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TOUTE LA VERITÉ SUR MARTHE ROBIN MYSTIQUE D’APOCALYPSE
Du nouveau sur Marthe Robin ! confirmation d’une escroquerie ?
Nous avons déjà eu l’occasion de vous mettre en garde et de vous dire ce que nous pensions de la supercherie “Marthe Robin”…
Marthe Robin, Fausse Mystique :
Que faut-il penser des Foyers de Charité ?
Et Louis-Hubert Remy nous a aussi apporté son témoignage sur Marthe Robin puisqu’il fut entendu 2h30 environ par la commission qui s’occupait du procès de béatification de Marthe Robin :
LHR : Mon témoignage sur Marthe Robin
Rappel :
Mon témoignage sur Marthe Robin
Louis-Hubert REMY
À la demande d’un ami à qui j’avais confié ce que je savais de Marthe Robin, je me décide à donner ce témoignage public suite à la décision romaine conciliaire de la déclarer vénérable.
(…)
3° Le Procès de Canonisation
Ayant bien connu Mgr Bouvier, dans les années 80, je lui fis part de ces réflexions. Il m’invita peu avant Noël 1994, à être entendu par la commission qui s’occupait du procès de béatification de Marthe Robin, ayant été nommé promoteur de justice, autrefois appelé avocat du diable.
Je fus entendu 2h30 environ, par Mgr Lebourgeois, archevêque émérite d’Autun qui présidait, par le RP Charbel, notaire de la commission, et par Mgr Bouvier, promoteur de justice (et qui était alors le n° 2 de la Rote). Mgr Bouvier vit toujours.
J’avais beaucoup prié et médité, lisant avec attention quelques livres sur la théologie mystique (Tanquerey, Ribet, Bizouard, Mirville, Gougenot entre autres). Je savais la gravité de mes propos et m’étais abandonné à la Providence pour répondre. Mes réflexions m’avaient amené à conclure que Marthe Robin ne pouvait être de Dieu à cause des fruits qu’elle avait engendrés, à savoir l’œcuménisme et le charismatisme, supportant la révolution conciliaire.
Pendant 2h30 environ, on me posa quelques 80 questions. C’est remarquablement bien fait pour juger et de la qualité du témoin et de la qualité de ses réponses.
Au bout d’une heure environ, Mgr Lebourgeois, à l’étonnement de ses deux confrères, fit une grosse colère, me disant : c’est inadmissible et insupportable ce que vous dites ; on arrête tout ! Je ne savais pas qu’il était alors un des principaux apôtres de l’œcuménisme.
Je lui répondis : vous voulez qu’on arrête, eh bien arrêtons-nous, mais vous savez que ce que je dis est vrai et la vérité s’imposera un jour ; dans 10 ans, dans 50 ans, mais elle s’imposera.
Mgr Bouvier intervint et dit à Mgr Lebourgeois : Excellence, nous étions à la 28ème question, puis-je poser la 29ème question au témoin ? Et l’on continua.
Une demi-heure après, nouvel incident. J’expliquais que les sacrements institués par Notre-Seigneur Jésus-Christ entre la Résurrection et l’Ascension ne pouvaient être changés. Et Mgr Lebourgeois de répondre, à l’étonnement là encore de ses deux confrères : mais alors la messe que je dis est invalide ?
J’aurais dû répondre : la mienne (celle de toujours) est valide et cela suffit ! Mais je m’attardais à essayer de lui prouver l’invalidité, sans résultat. Ma seule satisfaction avait été de découvrir que j’avais pu déstabiliser un évêque sur ce sujet.
À la fin de l’entretien ils me posèrent la dernière question : alors pour vous qui est Marthe Robin ? Je leur répondis : ce n’est pas à moi d’y répondre, mais à vous. Ce n’est pas de ma compétence mais de la vôtre. Pour moi je ne peux que dire que les fruits sont mauvais.
Aux environs de Pâques, Mgr Bouvier m’appela de Rome pour me dire : la commission a décidé de tout arrêter, mais je veux que votre témoignage soit inattaquable. Il avait vérifié toutes les références et tous les auteurs que j’avais cités, mais comme j’avais fait quelques lapsus, il voulait contrôler.
