14137

Le CatholicaPedia Blog

CatholicaPedia, une mémoire de la Tradition… en toute liberté

Archive for the ‘franc-maçonnerie’ tag

“La” Montini, “Paul VI”, le pédo-criminel…
béatifié pour confirmer Vatican II

with 5 comments

 

2014-05-10 Radio Vatican : 

L’antipapeanti-ChristPaul VI, à la tête de l’église [secte] Conciliaire de 1963 à 1978, sera béatifié le 19 octobre prochain…

 Montini-Paul 6, diabolique

 

Ce que nous subodorions et/ou sachions depuis très longtemps…

Laurent Glauzy nous le confirme dans deux documents intéressants sur la tribu pédo-criminelle « sabatéïste » de « haut vol » ayant (eu) ses quartiers au sein du Vatican :

Paul VI, le pédo-criminel : révélations d’un ancien agent des services de renseignement du Vatican

par Laurent Glauzy

Posté le Dimanche 27 avril 2014 | Vatican, par Laurent Glauzy

 

À l’heure où la « Synagogue de Satan » propose la canonisation de Jean XXIII et de Jean-Paul II, il est nécessaire de comprendre que Rome ou Vatican II n’est pas l’Église de Notre Seigneur Jésus-Christ (Saïd Issa) mais un refuge de Francs-maçons et de pédophiles. Par conséquent, toutes ses canonisations n’ont aucune valeur. Elles sont nulles. L’Église a besoin des conversions pour retrouver sa Gloire.

Représentation de Paul VI

Représentation de Paul VI (1897-1963), « pape » judéo-pédophile, portant le pentacle sur sa main gauche (porte du bien du mal au Vatican).

Les écrits qui vont suivre sont tirés de Don Luigi Villa qui fit l’objet de six tentatives d’attentat quand Paul VI devint pape.

Don Luigi Villa, le « fils spirituel » de Padre Pio, est décédé le 18 novembre 2012, à l’âge de 94 ans. Prêtre originaire du nord de l’Italie, docteur en théologie, il fut directeur-fondateur du mensuel Chiesa Viva, paru la première fois en septembre 1971. En 1956, l’abbé Villa rencontra Padre Pio à San Giovanni Rotondo. Le « prêtre aux stigmates du Christ » lui demanda de se consacrer à la défense de l’Église contre la Franc-maçonnerie. Le pape Pie XII approuva la mission. L’abbé Villa fut placé sous la direction des cardinaux Alfredo Ottaviani, préfet du Saint-Office, Pietro Parente et Pietro Palazzini. Ces hommes d’Église de grande intégrité morale devaient communiquer de nombreux secrets à l’abbé Villa remplissant la fonction d’agent de renseignement contre les loges.

Don Luigi Villa

Don Luigi Villa

Le 21 juin 1963, le Cardinal Montini, contre lequel Padre Pio et le Cardinal Ottaviani avaient mis en garde l’abbé Villa, fut élu Pape, sous le nom de Paul VI. Luigi Villa qui était d’un courage sans pareil, décrivit les origines juives de ce “pape”, et publia des photographies inédites de la tombe de sa mère Judith Montini, née Aghitsi, ornée de représentations maçonniques. Don Luigi Villa qui, en outre, n’hésitait pas à afficher des positions révisionnistes, mena son dernier et plus long combat contre la béatification de Paul VI.

C’est en hommage à ce prêtre particulièrement courageux que ce dossier est proposé à partir des travaux qu’il livra dans sa trilogie contre Montini : Paolo VI. Beato ? (Paul VI. Bienheureux ?), Paolo VI. Processo a un Papa (Paul VI. Procès à un pape), La Nuova Chiesa di Paolo VI (La nouvelle Église de Paul VI) et de la parution de Chiesa Viva d’avril 2013 s’appuyant sur des témoignages d’auteurs et des enquêtes personnelles.

 

Read the rest of this entry »

Written by Cave Ne Cadas

mai 13th, 2014 at 10:17 pm

Posted in Canonisation,cloaque d’impureté,dégénérés moraux,Don Villa,église Conciliaire,Laurent Glauzy,Vatican d'Eux

Tagged with , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , ,

Jérôme Bourbon dans RIVAROL :
La “canonisation” de Vatican II !

with 14 comments

 

Jérôme Bourbon dans le RIVAROL n° 3139 du 2 mai, publie un article sur la mascarade de dimanche : Saint Fric priez pour Eux…

 

Ndlr du CatholicaPedia : Les accentuations sont de nous. (Sauf le dernier paragraphe, en gras dans le texte)

Rivarol

Rivarol n°3139 du 2/5/2014


La “canonisation” de Vatican II !

