Archive for the ‘Sodome et Gomorrhe’ Category
“COMING OUT” au Vatican !!!
“Coming Out” au Vatican !!!
Les faux prêtres de la secte tombent les masques…. et c’est très bien !
Chers amis lecteurs,
J’ai beaucoup hésité à parler de ce sujet très délicat qui heurte la pudeur tout autant que la foi des fidèles que nous sommes ou tentons du moins d’être, avec la grâce de Dieu, dans ce monde si chaotique et inversé. Car en parler en tant que personne privée, hors du cadre très normé de la morale et de ses condamnations sans appel, risque de faire naître chez certaines âmes sensibles ou suspicieuses des réactions quelque peu …diversifiées ! On verra bien !
D’éminentes personnalités laïques ou religieuses, y compris dans nos rangs, ont rappelé toutes les condamnations multiséculaires des personnes qui se livrent sans vergogne et sans retenue à ce qu’il faut bien nommer un vice contre-nature. Le rôle modeste que je me suis imparti ici n’est donc pas de rappeler une énième fois toutes ces condamnations, mais de tenter d’aborder ce problème sous un éclairage spécifique et propre à parvenir à expliquer à toutes les âmes de bonne volonté ce qui fait l’un des fonds du problème.
Certes nous sommes en principe entre adultes et aucun sujet ne doit rester secret (j’ai volontairement écarté le terme “tabou” !) tant que l’éclairage qu’on en donne reste « ad majorem Dei gloriam » et dans la voie étroite d’une charité bien comprise. Tout ce qui touche au plus intime de l’âme et du cœur humain suscite des remous secrets qu’on ne saurait trop manier avec la plus grande précaution.
Pour entrer dans le vif du sujet et faire comprendre à mes lecteurs l’une des nombreuses composantes du problème, je suis bien conscient de m’adresser à des lecteurs très majoritairement respectueux des condamnations de l’Église et aussi très majoritairement “hétérosexuels” dans leur choix de vie et le témoignage de leur existence qu’ils veulent conformes à la loi naturelle, tout simplement.
N’étant pas complètement naïf, je suis également conscient qu’il se trouvera peut-être parmi mes lecteurs quelques rares personnes qui ne se reconnaîtront pas dans cette majorité naturelle, voulue par Dieu, parce qu’elles feront partie d’une minorité infime qui aura plutôt tendance à se définir comme invertie ou pour le moins comme étant sujette à des pensées ou tendances qualifiées de vicieuses car contre-nature. Que l’on me suive bien : il m’importe peu de me poser la question de savoir si ces personnes très minoritaires ont construit leur vie affective sur un énorme déni ou si elles ont pris le problème à bras le corps en adoptant autant que faire se peut les remèdes spirituels et surnaturels recommandés par l’Église.
On juge l’arbre à ses fruits ! Que de mariages ratés ou bradés même au bout de plusieurs décennies sans que le commun des mortels ne devine ce qui a motivé la rupture. Il arrive souvent, et j’en ai lu des témoignages, qu’une jeunesse dissipée refleurisse beaucoup plus tard sur une terre ingrate et empoisonnée car trop longtemps négligée… L’on m’objectera que les personnes normales divorcent aussi à tour de bras et/ou se séparent à tour de bras ! L’objection n’est ni sérieuse ni honnête. Dans ce premier cas, il y a adultère, comportement pervers (avec ou sans enfants) ou grave incompatibilité d’humeurs susceptibles de motiver séparation ou divorce (rassurons-nous plus pour longtemps puisque François Zéro est plutôt pour la nullité du mariage !!!). En ce cas qui fait les frais de cet état des choses ? La morale religieuse…et les enfants !!!
Alors que dans le second cas, même si les raisons apparentes peuvent éventuellement paraître les mêmes (“adultère gay” (!), incompatibilité d’humeur, perversions diverses, etc…) la causalité profonde, c’est à dire la déviance originelle, n’est évidemment pas de même nature que dans le cas d’un couple classique ! On peut aussi dire que tous les invertis n’ont ni “vocation” au “mariage” (“gay” c’est à dire blasphématoire) ni à la “vie apairée”, pour reprendre un lexique plus conforme à la réalité et à la morale !…
Car le problème n’est pas celui de leur tendance, qui ne regarde que leur for interne, ou de leurs chutes, qui ne regardent que leur confesseur (sauf s’il y a scandale public !), mais celui de savoir si ces personnes ont assez de pudeur chrétienne pour garder en elles-mêmes un secret de bon aloi, dont les vertus sont évidentes à tout catholique digne de ce nom. D’aucuns viendront m’opposer peut-être qu’un secret dans le domaine psycho-affectif est à même de générer moult dérèglements, complexes, frustrations et atteintes neuro-physiologiques. Ben voyons !
Me refusant à entrer dans des domaines piégés comme la psychanalyse ou la psychologie, je répondrai que l’humanité a toujours vécu avec bien des frustrations de toutes sortes, conséquences du péché originel, et que le pourcentage des personnes “atteintes” a toujours été bien inférieur à l’intérêt général qu’ont eu toutes les sociétés raisonnables à défendre la loi naturelle et l’ordre social garant de la survie de l’espèce. La société chrétienne ayant parvenu malgré bien des fluctuations à un équilibre relativement satisfaisant pour le plus grand nombre.
Le politique laïque et révolutionnaire ayant généré le phénomène du communautarisme, les invertis les plus radicaux n’ont pas échappé à cette volonté subversive de reconnaissance de leurs soi-disant droits par une société politique elle-même déliquescente…
Ainsi, le secret multiséculaire, individuel et collectif, a-t-il été de plus en plus banni par les porteurs officiels de la conscience “gay” et remplacé par des bannières arc-en-ciel, symbole visible d’une transmutation-inversion quasi-totale : l’impudeur avait cédé la place à la pudeur !!! La « fierté gay » avait remplacé la honte de se savoir démasqué ! La nouvelle église néo-catholique n’échapperait pas non plus à cette formidable mutation.
Qu’on me permette alors une légère digression métaphysico-religieuse : le cloaque d’impureté décrit à La Salette qualifie d’abord, n’en doutons pas, le pourrissement intellectuel et doctrinal des prêtres de Jésus-Christ, accompagné, de temps à autre, par un pourrissement au niveau des mœurs.
