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Que Willy sacre ça change quoi ?
Que Willy sacre ça change quoi ?
RIEN !
D’avoir un “Pape” qui peut se tromper — et les tromper ! — ça les rend fou !!!
Assis entre deux chaises, trois chaises, mille chaises… ça les rend fou !!!
On est dans le “Résistance” mais on est encore dans la F$$PX… ça les rend fou !!!
« Depuis demain, la FSSPX aura quatre Évêques de nouveau. Ils doivent rapidement me jeter ! Deo gratias ! » (abbé Faure la veille de son Sacre)
Le principal pour cette fausse-Résistance c’est de rester dans « l’attitude prudente qui exclut le sedevacantisme. Mgr. Lefebvre a toujours refusé d’ordonner un séminariste qui fût sedevacantiste. »
Ça les rend fou !!!
Mais Nous, CSI (catholique semper idem) — sedevacantistes comme ils disent [dans ou hors la fsspx] — Nous sommes serein !!! on regarde tout ce petit monde s’affoler depuis quelques jours…
Menzingen condamne et se prend pour Rome… Mgr Fellay devient le pape de la Tradition… ça le rend fou !!!
L’EXERCICE DU CHEMIN DE LA CROIX
Vous savez cher Lecteurs, que les vendredis de Carême le Catholique semper idem aime à faire l’exercice du Chemin de la Croix.
Voici donc l’excellente Allocution que M. le chanoine Joseph Lémann donna aux prêtres adorateurs dans l’église Saint-Pierre, un 3 mai, fête de l’Invention de la Sainte Croix :
L’Exercice du Chemin de la Croix
Suprême espérance de vie pour la très noble France.
I — Considérons d’abord les effets de vie produits par l’exercice du Chemin de la Croix dans nos existences individuelles.
Faire le Chemin de la Croix a toujours été, de toutes les dévotions, la plus excellente, parce que ce saint exercice nous rend plus exactement conformes à Notre-Seigneur Jésus-Christ. Lorsqu’on aime quelqu’un, on cherche à lui ressembler, on s’ingénie à prendre ses manières, ses goûts, à s’identifier avec lui. Or, transporter dans sa propre vie le Chemin de la Croix parcouru par le Sauveur, le faire de temps en temps, s’y placer à côté de lui, n’est-ce pas lui témoigner un amour de conformité, d’identification ? Ô bienheureux ceux qui font le chemin de la Croix, ils ont une marque de prédestinés : conformes aujourd’hui dans la compassion, ils le seront demain dans la glorification.
Mais outre la grâce de devenir conformes à Notre-Seigneur Jésus-Christ, ce saint exercice apporte avec lui d’autres grâces, procure sur-le-champ des consolations suaves et profondes ; en voici un rapide sommaire :
Faire le Chemin de la Croix, c’est le secret de se désaltérer à un fleuve de paix, selon l’expression des Livres saints. A-t-on éprouvé une peine, un chagrin ? À son Chemin de la Croix on s’en débarrasse, on l’oublie ; le chagrin se fond, se résout doucement ; on retrouve la pais, et la paix c’est si bon !
C’est le secret d’acquérir la patience, vertu si absolument nécessaire dans cette vallée des larmes et des contradictions. Ses formes sont multiples : patience envers le prochain ; patience envers les événements ; patience envers soi-même ; patience envers le Seigneur. Or, attendu que la patience a été la vertu particulièrement manifestée par le divin Agneau dans sa voie douloureuse, on l’acquiert là, sur ses traces : il nous la communique.
C’est le secret de signifier au péché : halte-Ià. On rencontre, hélas ! des entraînements au péché, des occasions dangereuses, sur tous les chemins de cette triste terre, et parfois on y tombe. Mais si l’on a introduit dans sa vie le Chemin de la Croix, on rejoint, par ce chemin, la grande route du ciel, et l’on finit par y demeurer pour toujours.
C’est le secret de continuer notre amour, un amour effectif, à l’égard des âmes bien-aimées qui nous ont quittés et précédés dans l’autre vie. Si elles ont besoin de secours, quel immense secours ne trouvent-elles pas dans ce saint exercice offert pour elles, vu que, chaque fois que l’on fait le Chemin de la Croix, on gagne l’indulgence plénière, sans qu’il soit nécessaire de se confesser exprès et de communier, pourvu qu’on soit dans l’état ordinaire de grâce. On se dit souvent : « Ah ! si je pouvais revoir une personne qui m’a été chère et qui n’est plus, une mère qui a été si bonne, une sœur, un ami à qui j’ai fait de la peine, la revoir seulement une seconde : ô quelle éloquence il y aurait dans mon regard, quelle étreinte jaillirait de mes mains ! » Ce regret est assurément respectable et touchant : mais éloquence du regard, étreinte de la main, ne vaudraient pas pour ces âmes bien-aimées le résultat salutaire d’un Chemin de la Croix.
