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“Call Me Jorge” : « excuse-moi, et “tape m’en cinq” ! »
“Call Me Jorge” alias François Ø a de nombreux amis… des juifs…, des protestants… des pentecôtistes… (des musulmans ? mais pas beaucoup de catholique on dirait !)
Le 24 juin dernier, il s’était montré des plus amicaux avec le télévangéliste texan James Robinson au réfectoire de la résidence Sainte-Marthe, où au milieu de grands éclats de rire, il avait frappé de sa paume celle du pasteur.
Un bon “high five” (en français « tape m’en cinq ») ! digne des fêtards de nos jours mais indigne d’un soit-disant « Vicaire du Christ » !!!
ÉCLAIRCISSEMENTS AU SEIN DE LA FAUSSE RÉSISTANCE :
Mgr Williamson a parlé …
Éclaircissements Au Sein De La Fausse Résistance :
Monseigneur Williamson A Parlé
Par Osko de Radio Cristiandad
Mgr Williamson a parlé …
Une Plus Grande Clarté Dans La Fausse Résistance
« Romains, mes amis, mes concitoyens, écoutez-moi ! Je viens enterrer César, non le louer. »
William Shakespeare, « Jules César » ; discours de Marc-Antoine
« L’ironie exige un minimum de bagage culturel »
Lu sur la Toile…
« J’y vais en avion, pas en train… »
Charly Garcia (1)
Aux impostures habituelles de certains prêtres de la fausse Résistance (comme celle – commentée par nos soins – de l’abbé Trincado, avec son grossier et ridicule panégyrique de la « naissance » de cette fausse résistance à Chihuahua) ; à l’habitude qu’ont les prêtres en question de ne pas considérer comme une farce ce qui s’est passé au sein de la FSSPX depuis la création du GREC ; au fait qui en découle, à savoir que la forteresse de Menzingen est aux mains de « ralliéristes » libéraux et doctrinalement déformés ; aux ingérences d’un sioniste tel que Maximilian Krah dans la gestion financière et la consultation juridique de la FSSPX ; à une série considérable d’autres affaires troubles, il faut ajouter à présent la dernière sortie de Monseigneur Williamson.
Les prêtres et les fidèles de la fausse Résistance pourront difficilement éviter de relier toutes ces questions à l’inexplicable leadership que Monseigneur Williamson exerce sur ledit secteur.
Mgr Williamson est l’un des QUATRE évêques auxquels Mgr Fellay faisait allusion en déclarant avec le plus grand sérieux : « Vous allez rire, mais au fond, nous sommes d’accord entre nous ».
Or pour autant qu’on sache, nul n’a eu l’idée de se poser la question suivante :
Au fait, sur quels sujets les quatre évêques seraient-ils d’accord entre eux ?
Voyons cela.
Celui qui écrit ces lignes ne saurait répondre à la question ci-dessus, et moins encore à celle de savoir si l’« accord » entre les QUATRE évêques est complet, ou bien s’il existe des nuances entre eux.
Sauf sur un point qui se trouve être crucial et que l’on ne saurait passer sous silence.
Nous savons que si Mgr Fellay se rendait en courant pour Rome, Mgr Williamson (pour paraphraser un chanteur argentin du genre facétieux) s’y rendrait en avion.
Il y a là une nuance, voire une différence qui est nettement à l’avantage de Mgr Fellay, ou plutôt au détriment de Mgr Williamson.
Comme on dit familièrement : « Il n’y courrait pas, il y volerait ».
L’explication est peut-être à chercher dans le fait que des deux, Mgr Fellay est de loin le plus proche de Rome sur les plans non seulement idéologique, mais aussi géographique, alors que Mgr Williamson est devenu nettement plus itinérant et qu’exiger de lui qu’il courre ou qu’il marche risquerait de passer pour un manque de respect de notre part vis-à-vis de son âge.
De mon côté, je n’aurais guère les moyens de lui offrir une montgolfière en guise de moyen de transport.
Mgr Williamson et Mgr Fellay n’en sont pas moins en parfaite communion d’idées quant au « pontificat » de Jorge Mario Bergoglio, qu’ils perçoivent exactement de la même manière.
J’irai jusqu’à dire qu’à un certain moment, Mgr Fellay s’est montré plus critique que son confrère anglais à l’égard de « François ».
Non seulement le chef résolu (ou félin ?) de la fausse Résistance (plus évidemment fausse que toute autre) persiste à dire qu’il n’a ni autorité, ni juridiction, mais il soutient que l’une et l’autre sont aux mains de Bergoglio et de ses acolytes, et – cerise sur le gâteau – il admet qu’il irait se soumette à l’hérétique contumace qui gouverne depuis Sainte-Marthe, à la seconde même où il recevrait le moindre signal d’amitié de sa part.
