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Un “prêtre” coquin de Miami change d’ “Église” pour épouser sa belle

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Un “prêtre” coquin de Miami change d’ “Église” pour épouser sa belle

 

Mariage des prêtres

Suite de la série d’articles sur Vatican d’Eux et la volonté farouche qu’ils [Eux] ont de mettre fin au “célibat des prêtres”… (enfin, ceux qui ne sont pas pédérastes ! quoi que ?!!!)

 

Quatrième et dernier (???) épisode, en 2009, un “prêtre” américain brise le vœu de célibat et provoque un scandale…

 

Alberto Cutié, alias Padre Alberto

Âgé de 44 ans, le père Alberto, né à San Juan, Porto Rico (USA), le 29 avril 1969 de parents cubains, critiquait depuis longtemps et publiquement le célibat imposé aux prêtres.

Alberto Cutié, alias Padre Alberto, est une figure ecclésiastique très connue aux États-Unis. Habitué des plateaux télé, il fait de la musculation, adore le disco (!!! Normalement, on n’adore que son Dieu…) et anime des émissions de radio et télévision. Il a défrayé la chronique en 2009 après avoir été pris en photo enlacé avec sa petite amie sur une des plages les plus fréquentées de Miami (Floride, sud-est).

 

Alberto Cutié avec sa petite amie sur une des plages les plus fréquentées de Miami


Il n’en fallait pas plus pour choquer l’Amérique puritaine : un homme d’église pris en flagrant délit avec sa maîtresse dévêtue, en pleine séance de câlins au milieu d’une plage.

Plutôt que de nier, Padre Alberto avait d’abord choisi la voie du pardon. « Je m’excuse auprès de ceux qui auraient pu être heurtés ou attristés par mes actes », avait expliqué le “prêtre”. « Mon engagement pour servir Dieu est intact », explique le “prêtre” sur son site Internet.

Tv-notas Padre Alberto Cutié avec sa petite amie sur une des plages les plus fréquentées de MiamiLes images prises par des paparazzi et publiées par la revue espagnol TVNotas (le Paris Match clin d'oeil [ou Voici] Mexicain !) montraient le père Alberto Cutié, en train d’embrasser fougueusement une jeune femme sur une des plages les plus fréquentées de Miami. Tous deux en maillot de bain. Le “prêtre” avait admis les faits et demandé “pardon” dans une lettre, en assurant que son « dévouement envers Dieu restait intact ».

Toutefois, l’archevêché de Miami avait déclaré qu’il ne pourrait plus dire la “messe” dans sa paroisse de San Francisco de Sales, où la gent féminine se pressait pour admirer ses beaux yeux bleus, selon des paroissiens. L’archevêque de Miami John Favalora avait alors déclaré (pour faire bonne figure) que le « père Cutié avait fait vœu de célibat et que tous les curés devaient tenir leur promesse avec l’aide de Dieu ».

La revue TVNotas affirme par ailleurs détenir une vidéo dans laquelle on voit le “prêtre” « introduire la main dans le bas du bikini de la femme ». La vidéo n’a pas été diffusée, mais des chaînes de télévision locales ont avoué qu’elle leur avait été proposée pour plusieurs centaines de milliers de dollars. (!!!)

Le très médiatique père Alberto critiquait publiquement de longue date, le célibat imposé aux prêtres. Depuis 2002, l’Église catholique américaine (l’église Conciliaire américaine) a été éclaboussée par de nombreux scandales impliquant des “prêtres” (des laïcs de l’église Conciliaire ! puisque celle-ci n’a plus de sacrements valides tout comme l’église Anglicane…) dans des affaires d’abus sexuels (pédérastes ou homosexuelles)

 

* * *

 

Le “prêtre” catholique [conciliaire] change d’ “Église” pour épouser sa belle

 

Les photos montrant le père Alberto Cutié et une jeune femme tendrement enlacés sur une plage avaient fait scandale.

Quand le scandale des photos de paparazzi a éclaté, Padre Alberto se disait déchiré entre Dieu et sa belle, une Guatémaltèque dont il a avoué être tombé amoureux deux ans auparavant. Répudié par l’archevêque catholique de Miami, il a choisi de rejoindre l’église Épiscopalienne et « au sein de laquelle il poursuivra son “sacerdoce” ». Alberto Cutie et son épouse RuhamaTrois semaines plus tard, le plus célèbre “curé” de la communauté hispanique américaine n’a finalement renié ni l’un ni l’autre. Le 31 mai [2009], il a prononcé son premier sermon dans l’église de la Résurrection à Biscayne, une petite ville de Floride, mais il lui faudra se former pendant un an avant d’être autorisé à enfiler sa chasuble de “prêtre épiscopalien”.

