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28 avril : Anniversaire du Dies Natalis de Saint Louis-Marie Grignion de Montfort
28 avril : Anniversaire du Dies Natalis de Saint Louis-Marie Grignion de Montfort
Nous fêtons cette année le tricentenaire du Dies natalis (1) du Révérend Père de Montfort.
Saint Louis-Marie Grignion de Montfort (2) est né le 31 Janvier 1673 à Montfort sur Meu, en Bretagne, Missionnaire Apostolique, fondateur des prêtres Missionnaires de la Compagnie de Marie et de la Congrégation des Filles de la Sagesse, il est mort à St Laurent sur Sèvre (Vendée) le 28 avril 1716.
Saint Louis-Marie Grignion de Montfort a été béatifié par Léon XIII, le 22 janvier 1888, et il a été canonisé par Pie XII, le 20 juillet 1947.
Si les saints n’apparaissent pas fortuitement sur la scène du monde,
ce n’est pas non plus le hasard qui, après leur mort,
détermine l’époque de leur glorification….Cardinal Pie
Dans « Vie du vénérable Louis-Marie Grignion de Montfort : missionnaire apostolique, fondateur des prêtres missionnaires de la Compagnie de Marie et de la Congrégation des Filles-de-la-Sagesse » M. l’abbé Pauvert, curé de Châtellerault, écrit en Préface de son édition de 1875 :
Conférence de Philippe de Villiers
Une excellente conférence de Philippe de Villiers. Vous l’avez vu et entendu à diverses reprises sur différents media, mais là, au salon du livre de Renaissance Catholique, vous découvrirez un PDV plus intime, encore plus libéré et qui parle, comme il se défini lui-même, en « chien d’avalanche » !
Quelques semaines après l’énorme succès de son ouvrage “Le moment est venu de dire ce que j’ai vu”, Philippe de Villiers est allé à la rencontre de ses lecteurs au Salon du Livre de Renaissance Catholique. L’occasion pour lui de s’amuser des politiques qu’il dépeint mais aussi… d’annoncer une suite…
Zoom : Philippe de Villiers : “Le moment est venu de les déférer pour haute trahison” (11-12-2015)
« Chaque Nation, comme chaque individu, a reçu une mission qu’elle doit accomplir » a dit Joseph de Maistre. Celle de la France est d’exécuter les gestes de Dieu, « Gesta Dei per Francos ».
Et le grand Philosophe d’ajouter. « Le châtiment des Français sort de toutes les règles ordinaires et la protection accordée à la France en sort aussi ; mais ces deux prodiges réunis se multiplient l’un par l’autre, et présentent un des spectacles les plus étonnants que l’œil humain ait jamais contemplés » (Considérations sur la France, ch. II, p. 8 et p. 27.).
Quand La Vierge Marie revient sur terre pour nous…
La Très Sainte Vierge Marie est revenue sur terre dans différentes Apparitions.
Rue du Bac à Paris, à La Salette, à Pontmain, à Fatima, à Beauraing, à Banneux…
Elle vient nous délivrer ses Messages.
« Quand La Vierge Marie revient sur terre pour nous… » de Cave Ne Cadas sur Vimeo.
LA « GRANDE NOUVELLE » DE LA SALETTE EST-ELLE UN ORACLE DIVIN ?
Après Le “secret” donné par la « Belle Dame » à Mélanie Calvat poursuivons quelques temps avec Maurice CANIONI dans son dernier livre :
Dieu Sera Servi et Glorifié
Par Maurice CANIONI
(Extraits)
INTRODUCTION
La Sainte Église est Maîtresse par son pouvoir doctrinal, sanctificateur, législatif et coercitif ; elle est Reine car toutes les nations, doivent lui être « assujetties et lui obéir (Dan. 7, 27). »
La concorde de la Sainte Église et de la puissance civile est voulue par Dieu. Elle est éminemment aimable et désirable, car elle concourt à la Gloire de Dieu, édifie le Règne social de Notre-Seigneur Jésus-Christ, facilite aux individus, aux familles, aux sociétés l’acquisition du nécessaire à la vie temporelle dans la paix sociale, et surtout à chaque personne la poursuite du salut éternel.