C’est un peu comme si saint Athanase était allé rendre une visite (tardive, bien sûr, faute d’avion) à Arianus après lui avoir reconnu un pouvoir Légitime sur l’Église du Christ.
Si je me souviens bien, le saint patriarche affirmait : « Ils ont les églises, mais nous avons la Foi », ce qui signifiait – me semble-t-il – Quelque Chose De Très Important.
Et ce ne serait pas pareil aujourd’hui ?
Ah, bien sûr que non ! L’Arianisme n’est pas du tout la même chose que le Modernisme qui règne à Rome depuis des décennies.
Bien sûr que n’est pas pareil, car le Modernisme est infiniment pire et plus pervers que l’arianisme !
En effet, si l’Arianisme plaçait Hors de l’Église ceux qui le professaient, tel est beaucoup plus le cas encore du Modernisme, dont saint Pie X a affirmé que c’était l’égout collecteur de toutes les hérésies, y compris le credo arien.
On est donc là en présence d’un exercice de logique, et du genre le plus élémentaire.
Nous sommes confrontés aux autorités de l’église Conciliaire, qu’il est impossible de qualifier de Catholique pour la simple raison qu’elle professe une foi qui n’est Pas Catholique. Bergoglio l’a d’ailleurs dit lui-même : « Dieu n’est pas catholique », ce que chacun peut entendre à sa manière, comme tout ce que dit Bergoglio, sauf les choses qu’il exprime en toute clarté, à savoir celles qui affirment la prédominance du pouvoir juif pour le compte duquel travaille ce sixième « pape » conciliaire.
On peut toujours s’obstiner à croire ce que l’on veut et parvenir à y croire, mais cela ne change rien aux faits, car les faits sont têtus, quand bien même ils nous déplaisent. Enfin…
Mgrs Fellay et Williamson, deux des quatre évêques qui sont d’accord entre eux « au fond », le sont sur davantage de points qu’ils ne veulent bien l’admettre, mais on s’en tiendra ici aux deux points suivants :
a. L’un et l’autre croient que Bergoglio Est Pape et que l’église Conciliaire est l’Église Visible, donc qu’elle est l’Église Catholique.
b. L’un et l’autre iraient très vite s’agenouiller devant le Faux Pape François (faux pour bien des raisons, parmi lesquelles ses constantes incartades médiatiques relevant de la sensiblerie et de la farce, si peu seyantes à la fonction papale, les hérésies sortant à répétition de sa bouche « pontificale », ses multiples faits et gestes hérétiques, ses innombrables déclarations, écrits et actions hétérodoxes, etc.)
Par conséquent, et au-delà du débat concernant la vacance ou la non-vacance du siège pontifical, nous soutenons ce qui suit :
Eu égard à ce qui précède, outre tout ce que nous avons vu antérieurement, nous considérons comme vérifié et démontré sans le moindre doute que les deux évêques font le jeu de la Synagogue de Satan, qui est derrière Bergoglio comme elle était derrière tous les autres « papes » conciliaires.
Mgr Fellay est un libéral modéré, tourmenté par l’impression terriblement inconfortable d’être excommunié, ou du moins de n’être « pas en parfaite communion » avec celui qu’il considère comme un vrai Pape.
De son côté, Mgr Williamson, qui vient de l’anglicanisme et a été un libéral (deux choses qu’il reconnaît lui-même), ne ressent pas autant le fait d’être séparé de ce que lui aussi considère comme étant l’Église et le Pape. Néanmoins, sa position est deux fois plus périlleuse que celle de Mgr Fellay, pour cette raison justement, et elle est en outre plus ambiguë.
Enfin, force est de souligner qu’il y a là un tout, que les deux évêques, ou plutôt les Quatre évêques n’apportent pas la plus petite garantie d’agir en défense de la vraie foi.
Intéressons-nous maintenant aux suiveurs de Mgr Williamson.
On comprendra que nous soyons presque obligés de parler d’eux à propos de la fausse Résistance, parce qu’ils ont adopté l’étiquette « Résistance » en suivant un Faux Résistant (Mgr Williamson) et qu’il se trouve parmi eux des gens qui n’ont rien ou presque de Résistant, comme on l’a déjà dit.
Mais nous allons voir à présent que dans la mesure où Mgr Williamson a laissé entendre à travers tous ses propos, et sans le moindre doute possible, d’une part que Bergloglio est Pape à ses yeux et que ce dernier est donc celui qui exerce le pouvoir de Lier comme de Délier dans l’Église du Christ, d’autre part que de cet homme – moderniste corrompu et corrupteur de la foi et des âmes – émane (selon Mgr Williamson, manifestement) Toute Juridiction, ceux qui militent dans les rangs de la Fausse Résistance (laquelle – nous le redisons – se révèle Plus Fausse qu’Aucune Autre) ont le choix entre deux voies, et pas une de plus :
a. continuer à suivre l’évêque anglais sur le chemin de l’apostasie et se soumettre aux apostats romains qui détruisent la foi ;
b. ou bien se séparer sans hésitation de la Fausse Résistance en quittant le sillage de ces évêques et prêtres Fourvoyés.