L’église Épiscopalienne américaine, à mi-chemin entre le catholicisme romain et le protestantisme, présente l’avantage de ne pas imposer le célibat à ses membres. Le père Alberto a déjà officiellement présenté l’élue de son cœur à l’ “évêque” du diocèse. Ruhama Buni Canellis, une trentenaire divorcée (femme adultère donc !!! elle aussi…) qui élève seule un fils adolescent, semble ravie de la tournure prise par les événements.

« Fortes tentations » sous le soleil de Floride !

Alberto Cutié avec sa petite amie sur une des plages les plus fréquentées de MiamiLes photos montrant l’homme d’église sur une plage début mai [2009] embrassant une jeune femme en bikini avaient suscité une grande émotion chez les catholiques (conciliaires). Padre Alberto est une célébrité dans la communauté hispanique, qui compte des millions de fidèles à travers tous les États-Unis. Le quadragénaire aux yeux bleus fréquente volontiers les soirées de la jet-set locale, a écrit un best-seller intitulé “Vraie vie, vrai amour” et donne des conseils matrimoniaux à la télévision et la radio. On le surnomme « Padre Oprah », en référence à la célèbre animatrice de télévision américaine.

Certains fidèles se sont sentis trahis par les écarts de leur idole (!!!). Le clergé, arguant du vœu de célibat qu’Alberto Cutié avait prononcé en devenant “prêtre”, l’a fermement condamné, bien qu’il ait demandé pardon pour son péché. Mais des voix se sont élevées pour prendre la défense du pécheur. Certains ont évoqué les « fortes tentations » auxquelles était soumis, sous le soleil de Floride (!!!), cet homme qui entretient son physique en faisant de la musculation. D’autres ont dénoncé les règles « archaïques » de l’Église catholique (église Conciliaire ! on a dit !).

Pédophilie - prêtre - mariage ?Depuis qu’il est tombé en disgrâce, le père Alberto a relancé malgré lui le débat sur le mariage des “prêtres” dans l’Église catholique. Il fut un temps, avant le XIIe siècle, où celui-ci n’était pas une hérésie, rappellent ses défenseurs. Aux États-Unis, on estime à 25 000 le nombre de “prêtres” catholiques (conciliaires) qui se sont défroqués pour se marier. Afin de calmer les passions, le père Alberto a affirmé ne pas vouloir s’ériger en apôtre du mariage, mais depuis le scandale, 74 % des personnes interrogées dans la région de Miami se disent opposées à l’obligation du célibat pour les prêtres. Un pourcentage en augmentation dans la communauté hispanique. La popularité du père Alberto n’y serait pas étrangère.

(D’après : New York, Adèle Smith ; lefigaro.fr — Publié le 13/06/2009)

 

* * *

 

Le « scandale » a fait resurgir dans l’opinion publique le débat sur les supposés problèmes créés par la contrainte de célibat imposé aux “prêtres” dans l’Église catholique. Le père Cutié, âgé de 40 ans alors, s’est marié dans la matinée du 16/06/09 au civil avec sa fiancée originaire du Guatemala Ruhama Buni Canellis.

 

Le père Alberto Cutié s’est marié mardi 16 juin 2009 après avoir changé d’Église, a rapporté la presse locale

 

Cutié officiellement dans l'église Épiscopale le 29 mai 2010 par Leo Frade

Le père Alberto Cutie, (deuxième à gauche), et sa fiancée, Ruhama Buni Canellis, (à gauche), ont été reçus dans l'église Épiscopale le 28 mai par “Mgr ” Leo Frade du Diocèse de Floride du sud, (au centre). Avec Frade est son épouse, Diana, (à droite), en arrière-plan de gauche à droite, le révérend Matt Faulstich, également un ancien “prêtre” conciliaire, le révérend Mario Milian, et Dean Jennie Lou Reid.

 

Le père Cutié, âgé de 40 ans [en 2009], s’est marié dans la matinée du 26 juin 2009 au civil avec sa fiancée originaire du Guatemala Ruhama Buni Canellis, 35 ans [idem], à Coral Gables, une ville située près de Miami (Floride, sud-est), selon l’édition électronique du Nuevo Herald.

Le père Cutié avait rejoint fin mai l’église Épiscopale — branche américaine de l’église Anglicane qui n’oblige pas au célibat — après le scandale provoqué début mai par des photos le montrant en maillot de bain en train d’embrasser fougueusement Ruhama Buni Canellis en bikini sur une des plages les plus fréquentées de Miami.

Le mariage d'Alberto Cutié avec Ruhama-Buni-CanellisLe 26 juin 2009, Alberto Cutié et Ruhama Buni Canellis se sont mariés dans une cérémonie à l’église de Saint-Bernard de Clairvaux à North Miami Beach. “Bishop” (Faux “évêque” Épisco-Anglican puisque « absolument nul et totalement vain » : l’abbé Antoine Cékada) Frade officiait, assisté par le Rt. Rev Onell Soto (retraité “évêque” épiscopal du Venezuela) et plusieurs autres membres du clergé Épiscopal.

