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Un appel aux vivants en faveur des morts
Je vous propose un texte magnifique du R.P. James Mumford, s.j., (1606-1666), qui décrit les Précieux Avantages de la Charité envers les Âmes du Purgatoire.
James Mumford
L’auteur James Mumford est cité dans le Wikipedia de langue anglaise. Il est défini comme suit :
James Mumford (c.1606 – 9 March 1666) was an English Jesuit and Catholic controversialist.
Born in Norfolk or Suffolk, Mumford became a Jesuit novice in 1626, was ordained priest at Liège around 1635, and made his Jesuit profession in 1641. He taught in the Jesuit colleges at St Omer, Watten, and Liège, where he was elected rector in 1648. He returned to England in 1650, based in Norwich as a member (and possibly later rector) of the Jesuit College of the Holy Apostles, which comprised the Jesuits’ English mission to eastern counties. In the late 1650s he was arrested, displayed in the city streets, and imprisoned. After no witnesses were found to accuse him of the crime of being a priest, he was discharged and returned to mission work.
Aside from his controversial writings, Mumford wrote several works on purgatory.
Ceci est un extrait de l’article James Mumford de l’encyclopédie libre Wikipedia. La liste des auteurs est disponible sur Wikipedia.
Traité de la Charité
qu’on doit avoir pour les Morts
Extraits du Révérend Père James Munford (ou Mumford) de la Compagnie de Jésus
Tractatus de Misericordia Fidelibus Defunctis Exhiba, 1666.
Autre titre : Précieux Avantages de la Charité envers les Âmes du Purgatoire.
« Si quelqu’un donne un verre d’eau seulement à un de ces plus petits, je vous dis en vérité qu’il ne perdra pas sa récompense » (Math.XI, 42)
En offrant à Dieu nos bonnes œuvres pour les âmes du Purgatoire, loin d’y perdre, nous y gagnons beaucoup. Expliquons un peu en détail cette consolante vérité.
Toute bonne action est méritoire, si on la fait avec une intention pure ; si petite qu’elle paraît, sa récompense sera grande au dernier jour, lorsque le Juge souverain, se tournant vers les élus, leur dira : « Venez les bénis de mon Père, prenez possession du royaume qui vous a été préparé, car j’ai eu faim, et vous m’avez donné à manger ; j’ai eu soif, et vous m’avez donné à boire… » (ib. XXV, 24.) Remarquez ici pourquoi les élus sont appelés au Royaume céleste. C’est, dit le Juge, parce que j’ai eu faim et que vous m’avez donné à manger, etc. Aussi en parlant à chacun d’eux, il leur dit : Ô bon et fidèle serviteur, parce que vous avez été fidèles dans les moindres choses, je vous en donnerai de grandes ; entrez dans la joie de votre Seigneur. (ib. XXV, 23) C’est donc la fidélité et le soin que nous apportons à faire les bonnes œuvres, qui est la vraie cause pour laquelle le Sauveur comble de joie ses saints dans le Ciel.
Les bonnes actions que nous faisons non seulement sont méritoires, mais elles sont impétratoires, c’est à dire qu’elles nous obtiennent des grâces actuelles, même sans que nous les demandions ; et ces grâces, nous pouvons les transférer au prochain avec un grand accroissement de mérites et de nouvelles grâces pour nous-mêmes.
Enfin, les bonnes œuvres sont satisfactoires, c’est à dire qu’elles obtiennent de la justice de Dieu la rémission des peines dues aux péchés dont nous avons déjà obtenu le pardon ; et ces satisfactions, il nous est permis de les employer à payer, non pas nos propres dettes, mais celles des pécheurs pénitents, et surtout des âmes du Purgatoire.
Veilleurs de “La Manif Pour Tous” : Voie de garage …ou pire !
Issus du mouvement “La Manif Pour Tous”,
Il y a une semaine, le mouvement des Veilleurs naissait. Quelques dizaines de jeunes sur les pelouses de l’esplanade des Invalides manifestaient dans le calme jusqu’à minuit et demi. Puis les veillées se sont renouvelées, chaque soir, avec de plus en plus de succès.
Au programme : chants et lectures de textes philosophiques et poétiques. Maître mot : la non violence. Tous unis dans cette même certitude que la plus grande des forces est une force intérieure, preuve de bon sens et de sagesse face à la gravité de la situation.