C’est le secret enfin de participer largement, vivement, activement, à la situation militante de la sainte Église. La presse journalière nous apporte-t-elle la nouvelle d’un sacrilège horrible, d’une persécution qui se prépare, d’un martyre dans les missions : au Chemin de la Croix, on aide à réparer ce sacrilège, à éloigner cette persécution, à exalter l’héroïsme de ce martyre ; car le Chemin de la Croix n’est-il pas la voie royale de l’action de grâces, de la réparation, de la force et de la bénédiction ?
Voilà un abrégé des effets de vie que produit le saint exercice dans nos existences individuelles.
Mais cet exercice tutélaire sera-t-il sans effets de vie dans l’existence des nations ? Ô Jésus, vos chères nations chrétiennes n’ont-elles pas été déclarées guérissables, sanabiles fecit nationes ? Ne font-elles point partie du grand peuple d’acquisition qui a formé votre héritage, populus acquisitionis ? Oui vraiment, l’exercice du Chemin de la Croix possède aussi pour elles des effets de vie, des secrets de rajeunissement, de rénovation, en particulier pour la France : votre France, ô Jésus, non seulement parce qu’elle est la fille ainée de votre Église, mais parce que les événements lui ont fait une place inattendue dans le drame de votre douloureuse Passion.
II — Remontons aux origines de la France.
C’était la veille de Noël. Le fondateur de la nation française se préparait à son baptême ; Clotilde était à ses côtés. Pour exciter la foi naissante du chef des Francs et sa contrition de pécheur, saint Remy lui expliquait, l’Évangile à la main, les scènes poignantes de la Passion. Clovis buvait cette parole. Tout à coup, ému, emporté par l’amour, il s’écrie « Que n’étais-je là avec mes Francs ?… » Que cette parole est belle, avec quel accent elle a dû être prononcée ! Mes Francs, mes braves Francs, comme j’aurais, avec eux, empêché la Passion ! Comme ils auraient dispersé ces lâches bourreaux, même la légion romaine ! Parole magnanime, elle a déterminé la vocation de la nation française. Il y a des paroles qui créent des vocations, celle-là en est une ; du souffle généreux de Clovis en faveur du Christ, est sortie l’âme de la France.
Ô cieux, soyez dans l’étonnement, et toi terre de France, prête l’oreille. Par un renversement étrange et une révolution lugubre des choses, il advient que c’est le peuple franc, ce peuple duquel son magnanime chef affirmait qu’avec lui il n’y aurait pas eu de Passion, c’est ce peuple qui, malgré lui, est douloureusement employé à recommencer la Passion. En effet, n’est-ce pas sur la terre de France que les crucifix sont incessamment arrachés, que le Christ est proscrit de partout, que l’Église pleure et sanglote ? Dans son Encyclique Vehementer, Notre Très Saint Père Pie X n’a-t-il pas fait cette brûlante énumération :
« Vous avez vu violer la sainteté et l’inviolabilité du mariage chrétien par des dispositions législatives ; laïciser les écoles et les hôpitaux, arracher les clercs à leurs études et à la discipline ecclésiastique pour les astreindre au service militaire ; disperser et dépouiller les congrégations religieuses et réduire la plupart du temps leurs membres au dernier dénuement. D’autres mesures légales ont suivi : On a abrogé la loi qui ordonnait des prières publiques au début de chaque session parlementaire et à la rentrée des tribunaux ; on a supprimé les signes de deuil traditionnel à bord des navires le Vendredi-Saint ; on a effacé du serment judiciaire ce qui en faisait le caractère religieux ; on a banni des tribunaux, des écoles, de l’armée, de la marine, de tous les établissements publics enfin, tout acte ou tout emblème qui pouvait d’une façon quelconque rappeler la religion. »
Ainsi a parlé le Chef de l’Église ; de sa brûlante énumération, rapprochons le cri d’amour sorti de la poitrine du fondateur de la nation française : « Que n’étais-je là avec mes Francs ! » Ô Clovis, vous seriez-vous trompé ? Il y a de vos Francs, commandés par l’apostasie, qui recommencent la Passion !…
