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Un bœuf d’airain jeté dans la mare boueuse d’Écône…
Notre ami « Omnibus Orthodoxis atque Catholicae, et Apostolicae Fidei Cultoribus » ayant fait un excellant commentaire – lien permanent – (comme toujours !) sur le dernier article de Pierre Legrand : « Un digne Fils de ses Pairs… », j’ai plaisir à vous le mettre en avant pour que chacun puisse en apprécier le contenu :
Ce fut un bœuf d’airain jeté dans la mare boueuse d’Écône qui fit de l’effet et qui en a éclaboussé plus d’un, n’est-ce pas Pierre le Grand !?
La statue effritée du commandeur instable est désormais bancale.
Merci à vous mon bon Cave de relayer l’Invective historique hautement justifiée du Chevalier vengeur Petrus.
Attention ! âmes sensibles s’abstenir.
En attendant que la Justice de Dieu brûle les ordures à Paris et tire la chasse à Marseille (La Salette), le forum agonisant prétendument catholique de XA, au début autant baveux que bavard, est en constant déclin, il n’y a presque plus personne pour haïr sans vergogne la Tradition apostolique du Magistère de toujours.
Les vieux Adam licencieux de la vieille Ève conciliaire émancipée et soixante-huitards récurrents qui présidaient à la Fantasia conciliaire dans les paroisses françaises, ont TOUS crevé de leur luthérienne mort « aggiornamentée » sans être munis de sacrements efficaces et leurs corps bouffés par des vers voraces, pourrissent lentement mais sûrement en terre ingrate ou bien livrés au four crématoire des incrédules, s’agitent convulsionnés en tous sens désordonnés, léchés par des flammes dévorantes indomptables. Bigre, c’est d’enfer !
LA FÊTE DE NOTRE-DAME DE LA SALETTE : Mélanie et les prêtres.
Monsieur l’Abbé Jacques-Marie SEUILLOT, grand dévot de “La Salette” nous donne pour ce 19 septembre, une évocation de la bergère de La Salette avec les prêtres qui n’est pas tendre avec les mauvais prêtres dont elle a la connaissance des graves défauts…
« Bulletin Dominical » le N° 1639 du 14 septembre 2014
Abbé Jacques-Marie SEUILLOT.
La Salette et les Fidèles
Comme trop souvent dans les domaines un peu délicats, on retient l’un des aspects caractéristiques en négligeant les autres, sans grand soucis de la justice, de la vérité, de l’équité, voire du simple équilibre vertueux que doit pratiquer le Catholique moyen.
Bien entendu, le fidèle « traditionaliste » laïc et quelque peu anticlérical — parce qu’il aura compris que la crise dans l’Église est la faute principale voire exclusive de clercs haut placés — se persuade d’autant plus de cet aspect que la Sainte Vierge est venue le proclamer à La Salette. Pour ceux-là, la conviction est telle parce qu’elle repose sur les secrets de La Salette, un peu à la manière (pardon pour la comparaison très inadéquate, mais on en comprendra le sens) des Juifs s’appuyant sur la Mishna et le Talmud, écrits de rabbins et super-bibles non révélées, surpassant la Torah (la Loi révélée dans le Pentateuque).
Que Notre-Dame soit venue le 19 septembre 1846 sur la montagne de La Salette, c’est parfaitement clair : l’Église s’est manifestée très officiellement en ce sens, et le message et les secrets font partie intégrante de l’Apparition. Mais cela reste du domaine des « révélations privées » et ne saurait renverser la hiérarchie des certitudes enseignées par l’Église. Ce n’est pas la source mais une sorte de post-scriptum pour attirer l’attention : les choses vont mal dans l’Église, cela se constate depuis longtemps, la sainte Écriture en parle, Notre Seigneur annonce ces moments difficiles, nous voyons particulièrement les résultats, nous pouvons assez facilement remonter à la cause, les hommes depuis le péché originel sont bien faibles, et il y en a même de très mauvais. Tout cela donc n’est ni nouveau ni surprenant.
Ceux qui ont des yeux pour voir, peuvent en quelque sorte être confortés dans leur analyse par l’Apparition mariale de La Salette. Il ne faut donc pas s’appuyer sur La Salette pour déclarer que les choses vont mal, mais bien sur la réalité elle-même correctement observée, et éventuellement en mieux comprendre les ressorts par les éclaircissements qu’en donne l’Apparition.