Dans des temps disons catholiques, un prêtre aux tendances constitutionnellement inverties, soit ne parvenait pas à la prêtrise, soit accomplissait son ministère dans le renoncement accepté et vécu comme une pénitence car l’aide de l’Église était ce qu’il rencontrait de mieux et de plus efficace tout au long de sa vie. Dispensatrice des grâces de pureté et de chasteté, l’Église n’était pas avare de remèdes pour ses prêtres.
Dans la secte conciliaire, l’ambiance délétère du relativisme doctrinal et du scandale liturgique instaurés par le conciliabule, agit comme un « accélérateur de particules communautaires ». Non seulement ses faux prêtres ne jouissent d’aucune des grâces si spécifiques et merveilleuses du sacerdoce, mais ils se trouvent comme exaltés dans leurs différences (et particulièrement ceux qui sont invertis) par une hiérarchie conciliaire apostate et criminelle.
Alors ne nous étonnons pas que certains, mus par une certaine cohérence intellectuelle, fassent en toute connaissance de cause leur “coming out” ! Dans l’institution religieuse (on ne peut plus parler d’Église stricto sensu) les mutations sont lentes et se font toujours avec un peu de retard par rapport à la société civile.
La logique du prochain synode (“d’Eux !”) voudrait que ces mutations soient entérinées par une majorité de clercs progressistes. Malheureusement, il n’en sera pas ainsi et les leurres diaboliques feront leur office de frein circonstanciel.
Sur un plan stratégique, c’est sans doute cette crainte que les choses ne bougent pas assez vite, qui ont déclenché chez ce théologien (voir l’article du Figaro) de la Curie Romaine (!) le désir d’accélérer le processus en donnant l’ “exemple” !!! Il est même allé jusqu’à s’afficher en public (et en col romain !) avec son compagnon devant les caméras du monde entier.
Oui, la réserve chrétienne a vraiment cédé le pas à l’indécence conciliaire !
J’ose espérer bénéficier de l’indulgence de mes fidèles lecteurs pour un article assez court vu l’ampleur des problèmes qu’il soulève. D’avance je les en remercie.
Pierre Legrand.
(Dans l’article ci-dessous, le langage est totalement conciliaire, faisant croire qu’il s’agit de l’Église catholique)
Au Vatican le coming out médiatique d’un prêtre fait scandale
Corpus Domini, Corpus Christi
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En cette Fête du Très Saint Sacrement (Fête-Dieu), Corpus Domini, Corpus Christi… pensons à Notre Divin Rédempteur si souvent bafoué et indigné par les scandales de la secte Conciliaire qui se fait passée pour Sa sainte Église aux yeux du Monde (l’Église est éclipsée !).
—Rappel—
François.Ø et les sodomites*…
Du latin Sodomita (« de Sodome »), emprunté au grec ancien Σοδομίτης,
dérivé de Σόδομα (« Sodome »).
Le sodomite était un relaps, l’homosexuel est maintenant une espèce.
— (Michel Foucault, Histoire de la sexualité, Gallimard, 1994)
Cette abominable photographie montre la “communion” d’un transsexuel à qui François.Ø avait baisé et lavé les pieds, le Jeudi-Saint 2015…
« Celui qui mangera le pain ou boira la coupe du Seigneur indignement, sera coupable envers le corps et le sang du Seigneur (…) il mange et boit sa propre condamnation. » Cor 11, 27-29.
(Nous savons, Catholique semper idem, que leur “communion” ne représente que du pain…et qu’ils ne « mangent » pas Notre Seigneur « indignement »… mais le Monde les croit catholiques et ça pourrai donc “indigner Notre Seigneur” !!!)
Les pâturages d’Asmodée
Une fidèle lectrice, “La Mésange”, publie sur son blogue « Vu, lu, entendu » cet article qu’elle conclut par une prophétie de Notre-Dame de la Salette :
N’est-ce pas à la Salette que la TSVM disait que « les couvents deviendraient les pâturages d’Asmodée et des siens » ? Ah, eh bien nous y sommes.
Chaque fois qu’on croit qu’ils ont touché le fond, paf ! quelqu’un innove vers le plus-mieux-bien.
Selon le site Traditio (source), « ils » en sont arrivés à laisser entrer en religion, dans un couvent de carmélites situé dans la ville de London, en Ontorio (Canada), un transexuel nommé « Tia-Michelle Pesando », de son vrai nom « Ted ».
Voici ce que dit Traditio : « Tia Pesando, qui s’identifie ouvertement à la communauté LGBT, essaie naturellement d’obtenir pour son statut « l’imprimatur » de François-Bergoglio, qui proclame qu’il « n’a pas le droit de juger l’inversion sexuelle ». »
Pesando affirme : « les temps sont favorables pour une nonne transgenre » (sic).
Pesando a vécu 28 ans en tant qu’homme, puis a décidé de « devenir » une femme.
Les webmasters de Traditio signalent que le fait n’est pas le premier du genre, puisque « R. Burke, l’archevêque conciliaire de La Crosse, dans le Wisconsin, avait consacré « Julie Green » (un travesti) comme religieuse franciscaine en 2002, sous le pontificat de l’apostat JPII-Wojtyla. » La « Julie » s’appelait en réalité Joël, et fit un certain scandale aux E.U. Lire l’article en anglais ici.
Un article de la presse italienne s’étend assez longuement sur le fait. Cliquez ici si vous lisez l’italien.
Je résume : Tia Pesando est actuellement novice et s’apprête à prononcer ses vœux. Il est bien décidé à en « appeler au pape » si quelqu’un lui met des bâtons dans les roues. Cela fait 6 ans qu’il a entrepris un traitement hormonal pour « devenir » une femme. (il avait 28 ans, et en a donc à présent 34)
Vous auriez pu croire, dans un élan de charité un peu indiscret, que touché par la grâce et sous l’effet d’une intense componction, le jeune homme voulait s’ensevelir dans un couvent pour pleurer ses péchés et se sanctifier jusqu’à la fin de ses jours…
Mais non, râté. Car le bestiau, sans vergogne, a déclaré au journal italien qu’il souhaitait « consacrer son travail dans l’Église à la réception des personnes transgenres, et plus généralement aux relations et au dialogue avec la communauté LGBT ».
Pas de panique, surtout. Je serais conciliaire, je commencerais sérieusement à m’inquiéter. D’ailleurs, il semble que même chez eux, certains protestent timidement, dans les couvents en Ontario, toujours d’après l’article.