(…)
http://www.lamanifpourtous.fr/fr/toutes-les-actualites/280-les-veilleurs-s-etendent
Cyril Brun — le délégué général de l’Institut éthique et politique Montalembert à Paris — écrivait dans une Tribune libre de Nouvelles de France, le 22 avril 2013 :
La France se met en veille et se couvre de lumières chaque soir davantage. C’est Notre-Dame de Fourvière qui doit être contente ! Au cœur de la nuit froide et glaciale que traverse l’Homme aujourd’hui, des îlots d’espérance réchauffent les cœurs de centaines, de milliers de jeunes et de moins jeunes. Cette France ne se met pas en veille comme on se tient en retrait pour attendre son heure, elle est en veille active. Et comme une peau de chagrin inversée, elle gagne du terrain, illuminant chaque nuit un peu plus le cœur et l’âme de ceux qui se laissent rejoindre par la paix et le beau. Face à l’escalade de la violence, nos veilleurs marquent une pause…
* * *
Et Patrice de Plunkett écrivait lui, sur son blogue :
Sur France Inter, les débatteurs constataient l’absence d’incidents à Paris et l’émergence du phénomène des Veilleurs : courant jeune, gandhiste, et immunisé radicalement contre… la “radicalisation”. Pour en savoir plus sur les Veilleurs : voir leur compte Twitter ici. Quant à la “radicalisation”, c’est la sempiternelle alliance entre la place Beauvau et les provocateurs. En 1968, les provocateurs d’une extrême droite pseudo-étudiante parlaient d’aller “reconquérir la Sorbonne” pour le compte du SAC : le carnage fut évité de peu. En 2013, les provocateurs d’une extrême droite pseudo-familialiste parlent (un peu trop fort) “d’aller à l’Élysée”, etc. On voit d’où souffle le vent, et pour gonfler quelle manche à air… Félicitons les responsables de la Manif-pour-tous d’avoir su, hier, exfiltrer les infiltrés : l’image de ces manifs redevient elle-même, les journalistes sont forcés de l’admettre.
Twitter : https://twitter.com/VeilleursParis
Facebook : https://www.facebook.com/pages/Les-Veilleurs/487976067936709
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Voie de garage …ou pire !
Témoignage Veilleurs :
Un correspondant nous écrit :
Vous trouverez ci-dessous le témoignage d’un couple de quinquagénaires de notre famille, suivie d’une réponse suffisamment générale pour concerner tous les “cathos” qui suivent le mouvement. Devant la séduction mortelle qu’exercent ces “veilleurs”, peut-être serait-il bon de la diffuser largement si vous la jugez pertinente.
In Christo
Voici notre témoignage pour avoir participé à 2 soirées de Veilleurs aux Invalides :
Les textes lus sont d’auteurs parfois aux antipodes, allant d’Aristote à Soljenitsyne, en passant par des auteurs de tous bords. Ils sont choisi quand ils incarnent l’esprit de résistance face au mépris des lois naturelles inscrites au cœur de tout homme, « l’amour de ses racines et de son Pays », « l’exaltation du courage » et « l’opposition à la force injuste de la Loi ». D’où les références à Solidarnoïsc et Gandhi.
Dans l’esprit d’Axel et Alix, la force pacifique de la Veillée, le chant de l’Espérance, ou des Partisans, ont pour but de pouvoir nourrir la force de chacun sur le long terme, à pouvoir supporter un jour l’interpellation, voire plus si le Pouvoir resserre son étreinte. Pour cela, les fondateurs souhaitent pérenniser leur initiative et choisissent volontairement l’illégalité du lieu et du moment de la Veillée.
Nous, catholiques, pouvons donc rejoindre ce concept en proposant au micro les auteurs que nous aimons et souhaitons faire connaitre, à toutes les personnes présentes…. Nous le vivons donc comme une intuition positive dont peut se servir, là aussi, la Providence.
« Les veillées ne sont pas religieuses et parmi les veilleurs, il y a de tout, des juifs, des musulmans… », insiste Charles. « Ce n’est pas directement religieux, mais par le silence, la lecture, il y a une dimension intérieure que l’on peut qualifier de spirituelle », analyse pourtant Guillaume de Prémare, l’un des acteurs de La Manif pour Tous, catholique revendiqué et dont deux des enfants sont engagés dans le mouvement des veilleurs. « Et, même s’il ne s’agit pas d’une stratégie d’évangélisation pensée, leur paix intérieure peut contribuer à évangéliser les cœurs ».
Ceux qui suivent ces “veilleurs” ont-ils oublié les grands enseignements de Notre-Seigneur,
— « Je suis la vigne ; vous, les sarments. Celui qui demeure en moi, et moi en lui, celui-là porte beaucoup de fruit ; car hors de moi vous ne pouvez rien faire ». Rien, c’est à dire RIEN, rien de durable, rien de vrai, et surtout, surtout rien pour la vie éternelle, la seule Vraie Vie. « À quoi sert à l’homme de gagner l’univers, s’il vient à perdre son âme ? » À quoi sert de faire reculer une loi si les droits de Notre-Seigneur continuent à être bafoués, la Foi obscurcie, les âmes perdues, … Comment pensez-vous pouvoir donner de la force aux gens sans Celui qui donne la Force, le Saint Esprit !!! Les païens aussi ont eu leurs héros, mais cela ne leur a servi de rien, de RIEN pour le salut éternel. C’est pour le salut qu’il faut être héroïque, pour le témoignage de la Vérité, et c’est pour cela que les chrétiens sont morts en martyrs, en témoins !