Un bébé est arrivé comme un cadeau de Noël pour le mariage… Le 30 Novembre, Ruhama a donné naissance à une fille Camila Victoria.

Padre Albeerto papa

Alberto Cutie et son épouse Ruhama et leur fille Camila

(Comme un cadeau de Noël, effectivement !)

Le 31 mai 2012, le “prêtre” épiscopal a annoncé ensuite qu’ils attendaient leur deuxième enfant dans une interview avec le magazine People en espagnol :

« Nous considérons que c’est un cadeau de l’enfant Jésus que nous obtenons un autre enfant dans cette période particulière. C’est le meilleur cadeau de Noël que nous puissions recevoir ».

Le couple, qui s’est marié en 2009, a déjà une fille d’un an appelé Camila Victoria et un adolescent Christian Norton, fils de Ruhama d’une précédente union.

 

Lors d’une cérémonie intime dans son église épiscopale à Miami, le “prêtre” cubano-américain Alberto Cutié a baptisé dimanche 15 juillet 2012 son fils, Alberto Felipe.

 

Le Rev. Alberto Cutie baptise son fils Alberto FelipeDans l’église de la Résurrection à Biscayne Park, en Floride, l’eau bénite a coulé dimanche matin sur la tête d’Alberto Felipe, un mois et demi, qui était baptisé par son père, le révérend Alberto Cutié.

Le Rev. Alberto Cutie baptise sa fille aînée Camila Victoria

Le Rev. Alberto Cutie baptise sa fille aînée Camila Victoria

Entouré de sa femme, Ruhama Cutié, de sa fille aînée Camila Victoria qu’il a également baptisé l’année dernière, âgée aujourd’hui de 18 mois et de son beau-fils Christian Norton, entre autres, des parents, amis et plus de 100 paroissiens de son église, le révérend embrassa tendrement Alberto Felipe à côté des fonts baptismaux et l’a levé au-dessus de sa tête pour le montré à la congrégation.

Le Rev. Alberto Cutie lève son fils Alberto Felipe au-dessus de sa tête pour le montré à la congrégation

« Puisse cette lumière, la lumière de la foi et du baptême, le mener à la lumière qui ne finit jamais, à la lumière de la vie éternelle », a déclaré Cutié après avoir allumé les bougies qu’il a donné aux parrains et marraines de l’enfant : la sœur du “prêtre”, Alina Cutié Rodríguez ; le mari de celle-ci, Freddy Rodríguez ; les frère et sœur de Ruhama, Hermes Canellis et Ileana Canellis.

Le Rev. Alberto Cutie baptise son fils Alberto Felipe

Tous étaient heureux d’assister à ce dernier chapitre de la vie de Cutié, celui qui après avoir admis qu’il avait une liaison avec sa femme de maintenant, s’est détourné de l’Église catholique romaine (de l’église Conciliaire, bien sûr !) et a rejoint le siège Épiscopal avant de l’épouser en Juin 2009.

« Je suis heureuse et en paix », a déclaré un Ruhama souriante après la “messe”, qui a été suivie d’une petite réception à l’église, située au nord de Miami. « Aujourd’hui est un jour de nombreuses bénédictions. Nous sommes heureux. » a-t-elle dit.

Photos : Hector Torres & YAMPhotography ©

 

Happy end !

(Potins Cléricaux)

 

* * *

 

Ordonné “prêtre” de l’église conciliaire dans l’archidiocèse de Miami le 13 mai 1995 – donc totalement invalide depuis la réforme Pontificalis Romani du 18 juin 1968 – le Padre Alberto a reçu bien sûr, une formation somme toute conciliaire…où l’on voit que pour eux (Eux !) « toutes les religions sont des visages différent du même dieu » (1) ! Aussi, il n’est pas surprenant, pour eux  (Eux !) de passer d’une secte (qu’ils croient Église !) à l’autre pour des convenances personnelles.

Il a été officiellement reçu en tant que “prêtre” de l’église Épiscopale (totalement invalide également puisque Anglicane !) le 29 mai 2010 par “Mgr” Leo Frade dans le diocèse de Floride du Sud.

Cutié officiellement dans l'église Épiscopale le 29 mai 2010 par Leo Frade

 

 

 


[1] Selon l’église Conciliaire de France (Quel est le sens de l’œcuménisme ? – Eglise Catholique en France) :

« Dans le monde, les Chrétiens représentent une diversité. L’œcuménisme exprime la recherche de communion entre Protestants, Anglicans, Orthodoxes et Catholiques.

L’unité se construit :

– Par la prise de conscience de ce qui se vit de la foi reçue du Baptême dans chacune des confessions chrétiennes.