 

Deux auréoles à la fois ! - Chard

Read the rest of this entry »

Written by Cave Ne Cadas

avril 30th, 2014 at 9:16 pm

Rome Moderniste & Hérétique : « L’église démo(n)cratique en sondages »…

with 19 comments

 

L’église Conciliaire « Singe de l’Église » (de Dieu), comme « Singe de Dieu » a-t-on dit du Démon « prince de ce monde » (démon et monde, ce sont les mêmes lettres, et de fait, il revendique d’être « prince de ce monde »)… se met aux Sondages d’opinion – attribut de la démo(n)cratie et outil de manipulation de l’opinion – sur un des points de la Révélation : le modèle du mariage indissoluble prêché par Notre Seigneur Jésus-Christ.

« La démocratie apparaît le lieu idéal pour que s’y dissimule et s’en serve le Prince des Ténèbres, qu’elle soit libérale, dictatoriale, ou révolutionnaire. D’où la Démoncratie. Les faits, les témoignages sont là pour en fournir la démonstration évidente à tout lecteur de bonne foi, à moins de faire partie de ces « idiots utiles » qu’affectionne notamment la Franc-maçonnerie. » (François Marie Algoud in Histoire et actualité du satanisme. La démoncratie)

La Sainte Écriture nous dit : « le serpent était le plus rusé de tous les êtres vivants que Dieu avait créés » (Gen. 3-1) Témoin par sa victoire sur Adam et Ève qui étaient pourtant supérieurs à tous leurs descendants par leur intelligence, par leur science et par leur sainteté … le démon est habile pour atténuer les fautes, pour les faire oublier, pour diminuer la laideur du vice ou les attraits de la vertu. Il endort ses victimes. Il trompe les bons eux-mêmes en se transformant en ange de lumière. Le démon décourage les âmes … et de concession en concession arrachées avec une infatigable persévérance, il conduit les âmes à la capitulation totale. Il veut faire des hommes des fidèles de satan. Sa force : Le démon est fort par le nombre

Les sondages servent-ils donc à manipuler l’opinion ? Font-ils la vérité par le nombre ?

Les sondages d’opinions sont un mode d’expression démo(n)cratique qui permet d’exprimer la « volonté populaire », qui permet de « donner la parole » au peuple…

À défaut d’exprimer l’opinion publique, qui en réalité est elle-même un artefact, les sondages d’opinion sont une modalité du travail de construction de l’opinion publique : ils parviennent eux-mêmes à donner à l’opinion publique sa forme particulière. Ils s’imposent effectivement comme donnant une norme à l’opinion publique, une norme prétendue exister d’elle-même, alors même qu’elle est construite par les sondages. Produire quelque chose en faisant croire que celle-ci existe par elle-même, naturellement, telle est la méthode subtile utilisée.

Evil-justice-contest

Read the rest of this entry »

Les Noëls de Potter : pas un cadeau !

with one comment

L’auteur de « Harry Potter et l’Ordre des Ténèbres » (aux Éditions Saint-Remi, voir plus bas) nous prie de diffuser son message :

« Chers amis,

Voici un article que j’ai écrit pour empêcher quelques exemplaires d’Harry Potter de pénétrer dans des foyers chrétiens. Si vous connaissez des gens qui pourraient en profiter, merci de bien vouloir le leur faire parvenir.

À tous, je souhaite un saint et joyeux Noël, ainsi que la santé et une foi toujours plus forte en 2014.

En JMJ.

Mona »

 


 

 

Les Noëls de Potter : pas un cadeau !

par Mona Mikaël

 

Read the rest of this entry »

Sur la parabole du bon grain et de l’ivraie

with 33 comments

Sur la parabole du bon grain et de l’ivraie

 

Sermon de l’abbé Louis J. Campbell

(préfacé par Thomas A. Droleskey, Ph.D.,

responsable du site catholique américain www.Christorchaos.com)


 

L’abbé Louis J. Campbell, pasteur du Saint Jude Shrine (sanctuaire de saint Jude) à Stafford (Texas), élevé au saint Sacerdoce le 3 septembre 1961 dans l’Ordre de Saint Augustin (dans la province canadienne de Nouvelle-Écosse), m’a permis de publier son sermon de ce jour, vingt-cinquième Dimanche après la Pentecôte (messe du cinquième Dimanche après l’Épiphanie), qui résume d’une manière à la fois succincte et très claire la situation à laquelle nous devons faire face aujourd’hui. Je le remercie de m’avoir autorisé à mettre cet important sermon à la disposition des lecteurs de notre site.

 
la parabole du bon grain et de l’ivraie
 

La parabole que Jésus nous conte aujourd’hui sur la mauvaise graine qui pousse à côté de la bonne ne saurait nous surprendre, car nous savons fort bien qu’en ce bas monde, les méchants côtoient les bons. Mais lorsqu’on y regarde de près, on constate que Jésus parle non pas du monde, mais de l’Église. Car dans le champ de l’Église elle-même, le démon a planté sa mauvaise graine, dont Judas fut le prototype : « Pendant le souper, lorsque déjà le diable avait mis dans le cœur de Judas, fils de Simon Iscariote, le dessein de le livrer… » (Jn. 13 : 2).

