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…lorsque va passer la Justice de Dieu rien ne pourra l’arrêter

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« Tout royaume divisé contre lui-même court à la ruine ; et nulle ville nulle maison divisée contre elle-même ne saurait se maintenir. » (Mt. 2, 25)

…car lorsque va passer la Justice de Dieu rien ne pourra l’arrêter.

 

 

C’est ainsi qu’un nouvel optimisme chrétien doit (re)naître jusque dans nos rangs. Dieu veille jalousement sur Son Église, toute éclipsée soit-elle… Et nous devons considérer cette éclipse comme providentielle, miraculeuse, signe véritable que l’Église Catholique est l’Épouse du Christ et qu’à ce titre aucune des divisions et apostasies de ce monde ne peut l’atteindre dans son essence même qui est faite de sainteté, d’unité, de catholicité et d’apostolicité.

L'Église est éclipsée

Nous commençons d’assister aux prémices d’une auto-destruction de la pseudo-Église, j’ai nommé la secte Moderniste qui a éclipsé la Sainte Église en détruisant ou modifiant tous ses rites, toutes ses règles et toutes ses œuvres saintes.

Nous sommes en principe convaincus, nous autres catholiques “semper idem”, de la nullité intrinsèque de tous les actes, rites et sacrements de la secte Conciliaire. Hélas ! il y a parfois loin de la coupe aux lèvres…et l’homme est ainsi fait qu’il y a souvent une grande distorsion entre ses convictions de principe et ses pratiques de croyant…

Rien ne va plus en effet chez nos voisins d’en face : une bataille feutrée, une sourde inimitié se fait jour chez tous ces princes parés frauduleusement des attributs de la véritable Église. D’aucuns ont compris que le clown qui les dirige veut brûler certaines étapes et cela ne colle pas avec leur volonté de transmutation lente et durable de la mentalité catholique. On ne badine pas avec la gestion des leurres ! L’aveuglement leur fait prendre en effet pour catholique ce qui ne l’est plus depuis longtemps : nous sommes au cœur du châtiment ! Ainsi, des « cardinaux », de plus en plus nombreux, s’opposent, de plus en plus ouvertement, à d’autres « cardinaux » et au premier d’entre eux qui se fait appeler François…

François Ø

 

Certes, cette guerre intestine ne nous concerne pas dans l’absolu et ne peut avoir aucune influence sur ce qu’est la véritable Église, qui, rappelons-le encore, n’est pas que militante, mais aussi souffrante et triomphante. Il y a des réalités surnaturelles qu’on ne saurait rayer d’un trait de plume, et les plus beaux leurres restent impuissants vis à vis de ces réalités là qui sont d’un autre monde, celui auquel nous sommes tous appelés puisque « la vie n’est pas la vie ». (Mgr Gaume)

Dans l’article suivant, que vous lirez avec intérêt mais avec un esprit chrétien, vous y verrez les prémices du jugement de Dieu sur tout ce qui n’est pas fondé en Lui.

Je mets en garde les lecteurs car ils seront tentés par deux attitudes en apparence contradictoires :

1/ se réjouir trop vite, manquer à la charité, et oublier que les châtiments seront surtout faits pour les vrais catholiques, les autres ayant déjà, de par leur aveuglement pertinace fruit de leur apostasie, bu en partie à la coupe de la colère de Dieu.

2/ sombrer dans le désespoir de voir l’édifice catholique s’écrouler de toutes parts et risquer de mettre sa foi en danger tellement les leurres sont puissants et envahissent notre psychisme d’une peur irrationnelle instrumentée et alimentée par la confusion entre l’Église de Notre-Seigneur et sa contrefaçon diabolique.

Dans cet article on y parle de « révolte »…de « coupe qui est pleine »…de « déclaration de guerre »… des « péchés du “Pape” » (sic!)…de « résistance organisée »…de « Monsignori hors d’eux-mêmes »…etc…etc…

Comme vous le voyez, le vocabulaire employé est fort et ne fait pas dans la langue de buis vaticane…

Quel exemple d’unité cette “église” va pouvoir donner à un monde qui est déjà au bord du précipice ?

Alors chers amis, il nous faut tout de même nous réjouir de cette autodestruction évoquée jadis par Montini et dont on a sous-estimé la portée symbolique et initiatique ; les ennemis de Dieu savent qu’ils ne gagneront aucune bataille définitive… Quis ut Deus? Ils connaissent leur sort encore mieux que nous et je pense que Montini dans une sorte de prescience préternaturelle évoquait non pas l’Église Catholique, mais la “néo-église secte” sortie tout droit du paquetage infernal du conciliabule dit de Vatican II… Lorsqu’il parlait des fumées de Satan, c’était en connaissance de cause car l’aveuglement était déjà en lui, et confondre à ce poste l’Église avec la secte est déjà le plus grand des châtiments ! Dieu veille sur Son Église et permet à ceux qui Le persécutent d’entrevoir une partie de leur châtiment.