La Salette et les Intégroïdes
Certains donc, du genre intégroïde, effrayés à juste titre par la révolution dans l’Église, le machiavélisme de certains dignitaires et l’effondrement d’une partie du clergé, s’appuient sur le Message de la Sainte Vierge pour mieux asseoir leur conviction. Ils ne se rendent pas compte qu’ils révolutionnent l’Ordre dans l’Église avec un principe faux. Pour faire simple, disons que la sainte Vierge n’a pas autorité sur la terre (à Lourdes, elle ne confirme pas un dogme), c’est l’Église qui la possède. Ce qui ne saurait lui interdire de venir parler et même pleurer sur notre triste sort. Et certes, ce qu’elle dit ne peut être inutile. À nous d’en faire notre profit comme il convient, et de tenir compte de ses avis pour nous protéger, nous affermir dans la Foi et nous sanctifier.
Mélanie de la Salette et les Prêtres
Quant aux privilégiés de l’Apparition, les deux petits bergers Mélanie et Maximin, ils ont été décriés, calomniés, comme seuls le sont, habituellement, les prêtres… La vie de Mélanie est vraiment étonnante au témoignage de nombreux témoins parfaitement crédibles.
L’abbé Bonnet, chapelain de La Salette (prêtre séculier, remplaçant les religieux, opposés à Mélanie, chassés par le gouvernement français en 1901) écrit dans les Annales de novembre 1902 : « Non, jamais tant de candeur ne survécut à tant d’années [Mélanie avec qui il s’entretenait avait 71 ans]. Jamais la franchise ne brilla de cet éclat souverain, sous aucune paupière humaine ».
Dans certaines circonstances (en privé, à des prêtres) où Mélanie doit se prononcer, elle n’est pas tendre avec les mauvais prêtres dont elle a la connaissance (toujours surnaturelle) des graves défauts.
« Ah ! si les sentinelles [c’est le sens étymologique d’évêque] avaient fait leur devoir, en premier lieu par les bons exemples, et puis en criant bien fort : “Ô [sic] loup ! ô loup !” nous n’en serions pas là. » (Lettre à l’abbé Roubaud, 15 avril 1894).
« …mais l’Épiscopat, le Clergé, les Chrétiens se dérangent-ils le moins du monde pour défendre leur foi, l’honneur de DIEU, leur culte, etc., etc. ? Ils font moins que rien !… Instruisent-ils au moins le peuple sur les vérités de la Foi ?… pas du tout !… C’est effrayant, l’apostasie, si elle n’est pas encore officielle pour tous, est un fait presque accompli par les œuvres. Les francs-maçons lucifériens n’auront pas grand combat à nous livrer, la place leur est acquise. » (Lettre au chanoine de Brandt, 22 avril 1895).
Mais comme elle les aime, les prêtres ! Dans tous ses écrits c’est du genre :
« Pauvres Prêtres, pauvres Prêtres, je voudrais bien qu’ils comprissent leur sublime vocation et que le Bon Dieu ne les mit pas entre les mains des méchants. Si le Bon Dieu voulait accepter ma vie ou n’importe quoi, je suis toute à Lui, toute à sa disposition. J’aime tant les Prêtres parce qu’ils sont les ministres de Notre Seigneur, ses lieutenants sur la terre. Ô Dieu… » (Lettre à l’abbé Le Baillif, 15 décembre 1879).
La Salette
Apparition, le 19 septembre 1846, de la Très Sainte Vierge Marie à deux enfants sur la montagne de La Salette. Mélanie Calvat et Maximin Giraud, bergers qui ne se connaissaient pas.
La sainte Vierge va délivrer un message et à chacun un secret, parties intégrantes de l’Apparition.
Source : http://www.cassicia.com/FR/La-Salette-les-fideles-les-integroides-et-les-pretres-No_1485.htm
La Salette : vérités et mensonges, conséquences contemporaines
Notre-Dame de La Salette est le nom sous lequel les fidèles catholiques désignent la Vierge Marie en tant qu’apparue à deux enfants le 19 septembre 1846 en haut du village de La Salette-Fallavaux, près de Corps (Isère).