— « Là où deux ou trois sont réunis en mon Nom, Je suis au milieu d’eux ». JE, c’est-à-dire Dieu lui-même. Et que sont ces centaines de personnes, et que seraient des milliers, qui ne se réunissent pas au nom de Notre-Seigneur, mais de la Démocratie, de l’Humanité ? Leur action est vaine et une insulte à Notre-Seigneur qui « s’est humilié lui-même en faisant preuve d’obéissance jusqu’à la mort, et la mort sur la croix. C’est aussi pourquoi Dieu l’a élevé à la plus haute place et lui a donné le nom qui est au-dessus de tout nom afin qu’au nom de Jésus chacun plie le genou dans le ciel, sur la terre et sous la terre et que toute langue reconnaisse que Jésus-Christ est le Seigneur, à la gloire de Dieu le Père. » Deux ou trois armés du signe de la Croix seront toujours plus puissants qu’une armée, car « Je suis au milieu d’eux ».
— « Celui qui rougira de moi devant les hommes, je rougirai de lui devant mon Père qui est au ciel ». Pour faire du nombre on abaisse l’étendard du Christ, on rougit d’affirmer que ces lois contre-nature le sont parce qu’elles se dressent contre la Loi de Dieu. On se met à la remorque de ceux qui se revendique d’être sans Dieu. Comme si on pouvait arriver à quelque chose sans la grâce. « Lequel des hommes, en effet, connaît les choses de l’homme, si ce n’est l’esprit de l’homme qui est en lui ? De même, personne ne connaît les choses de Dieu, si ce n’est l’Esprit de Dieu. Or nous, nous n’avons pas reçu l’esprit du monde, mais l’Esprit qui vient de Dieu, afin que nous connaissions les choses que Dieu nous a données par sa grâce. Et nous en parlons, non avec des discours qu’enseigne la sagesse humaine, mais avec ceux qu’enseigne l’Esprit, employant un langage spirituel pour les choses spirituelles. Mais l’homme animal ne reçoit pas les choses de l’Esprit de Dieu, car elles sont une folie pour lui, et il ne peut les connaître, parce que c’est spirituellement qu’on en juge. L’homme spirituel, au contraire, juge de tout, et il n’est lui-même jugé par personne. Car Qui a connu la pensée du Seigneur, Pour l’instruire ? Or nous, nous avons la pensée de Christ. » (Saint Paul)
La loi naturelle ne tient sa puissance et ne doit être défendue que parce qu’elle vient de Dieu, de qui vient tout ce qui est bon. Le nom de Jésus n’est pas consensuel, il peut même être compromettant, donc on le dissimule derrière de faux-prophètes qui annoncent à la terre une paix humaine, une évolution positive du genre humain, (nous avons lu les textes des veilleurs, sur leur blog ; sous un apparent enthousiasme, une exaltation sentimentale, ce ne sont que des mensonges de faux-prophète de l’Humanité qui trouve le Bonheur hors de Dieu « Qui n’est pas avec Moi est contre Moi », à l’exemple de cette citations de Chaplin (une parmi tant d’autres) « Il faut nous battre pour libérer le monde, pour renverser les frontières et les barrières raciales, pour en finir avec l’avidité, avec la haine et l’intolérance. Il faut nous battre pour construire un monde de raison, un monde où la science et le progrès mèneront tous les hommes vers le bonheur. Soldats, au nom de la Démocratie, unissons-nous tous ! » Non, la libération a eu lieu, une fois pour toute, avec le sacrifice de Notre-Seigneur, et elle se poursuit dans le combat contre le Mal, c’est-à-dire, le Démon, le Monde et nous-même ; le bonheur ne se trouve ni dans l’amour universel, ni dans la raison, ni dans le progrès, ni dans la démocratie. « Sans Moi vous ne pouvez rien faire ! »
« Il n’est pas opportun de marcher sous la bannière du Christ, de rebuter ainsi les âmes de bonne volonté » ? Tout d’abord à cela Notre-Seigneur répond « J’ai encore d’autres brebis qui ne sont pas de cette bergerie ; il faut aussi que je les amène, et elles entendront ma voix. »
Les âmes de bonne volonté entendent la voix de Notre-Seigneur, encore faut-il que quelqu’un leur fasse entendre… À ceux qui utilisent cet argument, il sera donné la fameuse réponse du Cardinal Pie à Napoléon III : « Sire, quand de grands politiques comme votre Majesté m’objectent que le moment n’est pas venu, je n’ai qu’à m’incliner parce que je ne suis pas un grand politique. Mais je suis un évêque, et comme évêque je leur réponds : le moment n’est pas venu pour Jésus-Christ de régner ? Eh bien ! alors, le moment n’est pas venu pour les gouvernements de durer ». Les actions qui n’ont pas pour but le règne de Notre-Seigneur n’ont que des triomphes éphémères, et ne mènent qu’au chaos social.