Mais je vous laisse découvrir ce texte qui ne vous laissera pas indifférents.

Pierre Legrand.

 

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Les bons prêtres…“missionnaires” versaillais de la F$$PX

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Les bons prêtres…“missionnaires” versaillais de la F$$PX

 

« Le Saint Vincent » est le bulletin du prieuré de Versailles de la FSSPX. Des plumes élégantes et érudites s’y distinguent et ornent le dit bulletin de signatures à particules (nobiliaires ou non) : abbés de Lacoste, de Beaunay, de Crécy… Il y a même un Abbé Xavier Lefebvre !!!

M. l’abbé Bernard de Lacoste-Lareymondie est aumônier des routiers et scouts ainsi que Prieur-Directeur de l’école Saint Bernard.

Nous sommes donc dans le beau monde de la tradition, versaillaise et dorée sur tranche ; il suffit pour s’en convaincre d’admirer les dons offerts aux jeunes prêtres par les fidèles : calices et ciboires en orfèvrerie, etc…

Dans un tout récent éditorial, M. l’Abbé de Lacoste nous gratifie d’affirmations et de constatations qui valent leur pesant……

1/ la crise de l’Église se prolonge : nous ne l’aurions sans doute pas cru si M. l’Abbé n’avait pas eu la bonté de nous le rappeler !!!

2/ synode et béatification de Paul VI ne rendent pas optimistes : ma foi, on le serait à beaucoup moins M. l’Abbé !!! vous êtes taquin !……

3/ seulement voilà, l’Abbé nous délivre, tel un secret, le véritable artisan de tous nos maux : la lassitude !!! mais oui ! car elle mène au découragement et à l’abandon de la lutte.

4/ ensuite notre abbé se livre à une courte mais percutante analyse, prenant en quelque sorte à partie Satan qui est « fin psychologue » et pousse prêtres et fidèles à une lente trahison. Le mot est lâché ! Merci Monsieur l’Abbé ! Encore eut-il fallu définir avec précision en quoi consiste cette trahison des clercs…mais là on reste un peu sur notre faim !

5/ pour l’Abbé résister demande non seulement l’intelligence pour distinguer les « erreurs » mais requiert une « force peu commune ». On objectera à l’Abbé que la foi est à la portée de toutes les âmes pourvu qu’elles acceptent de soumettre leur intelligence, leur volonté et leur cœur à la grâce divine et fassent preuve non pas d’une force peu commune mais d’une humilité à toute épreuve, ce qui n’est pas tout à fait la même chose…

6/ après un rappel que « Dieu reste le maître des événements », l’Abbé de Lacoste en arrive à la conclusion tant attendue de ses lecteurs qui, par définition, sont désemparés car bien peu d’entre eux possèdent cette « force peu commune »

7/ le pape ne serait plus le pape ? Horreur et stupéfaction !!! L’Abbé a osé ! Même si ce n’est qu’une hypothèse, iconoclaste certes (surtout à Versailles, siège de la monarchie absolue) il lui faut vite la réduire à néant pour l’empêcher de nuire… Alors l’Abbé emploie et prononce un mot très fort, de ceux qui n’appellent aucune répartie, aucune objection ; telle une arme de destruction massive, notre Abbé répond d’un mot : NULLEMENT. L’Abbé a parlé, la cause est entendue !

8/ l’enchainement logique de ce mot magique « NULLEMENT » ne se fait pas attendre… Avec une onction et une réticence toute versaillaise notre bon abbé nous déclare qu’il aimerait bien adopter (sic !) la position d’obéir au Pape (avec “P” majuscule puisque « nullement » !). Admirable conditionnel clérical !!!

9/ Nous tenons enfin notre « trahison » que l’Abbé avec une emphase toute jésuitique nous délivre presque comme à regret : ce serait donc trahir que d’obéir à ce Pape et d’accepter son enseignement ! Voilà ! le tour est joué et c’est avec un panache digne du roi soleil que l’Abbé vient de nous résumer toute l’impasse que représente la Fraternité.

10/ Mais venons-en au remède, car que faut-il faire, selon l’Abbé, pour garder le cap ? Je vous le donne en mille : étudier la doctrine catholique…dans nos prieurés !!!

