénédictine…)
L’Église, chargée de continuer l’œuvre de Notre Seigneur, a institué la fête de saint Joseph, ouvrier (artisan), pour le donner comme modèle à toute la classe ouvrière afin de lui montrer la dignité de la condition de ceux qui travaillent de leurs mains comme l’a fait l’époux de la Vierge Marie et Jésus-Christ lui-même qu’on pensait être le fils du charpentier de Nazareth.
Voilà ce que disait à ce sujet Pie XII le 1er mai 1956, en haranguant des milliers d’ouvriers réunis sur la place Saint Pierre :
« Dès leurs origines, nous avons mis vos associations sous le puissant patronage de saint Joseph. Il ne pourrait, en effet, y avoir de meilleur protecteur pour vous aider à faire pénétrer dans vos vies l’esprit de l’Évangile.
C’est du cœur de l’Homme-Dieu, Sauveur du monde, que cet esprit passe en vous et en tous les hommes. Mais il est certain également qu’aucun travailleur n’en fut jamais aussi parfaitement et profondément pénétré que le Père putatif de Jésus qui vécut avec lui dans la plus étroite intimité et communauté de famille et de travail. De même, si vous voulez être près du Christ, nous vous disons : « Ite ad Joseph : Allez à Joseph ! » (Gen. 41, 55). (2)
Le monde du travail s’est adjugé le 1er mai comme sa fête propre, avec l’intention que tous reconnaissent la dignité du travail et que celle-ci inspire la vie sociale et les lois fondées sur la juste répartition des droits et des devoirs.
Accueilli de la sorte par les travailleurs chrétiens et recevant pour ainsi dire la consécration chrétienne, le 1er mai, bien loin de réveiller les discordes, la haine et la violence, est et sera une invitation périodique adressée à la société moderne pour achever ce qui manque encore à la paix sociale. Fête donc, c’est-à-dire jour de jubilation pour le triomphe concret et progressif des idéaux chrétiens de la grande famille du travail.
Aussi nous fixons la fête de saint Joseph ce jour-là parce que l’humble artisan de Nazareth, non seulement incarne auprès de Dieu et de la Sainte Église la dignité du travailleur manuel, mais reste toujours votre vigilant gardien et celui de vos familles.
Par votre fidèle adhésion à la doctrine de l’Évangile et aux directives de la Sainte Hiérarchie vous ne collaborerez pas seulement, dans le camp du travail, au triomphe du règne de Dieu dans une société qui souvent oublie sa présence, sa volonté et ses droits sacrés, mais vous vous inscrirez parmi les premières troupes de ces forces saines du corps social engagées dans la pacifique bataille pour le salut commun des peuples- Prenez pleine conscience de l’honneur que comporte cette double collaboration et Dieu ne manquera pas de vous faire goûter les fruits de la justice, de l’ordre et de la paix que vous aurez puissamment contribué à mûrir ».
L’Église avait mené une action continue dans le domaine social depuis plus d’un siècle quand Pie XII institua cette fête. C’est ce que l’on a appelé ensuite “la question sociale” pour les questions liées au travail ; et cette fête s’inscrivait dans la lutte pour le bien commun, soit spirituel, soit temporel, dans la société.
La Doctrine Sociale de l’Église
L’Église n’a fait que continuer la mission de Jésus-Christ sur terre qui passait partout en faisant du bien à tous.
Théologie de la fausse résistance : Le Pape parle, mais c’est vous qui décidez !
À propos de “jugement privé”…
Théologie de la fausse résistance :
Le Pape parle, mais c’est vous qui décidez !
Qui a besoin d’un Pape alors qu’il existe
des tamiseurs et des résistants autoproclamés ?
par Novus Ordo Watch
On dirait que cette année nous réserve un véritable Armaggedon entre la fausse position traditionaliste “R&R” « reconnaître-tout-en-résistant » et le sédévacantisme. Qu’il en soit donc ainsi, car la question est d’une très grande importance. La stratégie appliquée à l’heure actuelle par John Salza et Robert Siscoe – coauteurs de « True or False Pope? » (Vrai ou Faux pape ?) – fait penser à un “une-deux de boxeur” visant à enterrer le débat sous une flopée de brefs articles afin de nous submerger, ainsi que de diviser pour régner en insistant sur des questions ne pouvant recueillir notre accord. Le but de l’opération est d’empêcher une réaction unifiée de notre part et de nous paralyser, en quelque sorte, dans l’espoir peut-être que nous nous déchirerons entre nous au lieu de nous en prendre aux deux personnages en question.
