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papeFrançois, pas si opposé au mariage des prêtres…

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papeFrançois…pas si opposé au mariage des “prêtres” catholiques [conciliaires]

 

Mariage des prêtres

Suite de la série d’articles sur Vatican d’Eux et la volonté farouche qu’ils [Eux] ont de mettre fin au “célibat des prêtres”… (enfin, ceux qui ne sont pas pédérastes ! quoi que ?!!!)

 

Deuxième épisode, Bergo(go)glio pas aussi inflexible que ses prédécesseurs sur la question du mariage des prêtres.

 

Sur la Terre comme au Ciel, Robert Laffontpape François ne semble pas aussi inflexible que ses prédécesseurs sur la question du mariage des prêtres. Dans un livre de conversations paru en 2012, Sobre el Cielo y la Tierra (Sur le Ciel et la Terre), il aborde le sujet du célibat et avoue même avoir eu le béguin pour une fille lorsqu’il était séminariste. La conversation entre Jorge Bergoglio et un rabbin, Abraham Skorka, a été publiée par le site catholique d’informations Aleteia.

Alors qu’il était encore archevêque de Buenos Aires, Jorge Bergoglio raconte avoir déjà été tenté dans son célibat lorsqu’il était jeune :

Jorge Bergoglio, séminariste à l'âge de 30 ans« Quand j’étais séminariste, j’ai été ébloui par une fille que j’avais rencontrée au mariage d’un oncle. J’avais été surpris par sa beauté, sa brillance intellectuelle… eh bien, j’ai été renversé pendant un bon moment. Je ne cessais de penser et penser à elle. Quand je suis retourné au séminaire après le mariage, je n’ai pas pu prier pendant une semaine parce que, quand j’essayais de le faire, la fille me venait en tête. J’avais besoin de repenser à ce que j’étais en train de faire, j’étais toujours libre car j’étais un séminariste, donc j’aurais pu rentrer à la maison et voilà. Je devais réfléchir de nouveau à mon choix. J’ai choisi de nouveau – ou je me suis laissé choisir par – le chemin religieux. »

Dans la suite de l’entretien, il fait preuve d’une certaine ouverture d’esprit face au mariage des prêtres, en déclarant que la tradition du célibat « est une question de discipline », et que donc « cela peut changer ».

Il rappelle que le choix du célibat n’a été fait qu’à partir de l’année 1100, de manière progressive, opposant peu à peu l’Église d’Orient, qui autorise le mariage (précisément les églises byzantines, ukrainiennes, russes ou grecques-catholiques), et celle d’Occident qui le récuse. À propos des prêtres mariés d’Orient, ils sont pour lui « de très bons prêtres ».

Cependant, il continue « pour le moment [d’être] en faveur du maintien du célibat, avec tous ses pour et ses contre, parce que nous avons dix siècles de bonnes expériences plus que d’échecs. […] Pour l’instant, la discipline du célibat reste ferme ». Mais il laisse exister la possibilité d’un débat :

« Dans le catholicisme occidental, certaines organisations mettent la pression pour plus de discussion à propos de cette question. […] Si hypothétiquement, le catholicisme occidental revoyait la question du célibat, je pense qu’il le ferait pour des raisons culturelles, pas tellement comme une option universelle. »

"pape" FrancoisPour le vaticaniste Thomas Reese, interrogé par NBC News, ces remarques sont surprenantes car « les dernier papes avaient été très clairs sur le fait qu’ils n’étaient pas ouverts pour changer cela ou en discuter. […] On dirait qu’il pourrait vouloir en parler ».

Photo : pape François, le 14 mars 2013. REUTERS/Alessandro Bianchi

Source : http://www.slate.fr/lien/54863/pape-amoureux-jeunesse-pas-oppose-mariage-pretres
 

 

 

 

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“Pauvre homme” a pensé sa sœur…

 

Pauvre homme, a pensé la soeur de pape-François

“Pauvre homme” a pensé la sœur de papeFrançois

Lorsqu’elle a entendu le nom de son frère résonner au balcon de la basilique Saint-Pierre, Maria Elena Bergoglio, àgée de 65 ans, a fondu en larmes… Et elle a alors pensé : “pauvre homme”. Ce sont les premières confidences de l’unique parente du pape François – leurs trois autres frères et sœurs sont décédés – recueillies par des journalistes vendredi, à son domicile, dans une banlieue résidentielle de Buenos Aires. « Je n’ai même pas pu entendre son nom de famille, Bergoglio, ni François, son nom de pape, tellement je pleurais », raconte-t-elle notamment à “Paris Match” (clin d'oeil), expliquant qu’il ne voulait pas devenir pape. « Quand on plaisantait ensemble de cette éventualité, il me disait : “No por favor !” », a-t-elle ajouté. « Une génération les sépare ». Avec onze ans d’écart, Maria Elena Bergoglio explique qu’elle n’a pas trouvé de compagnon de jeu en la personne de son frère durant leur enfance. Mais elle affirme qu’il a toujours été là pour elle. Interrogée sur les valeurs que veut défendre le nouveau pape, la sexagénaire s’est montrée gênée, puis a répondu : « Je sais quel est son vœu : travailler pour les pauvres, pour les plus marginaux (…) J’espère qu’il en aura la force. »