Je lui avais conseillé d’inviter Mlle Michèle Reboul, qui, ayant été secrétaire et confidente de Jean Guitton, avait des choses à dire. C’est ce qu’il fit, non pas en la faisant écouter par la commission mais en lui demandant un mémoire. Ayant eu Michèle ces derniers jours, elle m’envoya l’eMail suivant :
Venons en maintenant aux dernières révélations (qui ne sont pas récentes mais datent tout de même de bientôt 10 ans…) parues en 2006 dans le livre « Vie De Marthe Robin » de Bernard Peyrous.
Une biographie réalisée par le postulateur de sa cause, le Père Bernard Peyrous, prêtre de “l’Emmanuel”, et la vice-postulatrice, Marie Thérèse Gille, membre des “Foyers de charité”. Cette biographie de 400 pages : Vie de Marthe Robin, publiée en 2006, est un ouvrage de référence. On peut bien sûr signaler ses lacunes, ses omissions calculées, on peut s’étonner du portrait d’une Marthe Robin « loin des excès prêtés aux mystiques », « désarmante de simplicité », qu’elle veut nous imposer, mais on ne peut pas récuser les faits nouveaux qu’elle révèle sous prétexte que ses auteurs ne citent pas leurs sources. Si le postulateur ne les mentionne pas, c’est qu’en 2006 le dossier est encore à l’étude, couvert par le secret pontifical.
C’est le frère Philippe de la Face de Dieu de « La Contre-Réforme Catholique » (CRC) qui nous le révèle dans leur bulletin N° 150 – Avril 2015 – puisque nous n’avions pas lu l’ouvrage de Bernard Peyrous à l’époque de sa sortie…
Du nouveau sur Marthe Robin ! confirmation d’une escroquerie ?
* * *
Toute la Vérité sur Marthe Robin,
Mystère d’Apocalypse
Les bons prêtres…“missionnaires” versaillais de la F$$PX
Les bons prêtres…“missionnaires” versaillais de la F$$PX
« Le Saint Vincent » est le bulletin du prieuré de Versailles de la FSSPX. Des plumes élégantes et érudites s’y distinguent et ornent le dit bulletin de signatures à particules (nobiliaires ou non) : abbés de Lacoste, de Beaunay, de Crécy… Il y a même un Abbé Xavier Lefebvre !!!
M. l’abbé Bernard de Lacoste-Lareymondie est aumônier des routiers et scouts ainsi que Prieur-Directeur de l’école Saint Bernard.
Nous sommes donc dans le beau monde de la tradition, versaillaise et dorée sur tranche ; il suffit pour s’en convaincre d’admirer les dons offerts aux jeunes prêtres par les fidèles : calices et ciboires en orfèvrerie, etc…
Dans un tout récent éditorial, M. l’Abbé de Lacoste nous gratifie d’affirmations et de constatations qui valent leur pesant……
1/ la crise de l’Église se prolonge : nous ne l’aurions sans doute pas cru si M. l’Abbé n’avait pas eu la bonté de nous le rappeler !!!
2/ synode et béatification de Paul VI ne rendent pas optimistes : ma foi, on le serait à beaucoup moins M. l’Abbé !!! vous êtes taquin !……
3/ seulement voilà, l’Abbé nous délivre, tel un secret, le véritable artisan de tous nos maux : la lassitude !!! mais oui ! car elle mène au découragement et à l’abandon de la lutte.
4/ ensuite notre abbé se livre à une courte mais percutante analyse, prenant en quelque sorte à partie Satan qui est « fin psychologue » et pousse prêtres et fidèles à une lente trahison. Le mot est lâché ! Merci Monsieur l’Abbé ! Encore eut-il fallu définir avec précision en quoi consiste cette trahison des clercs…mais là on reste un peu sur notre faim !