Fort bien. Mais cette stratégie échouera.
Comme annoncé précédemment, nous devons résister à la tentation de réagir point par point à tout ce que l’on nous jette à la figure en ce moment. Pour l’instant, nous restons sur notre quant-à-soi en nous bornant à observer le déroulement de l’opération. Nos réponses viendront, mais ne consisteront pas en des ripostes directes et frénétiques au coup par coup. Au lieu de cela, nous développerons calmement nos arguments au moment voulu. Peut-être ces gens essayent-t-ils de nous paniquer, mais si tel est le cas, c’est raté. Bien que nous indiquions des liens avec eux, nous avons remarqué qu’ils ne nous rendaient pas la pareille. C’est malheureux, mais nous nous en accommoderons. Voici une brève récapitulation des « posts » les plus récents que nous avons publiés au sujet de leur livre et(ou) de leur position :
- True or False Pope: On that alleged « irrational » Sedevacantist Response (Vrai ou faux Pape : sur cette réaction sédévacantiste prétendument « irrationnelle »)
- True or False Popes? Novus Ordo Watch Page on Sedevacantism (Vrais ou faux Papes ? Page de Novus Ordo Watch sur le sédévacantisme)
- TRADCAST 010: A Critical Look at the Endorsements for the book True or False Pope? (TRADCAST 010 : Regard critique sur les approbations recueillies par le livre « True or False Pope? »
- TRADCAST 009: Dismantling John Salsa’s interview on TradCatKnight Radio (Part 1) (TRADCAST 009 : dissection de l’interview de John Salza diffusée par TradCatKnight Radio – première partie)
- TRADCAST 011: Dismantling John Salsa’s interview on TradCatKnight Radio (Part 2) (TRADCAST 011 : dissection de l’interview de John Salza diffusée par TradCatKnight Radio – seconde partie)
- Sedevacantism and Private Judgment (Sédévacantisme et jugement privé)
- Why do Many Traditionalists Fear Sedevacantism? (Pourquoi beaucoup de traditionalistes ont-ils peur du sédévacantisme ?)
- Francisco Suarez on Heretical Popes (Francisco Suarez sur les papes hérétiques)
- Have the Gates of Hell Prevailed against the Church? Les Portes de l’Enfer ont-elles prévalu contre l’Église ?)
Alors que nous attendons toujours notre exemplaire de « True or False Pope? » (allez, les gars, dépêchez-vous !), il est temps de braquer à nouveau le projecteur sur la position par laquelle Salza et Siscoe entendent remplacer le sédévacantisme en tant qu’unique position « catholique traditionnelle » authentique par une posture fréquemment appelée “R&R” « reconnaître-tout-en-résistant » et qui peut se résumer aussi par la formule :
« Le Pape a parlé, mais c’est VOUS qui décidez ! »
La sédévacantophobie…
Analyse d’un blocage mental,
la sédévacantophobie
Pourquoi tant de traditionalistes ont-ils peur du sédévacantisme ?
par Novus Ordo Watch
Pour nous, Catholiques semper idem…
La Sainte Écriture nous enseigne que lorsque Dieu Tout Puissant a créé l’homme, Il l’a créé — ainsi que toute sa progéniture — à Son image et à Sa ressemblance. « Puis Dieu dit : “Faisons l’homme à notre image, selon notre ressemblance…” » (Gen. 1 :26 ; cf. Gen. 2 :7). Par « image » et « ressemblance, il faut entendre notre intellect et notre volonté, dont la possession nous distingue des animaux (cf. Pape Léon XIII, Encyclique Exeunte Iam Anno, par. 14). Notre intellect et notre volonté appartiennent à notre âme rationnelle, que Dieu a infusée dans notre corps. La fonction de notre intellect est de savoir, et celle de notre volonté est d’aimer. Mais que devons-nous connaître et aimer ? Notre intellect nous a été donné pour connaître ce qui est vrai, et notre volonté nous a été donnée pour aimer ce qui est bien. Le vrai et le bien sont ainsi les objets attitrés de notre intellect et de notre volonté, respectivement.