– Par la prière et l’appel à la conversion adressés à chaque communauté et à l’ensemble de leurs membres.

– Dans la recherche et la relecture patiente de l’histoire pour résoudre les problèmes de division.

En acceptant de légitimes divergences.

Ce dialogue dans le respect des différences reconnaît et permet d’accroître une réelle communion, entre tous les chrétiens (Protestants, Anglicans, Orthodoxes et Catholiques) qui partagent la même foi en Dieu, Père, Fils et Esprit et le Baptême d’eau. »

 

Et dans la pensée et le langage de nombreux conciliaires on trouve et on entend :

« N’attends pas que j’essaie de te prouver que ma religion (chrétienne) est la meilleure ! »

 

« Le Christianisme est-il vraiment une voie privilégiée pour aller à Dieu ? Les autres religions ne sont-elles pas également bonnes ? »

 

Un lobby sollicite papeFrançois pour qu’il rende le célibat des prêtres facultatif

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…Un lobby sollicite papeFrançois pour qu’il rende le célibat des “prêtres” catholiques [conciliaires] facultatif

 

Mariage des prêtres

Suite de la série d’articles sur Vatican d’Eux et la volonté farouche qu’ils [Eux] ont de mettre fin au “célibat des prêtres”… (enfin, ceux qui ne sont pas pédérastes ! quoi que ?!!!)

 

Troisième épisode, retour sur la copine de Bergo(go)glio, militante et lobbyiste pour l’abolition du célibat des prêtres.

 

(London Evening Post, 23 avril 2013)

Un lobby sollicite le “Pape” François pour qu’il rende le célibat des prêtres facultatif

 

 Clelia LuroClelia Luro montre une photo de son défunt mari, Jerónimo Podestá,
ancien évêque d’Avellaneda, à son domicile de Buenos Aires

 

Clelia Luro est en fauteuil roulant et porte le poids de ses quatre-vingt-sept ans, mais elle se sent la force d’obliger l’Église catholique romaine (l’église Conciliaire qui occupe Rome) à prêter attention à sa campagne pour qu’il soit mis fin au célibat des prêtres. Cette femme, dont l’histoire d’amour, puis le mariage avec un évêque (défroqué) avaient fait scandale durant les années soixante, est une amie intime du Pape François, qui l’appelait tous les dimanches quand il était le premier cardinal d’Argentine.

 

Clelia LuroLuro est persuadée que le Pape finira par faire en sorte d’amener l’Église universelle à en finir avec l’obligation du célibat sacerdotal, obligation que, selon elle, « le monde ne comprend plus ». Elle pense que cela pourra résoudre la pénurie mondiale de prêtres et convaincre les nombreux catholiques ne pratiquant plus de retourner à l’Église. « Je crois qu’en temps voulu, le célibat des prêtres deviendra facultatif », a-t-elle déclaré dans une interview recueillie par l’Associated Press chez elle, à Buenos Aires, à la suite d’une lettre ouverte qu’elle avait adressée au pape et dans laquelle elle exposait sa cause. « Je suis sûre que François le suggérera ».

 

Jean-Paul II, Benoît XVI et d’autres papes avant eux ont interdit toute discussion tendant à modifier la règle du célibat, et François n’a pas parlé de cette question depuis qu’il est devenu pape, le mois dernier. « Je ne vois pas comment cela pourrait faire le moins du monde partie de son programme », a déclaré le Père Robert Gahl, membre de l’Opus Dei et professeur de théologie morale à l’Université pontificale de la Sainte-Croix, à Rome. Pourtant, lorsqu’il était le Cardinal Bergoglio, il avait évoqué la question en des termes inspirant aux militants anti-célibat l’idée que le temps du changement était venu.

 

Sur la Terre comme au Ciel, Robert LaffontDans son livre « Sur la Terre comme au Ciel », publié l’an dernier, Bergoglio écrit : « Pour le moment, je suis favorable au maintien du célibat, avec ses avantages et ses inconvénients, parce qu’en dix siècles, il a produit plus de bons résultats que d’échecs. » Il précise cependant : « C’est une question de discipline, non de foi. Cela peut changer », et il ajoute que dans le Rite oriental de l’Église catholique, où le célibat est facultatif, il y a aussi de bons prêtres. Je crois en l'homme: Conversations avec Jorge Bergogli« Dans l’hypothèse où l’Église déciderait de revenir sur cette règle […] ce serait pour un motif culturel, comme dans le cas de l’Église d’Orient, où l’on ordonne des prêtres mariés » ; tels sont les propos qu’il a tenus dans « Le Pape François. Je crois en l’homme. Conversations avec Jorge Bergoglio », réédité le mois dernier par ses biographes agréés, Sergio Rubin et Francesca Ambrogetti.