5/ pour l’Abbé résister demande non seulement l’intelligence pour distinguer les « erreurs » mais requiert une « force peu commune ». On objectera à l’Abbé que la foi est à la portée de toutes les âmes pourvu qu’elles acceptent de soumettre leur intelligence, leur volonté et leur cœur à la grâce divine et fassent preuve non pas d’une force peu commune mais d’une humilité à toute épreuve, ce qui n’est pas tout à fait la même chose…
6/ après un rappel que « Dieu reste le maître des événements », l’Abbé de Lacoste en arrive à la conclusion tant attendue de ses lecteurs qui, par définition, sont désemparés car bien peu d’entre eux possèdent cette « force peu commune »…
7/ le pape ne serait plus le pape ? Horreur et stupéfaction !!! L’Abbé a osé ! Même si ce n’est qu’une hypothèse, iconoclaste certes (surtout à Versailles, siège de la monarchie absolue) il lui faut vite la réduire à néant pour l’empêcher de nuire… Alors l’Abbé emploie et prononce un mot très fort, de ceux qui n’appellent aucune répartie, aucune objection ; telle une arme de destruction massive, notre Abbé répond d’un mot : NULLEMENT. L’Abbé a parlé, la cause est entendue !
8/ l’enchainement logique de ce mot magique « NULLEMENT » ne se fait pas attendre… Avec une onction et une réticence toute versaillaise notre bon abbé nous déclare qu’il aimerait bien adopter (sic !) la position d’obéir au Pape (avec “P” majuscule puisque « nullement » !). Admirable conditionnel clérical !!!
9/ Nous tenons enfin notre « trahison » que l’Abbé avec une emphase toute jésuitique nous délivre presque comme à regret : ce serait donc trahir que d’obéir à ce Pape et d’accepter son enseignement ! Voilà ! le tour est joué et c’est avec un panache digne du roi soleil que l’Abbé vient de nous résumer toute l’impasse que représente la Fraternité.
10/ Mais venons-en au remède, car que faut-il faire, selon l’Abbé, pour garder le cap ? Je vous le donne en mille : étudier la doctrine catholique…dans nos prieurés !!!
11/ Et pour finir, l’Abbé en appelle à la charité missionnaire tout en invoquant la Sainte Vierge afin de répondre aux critiques non par le mépris mais par cette profonde charité dite missionnaire. Qui l’eut cru ? Nos anciens missionnaires ont-ils incité leurs ouailles à ne pas obéir au Pape ? Cela mériterait de compétentes recherches tout au long des siècles de l’histoire de l’Église…… Je ne sais pourquoi mais j’ai comme un petit doute…
Dormez tranquilles, chers versaillais, vous avez de bons prêtres…missionnaires !!!
Abbé Bernard de Lacoste, fsspx – Le Saint Vincent] Se décourager dans la crise?
SOURCE – Abbé Bernard de Lacoste, fsspx – Le Saint Vincent (éditorial) – décembre 2014
La crise de l’Église se prolonge. Le synode sur la famille et la béatification de Paul VI ne peuvent guère nous rendre optimistes. Face au drame que nous vivons, un danger nous menace : la lassitude, qui peut conduire au découragement et finalement à l’abandon de la lutte. Le démon, fin psychologue, pousse les âmes des prêtres comme des fidèles à cette trahison progressive. D’autres plus forts que nous ont lâché. Et nous, tiendrons nous bon jusqu’au bout ? Celui qui persévèrera jusqu’à la fin sera sauvé, dit Notre-Seigneur. Alors courage ! Il faut ramer continuellement à contre-courant, alors que nos contemporains se laissent entraîner par le courant. Il faut résister dans notre intelligence à toutes les erreurs, dans notre volonté à toutes les immoralités, et cela demande une force peu commune. D’où la défaillance de plusieurs.
Au milieu de cette mystérieuse obscurité, une vérité reste certaine et lumineuse : Dieu reste le maître des événements. Le mal n’existe que dans la mesure où Dieu le permet. Les ennemis de l’Église tiennent du Créateur leur existence et leur pouvoir de nuire. Nous savons aussi que la sagesse divine ne permet le mal que pour un plus grand bien. Ceci étant rappelé, le mystère de la situation actuelle n’est pas levé. Les erreurs continuent de se répandre, la morale continue d’être ébranlée par ceux-là mêmes qui sont chargés par le Christ d’en rappeler les exigences.