 

Bien sûr, Notre Seigneur parlait non seulement des temps apostoliques, mais aussi de chaque âge de l’Église, jusqu’au temps de la moisson. Mais si les « mauvaises herbes » n’ont pas encore été mises en gerbes pour être brûlées, cela signifie qu’elles sont toujours parmi nous, en train de tramer leurs complots maléfiques afin de séduire l’innocent et de susciter la révolution.

 

« Mais comment peut-il y avoir de mauvaises herbes dans l’Église ? » Il y a une Révolution au sein de l’Église. La révolution n’est autre que le renversement et le remplacement de l’ordre préexistant. C’est ce qu’a accompli la Révolution française de 1789, qui a renversé la monarchie et l’Église en France, exécutant un roi et une reine innocents, des milliers d’évêques, de prêtres et de religieux, des centaines de milliers de citoyens français innocents. La Révolution fut en définitive l’œuvre de la franc-maçonnerie, que l’Église avait déjà condamnée un demi-siècle auparavant.

 

Mais les révolutionnaires n’allaient pas s’arrêter là. Un prêtre français apostat, le chanoine Roca, déclarait déjà, à la fin du dix-neuvième siècle : « Le culte divin tel que la liturgie, le cérémonial, le rituel, tels que les prescriptions de l’Eglise romaine les règlent, subira une transformation à la suite d’un concile œcuménique […] La papauté tombera, elle mourra sous le couteau sacré que les Pères du dernier concile forgeront. Le César pontifical est l’hostie consommée pour le sacrifice. » (Évêque Rudolph Graber, Athanasius and the Church of Our Time, page 35). Un franc-maçon français de premier plan (1) (Yves Marsaudon, “L’œcuménisme vu par un franc-maçon de tradition”), a écrit en 1908 : « Le but n’est plus de détruire l’Église, mais plutôt de se servir d’elle en l’infiltrant » (Évêque Graber, pages 38 et 39).

 

Tel était déjà le plan des sociétés secrètes maçonniques depuis des générations. Elles devaient poser des pièges au clergé dans les sacristies, les séminaires et les monastères, afin de lui faire suivre « une révolution en tiare et en chape […] en croyant toujours marcher sous la bannière des clefs apostoliques » (instruction permanente de l’Alta Vendita).

 

La franc-maçonnerie étant la “matrice”, ainsi que le Pape Pie XII l’a appelée, le communisme fut une “retombée” de ce qui s’était passé avant lui en France. En 1936, le Parti Communiste ordonna que des jeunes gens compétents fussent préparés secrètement à entrer dans des séminaires et des monastères pour y être ordonnés prêtres. Manning Johnson, ancien membre du Parti Communiste d’Amérique, fit en 1953 la déposition suivante devant la Commission sur les activités anti-américaines de la Chambre des Représentants (HUAC) :

 

« Aux États-Unis, les dirigeants communistes se sont rendu compte que dans ce pays, la tactique d’infiltration devait s’adapter aux conditions américaines […] Aux stades précoces, il fut décidé qu’avec les seules forces modestes dont ils disposaient, les communistes devraient concentrer leurs agents dans les séminaires. La conclusion pratique qu’en tirèrent les dirigeants rouges fut que ces institutions permettraient à une petite minorité communiste d’agir sur l’idéologie des futurs ecclésiastiques dans un sens favorable aux visées communistes […] Cette politique consistant à infiltrer les séminaires réussit au-delà des espérances communistes. »

 

Mme Bella Dodd, elle-même membre éminent du Parti Communiste, se convertit au catholicisme en 1952 et commença dès lors à révéler les tactiques du Parti : « Au cours des années trente, nous avons placé des centaines de jeunes gens dans le sacerdoce afin de détruire l’Église de l’intérieur […] À l’heure actuelle, ils occupent les plus hauts postes de l’Église. » À l’avenir, selon elle, « on ne reconnaîtra plus l’Église catholique ». Cela, c’était des dizaines d’années avant l’ouverture du Concile Vatican II ;

 

« Selon quelqu’un qui a assisté aux conférences de Bella Dodd (le Frère Joseph Natala), l’intention était de détruire non pas l’institution de l’Église, mais plutôt la Foi des fidèles, voire d’utiliser, si possible, ladite institution pour détruire la Foi en promouvant une pseudo-religion : quelque chose qui ressemblerait au catholicisme, mais qui ne le serait pas en réalité. La Foi étant détruite, Dodd explique que l’on instillerait dans l’Église un complexe de culpabilité […], que l’on présenterait “L’Église du passé” comme étant oppressive, autoritaire, pleine de préjugés, arrogante en tant que prétendu possesseur unique de la vérité, et responsable des divisions entre familles religieuses au cours des siècles. Cela s’imposerait pour faire honte aux dirigeants de l’Église, les amenant ainsi à l’“ouverture au monde”, de même qu’à une attitude plus souple vis-à-vis de toutes les religions et philosophies. Les communistes exploiteraient alors cette ouverture dans le but de miner l’Église. »

