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L’existence de Jésus-Christ « remise en cause » !
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(signifiant Édition Spéciale)
22 avril 2016
À la demande des pays Arabes et le vote de la France, l’UNESCO a voté une résolution remettant en cause l’existence de Jésus. Chrétiens réveillez vous !
Il ne s’agit pas d’un canular : L’UNESCO, sur proposition des pays arabes, a voté une résolution négationniste remettant en cause l’existence même de Jésus, voire du Christianisme, le 18 avril 2016.
Avec l’Espagne, la Slovénie, la Suède et la Russie, la France a voté favorablement cette résolution.
Ce révisionnisme musulman vise non seulement à la négation pure et simple du Judaïsme en Terre Sainte mais aussi à l’existence même du Christianisme et de Jésus Christ.
En effet, si le Monde accepte qu’il n’y ait aucun lien entre les Juifs et Jérusalem, entre les Juifs et le Mont du Temple, alors Jésus ne serait plus qu’une légende inventée.
Selon le Nouveau Testament, Jésus était Juif et c’est à Jérusalem qu’il se rendit pour prier au Temple.
Dès les évangiles de Matthieu et de Luc, nous sommes transportés à Jérusalem où sont relatées les dernières années du règne d’Hérode le Grand. Nazareth, Bethléem et, bien sûr, Jérusalem.
La capitale de David est le lieu de plusieurs épisodes des évangiles de l’enfance : la vision de Zacharie dans le Temple (Lc 1,5-23), la venue des Mages auprès d’Hérode (Mt 2,1-12) et la présentation de Jésus au Temple à 40 jours (Lc 2,22-38). Douze ans plus tard, c’est la rencontre du jeune Jésus avec les docteurs de la Loi (Lc 2,41-52).
Jésus lance en public, dans le Temple, les paroles prophétiques qui annoncent la chute de la ville et la destruction du Temple.
Le Temple est le cœur du peuple Juif : le grand lieu de la prière, des sacrifices et des grandes fêtes liturgiques. Les disciples s’extasient devant son architecture imposante : “ Maître, regarde : quelles pierres, quelles constructions ! ” (Mc 13,1).
Luc, “ Jésus passait le jour dans le Temple à enseigner et il sortait passer la nuit sur le mont des Oliviers ” (Lc 21,37).
Quand Jésus monte à Jérusalem, c’est pour se rendre au Temple, l’un des lieux importants de l’évangile. Jean mentionne des montées de Jésus pour les fêtes de Pâque (2,13; 11,55), des Tentes (7,2), de la Dédicace (Hanoukka : 10,22) et pour une fête Indéterminée (5,1). Jésus va prier au Temple.
L’importance de Jérusalem, ville juive, et du Temple Juif sont au centre des évangiles.
Il est donc pour le moins étrange qu’aucune autorité religieuse Chrétienne ne se soit élevée contre cette résolution révisionniste qui remet en cause tous les fondements du Christianisme et du Judaïsme.
Ainsi pour l’UNESCO, le Temple de Salomon, celui d’Hérode, n’auraient pas existé : ce ne seraient que des mythes juifs, illégitimes, auxquels il faudrait tordre le cou, à défaut de pouvoir tordre le cou de chaque Juif ?
Ce sont des tonnes et des tonnes de pierres de toutes tailles et des poussières formées par les déblais du creusement d’une vaste salle de prière sous l’esplanade des mosquées, là où se trouvait le Temple qui n’aurait jamais existé ; ce lieu où les Juifs n’auraient jamais mis les pieds pour honorer l’Éternel, ni à l’époque de Jésus, ni avant ?
Pour parachever le tout, l’UNESCO décide que le site du Mur Occidental (Mur des Lamentations) n’a aucun lien avec le Peuple juif ; le passé est abrogé par un acte bureaucratique qui accuse de mythomanie le Peuple juif, ainsi que les quatre évangiles canoniques.
