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François 1er de Vativan d’Eux : recommande aux fidèles de prendre un « MÉDICAMENT SPIRITUEL »
Les agences de presse VIS (Vatican Information Service) et ZENIT nous apprennent que le Pître François Bergo(go)glio a fait son Show dimanche place Saint-Pierre à l’heure de l’Angélus pour promouvoir une dévotion condamnée par l’Église sous le pontificat de Pie XII.
Cité du Vatican, 17 novembre 2013 (VIS). Après l’angélus, le Saint-Père a salué les différents groupes présents Place St. Pierre, puis … Pour concrétiser les fruits de l’Année de la foi, il a recommandé aux fidèles de prendre le « médicament spirituel » que leur distribueront des volontaires au sortir de la place. Cette « misericordina » est un chapelet de la Divine Miséricorde qui, a-t-il dit, permettra d’aider notre âme en priant à diffuser partout l’amour, le pardon et la fraternité.
Il capitolo Francesco Zero dà spettacolo
(Le pître François ZérØ fait son show)
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« Contre-Poison » aux criminelles et sacrilèges allégations des prêtres de la fausse majorité traditionnelle
« contre-poison »
afin de pouvoir répondre aux criminelles et sacrilèges allégations des prêtres traditionalistes (et anti-ralliéristes !) de la Fraternité…
Enquête Théologique sur l’Infaillibilité Pontificale
« L’Église est infaillible dans son magistère ordinaire, qui est exercé Quotidiennement principalement par le pape, et par les évêques unis à lui, qui pour cette raison sont comme lui, infaillibles de l’infaillibilité de l’Église, par le Saint-Esprit Tous les Jours, […]
Question : À qui donc appartient-il Chaque Jour que Dieu fait :
1. de déclarer les vérités implicitement contenues dans la Révélation ?
2. de définir les vérités explicites ?
3. de venger les vérités attaquées ?
Réponse : Au pape, soit en concile, soit hors du concile. Le pape est, en effet, le Pasteur des pasteurs et le Docteur des docteurs » (Mgr d’Avanzo, rapporteur de la Députation pour la foi du premier concile du Vatican, 1870).
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Depuis la définition du dogme de l’infaillibilité pontificale en 1870, les catholiques croient qu’un pape ne peut pas se tromper, lorsqu’il enseigne solennellement une vérité de foi, mais les avis sont partagés quant à son enseignement ordinaire. Un pape, infaillible dans les définitions solennelles, peut-il tomber dans l’hérésie dans son enseignement de tous les jours, ou bien l’assistance du Saint-Esprit fait-elle que sa foi ne puisse défaillir à aucun moment de son Pontificat ?
Dans le doute, il faut s’en tenir à ce qui a été cru partout et par tous dans les temps anciens car l’antiquité ne peut pas être séduite par la nouveauté (Commonitorium de St. Vincent de Lérins, 434). Que le pape puisse errer dans la foi est une thèse apparue à l’époque moderne sous l’impulsion de courants hérétiques (voir chapitre 5). Des théologiens catholiques se laissèrent gagner par les idées nouvelles et soutinrent qu’un pape pouvait errer. Or cette nouveauté est, par le fait même d’être nouvelle, non conforme à la doctrine catholique traditionnelle. Cette doctrine traditionnelle, on la trouve dans l’Ancien et le Nouveau Testament, les Pères de l’Église, St Thomas d’Aquin et les écrits des papes eux-mêmes.
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Nous vous proposons de retrouver cela dans le livre antidote « Le Mystère d’iniquité » qui vous donnera le « Contre-Poison » afin de pouvoir répondre aux criminelles et sacrilèges allégations des prêtres traditionalistes (anti-sedevacantistes et anti-ralliéristes !) de la Fraternité $$PX.
- Chapitre 2: Enquête Théologique : L’Infaillibilité Pontificale
- 2.1: Peut-il Arriver qu’un Pape Dévie de la Foi
- 2.2: Peut-il Arriver qu’un Pape Enseigne une Erreur dans la Foi ?
- 2.3: Un Pape Peut-il Tomber dans L’Hérésie en tant que “Docteur Privée” ?
- 2.3.1: Le rejet de la notion de « docteur privé » par les pères du Vatican
- 2.3.2: Saint Bellarmin réfute les partisans de la thèse du « docteur privé hérétique »
- 2.3.3: Les Pères du Vatican commentent le « formulaire d’Hormisdas » : les pontifes romains sont « Immunisés contre l’erreur »
- 2.3.4: Un pape ne défaillera “Jamais” dans la foi : tel est le dogme défini par Pie IX et le Pères du Vatican
- 2.4: L’Histoire Ecclésiastique Connaît-elle des Cas où un Pontife a Soutenu une Hérésie ?
