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En cette Fête du Très Saint Sacrement (Fête-Dieu), Corpus Domini, Corpus Christi… pensons à Notre Divin Rédempteur si souvent bafoué et indigné par les scandales de la secte Conciliaire qui se fait passée pour Sa sainte Église aux yeux du Monde (l’Église est éclipsée !).
—Rappel—
François.Ø et les sodomites*…
Du latin Sodomita (« de Sodome »), emprunté au grec ancien Σοδομίτης,
dérivé de Σόδομα (« Sodome »).
Le sodomite était un relaps, l’homosexuel est maintenant une espèce.
— (Michel Foucault, Histoire de la sexualité, Gallimard, 1994)
Cette abominable photographie montre la “communion” d’un transsexuel à qui François.Ø avait baisé et lavé les pieds, le Jeudi-Saint 2015…
« Celui qui mangera le pain ou boira la coupe du Seigneur indignement, sera coupable envers le corps et le sang du Seigneur (…) il mange et boit sa propre condamnation. » Cor 11, 27-29.
(Nous savons, Catholique semper idem, que leur “communion” ne représente que du pain…et qu’ils ne « mangent » pas Notre Seigneur « indignement »… mais le Monde les croit catholiques et ça pourrai donc “indigner Notre Seigneur” !!!)
Nous savons que l’inverti a reçu la “communion” en état de péché mortel par son propre témoignage. Loin de regretter ses péchés contre-nature, le transsexuel les assume dans une vidéo : il reproche à l’Église (qui est la secte conciliaire) de marginaliser les individus de son genre mais idolâtre Bergoglio. « François est Dieu, c’est le plus digne représentant de Jésus » blasphème la lesbienne transsexuelle reçue par François.Ø.
On se souvient des propos de François.Ø, lors d’une conférence de presse tenue le 29 juillet 2013 dans l’avion entre Rio de Janeiro et Rome, de retour des JMJ : « Si une personne est gay et cherche le Seigneur avec bonne volonté, qui suis-je pour la juger ? » Dans ce même entretien aérien, il osait affirmer que les sodomites « ne doivent pas être discriminées, mais intégrées dans la société. »
Saint Paul, l’intégriste catholique, était moins aérien mais plus spirituel :
« Ils sont donc inexcusables, puisque, ayant connu Dieu, ils ne l’ont pas glorifié comme Dieu et ne lui ont pas rendu grâces ; mais ils sont devenus vains dans leurs pensées, et leur cœur sans intelligence s’est enveloppé de ténèbres. […] Aussi Dieu les a-t-il livrés, au milieu des convoitises de leurs cœurs, à l’impureté, en sorte qu’ils déshonorent entre eux leurs propres corps, eux qui ont échangé le Dieu véritable pour le mensonge, et qui ont adoré et servi la créature de préférence au Créateur. C’est pourquoi Dieu les a livrés à des passions d’ignominie : leurs femmes ont changé l’usage naturel en celui qui est contre nature ; de même aussi les hommes, au lieu d’user de la femme selon l’ordre de la nature, ont, dans leurs désirs, brûlé les uns pour les autres, ayant hommes avec hommes un commerce infâme, et recevant dans une mutuelle dégradation, le juste salaire de leur égarement. Et comme ils ne se sont pas souciés de bien connaître Dieu, Dieu les a livrés à leur sens pervers pour faire ce qui ne convient pas, étant remplis de toute espèce d’iniquité, de malice, de fornication, de cupidité, de méchanceté, pleins d’envie, de pensées homicides, de querelle, de fraude, de malignité, semeurs de faux bruits, calomniateurs, haïs de Dieu, arrogants, hautains, fanfarons, ingénieux au mal, rebelles à leurs parents, sans intelligence, sans loyauté, implacables, sans affection, sans pitié. Et bien qu’ils connaissent le jugement de Dieu déclarant dignes de mort ceux qui commettent de telles choses, non seulement ils les font, mais encore ils approuvent ceux qui les font. » (Rom 1, 20-28)
François.Ø et les sodomites sont donc haïs de Dieu.
La nouveauté avec François-Bergo(go)glio par rapport avec ses prédécesseurs est que lui-même n’est pas sodomite (jusqu’à preuve du contraire)… mais il est tout acquis à leurs perversités !