Saint Paul nous dit exactement contre qui nous luttons et comment lutter :
« Car nous n’avons pas à lutter contre la chair et le sang, mais contre les princes, contre les puissances, contre les dominateurs de ce monde de ténèbres, contre les esprits mauvais répandus dans l’air. C’est pourquoi prenez l’armure de Dieu, afin de pouvoir résister au jour mauvais, et après avoir tout surmonté, rester debout. Soyez donc fermes, les reins ceints de la vérité, revêtus de la cuirasse de justice, et les sandales aux pieds, prêts à annoncer l’Évangile de paix. Et surtout, prenez le bouclier de la foi, par lequel vous pourrez éteindre tous les traits enflammés du Malin. Prenez aussi le casque du salut, et le glaive de l’Esprit, qui est la parole de Dieu. Faites en tout temps par l’Esprit toutes sortes de prières et de supplications ; et pour cela, veillez avec une persévérance continuelle et priez pour tous les saints… »
Ces gouvernements passagers ne sont que des pantins aux mains du prince de ce monde, c’est donc contre lui qu’il faut lutter, et avec des armes surnaturelles !
« 25 ans d’abondantes récoltes leur feront oublier que c’est le péché qui est la cause de tous les maux »
— « Et toi, Capharnaüm, est-ce que tu seras élevée jusqu’au ciel ? Tu seras abaissée jusqu’aux enfers ; car si les miracles qui ont été faits dans tes murs, avaient été faits dans Sodome, elle serait restée debout jusqu’à ce jour.
Du reste, je te le dis, il y aura, au jour du jugement, moins de rigueur pour le pays de Sodome que pour toi. » Matthieu 11 v 23-24
Qui sera le plus lourdement jugé ? Les sodomites qui revendiquent ou les chrétiens apostats qui après avoir pendant deux mille ans vu s’étendre le règne de Dieux, avoir bu le lait de la doctrine de la Sainte Église, avoir bénéficié de toutes les grâces méritées par Notre-Seigneur se sont retournés contre leur Créateur et leur Sauveur. C’est pour cela qu’il faut veiller, pour rappeler au monde que Notre-Seigneur est Roi, par droit d’héritage et de conquête, et que Lui seule rendra au monde la paix. Encore une fois protester contre des lois infâmes n’a aucun sens puisqu’elles ne sont que le fruit de l’apostasie. Souvenez-vous des avertissements de Notre-Dame, à chacune de ses apparitions. « Le bras de mon Fils… » « Mais PRIEZ mes enfants » « Prière et Pénitence »…
— « Je vous laisse la paix, je vous donne ma paix ; je ne la donne pas comme la donne le monde » non, “ leur paix intérieur ” ne vient pas de Dieu, ce n’est donc pas la paix, c’est une illusion de paix, c’est un calme de l’esprit, c’est de l’auto suggestion, de l’effet de foule, du psycho-affectif, ce n’est pas la Paix, et d’elle ne peut venir le Bonheur qui n’est qu’en Dieu. C’est la paix de la mort, des âmes qui s’endorment dans une paix illusoire, LOIN DE DIEU.
— « Ce ne sont pas tous ceux qui me disent : Seigneur, Seigneur, qui entreront dans le royaume des cieux ; mais celui qui fait la volonté de mon Père qui est dans les cieux. »
“ Évangéliser les cœurs ” ? L’Évangile s’adresse à l’intelligence d’abord « Allez, enseignez toutes les nations… » et c’est l’intelligence qui s’humilie devant l’insondable mystère de Dieu, dans une adoration d’amour, la Charité. « Si vous ne redevenez comme de petits enfants… » Le propre de l’enfance n’est pas le sentimentalisme mais son aptitude à la confiance aimante et totale envers son père. Mais si l’enfant ne connaît pas son père, il peut accorder cette confiance à un autre, un homme qui le mènerai au mal.
« Mon Dieu je crois fermement toutes les Vérités que vous avez révélées et que vous nous enseignez par votre Église, parce qu’étant la Vérité même vous ne pouvez ni vous tromper ni nous tromper »
Sans parler de toutes les condamnations de l’Église pour ce genre d’actions concertés avec des non-catholiques. La Foi est notre trésor le plus précieux, il ne faut pas mettre la lumière sous le boisseau.
Enfin, le pire de tout, mêler à ces textes de faux prophètes des textes catholiques !!! Pour les faire connaître ! Et ainsi ancrer les gens dans cette idée mortifère qu’entre un Saint François et un Gandhi il n’y qu’une différence de culture, qu’un saint n’est qu’un « veilleur », qu’on peut témoigner héroïquement de « l’amour » quelque soit la religion, alors qu’il n’y a qu’une seule vraie religion, qu’un seul salut, que les saints étaient animés, non par « l’amour de l’Humanité » mais par la Charité : l’Amour de Dieu par-dessus tout, et du prochain pour l’amour de Dieu.
Vous allez conforter dans l’erreur mortelle ceux que vous prétendez « évangéliser », leur fermer toute espoir d’atteindre la Vérité.
Il n’y a qu’un salut et il est en Dieu.
Toutes les solutions humaines, appuyées sur l’homme seul sont vouées à l’échec, et leur petites victoires ne font souvent que les enfoncer dans l’erreur, dans l’orgueil, les détourner davantage de Dieu.