- 2.5: Des Courants Hérétiques à L’Origine de la Négation de L’Infaillibilité Pontificale
- 2.5.1: Les courtisans de Louis de Bavière
- 2.5.2: L’attentat contre le pape Boniface VIII
- 2.5.3: Les bourreaux de sainte Jeanne d’Arc
- 2.5.4: Le grand schisme d’occident
- 2.5.5: Les gallicans
- 2.5.6: Les hussites
- 2.5.7: L’hérésie de Pierre d’Osma
- 2.5.8: Les protestants
- 2.5.9: Les jansénistes
- 2.5.10: Les fébroniens
- 2.5.11: Les francs-maçons
- 2.5.12: Les vieux-catholiques
- 2.5.13: Les modernistes
Télécharger en PDF : « Enquête Théologique : L’Infaillibilité Pontificale »
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Le Livre – « Le Mystère d’iniquité » :
Vatican d’Eux : ROME fait feu de tout bois… Après le « mariage des prêtres », « la question des divorcés remariés »…
La Vie conciliaire nous apprend que la question de « l’accueil des divorcés remariés » était aussi une préoccupation majeure de Bergo(go)glio papeFrançois :
Allons-y !
Nouvelle ouverture sur la question des divorcés remariés ?
Aymeric Christensen (ndlr du CatholicaPedia : Le langage est 100% conciliaire)
Créé le 17/09/2013 / modifié le 17/09/2013 à 11h59
Lundi 16 septembre, les 1200 prêtres du diocèse de Rome avaient rendez-vous avec leur évêque, qui se trouve être le pape, à la basilique Saint-Jean-de-Latran. Cette rencontre devait être diffusée en direct par les médias du Vatican, mais elle s’est finalement tenue en privé (Qu’ont-ils à cacher ???), à la demande des prêtres (tenue blanche fermée ?). Différents médias, de Radio Vatican à l’agence I.Media (reprise par l’Apic), ont cependant pu recueillir quelques-unes des déclarations fortes de François au clergé romain.
Le pape s’est ainsi exprimé longuement sur la « fatigue du cœur » éprouvée par certains prêtres (mariés ? non-mariés ? divorcés ? remariés ? pédérastes ? homosexuels ? incompris ? etc. etc. etc.) – mentionnant notamment une lettre reçue quelques jours plus tôt. Mais l’échange s’est concentré sur cinq questions posées par l’assistance, qui ont permis au pape d’aborder différents thèmes et problèmes pastoraux rencontrés au quotidien par le clergé romain, mais beaucoup plus généralement par l’Église catholique (conciliaire bien sûre !) toute entière.
C’est ainsi qu’il a abordé largement la question de l’accueil des divorcés remariés. Cette problématique, très souvent évoquée dans l’Église (église Conciliaire !), pose de nombreuses difficultés dans les diocèses et les paroisses avec l’augmentation ces dernières décennies (comme par hasard ! cinq décennies…) du nombre de divorces, y compris chez les croyants. En effet, le mariage étant chez les catholiques un sacrement indissoluble (c’est pas tout de le dire…), ceux qui se séparent et se remarient se trouvent dans une situation où ils ne peuvent plus recevoir les sacrements – notamment la communion – à moins que leur premier mariage ne soit reconnu comme « nul » canoniquement par un tribunal ecclésiastique (reconnaissance qui ne peut aboutir qu’après des démarches généralement longues de plusieurs années). Des voix s’élèvent régulièrement pour demander un assouplissement des règles à leur égard, soulignant la souffrance de ces fidèles qui le ressentent parfois comme une mise au ban de la communauté chrétienne.
Ce « sérieux problème », le pape semble tout disposé à s’en saisir. Soulignant que son prédécesseur, Benoît XVI, avait déjà cette question « à cœur », François a rappelé le fait qu’il ne pouvait pas être « réduit seulement au fait de recevoir ou non la communion. Car celui qui pose le problème en ces termes n’a pas compris quel est le vrai problème ». Ces précautions prises, le pape a néanmoins reconnu que « l’Église (église Conciliaire !) doit faire quelque chose pour résoudre les problèmes des nullités » de mariage, appelant par exemple à « trouver une autre voie (???), dans la justice » pour ces reconnaissances, aux démarches administratives très lourdes et pas toujours accessibles à ceux qui n’ont pas les moyens de les entreprendre dans les villes où se trouvent les tribunaux compétents en la matière.
Pour montrer sa volonté de faire avancer la réflexion, le pape François a rappelé que la commission de huit cardinaux qui doit se réunir au tout début du mois d’octobre afin de travailler à la réforme de la Curie travaillera également sur ce sujet, comme il l’avait déjà annoncé dans l’avion qui le ramenait du Brésil à l’issue des Journées Mondiales de la Jeunesse. Le pape devrait également convoquer un synode sur la famille, durant lequel le thème ne pourrait évidemment pas être éludé.
Qu’en sera-t-il véritablement ? Il est encore trop tôt pour savoir si ces déclarations, fortes mais dépourvues d’avancées concrètes, constituent une véritable ouverture et si le problème des divorcés remariés trouvera réellement une solution dans les prochaines années. Il est en revanche évident que le pape se préoccupe véritablement de cette « périphérie existentielle », selon sa formule phare qu’il a de nouveau utilisée pour rappeler l’importance pour l’Église (église Conciliaire !) d’aller au devant des personnes qui se sentent en marge. Voici ce qu’il en disait fin juillet , à son retour de Rio de Janeiro : « On doit regarder cela dans la totalité de la pastorale du mariage. Entre parenthèses, les orthodoxes ont une pratique différente. Ils suivent ce qu’ils appellent la théologie de l’économie (!!!) et offrent une deuxième possibilité. Je crois que ce problème doit être étudié dans le cadre de la pastorale du mariage. (…) On se marie sans maturité, sans s’apercevoir que c’est pour toute la vie ou parce que, socialement, l’on doit se marier. Cela entre dans la pastorale du mariage, comme le problème judiciaire de la nullité des mariages ».