Et l’article de conclure :
Afin de faciliter cette réconciliation, et pour témoigner de son expérience personnelle, Tia a écrit un livre, « Pourquoi Dieu ne vous hait pas », qui prétend expliquer aux transgenres pourquoi ils ne doivent pas se sentir rejetés par l’Église : « Dieu n’approuve pas la guerre, l’esclavage, le racisme, la misogynie, l’homophobie et la transphobie », écrit le novice, qui affirme en être arrivé à ces conclusions via une étude attentive des textes bibliques, de la théologie, et de l’hagiographie.
Un autre article, qui semble être une version quasi-identique de celui en italien, mais en anglais cette fois, peut être lu ici.
S’il le dit….
*****
N’est-ce pas à la Salette que la TSVM disait que « les couvents deviendraient les pâturages d’Asmodée et des siens » ? Ah, eh bien nous y sommes.
Source : http://blogdelamesange.wordpress.com/2014/07/26/les-paturages-dasmodee/
Déni d’Éducation en France, Humour en Angleterre…
En France, l’« Éducation Nationale » pourrie la jeunesse avec toutes les déviations sexuelles mises à l’honneur qui selon son “ministre” (sinistre) de tutelle Vincent Peillon doit « arracher l’élève à tous les déterminismes, familial, ethnique, social, intellectuel »…en faisant la promotion de la Théorie du genre, de l’homosexualité, etc., etc., et maintenant, un travesti pour aborder le « transgenre » avec les CM1 !
En Grande-Bretagne à Haxby, on apprend aux enfants de primaire comment se déroule une cérémonie de mariage en créant un faux mariage. Et voilà, comment on se retrouve avec une alliance à 11 ans…
Vatican d’Eux : La dernière de Bergogoglio…
Il se drape lui-même dans le drapeau “homosexuel”…
François Bergoglio décrète que la sodomie, c’est très bien pourvu que vous portiez un préservatif.
Ce néo-pape homophile semble particulièrement favorable à la normalisation des comportements homosexuels
Source : les Pères du site TRADITIO
François Bergoglio s’est drapé dans le drapeau « gay ». Il vient en effet de déclarer que le SIDA était pire que la sodomie et de lancer un appel aux sodomites pour qu’ils portent un préservatif lorsqu’ils commettent ce qui est traditionnellement considéré comme étant l’un des quatre péchés criant vengeance au ciel. Sans doute veut-il que les membres de son néo-clergé portent un préservatif quand ils violent des enfants… Il n’a rien fait, en tout cas, pour protéger les enfants contre ce néo-clergé prédateur et va jusqu’à prétendre que les agressions pédophiles de ce dernier doivent être « oubliées ».
Bergoglio est-il catholique ? On assiste à une accumulation de faits démontrant qu’il n’est qu’un païen vêtu de blanc. Il s’oppose à la loi naturelle et à la doctrine morale de l’Église d’une manière insensée, à la six-quatre-deux. Il semble particulièrement favorable à la normalisation des comportements homosexuels. François Bergoglio, dit « l’olibrius », mérite décidément bien son surnom !
Dans son livre, que le Vatican a publié au cours de la semaine du 25 août 2013, Bergoglio décrète que vous pouvez vous livrer à la sodomie, traditionnellement considérée comme un des quatre péchés qui crient vengeance au ciel, pourvu que vous portiez un préservatif. Si vous crachez à la face de Dieu en violant Sa loi naturelle, assurez-vous que vous n’allez pas attraper le SIDA ! Selon Bergoglio, la sodomie pratiquée sous préservatif relève d’une « sexualité plus humaine ». Donc, à l’entendre, les membres de son néo-clergé peuvent sodomiser des enfants tant qu’ils sont assez « humains » pour porter un préservatif. Il ajoute que cela vaut également pour les prostitués mâles. Et il est bien placé pour être au courant de la chose, puisque le néo-monsignor qu’il a nommé pour superviser la Banque du Vatican a été surpris en train de sodomiser un prostitué mâle dans l’ascenseur d’une nonciature néo-papale !
Pour Bergoglio, l’« horreur », c’est la contagion par le VIH, non la sodomie. Et il prétend être le Vicaire du Christ ? Doutez-vous une seconde de ce que le Christ dirait de Bergoglio et de sa moralité corrompue, qui approuve que l’on sodomise des enfants en toute impunité ? Il semble que l’intéressé descende à toute vitesse le chemin conduisant à l’enfer, dont parle saint Jean Chrysostome à propos des évêques. L’an dernier seulement, Bergoglio déclarait encore en public que l’usage du préservatif risquait effectivement d’aggraver le problème du SIDA. Il semble donc que le « lobby gay » qui, à l’en croire, dirige le Vatican, a réussi à le recruter durant le bref espace des cinq premiers mois de son pontificat.
Dans son livre, Bergoglio écrit à nouveau que la fonction néo-papale « n’était pas [sa] vocation ». Mais alors, bon sang, pourquoi l’a-t-il acceptée ? Il n’est pas trop tard pour lui de démissionner et de rejoindre son pote Benoît-Ratzinger dans la somptueuse villa où les néo-papes prennent leur retraite. Nous pourrons alors compter non pas sur un, non pas sur deux, mais sur trois néo-papes régnant conjointement ! (Certaines informations figurant dans ce commentaire ont été communiquées par l’U. K. Telegraph).
http://www.traditio.com/comment/com1308.htm#130830
Traduction : CatholicaPedia.net
* * *
Joseph Ratzinger avait déjà ouvert la voie
Dans un livre d’entretiens paru fin 2010 “Lumière du monde”, Josef Ratzinger avait pris l’exemple d’un prostitué masculin pour justifier l’usage du préservatif. « Il peut y avoir des cas individuels, comme quand un homme prostitué utilise un préservatif, où cela peut être un premier pas vers une moralisation (sic !), un début de responsabilité permettant de prendre à nouveau conscience que tout n’est pas permis et que l’on ne peut pas faire tout ce que l’on veut ».
—Attention, à partir d’ici le langage est conciliaire—
Le pape admet le préservatif dans certains cas
Du bout des lèvres, Benoît XVI admet l’utilisation du préservatif “dans certains cas”, “pour réduire les risques de contamination” du virus du sida, dans un livre d’entretiens avec un journaliste allemand à paraître mardi. Une position “loin du compte” pour les associations de lutte contre le sida.
À la question de savoir si « l’Eglise catholique n’est pas fondamentalement contre l’utilisation de préservatifs ? », le pape répond : « dans certains cas, quand l’intention est de réduire le risque de contamination, cela peut quand même être un premier pas pour ouvrir la voie à une sexualité plus humaine, vécue autrement ».