Votre Pape ! Jorge Bergoglio le pape des humbles et des pauvres

papeFrançois : « je voudrais une Eglise pauvre, pour les pauvres »
VOTRE PAPE ! —

 

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60% des Français souhaitent un pape plus progressiste

60% des Français souhaitent que le nouveau pape François soit « plus progressiste » que son prédécesseur Benoît XVI, selon un sondage CSA pour BFMTV publié le soir du 13 mars 2013. 6% des sondés veulent un pape « plus traditionnel », 7% demandent que le successeur de Benoît XVI s’inscrive « dans le prolongement de son action », et 27% sont sans opinion. Ils sont 60% d’hommes et 61% de femmes à vouloir une politique « plus progressiste » du nouveau pape.

Sondage réalisé par internet mardi 12 et mercredi 13 mars 2013, auprès d’un échantillon représentatif de 987 personnes résidant en France, âgées de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas.

Contre la pédophilie dans l'église Conciliaire

Quelques œuvres “décalées” de Bergo(go)glio alias papeFrançois — (III)

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Poursuivons notre petit tour des déviations de Bergo(go)glio alias papeFrançois… Sandro Magister, dans la revue (conciliaire) en ligne Chiesa.it, veut nous faire croire que papeFrançois ne donne pas la communion :

Parce que, dit-il, des pécheurs publics non repentis pourraient se glisser parmi les fidèles et qu’il ne veut pas favoriser leur hypocrisie. Le cas des politiciens catholiques partisans de l’avortement

Ce qui, nous allons le voir et totalement faux !

 

Pourquoi le pape François ne donne pas la communion  ((Texte tout à fait conciliaire, fait par un conciliaire… où les mots pape, communion, hostie consacrée, etc. n’ont pas de valeurs réellement catholique du fait de l’invalidité des sacrements conciliaire… Cf. Rore-Sanctifica.org))

 

Parce que, dit-il, des pécheurs publics non repentis pourraient se glisser parmi les fidèles et qu’il ne veut pas favoriser leur hypocrisie. Le cas des politiciens catholiques partisans de l’avortement.

par Sandro Magister

ROME, le 9 mai 2013 – Il y a, dans les messes célébrées par le pape François, une particularité qui suscite des questions restées jusqu’à présent sans réponse.

Lorsque vient le moment de la communion, le pape Jorge Mario Bergoglio ne la distribue pas lui-même mais il laisse à d’autres le soin de donner aux fidèles l’hostie consacrée. Il s’assied et attend que la distribution du sacrement soit achevée.

Les exceptions sont rarissimes. Aux messes solennelles, le pape, avant de s’asseoir, donne la communion à ceux qui l’assistent à l’autel. Et dernièrement, lors de la messe du Jeudi Saint, célébrée à la prison pour mineurs de Casal del Marmo, il a voulu donner lui-même la communion aux jeunes détenus qui se sont approchés pour la recevoir.

Bergoglio n’a donné, depuis qu’il est pape, aucune explication explicite à ce comportement.

Mais il y a, dans un de ses livres publié en 2010, une page qui fait pressentir les motifs qui sont à l’origine de cette attitude.

Ce livre est un recueil d’entretiens qu’il a eus avec le rabbin Abraham Skorka de Buenos Aires.

Celui qui était alors l’archevêque Bergoglio déclare, à la fin du chapitre consacré à la prière :

« David avait commis l’adultère et il avait commandé un homicide ; nous le vénérons quand même comme un saint parce qu’il a eu le courage de dire : ‘J’ai péché’. Il s’est humilié devant Dieu. On peut commettre des fautes énormes, mais on peut aussi le reconnaître, changer de vie et réparer le mal que l’on a fait. Il est vrai que, parmi les paroissiens, il y a des gens qui ont tué non seulement intellectuellement ou physiquement mais aussi de manière indirecte, par une mauvaise gestion des capitaux, en payant des salaires injustes. Ils sont membres d’organisations de bienfaisance, mais ils ne paient pas à leur personnel ce qui lui revient, ou ils le font travailler au noir. […] Nous connaissons parfaitement le curriculum de certains d’entre eux, nous savons qu’ils prétendent être catholiques mais qu’ils ont des comportements indécents dont ils ne se repentent pas. C’est pour cette raison que, dans certaines occasions, je ne donne pas la communion, que je reste en arrière et que je laisse ceux qui m’assistent dans la célébration de la messe le faire, parce que je ne veux pas que ces gens s’approchent de moi pour la photo. On pourrait également refuser la communion à un pécheur notoire qui ne s’est pas repenti, mais il est très difficile de prouver ces choses-là. Recevoir la communion, cela signifie recevoir le corps du Seigneur, avec la conscience de former une communauté. Mais si un homme, plutôt que d’unir le peuple de Dieu, a fauché la vie d’un très grand nombre de personnes, il ne peut pas recevoir la communion, ce serait totalement contradictoire. On trouve ce genre de cas d’hypocrisie spirituelle chez un grand nombre de gens qui trouvent refuge dans l’Église mais qui ne vivent pas selon la justice demandée par Dieu. Et ils ne donnent aucun signe de repentir. C’est ce que l’on appelle communément mener une double vie. »