C’est la vie quotidienne au Vatican depuis le début du nouveau pontificat : le pape a une visite, une rencontre, une audience prévue dans son agenda, sans enjeu particulier, et en profite pour lancer en quelques mots un sujet brûlant, beaucoup plus large que le cadre de sa rencontre, qui donne soudain un regain d’intérêt à cet événement a priori mineur. Rien que la semaine dernière, c’était par exemple le cas de ses déclarations sur les couvents vides qui devraient être ouverts « pour les réfugiés », ou encore de la lettre-surprise aux non-croyants publiée dans La Repubblica . Coups de « com » ou simplicité de ces petites sorties que les Argentins connaissaient bien chez l’archevêque de Buenos Aires et avaient même surnommées « las bergolladas » (du nom du pape, Jorge Mario Bergoglio) ? Notre confrère Jean Mercier s’est penché, dans son blog Paposcopie, sur ce phénomène nouveau, qui, selon lui, ne serait pas sans risques.
La rencontre d’hier a en tout cas été l’occasion pour le pape de dire également son optimisme. « L’Église (église Conciliaire !) ne s’écroule pas, a-t-il lancé aux prêtres de son diocèse (Y’a pas l’feu dans la maison… Eux font tout pour la détruire ! mais Ber-gogo-glio veut pas le dire…). L’Église (église Conciliaire !) ne s’est jamais aussi bien portée qu’aujourd’hui (!!! ), c’est un beau moment pour l’Église (église Conciliaire !), il suffit d’en lire l’histoire. » (Au voleur !!! C’est pas la leur !!!)
Soulignant encore que « la sainteté est plus grande que les scandales », il a encouragé les paroisses à faire preuve d’une « créativité courageuse », même si celle-ci doit générer des réticences de la part de certains fidèles, pour annoncer le Christ et l’Évangile au plus grand nombre. (… !)
Source : La Vie.fr http://www.lavie.fr/religion/catholicisme/nouvelle-ouverture-sur-la-question-des-divorces-remaries-17-09-2013-44097_16.php
Un “prêtre” coquin de Miami change d’ “Église” pour épouser sa belle
Un “prêtre” coquin de Miami change d’ “Église” pour épouser sa belle
Suite de la série d’articles sur Vatican d’Eux et la volonté farouche qu’ils [Eux] ont de mettre fin au “célibat des prêtres”… (enfin, ceux qui ne sont pas pédérastes ! quoi que ?!!!)
Quatrième et dernier (???) épisode, en 2009, un “prêtre” américain brise le vœu de célibat et provoque un scandale…
Alberto Cutié, alias Padre Alberto, est une figure ecclésiastique très connue aux États-Unis. Habitué des plateaux télé, il fait de la musculation, adore le disco (!!! Normalement, on n’adore que son Dieu…) et anime des émissions de radio et télévision. Il a défrayé la chronique en 2009 après avoir été pris en photo enlacé avec sa petite amie sur une des plages les plus fréquentées de Miami (Floride, sud-est).
Il n’en fallait pas plus pour choquer l’Amérique puritaine : un homme d’église pris en flagrant délit avec sa maîtresse dévêtue, en pleine séance de câlins au milieu d’une plage.
Plutôt que de nier, Padre Alberto avait d’abord choisi la voie du pardon. « Je m’excuse auprès de ceux qui auraient pu être heurtés ou attristés par mes actes », avait expliqué le “prêtre”. « Mon engagement pour servir Dieu est intact », explique le “prêtre” sur son site Internet.
Les images prises par des paparazzi et publiées par la revue espagnol TVNotas (le Paris Match [ou Voici] Mexicain !) montraient le père Alberto Cutié, en train d’embrasser fougueusement une jeune femme sur une des plages les plus fréquentées de Miami. Tous deux en maillot de bain. Le “prêtre” avait admis les faits et demandé “pardon” dans une lettre, en assurant que son « dévouement envers Dieu restait intact ».
Toutefois, l’archevêché de Miami avait déclaré qu’il ne pourrait plus dire la “messe” dans sa paroisse de San Francisco de Sales, où la gent féminine se pressait pour admirer ses beaux yeux bleus, selon des paroissiens. L’archevêque de Miami John Favalora avait alors déclaré (pour faire bonne figure) que le « père Cutié avait fait vœu de célibat et que tous les curés devaient tenir leur promesse avec l’aide de Dieu ».
La revue TVNotas affirme par ailleurs détenir une vidéo dans laquelle on voit le “prêtre” « introduire la main dans le bas du bikini de la femme ». La vidéo n’a pas été diffusée, mais des chaînes de télévision locales ont avoué qu’elle leur avait été proposée pour plusieurs centaines de milliers de dollars. (!!!)
Le très médiatique père Alberto critiquait publiquement de longue date, le célibat imposé aux prêtres. Depuis 2002, l’Église catholique américaine (l’église Conciliaire américaine) a été éclaboussée par de nombreux scandales impliquant des “prêtres” (des laïcs de l’église Conciliaire ! puisque celle-ci n’a plus de sacrements valides tout comme l’église Anglicane…) dans des affaires d’abus sexuels (pédérastes ou homosexuelles)…
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Le “prêtre” catholique [conciliaire] change d’ “Église” pour épouser sa belle
Les photos montrant le père Alberto Cutié et une jeune femme tendrement enlacés sur une plage avaient fait scandale.