L’UNESCO considère ainsi que toute l’histoire du Judaïsme mais aussi du Christianisme, de Rome sont des mensonges, délirants et insensés. Les écrits relatés par Flavius Josèphe, dans son livre de plus de 1000 pages, « la guerre des Juifs » contre Rome sont également des mensonges et des fables.
Flavius rappellera que le siège de la cité « de sainteté », mené par Titus et ses légions, – lieu dont l’UNESCO décide qu’il n’a pas de lien historique avec les Juifs – coûtera un million de vies de Juifs (hommes, femmes, enfants).
Cette résolution s’inscrit dans la volonté de l’Islam et du monde Arabe de s’imposer en effaçant progressivement toute trace du Judaïsme et du Christianisme en Terre Sainte.
Déjà le 21 octobre 2015, l’UNESCO avait classé le Caveau des patriarches et la Tombe de Rachel, deux lieux saints juifs en Israël, comme des sites musulmans de l’État palestinien.
Les pays arabes ont même accusé Israël de fabriquer de fausses tombes juives à Jérusalem !
Il n’y aurait pas de « Mont du Temple » et pas de Mont Moriah – il n’y aurait que l’Esplanade des Mosquées et le Haram al Sharif ou « Noble Sanctuaire ».
On peut tout à fait considérer en bon laïc que toutes ces histoires de lieux saints ne sont que des sornettes, mais alors il faut s’abstenir de préférer une sornette à une autre, surtout lorsque l’une des sornettes précède toutes les autres de quelques millénaires.
L’un des épisodes les plus pathétiques de l’échec des négociations de paix à Camp David en 2000 était une scène largement documentée qui a vu Yasser Arafat tenter de convaincre un Bill Clinton ahuri que cette histoire de Temple juif était un mythe et qu’il n’y a en réalité aucun lien entre les juifs et Jérusalem.
Sans rentrer dans un développement théologique, il semble essentiel de rappeler ici une évidence : c’est parce que Jérusalem est sainte pour les Juifs qu’elle l’est devenue pour les Chrétiens puis pour les Musulmans.
Si le Coran est largement silencieux sur Jérusalem (le nom même de la ville n’y figure pas), la tradition islamique est truffée de références explicites au fait que le Noble Sanctuaire, la Mosquée d’Al-Aqsa et le Dôme du Rocher ont été érigés sur le lieu exact du Temple de Salomon.
Il ne serait pas venu à l’esprit du Calife Omar, qui a construit la première mosquée sur le Mont du Temple au VIIe siècle, de nier le lien consubstantiel entre ce lieu et le judaïsme. La tradition islamique rapporte que c’est même un rabbin yéménite fraîchement converti à l’islam qui lui indiqua le lieu précis de la « pierre de la fondation » sur laquelle est bâti aujourd’hui le Dôme du Rocher.
Le théologien Ibn Taymiyya (XIIIe siècle), considéré comme l’une des références religieuse centrales du courant wahhabite et salafiste, était si convaincu du lien entre ce lieu saint et les juifs qu’il s’en méfiait.
Salomon n’était pas juif mais bien musulman
L’une des preuves les plus absurdes de cette réécriture de l’histoire nous vient des revirements du WAQF, l’organisme en charge de la gestion des lieux saints musulmans à Jérusalem. Les guides publiés et distribués par le WAQF aux visiteurs avant la création de l’État d’Israël s’enorgueillissaient de cette filiation avec le premier et le deuxième Temple juif et en particulier avec la figure du roi Salomon.
Le nouveau guide publié et diffusé en 2014 nie tout lien entre le Mont du Temple ou même le Mur de Lamentations et le peuple juif…
Le comble est probablement l’affirmation dans cette dernière publication que le roi Salomon n’était pas juif mais bien… musulman (ce qui est bien sûr difficile à réconcilier avec la chronologie étant donné que son règne précède l’avènement de l’islam d’à peu près 1 500 ans.).
L’UNESCO veut faire disparaitre la civilisation Judéo-Chrétienne
Ce sont les fondements de la civilisation Judéo-Chrétienne qui sont remis en cause avec la complicité de la diplomatie française.