À l’appui de sa réponse, Benoît XVI cite l’exemple d’un “homme prostitué” dont on constatera qu’il ne constitue pas le cas le plus fréquent pour lequel la question de l’usage du préservatif se pose.
« Il peut y avoir des cas individuels, comme quand un homme prostitué utilise un préservatif, où cela peut être un premier pas vers une moralisation, un début de responsabilité permettant de prendre à nouveau conscience que tout n’est pas permis et que l’on ne peut pas faire tout ce que l’on veut », dit-il.
Benoît XVI restreint encore la portée de son propos en ajoutant : « Mais ce n’est pas la façon à proprement parler de venir à bout du mal de l’infection du VIH. Cela doit réellement se produire dans l’humanisation de la sexualité », ajoute-t-il.
C’est la toute première fois qu’un pape manifeste un début d’ouverture timide sur l’usage du préservatif. Jusqu’à présent, le Vatican s’est toujours montré opposé à toute forme de contraception, en dehors de l’abstinence, même comme prévention des maladies sexuellement transmissibles.
(…)
Le pape Benoît XVI « tente de réagir face au discrédit avancé dont il est l’objet », a jugé la revue catholique protestataire Golias.
« La brèche est ouverte. Le préservatif doit permettre d’arrêter le virus. Il est non seulement utilisable mais il doit être utilisé », selon l’association Chrétiens et sida fondée dans les années 1990 « pour qu’il y ait une parole différente de l’Eglise » sur l’épidémie.
***
Benoît XVI favorable au préservatif pour les prêtres pédophiles
Pour la première fois, dans son ouvrage à paraître “Lumière du monde”, coécrit avec un journaliste allemand, le pape Benoît XVI s’est prononcé en faveur du port du préservatif. C’est un bouleversement théologique majeur qui n’a pas échappé aux observateurs de la vie vaticane. Le successeur de Saint Pierre a toutefois précisé immédiatement que seule « une certaine catégorie de population serait concernée ». Ce n’est ainsi pas un hasard si la publication de cette bonne feuille intervient à la suite de la grande réunion au Vatican, hier, des cardinaux du monde entier.
En effet, c’est lors de cette réunion que devait être abordée l’épineuse question de la pédophilie chez les prêtres. Alors que les plaintes contre l’Église catholique ne cessent d’augmenter ces dernières années, le Vatican se devait de saisir le problème à bras le corps. À en croire le cardinal Rocco di Buonascelta, il en va de la survie de cette vénérable institution : « Il y a de toute évidence une réelle croissance des actes pédophiles de la part de nos prêtres, nous ne pouvons pas le nier. C’est en quelque sorte une tradition canonique sur laquelle nous ne pouvons faire l’impasse. Malheureusement, le développement de notre holding en Afrique subsaharienne et en Asie du Sud-Est où l’épidémie de SIDA fait des ravages met nos employés en situation d’être en contact avec des enfants contaminés. »
Or, alors que l’Église catholique est aussi confrontée à une grande crise des vocations, il est apparu au souverain Pontife et à ses conseillers que la multiplication des arrêts-maladie pour cause de contamination par le VIH pourrait mettre en péril leur entreprise, par ailleurs fragilisée par la concurrence islamiste qui ne cesse de gagner des parts de marché depuis 2001, en particulier grâce à ses offres imbattables sur les jeunes vierges.
C’est donc à son corps défendant que Benoît XVI a finalement acté le fait que tous les prêtres catholiques recevraient d’ici quelques mois une dotation de préservatifs. Un appel d’offre devrait être lancé par le Vatican dans les jours qui viennent. Une fois qu’une marque aura été choisie, il restera encore un certain nombre de détails à régler explique encore le cardinal Rocco di Buonascelta : « Il faudra alors qu’une équipe de gardes suisses se mettent au travail pour oindre manuellement les préservatifs avec un saint-baume béni par Sa Sainteté ; cela prendra sans doute quelques semaines ».
En attendant, soucieux de ne pas s’attirer la foudre des médias et des syndicats de son honorable institution comme l’avait fait son prédécesseur Jean-Paul II en vantant les mérites de l’abstinence, le souverain pontife a d’ores et déjà confié à une équipe de cardinaux bien désinformés la mission d’écrire un “Petit guide du safe sex expliqué par les Saintes Écritures” à destination des prêtres pédophiles.
Le dessinateur Zep, auteur notamment du best-seller “Le guide du zizi sexuel” et adulé des enfants grâce à sa série de bandes dessinées mettant en scène Titeuf serait pressenti pour l’illustrer.
On le voit, l’Église est bel et bien sur le point, avec Benoît XVI au poste de Président Directeur Général, d’entrer dans l’ère de la modernité.
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Pape François : en 2010, il se prononçait pour une union civile homosexuelle
Pour contrer la loi sur le mariage gay qui allait être votée en Argentine, l’archevêque de Buenos Aires avait soutenu un projet d’union civile pour les homosexuels, « un moindre mal » selon lui.
Incroyable mais pourtant bien vrai. Alors que le nouveau souverain pontife est présenté partout comme le chef de file anti-mariage gay, le New York Times rappelle qu’en 2010 il s’est prononcé en faveur d’une union civile pour les personnes de même sexe. Une position qui apparaît donc bien surprenante au vu de ces déclarations sur le mariage gay qu’il a notamment qualifié de « dessein du Démon, responsable du péché en ce monde, qui cherche sournoisement à détruire l’image de Dieu : un homme, une femme, qui reçoivent le mandat de croître, de se multiplier, et de dominer la terre », ajoutant qu’il s’agit « d’une manœuvre du père du mensonge pour confondre et tromper les fils de Dieu ».
En 2010, l’Argentine s’apprête à faire passer une loi autorisant les couples homosexuels à se marier. Le pape François, alors archevêque de Buenos Aires, suggère lors d’une réunion des évêques d’Argentine que l’Eglise soutienne le projet d’une union civile entre couples gays. Jorge Mario Bergoglio explique notamment que puisque la loi sur le mariage gay risque fortement de passer, l’Eglise devrait essayer de trouver un compromis en soutenant donc une union civile à la place. Le pape François décrivait alors ce projet comme « un moindre mal » comme l’a expliqué son biographe officiel Sergio Rubin. Son idée n’a toutefois pas convaincu les autres évêques qui ont voté contre sa proposition.