Pour le 168ème anniversaire de « L’apparition de Notre Dame sur la sainte montagne de La Salette » nous vous proposons la conférence qu’a donné sur le sujet un de nos Amis du Christ Roi de France lors de la Session Antilibérale de cet été 2014 :
La Salette : vérités et mensonges, conséquences contemporaines
Les cieux parlent suffisamment pour que les croyants comprennent
et insuffisamment pour que les incroyants ne comprennent pas. Pascal
Dans cet exposé, nous commencerons par faire un historique de l’apparition, en mettant l’accent sur l’histoire extraordinaire de Mélanie Calvat, la voyante de La Salette, et sur la réaction des ecclésias-tiques par rapport au Secret confié à Mélanie. Puis dans une deuxième partie, nous étudierons les enseignements que la Sainte Vierge a voulu nous donner lors de cette apparition.
Morceaux choisis :
Que s’est-il passé depuis Vatican d’Eux ?
Les pâturages d’Asmodée
Une fidèle lectrice, “La Mésange”, publie sur son blogue « Vu, lu, entendu » cet article qu’elle conclut par une prophétie de Notre-Dame de la Salette :
N’est-ce pas à la Salette que la TSVM disait que « les couvents deviendraient les pâturages d’Asmodée et des siens » ? Ah, eh bien nous y sommes.
Chaque fois qu’on croit qu’ils ont touché le fond, paf ! quelqu’un innove vers le plus-mieux-bien.
Selon le site Traditio (source), « ils » en sont arrivés à laisser entrer en religion, dans un couvent de carmélites situé dans la ville de London, en Ontorio (Canada), un transexuel nommé « Tia-Michelle Pesando », de son vrai nom « Ted ».
Voici ce que dit Traditio : « Tia Pesando, qui s’identifie ouvertement à la communauté LGBT, essaie naturellement d’obtenir pour son statut « l’imprimatur » de François-Bergoglio, qui proclame qu’il « n’a pas le droit de juger l’inversion sexuelle ». »
Pesando affirme : « les temps sont favorables pour une nonne transgenre » (sic).
Pesando a vécu 28 ans en tant qu’homme, puis a décidé de « devenir » une femme.
Les webmasters de Traditio signalent que le fait n’est pas le premier du genre, puisque « R. Burke, l’archevêque conciliaire de La Crosse, dans le Wisconsin, avait consacré « Julie Green » (un travesti) comme religieuse franciscaine en 2002, sous le pontificat de l’apostat JPII-Wojtyla. » La « Julie » s’appelait en réalité Joël, et fit un certain scandale aux E.U. Lire l’article en anglais ici.
Un article de la presse italienne s’étend assez longuement sur le fait. Cliquez ici si vous lisez l’italien.
Je résume : Tia Pesando est actuellement novice et s’apprête à prononcer ses vœux. Il est bien décidé à en « appeler au pape » si quelqu’un lui met des bâtons dans les roues. Cela fait 6 ans qu’il a entrepris un traitement hormonal pour « devenir » une femme. (il avait 28 ans, et en a donc à présent 34)
Vous auriez pu croire, dans un élan de charité un peu indiscret, que touché par la grâce et sous l’effet d’une intense componction, le jeune homme voulait s’ensevelir dans un couvent pour pleurer ses péchés et se sanctifier jusqu’à la fin de ses jours…
Mais non, râté. Car le bestiau, sans vergogne, a déclaré au journal italien qu’il souhaitait « consacrer son travail dans l’Église à la réception des personnes transgenres, et plus généralement aux relations et au dialogue avec la communauté LGBT ».
Pas de panique, surtout. Je serais conciliaire, je commencerais sérieusement à m’inquiéter. D’ailleurs, il semble que même chez eux, certains protestent timidement, dans les couvents en Ontario, toujours d’après l’article.
Et l’article de conclure :
Afin de faciliter cette réconciliation, et pour témoigner de son expérience personnelle, Tia a écrit un livre, « Pourquoi Dieu ne vous hait pas », qui prétend expliquer aux transgenres pourquoi ils ne doivent pas se sentir rejetés par l’Église : « Dieu n’approuve pas la guerre, l’esclavage, le racisme, la misogynie, l’homophobie et la transphobie », écrit le novice, qui affirme en être arrivé à ces conclusions via une étude attentive des textes bibliques, de la théologie, et de l’hagiographie.
Un autre article, qui semble être une version quasi-identique de celui en italien, mais en anglais cette fois, peut être lu ici.
S’il le dit….
*****
N’est-ce pas à la Salette que la TSVM disait que « les couvents deviendraient les pâturages d’Asmodée et des siens » ? Ah, eh bien nous y sommes.