Cette résolution infâme, soutenue par la France, devrait soulever l’indignation de l’Église et des Chrétiens qui jusque là restent bien silencieux.
Nier tout lien entre le Judaïsme et le Mont du Temple, nier l’existence du Temple de Jérusalem où se déroula la vie de Jésus, où il pria, où il prêcha, c’est nier également l’existence même de Jésus mais aussi les fondements du Christianisme.
Sans Temple Juif à Jérusalem, tous les évangiles sont remis en cause.
Pourtant pas une seule autorité Chrétienne ne s’est élevée contre ce révisionisme historique et religieux de l’UNESCO sous la pression arabe…
Une fois de plus, seuls les Juifs dénoncent cette manipulation de l’histoire opérée par le monde arabe…
Le Dr Francis Weill écrivant au Préfet du Doubs suite au vote de cette résolution résume bien les faits :
« Ce vote est insensé : le Temple juif de Jérusalem, dont ce mur est un vestige, a été édifié environ mille ans avant notre ère. Le mur a été bâti au plus tard au 1er siècle par Hérode le Grand.
L’islam est apparu en l’an 622 de notre ère : sept siècles plus tard. Cette résolution est donc scientifiquement stupide et moralement malveillante. Elle reprend une thèse négationniste constante de l’islam, qui, pour de raisons de politique actuelle, nie toute présence juive (et donc primo-chrétienne) antique en Israël. Il y a vingt ans déjà j’ai entendu personnellement le grand mufti de Jérusalem exprimer cette position : pour lui, le Mur est le mur de soutènement de sa mosquée.
Ainsi, même si la science a prouvé qu’un objet est noir, il suffit que l’islam désire qu’il soit qualifié de blanc pour que le gouvernement français accepte de se plier à sa volonté.
Ce faisant, nos gouvernants ont installé tous les Français dans un statut de dhimmis. Ce fait est lourd de danger pour l’avenir. Ce vote n‘est pas seulement insensé ; il est indigne.
Nos forces de défense se battent contre l’islamisme conquérant. Et voilà qu’à l’UNESCO notre pays à concédé à l’État islamique une immense victoire culturelle.
Notre gouvernement a toujours proclamé sa détermination à lutter contre l’antisémitisme ; mais en l’occurrence il a apporté, sur la scène internationale, son soutien à un certain antisémitisme. »
Les Chrétiens doivent absolument dénoncer cette manipulation de l’histoire qui remet en cause l’existence même du Christ.
Chrétiens réveillez vous !
© Christian De Lablatinière pour Europe Israël News
Église catholique versus Secte maranne conciliaire
Église catholique
Secte maranne conciliaire
Pour l’Église catholique, un atelier extraordinairement novateur conçoit, entre 1225 et 1235, sur le chantier de la Cathédrale de Strasbourg, les parties supérieures du croisillon sud et le Pilier des Anges, puis les tympans des deux portails sud et le couple de l’Église et de la Synagogue placé de part et d’autre de ces portails. Ces deux figures de femmes, allégories des religions chrétienne et judaïque, comptent parmi les plus célèbres chefs-d’œuvre de l’art occidental du Moyen Âge.
La Synagogue vaincue et l’Église triomphante appartiennent à une symbolique traditionnelle dont les représentations se multiplient à partir du milieu du XIIIe siècle. À gauche, l’Église victorieuse et couronnée, tenant dans ses mains le calice et la bannière que surmonte la croix, considère avec assurance la Synagogue. Celle-ci, qui tient une lance brisée, détourne sa tête aux yeux bandés, expression de son refus de reconnaître dans le Christ le Messie attendu. Elle paraît laisser tomber les tables de la Loi, symbole de l’Ancien Testament dépassé. Ces sculptures encadraient à l’origine une figure du roi Salomon placé entre les deux portails, assis sur un trône et tenant une épée, figure aujourd’hui disparue. Ces figures élancées sont empreintes d’une très grande humanité. Toutes deux caractérisent la brève période de raffinement qui marque la fin du règne des Hohenstaufen. La finesse des drapés fluides, qui laissent percevoir la densité des corps, ainsi que les poses majestueuses, renvoient également à la statuaire de l’Antiquité, qui bénéficie au début du XIIIe siècle d’un regain d’intérêt désigné sous le nom de « Renaissance antique ».