Dans L’illusion libérale, Louis Veuillot décrit admirablement cette alliance des deux forces : la tiare et l’épée, la parole de Vérité et le bras séculier :
« La société chrétienne, dans l’état normal, se maintient et s’étend au moyen de deux forces qui doivent être distinctes non séparées, unies non confondues, subordonnées non égales. L’une est la tête, l’autre le bras ; l’une est la parole suprême et souveraine du pontife, l’autre la puissance sociale. La société chrétienne étant premièrement et avant tout chrétienne, soumet tout à cette première loi ; et elle met toutes choses en leur place, parce qu’elle met d’abord à sa place son seul vrai Seigneur et Maitre, Jésus-Christ. Elle le met à sa place souveraine dans la société comme tous les fidèles le mettent à sa place souveraine dans les âmes [et dans la famille] ; et de là naissent l’ordre, la liberté, l’unité, la grandeur, la justice, l’empire, la paix. Ainsi, à travers et malgré les déchirements suscités par les passions de l’infirmité humaine, se forma dans sa variété magnifique cette communauté de l’Europe qu’on pût appeler la République ou même la Famille chrétienne ; œuvre merveilleuse, brisée par l’hérésie lorsque la paix intérieure et le progrès des arts lui promettaient la gloire d’étendre au genre humain tout entier le bienfait de la Rédemption. […] Ces deux pouvoirs unis, distincts et subordonnés, par lesquels la société chrétienne se régit, c’est ce que l’on appelle les deux glaives. Car la parole ne serait rien, si elle ne pouvait être, à certain moment, aussi un glaive. La mansuétude du Christ a voulu deux glaives pour que la répression tombât plus tardive et pût être prévenue. Le premier glaive, celui qui ne déchire que les ténèbres, demeure au pouvoir patient et infailliblement éclairé du Pontife. L’autre, le glaive matériel, est dans la main du représentant de la société, et afin qu’il n’erre pas, il doit obéir au commandement du Pontife. C’est le Pontife qui le fait sortir du fourreau et qu’il y fait rentrer. Son office est de réprimer l’erreur agressive, une fois définie et condamnée, de la lier, de l’abattre ; de donner protection à la vérité, soit qu’elle ait besoin de se défendre, soit qu’elle se trouve dans la nécessité d’attaquer à son tour. La main séculière doit faire passage à la vérité, assurer la liberté de ses enseignements, garder au loin la vie de ses ambassadeurs et de ses disciples (1). »
La Révolution de 1789 a déclenché le paroxysme de la guerre à mort entre les deux postérités (Gen. 111, 15). Dans le but d’instaurer l’imperium de Satan sur les nations et sur l’humanité, les gouvernants qui en sont issus pervertissent les cœurs et les intelligences par les lois et l’instruction, corrompent le christianisme par les modes et les principes maçonniques, instrumentalisent l’Église pour l’affaiblir, l’isoler du peuple chrétien et l’éliminer. Confronté au mépris, à la haine et à la violence des États antichristiques, le Saint-Siège proclama fidèlement la Vérité mais, en pratique, fit preuve d’esprit de conciliation et, au prix de grands sacrifices, « pour le bien et la paix du monde », dira Pie XI, pactisa avec ses ennemis.
On dévoile ici une plaie que d’aucuns préféreraient sans doute laisser ensevelie sous la poussière des archives de la petite histoire ! Cependant, hier, aujourd’hui et demain sont un, et le courage de la vérité de l’histoire du temps passé est garant de celui de la vérité de l’heure présente. Depuis le Concordat de 1801, sous la contrainte des gouvernants issus de la Révolution, le Vatican, par volonté de résignation et d’accommodement, a laissé se distendre jusqu’à la rupture l’amarre qui retenait la société chrétienne solidement fixée au Port, c’est-à-dire le Droit chrétien public fondé sur la théologie et la loi ecclésiastique. Cette politique vaticane généra ce que l’on peut dénommer une antithèse entre la Parole de Vérité et les actes relevant des rapports avec la puissance civile antichrétienne.