Quand le scandale des photos de paparazzi a éclaté, Padre Alberto se disait déchiré entre Dieu et sa belle, une Guatémaltèque dont il a avoué être tombé amoureux deux ans auparavant. Répudié par l’archevêque catholique de Miami, il a choisi de rejoindre l’église Épiscopalienne et « au sein de laquelle il poursuivra son “sacerdoce” ». Trois semaines plus tard, le plus célèbre “curé” de la communauté hispanique américaine n’a finalement renié ni l’un ni l’autre. Le 31 mai [2009], il a prononcé son premier sermon dans l’église de la Résurrection à Biscayne, une petite ville de Floride, mais il lui faudra se former pendant un an avant d’être autorisé à enfiler sa chasuble de “prêtre épiscopalien”.
L’église Épiscopalienne américaine, à mi-chemin entre le catholicisme romain et le protestantisme, présente l’avantage de ne pas imposer le célibat à ses membres. Le père Alberto a déjà officiellement présenté l’élue de son cœur à l’ “évêque” du diocèse. Ruhama Buni Canellis, une trentenaire divorcée (femme adultère donc !!! elle aussi…) qui élève seule un fils adolescent, semble ravie de la tournure prise par les événements.
« Fortes tentations » sous le soleil de Floride !
Les photos montrant l’homme d’église sur une plage début mai [2009] embrassant une jeune femme en bikini avaient suscité une grande émotion chez les catholiques (conciliaires). Padre Alberto est une célébrité dans la communauté hispanique, qui compte des millions de fidèles à travers tous les États-Unis. Le quadragénaire aux yeux bleus fréquente volontiers les soirées de la jet-set locale, a écrit un best-seller intitulé “Vraie vie, vrai amour” et donne des conseils matrimoniaux à la télévision et la radio. On le surnomme « Padre Oprah », en référence à la célèbre animatrice de télévision américaine.
Certains fidèles se sont sentis trahis par les écarts de leur idole (!!!). Le clergé, arguant du vœu de célibat qu’Alberto Cutié avait prononcé en devenant “prêtre”, l’a fermement condamné, bien qu’il ait demandé pardon pour son péché. Mais des voix se sont élevées pour prendre la défense du pécheur. Certains ont évoqué les « fortes tentations » auxquelles était soumis, sous le soleil de Floride (!!!), cet homme qui entretient son physique en faisant de la musculation. D’autres ont dénoncé les règles « archaïques » de l’Église catholique (église Conciliaire ! on a dit !).
Depuis qu’il est tombé en disgrâce, le père Alberto a relancé malgré lui le débat sur le mariage des “prêtres” dans l’Église catholique. Il fut un temps, avant le XIIe siècle, où celui-ci n’était pas une hérésie, rappellent ses défenseurs. Aux États-Unis, on estime à 25 000 le nombre de “prêtres” catholiques (conciliaires) qui se sont défroqués pour se marier. Afin de calmer les passions, le père Alberto a affirmé ne pas vouloir s’ériger en apôtre du mariage, mais depuis le scandale, 74 % des personnes interrogées dans la région de Miami se disent opposées à l’obligation du célibat pour les prêtres. Un pourcentage en augmentation dans la communauté hispanique. La popularité du père Alberto n’y serait pas étrangère.
(D’après : New York, Adèle Smith ; lefigaro.fr — Publié le 13/06/2009)
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Le « scandale » a fait resurgir dans l’opinion publique le débat sur les supposés problèmes créés par la contrainte de célibat imposé aux “prêtres” dans l’Église catholique. Le père Cutié, âgé de 40 ans alors, s’est marié dans la matinée du 16/06/09 au civil avec sa fiancée originaire du Guatemala Ruhama Buni Canellis.
Le père Alberto Cutié s’est marié mardi 16 juin 2009 après avoir changé d’Église, a rapporté la presse locale
Le père Cutié, âgé de 40 ans [en 2009], s’est marié dans la matinée du 26 juin 2009 au civil avec sa fiancée originaire du Guatemala Ruhama Buni Canellis, 35 ans [idem], à Coral Gables, une ville située près de Miami (Floride, sud-est), selon l’édition électronique du Nuevo Herald.
Le père Cutié avait rejoint fin mai l’église Épiscopale — branche américaine de l’église Anglicane qui n’oblige pas au célibat — après le scandale provoqué début mai par des photos le montrant en maillot de bain en train d’embrasser fougueusement Ruhama Buni Canellis en bikini sur une des plages les plus fréquentées de Miami.
Le 26 juin 2009, Alberto Cutié et Ruhama Buni Canellis se sont mariés dans une cérémonie à l’église de Saint-Bernard de Clairvaux à North Miami Beach. “Bishop” (Faux “évêque” Épisco-Anglican puisque « absolument nul et totalement vain » : l’abbé Antoine Cékada) Frade officiait, assisté par le Rt. Rev Onell Soto (retraité “évêque” épiscopal du Venezuela) et plusieurs autres membres du clergé Épiscopal.