Pour le secte maranne Conciliaire, une statue commandée par l’Institut de relations juives et catholiques à l’Université Saint-Joseph de Philadelphie appelée “Synagogue et Église dans notre temps” représente « deux femmes assises l’une à côté de l’autre, comme deux sœurs »…
Une image vaut mille mots !
Là vous en avez deux !
La réconciliation avec la F$$PX s’accélère !
La réconciliation avec la F$$PX s’accélère !
La Lettre du Clown Blanc accordant l’indulgence à l’occasion de son “Jubilé extraordinaire de la Miséricorde” du 1er septembre a surpris certains observateurs attentifs des relations qu’entretiennent le Vatican d’Eux et la Fraternité Sacerdotale Saint Pie X. Ce document place l’année de la “Miséricorde” voulue par l’anti-Pape de la secte marrane (1) François Ø sous trois éclairages : la miséricorde pour les prisonniers, le grave problème de l’avortement, et la réconciliation avec les fils de Mgr Lefèbvre. Il va de soi que ces trois « axes » ne sont pas à mettre au même plan, car le troisième était vraiment inattendu pour le Grand monde. Le Clown Blanc François a livré là un des coups de maître dont il a le secret et qui prennent à revers tant ses détracteurs que ses admirateurs.
La miséricorde pour les criminels et les personnes ayant participé à un avortement (!!!) fait l’objet des deux principaux paragraphes… L’anti-Pape marrane est habitué des déclarations qui semblent trancher avec la détermination de ses prédécesseurs de la secte en la matière (2), et il tend la main aujourd’hui aux femmes et aux médecins qui ont pratiqué l’avortement condamné par Dieu. Les media ont remarqué cela, et ont dépeint François comme un « Pape progressiste » contraignant une majorité de “prêtres” récalcitrant à pardonner aux femmes qui se présenteraient devant eux. Cette position n’apporte d’ailleurs rien de nouveau, parce qu’en France, par exemple, beaucoup de pseudo-prêtres de la secte marrane ont déjà reçu la faculté de lever l’excommunication liée à l’avortement sans en référer à leur pseudo-évêque…
En revanche, les media n’ont pas parlé du dernier paragraphe, et non le moindre. Dans ce texte, le Clown Blanc loue d’abord la « bonne foi et pratique sacramentelle » des prêtres de la F$$PX. Une remarque intéressante car le leitmotiv était jusqu’alors de rappeler systématiquement que les sacrements délivrés par cette F$$PX étaient au moins illicites, et parfois soupçonnés d’invalidité pour certains (confessions et mariages). Affirmant son souhait de trouver « dans un proche avenir (…) les solutions pour retrouver une pleine communion avec les prêtres et les supérieurs de la Fraternité », François Ø déclare valides et licites toutes les absolutions données par les prêtres de la F$$PX au cours de son “Jubilé de la Miséricorde” : « J’établis, par ma propre disposition, que ceux qui, au cours de l’Année Sainte de la Miséricorde, s’approcheront, pour célébrer le Sacrement de la Réconciliation, des prêtres de la Fraternité Saint Pie X recevront une absolution valide et licite de leurs péchés. »
La nouvelle en a surpris plus d’un ! Arrêtons-nous un instant sur ces “dispositions jubilaires” concernant les prêtres de la Fraternité. Si l’on s’en tient au point de vue officiel à Rome jusque sous Ratzinger-Benoît XVI, il faudrait déduire de la décision de l’anti-Pape marrane qu’il confère à des prêtres qui demeurent apparemment frappés de suspense Conciliaire, le droit de conférer licitement un sacrement, à l’exclusion des autres. On ne peut faire plus contradictoire. Il faudrait aussi déduire que les absolutions données par ces prêtres avant et après l’année de la Miséricorde ne sont pas ou ne seront pas valides pour Eux, en l’absence d’accord intervenu entretemps…
Le Clown Blanc n’est pas plus canoniste qu’il n’est théologien. Par cet acte, François Ø témoigne surtout du peu de cas qu’il fait du formalisme juridique. Il paraît clair que, dans son esprit, s’il demeure un problème à surmonter, il s’agit moins de résoudre un schisme, que de réussir à donner un statut acceptable pour la F$$PX au sein de la secte qui éclipse l’Église. Bref, en bon jésuite, François règle les choses sous un angle “pastoral” … pour ne pas dire politique.