Un leader des droits pour les homosexuels, Marcelo Marquez, a par ailleurs expliqué au quotidien américain que Jorge Mario Bergoglio avait répondu de façon très respectueuse à une lettre qu’il lui avait envoyé dans laquelle il remettait notamment en question le débat sur le mariage gay de l’époque. L’archevêque de Buenos Aires avait même assuré au téléphone à Marcelo Marquez que « les homosexuels doivent avoir des droits et qu’il soutenait donc une union civile mais pas le mariage ».
Ces positions privées n’ont toutefois pas empêché le pape de devenir le visage de l’opposition à la loi sur le mariage gay en Argentine et à tenir des propos très durs sur ce projet de loi.
Le pseudo “Vicaire du Christ sur terre” déclare publiquement :
« Qui suis-je pour juger un prêtre gay ? »
Le pseudo “Vicaire du Christ sur terre”
déclare publiquement :
« Qui suis-je pour juger un prêtre gay ? »
Dans l’avion qui le ramenait des JMJ de Rio à Rome, papeFrançois a affirmé lors de sa première conférence de presse ne pas juger les homosexuels…
Suite à une question des journalistes, il a évoqué la question des homosexuels. « Le problème n’est pas d’avoir cette tendance, c’est de faire du lobbying. C’est le problème le plus grave selon moi. Si une personne est gay et cherche le Seigneur avec bonne volonté, qui suis-je pour la juger ? » a-t-il demandé.
C’était la première fois que cet antipape, version V.2.6 donnait une véritable conférence de presse. Détendu, plaisantant mais prudent, il a répondu à toutes les questions sans en esquiver, parfois après des pauses de réflexion, de manière très maîtrisée, que lui posaient une quinzaine des 70 journalistes présents sur le vol.
Interrogé sur les affirmations selon lesquelles il aurait été tenu dans l’ignorance des relations homosexuelles d’un prélat qu’il a nommé à la banque du Vatican, l’IOR, “Mgr” Ricca, papeFrançois a répondu : « J’ai fait diligenter une enquête brève et nous n’avons rien trouvé sur lui ».
« Je n’ai encore vu personne au Vatican sur la carte d’identité duquel est inscrit gay. On affirme qu’il y en a. Le catéchisme de l’Église catholique dit très bien qu’on ne doit pas marginaliser ces personnes qui doivent être intégrées dans la société ». « Sur le lobby gay, je n’ai rien trouvé. Les lobbies ne sont pas bons », a-t-il dit citant en exemple les lobbies politiques ou francs-maçons.
Évoquant plus largement la sexualité dans l’Église [entendre église Conciliaire], il a distingué “les délits” comme “les abus sur mineurs” et les “péchés”, notamment les « péchés de jeunesse ». « Des laïcs, des prêtres, des sœurs ont fait des péchés et se sont convertis. Quand le Seigneur pardonne, il oublie tout. »
papeFrançois interrogé sur les divorcés remariés, le mariage gay et l’avortement
papeFrançois a par rapport à la question “du pouvoir communier” des divorcés remariés, précisé qu’il « fallait regarder cela dans la totalité de la pastorale du mariage ». « Entre parenthèses, les orthodoxes ont une pratique différente. Ils suivent ce qu’ils appellent la théologie de l’économie et offrent une deuxième possibilité. Je crois que ce problème doit être étudié dans le cadre de la pastorale du mariage. L’un des thèmes sur lesquels je consulterai le conseil des huit cardinaux, du 1er au 3 octobre, sera de voir comment avancer en termes de pastorale matrimoniale ». Après avoir indiqué que le prochain synode des évêques devrait traiter de la pastorale du mariage, il a précisé : « On se marie sans maturité, sans s’apercevoir que c’est pour toute la vie ou parce que, socialement, l’on doit se marier. Cela entre dans la pastorale du mariage, comme le problème judiciaire de la nullité des mariages ».
Interrogé sur le mariage gay et sur l’avortement, auxquels l’Église est fermement opposée, papeFrançois a répondu : « Vous savez parfaitement la position de l’Église ». Pour la seule fois, il a répondu brièvement, sèchement.
Dans ces derniers cas l’église Conciliaire singe (pour le moment) la position ferme de l’Église catholique.
À un journaliste qui faisait remarquer qu’il n’avait durant son voyage au Brésil pas abordé directement les questions de l’avortement et du mariage gay, papeFrançois a répondu très brièvement : « L’Église s’est déjà parfaitement exprimée sur cela, il n’était pas nécessaire de revenir dessus. Il n’était pas nécessaire d’en parler à moins de dire des choses positives. Les jeunes savent parfaitement quelle est la position de l’Église. »
L’agence conciliaire Zenit.org rapporte les faits de cette façon :
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Si une personne est gay, cherche le Seigneur, est de bonne volonté…
Réponse du pape François
Anita Bourdin
ROME, 2 août 2013 (Zenit.org) – « Si une personne est gay et cherche le Seigneur et qu’elle est de bonne volonté, mais qui suis-je pour la juger ? » : cette phrase du pape François sur le vol de Rio à Rome a fait couler beaucoup d’encre.
Nous continuons de publier au fur et à mesure notre traduction intégrale de la rencontre du pape et de la presse sur le vol de retour de JMJ (28-29 juillet).
À une question sur la nomination de Mgr Battista Ricca, mi-juin comme prélat de l’Institut pour les œuvres de religion (IOR), et accusé d’homosexualité par un magazine italien, le pape a répondu en quatre temps : d’abord sur l’enquête, puis sur le péché, ensuite sur l’attitude de l’Église vis à vis des personnes homosexuelles et sur le “lobby gay”.
Question sur Mgr Ricca et sur le lobby gay
Pour Mgr Ricca, j’ai fait ce que le droit canon demande de faire, c’est la investigatio previa [enquête préalable à toute nomination, ndlr]. Et de cette investigatio, il n’y a rien des accusations portées contre lui, nous n’avons rien trouvé à ce sujet. Voilà la réponse.
Mais je voudrais ajouter quelque chose sur ce point : je vois que souvent, dans l’Église, en dehors de ce cas et aussi dans ce cas, on va chercher les “péchés de jeunesse”, par exemple, et on le publie. Pas les délits, hein ? Les délits, c’est autre chose : l’abus des mineurs est un délit. Non, les péchés. Mais si une personne, laïque ou prêtre, ou sœur, a fait un péché et s’est convertie ensuite, le Seigneur pardonne, et quand le Seigneur pardonne, le Seigneur oublie et ça, c’est important pour notre vie. Quand nous allons nous confesser et que nous disons vraiment « J’ai péché sur ce point », le Seigneur oublie et nous n’avons pas le droit de ne pas oublier, parce que nous courons le risque que le Seigneur n’oublie pas nos péchés. C’est un danger, ceci. C’est important : une théologie du péché. Si souvent, je pense à Saint Pierre : il a fait un des pires péchés, qui est de renier le Christ, et avec ce péché, on l’a fait pape. Nous devons beaucoup y réfléchir.