Dans un entretien publié en septembre/octobre 2013 dans la revue Études, François.Ø contredisait de nouveau les paroles du Saint-Esprit, en parlant de miséricorde là où il fallait parler de réprobation :
« La religion a le droit d’exprimer son opinion au service des personnes mais Dieu dans la création nous a rendu libres : l’ingérence spirituelle dans la vie des personnes n’est pas possible. […] Dieu, quand il regarde une personne homosexuelle, en approuve-t-il l’existence avec affection ou la repousse-t-il en la condamnant ? Il faut toujours considérer la personne. Nous entrons ici dans le mystère de l’homme. Dans la vie de tous les jours, Dieu accompagne les personnes et nous devons les accompagner à partir de leur condition. Il faut accompagner avec miséricorde. Quand cela arrive, l’Esprit Saint inspire le prêtre afin qu’il dise la chose la plus juste. »
Sainte Hildegarde, au 12e siècle, disait des choses très justes. En voyant notre époque aux mains de Satan, elle prédisait sa politique maçonnique pour détruire les nations et perdre les âmes :
« [L’Antéchrist revêtu des pouvoirs du prince de ce monde] accordera à tous une liberté totale par rapport aux commandements de Dieu et de l’Église, leur permettant de vivre selon leurs passions… Il s’efforcera de faire une religion appropriée. Il dira que ce n’est pas nécessaire de jeûner ou de pratiquer le renoncement. […] En réalité, l’Antéchrist, […] affirmera que l’inceste, la fornication, l’adultère et d’autres choses ne sont pas des péchés. » (Liber Divinorum Operum)
L’antéchrist parlera donc comme Daniel Cohn-Bendit, Gisèle Halimi, Elisabeth Badinter, Jacques Attali, Najat Belcacem, et tant d’autres… Mais, pour une domination mondiale sur les âmes, l’antéchrist a aussi besoin de faux-ecclésiastiques qui coopèrent à sa révolution, tels que François.Ø et ses complices.
Le “Cardinal” Angelo Bagnasco est l’un d’eux. Ce président de la Conférence Épiscopale italienne est aussi l’“Archevêque” (un abbé apostat déguisé en archevêque) sacrilège de Gênes. Il a plusieurs fois donné la “communion” à des transsexuels, lors d’une “messe” célébrée pour le “père” André Gallo qui se définissait comme un « prêtre des trottoirs » par allusion à son travail avec « les marginaux » et « les cas sociaux ». Dans la pratique, ce dernier favorisait “l’amour libre” des homosexuels et transsexuels, mais également le féminisme, la consommation de drogues… Pour un transsexuel “communié” ce jour-là, le geste du “Cardinal” Bagnasco « est le commencement d’une ouverture [de l’Église]. »
On le voit ci-dessus en pleine communion avec François.Ø lors du “synode de la famille”… Bergo(go)glio, “cardinal” en Argentine, avait aussi permis à un travesti et à son partenaire homosexuel de recevoir la “communion”.
Les “communions” sacrilèges des sodomites favorisent une sorte de système sacramentel diabolique pour une consécration au service de la Bête et de l’Antéchrist. Car, « aucun péché n’a plus de pouvoir sur l’âme que la maudite sodomie, qui fut toujours odieuse à ceux qui vivent selon Dieu… Celui qui vit en pratiquant le péché de la sodomie souffrira plus de tourments en enfer que quelqu’un d’autre parce que c’est le pire péché qui existe. » (Saint Bernardin de Sienne).
Saint Augustin disait que les péchés qui vont contre la nature, comme ceux des sodomites et des transsexuels, doivent être abhorrés et châtiés. (Confessions, cap. III, p. 8)
Pourtant, le 6 mai 2014, François.Ø, s’était incliné et avait embrassé la main d’un prêtre (aposta) homosexuel activiste, Michele de Paolis, cofondateur d’une organisation gay appelée Agedo Foggia, faisant campagne pour que l’Église change son enseignement sur l’homosexualité. Pour De Paolis, « l’Église devrait viser à créer une spiritualité d’une acceptation joyeuse de soi-même et témoigner sa gratitude à Dieu dans le fait de savoir que l’amour est un cadeau de son amour ». Auparavant les deux hommes avaient concélébré à la maison sainte Marthe. Là encore, un sacrilège ! François.Ø l’avait serré dans ses bras après lui avoir affirmé que « tout est possible ». Et c’est bien vrai. Avec un homme en soutane blanche au service de l’antéchrist, tout est possible !
Satan est séducteur et destructeur. Il séduit pour mieux détruire. Et il a besoin d’hommes comme François.Ø. Car, l’abomination qu’il répand se fait par des actions sacrilèges, et cette abomination aboutira à la désolation sur terre. L’abomination a sa source dans le culte idolâtrique, non du soleil, d’une vache ou d’une pierre comme par le passé, mais par le culte de l’homme se faisant Dieu, c’est-à-dire le culte de la conscience humaine qui prétend établir le bien et le mal selon son caprice. Or, selon la prophétie de Daniel (ch. 9), le culte des idoles est le présage de la ruine de la Maison de Dieu et c’est ce signe de l’abomination – culte idolâtrique et sacrilège – que le Christ a donné à son peuple pour fuir hors du Temple. Les chrétiens doivent donc, de même, fuir cette église adultère qui est un repaire d’esprits impurs.