Que faire alors ?
Notre-Seigneur le dit aussi, explicité par la Sainte Église :
Vous qui avez été appelés à connaître la Vérité, à faire partie du Royaume « Laissez les morts enterrer les morts », « Chercher d’abord le royaume de Dieu et le reste vous sera donné par surcroît », « Si le sel s’affadit, avec quoi le salera-t-on ? », « La lumière n’est pas faite pour être mise sous le boisseau, mais sur le lampadaire afin qu’elle éclaire toute la maison », « J’ai eu peur car vous êtes un maître dur et cruel, alors j’ai enterré mon talent. »
Et Notre-Dame à La Salette : « Combattez, enfants de Lumière, petit reste qui y voyez ».
Alors, veillez oui, mais pour Notre-Seigneur et ses droits, pas pour les droits de l’homme.
« VEILLEZ ET PRIEZ, pour ne pas entrer en tentation. Voici l’heure et la puissance des ténèbres » ! (Matt 26)
« C’est à cause de votre incrédulité, leur dit Jésus. Je vous le dis en vérité, si vous aviez de la foi comme un grain de sénevé, vous diriez à cette montagne : Transporte-toi d’ici là, et elle se transporterait ; rien ne vous serait impossible. » (Matt 17.19-21)
« De tout ce que vous pourrez, offrez à Dieu un sacrifice en acte de réparation pour les péchés par lesquels il est offensé, et de supplication pour la conversion des pécheurs.
De cette manière, vous attirerez la Paix sur votre Patrie. » L’ange du Portugal aux trois enfants.
CRC : Frère Bruno Bonnet-Eymard fait allégeance à papeFrançois
Frère Bruno Bonnet-Eymard – CRC : Lettre ouverte au pape
SOURCE – Frère Bruno Bonnet-Eymard – CRC – 27 avril 2013
Très Saint Père,
L’annonce de votre élection au souverain pontificat, au soir du mercredi 13 mars, a été pour notre communauté une vive surprise. Mais votre simplicité, votre sourire qui nous ont rappelé ceux de votre prédécesseur Jean-Paul Ier, nous ont immédiatement conquis. Et, rapidement, une joie indicible nous a envahis à mesure que se manifestaient votre foi sûre, votre piété ardente, et votre tendre dévotion à la Sainte Vierge. C’est alors qu’un frère m’a rappelé qu’en février 2003, notre Père fondateur, l’abbé Georges de Nantes, rappelé à Dieu il y a trois ans, avait eu votre photographie entre les mains et l’avait longuement contemplée, nous disant : « C’est vraiment la photographie d’un saint, je ne me lasse pas de la regarder. » D’ailleurs, vous répondez précisément aux aspirations de ce bien-aimé Père dont l’une des maximes était que « la pauvreté sauvera le monde », pauvreté que vous avez pour ainsi dire épousée comme votre patron saint François.
Si pauvreté et simplicité sont deux vertus emblématiques de saint François d’Assise, elles nous font aussi irrésistiblement penser à un autre François, cher à nos cœurs, le bienheureux petit pâtre de Fatima, qui priait tellement et se sacrifiait « pour le Saint-Père ». Vous avez donc un intercesseur bien puissant auprès de la Très Sainte Vierge. Peut-être même êtes-vous son élu, celui qu’elle a choisi pour consacrer la Russie à son Cœur Immaculé, ainsi qu’elle l’a demandé le 13 juin 1929 ? Peut-être êtes-vous celui qui a été montré à Jacinthe, la petite sœur de François dans ses visions prophétiques ?
Quoi qu’il en soit, vous êtes le nouveau vicaire de Jésus-Christ, et je vous exprime l’hommage filial de toutes les communautés religieuses dont j’ai la charge. Pardonnez-moi de le faire publiquement, mais c’est dans l’espoir que ce témoignage de notre attachement dévoué et confiant vous atteindra ainsi plus sûrement que par voie “ privée ”.
J’ose vous demander, Très Saint Père, votre chère bénédiction, pour moi-même et pour toutes nos communautés, qui sont vôtres, certain que, en vrai vicaire de celui qui a dit : « Demandez et l’on vous donnera », vous ne sauriez y manquer.
Je vous assure de nos prières, pour l’Église et pour vous-même, sous le regard de l’Immaculée, notre Mère à tous à jamais, afin qu’elle vous garde et qu’elle fasse de vous l’instrument diligent des volontés de son Cœur Immaculé qui ne sont autres que celles de son Divin Fils,
frère Bruno de Jésus-Marie
pour les Petits frères et les Petites sœurs du Sacré-Cœur,
et les membres laïcs de la Phalange de l’Immaculée.