L’initiative du Clown Blanc François a au moins trois conséquences :
- elle associe d’une manière assez inédite la F$$PX à un événement important de l’église « Conciliaire » et manifeste que leur “Pape” considère la Fraternité comme pleinement marrane ;
- elle tend à conforter dans leur position ceux qui reçoivent régulièrement des sacrements de la part de prêtres et d’évêques de la F$$PX en ouvrant une brèche dans l’argumentation de ceux qui tiennent ces sacrements pour illicites voire invalides ;
- elle manifeste clairement la volonté du Clown Blanc d’achever le grand dessein de réconciliation voulu par Benoît 1er de Vatican d’Eux.
C’est un nouveau signe que l’anti-Pape serait prêt à aller plus loin et plus vite que son prédécesseur. Benoît 1er de Vatican d’Eux entendait réaliser cette pleine réunion de la F$$PX à l’église [secte marrane] Conciliaire sans faire l’économie de discussions et sans brader le conciliabule Vatican II (d’Eux). Quant à François, il ne souhaite pas s’embarrasser de querelles théologiques parce qu’elles lui semblent aujourd’hui dépassées… En dépit d’un profil moins classique, François Ø paraît faire moins grand cas de Vatican d’Eux que son prédécesseur.
Des sources très autorisées ont affirmé en privé que François Ø serait prêt à accorder une prélature personnelle bénéficiant de l’exemption épiscopale à la F$$PX. Concrètement, la F$$PX, contrairement aux autres instituts Ecclesia Dei, n’aurait pas à demander d’autorisation à un pseudo-évêque Marrane pour ouvrir une maison dans son “diocèse” et y délivrer les sacrements. Cette concession n’a manifestement jamais été envisagée par Benoît 1er de Vatican d’Eux. Mais la contrepartie pour la F$$PX — dont la liberté de parole, y compris au sujet du conciliabule Vatican d’Eux, ne semble pas faire peur au Clown Blanc (3) — serait d’accepter d’entrer dans le Chaos qui règne dans la secte Marrane, de cohabiter avec un “clergé” et des “fidèles” pour qui la référence conciliaire est centrale et dont les positions sont souvent beaucoup plus hétérodoxes que celles des prêtres et des fidèles de la Fraternité. Mgr Fellay lui-même a affirmé que la F$$PX respectait 95% des enseignements du concile Vatican II (d’Eux) (4). Il est clair que sur beaucoup de sujets, dont la “liturgie”, la pratique commune des “prêtres diocésains” est aux antipodes de ce que demandait le conciliabule. Que dire de la nette fidélité au Magistère (catholique s’entend !) des prêtres et des fidèles de la F$$PX s’agissant de l’avortement, de l’euthanasie, du mariage des homosexuels, de l’ordination des femmes ou de la morale sexuelle ? Sur tous ces sujets, il est aisé de trouver au sein de la secte Marrane réputée en communion avec Rome des pseudo-prêtres et des “fidèles” en totale contradiction avec l’enseignement de leur “Pape”.
(D’après un article de le Rouge & le Noir : un site internet d’information, de réflexion et d’analyse)
Il LEUR fallait que la France mourût
Un livre à lire, même en 2015 ; il y aurait quelques commentaires à faire, mais le lecteur est assez intelligent pour comprendre.
L’auteur écrit en POSTSCRIPTUM :
Ce livre est un livre d’assemblage dont les pièces maîtresses sont les grands événements historiques vécus par nous-mêmes. C’est sa force.