Source : http://blogdelamesange.wordpress.com/2014/07/26/les-paturages-dasmodee/
Disputatio : Credo in UNAM Ecclesiam
Suite à notre article « Le Siège apostolique “occupé” … » j’ai reçu un message par courriel de l’abbé Éric Julien Laurent Jacqmin (fsspx), sur le « Chapitre sur les chances manquées ou de l’urgence au chaos ».
Le message de l’abbé est intéressant sur le fait qu’il réfléchit à une solution à envisager sur un problème émis de longue date auquel aucun clerc n’a jamais donné d’écho ni encore moins envisagé une solution !!!
Je rappelle au lecteur (ou signale) que l’article en question, qui a attiré l’attention de l’abbé Jacqmin n’est pas de moi…mais du Dr. Eberhard Heller – philosophe allemand.
(…) nous vous proposons aujourd’hui un article publié en 2002 (rien n’a changé depuis…) par le Dr. Eberhard Heller – philosophe et photographe allemand – qui est depuis 1975 (avec une pause), le P résident du cercle Una Voce e.V, Munich, – éditeur de la revue EINSICHT – qui a été fondé en 1966 à Munich pour la conservation de la foi catholique.
Voici le message de l’abbé Jacqmin :
De : Julien Laurent
Sujet : article du dit Cavenecadas
Corps du message :
Je suis prêtre catholique Traditionnel (FSSPX).
Je suis tout à fait d’accord avec cette conclusion d’un article (du dit Cavenecadas) sur votre site qui se termine avec le chapitre nommé :
Chapitre sur les chances manquées ou de l’urgence au chaos.
(adresse : http://wordpress.catholicapedia.net/?p=8200)
C’est la grande chose à faire, la plus urgente de tout : l’Église.
Comment procéder pratiquement :
1) Il faut unir pour commencer tous les clercs traditionnels : prêtres et surtout évêques qui ont gardé la vraie foi catholique.
Éventuellement aussi des laïcs bons théologiens.
Ceux qui se disent « papes » (conclavistes) : qu’ils dénoncent par l’amour de l’unité. Ils doivent comprendre que l’Église ne peut avoir plusieurs papes.
Ceux qui refusent de venir font un péché grave contre l’Église, son Unité.
Mais on élimine évidemment ceux qui ne sont manifestement pas sérieux.
Le critère Traditionnel qui dirige cette démarche est attribuée à Saint Augustin :
« – in fide unitas (éliminer les hérétiques, sur le dépôt de la foi il n’y a pas de discussion possible)
– in dubiis libertas (on n’érige pas sa propre opinion en dogme et anathématise pas les autres qui ont une autre opinion !)
– in omnibus caritas (on considère ceux qui ont une autre opinion comme catholique) »
En effet il y a trop de ruptures, de dissensions, de groupes aparts, FSSPX et co (accordistes, non-accordistes), sedevacantistes, sedeprivatistes, conclavistes etc, ce ne sont que des opinions : où est l’unité de la Vraie Église ? Credo in UNAM.
Tous doivent s’unir pour chercher ensemble l’unique Vérité à laquelle tous doivent se soumettre.
2) En effet il faudra faire un Synode générale avec cette « pars sana » du clergé qui travaille jusqu’à ce qu’elle résout avec la grâce de Dieu tous les problèmes.
On introduit des oraisons dans les Messes à cette intention.
Entretemps les fidèles de Tradition prient le Saint Esprit.
Jusqu’à en venir à des certitudes sur les grandes questions actuelles dans l’Église. On ne s’arrête pas avant !
On compte sur les promesses de N.S. Jésus Christ : « Je serai avec vous jusqu’à la fin », « si deux ou plus se réunissent en Mon Nom Je serai parmi eux », « Les Portes de l’enfer ne prévaudront pas », « Je vous enverrai l’Esprit Saint » etc..
3) La première question à traiter est en effet le siège Papal. Tous doivent se mettre d’accord. La solution doit être claire pour tous : « quod semper et ubique, ab omnibus creditur ».
On ne juge pas du siège suprême, mais il y a des faits à constater et des conclusions à tirer.
La Tradition est le critère tout simplement, donc la Révélation : ce que Dieu même en « pense ». La Vérité.
4) la suite dépend de la question précédente : si une thèse, une constatation s’avère clairement la seule vraie, il faut en tirer les conséquences qui s’imposent nécessairement.
Ceci est une voie de continuer l’Église la plus normale.
Sinon il faut attendre des miracles. Mais Dieu préfère toujours la voie normale aux miracles.
C’est mon opinion profond et je ne crois pas que je me trompe. Cependant ceci est une grande grâce.