11/ Et pour finir, l’Abbé en appelle à la charité missionnaire tout en invoquant la Sainte Vierge afin de répondre aux critiques non par le mépris mais par cette profonde charité dite missionnaire. Qui l’eut cru ? Nos anciens missionnaires ont-ils incité leurs ouailles à ne pas obéir au Pape ? Cela mériterait de compétentes recherches tout au long des siècles de l’histoire de l’Église…… Je ne sais pourquoi mais j’ai comme un petit doute…

Dormez tranquilles, chers versaillais, vous avez de bons prêtres…missionnaires !!!


Abbé Bernard de Lacoste, fsspx – Le Saint Vincent] Se décourager dans la crise?

1ère Page du bulletin "Le Saint Vincent N°8, décembre 2014SOURCE – Abbé Bernard de Lacoste, fsspx – Le Saint Vincent (éditorial) – décembre 2014


 

La crise de l’Église se prolonge. Le synode sur la famille et la béatification de Paul VI ne peuvent guère nous rendre optimistes. Face au drame que nous vivons, un danger nous menace : la lassitude, qui peut conduire au découragement et finalement à l’abandon de la lutte. Le démon, fin psychologue, pousse les âmes des prêtres comme des fidèles à cette trahison progressive. D’autres plus forts que nous ont lâché. Et nous, tiendrons nous bon jusqu’au bout ? Celui qui persévèrera jusqu’à la fin sera sauvé, dit Notre-Seigneur. Alors courage ! Il faut ramer continuellement à contre-courant, alors que nos contemporains se laissent entraîner par le courant. Il faut résister dans notre intelligence à toutes les erreurs, dans notre volonté à toutes les immoralités, et cela demande une force peu commune. D’où la défaillance de plusieurs.

Au milieu de cette mystérieuse obscurité, une vérité reste certaine et lumineuse : Dieu reste le maître des événements. Le mal n’existe que dans la mesure où Dieu le permet. Les ennemis de l’Église tiennent du Créateur leur existence et leur pouvoir de nuire. Nous savons aussi que la sagesse divine ne permet le mal que pour un plus grand bien. Ceci étant rappelé, le mystère de la situation actuelle n’est pas levé. Les erreurs continuent de se répandre, la morale continue d’être ébranlée par ceux-là mêmes qui sont chargés par le Christ d’en rappeler les exigences.

Mgr Lefebvre

Mgr Marcel Lefbvre

Que conclure ? Que le pape n’est plus le pape ? Nullement. Qu’il faut se taire et accepter docilement ce que nous enseigne le pape François ? Nous aimerions avoir le droit d’adopter cette position. En temps normal, cette simple question aurait choqué, tant la réponse doit être évidente. Mais aujourd’hui, répondre positivement à cette interrogation est une trahison. Par fidélité à Notre-Seigneur et à la sainte Église romaine qu’il a fondée, nous avons le devoir de croire sans défaillance à tous les dogmes catholiques et de suivre sans compromission la morale catholique. Prêtres et pasteurs d’âmes, nous avons le devoir de prêcher la vérité à temps et à contretemps, surtout si cette vérité n’est plus enseignée à Rome. Chers fidèles, vous garderez le cap si votre piété est solide et si vous étudiez régulièrement la doctrine catholique. Les conférences mensuelles au prieuré ont pour but de vous y aider.

Et si notre prochain nous critique, nous méprise ou nous calomnie pour le combat que nous menons, alors que la sainte Vierge Marie nous aide à répondre à ces attaques non par le mépris, mais avec une profonde charité missionnaire.

Abbé Bernard de Lacoste +

 

Source TradiNews : http://tradinews.blogspot.fr/2014/12/abbe-bernard-de-lacoste-fsspx-le-saint.html

 

QUIS UT ECCLESIA ! ! !

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Notre dernier article, « Vatican D’Eux : canonisations, béatifications, synode & Cie… » a entraîné une Disputatio effrénée suite à la « contestation » du fait que je disais que « pour nous », Fidèles semper idem, il ne s’était RIEN passé dans l’Église catholique le week-end dernier alors que la secte « église Conciliaire » concluait en ce « Dimanche des conviés aux noces » ses parodies de béatification et de synode et que « pour nous », Fidèles semper idem… ce dimanche 19 octobren’était pas un jour de tristesse, jour de deuil…marqué malheureusement d’une pierre noire !…

Le premier a avoir “ouvert les hostilités” étant « Alexandre » (lien permanent), c’est lui le premier visé (mais c’est valable aussi pour tous les contradicteurs) par la très bonne réponse que nous donne notre cher correspondant « Omnibus Orthodoxis atque Catholicae, et Apostolicae Fidei Cultoribus ». (lien permanent) :

 

Quis Ut Ecclesia ! ! !