Sources :
http://tradinews.blogspot.fr/2013/04/frere-bruno-bonneteymard-crc-lettre.html
http://www.crc-resurrection.org/2305-lettre-ouverte-au-pape.html
www.site-crc.org Le pape dépose son bouquet de fleurs à l’autel de la Très Sainte Vierge, à la basilique Sainte-Marie-Majeure. |
Il est devenu fou ! comme son vénéré Père fondateur, l’abbé Georges de Nantes…
Peut-être même êtes-vous son élu, celui qu’elle a choisi pour consacrer la Russie à son Cœur Immaculé, ainsi qu’elle l’a demandé le 13 juin 1929 ? Peut-être êtes-vous celui qui a été montré à Jacinthe, la petite sœur de François dans ses visions prophétiques ?
Et encore un qui se fout complètement de l’invalidité des sacrements !!! et qui apostasie…
“Il reste à peine une centaine de prêtres qui ne soient pas séduits”
“IL RESTE À PEINE UNE CENTAINE DE PRÊTRES QUI NE SOIENT PAS SÉDUITS”
Les Fidèles de Sainte Pétoche
Ils étaient 37 au départ. Nous avions osé penser et dire, que s’ils devaient sortir de l’anonymat ils ne seraient pas dix à la fin.
Trois sont sanctionnés, “relevés de leur apostolat”, pour être précis. La bombe finit en pétard. C’était évident dès le départ car il y manquait deux vérités essentielles à défendre, bafouées sans arrêt par les clercs.
1° Pas un mot sur le problème n° 1 : celui de l’invalidité des nouveaux rituels des sacrements, surtout celui des sacres épiscopaux. Depuis la trahison d’Avrillé, plus personne ne veut en parler. Ils savent tous qu’aucun sacre n’utilise Pontificalis Romani depuis bien longtemps mais tout cela à leurs yeux n’a aucune importance ! Aveugles ? ou pire ?
2° Surtout ne pas dire que les papes conciliaires, ne sont pas des papes catholiques et que donc l’église Conciliaire ne peut être la Sainte Église Catholique. Ils n’ont pas compris qu’avant-hier il fallait plier le genou devant Baal, hier consacrer deux grains d’encens aux idoles : deux gestes n’ayant qu’un but : reconnaître ces fausses autorités. Aujourd’hui il faut là encore reconnaître l’autorité de ces usurpateurs, de ces ennemis, vrais dévots de L’Adversaire.
Formés à Écône, leur théologie est trop courte pour en faire des Confesseurs de la Foi. Dévots de sainte Pétoche, donneront-ils leur démission, et les 34 autres ne rentreront-ils pas dans le rang ? L’abbé Méramo n’a-t-il pas confié à un ami que “s’il avait su combien sa vie actuelle était dure, il n’aurait jamais quitté l’ambiance douillette de la FSSPX” ?
* * * * *
Il est temps de rappeler ce passage de Mgr Delassus dans La conjuration antichrétienne, le Temple Maçonnique voulant s’élever sur les ruines de l’Église Catholique, au chapitre LXIV, que nous conseillons de relire entièrement.
Durant l’octave de la fête de saint Jean l’Évangéliste en cette année 1820 où la Haute-Vente était en pleine activité, la Vénérable eut des visions touchant l’Église et les assauts qui allaient lui être livrés. « Je vis, dit-elle, la Basilique Saint-Pierre (figurant, comme nous l’avons déjà observé, l’Église romaine, l’Église catholique), une énorme quantité d’hommes travaillant à la renverser ». On sait qu’au commencement du XIIIe siècle, Innocent III eut une vision symbolique toute semblable. Les murailles de la basilique de Latran, mère et maîtresse de toutes les églises, lui paraissaient s’entr’ouvrir. Saint Dominique et saint François vinrent la soutenir. Catherine Emmerich dira plus tard qu’elle vit aussi à côté des démolisseurs d’autres hommes occupés à faire à l’Église de Saint-Pierre des réparations. Ici elle ajoute :
Le lecteur ne doit pas perdre de vue que ceci fut écrit par Clément Brentano en 1820 sous la dictée de Catherine Emmerich. Pouvait-on mieux décrire ce que personne ne soupçonnait alors ? Était-il possible de mieux voir et de mieux dire par qui et comment la guerre contre l’Église serait conduite ? Nous voyons aujourd’hui qu’un plan de destruction a été tracé à l’avance avec une sagesse diabolique. Nous voyons que les ouvriers chargés de l’exécution, sont répartis sur toutes les contrées du monde, que les rôles ont été distribués et que chacun a reçu signification de la besogne qui lui incombe. Ils piochent à la place qui leur est marquée ; ils s’arrêtent quand les circonstances le demandent pour reprendre ensuite le travail avec une nouvelle ardeur. Dans tous les pays catholiques, l’assaut est mené simultanément ou successivement :
contre la situation que le clergé séculier occupait dans l’État et les diverses administrations ;
contre les biens qui lui permettaient de vivre, de rendre à Dieu le culte qui lui est dû, d’enseigner la jeunesse et de soulager la misère ;
contre les ordres religieux et les congrégations.