Mais, pour revenir à votre question plus concrète : dans ce cas, j’ai fait l’investigatio previa et nous n’avons pas trouvé. C’est la première question. Et puis, vous parliez du lobby gay. Bah ! On écrit tellement sur le lobby gay. Je n’ai pas encore trouvé quelqu’un qui puisse me donner la carte d’identité, au Vatican, avec “gay”. On dit qu’il y en a. Je crois que quand on se trouve avec quelqu’un comme ça, on doit distinguer le fait d’être une personne gay du fait de faire un lobby, parce que les lobbies, tous, ne sont pas bons. Ça, c’est mauvais.
Si une personne est gay et cherche le Seigneur et qu’elle est de bonne volonté, mais qui suis-je pour la juger ? Le Catéchisme de l’Église catholique explique cela d’une manière très belle, mais il dit, attends un peu, comment dire, et il dit : « il ne faut pas marginaliser ces personnes pour autant, elles doivent être intégrées dans la société ». Le problème n’est pas d’avoir cette tendance, non, nous devons être frères, parce que lui c’en est un, mais s’il y en a un autre, un autre. Le problème, c’est de faire un lobby de cette tendance : lobby d’avares, lobby de politiciens, lobby de francs-maçons, tous ces lobbies. C’est cela, le problème le plus grave pour moi. Et je vous remercie beaucoup d’avoir posé cette question. Merci beaucoup !
Traduction de Zenit, Hélène Ginabat
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papeFrançois et le lobby gay au Vatican
Comment devant le regard obséquieux et pervers de ce personnage “Mgr” Battista Ricca, Bergo(go)glio peut-il nous faire croire qu’il n’était au courant de rien !
Le prélat du lobby gay
par Sandro Magister
ROME, le 18 juillet 2013 – « À la curie on parle d’un “lobby gay”. Et c’est vrai, il y en a un. Voyons ce que nous pouvons faire », a déclaré le pape François à des religieux latino-américains qu’il recevait en audience, le 6 juin.
Lire l’article : http://chiesa.espresso.repubblica.it/articolo/1350561?fr=y et en particulier : « Le trou noir qu’il y a dans l’histoire personnelle de Ricca, c’est la période qu’il a passée en Uruguay, à Montevideo, sur la rive nord du Rio de la Plata, en face de Buenos Aires. »…
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UN PEU PLUS SUR FRANCISCO ET LES SODOMITES…
Sainte Catherine de Sienne, a reçu cette phrase de Notre Monsieur Jésus-Christ :
“ LA SODOMIE EST PESTILENTE POUR MOI ET DÉSAGRÉABLE MÊME POUR LES DÉMONS EUX-MÊMES ”
« Voilà l’horreur et le dégoût que ce péché me cause, et non seulement à moi, mais aux démons eux-mêmes, que ces malheureux ont choisis pour maîtres. »
http://www.abbaye-saint-benoit.ch/saints/catherine/oeuvres/dialogue.htm#124
Sainte Catherine de Sienne : vice maudit qui répugne aux démons eux-mêmes
La grande sainte Catherine de Sienne (1347-1380), maîtresse en spiritualité et Docteur de l’Église, condamna avec véhémence l’homosexualité.
Voici comment, dans son Dialogue de la divine Providence, elle relate les enseignements du Christ lui-même à propos du vice contre nature :
« C’est tout immondes qu’ils approchent de ce mystère, et non pas seulement avec l’impureté et la fragilité vers laquelle votre fragile nature vous incline (bien que la raison, quand le libre arbitre le veut, réprime cette rébellion) mais en commettant misérablement, au lieu de le réprimer, le maudit péché contre nature. Comme des maudits et des insensés, puisque la lumière de leur jugement s’est obscurcie, ils ne sont plus incommodés par cette puanteur et par tant de misère ! Non seulement je l’ai en horreur, moi suprême et éternelle pureté (je l’abomine tellement que mon divin jugement a englouti cinq villes uniquement à cause de ce péché) mais que les démons eux-mêmes, les démons que ces misérables se sont donnés pour maîtres, ne peuvent le supporter. Non pas que le mal ne leur déplaise, ils n’aiment aucun bien, mais leur nature a été une nature angélique et c’est pourquoi elle répugne à voir commettre cet énorme péché » (Sainte Catherine de Sienne, Le Livre des Dialogues, chapitre 124, pp. 401402).
À lire (ou relire) avec intérêt : Saint Pierre Damien (1007-1072), Docteur de l’Église, Cardinal, dans son Liber Gomorrhianus (1048-1051) condamne avec une extrême sévérité la pédérastie cléricale et ceux qui la protègent.
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Nous vous présentons maintenant un article de l’américain Michael Anthony Hoffman (à ne pas confondre avec Michael Hoffman, réalisateur, producteur, scénariste et acteur américain né le 30 novembre 1956 à Hawaii.).
Michael Anthony Hoffman, est né en 1954 dans une famille juive d’un quartier populaire de l’est du Queens à New York. Auteur américain de New York, spécialiste des théories du complot, en particulier antimaçonniques, il a étudié l’histoire de la Seconde Guerre mondiale, et entre dans des discours qui contredisent la version “officielle” des événements – il est donc classé “révisionniste”. Il est peut-être l’homme qui a inventé le terme Holocaustianity — Grand mensonge de l’Holocauste (sionisme) —pour désigner le culte qui a émergé dans le monde de l’après-guerre. Hoffman a puisé dans l’histoire de la Franc-Maçonnerie et de la pègre Kabbalo-Hermético-Gnostique plus généralement, surtout dans des contextes qui révèlent leur influence sur les idées de gouvernement contemporaine et des ingénieurs médias sociaux.
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Présenté comme chrétien, il a vécu chez les Amish (1) !… et il est Protestant-américain (pourtant il parle de (défend) Marie ???) “Anti-papiste”, il met en cause tous les papes en tant qu’usuriers et pro-sodomites depuis 1515, y compris – donc – saint Pie X, entre autres saints papes : excusez du peu !