Que conclure ? Que le pape n’est plus le pape ? Nullement. Qu’il faut se taire et accepter docilement ce que nous enseigne le pape François ? Nous aimerions avoir le droit d’adopter cette position. En temps normal, cette simple question aurait choqué, tant la réponse doit être évidente. Mais aujourd’hui, répondre positivement à cette interrogation est une trahison. Par fidélité à Notre-Seigneur et à la sainte Église romaine qu’il a fondée, nous avons le devoir de croire sans défaillance à tous les dogmes catholiques et de suivre sans compromission la morale catholique. Prêtres et pasteurs d’âmes, nous avons le devoir de prêcher la vérité à temps et à contretemps, surtout si cette vérité n’est plus enseignée à Rome. Chers fidèles, vous garderez le cap si votre piété est solide et si vous étudiez régulièrement la doctrine catholique. Les conférences mensuelles au prieuré ont pour but de vous y aider.
Et si notre prochain nous critique, nous méprise ou nous calomnie pour le combat que nous menons, alors que la sainte Vierge Marie nous aide à répondre à ces attaques non par le mépris, mais avec une profonde charité missionnaire.
Abbé Bernard de Lacoste +
Source TradiNews : http://tradinews.blogspot.fr/2014/12/abbe-bernard-de-lacoste-fsspx-le-saint.html
Marthe Robin déclarée « vénérable » de la secte Conciliaire
Nous vous avions mis en garde contre les « Fausses Mystiques : Sœur Faustine… Marthe Robin… Maria Valtorta… Même Combat ! (pour l’œuvre Satanesque) »…
Parmi celles-ci, Marthe Robin dont la “sainteté” (!!!) était à l’étude dans son diocèse (conciliaire) d’origine… depuis une trentaine d’années vient de franchir la « première étape » de par la volonté insatiable des « EUX » de canoniser tout ce qui est de Vatican d’Eux…
Rendez-vous compte, comme avoué par ZENIT :
« À 31 ans, elle reçoit du Christ (!!!) la demande de créer une nouvelle œuvre, « les Foyers de Charité », qui participeront au renouvellement de l’Église dans l’esprit du futur Concile Vatican II. Ils seront fondés en 1936 avec l’aide d’un prêtre, le P. Georges Finet. »
Louis-Hubert Remy ayant été écouté le dernier (avant le blocage de la procédure pendant de nombreuses années), par la commission pour la “canonisation” de Marthe Robin, nous racontera certainement ce qu’il a vécu…
En attendant, voici l’annonce de l’événement par l’agence conciliaire ZENIT (le langage est bien sûr faussé par la secte conciliaire qui se fait passer pour l’Église catholique qu’elle l’éclipse aux yeux du Monde…) :
Lecture et Tradition, juin 2014
Lecture et Tradition
Nouvelle série, n° 38, juin 2014
L’équipe de Lecture et Tradition, par deux de ses plus anciens collaborateurs, vient, lors de son dernier numéro consacré à la présentation de deux livres sur le Concile, de prendre des positions qui seront « l’objet de quelques désaccords ou de virulentes désapprobations ».
Nos positions sont connues. Elles sont autrement précises. Quand Jean-Baptiste Geffroy (JBG), repris par Jérôme Seguin (JS), parle de “bourbier conciliaire” cette image me paraît bien insuffisante. De plus, pour un catholique habitué à un vocabulaire très strict, elle ne veut rien dire. C’est ce qui nous différencie.
De même parler de « 50 années de délabrement » c’est minimiser une situation bien plus grave. On a vu se mettre en place une destruction systématique des “sacrements”, des catéchismes, des dogmes, des missions, des séminaires, des bibliothèques, etc., etc. en un mot : de tout. On voit le résultat 50 ans après : des séminaires vides, des églises vides, des dizaines de milliers de “prêtres” défroqués (1), une chrétienté dans un état déplorable, une haine de ʺla Foi de toujoursʺ. Dernier exemple, le diocèse de Poitiers supprime 604 paroisses pour n’en retenir que 28 sur les deux départements de la Vienne et des Deux-Sèvres. On a retenu le nom de saint Jean XXIII pour une de ces paroisses mais pas celui de saint Hilaire (2).