Mais il peut se trouver des lecteurs qui, plus exigeants, voudraient qu’à cette puissance soit régulièrement ajoutée la preuve par le document sensationnel.
À ceux-ci, il convient de rappeler qu’en matière de société secrète et à l’exception, avons-nous dit, des documents saisis par surprise dans les loges au cours des perquisitions de 1940, et de quelques autres, auxquels des circonstances exceptionnelles ont attaché une présomption particulière d’authenticité, tout document de société secrète peut toujours être contesté, parce qu’il peut toujours être vrai ou faux, et, s’il est vrai, il peut encore avoir été volontairement créé et égaré par les loges pour dérouter l’OPINION.
Il ne faut jamais l’oublier, la société secrète, c’est le mensonge sous toutes ses formes ; et elle ne serait pas secrète si ce n’était pour mentir. Cela va de soi.
Aussi n’est-il jamais arrivé, peut-on dire, que la publication d’un document maçonnique sensationnel n’ait aussitôt provoqué l’explosion d’un vacarme de dénégations, qui finissaient bien souvent par jeter le doute sur sa valeur et réduisait à peu de chose, sinon à rien, l’œuvre du commentateur.
Que faire, donc ?
Renoncer, déclarer forfait, et laisser le champ libre aux assassins de la France et de la civilisation chrétienne, c’eût été une solution, et la plus simple assurément.
C’est la solution des « attentistes ».
Nous en avons choisi une autre, parce que, pour prouver ce que nous savons être la vérité, il restait le procédé dit de recherche scientifique, le procédé qui, partant des données acquises, tourne et retourne la matière, et, par l’observation, la déduction et la confrontation, pose et repose inlassablement les questions :
« Il n’y a pas d’effet sans cause, et rien ne se fait tout seul. Quelle est la cause ? »
Puis, la cause entrevue :
« Est-ce logique ? Y a-t-il confirmation ou contradiction ? Le Tout est-il Cohérent ? »
Supprimez ce procédé, et il n’est plus ni science, ni tribunal qui subsistent.
C’est pourquoi, prenant notre point d’appui sur des bases solidement établies, notamment :
a) La franc-maçonnerie, invention et création uniquement anglaise ;
b) Le despotisme, maçonnique, régnant sur les francs-maçons aussi bien que sur la France, au cours de DEUX siècles de notre Histoire, et ce despotisme agissant invariablement pour l’Angleterre contre la France ;
c) La Révolution russe, préparée, menée et réussie par les juifs, payés de surcroît par l’or juif du milliardaire américain Jacob Schiff, et quelques autres ; et le juif devenu par elle, le féodal, et le féodal exclusif de la Russie ;
d) Le juif, pareillement roi et féodal des révolutions communistes hongroises et espagnoles ;
e) Les incohérences effarantes, mais en apparence seulement, de la Diplomatie anglaise, souveraine maîtresse de l’Europe de 1918 à 1939,
Notamment :
Au traité de Versailles : L’Autriche dépecée et l’Allemagne unifiée et renforcée mais affamée ;
Par la suite : La Victoire saccagée, en même temps que le réarmement allemand voulu et protégé par l’Angleterre,
nous avons démontré l’obligation, pour atteindre les Buts harmonisés de L’État Juif, de l’Angleterre et de l’Amérique, de passer préalablement par la mort de la France.
Après avoir dégagé au passage la concordance de ce programme avec les enseignements du Talmud, nous avons consacré DEUX chapitres à vérifier sa concordance avec tous les grands événements nationaux français et internationaux européens intervenus depuis la guerre de 1914-1918, événements que nul ne peut nier, puisqu’il les a vécus, mais auxquels, en dehors des BUTS précités de L’État Juif, de l’Angleterre et de l’Amérique, nul ne peut trouver non plus, ni une signification valable, ni un enchaînement, ni encore moins, une liaison qui fasse du tout, un TOUT, UN et COHÉRENT.