Certes, ils ont aussi une option c. :
De même qu’il existe une médecine et des thérapies « alternatives », une architecture « alternative », une musique « alternative », des voies de circulation « alternatives », etc., il semble que certains prêtres, un peu combinards et amis de la « modération », qu’ils confondent sciemment avec la Prudence, sont enclins à adopter des positions « Alternatives ».
Nous voulons parler des curés qui « font de la politique », qui pratiquent une sorte de « prosélytisme » mal compris, c’est-à-dire sans essayer de faire de vrais Prosélytes, mais en se cherchant simplement des Alliés et des Sympathisants.
Peut-être est-ce pour cela qu’ils s’efforcent de ne pas « perdre de paroissiens » et se contentent d’être entourés d’un bon nombre de « sympathisants » et d’« alliés ».
Ils devraient pourtant savoir que les Alliés ne le sont que de circonstance et pour des motifs conjoncturels, mais ne sont pas attachés aux mêmes intérêts de fond ni n’agissent sous l’empire de la même charité, de la même foi, de la même espérance qu’eux.
Les Sympathisants sont certes une excellente chose dans les clubs de football, mais à fuir dans les domaines de la foi et de la religion.
C’est pourquoi, chers « résistants » regroupés au sein de la fausse Résistance, il est temps pour vous de donner un signal clair en vous écartant des évêques et des prêtres qui ne cessent de louvoyer dans cette ample marge d’ambiguïté et de modérantisme.
Il est facile d’exécrer Mgr Fellay pour sa trahison évidente de l’œuvre de la Tradition, et il nous semble non moins facile d’exécrer également Mgr Williamson, car celui-ci a laissé tomber l’énormité suivante, qui a peut-être échappé à des oreilles inattentives :
Si… si… si… par un miracle quelconque, le Pape François m’appelait la semaine prochaine et me disait :
« — Excellence, vous et moi avons eu nos divergences, mais je vous autorise maintenant à fonder une fraternité. Allez donc de l’avant pour le bien de l’Église.
« — Saint Père, verriez-vous un inconvénient à me mettre cela par écrit et à ce que je vienne à Rome pour y chercher le document signé de votre main ?
« — Mais pas du tout. »
Alors, je sauterais dans le prochain vol pour Rome. Je sauterais dans le prochain vol pour Rome !
Mais je n’ai pas autorité pour cela.
Monseigneur Williamson, conférence donnée à Post Falls, Idaho (États-Unis)
Il est temps que les fidèles s’expriment avec clarté et exigent de leurs prêtres des définitions non moins claires quant aux questions traitées dans le présent article, eu égard notamment aux déclarations de Mgr Williamson.
Il est temps qu’ils prennent position (nous faisons-nous des illusions ? Peut-être…)
Seuls les fidèles qui adhèrent fermement à la vraie foi peuvent faire en sorte que les prêtres timorés et excessivement « prudents » adoptent la position doctrinale et la pratique qu’appellent les moments historiques, voire méta-historiques que la Grâce de Dieu nous donne de vivre actuellement.
Se trouve-t-il, au sein de ce que nous appelons la « fausse résistance », des fidèles capables de comprendre la situation et d’agir dans le sens indiqué ci-dessus ?
***
Source : Osko: Mayor Claridad En La Falsa Resistencia – Mons. Williamson Ha Hablado | Radio Cristiandad
Traduction Le CatholicaPedia.net
(Que notre traducteur soit encore une fois et toujours remercié pour son travail professionnel)
[1] Chanteur et musicien argentin contemporain.
De quel camp est Mgr Williamson ?
Le n°33 de La Voix des Francs qui vient de paraître :
10 € franco le n° ou 30 € l’abonnement annuel
En voici l’éditorial et l’article d’Ernest Larisse sur R.N. Williamson (la voie sans issue !) :
Éditorial
Depuis presque un an Mgr Williamson, exclu officiellement de la FSSPX, tente par son bulletin Internet Kyrie Eleison, de rallier à son camp tout ceux qui dans la FSSPX ne veulent pas suivre Mgr Fellay dans le processus de ralliement à l’église Conciliaire. Pour cela Mgr Williamson ne mâche pas ses mots contre son ancien supérieur pour le dénoncer comme libéral, et traître à l’œuvre de Mgr Lefebvre fondateur de la FSSPX. Ainsi Mgr Williamson apparaît aux yeux des fidèles les plus anti-libéraux, comme l’évêque à suivre pour reconstruire l’œuvre de résistance de la Tradition. Cependant nous observons un certain nombre de faits particulièrement troublants chez Mgr Williamson, qui dévoilent un plan machiavélique, que nous ne pouvons pas garder sous silence. Ernest Larisse, notre spécialiste en matière de franc-maçonnerie, nous expose en toute franchise les éléments plus que troublants sur cet évêque qui tente de fédérer autour de lui la dernière réaction des « tradis » de la FSSPX.