Cette « fine diplomatie », menée opiniâtrement durant près de 150 ans, a sapé la résistance des autorités religieuses et celle des fidèles à la grande SÉDUCTION de la fin du temps des Nations (Lc. 21, 24). Elle a favorisé et accéléré la « défaite des saints » (Apoc. 13,7) en soumettant les baptisés, constitutionnellement, juridiquement, socialement, aux « pouvoirs établis » tous imbus « des valeurs et des principes » sataniques de la Révolution. Tôt ou tard, « les chefs, les conducteurs du peuple » devaient butter sur l’alternative, soit d’une remise en ordre RADICALE afin d’œuvrer réellement pour le règne social et politique de Notre-Seigneur Jésus-Christ, soit de fuir en avant en définissant, formulant, en principes et en droit, leur transmutation du royaume de Dieu en paradis socialiste et démocratique. La deuxième voie a été choisie en Vatican II qui a réalisé les épousailles des Princes de l’Église avec la démocratie de la maçonnerie universelle et transmué la religion de Jésus-Christ en un diabolique syncrétisme religieux. Contra factum non valet argumentum.
L’Église a perdu sa suprématie sur les Peuples, les Nations et les États quand elle a été privée de son bras séculier. « La force à sa place et faisant son office, voilà l’état régulier. […] Il faudrait (…) donner avec joie tout son sang pour remettre la force dans son sens légitime, pour l’attacher au seul service du droit. La force doit protéger, affermir, venger le plus grand, le plus illustre, le plus nécessaire droit de l’homme, qui est de connaitre et de servir Dieu ; elle doit mettre l’Église à même de dispenser ce droit à tout homme sur la terre. N’abandonnons pas cette vérité que le catholique libéral jette et noie dans le courant, avec tant d’autres (2). »
L’impuissance grandissante du Saint-Siège, sa collusion avec les ennemis du Christ-Roi, l’asservissement des nations chrétiennes aux puissances antichristiques, triple cause instrumentale de l’apostasie générale, étaient-ils inéluctables, irrémédiables ? Mysterium iniquitatis !
Pourquoi s’étonner ? C’est notre histoire depuis la fin du 17ème siècle, résumée dans la « grande nouvelle » apportée à La Salette. La sainte foi sera oubliée, le relâchement pour le service de Dieu sera universel ; les méchants se livreront à toutes sortes de crimes : le blasphème, la profanation du dimanche, la violation de l’abstinence et du jeûne, l’oubli de la prière ; les gouvernants se ligueront pour combattre Jésus-Christ ; les bruits de guerre rempliront la terre ; les mauvais livres abonderont, personne ne s’entendra plus, on ne verra qu’homicides ; une fausse lumière accumulera les ténèbres sur toute la terre, le Saint-Siège perdra la foi et l’Église sa visibilité ; de grands malheurs s’abattront sur l’humanité à la mesure de ses crimes qui percent la voûte des cieux. Nous sommes les témoins et les acteurs de ce drame de la fin des temps brossé par la Vierge à grands traits bibliques. Les hommes s’inquiètent et s’angoissent pour leur avenir ; ils espèrent un libérateur, un homme providentiel qui remettrait de l’ordre dans la maison de l’humanité : Satan se rendra roi du monde en la personne de l’Antéchrist.
Mais alors, le dernier jour du monde serait-il proche ? La Très Sainte Vierge ne le laisse pas entendre. Au contraire, elle promet le Règne de Dieu après la purification universelle et le renouvellement de toutes choses.
CHAPITRE I
La « Grande Nouvelle »
de la Salette
Est-Elle un Oracle Divin ?
« Et Bien, Mes Enfants.