 

Ou le monde perdu d’Alexandre le bienheureux qui s’attriste que Michou soit sur la table conciliaire et nous fait consterner une drolatique fâcheuse petite crise nerveuse.

Alexandre s’attriste et moi paraphrasant Saint Paul, je me réjouis qu’ils ne fassent pas plus de progrès dans la déchéance, espérant toutefois que leurs égarements insensés soient prochainement vraiment flagrants pour tous … c’est pas gagné … avec Fellay l’Iscariote !

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VATICAN D’EUX : canonisations, béatifications, synode & Cie…

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Une tempête impétueuse a soufflé dimanche dernier dans beaucoup de chapelles d’une certaine tradition…

Des ralliés (n’en parlons pas !) aux tradis de la fausse-majorité-Traditionnelle (F$$PX) jusqu’aux tradis Verruenien (1) se sont “scandalisés” dimanche 19 octobre 2014… suite aux derniers événements que la secte conciliaire concluait en ce « Dimanche des conviés aux noces » (pour nous ! pas pour Eux…).

Ce dimanche nous présentait pourtant, selon Dom Pius Parsch, une magnifique image de l’automne liturgique (dans l’Église catholique !) :

Dom Pius ParschNous voyons une salle de festin brillamment éclairée, où sont assis de nombreux invités, revêtus d’habits d’une blancheur éclatante. Dans l’attente, tous portent leurs regards vers la porte qui doit s’ouvrir à tout instant pour laisser entrer le Roi venant rendre visite aux invités ; les invités, c’est nous, chrétiens ; la blanche robe nuptiale, c’est le vêtement baptismal de la filiation divine ; le roi qui arrive, c’est le Seigneur dont le retour est attendu. La grande préoccupation de notre vie doit être de posséder la blanche robe nuptiale ; c’est l’homme nouveau que nous devons revêtir dans la vraie justice et sainteté (Épître) ; c’est l’accomplissement de la volonté de Dieu (Oraison).

 Et nos bons tradis n’avaient aux oreilles et à la bouche qu’une préoccupation…

Ce 19 octobre restera dans l’histoire comme le jour où Jean-Baptiste Montini aura été béatifié par le pape François…

 

La F$$PX s’étant fendue de quelques communiqués :

« À l’issue du Synode extraordinaire sur la famille, le dimanche 19 octobre 2014, le pape François procèdera à la béatification du pape Paul VI. La Fraternité Sacerdotale Saint-Pie X exprime les plus sérieuses réserves sur les béatifications et canonisations des papes récents, dont la procédure accélérée s’affranchit de la sagesse des règles séculaires de l’Église. »

synode_octobre_2014

« À l’annonce de la béatification de celui qui gouverna l’Église dans la tourmente des années soixante et soixante-dix, certaines personnes s’étonnent, peut-être s’émeuvent, mais beaucoup, au bout du compte, garderont le silence. Que peut-on dire en effet contre une béatification ? N’est-elle pas l’aboutissement d’un procès en forme canonique, au cours duquel on a examiné les vertus du « serviteur de Dieu », qui ont été trouvées héroïques ? »

 

Du côté de l’Institut (IBMC) même combat !… Certains prêtres allant jusqu’à célébrer leur Sainte Messe « en réparation de ces scandales »…

« Mes chers fidèles,

Ce dix-neuvième dimanche de la Pentecôte doit être marqué malheureusement d’une pierre noire sur le calendrier de l’histoire de l’Église Universelle, de l’Église catholique. C’est un jour de deuil car aujourd’hui les âmes sont scandalisées, tout d’abord par la clôture de ce pseudo Synode des Évêques sur la famille convoqué par Bergoglio-François 1er et aussi, vous le savez, par la pseudo Béatification de Montini-Paul VI présenté comme héroïque de pratique des vertus chrétiennes… »

 

Les abbés anti-ralliéristes de la fausse résistante, eux aussi, ne sont pas en reste… qui comme l’ineffable R.P. Pierre-Marie des BonsHommes d’Avrillé, alias “Dominicus” dans un « Tiré à Part, du 18 octobre 2014 » de la Revue « Sel de La Terre » écrit :

Pierre-Marie de KergolayAprès la reconnaissance de « l’héroïcité des vertus » du pape Paul VI par Benoît XVI le 20 décembre 2012, le dimanche 19 octobre 2014 a eu lieu à Rome sa prétendue béatification par le pape régnant François accompagné du pape sortant Benoît XVI. Après les fausses canonisations des papes Jean XXIII et Jean-Paul II, nous avons une fausse béatification.