Personnellement, deux éléments capitaux du point de vue doctrinal nous ont fixés quant aux intentions de Mgr Williamson :
1°) il se fait défenseur de la validité des nouveaux rituels sacramentels institués par Paul VI, en particulier du nouveau rituel des sacres, alors que c’est par cet acte fondamental que les ennemis de l’Église comptent « tuer » l’Église, en coupant les canaux de la grâce à la source. Il est donc complice de cet acte destructeur, comme il n’y en a jamais eu dans l’histoire de l’Église.
2°) il maintient coûte que coûte la légitimité de l’église Conciliaire, qu’il identifie avec l’Église catholique. Pour ce faire il démolit le dogme de l’infaillibilité en l’interprétant à sa manière contre l’interprétation donnée par tous les meilleurs auteurs approuvés par l’Église, que nous avons d’ailleurs réédités : Mgr de Ségur, Dom Guéranger, Mgr Fèvre, Joseph de Maistre, Mgr Gaume, Darras etc.
Prenons trois exemples de son bulletin Kyrie Eleison et répondons y :
« 1) Ou bien on accepte les Papes Conciliaires en bloc (comme le font les libéraux – Dieu nous en préserve !) ou bien on les rejette en bloc (comme le font les sédévacantistes). Les accepter partiellement oui et partiellement non, c’est sélectionner et choisir ce que l’on acceptera, comme le fit Luther, et comme le font tous les hérétiques (du Grec : celui qui choisit). Cela est vrai si l’on sélectionne et choisit selon son propre choix personnel, mais cela n’est pas vrai si, comme Monseigneur Lefebvre, on juge selon la conformité ou non à la Tradition catholique, laquelle se trouve dans le trésor de 2000 ans de documents magistériels de l’Église. Dans ce cas on juge en accord avec 260 Papes contre seulement six, mais cela ne prouve pas l’invalidité de ces six derniers Papes.» Mgr Williamson.
Comme Mgr Lefebvre ? Voici ce qu’il écrivait en 1976 après sa suspens adivinis par Paul VI :
« Le droit à la liberté religieuse est blasphématoire car c’est prêter à Dieu des intentions qui détruisent sa Majesté, sa Gloire, sa Royauté. Ce droit implique la liberté de conscience, la liberté de pensée et toutes les libertés maçonniques. L’Église qui affirme de pareilles erreurs est à la fois schismatique et hérétique. Cette Église conciliaire n’est donc pas catholique.» (Écône, 29/6/1976).
Cette phrase de Mgr Lefebvre est une proclamation de sedevacatisme, pour quoi Mgr Williamson fait mine d’ignorer une pareille déclaration de son évêque fondateur ?
2000 ans de documents magistériels ? Mgr Williamson n’en cite aucun pour appuyer ses sophismes.
« 2) Mais ces six Papes Conciliaire sont empoisonné la Foi et ont mis en danger le salut éternel de millions de Catholiques : cela est contraire à l’indéfectibilité de l’Église. Lors de la crise Arienne du 4ème siècle, le Pape Libère mit la Foi en danger en condamnant Saint Athanase et en accordant son appui aux évêques Ariens de l’Est. Alors pour un certain temps l’indéfectibilité de l’Église n’était plus assurée par l’intermédiaire du Pape mais par son adversaire apparent. Cependant cela ne signifie pas que Libère ait cessé d’être le Pape, ni qu’Athanase ait été le Pape. De même aujourd’hui, l’indéfectibilité de l’Église passe par ceux qui suivent fidèlement la ligne de conduite établie par Monseigneur Lefebvre, mais cela ne signifie pas nécessairement que Paul VI n’ait pas été le Pape.» Mgr Williamson.
Mgr Williamson ressort ce mensonge historique que les ennemis de l’infaillibilité avaient déjà produit, pour tenter d’empêcher la proclamation du dogme de l’infaillibilité. Ces mensonges ont été mille fois réfutés par les meilleurs historiens. Le pape Saint Libère n’a jamais condamné saint Athanase. Voir Dom Guéranger, l’abbé Darras, Mgr de Ségur, l’abbé Constant etc… Il est fatiguant de devoir toujours répéter la même chose, comme si rien n’avait déjà été écrit sur le sujet. Mgr Williamson peut-il ignorer que ce mensonge a déjà été réfuté par les meilleurs historiens approuvés par l’Église ? Jamais aucun pape n’a mis en danger la Foi de millions de fidèles, c’est directement contraire à l’Évangile « Pais mes agneaux, pais mes brebis…». Dire qu’un pape puisse conduire les fidèles à la perdition c’est nier la divinité de l’Église, c’est nier la divinité de Jésus-Christ : « J’ai prié pour que ta foi ne défaille point. »
M. l’abbé Belmont, sur son blog quicumque, met fort bien en évidence les sophismes de Mgr Williamson, voici par exemple :
Mgr Williamson : « La question [des papes conciliaires] n’est pas d’une importance primordiale. S’ils n’ont pas été Papes, de toute manière la foi catholique et la morale, au moyen desquelles je dois “faire mon salut avec crainte et tremblement”(Phil.II,12) n’ont pas changé d’un iota. Et, s’ils ont été Papes, de toute façon je ne peux leur obéir dans la mesure où ils se sont éloignés de cette foi et de cette morale, car “nous devons obéir à Dieu avant que d’obéir aux hommes” (Act.V,29).»