Un bébé est arrivé comme un cadeau de Noël pour le mariage… Le 30 Novembre, Ruhama a donné naissance à une fille Camila Victoria.
(Comme un cadeau de Noël, effectivement !)
Le 31 mai 2012, le “prêtre” épiscopal a annoncé ensuite qu’ils attendaient leur deuxième enfant dans une interview avec le magazine People en espagnol :
« Nous considérons que c’est un cadeau de l’enfant Jésus que nous obtenons un autre enfant dans cette période particulière. C’est le meilleur cadeau de Noël que nous puissions recevoir ».
Le couple, qui s’est marié en 2009, a déjà une fille d’un an appelé Camila Victoria et un adolescent Christian Norton, fils de Ruhama d’une précédente union.
Lors d’une cérémonie intime dans son église épiscopale à Miami, le “prêtre” cubano-américain Alberto Cutié a baptisé dimanche 15 juillet 2012 son fils, Alberto Felipe.
Dans l’église de la Résurrection à Biscayne Park, en Floride, l’eau bénite a coulé dimanche matin sur la tête d’Alberto Felipe, un mois et demi, qui était baptisé par son père, le révérend Alberto Cutié.
Entouré de sa femme, Ruhama Cutié, de sa fille aînée Camila Victoria qu’il a également baptisé l’année dernière, âgée aujourd’hui de 18 mois et de son beau-fils Christian Norton, entre autres, des parents, amis et plus de 100 paroissiens de son église, le révérend embrassa tendrement Alberto Felipe à côté des fonts baptismaux et l’a levé au-dessus de sa tête pour le montré à la congrégation.
« Puisse cette lumière, la lumière de la foi et du baptême, le mener à la lumière qui ne finit jamais, à la lumière de la vie éternelle », a déclaré Cutié après avoir allumé les bougies qu’il a donné aux parrains et marraines de l’enfant : la sœur du “prêtre”, Alina Cutié Rodríguez ; le mari de celle-ci, Freddy Rodríguez ; les frère et sœur de Ruhama, Hermes Canellis et Ileana Canellis.
Tous étaient heureux d’assister à ce dernier chapitre de la vie de Cutié, celui qui après avoir admis qu’il avait une liaison avec sa femme de maintenant, s’est détourné de l’Église catholique romaine (de l’église Conciliaire, bien sûr !) et a rejoint le siège Épiscopal avant de l’épouser en Juin 2009.
« Je suis heureuse et en paix », a déclaré un Ruhama souriante après la “messe”, qui a été suivie d’une petite réception à l’église, située au nord de Miami. « Aujourd’hui est un jour de nombreuses bénédictions. Nous sommes heureux. » a-t-elle dit.
Photos : Hector Torres & YAMPhotography ©
Happy end !
(Potins Cléricaux)
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Ordonné “prêtre” de l’église conciliaire dans l’archidiocèse de Miami le 13 mai 1995 – donc totalement invalide depuis la réforme Pontificalis Romani du 18 juin 1968 – le Padre Alberto a reçu bien sûr, une formation somme toute conciliaire…où l’on voit que pour eux (Eux !) « toutes les religions sont des visages différent du même dieu » (1) ! Aussi, il n’est pas surprenant, pour eux (Eux !) de passer d’une secte (qu’ils croient Église !) à l’autre pour des convenances personnelles.
Il a été officiellement reçu en tant que “prêtre” de l’église Épiscopale (totalement invalide également puisque Anglicane !) le 29 mai 2010 par “Mgr” Leo Frade dans le diocèse de Floride du Sud.
[1] Selon l’église Conciliaire de France (Quel est le sens de l’œcuménisme ? – Eglise Catholique en France) :
« Dans le monde, les Chrétiens représentent une diversité. L’œcuménisme exprime la recherche de communion entre Protestants, Anglicans, Orthodoxes et Catholiques.
L’unité se construit :
– Par la prise de conscience de ce qui se vit de la foi reçue du Baptême dans chacune des confessions chrétiennes.
– Par la prière et l’appel à la conversion adressés à chaque communauté et à l’ensemble de leurs membres.
– Dans la recherche et la relecture patiente de l’histoire pour résoudre les problèmes de division.
– En acceptant de légitimes divergences.
Ce dialogue dans le respect des différences reconnaît et permet d’accroître une réelle communion, entre tous les chrétiens (Protestants, Anglicans, Orthodoxes et Catholiques) qui partagent la même foi en Dieu, Père, Fils et Esprit et le Baptême d’eau. »
Et dans la pensée et le langage de nombreux conciliaires on trouve et on entend :
« N’attends pas que j’essaie de te prouver que ma religion (chrétienne) est la meilleure ! »
« Le Christianisme est-il vraiment une voie privilégiée pour aller à Dieu ? Les autres religions ne sont-elles pas également bonnes ? »
Un lobby sollicite papeFrançois pour qu’il rende le célibat des prêtres facultatif
…Un lobby sollicite papeFrançois pour qu’il rende le célibat des “prêtres” catholiques [conciliaires] facultatif
Suite de la série d’articles sur Vatican d’Eux et la volonté farouche qu’ils [Eux] ont de mettre fin au “célibat des prêtres”… (enfin, ceux qui ne sont pas pédérastes ! quoi que ?!!!)