Libre à chacun, d’ailleurs, de se livrer à la contre‑épreuve et de démontrer, par exemple :
1° Que ce fut uniquement par hasard ou pour toute autre raison – à dire et justifier – qu’à l’encontre de l’attente unanime du monde entier, qui tenait pour acquis l’amoindrissement de l’Allemagne et le renforcement de l’Autriche, l’Angleterre, souveraine maîtresse du Traité de Versailles, dépeçait l’Autriche et renforçait l’Allemagne unifiée, en attendant de favoriser ensuite son réarmement par tous moyens en son pouvoir, mais tout cela en ayant bien soin de l’affamer.
Libre à chacun de prouver que, ce faisant, l’Angleterre ne voulait que la paix et la grandeur de la France.
2° Que ce fut encore pour que la France jouît en paix de sa victoire et restât une Nation forte qu’elle nous fit saccager cette victoire et pulvériser toutes les garanties – cependant bien faibles – que nous y trouvions pour que « cela ne recommençât pas », cependant que, par sa franc‑maçonnerie, elle ameutait L’OPINION contre le seul homme d’État français qui osât vouloir et tenta une entente définitive de la France avec l’Allemagne et l’Italie. À ce point que, parlant du président LAVAL, le chef de la propagande anglaise en France put dire après le triomphe du Front Populaire, en 1936 : « Il nous a coûté cher, mais nous l’avons eu. »
3° Que l’or juif ne fut pour rien dans la Révolution russe.
4° Que les juifs n’ont aucun pouvoir en Russie.
5° Qu’ils ne furent pour rien dans les Révolutions communistes hongroises et espagnoles.
6° Que les colossales usines russes, dont le monde vient d’apprendre l’existence au loin, en Sibérie, qui, en dix-huit mois, ont pu jeter 18.000 tanks dans la bataille, sortirent de terre par hasard, ou sans aucune autre intention que de prémunir la Russie contre une attaque de l’Esthonie ou de la Finlande.
7° Que c’était enfin pour plaisanter que le juif Salomor Ash écrivait dans les Nouvelles littéraires du 10 février 1940 : « Cette guerre est la nôtre, et vous la faites pour nous ».
À tous ces faits, à tant d’autres, il faut trouver des raisons solides et valables. Mais ce résultat atteint, il n’y aura encore rien de fait si ces explications ne font pas un TOUT. Le TOUT, qui est UN et COHÉRENT. Le TOUT qui donne réponse à TOUTES les objections.
Voilà ce qu’il faudra encore échafauder, et le propos de cette étude deviendra alors un néant, auquel l’auteur s’engage à souscrire sur-le-champ.
Le Marquis de La Franquerie écrivait en note 37, page 48 de son célèbre « Lucifer & le pouvoir occulte » :
L’Angleterre a toujours été le principal ennemi héréditaire de la France et le roi d’Angleterre se permettait de s’intituler Roi d’Angleterre et de France. (…)
« La France devra toujours se méfier de l’Angleterre ! »
NOACHISME : La réalisation du grand projet d’un monde meilleur
Nous vous avons déjà parlé — en Août 2014 — d’un site créé en 2010, le Noahide World Center. Ce site et cette organisation fait de la propagande noachide…
Dans une vidéo d’octobre 2014, le rav (rabbin) Ouri Cherki, en demandant des dons de soutien pour continuer son travail, nous donne une bonne vue sur le rôle qu’ils (Eux) donnent au Noachisme…
« C’est un grand honneur que de participer à la réalisation des paroles de nos prophètes, qui ont annoncé que viendrait le jour où : “De nombreux peuples iront dire : levons nous ! Montons à la montagne de Dieu, à la maison du Dieu de Jacob, qu’il nous instruise de ses voies, que nous marchions dans ses sentiers” (Isaïe 2, 3). “Car alors je bouleverserai le langage des nations en une langue claire, pour que tous invoquent le nom de l’Éternel, pour le servir d’un même élan” (Céphania 3, 9). “L’Éternel sera le Roi de toute la terre ; alors, l’Éternel sera reconnu Un, et Son nom sera Un” (Zacharie 14, 9).