Vous le Ferez Passer à Tout Mon Peuple »
Dans le cours de cette étude, nous appliquerons fréquemment les paroles de Notre-Dame de La Salette aux évènements et à la tragique situation ecclésiale actuelle. Nous pensons en effet qu’il y aurait grande imprudence et sûrement inconvenance, sinon du mépris envers la divine Marie, de ne pas éclairer par ses avertissements la « crise affreuse » que nous traversons, et de ne pas voir en eux une confirmation du jugement théologique que nous devons porter sur ce drame sans précédent. Certains clercs et laïcs, bien que se disant dévots de La Salette, se récrieront : Le Message de la Vierge de La Salette n’est pas un oracle divin, il n’est qu’une révélation privée ; par conséquent nous sommes tenus à certaines réserves dans son utilisation et son interprétation ; on ne peut, sans analogies imprudentes ou prophétisme de mauvais aloi, en voir la réalisation dans l’évolution ecclésiale du dernier siècle et demi, ni l’appliquer aux gravissimes et inouïs désordres actuels.
Ralliement F$$PX : Éclipse Totale !
Contacté, l’abbé de Cacqueray dément en nuançant : ce n’est pas encore signé mais très très imminent et renvoie — hélas sans humour ! — aux deux communiqués, de Rome et de Menzingen, après la dernière réunion-farce. Alors qu’ils suent la fausseté et la manip’, l’un comme l’autre ! Mentalement tout est déjà fait et le seul fait de rencontrer ces « anti-christ » est une trahison envers le fondateur qui les qualifiait déjà ainsi, avec justesse, il y a vingt ans : que dirait-il à ce jour ?
Nous recevons ce matin le message suivant d’un ami bien informé et de source sûre…
Autrement dit, nous entrons maintenant dans l’Éclipse Totale de l’Église !
Il ne nous reste plus — comme les sous-mariniers — qu’à « Partir ». Quitter le quai, la lumière, les bruits du monde…plonger pour partir vraiment, longtemps, enfin… car ce sera maintenant « L’heure des ténèbres » ! et préparer nos « cierges de la Chandeleur ».
Jusqu’au tout dernier moment, chacun aura profité d’être à terre pour téléphoner à ses proches, avec lesquels il n’y aura plus de contact pendant de longues semaines…
Padre Pio écrit ceci entre février et mai 1950 :
« Un grand châtiment se prépare : ce sera effroyable comme jamais depuis la création du monde.
L’Heure de ma venue est proche, mais Je manifesterai Ma Miséricorde.
Votre époque sera témoin d’un châtiment terrible. Mes Anges qui seront les exécuteurs de ce travail sont prêts. Ils prendront un soin spirituel d’anéantir tous ceux qui se moquent de Moi et qui ne croiront pas à Mes Prophéties.
Des ouragans de feu seront lancés des nuages et s’étendront à la terre entière. Des orages, des tempêtes, du tonnerre et des pluies ininterrompues, des tremblements de terre couvriront la terre entière pendant 3 jours et 3 nuits. Une pluie ininterrompue surviendra alors, elle commencera par une nuit très froide.
Tout ceci pour prouver que Dieu est le Maître de Sa Création. Ceux qui espèrent et croient en Mes paroles n’auront rien à redouter ni ceux qui répandent Mon message car Je ne les abandonnerai pas. Aucun mal n’arrivera à ceux qui seront en état de grâce et chercheront la protection de Ma Mère. Pour vous préparer à cette épreuve, Je vous donnerai des signes et des instructions.
La nuit sera très froide, le vent surgira après un certain temps, le tonnerre se fera entendre. Fermez toutes les portes et les fenêtres. Ne parlez à personne de l’extérieur. Agenouillez-vous devant votre Crucifix, regrettez vos péchés. Priez Ma Mère pour obtenir sa protection.
Ne regardez pas dehors pendant le tremblement de terre, parce que le courroux de Dieu est Saint. La vue des effets de sa Colère, vous ne la supporteriez pas. Ceux qui négligeront cet avertissement seront abandonnés et instantanément tués de frayeur par la colère divine.