Troisième épisode, retour sur la copine de Bergo(go)glio, militante et lobbyiste pour l’abolition du célibat des prêtres.
(London Evening Post, 23 avril 2013)
Un lobby sollicite le “Pape” François pour qu’il rende le célibat des prêtres facultatif
Clelia Luro montre une photo de son défunt mari, Jerónimo Podestá,
ancien évêque d’Avellaneda, à son domicile de Buenos Aires
Clelia Luro est en fauteuil roulant et porte le poids de ses quatre-vingt-sept ans, mais elle se sent la force d’obliger l’Église catholique romaine (l’église Conciliaire qui occupe Rome) à prêter attention à sa campagne pour qu’il soit mis fin au célibat des prêtres. Cette femme, dont l’histoire d’amour, puis le mariage avec un évêque (défroqué) avaient fait scandale durant les années soixante, est une amie intime du Pape François, qui l’appelait tous les dimanches quand il était le premier cardinal d’Argentine.
Luro est persuadée que le Pape finira par faire en sorte d’amener l’Église universelle à en finir avec l’obligation du célibat sacerdotal, obligation que, selon elle, « le monde ne comprend plus ». Elle pense que cela pourra résoudre la pénurie mondiale de prêtres et convaincre les nombreux catholiques ne pratiquant plus de retourner à l’Église. « Je crois qu’en temps voulu, le célibat des prêtres deviendra facultatif », a-t-elle déclaré dans une interview recueillie par l’Associated Press chez elle, à Buenos Aires, à la suite d’une lettre ouverte qu’elle avait adressée au pape et dans laquelle elle exposait sa cause. « Je suis sûre que François le suggérera ».
Jean-Paul II, Benoît XVI et d’autres papes avant eux ont interdit toute discussion tendant à modifier la règle du célibat, et François n’a pas parlé de cette question depuis qu’il est devenu pape, le mois dernier. « Je ne vois pas comment cela pourrait faire le moins du monde partie de son programme », a déclaré le Père Robert Gahl, membre de l’Opus Dei et professeur de théologie morale à l’Université pontificale de la Sainte-Croix, à Rome. Pourtant, lorsqu’il était le Cardinal Bergoglio, il avait évoqué la question en des termes inspirant aux militants anti-célibat l’idée que le temps du changement était venu.
Dans son livre « Sur la Terre comme au Ciel », publié l’an dernier, Bergoglio écrit : « Pour le moment, je suis favorable au maintien du célibat, avec ses avantages et ses inconvénients, parce qu’en dix siècles, il a produit plus de bons résultats que d’échecs. » Il précise cependant : « C’est une question de discipline, non de foi. Cela peut changer », et il ajoute que dans le Rite oriental de l’Église catholique, où le célibat est facultatif, il y a aussi de bons prêtres. « Dans l’hypothèse où l’Église déciderait de revenir sur cette règle […] ce serait pour un motif culturel, comme dans le cas de l’Église d’Orient, où l’on ordonne des prêtres mariés » ; tels sont les propos qu’il a tenus dans « Le Pape François. Je crois en l’homme. Conversations avec Jorge Bergoglio », réédité le mois dernier par ses biographes agréés, Sergio Rubin et Francesca Ambrogetti.
Luro et son mari Jerónimo Podestá, ex-évêque d’Avellaneda, se sont sentis ostracisés par l’Église pendant de nombreuses années, mais selon elle, Bergoglio n’a pas hésité à leur apporter son soutien pastoral quand Podestá était hospitalisé, peu avant sa mort en 2000. Ils devinrent bons amis ensuite, au point que Bergoglio – raconte-t-elle – l’a appelée chaque dimanche au téléphone pendant douze ans, parlant souvent avec elle de la question du célibat, entre autres discussions portant sur toutes sortes de sujets brûlants. Luro a maintenant le sentiment que si les cardinaux ont élu un jésuite étranger au Vatican, qui s’emploie à étendre l’Église universelle et à réaffirmer l’attachement de celle-ci aux pauvres, cela montre qu’ils ont la volonté d’entreprendre de profonds changements afin d’enrayer l’exode des fidèles.
Le Père Thomas Reese, prêtre jésuite et professeur spécialiste du Vatican à l’Université de Georgetown, a déclaré que pour François, une première mesure pourrait consister à indiquer que rien ne s’oppose à l’ouverture d’un débat sur la question : « Selon le Vatican conduit par Jean-Paul et Benoît, certaines questions ne pouvaient simplement pas être abordées, et tout évêque qui en aurait parlé se serait exposé à des ennuis, de même que les théologiens qui auraient écrit à ce sujet. » Cela s’inscrit donc dans la question plus vaste de savoir dans quelle mesure le “Pape” François va autoriser de franches discussions au sein de l’Église. D’après Reese, « Ce serait exactement le genre de discussion franche que le Vatican n’aime pas », et il ajoute : « Dans leur esprit, les parents de doivent pas exposer leurs enfants à la confusion en discutant devant eux ».