L’anathème tombera sur Bergoglio, ses collaborateurs et ses adeptes. Puis viendra le jour où tous, Satan avec ses serviteurs, seront engloutis par l’enfer.
« Et le diable, le séducteur, fut jeté dans l’étang de feu et de soufre, où sont la bête et le faux prophète, et ils seront tourmentés jour et nuit aux siècles des siècles. […] Que celui qui est injuste fasse encore le mal ; que l’impur se souille encore; que le juste pratique encore la justice, et que le saint se sanctifie encore. Et voici que je viens bientôt, et ma rétribution est avec moi, pour rendre à chacun selon son œuvre. Heureux ceux qui lavent leurs robes, afin d’avoir droit à l’arbre de la vie, et afin d’entrer dans la ville par les portes ! Dehors les chiens, les magiciens, les impudiques, les meurtriers, les idolâtres, et quiconque aime le mensonge et s’y adonne ! C’est moi, Jésus, qui ai envoyé mon ange vous attester ces choses, pour les Églises. » (Apocalypse de Jean, ch. 20 à 22)
Nous voudrions conclure notre propos avec l’avertissement de saint Jean Chrysostome, qui en vrai pasteur faisait un devoir à ses prêtres de repousser les sacrilèges hors de la communion au corps et au sang de Jésus-Christ :
« Que tous ceux qui sont cruels et inhumains, qui sont durs et impitoyables, qui sont impurs et corrompus, ne s’approchent point de cette table qui est toute sainte. En parlant ainsi, je m’adresse à vous qui recevez les saints mystères, et de plus à vous qui les administrez. Vous aussi, vous avez besoin d’entendre de telles instructions, afin que vous appreniez à distribuer ces dons avec autant de discernement que de zèle. Ce n’est pas un léger supplice qui vous est réservé, si vous admettez à la table sainte quelqu’un dont vous connaissez la perversité. Il vous sera demandé compte de ce sang divin. Serait-ce un chef d’armée, un puissant magistrat, celui-là même qui porte au front la couronne, s’il s’approche indignement, repoussez-le ; vous avez une autorité supérieure à la sienne. Si vous étiez chargé de garder pour le troupeau une source pure et limpide, vous ne souffririez pas qu’une brebis dont la bouche serait souillée de fange, penchât la tête et s’abreuvât. Ce n’est pas une source d’eau, mais de sang, la source même de l’Esprit, dont on vous a maintenant confié la garde ; si vous ne manifestez donc pas votre indignation, si vous n’opposez pas de résistance, lorsque vous voyez s’avancer des hommes couverts des plus honteuses souillures du péché, quel espoir de pardon pourrez-vous avoir ? C’est pour que vous exerciez un tel discernement que Dieu vous a honorés du sacerdoce. En cela consiste votre dignité, en cela votre sécurité, en cela toute votre couronne ; et non à vous en aller promenant partout une tunique blanche. » (Saint Jean Chrysostome, Archevêque de Constantinople et docteur de l’Église, 82e homélie de son Commentaire sur l’Évangile selon Saint Matthieu.)
Pour plus de références voir l’article publié par Fray Agrícola le 4/08/2015 sur naturaboni.blogspot.com/…/transexual-recibe-la-com.
Le Vatican, pays le moins Catholique du Monde. Je n’ose imaginer ce qui s’y passe, en terme de débauches et de sorcelleries.
Par son affirmation « Qui suis-je pour juger » les homosexuels, Bergoglio se dénie le pouvoir de « LIER ET DÉLIER » car pour ce faire il faut précisément FAIRE UN JUGEMENT. Il déclare donc lui-même n’avoir pas le Pouvoir donné à saint Pierre et à tous ses Successeurs légitimes.
Parfaitement Michel Mottet !!! Dieu nous donne suffisamment de signes que ces usurpateurs sont dénués de tous pouvoirs sacerdotaux ! Dans la secte, tout, absolument tout, est vain, nul et non avenu. Ce qui n’empêche pas Dieu de suppléer au cas par cas…mais cela reste le mystère de Sa Grâce et de Sa Miséricorde…
Quant à leurs « temples » (indignes du nom d’église ou cathédrales), ce sont des lieux infestés de démons, voire maudits pour certains, et tout catholique ne doit y mettre les pieds sous aucun prétexte (surtout pendant les synaxes ou autres cérémonies), hormis certaines obligations civiles ou mondaines pendant lesquelles il doit se montrer d’une passivité et d’une réserve à toute épreuve.