En effet le pape Paul VI ne peut pas être présenté comme un modèle pour les chrétiens. Pour être béatifié ou canonisé, un pape doit avoir exercé des vertus chrétiennes héroïques non seulement comme chrétien, mais comme pape. Or, loin d’avoir exercé des vertus exemplaires, le pape Paul VI est un de ceux qui ont le plus fait, avec les papes Jean XXIII et Jean-Paul II, pour l’auto-démolition de l’Église.

Commençons par rappeler quelques faits concernant son pontificat, puis donnons quelques documents…

 


 

Et bien NON ! mes chers Fidèles semper idem

Nous sommes d’Église Catholique ! (corps mystique de Jésus-Christ)

 

 

NON !

 

Parce que cette “église” est une des nombreuses sectes qui pullulent autour de l’Église catholique…

Mais N’est Pas l’Église catholique !

Elle s’est définie elle-même : « église Conciliaire »…

 

« dimanche 19 octobre, jour de tristesse,
jour de deuil…marqué malheureusement d’une pierre noire »

 

Uniquement pour Tous les « Una Cum »

Pour le Fidèle semper idem

Sur mon agenda, sur le calendrier de l’histoire de l’Église Universelle, de l’Église catholique au 19/10/2014 :

(Dix-neuvième Dimanche après la Pentecôte)
(Saint Pierre d’Alcantara)

 

 RIEN...

 

 


[1] Verrua Savoia (français : Verrue) est une commune italienne de la province de Turin dans la région du Piémont en Italie, siège de l’Institut Mater Boni Consilii, société religieuse fondée par quelques prêtres italiens de la Fraternité Sacerdotale Saint Pie X de Mgr Lefebvre sortis de ladite Fraternité en décembre 1985.

 

Rome Moderniste & Hérétique : « L’église démo(n)cratique en sondages »…

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L’église Conciliaire « Singe de l’Église » (de Dieu), comme « Singe de Dieu » a-t-on dit du Démon « prince de ce monde » (démon et monde, ce sont les mêmes lettres, et de fait, il revendique d’être « prince de ce monde »)… se met aux Sondages d’opinion – attribut de la démo(n)cratie et outil de manipulation de l’opinion – sur un des points de la Révélation : le modèle du mariage indissoluble prêché par Notre Seigneur Jésus-Christ.

« La démocratie apparaît le lieu idéal pour que s’y dissimule et s’en serve le Prince des Ténèbres, qu’elle soit libérale, dictatoriale, ou révolutionnaire. D’où la Démoncratie. Les faits, les témoignages sont là pour en fournir la démonstration évidente à tout lecteur de bonne foi, à moins de faire partie de ces « idiots utiles » qu’affectionne notamment la Franc-maçonnerie. » (François Marie Algoud in Histoire et actualité du satanisme. La démoncratie)

La Sainte Écriture nous dit : « le serpent était le plus rusé de tous les êtres vivants que Dieu avait créés » (Gen. 3-1) Témoin par sa victoire sur Adam et Ève qui étaient pourtant supérieurs à tous leurs descendants par leur intelligence, par leur science et par leur sainteté … le démon est habile pour atténuer les fautes, pour les faire oublier, pour diminuer la laideur du vice ou les attraits de la vertu. Il endort ses victimes. Il trompe les bons eux-mêmes en se transformant en ange de lumière. Le démon décourage les âmes … et de concession en concession arrachées avec une infatigable persévérance, il conduit les âmes à la capitulation totale. Il veut faire des hommes des fidèles de satan. Sa force : Le démon est fort par le nombre

Les sondages servent-ils donc à manipuler l’opinion ? Font-ils la vérité par le nombre ?

Les sondages d’opinions sont un mode d’expression démo(n)cratique qui permet d’exprimer la « volonté populaire », qui permet de « donner la parole » au peuple…

À défaut d’exprimer l’opinion publique, qui en réalité est elle-même un artefact, les sondages d’opinion sont une modalité du travail de construction de l’opinion publique : ils parviennent eux-mêmes à donner à l’opinion publique sa forme particulière. Ils s’imposent effectivement comme donnant une norme à l’opinion publique, une norme prétendue exister d’elle-même, alors même qu’elle est construite par les sondages. Produire quelque chose en faisant croire que celle-ci existe par elle-même, naturellement, telle est la méthode subtile utilisée.