 

 Clelia Luro et son mari Jerónimo Podestá, ex-évêque d’Avellaneda

Luro et son mari Jerónimo Podestá, ex-évêque d’Avellaneda, se sont sentis ostracisés par l’Église pendant de nombreuses années, mais selon elle, Bergoglio n’a pas hésité à leur apporter son soutien pastoral quand Podestá était hospitalisé, peu avant sa mort en 2000. Ils devinrent bons amis ensuite, au point que Bergoglio – raconte-t-elle – l’a appelée chaque dimanche au téléphone pendant douze ans, parlant souvent avec elle de la question du célibat, entre autres discussions portant sur toutes sortes de sujets brûlants. Luro a maintenant le sentiment que si les cardinaux ont élu un jésuite étranger au Vatican, qui s’emploie à étendre l’Église universelle et à réaffirmer l’attachement de celle-ci aux pauvres, cela montre qu’ils ont la volonté d’entreprendre de profonds changements afin d’enrayer l’exode des fidèles.

 

Le Père Thomas Reese, prêtre jésuite et professeur spécialiste du Vatican à l’Université de Georgetown, a déclaré que pour François, une première mesure pourrait consister à indiquer que rien ne s’oppose à l’ouverture d’un débat sur la question : « Selon le Vatican conduit par Jean-Paul et Benoît, certaines questions ne pouvaient simplement pas être abordées, et tout évêque qui en aurait parlé se serait exposé à des ennuis, de même que les théologiens qui auraient écrit à ce sujet. » Cela s’inscrit donc dans la question plus vaste de savoir dans quelle mesure le “Pape” François va autoriser de franches discussions au sein de l’Église. D’après Reese, « Ce serait exactement le genre de discussion franche que le Vatican n’aime pas », et il ajoute : « Dans leur esprit, les parents de doivent pas exposer leurs enfants à la confusion en discutant devant eux ».

 

Le Canon 277 du Code canonique [de 1983] est ainsi rédigé : « Les clercs sont tenus par l’obligation de garder la continence parfaite et perpétuelle à cause du Royaume des Cieux, et sont donc astreints au célibat, don particulier de Dieu par lequel les ministres sacrés peuvent s’unir plus facilement au Christ avec un cœur sans partage et s’adonner plus librement au service de Dieu et des hommes. »

 

Pourtant, le célibat sacerdotal n’est pas un dogme, une loi d’origine divine, c’est une tradition de l’Église catholique romaine ; or, si les dogmes ne peuvent changer, les traditions changent. « Nous sommes très enthousiastes et espérons vivement que François pourra renverser cette disposition canonique », a déclaré Guillermo Schefer, ancien prêtre qui copréside avec son épouse, Natalia Bertoldi, la Fédération latino-américaine des prêtres mariés. « Il importe que les prêtres puissent, eux aussi, opter pour le mariage et une vie de famille. Cela les aiderait à mieux s’intégrer aux laïcs. »

 

Dans le rite catholique oriental, les séminaristes déjà mariés peuvent ensuite être ordonnés prêtres ; en outre, certains “prêtres” anglicans mariés ont déjà été autorisé à se convertir au catholicisme romain (de l’église Conciliaire, bien sûr !) ; enfin, certains veufs ayant des enfants sont devenus prêtres de l’Église romaine (des laïcs de l’église Conciliaire ! puisque celle-ci n’a plus de sacrements valides tout comme l’église Anglicane…). Mais comme le note Gahl, aucune tradition catholique romaine n’autorise des hommes ayant déjà « épousé l’Église » à contracter ensuite un mariage. Selon lui, cela créerait des cœurs partagés, affaiblirait le dévouement sacerdotal des intéressés et irait tout à fait là l’encontre de ce que François a déclaré depuis qu’il est “pape” quant à la nécessité pour les prêtres de se refuser les plaisirs terrestres, dans la mesure où ils ont à répandre l’Évangile.

 

« Il prêche beaucoup dans ce sens chaque matin » au Vatican, souligne Gahl. Les partisans du célibat facultatif disent : « La prêtrise, c’est trop dur, pourquoi ne la rendons-nous pas plus facile ? » Mais le Pape, lui, déclare : « Si vous faites ce sacrifice, il vous apportera de la joie pure ». Ceux qui résistent au changement disent que le célibat a d’autres avantages, et non pas moins dans le domaine financier ( 😆 !!!) : imaginons que les quatre cent mille prêtres du monde entier aient chacun une famille, sans doute nombreuses compte tenu de l’interdiction de la contraception par l’Église. Les salaires relativement maigres des prêtres devraient subir instantanément un accroissement exponentiel.