@ Michel Mottet : Vous dites : « Bergoglio se dénie le pouvoir de « LIER ET DÉLIER » car pour ce faire il faut précisément FAIRE UN JUGEMENT »
Drôle de conclusion hâtive ! Un jugement est toujours nécessaire comme dans toute action.
Le pouvoir de lier et délier est le pouvoir de Dieu, transféré aux ministres. Néanmoins, le « je » du Saint Père est un « je » non ministériel, personnel. Un prêtre ne juge personne, ou alors fait une faute. On peut juger une action, utiliser son jugement pour lier et délier, mais ne jamais juger la personne ! Relisons l’Évangile ensemble si vous voulez.
Jésus a jugé les actions, les personnes de mauvaise foi (curieusement il a jugé les orgueilleux et cupides, les pharisiens dont les phylactères se sont muées en soutanes et surplis rances dans nos églises…) Jamais il n’a jugé les personnes par rapport à la sexualité. Au pire il a enjoint de ne « plus pécher » : conseil donné de manière équivalente dans de nombreux cas y compris n’ayant aucun rapport avec des « péchés de chair ».
Quand a-t-il parlé des « sodomites » ? (D’ailleurs, dans l’article ci-dessus il est nauséabond de comparer un homosexuel à un sodomite ! Apparemment l’auteur, mal renseigné associe une orientation d’une personne à une supposée pratique rituelle du milieu. Il faudrait qu’il soit plus proche du milieu pour s’apercevoir que homo n’est pas égal à sodo…)
Je vous souhaite une vie remplie de l’Amour divin qui selon l’apôtre Paul ne connait ni les sexes, ni les frontières…
Monsieur Jorrot,
vous dites (à tord) :
dans l’article ci-dessus il est nauséabond de comparer un homosexuel à un sodomite ! Apparemment l’auteur, mal renseigné associe une orientation d’une personne à une supposée pratique rituelle du milieu. Il faudrait qu’il soit plus proche du milieu pour s’apercevoir que homo n’est pas égal à sodo…
La définition de « sodomie », définition dans le dictionnaire Littré :
► http://www.littre.org/definition/sodomie
Homme qui se livre à la sodomie ; en partic., homosexuel actif ou passif.
► http://www.cnrtl.fr/definition/sodomite
Cher Louis Jorrot,
Comme on dit communément votre message « m’interpelle »………
Pour deux raisons au moins :
1/ votre regard sur la notion de « jugement » ;
2/ votre approche du concept de « sodomie » et l’évaluation a-normative qui en découle.
Je suis bien conscient qu’en répondant à votre message de manière non dogmatique et non entièrement normative, je prends quelques risques, nos milieux étant particulièrement prompts à « jauger », cataloguer, condamner et discriminer hors des règles de la foi pure qui ne peut être qu’en accord total avec celles de la charité, le lien étant bien entendu celui de la vérité à laquelle nous sommes tous ici en principe particulièrement attachés.
Au passage je remercie notre administrateur d’avoir fait son devoir et de vous avoir soumis quelques définitions. À mon sens, cela ne saurait suffire pour lever les doutes et les craintes de votre âme que je ressens très angoissée, tout en étant drapée dans un paraître qui se veut humaniste, altruiste, généreux……
Hélas ces notions toutes humaines ne sauraient expliquer en profondeur les mystères de notre sainte religion et celui, bien profond,que l’on nomme mystère d’iniquité à l’œuvre dans la Sainte Église de Jésus Christ au point même de l’éclipser aux yeux d’un petit nombre…
Oserai-je ici vous soumettre mes intuitions, cher Louis Jorrot, sans pour autant émettre le moindre jugement en votre défaveur, du moins au niveau de vos intentions spirituelles ?
Vous vous dites, en tout cas vous laissez penser à, que vous êtes ou avez été proche des milieux homosexuels et donc dans une certaine mesure des personnes homosexuelles dont la grande diversité est sans doute à l’image de celles qui sont qualifiées d’« hétérosexuelles ». Peut-être même êtes-vous inverti vous-même (le mot a un peu vieilli mais il exprime bien la « substance » de cette particularité affective et sexuelle). Cela ne vous confère aucun privilège ou passe-droit mais vous apporte sans doute quelques possibles réflexions, analyses et méditations sur une déviation, qui, selon certaines statistiques, serait le lot d’environ 10 % d’une population référencée.