Pour ce qui est de la France, le plan général de la guerre qui devait être livrée aux catholiques fut déposé sur le bureau de la Chambre des Députés, le 31 mai 1883 par Paul Bert. Dans l’exécution de ce plan, Ferry, Waldeck, Combes, Loubet, Briand, Clemenceau n’ont eu aucune politique personnelle. Ils ont exécuté ce dont le chef mystérieux avait tracé les lignes, allant consulter ses subalternes, les dépositaires de sa pensée, lorsqu’ils étaient hésitants ou entravés. Après les douze premières années de ce travail, l’épiscopat de France put dire : « Le gouvernement de la République a été la personnification d’un programme en opposition absolue avec la foi catholique. » Depuis lors, chaque année est venue abattre une nouvelle partie de l’édifice élevé par nos pères, l’Église de France. Catherine Emmerich voyait les Francs-Maçons et leurs aides distribués en diverses équipes ayant chacune une besogne déterminée. C’est ce que nous avons vu Gambetta a été chargé de la déclaration de guerre, Paul Bert a porté la pioche dans l’enseignement, Naquet dans la constitution de la famille, Jules Ferry dans le culte, Thévenet, Constans, Floquet, etc., ont chassé le clergé de toutes ses positions ; Waldeck-Rousseau s’est attaqué aux congrégations religieuses ; Combes, Clemenceau, Briand, ont fait et poursuivi la séparation de l’Église et de l’État.
Pour les travaux de démolition à l’intérieur de l’Église, il y a aussi les ingénieurs qu’il est facile de nommer : l’un s’attaque à l’Écriture Sainte, l’autre à la théologie, un troisième à la philosophie, celui-ci à l’histoire, celui-là au culte. Il y a surtout des associations internationales chargées, comme nous l’avons vu, de répandre dans le public, et particulièrement dans la jeunesse, l’esprit réfractaire au dogme.
Anne-Catherine, qui voyait ainsi les Francs-Maçons et leurs affidés ou leurs dupes s’acharner à démolir l’Église au dedans comme au-dehors, voyait aussi le clergé et les bons fidèles s’efforcer de les entraver dans leur travail et même de relever les ruines déjà faites, mais, dit-elle, « avec peu de zèle. Les défenseurs lui semblaient n’avoir, ni confiance, ni ardeur, ni méthode. Ils travaillaient comme s’ils ignoraient absolument de quoi il s’agissait et combien grave était la situation. C’était déplorable [3] ».
Catherine Emmerich n’était point la seule personne à qui Dieu fit voir les menées de la Franc-Maçonnerie, afin de l’engager à combattre la secte par ses prières et ses sacrifices. Il y avait à Rome une pauvre femme, mère de famille, du nom d’Anne-Marie Taïgi, dont le P. Calixte, Trinitaire, a publié une vie, déclarée « conforme aux pièces du procès apostolique ». Le 27 juillet 1909, a eu lieu, chez le cardinal Ferrata, la réunion antépréparatoire à sa Béatification. Son historien nous dit : « Elle voyait surnaturellement les réunions des Francs-Maçons dans les différentes parties du monde ; elle assistait à leurs conciliabules, elle avait connaissance de leurs plans ; et, à cette vue, elle adressait à Dieu de ferventes prières et de généreuses immolations. Notre-Seigneur lui avait dit : « Je t’ai choisie pour te mettre au rang des martyrs… Ta vie sera un long martyre pour le soutien de la foi ». Elle avait accepté. Et, en plus d’une occasion, Dieu déjoua les projets de la secte, en considération de ses mérites. Ainsi, aux premiers jours du pontificat de Grégoire XVI (1831), une révolte armée ayant son point de départ à Bologne, s’étendit de proche en proche jusqu’aux portes de Rome. L’intention était de mettre la ville éternelle en révolution. Des témoins entendus au procès de Béatification affirmèrent que, dès les premiers jours de cette révolte, Anne-Marie prédit qu’elle échouerait. Elle avait eu l’assistance que son sacrifice était accepté.
L’effort principal des démolisseurs a toujours porté sur la citadelle de la catholicité. Là nous avons vu que le Pouvoir occulte avait établi la Haute-Vente et, à sa tête, l’homme qui se faisait appeler par ses affiliés Nubius. De son côté, Catherine suivait les intrigues à Rome d’un homme puissant. « Je vis, dit-elle un jour, le Pape en prières. Il était entouré de faux amis. Je vis surtout un petit homme noir travailler à la ruine de l’Église avec une grande activité. Il s’efforçait de captiver les cardinaux par des adulations hypocrites ». Nos lecteurs se souviennent sans doute que dans sa lettre au Prussien Klauss, Nubius disait « Je passe quelquefois une heure de la matinée chez le vieux cardinal Somaglia, le secrétaire d’État ; je monte à cheval, soit avec le duc de Lavai, soit avec le prince Cariati, ou je rencontre souvent le cardinal Bernetti. De là je cours chez le cardinal Palotta ; puis je visite dans leurs cellules le procureur général de l’Inquisition, le dominicain Jabalot, le théatin Ventura ou le franciscain Orioli. Le soir, je commence chez d’autres cette vie si bien occupée aux yeux du monde ». Dans ces visites, dans ces conversations, il ne perdait jamais de vue la mission qu’il avait reçue, le but qu’il voulait atteindre et dont il disait à l’un des siens : « On a chargé nos épaules d’un lourd fardeau, cher Volpa ».