Le vent emportera des gaz empoisonnés qui se répandront par toute la terre. Ceux qui souffriront innocemment seront martyrs et entreront dans Mon Royaume. Satan triomphera mais après 3 nuits, le tremblement de terre et le feu cesseront et le jour suivant, le soleil brillera de nouveau.
Après ces châtiments, les Anges descendront du Ciel et répandront l’esprit de Paix sur la terre. Un sentiment de gratitude incommensurable prendra possession de tous ceux qui survivront à cette terrible épreuve.
Il faut prier ! Dites pieusement le chapelet en commun si possible, ou seul, mais dites-le bien. L’Heure approche, priez sans relâche, vous ne serez pas déçus.
Les hommes n’entendent pas mon appel, ils durcissent leurs cœurs, ils résistent à ma grâce ; ils repoussent Ma Miséricorde et Mon Amour. L’humanité est pire que lors du déluge.
L’humanité étouffe dans le marasme du péché. J’ai grande envie d’exterminer cette race, mais à cause des justes, Je laisserai régner Ma Miséricorde. »
Depuis l’éruption solaire survenue le 24 octobre 2014… On assiste sur Internet à des rumeurs de « 3 jours de ténèbres » pour décembre 2014 qui aurait pour origine une tempête solaire. Selon les sites Internet qui ont relayé l’information, une tempête solaire devait priver la Terre de lumière pendant trois jours complets, les 21, 22 et 23 décembre 2014. (Étonnant, n’est-il pas !!!?)
* * *
Suite du message de notre correspondant ami :
Nous savions que la gente-dame « Gentiloup » avais sabordé son forum fin octobre… (suite aux rumeurs d’Internet sur les « 3 jours de ténèbres » pour décembre 2014 qui aurait pour origine la tempête solaire…?) mais de là à dire qu’il « est remplacé — avantageusement — par “Reconquista.blog”« … ce blogue (http://cristiadatradicinalista.blogspot.fr/) est tenu par La (fausse) Résistance.
Ce blogue propose en effet dans sa colonne de droite une série de sites de la « Résistance francophone » dont « Institut Chrétien de Recherches et d’Études Sociales » propose ce vieil article de juillet 2013 :
Mgr Fellay vient d’épouser l’Éthique des Affaires
La nouvelle a été révélée par l’abbé Girouard, dans son sermon du 2 juin 2013. Ce prêtre canadien, résistant au vent de ralliement qui balaie la FSSPX, a rendu compte d’un fait important expliquant la nouvelle attitude de Menzingen vis-à-vis de la Rome conciliaire. De quoi s’agit-il ?
(http://www.icres.pro/article-mgr-fellay-vient-d-epouser-l-ethique-des-affaires-119054049.html)
R.P. Roger-Thomas Calmel : BRUMES DU « RÉVÉLATIONISME » ET LUMIÈRE DE LA FOI
Brumes du « Révélationisme »
Et Lumière de la Foi
Par le Père Roger-Thomas Calmel, O. P.
Itinéraires
N° 181 (mars 1974)
J’appelle « révélationisme » une confiance désordonnée dans les révélations privées ; confiance qui n’est pas assez éclairée et rectifiée par la raison et par la foi.
L’expérience montre que les chrétiens atteints soit d’« apparitionisme » soit de « révélationisme » sont gens difficiles à guérir.
Je voudrais au moins que leur maladie ne soit pas trop contagieuse, et c’est pourquoi je rédige cette note.
Pour sûr je ne reproche pas à ces frères dans la foi de croire au merveilleux d’ordre privé, ni à son rôle indispensable dans l’Église, mais bien de le situer pratiquement au-dessus de l’Écriture et de la Tradition ; ensuite d’équiparer les faits merveilleux les plus différents ; enfin de laisser désorbiter leur vie intérieure par le merveilleux, au lieu de la mettre sous l’empire des vertus théologales qui sont le centre véritable de toute vie dans le Christ.
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