Mais revenons, voulez-vous, sur le premier point qui me tient à cœur. Votre désaccord avec Morin semblerait dû à une imprécision concernant la notion de jugement. Détrompez-vous, cher Louis Jorrot, ON PEUT ET ON DOIT DANS CERTAINES MATIÈRES GRAVES (souvent définies par l’Église justement) JUGER LES PERSONNES COMME ÉTANT LA SOURCE ET LES ACTEURS DE TEL OU TEL ACTE. (lire par ex. dom Sarda y Salvani)
Mais attention ! Et c’est là que je vous demande la plus grande attention : ce jugement des personnes ne peut et ne doit se faire en aucune manière au FOR INTERNE, mais uniquement au for externe ! Votre oubli (involontaire ?) de cette précision majeure, rend le jugement évoqué conflictuel, relatif et frappé du sceau infâmant de « manquement à la charité ». Je vous demande de bien saisir cette notion et de l’appliquer à beaucoup de vos pieuses indignations. Je vous garantis qu’alors vous y verrez plus clair et vous verrez surtout croître en vous l’amour du prochain, donc l’Amour d’un Dieu qui nous a dit que ce que nous faisons au plus petit d’entre nous c’est à Lui que nous le faisons ! N’est-ce pas sublime ?…
Le jugement est un acte d’amour et de charité qui s’adresse avant toute chose à la personne qu’on juge. « Qui me convaincra de péché ? » a dit Notre-Seigneur et aussi « Que celui d’entre vous qui est sans péché lui jette la première pierre »…et l’on sait que ce sont les « vieux » qui se sont détournés les premiers du lieu de lapidation…
Lorsque Notre-Seigneur a dit à la prostituée « va et ne pèche plus » n’a-t-Il pas émis un jugement par le fait même ? Pas de condamnation définitive et au for interne : « VA ! » Mais le jugement tombe aussitôt : si tu veux être vraiment pardonnée, pardonne-toi toi-même en reconnaissant ta faute et pour ce faire un seul moyen radical « NE PÈCHE PLUS » !
Où l’on voit toute la magnificence du sacrement de pénitence prévu par Dieu pour nos faiblesses extrêmes… Car tous les pécheurs sont récidivistes !!!… Et même le saint pèche 7 fois par jour…… Notre liturgie ne proclame-t-elle pas chaque jour que seul Dieu est Saint ? Sanctus Sanctus Sanctus……
C’est donc Notre-Seigneur, qui par l’intermédiaire du prêtre, nous juge au confessionnal, selon des critères bien définis par l’Église. Mais notez bien que, dans ses fonctions sacrées, le prêtre étant un « alter Christus », Dieu, qui aime tant ses prêtres, leur laisse une bonne latitude de jugement afin qu’ils ne soient pas des robots exécuteurs du droit canon de l’Église… Ils jugent, remettent et retiennent selon une merveilleuse prérogative divine et selon leur conscience et compréhension des cas qui se présentent à eux… Non seulement on les forme au séminaire pour cela mais le Saint Esprit les assiste dans cette tâche difficile pourvu qu’ils y soient dociles et en filial respect de cette troisième personne de la Sainte Trinité.
On comprend donc à quel point le prêtre indigne et/ou mauvais juge joue assurément avec son salut éternel !
Abordons à présent, cher Louis Jorrot, la deuxième partie de votre message. Je vais tenter de le faire avec fermeté tout autant que délicatesse. Ce sujet délicat nous pourrions l’explorer de mille et une manières, tant il le fut et l’est encore par des instances scientifiques, médicales, morales et même sociologiques.
La querelle avec Cave Ne Cadas semble porter sur le mot « sodomie » et ses implications. S’il n’appartient pas en propre au monde homosexuel, reconnaissons qu’il est fortement connoté dans les mœurs inverties. L’instinct sexuel, de par un divin décret, est très puissant dans l’Homme au sens générique du terme. Sans vouloir distinguer ici, les différences fondamentales entre la psychologie féminine et la masculine, votre approche de la sodomie relève sans doute de votre vécu et de votre observation du « vivant » !!! Comprenez bien cher Louis, que la doctrine catholique doit être de toutes les époques, pour toutes les actions de l’Homme, qui malgré la succession des âges, ne change pas fondamentalement et reste soumis à la Loi éternelle de Dieu. Vous nous dites, qu’on ne saurait confondre « homo » avec « sodo ». Je vais tenter de vous démontrer que cela est irrecevable sur le plan de la morale et de la dogmatique, et que même sur un plan « humaniste » cela génère une corruption de la pensée et de la notion même de péché.
IL est bien évident qu’un nombre sans doute non négligeable d’homosexuels ne pratiquent pas la sodomie et que même peut-être pour certains d’entre eux cette pratique sexuelle suscite leur profond dégoût. Mais c’est un faux problème. (Et puis qui se vantera de tenir les chandelles ?) En effet, devrai-je pour mieux me faire comprendre vous rappeler que cette pratique est un « hommage » inversé (détourné donc de sa fin) à la pénétration vaginale hétérosexuelle ? Si j’osais, je dirais que beaucoup d’homosexuels pratiquants sont des hétérosexuels (refoulés ?) qui s’ignorent !!! Un homme normalement constitué, dont l’instinct animal n’est pas complètement refoulé ou sublimé, est mû par son désir très naturel de pénétrer sa partenaire. C’est le Bon Dieu qui a décidé que c’est comme ça qu’on pourrait être co-créateur avec Lui d’enfants à naître ! Chaque conception déclenche au Ciel un concert de louanges vers le Créateur !