Le 15 novembre 1819, la Vénérable dit : « Il me faut aller à Rome (en esprit comme toujours). Je vis le Pape faire trop de concessions dans d’importantes affaires traitées avec les hétérodoxes. Il y a à Rome un homme noir qui sait beaucoup obtenir par des flatteries et des promesses. Il se cache derrière des cardinaux ; et le Pape, dans le désir d’obtenir une certaine chose, a consenti à une autre chose qui sera exploitée d’une manière nuisible. J’ai vu cela sous la forme de conférences et d’échange d’écrits. Je vis ensuite l’homme noir se vanter plein de jactance devant son parti. « Je l’ai emporté, dit-il, nous allons voir bientôt ce qu’il adviendra de la Pierre sur laquelle est bâtie l’Église ». Mais il s’était vanté trop vite. Il me fallut aller trouver le Pape. Il était à genoux et priait. Je lui dis (de la manière qu’elle-même a déjà expliquée), ce que j’étais chargé de lui faire savoir. Et je le vis tout à coup se lever et sonner. Il fit appeler un cardinal qu’il chargea de retirer la concession qui avait été faite. Le cardinal entendant cela, fut tout bouleversé et demanda au Pape d’où lui venait cette pensée. Le Pape répondit qu’il n’avait point à s’expliquer là-dessus. « Cela suffit, dit-il, il en doit être ainsi ». L’autre sortit tout stupéfait.
« Je vis beaucoup de gens pieux qu’attristaient fort les intrigues de l’homme-noir. Il avait l’air d’un Juif. »
Elle constatait un jour en ces termes les effets de cette conspiration et de cette propagande, jusque dans le clergé : « Je vois que dans cet endroit (?) l’on mine et l’on étouffe la religion si habilement Qu’Il reste à peine une centaine de prêtres qui ne soient pas séduits (par les idées modernes que les Juifs ont déclaré avoir intérêt à propager). Je ne puis dire comment cela se fait, mais je vois le brouillard et les ténèbres s’étendre de plus en plus ». Elle ajoute : « J’espère pouvoir aider ceux qui résistent à ces séductions en prenant sur moi les douleurs de la Passion du Christ. Et quand elle eut dit cela, on vit son corps se raidir et prendre la position d’une personne étendue sur la croix. Une sueur froide découla de son front, sa langue s’engourdit. Cela dura dix minutes et se répéta trois fois le même jour. À la fin, elle s’affaissa et resta plusieurs jours dans un état d’anéantissement dont elle ne sortit que par la bénédiction de son confesseur. « Continuez, lui dit Jésus dans une circonstance semblable, continuez à prier et à souffrir pour l’Église. Elle remportera la victoire malgré ses abaissements momentanés, car elle n’est pas une institution humaine. »
Anne-Catherine avait terminé le récit de sa grande vision de 1820 par des paroles de consolation. Après avoir dit : « J’ai sous les yeux le tableau des démolitions de l’Église de Pierre et des manèges de l’homme-noir, » elle avait ajouté : « Je vois comment À la Fin Marie étendit son manteau au-dessus de l’Église et comment les ennemis de Dieu furent chassés. » Nous venons d’entendre Notre-Seigneur lui mettre au cœur la même espérance.
Pour comprendre et ne pas suivre n’importe qui, nous vous proposons ci-dessous La Conjuration AntiChrétienne, le Temple Maçonnique voulant s’élever sur les ruines de l’Église Catholique, fin du chapitre LXIV et chapitre LXV de Mgr Delassus.
[1] Cette apparence extérieure leur était donnée aux yeux de la Voyante, sans doute, pour indiquer la place plus ou moins importante qu’ils occupaient dans la secte.
[2] Dans la préface de ses Œuvres pastorales, Mgr Isoard écrivait en 1884 : « Ils savent très nettement, très exactement ce qu’ils veulent faire, les hommes qui travaillent à effacer toute trace de religion en France. Le but exécrable qu’ils se sont marqué, ils ne le perdent point de vue. Ils ont un plan de campagne. Les grandes lignes de ce plan sont tracées définitivement depuis plus de cent années. Les opérations particulières sont fixées depuis plus de quarante ans. Les moindres détails d’exécution sont arrêtés depuis quatorze ans.
[3] Le 4 décembre 1820 : « Elle eut une vision et un avertissement touchant plusieurs prêtres qui, bien que cela dépendit uniquement d’eux, ne donnaient pas ce qu’ils auraient dû donner avec l’aide de Dieu ; elle vit aussi qu’ils auraient à rendre compte de tout l’amour, toutes les consolations, toutes les exhortations, toutes les instructions touchant les devoirs de la religion qu’ils ne nous donnent pas, pour toutes les bénédictions qu’ils ne distribuent pas quoique la force de la main de Jésus soit en eux, pour tout ce qu’ils omettent de faire à la ressemblance de Jésus » (II, p 358)