Voilà un paragraphe qui ne manque pas d’impressionner quiconque a le souci du salut de son âme… mais qui en réalité n’est qu’un grossier sophisme. Car voici la foi catholique : « En conséquence nous déclarons, disons et définissons qu’il est absolument nécessaire au salut, pour toute créature humaine, d’être soumise au pontife romain » (Boniface VIII, bulle Unam Sanctam, 18 novembre 1302). Dissocier le salut éternel d’avec la soumission au Souverain Pontife, c’est injurier Jésus-Christ qui a fondé l’Église sur saint Pierre et ses successeurs, et perdre les âmes.
Invoquer les Actes des Apôtres (« il vaut mieux obéir à Dieu qu’aux hommes ») contre le Souverain Pontife ne manque pas d’impressionner tous ceux qui veulent obéir à Dieu par-dessus tout, mais c’est en réalité un grossier sophisme. Car voici la foi catholique : « Bien au contraire, le divin Rédempteur gouverne son Corps mystique visiblement et ordinairement par son vicaire sur la terre » Pie XII, Mystici Corporis, 29 juin 1943. Dissocier l’autorité du souverain Pontife d’avec l’autorité de Jésus-Christ, ou prétendre qu’obéir au Pape c’est simplement « obéir aux hommes », c’est injurier Jésus-Christ qui a communiqué sa propre autorité à saint Pierre et à ses successeurs, et perdre les âmes.
(…)
Bruno Saglio,
Directeur de la revue
* * *
De quel camp est Mgr Williamson ?
Ou
Williamson et la Guerre Interne dans la Tradition (FSSt Pie X)
VOIES SANS ISSUES : R. N. Williamson dénonce qu’un accord Rome-FSSPX a déjà été conclu
Richard Nelson Williamson que nous tenons comme prévaricateur de sa fonction, pour laquelle il se rend indigne et dont nous avons suffisamment d’éléments objectifs pour le dénoncer (…à suivre dans un prochain article).
Raison pour laquelle nous ne pouvons le considérer dans sa dignité d’évêque Catholique… nous livre dans son dernier “Commentaire Eleison” une dénonciation qu’un accord Rome-FSSPX a déjà été conclu :
Ndlr du CatholicaPedia : Les accentuations sont de nous. De plus, R.N. Williamson (voie sans issue) utilise le langage conciliaire en maintenant coûte que coûte la légitimité de l’église Conciliaire, qu’il identifie avec l’Église catholique… De ce fait, il utilise le terme de Pape pour désigner le clown blanc laïc déguisé en pape ainsi que du Monseigneur pour désigner des laïcs déguisés en évêques.
Se faisant aussi le défenseur de la validité des nouveaux rituels sacramentels institués par Montini-Paul VI, en particulier du nouveau rituel des sacres, alors que c’est par cet acte fondamental que les ennemis de l’Église comptent « tuer » l’Église, en coupant les canaux de la grâce à la source, il est donc complice de cet acte destructeur, comme il n’y en a jamais eu dans l’histoire de l’Église…
Numéro CCCLXV (365) |
12 juillet, 2014 |
Le 13 décembre de l’année dernière à la Maison de Sainte Marthe à Rome où le Pape habite en ce moment, le Pape rencontra brièvement Monseigneur Fellay, Supérieur Général de la Fraternité Saint Pie X. Officiellement la Fraternité nie que la rencontre ait eu quelque signification que ce soit, mais un commentateur italien qui possède une certaine connaissance de la façon dont Rome procède, un certain Giacomo Devoto (G.D.) argumente que la rencontre prouve qu’un accord Rome-FSPX a déjà été conclu. Voyez http://www.unavox.it/ArtDiversi/DIV812_Devoto_Notizia_intrigante.html. (en français Google ici) Brièvement :—
Dans la matinée du 13 [décembre 2013], Monseigneur Fellay et ses deux Assistants à la tête de la FSSPX rencontrèrent au Vatican ceux qui sont à la tête de la Commission Ecclesia Dei sur l’invitation de Monseigneur Guido Pozzo, rappelé à la Commission par le Pape François pour traiter des relations problématiques entre Rome et la FSSPX. Une publication officielle de la FSSPX, DICI, déclare que la réunion fut simplement « informelle », mais G.D. signale que même si elle était informelle, elle n’a pas pu avoir eu lieu sans avoir été précédée par une série de contacts discrets destinés à rétablir les relations après leur interruption du mois de juin 2012. De plus, dit G.D., une telle réunion constitue la phase préliminaire indispensable à toute réunion « formelle ».