Sauf que dans le cas des relations homosexualisées le chemin parcouru…ne permet pas cette co-création !!! Comment voulez-vous que Dieu approuve un acte qui – en soi – ne peut donner la vie ? C’est impossible ! Vous connaissez tout comme moi la première fin du mariage et toutes ses exigences…… Adorable disposition d’un Dieu infiniment bon qui connait de toute éternité la puissance faillible de nos instincts et à partir de nos faiblesses affectives et même de nos tares continue inlassablement à donner la vie à de nouvelles âmes qu’Il aime de toute éternité car elles sont inscrites dans l’Arbre de Vie…
Ainsi, voyez-vous, le jugement d’un tel acte « désordonné » (car non conforme à sa fin légitime) doit être implacable et sans appel ! Il en va de l’honneur de Dieu ! On ne peut aimer que ce que l’on respecte. Qui est plus respectable que Dieu ? Nous lui devons l’Être, c’est à dire TOUT ce qui fonde et fait notre existence.
Et j’en reviens tout naturellement à notre première partie car tout se tient, et être catholique c’est aimer non seulement la vérité mais aussi s’attacher à ce bon sens et à cette charité qui font les saints et confondent les superbes, les « pharisiens » et les orgueilleux !
En émettant ce jugement sans appel sur la sodomie, nous jugeons au For Externe par le fait même, les personnes qui la pratiquent habituellement mais nous laissons à Dieu, par le biais du FOR INTERNE, le soin de la réprobation éternelle. À Dieu seul le Jugement (final).
Quant à parler de « pratique rituelle » cher ami, moi je veux bien, mais c’est réduire le problème à ce qu’il n’est pas : un particularisme digne d’une expertise entomologique !!! Vous trouverez dans la nature, ET CHEZ LA GENT HUMAINE, toutes sortes de déviations, perversions et anomalies génésiques ou autres…ce n’est pas pour autant qu’il faut les hausser au grade de cas généraux.
J’ai été bien bavard. (Et j’aurais bien pu l’être davantage !) D’aucuns vont m’en tenir rigueur, d’autres vont extrapoler indûment et d’autres encore dire que le sujet ne mérite qu’un seul traitement : celui de Saint Paul…un ancien rabbin. Soit ! J’ai voulu apporter une approche un peu personnalisée à un lecteur lambda…… Qui me jettera la première pierre ??? (Je veux des noms !!!
)
Louis Jorrot, merci de votre patiente attention.
@ Monsieur Charles
« Vôtre désaccord avec Morin semblerait dû à une imprécision … »
Pom…pom …pom…pom…que vient faire « Morin » dans cette affaire ?
Vous devez confondre … , « Morin » hante-t-il vos nuits à ce point de le citer en lieu et place d’un autre ?
Mais bon… pas grave … !!! je veux bien vous donner un coup de main sur cette affaire !!!
Y a-t-il des unions homos masculines « non consommées » ? ça m’étonnerait ! ; y a-t-il des homos n’ayant pas eu de relations avec un partenaire, ça m’étonnerait également, puisque des études ont montré que les homos avaient une sexualité plus active que les hétéros, avec changement beaucoup plus fréquent de partenaires.
L’homosexualité conduit quasi inexorablement vers la sodomie, tout comme la contemplation d’une autre femme que la sienne conduit à l’adultère (moral ou physique).
La sodomie existe aussi chez les hétéros comme moyen « contraceptif ».
Je ne sais plus quel saint ou personnage avait dit (je cite approximativement de mémoire) : « est il possible de plaire à Dieu en déversant une si noble semence dans un si infâme orifice » ?
Depuis son « non serviam », Lucifer n’a de cesse d’encourager l’homme à s’abaisser et s’autodétruire.
Chers tous…
Pourquoi réduisez-vous tous la « sodomie » à un acte particulier qui est de sodomiser…
La sodomie & les sodomites dont parle l’Église recouvre un ensemble de relations sexuelles réprouvées.