Sur ce site Internet (Novus Ordo Watch,ndlr), beaucoup de choses ont trait au débat sur la nature de la crise traversée par l’Église catholique, notamment en ce qui concerne le Pontificat romain (la papauté). De par sa nature même, tout argument relève de l’intellect, dans la mesure où il fait partie de l’opération intellectuelle appelée raisonnement discursif. Autrement dit, l’argumentation a pour but d’éclairer l’intellect, lequel peut dès lors animer la volonté, mais à la seule condition qu’on n’introduise pas dans la volonté un obstacle qui l’empêche d’agir ou la gêne dans son action.
Depuis longtemps, hélas ! beaucoup de gens ne laissent plus des preuves suffisantes éclairer leur intellect ; au lieu de cela, ils refusent d’admettre que le Siège de Pierre est vacant (ou, en tout cas, qu’il n’est validement occupé ni par François, ni par Benoît XVI, bien qu’il soit possible, en théorie du moins, qu’existe un Pape valide dont — pour une raison ou pour une autre — l’existence ne peut se manifester. Avec de telles personnes, il est vain de continuer à argumenter, parce que, répétons-le, tout argument relève de l’intellect, tandis que chez les intéressés, l’obstacle réside non dans l’intellect, mais dans la volonté.
Il était une fois un clown blanc au Sri Lanka et aux Philippines…
Comme l’antipape Jean-Paul II en 1984 en Thaïlande, l’antipape François a visité un temple bouddhiste à Colombo
La visite n’était pas inscrite au programme officiel, mais on sait que François Ø aime surprendre ! L’antipape a, en effet, visité un temple bouddhiste à Colombo, dans un pays où cette philosophie est suivie par 70 % de la population…
La visite a duré une vingtaine de minutes pendant lesquelles le clown-blanc Conciliaire a été guidé dans le temple Agrashravaka par le moine qui le dirige. Il a pu assister à l’ouverture du reliquaire contenant les reliques de deux importants disciples du Bouddha, un honneur rare et « la marque la plus élevée de respect que nous pouvions offrir à Sa Sainteté », a déclaré le responsable du temple.
C’est à sa descente d’avion, mardi 13 janvier, que l’antipape avait été invité à visiter ce temple, mais le programme officiel ne prévoyait pas cette visite. François Ø a accepté l’invitation impromptue pour « témoigner de son amitié et de son attitude positive » envers les bouddhistes.
Le moine a ouvert la stūpa de son temple pour lui dans laquelle repose les reliques de deux hommes “saint”. La Stūpa, une sorte de cloche est normalement ouverte une fois par an. Huit ou dix moines ont alors chanté une prière, le clown-blanc Conciliaire les a écoutés. Ensuite, une petite réception avait été organisée mais l’antipape n’est pas resté. Il a cependant remarqué une photo de ce moine avec Benoit XVI au Vatican…
La secte des Feeneyistes condamnée
Le Feeneyisme est condamné
Pour mettre un terme aux faux arguments des Feeneyistes nous publions trois documents qui mettent en évidence leurs condamnations.
La secte des Feeneyistes condamnée
Nous vous proposons donc parmi ces trois documents, deux textes capitaux de l’abbé Anthony Cekada pour comprendre et bien se fixer les idées sur le Baptême de sang et le Baptême de désir.