Quoiqu’il en soit, après la réunion, Monseigneur Pozzo, Monseigneur Di Noia et les trois têtes de la FSSPX s’en allèrent déjeuner à la Maison Sainte Marthe où il se trouvait que le Pape aussi était en train de déjeuner. Lorsque le Pape se leva à la fin du repas pour sortir, Monseigneur Fellay se leva aussi pour le rencontrer, ils échangèrent quelques paroles à la vue de tous, et l’évêque baisa l’anneau du Pape (ou mit un genou en terre pour recevoir sa bénédiction, selon le Vatican Insider de Rome). Une fois de plus DICI minimisa la rencontre comme n’étant rien de plus qu’une rencontre fortuite suscitant un échange spontané de politesses. G.D., au contraire, maintient – raisonnablement – que même une telle rencontre « par hasard » ne peut avoir eu lieu sans l’accord préalable du Pape.
Plus encore, ajoute G.D., dans l’art de la diplomatie, de telles rencontres sont organisées pour « rompre la glace » de façon délicate pour permettre une interprétation élastique qui puisse signifier autant ou aussi peu qu’on le désire. D’un côté le contact courtois était en public pour que tous pussent le voir, dans un endroit public fréquenté par d’importants personnages de la Nouvelle Église (notez bien le « é » majuscule blasphématoire !), et il pouvait être perçu comme l’approbation papale de ce qui avait eu lieu au cours de la réunion du matin avec la Commission. D’un autre côté cela permettait, aussi bien à Rome qu’à la FSSPX, de nier de façon plausible que cette rencontre ait eu une signification réelle au delà d’un simple échange de politesses.
Ainsi lorsque les rumeurs commencèrent à circuler au début de cette année, la FSSPX nia pendant des mois qu’il existât quoi que ce fût au sujet d’un accord Rome-FSSPX. Ce n’est que le 10 mai que DICI admit qu’il y avait eu certains contacts entre le Pape et Monseigneur Fellay, mais alors DICI minimisa à tel point cet événement que G.D. y voit comme un signe sûr que l’accord a été conclu en privé. (Dans la politique moderne, comme dit l’adage, rien n’est sûr tant qu’il n’a pas été officiellement nié).
De fait, le problème principal pour le Pape François comme pour Monseigneur Fellay, ce n’est pas comment parvenir à un accord voulu par tous les deux, mais comment obtenir que leurs ailes gauche et droite respectivement acceptent cet accord. Cependant, le problème est en train de se résoudre jour après jour au fur et à mesure que la Fraternité, autrefois glorieuse dans son combat pour la défense de la Foi, devient la Néo-fraternité compromise. En effet, combien d’évêques de la Néo-église peuvent craindre encore la Néo-fraternité comme étant une menace pour leur Néo-église ? Et combien de prêtres de la FSSPX sont encore convaincus que toute forme d’accord avec Rome serait un désastre, surtout si on leur promettait qu’ils « n’auront rien à changer » ? Un tel accord n’aurait pratiquement pas besoin d’être annoncé. Dans les esprits et les cœurs de beaucoup, il est déjà là.
Kyrie eleison.
Mgr Williamson : « église Conciliaire » ?…
…« thèse de la POMME POURRIE » !
WILLY, expert en confitures de roses, nous livre aujourd’hui une recette inédite : la confiture de pomme pourrie…..
Et cette confiture-là, n’est pas allégée, je vous le garantis ! Tant pis pour votre régime !!!
Elle va assurément vous rester sur l’estomac !!!
Mgr Williamson, qui comme chacun le sait est très malin, en même temps que très espiègle, nous livre ses dernières découvertes culinaires en matière de confitures. Malheureusement, notre évêque-confiturier, croyant avoir trouvé LA recette-explication miracle, nous livre une matière sucrée au goût acide et rempli d’amertume….
L’ignorance invincible
Le débat sur le baptême de désir a naitre une autre “question existentielle” sur l’Ignorance invincible…
Monsieur l’abbé Thomas Cazalas y a justement pourvu, de manière très claire, dans son sermon de dimanche dernier, « Dimanche dans l’octave de l’Ascension » que vous pouvez écouter ci-dessous.
L’ignorance invincible
Beaucoup de personnes pensent que l’ignorance de la Foi catholique excuse toujours du péché, ou au moins que ceux qui ignorent la vrai Foi vont en très grand nombre au Ciel.