Pour cette raison, nous mettons en garde nos lecteurs sur les propos d’Hoffman sur l’usure contenus dans l’article ci-dessous. Article que nous vous proposons « in extenso » pour la valeur de sa critique de la question sodomite.
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Le « Vicaire du Christ sur terre » déclare textuellement :
« Qui suis-je pour juger un prêtre gay ? »
Par Michael Hoffman
(Lundi 29 juillet 2013)
L’Église catholique de la Renaissance a donné son approbation à l’usure sous le masque de maints euphémismes et ambiguïtés qui éblouissent et sidèrent depuis 1515 les vrais croyants de l’Église de Rome. L’encyclique « Vix Pervenit » du Pape Benoît XIV, avocat des usuriers, en offre un exemple des plus pertinents. Il s’agit, en effet, d’un discours qui, composé à 95% d’anti-usure et à 5% de formules trompeuses, a permis l’adoption d’une clause dérogatoire autorisant certains types d’usure. Or, des « érudits catholiques conservateurs » de mentalité suicidaire défendent aujourd’hui encore cette clause comme constituant une défense contre l’usure.
Forts d’exemples comme celui-ci, nous devrions savoir qu’il est aberrant d’imaginer que l’ambiguïté et les élucubrations équivoques de l’actuel Pape François soient le sous-produit d’une mentalité « vaticandeuse » des années soixante. Quiconque croirait cela prouverait que la cryptocratie vaticane s’est assuré sur son cerveau une maîtrise aussi absolue que celle avec laquelle l’araignée attire une mouche dans sa toile. Foin de toute amnésie, par conséquent, car « Vix Pervenit » a été publiée en 1745, non en 1965 !
Observez bien la manière dont le Pape François aborde la question sodomite. Selon le New York Times, il a déclaré aux journalistes présents sur son vol : « Si quelqu’un est gay et cherche le Seigneur dans un esprit de bonne volonté, qui suis-je pour le juger ? » (cf. « Pope Says He Will Not Judge Gay Priests » [le Pape dit qu’il ne jugera pas les prêtres gay], NY Times (en ligne) du 29 juillet 2013.
A-t-il vraiment employé le terme gay, orwellien et « novlangue » à souhait, à la place du mot sodomie ? Si oui, c’est déjà en soi une faute grave de ne pas appeler une chose par son nom.
Voyez-vous l’hameçon que cache le double langage du pape ? Percevez-vous la clause dérogatoire qu’il a jetée en pâture à son aile droite ? Ce qu’il a dit, ce n’est pas qu’il refusait de juger les actes homosexuels, c’est seulement qu’il se refusait à juger du point de savoir si un prêtre était homosexuel, ce qui donne à son aile droite la possibilité de supposer qu’il fait allusion à un prêtre célibataire « d’orientation homosexuelle ». Telle est la clause dérogatoire que ses partisans de droite exploiteront pour faire taire le tollé : « Le pape a dit simplement qu’il ne voulait pas juger les prêtres de bonne foi qui ont une orientation gay, sans approuver pour autant les pratiques gay. » (Au cours des prochains jours, on va lire et entendre des « éclaircissements » visant à mettre du baume sur les sensibilités de droite écorchées.)
Même dans ce cas, on est face à une énorme trahison, car le fait d’identifier immuablement les êtres humains à leur « orientation sexuelle » vient soutenir le mythe populaire selon lequel la plupart des homosexuels « sont nés ainsi et ne peuvent pas changer ». Or, c’est le contraire qui est vrai. La cryptocratie encourage l’androgynie et l’homosexualité, ne serait-ce que parce qu’elles contribuent à réduire l’« excédent » démographique, et aussi parce qu’elles amènent les individus sur la voie de l’anarchie et du déracinement, ce qui les expose à d’autres changements révolutionnaires et antinaturels. N’importe quel jeune qu’attire normalement le sexe opposé pourra ainsi se laisser inciter par l’ambiance culturelle à expérimenter l’homosexualité, après quoi on lui dira qu’il a une « orientation gay » définitive.
Tout véritable vicaire du Christ aurait dit aux journalistes ce qui suit : « Avec Dieu, tout est possible ; c’est pourquoi ceux qui croient avoir une orientation homosexuelle peuvent, par la prière comme par la pureté de cœur et d’esprit, clarifier leurs désirs et découvrir qu’ils éprouvent un sain attrait pour le sexe opposé, quand bien même cet attrait serait enterré sous les présupposés et les fantasmes que leur impose une culture plaçant tout ce qui est « tendance » au dessus de la morale biblique et de l’anoblissement de l’être humain. L’homosexuel est un individu qu’exalte la culture contemporaine. C’est ainsi que des gens sont amenés à s’identifier à la condition homosexuelle alors même que celle-ci ne fait pas vraiment partie de leur moi profond. Dans le même temps, ces mères héroïques et ces pères de famille nombreuse qui s’échinent quotidiennement pour nourrir et éduquer les leurs, formant ainsi le socle de la société, sont perçus et présentés par la publicité et les autres médias comme des bêtes de somme sans intérêt, comme les tout derniers exemples à suivre. Ne vous attendez pas à ce que j’approuve ces attitudes pathologiques. » Voilà ce que François aurait dit s’il était un pape digne de ce nom.
Les partisans que le « Pape François » compte sur sa gauche ne manqueront pas de saisir le symbolisme évident et téméraire de sa déclaration pour interpréter celle-ci largement et de telle sorte que la plupart des gens, y compris les jeunes, croient qu’il n’est pas moralement répréhensible de pratiquer la sodomie « si l’on cherche le Seigneur ».
Si les prêtres homosexuels de ce pontife étaient d’« orientation » nazie plutôt que sodomite, je serais prêt à parier n’importe quoi qu’il les vouerait sans hésiter au barbecue de l’enfer éternel. Mais lorsqu’il s’agit de prêtres « seulement » attirés par les rapports sexuels anaux, il s’interdit de les juger en tant que Pontifex Maximus.
Imaginez un adolescent catholique de quinze ou seize ans à la sexualité hésitante qui se sent surtout attiré par les filles, mais aussi un peu par les autres garçons et qui lirait les gros titres consacrés actuellement au pape. Si ce jeune catholique choisit une « orientation gay », François veut qu’il sache qu’en tant que pape, il n’a ni le pouvoir ni l’autorité de le « juger ». Si, ayant commencé à sortir, ce garçon se fait sodomiser, l’aile droite catholique dira : « Ce n’est pas la faute du Saint Père ; il n’a pas approuvé la sodomie, il s’est juste abstenu de juger l’orientation sodomite ».