Pour commencer : que tous s’unissent sera un grâce, mais on l’obtiendra car Dieu même est garant de son Église qui doit continuer selon sa décision.
Que Dieu vous bénisse
Abbé Jacqmin+
* * *
Monsieur l’abbé Jacqmin nous donne ici (voir la page « Disputatio : Credo in UNAM Ecclesiam ») un développement de sa réflexion. Nous proposons donc aux lecteurs d’en débattre – nous publierons tous les arguments pour une disputatio en toute courtoisie (sans anathème, calomnie, provocation ni animosité etc.) reçus en commentaire ou par eMail… – sur cette page spéciale.
Je ferrai simplement pour le moment, avant de passer sur la page spéciale « Disputatio : Credo in UNAM Ecclesiam », une première remarque d’importance à Monsieur l’abbé :
« la plus urgente de tout : faire continuer l’Église »
Cette « église » Conciliaire, qui éclipse actuellement l’Église catholique (cf. Notre Dame à La Salette) et se fait passer aux yeux du Monde pour Celle qu’elle n’est pas, n’est justement pas l’Église catholique…
C’est une autre église !!!
L’Église catholique, Elle, continue malgré tout derrière (d’une manière non visible, puisqu’éclipsée) l’église Conciliaire comme N.S. Jésus-Christ l’a dit : « Les portes de l’enfer ne prévaudront pas ».
UN CLERC ENFIN CLAIR
ENFIN UN CLERC ENFIN CLAIR
L’abbé Abrahamowicz fait le point
D’aucuns le traiteront de “simpliste” : on connait !
Il est tout simplement : simple, car la Foi catholique est simple. Seule l’erreur est compliquée.
Face aux angoisses antisedevacantistes de Mgr Williamson (voir plus bas), l’abbé expose les absurdités de Mgr Willianson et celles de ses confrères “résistants” opposés aux aventures de Mgr Fellay. Mais il y a des dizaines d’années que ces absurdités ont été reprochées à Mgr Willianson et qu’il s’en moque complètement. Il sait que ses positions sont absurdes, il ne changera pas. Il n’est pas du camp de la vérité et cela depuis le début !
Il ne suffit pas d’être contre Mgr Fellay pour être dans la vérité.
Profitons-en pour faire remarquer que les projets des anti-Fellay, Avrillé compris, sont sans avenir. Mgr Williamson parle de sacrer. Qui ? Pourquoi ? quelques évêques de plus pour confirmer et faire quoi ? un séminaire ? avec qui ? ouvrir de nouvelles chapelles ? avec quelles troupes ?
Il est trop tard ! tout cela est mort-né ! Plus personne ne se convertit !
Dans les chapelles non-una-cum on en sait quelque chose : aucune vocation, aucun prêtre converti au « non una cum ». Mgr Guérard en avait converti une centaine (?) dans le monde entier.
Depuis 35 ans, où sont les vocations, où sont les conversions de prêtres non-una-cum, où sont les conversions de fidèles, que ce soit de Verrua, des abbés Guépin, Belmont, Seuillot, du P. Raffalli ? Rien, rien. Œuvres sans fruit ! Chapelles sans fidèles ou presque.
Alors qu’attendre des ʺ40ʺ ? Ils n’ont pratiquement pas de fidèles. Qui les suivra ? Le travail des Adrien Loubier de Bonnet de Viller, Max Barré, Paul Chaussé, etc. arrive trop tard et n’était pas assez rigoureux. Leurs lecteurs ne sont pas assez formés et ne sont que des lecteurs, pas des combattants de la foi.
L’abbé Abrahamowicz est clair mais son message arrive trop tard lui aussi. Depuis vingt ans et plus nous répétons le même message. Nous n’en avons reçu que des quolibets, des moqueries, des injures, y compris de ces nouveaux adeptes soi-disant plus fermes. Ils vont découvrir combien rejeter tout Vatican d’Eux est peu partagé. Ils vont découvrir que Dieu vomit les tièdes et qu’à la fin du 5è âge il y a si peu de croyants qu’ils se connaissent par leur nom (Holzhauser).
Écoutez le sermon du dimanche de la Chandeleur
de l’abbé Florian Abrahamowicz :
[audio:http://catholicapedia.net/audio/Abbe-Abrahamowicz_Mgr-Williamson-et-le-sedevacantisme.mp3|titles=Sermon de la Chandeleur|artists=Abbé Abrahamowicz]