Ceux qui se trompent sans qu’ils sachent qu’ils font mal, est-ce qu’ils sont toujours de bonne foi ?
S’ils se trompent en croyant vraiment faire le bien ; est-ce qu’ils peuvent être tranquilles pour leur salut éternel ?
NON !!!
Il est vrai qu’il y a parfois une ignorance de la vraie Foi qui justifie de tous péchés… mais d’autres fois, l’ignorance excuse en partie du péché, elle diminue la responsabilité de la personne mais elle la laisse quand même responsable de son ignorance… et d’autres fois encore, l’ignorance, au lieu d’excuser aggrave le péché !
Quand est-ce que l’ignorance est coupable ?
…quand on ne sait pas ce qu’on devrait savoir !
Il y a aussi une ignorance qui n’est pas aucunement volontaire : L’ignorance invincible !
Quand la personne n’a pas les moyens ordinaires pour vaincre son ignorance… elle n’est pas coupable. Elle se trompe mais son ignorance l’excuse de tous péchés parce qu’elle n’a pas les moyens de sortir de son ignorance.
Mais bien souvent, on ne peut pas ignorer sans pécher !
« Sans la Foi, il est impossible de Dieu » dit Saint Paul, car dit-il : « faute de lui, s’approche de Dieu »…
« …, sans la foi, il est impossible de plaire à Dieu ; car il faut que celui qui s’approche de Dieu croie qu’il existe, et qu’il est le rémunérateur de ceux qui le cherchent. » (Hé 11, 6)
c’est-à-dire : “qui plait à Dieu, croit que Dieu existe et qu’Il récompensera ceux qui le cherche”… et cela est une loi universelle ! c’est-à-dire : que l’on ne peut pas plaire à Dieu sans la croyance en Dieu et que Dieu est rénumérateur !
Il n’y a pas d’ignorance invincible au sujet des choses que tout le monde peut savoir !
À la fin de son encyclique “Mystici corporis”, Pie XII dit explicitement qu’il y a d’une part les catholiques qui sont actuellement incorporés dans l’Église – qui font partis de l’Âme et du Corps de l’Église – qui se sauvent et qu’il y a aussi “ceux qui lui sont unis par le désir seulement” ; c’est-à-dire : quand quelqu’un croit en Dieu, sait que Dieu va récompenser les bons et châtier les méchants, a la Charité parfaite (c-à-d qu’il veut faire la volonté de Dieu mais il est dans l’ignorance invincible de la Divinité de Notre Seigneur Jésus-Christ et que ce n’est pas de sa faute, ou il est dans l’ignorance invincible de la Divinité de l’Église) ; et bien Dieu accepte leur désir implicite de faire partie de l’Église puisqu’ils veulent faire tout ce que Dieu veut… et donc ils peuvent être sauvés !
Pie XII est très clair là-dessus, et il condamne deux erreurs :
- Tout d’abord, ceux qui disent qu’on peut se sauver dans toutes les religions à titre égal ;
- Et d’autre part, ceux qui excluent du Salut Éternel ceux qui ne sont unis à l’Église que par un désir implicite ; c-à-d ceux qui disent qu’il est absolument impossible de faire partie de l’Église catholique sans en faire partie réellement.
Et Pie XII va même plus loin encore… à la fin de cette encyclique où il invite “tous ceux qui ne font pas partie du Corps de l’Église catholique” ; c’est-à-dire tous ceux qui n’ont pas la Foi catholique, tous ceux qui ne reçoivent pas les sacrements catholiques, tous ceux qui ne sont pas soumis aux pasteurs légitimes de l’Église…
Il leur dit :
“Je vous invite à faire partie du Corps de l’Église parce que dans l’état où vous êtes, nul ne peut être sûr de son salut” et d’autre part “vous serez privés de tous les secours et faveurs du Ciel dont vous ne pourrez jouir que dans l’Église catholique”.
Donc, ils risquent de se damner même si théoriquement ils peuvent y arriver, c’est difficile !