 

Il n’en est pas moins vrai que des milliers de prêtres (prêtres oui, avant 1970…mais depuis, que des faux prêtres !) ont quitté leur ministère pour se marier et que beaucoup d’autres, surtout en Afrique et en Amérique latine, sont restés prêtres en ayant des relations féminines et des enfants. Bergoglio condamne cette pratique dans ses ouvrages. « Ce que je ne permettrai pas, c’est la double vie », a-t-il écrit. « S’il ne peut s’acquitter de son ministère, je lui demande de rester chez lui, je lui dis que nous sollicitons pour lui une dispense papale et qu’ainsi, il pourra recevoir le sacrement du mariage. »

 

Benoît a réaffirmé le caractère obligatoire du célibat en réaction à la croisade tumultueuse d’un archevêque africain marié qui fut excommunié après avoir défié le Vatican en sacrant évêques quatre hommes mariés. De son côté, le Cardinal brésilien Claudio Hummes, grand ami de Bergoglio, s’est retrouvé sur des charbons ardents après avoir déclaré que le célibat des prêtres n’était pas une question de droit divin dans une interview qu’il avait accordée à un journal en 2006 avant d’arriver à Rome pour s’occuper des prêtres du monde entier au sein du Vatican. Cela déclencha de telles spéculations sur la possibilité d’un changement que Hummes fut obligé de publier une longue déclaration réaffirmant l’obligation du célibat.

 

Msr Jerónimo José PodestáLuro était âgée de trente-neuf ans, séparée de son mari et mère de six enfants (femme adultère donc !!!) lorsqu’en 1966, elle fit la connaissance de Podestá, alors âgé de quarante-cinq ans. Il était déjà évêque et très engagé en faveur des causes sociales, puisqu’il prêchait la « théologie de la libération » dans le cadre du Mouvement des prêtres du tiers-monde. « Pour Jerónimo, j’étais la première femme », se rappelle-t-elle. Loin de cacher leur relation, ils la rendirent publique, et pour que soit supprimée l’obligation du célibat sacerdotal, ils lancèrent une campagne qui les amena aux portes du Vatican. Mais peu après, en 1967, le Pape Paul VI publia son encyclique « Sacerdotalis Caelibatus », dans laquelle il soutenait le maintien des vœux sacerdotaux de célibat perpétuel.

 

Luro déclare que les appels dominicaux de Bergoglio lui ont été d’un grand soutien. « Nous parlions de l’église, nous discutions. Je lui envoyais les écrits de Jerónimo ». Après être devenu François, il l’a appelée une nouvelle fois, dit-elle, mais par respect pour le “pape”, elle ne veut pas rapporter ce qu’il lui a dit.

 

 


 The Washington Post

Source originale : http://www.washingtonpost.com/world/europe/pope-francis-who-once-said-priestly-celibacy-could-change-is-lobbied-to-make-it-optional/2013/04/22/052869ec-ab65-11e2-9493-2ff3bf26c4b4_story_1.html

 

Source : http://www.thelondoneveningpost.com/europe/pope-francis-is-lobbied-to-make-priestly-celibacy-optional/
 

 

papeFrançois…et le célibat des “prêtres” catholiques [conciliaires]

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pape François…et le célibat des

 

“prêtres” catholiques [conciliaires]

 

Mariage des prêtres

Nous vous proposons une série d’articles, toujours sur Vatican d’Eux et la volonté farouche qu’ils [Eux] ont de mettre fin au “célibat des prêtres”… (enfin, ceux qui ne sont pas pédérastes ! quoi que ?!!!)

 

Premier épisode, l’amie de Bergo(go)glio, militante pour l’abolition du célibat des prêtres.

 

 

Texte original en espagnol : http://www.ambito.com/noticia.asp?id=680190

Traduction CatholicaPedia.net

Clelia Luro

Les relations de François avec une femme vivant publiquement dans le péché… et où François donne l’extrême-onction à un pêcheur public, évêque défroqué, sans que celui-ci ni sa “femme” n’aient en rien regretté leurs actions passées, et en particulier leur combat pour abolir le célibat des prêtres.

Combat que cette femme adultère mène toujours voir : http://www.associationofcatholicpriests.ie/2013/04/ex-bishops-widow-believes-pope-francis-will-make-celibacy-optional/

« “I think that in time priestly celibacy will become optional,” Luro said in an interview with The Associated Press in her home in Buenos Aires, after sending an open letter to the pope stating her case. “I’m sure that Francis will suggest it.”

(Je suis sûre que le célibat des prêtres deviendra un jour optionnel, a dit Luro dans une interview avec The Associated Press depuis sa maison de Buenos Aires, après avoir envoyé une lettre ouverte au pape à ce sujet. « Je suis sûre que François va le suggérer »)

 

* * *

 

 

Le “Pape” François nouveau est arrivé !