Evil-justice-contest

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LA GRENOUILLE DANS LA CASSEROLE … ET… RÉCHAUFFER L’EAU PEU À PEU !

CE QUI GERME À ROME POUR CETTE NOUVELLE ANNÉE

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Nous vous parlions du principe de la grenouille chauffée… ou « L’histoire de Jean Grenouille qui ne savait pas qu’elle serait cuite… » il y a quelques temps. La réalité de ce bon Jean… Jean Grenouille, tradi-fidèle de la F$$PX, et nous vous précisions que ce principe s’appliquait aussi « à la révolution conciliaire »…

HISTOIRE DE <abbr>JEAN</abbr> <abbr>GRENOUILLE</abbr>

En voici la preuve aujourd’hui avec cet article du vaticaniste conciliaire Sandro Magister de « L’espresso » :
(Le langage de cet article est bien-sûr tout à fait conciliaire et donc à lire avec le décodeur “église ConciliaireÉglise catholique”…)
(Note : le signe ≠ dit en Sciences : différent [not equal])

 

www.chiesa.espressonline.it

Informations, analyses, documents relatifs à l’Église catholique, par Sandro Magister, Rome

 

Quand l’Église de Rome pardonnait

les remariages

 

Aux premiers siècles, on remettait leur faute aux divorcés remariés et on leur donnait la communion mais, par la suite, cette pratique a été abandonnée en Occident. Aujourd’hui le “pape” François l’a remise en discussion et les cardinaux se disputent à ce sujet

par Sandro Magister

Sandro Magister

Le Christ et la femme adultère

Lucas Cranach l’Ancien, « Le Christ et la femme adultère », 1532, Musée des Beaux-Arts, Budapest

ROME, le 31 janvier 2014 – À la mi-février, les “cardinaux” et les “évêques” qui composent le conseil du secrétariat du synode se réuniront afin d’étudier les réponses apportées au questionnaire qui a été distribué, au mois d’octobre, dans le monde entier.

Le synode a pour thème « les défis pastoraux concernant la famille » et il se tiendra à Rome, du 5 au 19 octobre. Sur les trente-neuf questions que comporte le questionnaire, cinq sont relatives aux catholiques divorcés et remariés ainsi qu’à l’impossibilité dans laquelle ils sont de recevoir les sacrements de l’eucharistie et de la réconciliation.

Sur ce dernier point la discussion est très vive et les pressions exercées pour que les divorcés remariés soient autorisés à communier sont très fortes dans l’opinion publique, avec le soutien d’“évêques” et de “cardinaux” de grand renom.

Aujourd’hui, en effet, dans l’Église catholique, le seul moyen, pour les divorcés remariés qui tiennent à leur second mariage, d’être admis à la communion eucharistique, c’est de faire constater la nullité de leur précédent mariage célébré à l’église.

La nullité peut trouver son origine dans de nombreuses causes et les tribunaux ecclésiastiques sont généralement compréhensifs quand il s’agit de résoudre par ce moyen des situations matrimoniales même difficiles.

Mais les tribunaux ecclésiastiques sont dans l’impossibilité de faire face au grand nombre de mariages qui pourraient être invalides. Le “pape” François a indiqué – citant à ce propos son prédécesseur à l’archevêché de Buenos Aires – que les mariages nuls pourraient représenter rien de moins que « la moitié » de ceux qui sont célébrés à l’église, parce qu’ils auraient été célébrés « sans maturité, sans se rendre compte que c’est un engagement pour toute la vie, par convenance sociale ».

Dans la plupart des cas, ces mariages invalides ne sont même pas soumis au jugement des tribunaux ecclésiastiques. Et ce n’est pas tout. Les tribunaux ecclésiastiques n’existent et ne fonctionnent que dans quelques pays, alors que de vastes parties de l’Afrique, de l’Asie et même de l’Amérique latine en sont dépourvues. Dans certaines zones où l’évangélisation est récente, la monogamie et l’indissolubilité du mariage ne sont même pas encore acceptées par la pensée commune catholique, dans un contexte persistant d’unions instables ou de polygamie.

Face à un tel état de fait, comment peut-on remédier à l’impossibilité de résoudre par voie de justice le grand nombre de remariages ?

Joseph Ratzinger, en tant que “cardinal” et aussi en tant que “pape”, a envisagé à plusieurs reprises la possibilité d’accorder l’accès à la communion aux divorcés remariés qui seraient « parvenus à la conviction en conscience motivée de la nullité de leur premier mariage tout en étant dans l’incapacité de faire la preuve de cette nullité par voie de justice ».