Participons tous ensemble à la réalisation de ce grand projet d’un monde meilleur. Oury Cherki »
Comme vous l’avez entendu ! ils se disent « nation de prêtres »… « nation sacerdotale »…
Vous trouverez sur leur site, le Noahide World Center, toutes les informations (et une grande série de vidéos) concernant cette « religion » Noachide de leur point de vue !
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Vous vous reporterez également aux articles que nous avons déjà publiés sur le Noachisme :
L’Enseignement d’Élie Benamozegh – La Religion Noachide
► http://wordpress.catholicapedia.net/annonce-lenseignement-delie-benamozegh-la-religion-noachide/
NOM (NWO en anglais) : La religion noachide
► http://wordpress.catholicapedia.net/nom-nwo-en-anglais-la-religion-noachide/
Radio Courtoisie : Le noachisme par Louis-Hubert Remy
► http://wordpress.catholicapedia.net/radio-courtoisie-le-noachisme-par-louis-hubert-remy/
Pierre Hillard : Nouveauté à ne pas manquer
Chroniques du mondialisme
Nouvel Entretien avec Pierre Hillard
sur Chroniques du mondialisme
Le Grand Kahal : Un Terrible Secret
Le Grand Kahal : Un Terrible Secret
Texte de don Curzio Nitogilia (Il Gran Kahal, un terribile segreto,
Chiesa Viva, novembre 2013)
Trad. de l’italien par Laurent Glauzy
Les auteurs qui ont traité du secret du Kahal ont étudié l’œuvre fondamentale de Jacob Brafmann (1824-1879), Книгу кагала (le livre du Kahal).
Après de longues recherches, j’ai réussi à trouver une traduction (manuscrite) en langue française ; (l’original en russe se trouve encore au British Museum, ainsi qu’une version en polonais et une en allemand). Jacob Brafmann, Russe d’origine juive, converti à l’orthodoxie à trente-quatre ans, fut nommé professeur d’hébreu auprès d’un séminaire théologique gouvernemental de Minsk. En 1870, il publia en langue russe, à Vilnius, son œuvre Le Livre du Kahal. Les juifs en acquirent quasiment tous les exemplaires et le détruisirent. Toutefois, quelques-uns furent épargnés.
L’encyclopédie juive écrit que « Brafmann attaqua l’organisation juive (Kahal) dans plusieurs périodiques russes, la décrivant comme un État dans l’État, affirmant qu’elle faisait partie d’une conspiration internationale juive. Brafmann publia Le Livre du Kahal, traduction en russe des brouillons de la Kehillah de Minsk… Si bien que Brafmann fut accusé de faux. En réalité, son livre, qui était une traduction suffisamment diligente de documents, a servi à plusieurs études, comme fond historique pour la connaissance de la vie interne de l’hébraïsme russe au XIXe siècle. » (1)
Le livre du Kahal n’est donc pas un faux. Il est aussi authentique que Les Protocoles des Sages de Sion, comme l’a affirmé Norma Cohn (2), mais il s’agit plutôt « d’une source hébraïque », selon l’avis de l’auteur de l’Encyclopédie juive ! Il existe ensuite une autre œuvre très sérieuse, sorte de reproduction du livre de Brafmann ; il traite de l’étude de Kalixt de Wolski, De la Russie juive (3). Aussi cette œuvre connut le même sort de celle de Brafmann. Bien heureusement, nous sommes parvenus à nous en procurer un exemplaire. Enfin, Vial Marie-Léon, s’inspirant du livre de Wolski, en 1889, écrivit une œuvre intéressante intitulée Le Juif sectaire ou la tolérance talmudique (4). Ce sont là les trois sources principales. Je citerai cependant, dans le cadre de ce dossier, d’autres études publiées successivement sur le sujet.
Dans le présent article, dont le but est de faire un peu la lumière sur le mystère du Kahal, sera reprise en priorité l’œuvre de Brafmann, ainsi que d’autres livres, ou articles de grande importance écrits sur ce thème.