 

« Bergoglio est un homme de gestes »

                                                 par Clelia Luro

 

Clelia Luro, veuve de monseigneur Jerónimo Podestá et amie du cardinal Bergoglio, s’entretenait tous les dimanches avec celui-ci au téléphone, ce qu’elle a fait également le dernier dimanche avant qu’il ne parte pour Rome. Lors d’une interview téléphonique diffusée dans le cadre de l’émission Coincidencias, animée par Enrique Llamas de Madariaga, elle raconte que Jerónimo Podestá a reçu l’extrême-onction de Bergoglio et que c’est ainsi qu’a commencé son amitié avec le futur Pape. Elle met en doute qu’une « main cachée » ait cherché à séparer le cardinal Bergoglio de l’Église et du gouvernement (des Kirchner). Rappelons que Clelia Luro, âgée [alors] de trente-neuf ans, séparée de son mari et mère de six filles, fit la connaissance en 1966 de Mgr Jerónimo José PodestáMonseigneur Jerónimo José Podestá, évêque d’Avellaneda (Argentine), âgé à l’époque de quarante-cinq ans. Commença alors entre eux une relation sentimentale qui, en 1967, força le prélat de renoncer à l’épiscopat. En 1972, il fut réduit à l’état laïc et épousa Clelia. Il avait eu comme compagnons de promotion les évêques Eduardo Pirinio, Antonio Quarracino et aussi Raúl Primatesta. Podestá a toujours été un ecclésiastique très engagé dans l’action sociale, ce qui lui valut de devoir s’exiler en 1974 sous la menace de l’Alliance Anticommuniste Argentine (dite Triple A), car le gouvernement militaire de Juan Carlos Onganía le tenait pour « le principal ennemi de la Révolution ». Il retourna en Argentine en 1983 et y vécut jusqu’à sa mort, en 2000. Podestá fut président de la Fédération latino-américaine des prêtres mariés, organisation qui représente environ cent cinquante mille prêtres.

 

 

Clelia Luro

Clelia Luro montre une photo d’elle avec son défunt mari, Jeronimo Podesta, ancien évêque d’Avellaneda, à son domicile de Buenos Aires

 

 

Voici quelques moments saillants de l’interview :

 

          Q. : Que pouvez-nous nous dire du Pape François 1er ?

 

R. : Je suis émue. Je pense à Cristina (1) et à Bergoglio… Combien nous avons lutté ! Moi du moins contre la presse, contre ceux qui voulaient séparer le gouvernement de l’Église, moi qui ai tant parlé de Cristina avec Bergoglio. Et maintenant, je les vois qui s’embrassent, cela m’émeut énormément ! Un mois avant de mourir, Jerónimo (Podestá) me dit : « Clelia, je vais aller parler au cardinal ». Et moi, je lui demandai : « Pourquoi y vas-tu si Quarracino n’a pas voulu te recevoir ? » Il me répondit : « Mais celui-ci n’est pas Quarracino, c’est un jésuite très intelligent qui va m’écouter ». Il y alla et y resta deux heures. Il revient très content et me dit : « C’est un homme très intelligent, très ouvert, crois-le bien ». À part cela, l’Église ne s’est pas occupée de Jerónimo, même pas les prêtres du tiers monde, qui l’on plutôt évité. En revanche, quand Bergoglio apprit qu’il était hospitalisé, il m’appela au téléphone et me demanda s’il pouvait lui téléphoner. Je lui répondis : « Bien sûr, il en sera heureux ! » Je lui dis alors qu’il se trouvait au sanatorium San Camilo, et il alla s’y entretenir avec lui. Quand on emmena Jerónimo pour lui administrer une thérapie, Bergoglio accordait une audience. La religieuse l’ayant informé de cette thérapie, Bergoglio mit fin à l’audience et s’en fut à San Camilo. Il dit à Jerónimo : « Je t’apporte l’extrême-onction pour que tu te lèves ». Jerónimo était déjà dans le coma. « Il a dit quelque chose ? », lui demandé-je, et il me répondit : « Non, Clelia, il m’a juste serré très fort la main ». Je sais ce que cela a signifié pour Jerónimo, alors qu’il souffrait, que Bergoglio soit venu le voir. Ensuite, Bergoglio a dit aux religieuses : « Ne faites pas sortir Clelia de la salle de soins, laissez-la jusqu’au bout » ; car on ne me laissait que quinze minutes, pas plus. Bergoglio me dit : « ne quittez par Jerónimo jusqu’à ce qu’il s’en aille », et j’ai pu rester encore trois jours avec lui. C’est de là qu’est née ma reconnaissance, l’affection que j’ai pour Bergoglio. Plus que tout, c’est un homme de gestes, et ce sont les gestes qui font croire. Avec les paroles, on peut dire de belles choses, mais l’important, c’est ce qu’on fait. Bergoglio est un homme de gestes et de paroles, mais c’est par les gestes qu’il manifeste ce qu’il est vraiment.