Le terme de sodomie vient du nom de la ville de Sodome qui, selon la Bible, fut détruite par Dieu après que ses habitants eurent tenté de violer des anges de Dieu réfugiés chez Loth, le neveu d’Abraham (cf. l’épisode de Sodome et Gomorrhe). Dans cet épisode, il n’est pas explicitement fait mention de la sodomie telle qu’on la définit actuellement : les autres références au péché de Sodome dans la Bible évoquent plutôt le manque au devoir d’hospitalité très important dans le Proche-Orient ancien (Ez. 16,49 ; Jr. 23,14 ; Sir. 16,8 ; Lc 10,10-12). L’interprétation en termes de sodomie ou d’homosexualité commencerait à apparaître avec les apocalyptiques juives tardives et chez les juifs hellénisés au début du IIe siècle. Origène (185-253) et Saint Ambroise de Milan (340-397), pourtant grands ennemis du péché de chair, évoquent le manquement à l’hospitalité. Sans doute en référence aux alliances interdites entre les fils de Dieu et les filles d’humains qui provoquent la colère de Dieu en Gen. 6,1-4, les commentaires juifs attribuaient des relations interdites entre les femmes de Sodome et les anges. Ainsi, jusqu’au XVIIe siècle, le terme sodomie recouvrait un ensemble de relations sexuelles réprouvées, pas seulement anales ou homosexuelles.
Dans certains contextes, notamment les classifications légales de certains États fédérés des États-Unis, le terme anglais sodomy (en) inclut d’autres pratiques sexuelles jugées déviantes par certains, notamment le cunnilingus et la fellation. En allemand (Sodomie) le terme ne fait aucunement référence à la pénétration anale mais désigne la zoophilie.
La définition de « sodomie », définition dans le dictionnaire Littré :
► http://www.littre.org/definition/sodomie
Homme qui se livre à la sodomie ; en partic., homosexuel actif ou passif.
► http://www.cnrtl.fr/definition/sodomite
Les habitants de Sodome voulurent abuser des anges car ils voyaient en eux de jeunes beaux garçons, pour que le péché fut moindre, pour calmer l’ardeur des hommes de tous âges et ne pas manquer au devoir d’hospitalité, Loth leur proposa ses filles, nous dit Dom de Mauléon dans son récit de l’ancien testament.
Il semble donc que l’adultère et les relations hors mariage sont un péché moindre que la sodomie.
La « LUXURE » désigne un penchant immodéré pour la pratique des plaisirs sexuels.
Cette définition renvoie aussi à une sexualité désordonnée ou incontrôlée.
LUXURE, mot qui date de 1119, du latin « luxuria ».
À noter que tout catholique, par le libre arbitre que Dieu lui a donné, peut et doit poser un jugement sur la question de l’homosexualité. Il peut et doit le faire sur la base de la loi naturelle et de la loi divine. Or tant l’une que l’autre condamnent ces pratiques tant pour la femme que pour l’homme. Les textes de l’Ancien comme ceux du Nouveau Testament sont d’ailleurs très clairs et ne permettent pas la moindre interprétation. Ces pratiques conduisent en enfer, à moins de confession, de repentir et d’absolution.
Épître de saint Paul aux Romains I, 18-32
Sans commentaires
18 En effet, la colère de Dieu éclate du haut du ciel contre toute impiété et toute injustice des hommes, qui, par leur injustice, retiennent la vérité captive ;
19 Car ce qui se peut connaître de Dieu, est manifeste parmi eux. Dieu le leur a manifesté.
20 En effet Ses perfections invisibles, Son éternelle puissance et Sa divinité sont, depuis la création du monde, rendues visibles à l’intelligence par le moyen de Ses œuvres.
21 Ils sont donc inexcusables, puisque, ayant connu Dieu, ils ne L’ont pas glorifié comme Dieu et ne Lui ont pas rendu grâces ; mais ils sont devenus vains dans leurs pensées, et leur cœur sans intelligence s’est enveloppé de ténèbres.
22 Se vantant d’être sages, ils sont devenus fous ;
23 Et ils ont échangé la majesté du Dieu incorruptible pour des images représentant l’homme corruptible, des oiseaux, des quadrupèdes et des reptiles.
24 Aussi Dieu les a-t-Il livrés, au milieu des convoitises de leurs cœurs, à l’impureté, en sorte qu’ils déshonorent entre eux leurs propres corps,
25 Eux qui ont échangé le Dieu véritable pour le mensonge, et qui ont adoré et servi la créature de préférence au Créateur, (lequel est béni éternellement. Amen !)
26 C’est pourquoi Dieu les a livrés à des passions d’ignominie : leurs femmes ont changé l’usage naturel en celui qui est contre nature ;
27 De même aussi les hommes, au lieu d’user de la femme selon l’ordre de la nature, ont, dans leurs désirs, brûlé les uns pour les autres, ayant hommes avec hommes un commerce infâme, et recevant, dans une mutuelle dégradation, le juste salaire de leur égarement.