C’est beaucoup plus qu’un délabrement, c’est une démolition, une destruction, un massacre, un carnage, pour une mort voulue, obstinément voulue. C’est le fruit de démons menteurs, de démons tueurs, d’ennemis irréductibles qui ont apparemment réussi à faire disparaitre la Sainte Église de Dieu !
“La” Montini, “Paul VI”, le pédo-criminel…
béatifié pour confirmer Vatican II
2014-05-10 Radio Vatican :
L’antipape – anti-Christ – Paul VI, à la tête de l’église [secte] Conciliaire de 1963 à 1978, sera béatifié le 19 octobre prochain…
Ce que nous subodorions et/ou sachions depuis très longtemps…
Laurent Glauzy nous le confirme dans deux documents intéressants sur la tribu pédo-criminelle « sabatéïste » de « haut vol » ayant (eu) ses quartiers au sein du Vatican :
Paul VI, le pédo-criminel : révélations d’un ancien agent des services de renseignement du Vatican
par Laurent Glauzy
Posté le Dimanche 27 avril 2014 | Vatican, par Laurent Glauzy
À l’heure où la « Synagogue de Satan » propose la canonisation de Jean XXIII et de Jean-Paul II, il est nécessaire de comprendre que Rome ou Vatican II n’est pas l’Église de Notre Seigneur Jésus-Christ (Saïd Issa) mais un refuge de Francs-maçons et de pédophiles. Par conséquent, toutes ses canonisations n’ont aucune valeur. Elles sont nulles. L’Église a besoin des conversions pour retrouver sa Gloire.
Les écrits qui vont suivre sont tirés de Don Luigi Villa qui fit l’objet de six tentatives d’attentat quand Paul VI devint pape.
Don Luigi Villa, le « fils spirituel » de Padre Pio, est décédé le 18 novembre 2012, à l’âge de 94 ans. Prêtre originaire du nord de l’Italie, docteur en théologie, il fut directeur-fondateur du mensuel Chiesa Viva, paru la première fois en septembre 1971. En 1956, l’abbé Villa rencontra Padre Pio à San Giovanni Rotondo. Le « prêtre aux stigmates du Christ » lui demanda de se consacrer à la défense de l’Église contre la Franc-maçonnerie. Le pape Pie XII approuva la mission. L’abbé Villa fut placé sous la direction des cardinaux Alfredo Ottaviani, préfet du Saint-Office, Pietro Parente et Pietro Palazzini. Ces hommes d’Église de grande intégrité morale devaient communiquer de nombreux secrets à l’abbé Villa remplissant la fonction d’agent de renseignement contre les loges.
Le 21 juin 1963, le Cardinal Montini, contre lequel Padre Pio et le Cardinal Ottaviani avaient mis en garde l’abbé Villa, fut élu Pape, sous le nom de Paul VI. Luigi Villa qui était d’un courage sans pareil, décrivit les origines juives de ce “pape”, et publia des photographies inédites de la tombe de sa mère Judith Montini, née Aghitsi, ornée de représentations maçonniques. Don Luigi Villa qui, en outre, n’hésitait pas à afficher des positions révisionnistes, mena son dernier et plus long combat contre la béatification de Paul VI.
C’est en hommage à ce prêtre particulièrement courageux que ce dossier est proposé à partir des travaux qu’il livra dans sa trilogie contre Montini : Paolo VI. Beato ? (Paul VI. Bienheureux ?), Paolo VI. Processo a un Papa (Paul VI. Procès à un pape), La Nuova Chiesa di Paolo VI (La nouvelle Église de Paul VI) et de la parution de Chiesa Viva d’avril 2013 s’appuyant sur des témoignages d’auteurs et des enquêtes personnelles.