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Archive for the ‘pape’ tag

Un digne Fils de ses Pairs…

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Un digne Fils de ses Pairs

Ou la folie furieuse n’est pas là où l’on croit…

 

Ce qui est formidable et passionnant avec les tradis una cum, c’est qu’on ne s’ennuie jamais et que leurs frasques hilarantes réveilleraient même un mort si cela s’avérait nécessaire. Un clerc, fidèle commis de la Frat’, vient de nous pondre un petit articulet en prose ecclésiastique pleine d’alacrité moralisante comme savent si bien faire ceux qui se sentent morveux et protégés par leur statut sacerdotal !

Pensez donc ! Une diatribe !!! Notre ami Jérôme B., alias Petrus, a osé commettre un « écrit, discours violent et injurieux …une critique amère » (Littré) tout simplement parce qu’il y a un culte de « latrie » initiatique et mystérieux qui donne force de sa loi au crime de lèse-majesté dès qu’on s’avise d’émettre la moindre critique ou objection à l’attitude du fondateur durant ces quarante dernières années. Petrus est donc infâme pour l’avoir commis ! En outre cet abominable cuistre de Petrus a l’impudeur de rester anonyme – ne riez pas ! – et – ô sacrilège suprême ! – s’avère être un forcené de la pire espèce !!!

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Ludovicus : MISE AU POINT

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ERRATUM

 

Suite à la reprise d’une citation fautive du P. Calmel sur le site CatholicaPedia Blog, dans un commentaire de Gilbert Chevalier, suite à un échange de courriels avec le Père Pierre-Marie, suite à l’envoi de l’original (ci-dessous) il s’avère que le P. Calmel pensait que le pape pouvait faillir dans la foi en-deçà de l’infaillibilité, et donc je me vois obliger de revoir ma position le concernant.

Ludovicus

 


P.S. :

Ayant repris la citation du P. Calmel donnée par Gilbert Chevalier, je l’ai envoyée au Père Pierre-Marie o.p. (Geoffroy de Kergorlay) avec la question, qu’ils ne veulent jamais considérer : comment un apostat doublé d’un traître peut-il être pape ? La seule réponse que j’ai obtenue, c’est que ma citation était fautive et qu’il m’envoyait l’original copie d’Itinéraires. Sur ce je lui ai à nouveau envoyé cet original, commenté (cf. ci-dessous), avec la remarque que le Père Calmel déraillait en ce qui concerne le Magistère Ordinaire universel et que cela ne remettait nullement en cause la validité de ma question. Sa réponse fut :

GEOFFROY-DE-KERGORLAY

« Cela est un peu léger ».

 

 

Voici d’abord le commentaire de Gilbert Chevalier :

 

Gilbert CHEVALIER lien permanent
octobre 1, 2014

CONCLUSION

Du père Calmel ce texte lisez,
Et après cela, vous-mêmes concluez.

« Le moderniste a ceci de commun avec d’autres hérétiques, qu’il refuse toute révélation chrétienne. Mais parmi ces hérétiques, il présente ceci de particulier qu’il dissimule son refus. Le moderniste, on ne le saura jamais suffisamment, est un apostat doublé d’un traître. Saint Pie X, dans sa lucidité, avait bien vu ce qui était en train de se préparer. Le modernisme n’est pas seulement une hérésie classique : pire encore, il est toutes les hérésies sans en être une en particulier, quoique la pire de toutes. C’est pour cela qu’on a tant de peine à trouver des hérésies explicites chez eux ; s’il était si facile de débusquer des hérésies évidentes dans les thèses modernistes, le modernisme ne serait pas si pernicieux. On ne doit donc pas considérer les modernistes comme des catholiques qui se trompent, mais, à l’instar de saint Pie X, les considérer comme les tenants de toutes les hérésies, et par conséquent les tenir pour les pires ennemis de l’Église dans laquelle ils se sont infiltrés pour la détruire. Le moderniste, pour ne pas être mis hors de l’Église, reconnaît d’abord toute sa doctrine et l’ensemble de la structure ecclésiastique ; ensuite et peu à peu, il travaille à vider de leur vraie signification tous les dogmes et à détourner de sa fonction la structure de l’Église ; enfin, une fois au pouvoir, il éjecte les vrais catholiques hors de cette même structure ; et pour couronner le tout, il va même jusqu’à mettre dehors le véritable Dieu pour le remplacer par une vague divinité panthéiste. On peut se demander avec saint Pie X, si une telle crise n’est pas celle qui doit précéder l’arrivée du fils de perdition. En effet, une fois le terrain bien disposé, le temps pour l’Antéchrist de s’asseoir dans le temple vide et de se faire passer pour Dieu lui-même devient propice. »

(Le R.P. Calmel, dans sa préface du catéchisme de Lémius, lequel catéchisme explique « Pascendi » de saint Pie X en questions-réponses)

 

N’avais-je pas raison de dire
Tout ce qu’ici j’avais à dire ?

Gilbert Chevalier
l’Aveugle-Vendéen
(16/04/2014)

 

Et voici ensuite le document du Révérend Père Calmel qui écrivait cet article intitulé “Le modernisme actuel” dans la revue Itinéraires n°184, Juin 1974, p. 141-153)


 

*   *
 * 

 

Vous avez bien lu :

 

Le Père Roger-Thomas CalmelPour une part, mais pour une part seulement, la ques­tion de l’autorité du chef visible de l’Église se trouvera résolue si nous savons que dans certains cas l’exercice de son autorité peut être mauvais. Le dogme de foi défini au Concile premier du Vatican nous oblige de distinguer l’in­faillibilité, laquelle ne fait aucun doute dans certaines conditions données, de l’impeccabilité laquelle n’est pas un privilège papal ; Il Peut Donc Arriver au Pape de Faillir, Non Seulement dans l’Ordre des Mœurs, Mais, Jusqu’à un Certain Point, Dans l’Ordre de la Foi Elle-Même [Cette affirmation n’est pas catholique]. Or à partir d’une certaine gravité dans les défaillances du pape en tant que gardien de la foi, à partir d’un certain seuil, l’épreuve est à la limite de nos forces. Nous savons, nous savons désormais d’expérience, qu’il ne nous suffit point, pour la supporter sans fléchir, d’avoir une juste notion, une notion chrétienne de l’autorité réservée au pape et de l’obéissance que nous lui devons. La prière seule nous permettra d’accueillir cette épreuve, venue par le chef visible de l’Église, de telle sorte que nous vivrons plus que jamais de la vie de l’Église. Par suite de la défaillance du chef visible [Si le chef défaille, surtout dans la foi il cesse d’être chef], nous sommes obligés, plus que jamais, de nous tenir très proches du chef invisible et victorieux, Notre-Sei­gneur Jésus-Christ. Nous sommes obligés, plus que jamais, de mettre notre recours et de trouver notre refuge dans le Cœur Immaculé de la Mère du Souverain Prêtre, la Vierge de la Compassion et du Cénacle, dont la supplication est toute-puissante sur le cœur de son Fils.

 

 

FRANÇOIS-LE-DESTRUCTEUR :
PETIT FLORILÈGE DU « MAGISTÈRE » BERGOGLIEN

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Un fidèle lecteur de notre blogue et de celui de notre confrère Radio Cristandad a fait une recension de l’ « enseignement » atypique du clown blanc qui préside la secte conciliaire depuis un peu plus de dix-huit mois (13 mars 2013)…

« Un an et demi d’enseignements de François »

En attendant une éventuelle traduction française, dont il n’est pas du tout sûr qu’elle verra le jour, voici une sélection de citations que j’ai faite des enseignements dispensés par François durant sa première année et demie de séjour à la Casa Santa Marta, au Vatican. Pour tout vous dire, au début je comptais intituler ce recueil « Les dix-huit mois de François en dix-huit citations ». Quand je me suis aperçu que j’en étais déjà à la cinquantième, je me suis dis qu’il valait sans doute mieux interrompre momentanément mon enquête… Je vous salue bien cordialement.

Alejandro.

 

Radio Cristandad a publié récemment l’original en espagnol :

Alejandro Sosa Laprida: Francisco el Destructor: una antología del «magisterio» bergogliano.

 

 

Notre traducteur et ami nous en a fait une version française… et n’a pu s’empêcher de mettre mon grain de sel çà et là en diverses notes. Nous avons jugé que ces piques pouvaient et devaient être conservées. Il conclu par :

Encore merci à Cave ne Cadas d’avoir mis en ligne cet invraisemblable florilège d’âneries bergogliesques, car il importe que le maximum de gens sachent qui est l’actuel pétomane (1) du Vatican.


 


 

François-le-Destructeur :

Petit Florilège du « Magistère » Bergoglien

 

(Traduit de l’espagnol à partir d’une compilation réalisée par Miles Christi, 5 octobre 2014)

Bergoglio fait allégeance aux Rabbi

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Written by Cave Ne Cadas

octobre 16th, 2014 at 11:10 pm

Posted in Alejandro,cloaque d’impureté,église Conciliaire,Jorge Mario Bergoglio,Vatican d'Eux

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Avec Bergolio, le Stalinisme revient !

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La revue de la F$$PX, “Courrier de Rome”, publie dans son édition de septembre 2014 la traduction de l’article d’un dénommé Maurizio Blondet * du site italien Effedieffe.com paru le 1 août.

Maurizio BlondetSon article est intéressant à plus d’un titre car il nous décrit un Bergoglio stalinien et « j’en foutiste » un homme revêche, grincheux et désagréable, un autoritaire arbitraire un homme fruste, mal élevé ; quelqu’un de rancunier ; quelqu’un qui est soumis à des passions et des détestations très fortes, sans motifs, envers les gens…

Mais bien sûr ni l’un ni les autres ne trouvent aberrant d’appeler ce “clown blanc” : « Notre Saint Père » le « Pape »… « bien-aimé Saint Père »… l’esprit de la Fraternité $$ Pie X est là !!!

(*) Maurizio Blondet (catholique traditionaliste), né à Milan le 22 février 1944, est un journaliste et essayiste italien, connu pour ses théories du complot et ses écrits sur l’ufologie. Il dirige le journal en ligne Effedieffe.com.

 


 

“…Rome deviendra le siège de l’Antéchrist”

 

Courrier de Rome

Courrier de Rome, septembre 2014

 

Pour Mieux Comprendre Le Pape François ! ! !

 

teologia bergogliana

 

Je lis sur un site catholique que « La revue internationale de théologie Concilium a consacré son dernier numéro au sujet suivant : « De l’ “anathema sit” au “Qui suis-je pour juger ?” » à partir de la fameuse phrase du Pape François sur l’homosexualité : « qui suis-je pour juger ? », prononcée à son retour du Brésil, en juillet 2013.

Les auteurs « considèrent que les formules et les dogmes ne peuvent pas comprendre l’évolution historique, et que chaque problème doit être placé dans son contexte historique et sociopolitique. La notion d’orthodoxie doit être dépassée, ou au moins redimensionnée, parce qu’elle est utilisée comme « point de repère pour étouffer la liberté de pensée et comme arme pour surveiller et punir »… Ils définissent l’orthodoxie comme “une violence métaphysique”. Au primat de la doctrine doit être substitué celui de la praxis pastorale… (Concilium, 02/2014, p. 11).

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De la “résistance”

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De la “résistance”

 

 

Abbé Jospeh Pfeiffer :

Gladium aut Spes

Lettre ouverte à un évêque désorienté

Open Letter to a confused Bishop ([1])
[Et commentée pour un abbé dans une confusion semblable]

Le 30 novembre 2013, en la fête de Saint André, Apôtre

Depuis Tagbilaan, Philippines

 

Chers amis et bienfaiteurs,

 

Beaucoup d’âmes inquiètes ont été réconfortées et ont retrouvés grand espoir, en écoutant Mgr Fellay nous dire que la Fraternité n’a pas changé et que « tout va très bien, Madame la Marquise »

[Note de la traduction : littéralement « tout est va bien au pays du Danemark » (en référence à la phrase célèbre de Shakespeare dans Hamlet qui permet à Monsieur l’abbé Pfeiffer de comparer les dirigeants de Menzingen à la classe dirigeante du Danemark à l’époque de Shakespeare)].

 

Vraiment, Rien n’a Changé ?

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L’IMPASSE DE LA « RÉSISTANCE »

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Une nouvelle hérésie : le Williamsonisme

 

L’IMPASSE DE LA « RÉSISTANCE »

 

Papes Faillibles

 

Mgr Williamson – 13 septembre 2014

Richard Nelson Williamson

Ni les libéraux ni les sédévacantistes n’apprécient de s’entendre dire qu’ils sont comme pile et face d’une même monnaie, mais cela est vrai [Il ne suffit pas de l’affirmer pour que cela soit, cette affirmation n’est nullement fondée]. Par exemple, ni les uns ni les autres ne peuvent concevoir une troisième alternative. Voyez par exemple dans sa Lettre à Trois Évêques du 14 avril 2012 comment Mgr. Fellay ne pouvait voir d’autre alternative à son libéralisme qui ne fût le sédévacantisme. Inversement, pour plus d’un sédévacantiste, si quelqu’un accepte que l’un des Papes Conciliaires ait été réellement Pape, alors on ne peut être qu’un libéral, et si quelqu’un critique le sédévacantisme, alors il promeut le libéralisme. Mais pas du tout !

Pourquoi non ? Parce que les uns comme les autres commettent la même erreur qui consiste à exagérer l’infaillibilité du Pape [Quand d’autres ont une fâcheuse tendance à la relativiser]. Pourquoi ? Ne serait-ce pas parce que les uns comme les autres ils sont des hommes modernes, lesquels croient plus dans les personnes que dans les institutions ? Et pourquoi cela devrait-il être un trait de l’homme moderne ? Parce que plus ou moins à partir du Protestantisme, de moins en moins d’institutions ont véritablement recherché le bien commun, tandis qu’elles ont de plus en plus recherché quelqu’intérêt particulier, tel l’argent (ma réclamation contre vous), ce qui diminue bien sûr le respect que nous leur devons. Ainsi par exemple, des hommes bons ont évité, pour un temps, à l’institution pourrie de la banque moderne de produire immédiatement tous ses effets mauvais, mais les banksters pourris actuels ont fini par montrer ce qu’étaient en elles-mêmes, depuis le début, ces institutions que sont le système bancaire de la réserve fractionnaire et les banques centrales. Le Diable est présent dans les structures modernes, grâce aux ennemis de Dieu et des hommes.

Il est donc compréhensible que des Catholiques modernes aient eu tendance à mettre trop de foi dans le Pape et trop peu dans l’Église [Ubi est Petrus ibi Ecclesia], et voilà la réponse à ce lecteur qui me demandait pourquoi je n’écris pas au sujet de l’infaillibilité comme le font les manuels classiques de théologie catholique. Ces manuels sont merveilleux dans leur genre, mais ils ont tous été écrits avant Vatican II, et ils ont tendance à attribuer au Pape une infaillibilité qui appartient à l’Église [Mgr Williamson préfère la banque au banquier]. Par exemple, le sommet de l’infaillibilité peut être présenté dans les manuels comme étant une définition solennelle par le Pape, ou par le Pape avec un Concile, mais dans tous les cas par le Pape. Le dilemme libéral-sédévacantiste en a été une conséquence et en même temps un châtiment de cette tendance à surestimer la personne et à sous-estimer l’institution, car l’Église n’est pas une institution purement humaine. [Elle est même fondée sur Pierre, par la Vérité incarnée qui a prié pour que sa foi ne défaille pas et qu’il puisse confirmer ses frères]

Et cette tendance est erronée parce que, en premier lieu, le Magistère Solennel, en tant que la couche de neige qui recouvre la montagne du Magistère Ordinaire, ne constitue le sommet de cette montagne que dans un sens très restreint – il est totalement soutenu par le sommet rocheux sous-jacent à la neige. Et en second lieu, cela ressort du texte le plus autorisée de l’Église au sujet de l’infaillibilité, à savoir la Définition du Concile vraiment catholique, Vatican I (1870), grâce auquel nous savons que l’infaillibilité du Pape vient de l’Église, et non l’inverse [Erreur grossière, la Primauté a été accordée à Pierre dans les trois domaines : enseignement, gouvernement, sanctification, c’est lui le fondement posé par Jésus-Christ et de ce fondement que vient l’infaillibilité de l’Église]. Lorsque le Pape engage l’ensemble des quatre conditions nécessaires à un enseignement ex cathedra, alors, déclare la Définition, il possède « cette infaillibilité dont le Divin Rédempteur a voulu que son Église ait le privilège lorsqu’elle définit un point de la doctrine ». Mais, évidemment ! D’où pourrait bien venir l’infaillibilité, sinon de Dieu ? [L’infaillibilité est l’assistance du Saint-Esprit qui confirme qu’une vérité appartient à la Révélation, c’est l’impossibilité de tomber dans l’erreur en matière de foi et de mœurs] Les meilleurs parmi les êtres humains – et quelques Papes ont été de très bons êtres humains – peuvent rester exempts d’erreur, c’est-à-dire, être inerrants, mais du moment qu’ils ont le péché originel ils ne peuvent être infaillibles comme Dieu seul peut l’être [Et le baptême, la grâce, l’ordre, la grâce d’état, l’assistance du Saint-Esprit ?]. S’il leur arrive d’être infaillible cette infaillibilité passe par leur humanité, mais en venant de l’extérieur, venant de Dieu, qui choisit de la concéder à travers l’Église catholique, et cette infaillibilité n’a pas besoin de durer plus longtemps que le temps nécessaire pour faire la Définition.

Par conséquent en dehors des moments ex cathedra du Pape, rien ne l’empêche de dire des aberrations telles que celles de la nouvelle religion de Vatican II. Par conséquent ni les libéraux ni les sédévacantistes n’ont besoin ni ne doivent prêter attention à ces aberrations, parce que, comme disait Mgr. Lefebvre, ils ont 2000 ans d’enseignement Ordinairement infaillible de l’Église derrière eux pour juger qu’il ne s’agit là que d’un ensemble d’aberrations. [Et François peut quand même, malgré tout, rester pape un pape faillible, dans une Église infaillible, voilà la nouvelle religion que nous propose Mgr Williamson]

 

Kyrie eleison.