 

N’avons-nous pas été témoins de tout cela ? Une fois implantées, ces « mauvaises herbes », évêques et cardinaux maçonniques et(ou) communistes, firent carrière à Rome, et en 1961, lors de l’ouverture de Vatican II, ils s’unirent pour arracher aux véritables évêques et cardinaux la maîtrise des débats, appliquant de la sorte leur programme de destruction de la Foi. Le cardinal Léon-Joseph Suenens put ainsi se vanter que Vatican II avait été 1789 dans l’Église. Après le Concile, le Grand-Orient de France fit état d’une « gigantesque révolution dans l’Église », qu’il considérait comme « un prélude à la victoire » (Évêque Graber, page 71).

 

Les prêtres, les évêques et la papauté elle-même ont été les premières victimes de la Révolution. Mais leur désastreux échec avait été prophétisé dans les Saintes Écritures, et il était connu de l’Église primitive. Le grand Cardinal Manning (1808-1892), écrivant sur les enseignements des premiers Pères de l’Église, a écrit ceci :

 

« Rome apostasiera de la foi, écartera le Vicaire du Christ et retournera à son paganisme primitif […] L’Église sera ensuite dispersée, rejetée dans le désert et restera pour un temps – comme à ses débuts – invisible, cachée dans des catacombes, des repaires, des montagnes, des  cachettes ; pendant un temps, elle sera en quelque sorte balayée de la surface de la terre. Tel est le témoignage des Pères de l’Église primitive » (Cardinal Henry Edward Manning, The Present Crisis of the Holy See, 1861, Londres : Burns and Lambert, pages 88 à 90).

 

Nous pouvons trouver quelque réconfort dans le fait que l’“église” à la ruine de laquelle nous assistons actuellement n’est pas la véritable Église, mais la fausse église maçonnique. Notre meilleure défense contre le mal et cette fausse église réside dans le Saint Sacrifice de la Messe. Mais nous avons aussi le Saint Rosaire, par lequel Notre Dame devient « redoutable comme une armée rangée en bataille ». Puisse-t-elle, par la puissance de Dieu, avec saint Michel et tous les Saints Anges, ainsi qu’avec nos prières, être victorieuse dans la bataille !

 

 

 

_____

 

 

Source : http://christorchaos.com/FatherLouisJ.CampbellontheWheatandtheCockle.html

 

Traduction : CatholicaPedia.net

Un grand merci à notre traducteur professionnel.

 

 


[1] NdT : Combien il nous coûte d’écrire « un franc-maçon français », ce grotesque oxymore (tel « un socialiste intelligent ») dont l’auteur (américain : on voudra donc bien lui pardonner) ne nous épargne pas la lecture !…

Nouvelles du pays d’Eux

with 7 comments

Le Cardinal Schönborn, Honoré par le B’nai B’rith Europe


Ralph Hofmann, Cardinal Christoph Schönborn, Victor Wagner, B'nai B'rith Menorah

De gauche à droite : Ralph Hofmann, Président du B’nai B’rith Europe, le cardinal Christoph Schönborn et Victor Wagner


 

Comme son père, le comte Adalbert Josef Maria Hubertus Damian Hugo von Schönborn – Wiesentheid, qui était maçon, le cardinal Christoph Schönborn sert les intérêts du judaïsme et de la franc-maçonnerie et a donc reçu le B’nai B’rith Europe Award « menorah » pour « services humanitaires exceptionnels ».

La manifestation s’est tenue le 23 Octobre 2013 au Palais des Archevêques de Vienne.

 “CARDINAL” <abbr>SCHONBORN</abbr> <abbr>OCT</abbr>.13

À cette occasion, le cardinal Schönborn a dit qu’il était « ému » et que depuis l’enfance, il a reçu de sa mère, la baronne Von Eleonore Doblhoff – un « grand amour du judaïsme et d’Israël » ; il fait partie de ceux qui ne veulent pas voir « la propagation de la violence et de l’intolérance » et la non-répétition de « ce qui s’est passé le 9 Novembre 1938, lorsque la synagogues de Vienne a brûlées », exprimant sa volonté de poursuivre le travail entrepris par son prédécesseur Franz Konig  qui est d’approfondir les relations entre le christianisme et le judaïsme. 

De son côté, Victor Wagner, président de la B’nai B’rith Autriche, a remercié le Cardinal de son soutien dans le débat sur la circoncision.

 
SOURCE