[101] « Pour ceux-là mêmes qui n’appartiennent pas à l’organisme visible de l’Église, vous savez bien, Vénérables Frères, que, dès le début de Notre Pontificat, Nous les avons confiés à la protection et à la conduite du Seigneur, affirmant solennellement qu’à l’exemple du Bon Pasteur Nous n’avions qu’un seul désir : Qu’ils aient la vie et qu’ils l’aient en abondance. Cette assurance solennelle, Nous désirons la renouveler, après avoir imploré les prières de toute l’Église dans cette Lettre encyclique, où Nous avons célébré la louange du « grand et glorieux Corps du Christ », les invitant tous et chacun de toute Notre affection à céder librement et de bon cœur aux impulsions intimes de la grâce divine et à s’efforcer de sortir d’un état où nul ne peut être sûr de son salut éternel ; car, même si, par un certain désir et souhait inconscient, ils se trouvent ordonnés au Corps mystique du Rédempteur, ils sont privés de tant et de si grands secours et faveurs célestes, dont on ne peut jouir que dans l’Église catholique. Qu’ils entrent donc dans l’unité catholique, et que, réunis avec Nous dans le seul organisme du Corps de Jésus-Christ, ils accourent tous vers le Chef unique en une très glorieuse société d’amour. Sans jamais interrompre nos prières à l’Esprit d’amour et de vérité, Nous les attendons les bras grands ouverts, comme des hommes qui se présentent à la porte, non d’une maison étrangère, mais de leur propre maison paternelle. »
(§ 101 de l’encyclique “Mystici corporis” – Pie XII, Rome le 29 juin 1943)
Donc, même quand l’ignorance de la part de la personne n’est pas coupable, même quand elle n’a pas commis de faute devant Dieu… l’ignorance même si elle n’est pas coupable fait du mal à celui qui n’est pas coupable…
Jésus le dit clairement dans l’Évangile à ses Apôtres :
« Laissez-les : ce sont des aveugles qui conduisent des aveugles. Or, si un aveugle conduit un aveugle, ils tomberont tous deux dans une fosse. »
(Matth 15:14)
L’erreur fait toujours du Mal, même quand elle n’est pas coupable !
La vérité fait toujours du bien : « C’est la vérité qui vous rendra libre » dit Jésus !
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Pour aller plus loin…
Le Pape Pie IX parle aussi de l’ignorance invincible au § 5 de son Encyclique « Singulari quidem » du 17 mars 1856 où il dit que :
“L’Église déclare ouvertement que l’unique espérance de salut pour l’homme est placée dans la foi chrétienne, qui enseigne la vérité, dissipe les ténèbres de l’ignorance par l’éclat de sa lumière et opère par la charité, et que cette espérance est placée dans l’Église catholique, qui, en maintenant le vrai culte, est le solide asile de cette foi et le temple de Dieu, hors duquel personne, à moins d’avoir l’excuse d’une ignorance invincible, ne peut avoir l’espoir de la vie e du salut.”
L’Église ne cesse de leur répéter que le fondement de la foi n’est pas la raison mais l’autorité ; (15) car il ne convenait pas que Dieu parlant à l’homme se servît d’arguments pour appuyer ses assertions, comme si l’on n’avait pas foi à sa parole ; mais il s’est exprimé comme il a dû, c’est-à-dire comme le souverain arbitre de toutes choses à qui il appartient d’affirmer, non de disputer. (16)
Elle leur crie hautement que tout l’espoir de l’homme, que tout son salut est dans la foi chrétienne, dans cette foi qui enseigne la vérité, dissipe par sa lumière divine les ténèbres de l’ignorance humaine, opère par la charité ; et en même temps dans l’Église catholique, car elle conserve le vrai culte, elle est le sanctuaire inébranlable de la foi même, et le temple de Dieu hors duquel, sauf l’excuse d’une ignorance invincible, il n’y a point de salut à attendre. Elle leur disait aussi, avec beaucoup d’autorité, que si parfois l’on peut donner dans l’explication de l’Écriture place à la science humaine, celle-ci aurait mauvaise grâce de s’en prévaloir. Son rôle n’est pas de prétendre avec arrogance faire la maîtresse, mais d’obéir comme une humble suivante : en marchant la première elle pourrait s’égarer, elle pourrait, en s’attachant trop aux signes extérieurs, aux mots, perdre la lumière de la vertu intérieure et s’écarter du droit sentier de la vérité. (17)
(§ 5 de l’encyclique “Singulari quidem” – Pie IX, Rome le 17 mars 1856)
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Le lecteur qui voudra approfondir le sujet lira avec profit l’excellent texte du Père Guarrigou-Lagrange (qui était, soit dit en passant… un grand ami de Mgr Guérard des Lauriers) sur les « Péchés d’ignorance, d’infirmité et de malice » paru dans la revue “La Vie Spirituelle” n° 210.
Ce texte, malgré les remarques qui vont suivre, est néanmoins à recommander au sujet du problème de l’ignorance invincible, en précisant toutefois que ce n’est qu’une excellente et très claire introduction au sujet et un résumé de la doctrine de l’Église qui demande à être précisé et développé, pour ce qui regarde par exemple le salut des non-catholiques ou le baptême de désir.
Malheureusement aussi, il s’étend peu sur les différentes sortes d’ignorance vincible et donc coupable, il ne distingue pas ici l’ignorance vincible peu coupable de celle gravement coupable ou même « crasse ». Car ce n’est pas le sujet de son article…
De même il développe peu le cas de l’ignorance invincible. Il approfondit peu les cas où il ne peut pas y avoir ignorance invincible.