Le Canon 277 du Code canonique [de 1983] est ainsi rédigé : « Les clercs sont tenus par l’obligation de garder la continence parfaite et perpétuelle à cause du Royaume des Cieux, et sont donc astreints au célibat, don particulier de Dieu par lequel les ministres sacrés peuvent s’unir plus facilement au Christ avec un cœur sans partage et s’adonner plus librement au service de Dieu et des hommes. »
Pourtant, le célibat sacerdotal n’est pas un dogme, une loi d’origine divine, c’est une tradition de l’Église catholique romaine ; or, si les dogmes ne peuvent changer, les traditions changent. « Nous sommes très enthousiastes et espérons vivement que François pourra renverser cette disposition canonique », a déclaré Guillermo Schefer, ancien prêtre qui copréside avec son épouse, Natalia Bertoldi, la Fédération latino-américaine des prêtres mariés. « Il importe que les prêtres puissent, eux aussi, opter pour le mariage et une vie de famille. Cela les aiderait à mieux s’intégrer aux laïcs. »
Dans le rite catholique oriental, les séminaristes déjà mariés peuvent ensuite être ordonnés prêtres ; en outre, certains “prêtres” anglicans mariés ont déjà été autorisé à se convertir au catholicisme romain (de l’église Conciliaire, bien sûr !) ; enfin, certains veufs ayant des enfants sont devenus prêtres de l’Église romaine (des laïcs de l’église Conciliaire ! puisque celle-ci n’a plus de sacrements valides tout comme l’église Anglicane…). Mais comme le note Gahl, aucune tradition catholique romaine n’autorise des hommes ayant déjà « épousé l’Église » à contracter ensuite un mariage. Selon lui, cela créerait des cœurs partagés, affaiblirait le dévouement sacerdotal des intéressés et irait tout à fait là l’encontre de ce que François a déclaré depuis qu’il est “pape” quant à la nécessité pour les prêtres de se refuser les plaisirs terrestres, dans la mesure où ils ont à répandre l’Évangile.
« Il prêche beaucoup dans ce sens chaque matin » au Vatican, souligne Gahl. Les partisans du célibat facultatif disent : « La prêtrise, c’est trop dur, pourquoi ne la rendons-nous pas plus facile ? » Mais le Pape, lui, déclare : « Si vous faites ce sacrifice, il vous apportera de la joie pure ». Ceux qui résistent au changement disent que le célibat a d’autres avantages, et non pas moins dans le domaine financier ( 😆 !!!) : imaginons que les quatre cent mille prêtres du monde entier aient chacun une famille, sans doute nombreuses compte tenu de l’interdiction de la contraception par l’Église. Les salaires relativement maigres des prêtres devraient subir instantanément un accroissement exponentiel.
Il n’en est pas moins vrai que des milliers de prêtres (prêtres oui, avant 1970…mais depuis, que des faux prêtres !) ont quitté leur ministère pour se marier et que beaucoup d’autres, surtout en Afrique et en Amérique latine, sont restés prêtres en ayant des relations féminines et des enfants. Bergoglio condamne cette pratique dans ses ouvrages. « Ce que je ne permettrai pas, c’est la double vie », a-t-il écrit. « S’il ne peut s’acquitter de son ministère, je lui demande de rester chez lui, je lui dis que nous sollicitons pour lui une dispense papale et qu’ainsi, il pourra recevoir le sacrement du mariage. »
Benoît a réaffirmé le caractère obligatoire du célibat en réaction à la croisade tumultueuse d’un archevêque africain marié qui fut excommunié après avoir défié le Vatican en sacrant évêques quatre hommes mariés. De son côté, le Cardinal brésilien Claudio Hummes, grand ami de Bergoglio, s’est retrouvé sur des charbons ardents après avoir déclaré que le célibat des prêtres n’était pas une question de droit divin dans une interview qu’il avait accordée à un journal en 2006 avant d’arriver à Rome pour s’occuper des prêtres du monde entier au sein du Vatican. Cela déclencha de telles spéculations sur la possibilité d’un changement que Hummes fut obligé de publier une longue déclaration réaffirmant l’obligation du célibat.
Luro était âgée de trente-neuf ans, séparée de son mari et mère de six enfants (femme adultère donc !!!) lorsqu’en 1966, elle fit la connaissance de Podestá, alors âgé de quarante-cinq ans. Il était déjà évêque et très engagé en faveur des causes sociales, puisqu’il prêchait la « théologie de la libération » dans le cadre du Mouvement des prêtres du tiers-monde. « Pour Jerónimo, j’étais la première femme », se rappelle-t-elle. Loin de cacher leur relation, ils la rendirent publique, et pour que soit supprimée l’obligation du célibat sacerdotal, ils lancèrent une campagne qui les amena aux portes du Vatican. Mais peu après, en 1967, le Pape Paul VI publia son encyclique « Sacerdotalis Caelibatus », dans laquelle il soutenait le maintien des vœux sacerdotaux de célibat perpétuel.
Luro déclare que les appels dominicaux de Bergoglio lui ont été d’un grand soutien. « Nous parlions de l’église, nous discutions. Je lui envoyais les écrits de Jerónimo ». Après être devenu François, il l’a appelée une nouvelle fois, dit-elle, mais par respect pour le “pape”, elle ne veut pas rapporter ce qu’il lui a dit.
papeFrançois, pas si opposé au mariage des prêtres…
papeFrançois…pas si opposé au mariage des “prêtres” catholiques [conciliaires]
Suite de la série d’articles sur Vatican d’Eux et la volonté farouche qu’ils [Eux] ont de mettre fin au “célibat des prêtres”… (enfin, ceux qui ne sont pas pédérastes ! quoi que ?!!!)