28 Et comme ils ne se sont pas souciés de bien connaître Dieu, Dieu les a livrés à leur sens pervers pour faire ce qui ne convient pas,
29 Étant remplis de toute espèce d’iniquité, de malice, de fornication, de cupidité, de méchanceté, pleins d’envie, de pensées homicides, de querelle, de fraude, de malignité, semeurs de faux bruits,
30 Calomniateurs, haïs de Dieu, arrogants, hautains, fanfarons, ingénieux au mal, rebelles à leurs parents,
31 Sans intelligence, sans loyauté, (implacables), sans affection, sans pitié.
32 Et bien qu’ils connaissent le jugement de Dieu déclarant dignes de mort ceux qui commettent de telles choses, non seulement ils les font, mais encore ils approuvent ceux qui les font.
Il est intéressant de faire le parallèle entre ce qui se passe actuellement dans la secte conciliaire et l’affaire « Gaillot » en 1995.
Celui qui faisait scandale il y a de cela 20 ans ferait maintenant partie des « progressistes » sous le règne de François Ø.
Pauvre Gaillot ! Surtout, cher Nordland, depuis qu’il s’est trouvé un « pote » en la personne de l’Abbé Laguérie, ancien « curé » de St Nicolas-du-Chardonnet……
Quand les extrêmes (?) se rejoignent…vous dis-je !

Pour qui n’ont pas encore réussi à approcher de dieu (votre serviteur), il est parfois des manières de saisir, l’espace d’un instant, le genre de choses que la foi apporte.
Medrawt… J’ai écouté ce magnifique morceau de musique que vous nous avez proposé avec votre petit commentaire…… Il m’apparaît évident que :
1/ vous êtes une âme souffrante car vous attendez quelqu’UN qui ne vient pas ou qui tarde à venir…
2/ ce quelqu’Un est plus proche de vous que vous ne le pensez car il est déjà dans votre maison ! IL frappe mais vous ne L’entendez pas ! Encore invisible à votre âme trop en recherche, vous ne LE voyez pas là où Il se trouve vraiment !
3/ La (belle) musique est le moyen sensible par lequel vous pensez « approcher » Celui que vous attendez. C’est une arme à double tranchant ! Ce moyen aussi sublime soit-il reste une création humaine et comme tel ne doit pas être confondu avec la véritable BEAUTÉ, qui dépasse l’entendement, de Celui que vous voulez « approcher ».
4/ ne vous contentez pas de vouloir le trouver là où Il n’est pas vraiment mais dites Lui que vous aimeriez faire Sa connaissance sans intermédiaire trop humain ou trop sensible. Présentez Lui cela comme une sorte de respectueuse requête de l’impossible. Vous verrez qu’Il a réponse à tout et Il vous surprendra par le chemin qu’Il empruntera pour vous rencontrer…
5/ Ainsi votre premier pas vers Lui ne pourra pas se réduire à Le louer à travers une œuvre humaine si belle soit-elle car Il n’aime tant qu’être aimé que pour ce qu’Il est vraiment de toute éternité… le Créateur du Ciel et de la Terre.
6/ Arrêtez toute recherche extérieure, rentrez en vous-même et parlez-lui du plus profond de votre cœur. Il se laissera toucher. Mais je ne peux pas vous dire si cela se fera rapidement ou prendra peut-être toute votre vie !…
Bach reste une énigme … un protestant qui écrit des musiques si inspirées.
Je pense qu’on aura des surprises, dans une certaine vallée, de Josaphat, quant au nombre des Élus … et des damnés.
@Charles
Cet entendement de l’âme humaine, vous honore. Vos conseils sont sages et seront suivis.
Votre Seigneur, qui est le mien aussi (baptisé et sensible au seul message du Christ) a peut être, pour l’heure, d’autres projets pour les gens comme nous, toutefois.
Content de votre appréciation, et de celle de Édouard-Marie, de cet extrait de Bach.
Merci bien Charles
La foi n’est pas du domaine du sensible mais de l’intelligible surélevé par la grâce divine. Ceci dit comme nous sommes faits de chair et d’esprit, nous sommes obligés de passer par les choses sensibles pour parvenir aux intelligibles. La beauté sensible, la création, nous mène au Créateur de toutes beautés de toutes vérités, admirant l’œuvre nous cherchons à connaître l’auteur et connaissant l’auteur nous devons lui rendre grâce et le glorifier, lui faire l’hommage de notre intelligence et de notre volonté, reconnaitre sa Souveraine Puissance et Bonté.
Tout don, tout génie musical ou d’un autre art doit nous conduire à la source, à son origine, mais il y a une infinie distance entre la nature et la grâce qui ne peut être franchie qu’avec l’aide de Dieu.