Nos recherches font apparaître de plus en plus clairement qu’à mesure que l’Église de Rome autorisait depuis le début du seizième siècle l’usure et sa stérilité d’argent autoproductif, la pratique de la sodomie progressait de manière exponentielle dans les rangs supérieurs du clergé romain, le phénomène restant voilé durant des siècles sous un secret clérical qui commence à se fissurer aujourd’hui. Et nous attirons l’attention sur le fait évident que la sodomie est, elle aussi, une forme de stérilité.
Le Pape François offre un reflet de ce courant pro-sodomite, d’abord souterrain mais apparaissant maintenant au grand jour en tant que « Révélation-de-la-Méthode » (2), et les médias confèrent un imprimatur enthousiaste à ce moderne Uriah Heep (3) en le baptisant « pape de l’humilité ».
Il ne faut pas s’étonner que des millions de chrétiens latino-américains fuient l’Église de Rome pour se réfugier dans les chapelles des églises protestantes qui restent ancrées au socle biblique, apostolique et patristique du christianisme. Elles n’ont pas au-dessus d’elles un pape « infaillible » pour les fourvoyer et leur faire perdre leur salut éternel. Elles ont la liberté d’adhérer ou non à la Vérité biblique et de défier le mouvement sodomite, indépendantes qu’elles sont du dernier en date des fossoyeurs suicidaires romains, ultime représentant d’une lignée de plus de quarante papes usuriers. Les catholiques craignant Dieu et ne présentant pas un encéphalogramme plat doivent oser entreprendre une profonde réflexion sur les tromperies et les ravages que l’on doit aux papes de Rome depuis 1515, c’est-à-dire pendant les 498 années où l’usure cléricale et la sodomie sont allées de pair au sein de l’institution romaine.
Cette pourriture impie n’a pas commencé avec les « Lumières », la Révolution française ou Vatican II. Si vous ajoutez foi à ce bobard, le préféré des catholiques « traditionalistes », vous ne serez jamais capable de décoder l’actuelle manifestation du Mystère de Babylone, à savoir la déclaration par le supposé « Vicaire du Christ sur terre » qu’il ne peut pas juger les prêtres catholiques portés à la sodomie. Ce type de mensonge papal éhonté n’est autre qu’un défi lancé aux moutons hypnotisés que nous sommes pour voir s’ils vont gober une telle vomissure sans broncher ou si, au contraire, ils vont se dresser et rendre témoignage à la Vérité de Dieu, de Ses Apôtres, de Ses patriarches et de Ses saints.
Le Pape François n’a d’autre boussole morale qu’une éthique de circonstance. Or, c’est précisément l’éthique de circonstance qui a suscité la légalisation du péché mortel d’usure, d’abord au sein de l’Église de Rome lorsque Jean Calvin n’était qu’un enfant, puis par Calvin lui-même, sous l’influence de l’équité circonstancielle de Rome – ou epikeia –, qui est parfois juste quand elle sert à infléchir les lois humaines, mais qui est toujours talmudique et rabbinique quand on l’invoque pour modifier ou abroger les lois de Dieu.
C’est le zeitgeist ou « esprit du temps » qui détermine l’éthique du Vatican rebellé contre Dieu. L’esprit du temps présent étant entièrement imprégné d’homosexualité, la papauté s’adapte à ce pervers état de choses. Lorsque le Pouvoir de l’argent s’est emparé du zeitgeist durant la Renaissance, une papauté absolutiste a ouvert la porte au capitalisme prédateur. Or, aucun pape n’a le droit d’altérer la loi de Dieu, et si un pape le fait, il doit exister un mécanisme pour le corriger ou même le déposer.
Depuis 498 ans, les éthiciens de circonstance qui occupent le trône de Pierre s’abstiennent d’observer la loi éternelle de Dieu. Forts de cette éthique de circonstance, les papes de la Renaissance ont déformé la loi divine, et le papisme va s’arranger pour que d’ici à ce que les catholiques autoproclamés finissent par comprendre que l’autorité absolue conférée au pape porte en elle les germes de la catastrophe, cette catastrophe soit déjà sur nous. Le Christ voulait que Ses fidèles fussent des soldats (miles Christi), non des esclaves de simples humains, moins encore d’un sinistre clown blanc qui invoque Jésus pour mieux se moquer de Lui et de Sa Loi éternelle et immuable, que celle-ci condamne les prêts d’argent (Luc 6 : 32-36) ou les relations sexuelles entre hommes (Lévitique 18 : 22 ; Romains 1 : 26-27).
Enfin, promettons-nous de ne plus nous laisser endormir dorénavant par une novlangue orwellienne qui emprisonne nos esprits en nous amenant à penser selon la manière occlusive dont les manipulateurs masqués fabriquent de toutes pièces cette controverse. Ce dont il est question ici, c’est de rapports sexuels centrés sur l’égout rectal du corps humain. Il n’y a à cela strictement rien d’innocent ni de joyeux (« gai ») ; cessons donc de nous soumettre à la double pensée que nous imposent nos maîtres des médias lorsque nous luttons pour conserver leur pureté à nos enfants face au loup ravisseur couvert d’une peau de brebis ou – comme en l’espèce – des vêtements de saint Pierre.
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Source :
http://revisionistreview.blogspot.fr/2013/07/vicar-of-christ-on-earth-asks-who-am-i.html
Traduction CatholicaPedia.net
Que notre traducteur soit ici une nouvelle fois remercié.
[1] Les Amish sont une communauté anabaptiste présente en Amérique du Nord, vivant de façon simple et à l’écart de la société moderne. L’anabaptisme est le courant protestant qui prône un baptême volontaire et conscient, à un âge où la personne est en mesure de comprendre l’engagement.
[2] NdT : Expression crée par Michael Hoffman. Dans l’absolu, la « Révélation de la Méthode » est un rituel occulte, particulièrement un psychodrame franc-maçon. Employée ordinairement, l’expression décrit la tactique utilisée par la cryptocratie quand elle s’apprête à commettre un grand crime : elle manifeste ses intentions par avance en se servant pour cela du cinéma populaire et de la télévision.
[3] NdT : Personnage du roman de Charles Dickens David Copperfield. D’une obséquiosité et d’une hypocrisie écœurantes, cet individu – qui occupe une place centrale dans la dernière partie de l’ouvrage – se vante sans cesse de son humilité affectée. Dans les pays anglo-saxons, son nom a fini par devenir synonyme de « béni-oui-oui ».