Benoît XVI donnait cet avertissement : « le problème est très difficile et doit être encore approfondi ».

En attendant, cependant, l’accès spontané des divorcés remariés à la communion est devenu une pratique courante, tolérée par des “prêtres” et des “évêques”, et même, ici ou là, encouragée et officialisée, comme c’est le cas dans le diocèse de Fribourg-en-Brisgau, en Allemagne. Avec le risque de reporter tout le problème sur la conscience de l’individu et d’accroître la distance entre la conception élevée et exigeante du mariage qui apparaît dans les Évangiles et la vie concrète de nombreux fidèles.

Dans cette phase où l’on s’approche du synode consacré à la famille (!!!), le “pape” François a ouvert la possibilité d’une confrontation entre des prises de position différentes sinon opposées, contribuant lui-même à faire naître l’attente d’ »ouvertures ».

D’une part il a voulu la publication en sept langues, dans “L’Osservatore Romano” du 23 octobre, d’une note du préfet de la congrégation pour la doctrine de la foi, Gerhard L. Müller, qui réaffirme de manière très rigoureuse la « sainteté » et l’indissolubilité du mariage chrétien et qui rejette « une mise en conformité avec l’esprit du temps » qui consisterait à accorder la possibilité de communier aux divorcés remariés simplement sur la base de leurs choix de conscience.

D’autre part le “pape” a laissé des “évêques” et des “cardinaux” – y compris certains qui ont notoirement sa confiance, comme Reinhard Marx et Oscar Rodriguez Maradiaga – prendre publiquement position contre Müller et en faveur d’un dépassement de l’interdiction de communier.

Les partisans du changement, lorsqu’ils expliquent leur point de vue, s’appuient en dernière analyse sur la conviction en conscience des individus.

Mais la conscience est-elle l’unique moyen de résoudre le problème des divorcés remariés ?

Si l’on s’en tient à ce qui se faisait aux premiers siècles du christianisme, la réponse est non. À cette époque, la solution était différente.

 

*

 

C’est un “prêtre” du diocèse de Gênes, Giovanni Cereti, expert en patristique et en œcuménisme mais également, depuis plus de trente ans, assistant d’un mouvement de spiritualité conjugale, les Équipes Notre-Dame, qui a récemment attiré l’attention sur la manière dont l’Église des premiers siècles traitait le problème des divorcés remariés.

Cereti a fait réimprimer, il y a quelques mois, une savante étude qu’il avait publiée pour la première fois en 1977 et rééditée en 1998, sous le titre : « Divorce, remariage et pénitence dans l’Église primitive ».

La clé de voûte de cette étude – qui contient un très grand nombre de références aux Pères de l’Église qui étaient aux prises avec le problème des remariages – est le canon 8 du concile de Nicée de 325, le premier des grands conciles œcuméniques de l’Église, dont l’autorité a toujours été reconnue par tous les chrétiens.

Le canon 8 du concile de Nicée dit ceci :

« En ce qui concerne ceux qui se qualifient eux-mêmes de purs, si jamais ils veulent entrer dans l’Église catholique, ce saint et grand concile décide […] avant toute autre chose qu’ils doivent déclarer clairement, par écrit, qu’ils acceptent et suivent les enseignements de l’Église catholique : c’est-à-dire qu’ils devront entrer en communion avec ceux qui se sont mariés en secondes noces et avec ceux qui ont failli dans la persécution, pour lesquels un temps et des modalités de pénitence ont été établis, afin qu’ils puissent suivre en toutes choses les décisions de l’Église catholique et apostolique ».

 

Les « purs » auxquels le canon fait référence sont les novatiens, les rigoristes de cette époque, intransigeants jusqu’à la rupture définitive aussi bien en ce qui concerne les personnes coupables d’adultère et remariées qu’en ce qui concerne ceux qui avaient apostasié afin de sauver leur vie, même s’ils s’étaient ensuite repentis, avaient été soumis à la pénitence et avaient reçu l’absolution de leur péché.

En exigeant des novatiens, pour qu’ils soient à nouveau admis dans l’Église, qu’ils « entrent en communion » avec ces deux catégories de personnes, le concile de Nicée réaffirmait donc le pouvoir qu’a l’Église de pardonner n’importe quel péché et d’accueillir à nouveau dans la pleine communion même les « digames », c’est-à-dire les personnes coupables d’adultère et remariées, et les apostats.