Traduction : le CatholicaPedia.net
(Que notre traducteur soit encore une fois et toujours remercié pour son travail professionnel)
Abbé Anthony Cekada, Baptême de Désir Et Principes Théologiques
Source traditionalmass.org : http://www.traditionalmass.org/images/articles/BaptDes-Proofed.pdf
Abbé Anthony Cekada, Le Feeneyisme – Échange de Vues Sur Le Baptême de Désir
Source traditionalmass.org : http://www.traditionalmass.org/articles/article.php?id=28&catname=2
Saint Joseph artisan « Patron des travailleurs »
N’oublions pas Monseigneur Saint Joseph…
Par décision de Pie XII, depuis 1955, aujourd’hui, 1er mai , nous fêterons ce noble Patriarche comme « Patron des travailleurs »… modèle des travailleurs !
Prière à saint Joseph artisan composée par Pie XII (11 mars 1958).
Pie XII a accordé une indulgence partielle de trois ans aux travailleurs qui réciteront cette prière avec piété et d’un cœur contrit.
Ô glorieux Patriarche saint Joseph, humble et juste artisan de Nazareth, qui avez donné à tous les Chrétiens, mais spécialement à nous, l’exemple d’une vie parfaite dans le travail assidu et dans une admirable union avec Marie et Jésus, aidez-nous dans notre tâche quotidienne, afin que nous aussi, artisans catholiques, nous puissions trouver en celle-ci le moyen efficace de glorifier le Seigneur, de nous sanctifier et d’être utiles à la société où nous vivons, tous idéaux suprêmes de notre activité.
Obtenez-nous du Seigneur, ô Protecteur bien-aimé, humilité et simplicité de cœur, amour pour le travail et bienveillance pour ceux qui y sont nos compagnons, conformité à la volonté divine dans les souffrances inévitables de cette vie et joie en les supportant, conscience de notre mission sociale spécifique et sens de notre responsabilité, esprit de discipline et de prière, docilité et respect envers les supérieurs, fraternité envers nos égaux, charité et indulgence pour ceux qui dépendent de nous.
Soyez avec nous dans les moments de réussite, quand tout nous invite à goûter honnêtement les fruits de nos fatigues ; mais soutenez-nous dans les heures tristes, lorsque le Ciel semble se fermer pour nous et les instruments du travail se rebeller eux-mêmes entre nos mains.
Faites qu’à votre exemple, nous tenions les yeux fixés sur notre Mère Marie, votre très douce épouse, qui filait silencieusement dans un coin de votre modeste atelier, laissant glisser sur ses lèvres le sourire le plus suave ; que nous n’éloignions pas notre regard de Jésus qui s’affairait avec vous à votre établi de menuisier ; ainsi pourrons-nous mener sur terre une vie paisible et sainte, prélude de celle éternellement heureuse qui nous attend dans le Ciel, pour tous les siècles des siècles.
Ainsi soit-il !
Malheureusement cette fête éclipse, mais n’annule pas, la solennité de Saint Joseph Patron de l’Église Universelle instituée par Sa Sainteté Pie IX.
Fête avec octave célébrée le mercredi de la troisième semaine après Pâques ; donc, cette année le 7 mai. Cette éclipse serait-elle à l’origine de nos malheurs actuels ???
* * *
Autre prière de Saint Pie X au Glorieux Saint Joseph :
Prière de Saint Pie X
au Glorieux Saint Joseph modèle des travailleurs
Glorieux saint Joseph, modèle de tous ceux qui sont voués au travail, obtenez-moi la grâce de travailler en esprit de pénitence pour l’expiation de mes nombreux péchés ; de travailler en conscience, mettant le culte du devoir au-dessus de mes inclinations ; de travailler avec reconnaissance et joie, regardant comme un honneur d’employer et de développer par le travail les dons reçus de Dieu ; de travailler avec ordre, paix, modération et patience, sans jamais reculer devant la lassitude et les difficultés ; de travailler surtout avec pureté d’intention et avec détachement de moi-même ayant sans cesse devant les yeux la mort et le compte que je devrai rendre du temps perdu, des talents inutilisés, du bien omis et des vaines complaisances dans le succès, si funestes à l’œuvre de Dieu.
Tout pour Jésus, tout pour Marie, tout à votre imitation, patriarche saint Joseph !
Telle sera ma devise à la vie à la mort.
Ainsi soit-il.