 

 

          Q. : Comment l’avez-vous perçu durant ces premiers jours de son pontificat ?

 

R. : Au Vatican, il se manifeste déjà par plusieurs attitudes bien à lui. Il n’a pas encore parlé des problèmes actuels, qui sont nombreux et épineux. Il n’avait aucune intention de devenir Pape, il avait même déjà renoncé à faire partie de la Curie du fait de son âge, mais Benoît XVI n’avait pas accepté sa démission. Quand il a pris congé de moi dimanche, avant de prendre l’avion le lendemain pour Rome, je lui dis : « Tu ne reviendras pas », et lui me répondit : « Tu es une mauvaise sorcière ». Je lui rétorquai : « Non, je t’assure, je ne sais pas pourquoi, mais j’ai le pressentiment que tu vas rester là-bas ; la dernière fois, tu t’es dérobé, mais cette fois, tu ne pourras pas ». Et il me répondit : « Je le sais bien, Clelia… » Quand on nous a montré la fumée noire, j’ai dit : « Ils n’arrivent pas à se mettre d’accord, alors c’est Bergoglio qui va sortir », et c’est ce qui s’est passé.

 

          Q. : Un cardinal primat reçoit un évêque marié et son épouse, et il s’entretient avec eux. Sommes-nous devant une Église en révolution ?

 

R. : Après la mort de Jerónimo, douze ans durant, Bergoglio m’a appelée tous les dimanches, sans y manquer une seule fois, et nous causions pendant une quarantaine de minutes. Et il me disait en riant : « Jerónimo t’a laissée pour que tu m’aides à réfléchir ». C’est ainsi que je l’ai connu, après avoir beaucoup lutté contre la presse à cause d’une maudite mouvance qui voulait toujours provoquer l’affrontement entre le Cardinal et l’Église, ainsi qu’entre les Kirchner et le Cardinal. Ce fut très difficile à vivre, parce que la plupart du temps, tout ça était faux. Je me souviens que quand il y avait déjà eu des problèmes avec l’Église, le Président Perón avait dit à Jerónimo que c’était du fait de la CIA. Je voyais une main cachée derrière cette volonté de détruire et d’opposer l’Église au gouvernement.

 

          Q. : Mais cette main cachée tient bon, à présent, elle a des journaux…

 

R. : Et c’est pourquoi elle continue à vouloir détruire, bien que Bergoglio ait été élu Pape. Ces gens ont fait des choses dont j’ai honte en tant qu’Argentine ; par exemple, ils continuent à ressortir l’histoire des deux prêtres (2), qui est fausse. Je ne sais pourquoi ils n’achètent pas le livre “Le Jésuite” dans lequel Bergoglio raconte les choses telles qu’elles se sont passées, ni pourquoi ils n’écoutent pas Alicia Oliveira qui l’accompagnait quand ils allèrent parler à Massera pour faire sortir ces deux prêtres du pays. Bergoglio était incapable de livrer les deux prêtres aux militaires, et il a même aidé alors beaucoup de personnes persécutées en les cachant au Colegio Máximo.

 

          Q. : Même Pérez Esquivel l’a défendu…

 

R. : Oui, lui également l’a défendu, et aussi Zaffaroni, qui le connaissait. Mais il est difficile de se laver d’une calomnie ou d’une malveillance. Bergoglio m’a dit : « Ne t’en fais pas, Clelia, ces choses-là meurent toutes seules ». Moi, je lui ai demandé : « Pourquoi ces prêtres ne te défendent-ils pas ? » Et il m’a répondu : « Parce que je leur ai demandé de ne pas se mêler de tout ça, de ne pas jouer avec ça, car cela n’aurait alors plus de fin ; les racontars finissent par s’éteindre d’eux-mêmes. » Pourtant, il semble que tel n’est pas le cas, et cela reste lancinant.

 

          Q. : Comment imaginez-vous son pontificat ?

 

R. : Il sera comme celui de Jean XXIII. Bergoglio est très proche de Vatican II, et il a commencé à le montrer. Dans Vatican II, l’une des questions discutées était « L’Église et le peuple de Dieu », et sur le balcon du Vatican, avant de donner sa bénédiction au peuple, il lui a demandé la sienne. Ensuite, il a parlé de la liberté de conscience, qui fait aussi partie de Vatican II, mais qui a été occultée, parce que le Pape précédent a imposé silence à son sujet. Cela va être un bouleversement au sein de l’Église, un printemps pour tous ceux qui pensent comme nous.

 

 

 


[1] NdT : Cristina Kirchner, actuelle Présidente de l’Argentine, qui a succédé à son mari après la mort de celui-ci.

[2] NdT : Enlevés par la Junte militaire au pouvoir en Argentine de 1976 à 1981 (celle-ci ayant à sa tête Jorge Rafael Videla et Emilio Eduardo Massera). Dans ce pays, certains accusent aujourd’hui Bergoglio de s’être fait le complice de leur enlèvement à l’époque et, d’une manière générale, d’avoir collaboré avec la junte.