Depuis cette époque, deux tendances ont cohabité au sein de la chrétienté en ce qui concerne les divorcés remariés, l’une plus rigoriste et l’autre davantage disposée à pardonner. Au cours du deuxième millénaire, la première s’est imposée dans l’Église de Rome. Mais antérieurement, pendant plusieurs siècles, la pratique du pardon a eu cours même en Occident.

Le nouveau “cardinal” Müller écrit, dans sa note publiée par “L’Osservatore Romano”, qu’« à l’époque patristique, les croyants divorcés qui s’étaient remariés civilement n’étaient pas admis aux sacrements, même après un temps de pénitence ». Mais, tout de suite après, il reconnaît que « parfois des solutions pastorales ont été recherchées pour de très rares cas limites ».

Ratzinger s’était montré plus proche de la réalité historique, dans un texte qu’il a écrit en 1998 et publié à nouveau le 30 novembre 2011 en plusieurs langues dans “L’Osservatore Romano”, qui résume de la manière suivante l’état de la question selon les plus récentes études :

« On affirme que le magistère actuel ne s’appuierait que sur un filon de la tradition patristique, mais non pas sur tout l’héritage de l’Église ancienne. Si les Pères s’en sont clairement tenus au principe doctrinal de l’indissolubilité du mariage, certains d’entre eux ont toléré, sur le plan pastoral, une certaine souplesse devant des situations particulières difficiles. Sur cette base, les Églises orientales séparées de Rome auraient développé plus tard, à côté du principe d’acribie, de la fidélité à la vérité révélée, le principe de l’économie, c’est-à-dire de la condescendance bienveillante, dans des circonstances particulières difficiles. Sans renoncer au principe de l’indissolubilité du mariage, elles permettraient, dans des cas déterminés, un deuxième et même un troisième mariage qui, par ailleurs, est différent du premier mariage sacramentel et est marqué du caractère de la pénitence. Cette pratique n’aurait jamais été condamnée explicitement par l’Église catholique. Le Synode des évêques de 1980 aurait suggéré d’étudier à fond cette tradition, afin de mieux faire resplendir la miséricorde de Dieu ».

 

Plus loin, dans le même texte, Ratzinger indique que saint Léon le Grand et d’autres Pères de l’Église « ont cherché des solutions pastorales pour de rares cas limites » et il reconnaît que « dans l’Église impériale, après Constantin, on chercha une plus grande souplesse et une plus grande disponibilité au compromis dans des situations matrimoniales difficiles ».

En effet le concile œcuménique de Nicée fut bien convoqué par Constantin et c’est précisément cette orientation qu’exprima son canon 8.

Il faut également préciser que, à cette époque-là, les personnes ayant contracté un second mariage qui étaient de nouveau admises dans la communion de l’Église continuaient à vivre avec leur nouveau conjoint.

En Occident, la période de pénitence, initialement courte, qui précédait la réadmission à l’eucharistie, s’est progressivement allongée au cours des siècles suivants, à tel point qu’elle est devenue permanente, alors que, en Orient, ce phénomène ne s’est pas produit.

Ce sont les tribunaux ecclésiastiques qui, en Occident, traitèrent et résolurent, au cours du deuxième millénaire, les « cas limites » de deuxièmes mariages, en constatant la nullité du mariage précédent. Mais en supprimant, par là même, la conversion et la pénitence.

Aujourd’hui ceux qui, à l’instar de Giovanni Cereti, attirent l’attention sur ce qui était pratiqué par l’Église au cours des premiers siècles, proposent que l’on en revienne à un système de pénitence semblable à celui qui était utilisé à cette époque-là et qui est encore conservé de nos jours, sous une certaine forme, dans les Églises d’Orient.

En étendant aux personnes qui ont rompu leur premier mariage et ont contracté une seconde union le pouvoir qu’a l’Église d’absoudre tous les péchés, on ouvrirait – affirment-ils – la voie à « une plus grande valorisation du sacrement de réconciliation » et à « un retour à la foi de beaucoup de gens qui se sentent aujourd’hui exclus de la communion ecclésiale ».

C’est peut-être à cela que pensait le “pape” François lorsque, interviewé dans l’avion qui le ramenait de Rio de Janeiro, le 28 juillet 2013, il a ouvert et fermé « une parenthèse » – selon ses propres termes – à propos des orthodoxes qui « suivent la théologie de l’ ‘économie’, comme ils l’appellent, et donnent une seconde possibilité de mariage ».

Et d’ajouter tout de suite après :

« Je crois que ce problème [de la communion aux personnes remariées] doit être étudié dans le cadre de la pastorale du mariage ».