Deuxième épisode, Bergo(go)glio pas aussi inflexible que ses prédécesseurs sur la question du mariage des prêtres.
pape François ne semble pas aussi inflexible que ses prédécesseurs sur la question du mariage des prêtres. Dans un livre de conversations paru en 2012, Sobre el Cielo y la Tierra (Sur le Ciel et la Terre), il aborde le sujet du célibat et avoue même avoir eu le béguin pour une fille lorsqu’il était séminariste. La conversation entre Jorge Bergoglio et un rabbin, Abraham Skorka, a été publiée par le site catholique d’informations Aleteia.
Alors qu’il était encore archevêque de Buenos Aires, Jorge Bergoglio raconte avoir déjà été tenté dans son célibat lorsqu’il était jeune :
« Quand j’étais séminariste, j’ai été ébloui par une fille que j’avais rencontrée au mariage d’un oncle. J’avais été surpris par sa beauté, sa brillance intellectuelle… eh bien, j’ai été renversé pendant un bon moment. Je ne cessais de penser et penser à elle. Quand je suis retourné au séminaire après le mariage, je n’ai pas pu prier pendant une semaine parce que, quand j’essayais de le faire, la fille me venait en tête. J’avais besoin de repenser à ce que j’étais en train de faire, j’étais toujours libre car j’étais un séminariste, donc j’aurais pu rentrer à la maison et voilà. Je devais réfléchir de nouveau à mon choix. J’ai choisi de nouveau – ou je me suis laissé choisir par – le chemin religieux. »
Dans la suite de l’entretien, il fait preuve d’une certaine ouverture d’esprit face au mariage des prêtres, en déclarant que la tradition du célibat « est une question de discipline », et que donc « cela peut changer ».
Il rappelle que le choix du célibat n’a été fait qu’à partir de l’année 1100, de manière progressive, opposant peu à peu l’Église d’Orient, qui autorise le mariage (précisément les églises byzantines, ukrainiennes, russes ou grecques-catholiques), et celle d’Occident qui le récuse. À propos des prêtres mariés d’Orient, ils sont pour lui « de très bons prêtres ».
Cependant, il continue « pour le moment [d’être] en faveur du maintien du célibat, avec tous ses pour et ses contre, parce que nous avons dix siècles de bonnes expériences plus que d’échecs. […] Pour l’instant, la discipline du célibat reste ferme ». Mais il laisse exister la possibilité d’un débat :
« Dans le catholicisme occidental, certaines organisations mettent la pression pour plus de discussion à propos de cette question. […] Si hypothétiquement, le catholicisme occidental revoyait la question du célibat, je pense qu’il le ferait pour des raisons culturelles, pas tellement comme une option universelle. »
Pour le vaticaniste Thomas Reese, interrogé par NBC News, ces remarques sont surprenantes car « les dernier papes avaient été très clairs sur le fait qu’ils n’étaient pas ouverts pour changer cela ou en discuter. […] On dirait qu’il pourrait vouloir en parler ».
Photo : pape François, le 14 mars 2013. REUTERS/Alessandro Bianchi
Source : http://www.slate.fr/lien/54863/pape-amoureux-jeunesse-pas-oppose-mariage-pretres
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“Pauvre homme” a pensé sa sœur…
Lorsqu’elle a entendu le nom de son frère résonner au balcon de la basilique Saint-Pierre, Maria Elena Bergoglio, àgée de 65 ans, a fondu en larmes… Et elle a alors pensé : “pauvre homme”. Ce sont les premières confidences de l’unique parente du pape François – leurs trois autres frères et sœurs sont décédés – recueillies par des journalistes vendredi, à son domicile, dans une banlieue résidentielle de Buenos Aires. « Je n’ai même pas pu entendre son nom de famille, Bergoglio, ni François, son nom de pape, tellement je pleurais », raconte-t-elle notamment à “Paris Match” (), expliquant qu’il ne voulait pas devenir pape. « Quand on plaisantait ensemble de cette éventualité, il me disait : “No por favor !” », a-t-elle ajouté. « Une génération les sépare ». Avec onze ans d’écart, Maria Elena Bergoglio explique qu’elle n’a pas trouvé de compagnon de jeu en la personne de son frère durant leur enfance. Mais elle affirme qu’il a toujours été là pour elle. Interrogée sur les valeurs que veut défendre le nouveau pape, la sexagénaire s’est montrée gênée, puis a répondu : « Je sais quel est son vœu : travailler pour les pauvres, pour les plus marginaux (…) J’espère qu’il en aura la force. » …
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60% des Français souhaitent un pape plus progressiste
60% des Français souhaitent que le nouveau pape François soit « plus progressiste » que son prédécesseur Benoît XVI, selon un sondage CSA pour BFMTV publié le soir du 13 mars 2013. 6% des sondés veulent un pape « plus traditionnel », 7% demandent que le successeur de Benoît XVI s’inscrive « dans le prolongement de son action », et 27% sont sans opinion. Ils sont 60% d’hommes et 61% de femmes à vouloir une politique « plus progressiste » du nouveau pape.
Sondage réalisé par internet mardi 12 et mercredi 13 mars 2013, auprès d’un échantillon représentatif de 987 personnes résidant en France, âgées de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas.