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FRANÇOIS-LE-DESTRUCTEUR :
PETIT FLORILÈGE DU « MAGISTÈRE » BERGOGLIEN
Un fidèle lecteur de notre blogue et de celui de notre confrère Radio Cristandad a fait une recension de l’ « enseignement » atypique du clown blanc qui préside la secte conciliaire depuis un peu plus de dix-huit mois (13 mars 2013)…
Radio Cristandad a publié récemment l’original en espagnol :
Alejandro Sosa Laprida: Francisco el Destructor: una antología del «magisterio» bergogliano.
Notre traducteur et ami nous en a fait une version française… et n’a pu s’empêcher de mettre mon grain de sel çà et là en diverses notes. Nous avons jugé que ces piques pouvaient et devaient être conservées. Il conclu par :
François-le-Destructeur :
Petit Florilège du « Magistère » Bergoglien
(Traduit de l’espagnol à partir d’une compilation réalisée par Miles Christi, 5 octobre 2014)
MONSEIGNEUR WILLIAMSON VOIT CE QUE NUL N’A JAMAIS VU
Mgr Williamson, dans son “Eleison Comments” Numéro CCCLXXIV – 374 (Français) sur les « Papes Faillibles » professe de nouvelles hérésies :
Monseigneur Williamson Voit ce que Nul n’a Jamais Vu
Par Osko de Radio Cristiandad
QUE NUL N’A JAMAIS VU" width="400" height="383" />
Ne se satisfaisant plus d’émettre ses railleries habituelles, Mgr Williamson a décidé de publier un point de vue carabiné dans son ELEISON 374, et il nous semble déraper complètement désormais. Il y expose sa THÈSE d’une manière plus précise que d’ordinaire, car son intention – inhabituelle pour lui – paraît être de défendre avec une véhémence accrue, non seulement la thèse Anti-Sédévacantiste, mais aussi la légitimité de la position soutenue par ceux qui croient toujours que l’église Conciliaire et officielle EST l’Église catholique.
En cela, il s’apparente à la « ligne médiane », qui est de plus en plus erratique, à la néo-FSSPX, qui se rapproche sans cesse de Rome (autre parallèle pour la collection de l’abbé Ceriani) et des conciliaires, qui sont de plus en plus apostats, bien qu’ils aient évidemment l’illusion d’être catholiques, de penser en catholiques et d’agir en catholiques, car il croient que la Doctrine catholique EST la doctrine du conciliabule Vatican II, que l’on peut être moderniste tout en restant catholique et que l’œcuménisme conciliaire est catholique. C’est pourquoi ils trouvent génial d’assister aux cultes protestants, de semer des oliviers de la paix ici ou là en compagnie des Juifs et des musulmans, ainsi que d’organiser des « rencontres interreligieuses » à Assise, des « matches de football interreligieux », des « journées de réflexion interreligieuses », des « messes interreligieuses », etc. etc. Tout cela, nous le savons, et nous en sommes écœurés.
Ah, j’oubliais : en plus, ils croient que les « messes » conciliaires du Novus Ordo sont catholiques… N’est-ce pas, Mgr Williamson ? À moins que vous ne vous hasardiez à affirmer sans équivoque qu’Elles ne le sont pas ?
Autrement dit, ils croient TOUS que Bergoglio est pape, alors que nous autres croyons que non, point final. Là est toute la différence entre eux et nous.
Ils croient qu’un pape peut être un zozo apostat, alors que nous autres croyons que non.
Ils croient que l’église Conciliaire est l’Église catholique de toujours, alors que nous autres croyons que non.
C’est pourquoi le présent article relatif au numéro 374 d’ELEISON a pour objet de réfuter les dires de Mgr Williamson en insistant sur ce que nous y percevons comme étant des incohérences ou des contradictions ; il vise même à aller au-delà en démontrant que le système préconisé présente un danger pour ceux qui l’adoptent.
Nous traiterons de ce dernier point en dernier, dans une sorte d’annexe.
Et si certains de nos lecteurs trouvent notre ton quelque peu agressif, il nous faudra leur répondre qu’ils ont raison, mais que s’il ne l’est pas davantage, c’est parce que nous avons eu la prudente idée de lire ce numéro d’ELEISON muni d’un grand verre de bon whisky, confortablement installé dans notre fauteuil, avec en musique de fond la belle « Suite bergamasque » de Claude Debussy (1), qui a la particularité de nous apaiser, tout comme le whisky (bénis soient donc l’une et l’autre).
QUI SUIS-JE ?
Qui suis-je ?
Jorge Mario Bergoglio alias François ZérØ celui qui ne veut pas qu’on l’appelle François 1er.
Le clown blanc de la secte conciliaire (dite église Conciliaire) qui n’est qu’un laïc déguisé en Pape !
Étude de cas.
POUR EN FINIR AVEC ABRAHAM…
pour en finir avec Abraham
Joseph Lemann, La Religion de combat
Livre premier – Le rassemblement des enfants de lumière – Chapitre deuxième
IV. Troisième catégorie d’hommes : les captifs des ombres dans la caverne, mais sans qu’ils soient enchaînés ; ils sont libres de sortir.
Qui sont-ils ? Pauvres idolâtres ; pauvres israélites ; pauvres musulmans. Explication sur Abraham : il n’a été que l’ombre projetée en avant de Celui qui devait venir. Loin de la belle lumière de l’Église, il y a une autre catégorie d’hommes que nous avons nommés les captifs des ombres. Il faut bien se garder, toutefois, de les confondre avec les fils de ténèbres.
Mais quoi ! après deux mille ans bientôt de christianisme, y a-t-il donc encore des infortunés épris des ombres, fascinés par des fantômes ? Hélas, oui.
Et qui donc sont ces infortunés ?
Beaucoup de pauvres idolâtres ;
Beaucoup de pauvres israélites ;
Beaucoup de pauvres musulmans ;
Captifs des ombres, disons-nous, et comment cela ? Voici :
F$$PX : l’abbé Gleize blasphème !
Un Bon Article Mais Une Fausse Conclusion
Le dilemme que pose la canonisation de Jean-Paul II,
DICI/Abbé Gleize – 14 Février 2014
http://www.dici.org/documents/le-dilemme-que-pose-la-canonisation-de-jean-paul-ii/
Dans le Courrier de Rome de janvier 2014 (n°372), l’abbé Jean-Michel Gleize, professeur d’ecclésiologie au Séminaire Saint-Pie X d’Écône, publie une étude intitulée
« Jean-Paul II : un nouveau saint pour l’Eglise ? ».
Après avoir rappelé qu’une canonisation est infaillible, il pose la question :
« Les nouvelles canonisations obligent-elles en conscience tous les fidèles catholiques ? ».
Puis il demande : « Jean-Paul II peut-il être canonisé ? », citant les déclarations du pape polonais aux luthériens, anglicans, orthodoxes, juifs et musulmans, reprenant également ses propos sur la liberté religieuse.
« La justice, c’est de rendre à chacun ce qui lui est dû »
« La justice, c’est de rendre à chacun ce qui lui est dû »
À l’heure où l’on parle de la « canonisation » de W…. aux fins de « canonisation du ‟Concile” ‟Vatican II”, il est plus que temps de choisir son camp. Un saint est un modèle. La meilleure façon d’honorer un saint est de l’imiter. Pouvons-nous imiter le promoteur des « rencontres » interreligieuses qui à Assise et autres lieux propagent un esprit qu’il est bien difficile de qualifier de saint. Pour clarifier notre pensée nous avons repris l’analyse très documentée publiée en 1986 par le Courrier de Rome. (Marcus) lors de la première rencontre d’Assise Et chacun pourra approuver ou désapprouver cette initiative de la (fausse) hiérarchie actuelle. Mais attention un silence indifférent serait complice de 5 fautes majeures. Nous allons prendre le temps de les discerner. Ceux que W…. a appelés « les représentants des autres religions » ont toujours été appelés plus proprement par l’Église « infidèles » : « sont infidèles en un sens plus général tous ceux qui n’ont pas la vraie foi ; au sens propre les infidèles sont les non-baptisés et ils se divisent en monothéistes (juifs et musulmans), polythéistes (hindous, bouddhistes, etc …) et athées » (Roberti-Palazzini, Dizionario di teologia morale, p. 813). Et ce que Jean-Paul II a appelé les « autres religions » a toujours été appelé plus proprement par l’Église les « fausses religions » : est fausse toute religion non chrétienne « en tant que ce n’est pas la religion que Dieu a révélée et veut voir pratiquer. Est fausse aussi, en outre, toute secte chrétienne non catholique, en tant qu’elle n’accepte ni ne pratique fidèlement tout le contenu de la révélation » (ibidem). Cela dit, les ‟rencontres” d’Assise (et autres lieux dans le même esprit) ne peuvent être considérées, à la lumière de la foi catholique, que comme :
1) Une injure faite à Dieu ;
2) Une négation de la nécessité universelle de la Rédemption ;
3) Un manque de justice et de charité envers les infidèles ;
4) Un danger et un scandale pour les catholiques ;
5) Une trahison de la mission de l’Église et de Saint Pierre.
Analysons ces points très importants sans haine mais sans concession. Il ne s’agit pas d’une polémique gratuite, il y va de la vie éternelle des âmes, de vos âmes, de nos âmes.