Comme on peut le constater, Bergoglio expliquait en 2010 son refus de donner personnellement la communion par un raisonnement très pratique : « Je ne veux pas que ces gens s’approchent de moi pour la photo ».

En pasteur expérimenté et en bon jésuite qu’il est, il savait que, parmi ceux qui s’approchaient pour recevoir la communion, il pouvait y avoir des pécheurs publics non repentis qui se prétendaient par ailleurs catholiques. Il savait que, dans cette situation, il serait difficile de leur refuser le sacrement. Et il savait quels effets publics cette communion pourrait avoir, si elle était reçue des mains de l’archevêque de la capitale de l’Argentine.

On peut en déduire que Bergoglio perçoit le même danger depuis qu’il est pape, et même encore davantage. Et que, pour cette raison, il adopte le même comportement prudent : « Je ne donne pas la communion, je reste en arrière et je laisse faire ceux qui m’assistent ».

Les péchés publics que Bergoglio a donnés comme exemples, dans son entretien avec le rabbin, sont l’oppression des pauvres et le refus de donner un juste salaire à l’ouvrier. Deux péchés qui figurent traditionnellement parmi les quatre qui « crient vengeance au Ciel ».

Mais, au cours de ces dernières années, un raisonnement semblable a été appliqué par d’autres évêques à un autre péché : le soutien public apporté aux lois favorables à l’avortement par des politiciens qui se proclament catholiques.

Cette controverse-là a eu son épicentre aux États-Unis.

En 2004, celui qui était alors le cardinal Joseph Ratzinger, préfet de la congrégation pour la doctrine de la foi, fit parvenir à la conférence des évêques des États-Unis une note dans laquelle étaient formulés les « principes généraux » relatifs à cette question.

La conférence des évêques décida d’ »appliquer » au cas par cas les principes rappelés par Ratzinger en confiant à « chaque évêque le soin de formuler des jugements pastoraux prudents en fonction des circonstances spécifiques auxquelles il serait confronté ».

Depuis Rome, le cardinal Ratzinger accepta cette solution et déclara qu’elle était « en harmonie » avec les principes généraux de sa note.

En réalité, les évêques des États-Unis ne sont pas unanimes. Certains, même parmi les conservateurs, comme les cardinaux Francis George et Patrick O’Malley, sont peu enclins à « faire de l’eucharistie un champ de bataille politique ». D’autres sont plus intransigeants. Lorsque le catholique Joe Biden fut choisi comme vice-président par Barack Obama, Charles J. Chaput, qui était alors évêque de Denver et qui est aujourd’hui archevêque de Philadelphie, déclara que le soutien apporté par Biden au « droit » à l’avortement constituait une grave faute publique et que « pour cette raison, celui-ci devrait, par souci de cohérence, s’abstenir de se présenter pour recevoir la communion ».

Ce qui est certain, c’est que lors de la messe d’inauguration du pontificat de François, le 19 mars dernier, le vice-président Biden et la présidente du parti démocrate Nancy Pelosi, qui est également une catholique pro-avortement, faisaient partie de la délégation officielle des États-Unis.

Et ils ont l’un et l’autre reçu la communion. Mais pas des mains du pape Bergoglio, qui était resté assis derrière l’autel.

Sandro Magister, « L’espresso »

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Dans cette dernière phrase, Sandro Magister exonère papeFrançois en disant que ce n’est pas lui qui a donné la communion !Le fourbe ! C’est lui qui laisse faire !!!

Voyons maintenant les œuvres réelles de Bergo(go)glio, une image vaut mille mots ! Alors quand ont en a plusieurs…

La Vie, relate d’ailleurs événement :

Du côté d’une certaine frange intégriste, on ne se prive pas non plus de rapporter d’autres anecdotes. Ainsi, le site américain Tradition in Action rapporte-t-il comme une preuve accablante du modernisme du nouveau pape une série de photos où on le voit distribuer la communion dans la main. Le même site titrait quelques jours auparavant: « La révolution misérabiliste du pape Bergoglio ». « En moins d’une semaine depuis son élection le 13 Mars 2013, le pape François a déjà accompli plus de progressisme en changeant la papauté que ce qui a été fait dans les dernières décennies de Jean-Paul II et Benoît XVI combinés », tonne le blog.

514-Communion01

514-Communion02

 

À suivre pour de nouvelles Œuvres de Bergo(go)glio…