III. — « Que n’étais-je là avec mes Francs ! » La Providence divine avait recueilli et tenait en réserve ce cri d’amour.
L’an 1099, lorsque Jérusalem opprimée sous le cimeterre de Mahomet tendait vers l’Europe ses bras chargés de chaînes, les Francs s’y précipitèrent ; et le soir même de la délivrance qui fut un vendredi, l’armée des Francs guidée par Pierre l’Ermite et Godefroy de Bouillon montait au Calvaire en faisant le Chemin de la Croix, avec des sanglots de contrition et des larmes de reconnaissance. Ce Chemin de la Croix, à la lueur des torches, fut solennel.
Si la France du XXe siècle veut se délivrer de l’apostasie plus homicide que le cimeterre de l’Islam, qu’elle se souvienne non seulement de l’élan des croisés qui voulait dire : « J’étais là avec mes Francs ! » mais aussi de leur spontané Chemin de la Croix à la lueur des torches, un vendredi, au lieu même du Calvaire. Ô France de Clovis et de saint Louis, que toutes tes forces vives, restées chrétiennes et françaises, prennent position sur ton calvaire pour défendre la Croix de ton Dieu bafouée et menacée de disparaître.
Ouvrez la marche, bataillons des misères humaines. Assemblez-vous toutes et rangez-vous autour du Dieu crucifié qui vous a tant de fois soulagées.
Lépreux, passez devant le Golgotha, et, la main levée, dites : Nous avons besoin de Lui ! — Sans la Croix, en effet, la lèpre reviendrait bientôt sur vous, plus horrible et plus dévorante.
Mendiants, passez devant le Golgotha, et, la main levée, dites : Nous avons besoin de Lui ! — Sans la Croix, en effet, on vous apercevrait bientôt mourants de faim le long des routes et des fossés.
Et vous, pauvres aliénés, passez aussi devant le Golgotha, et, de vos mains inconscientes et crispées, retenez la folie de la Croix. Ah ! sans elle, personne ne prendrait bientôt plus soin de votre terrible état.
À la suite du bataillon des misères, nous prêtres, soyons au centre de ce grand Chemin de Croix national ; faisons fréquemment le saint exercice, et si c’est possible tous les vendredis, jusqu’au jour de la délivrance. Que notre modèle, après Jésus, soit saint Jean de Dieu. On sait que pendant un horrible incendie qui ravageait un hôpital consacré aux pauvres fous, Jean se précipita au milieu des flammes, courant çà et là, emportant les pauvres fous sur ses épaules ; et qu’après avoir ainsi passé une demi-heure dans la fournaise, il en sortit miraculeusement sain et sauf, disant » que le feu qui l’entourait dans l’incendie n’avait pas une ardeur aussi vive que celui dont son cœur était embrasé. » On sait également que, dans sa dernière agonie, se levant brusquement, il se mit à genoux sur sa couche, pressant dans ses mains et sur son cœur Jésus crucifié, et qu’il mourut ainsi dans le baiser du Seigneur, tenant encore durant six heures, sans le laisser échapper de ses mains, le crucifix : prodige d’amour qu’on dut faire cesser pour procéder à ses funérailles. Ô mes frères dans le sacerdoce, c’est l’heure de l’incendie : arrachons tant de malheureux insensés aux flammes éternelles ; et si nous devions mourir, qu’on nous trouve à genoux, pressant dans nos mains et sur notre cœur le crucifix adoré.
IV — Outre le bataillon des misères, outre la phalange sacerdotale, l’exercice du Chemin de la Croix appelle à lui une véritable armée d’élite : laquelle ?
Si l’on y prend garde, depuis le christianisme, il y a rarement des apparitions d’anges. Sous la loi ancienne, elles étaient fréquentes : les anges venaient diriger, aider et secourir le peuple de Dieu. Sous la loi évangélique, ils n’interviennent qu’avec réserve, selon cette pensée charmante : par révérence pour les femmes chrétiennes et les vierges du Seigneur, qui sont devenues des anges de bon secours dans tous les besoins.
Or, pour délivrer la France de l’apostasie, l’exercice du Chemin de la Croix fait appel a toute une armée de ces anges de bon secours. Comment cela ?
Sur le point de s’abandonner aux tourments de sa douloureuse Passion, le Christ tout-puissant disait : Pensez-vous que je ne puisse pas prier mon Père, et qu’il ne m’enverrait pas aussitôt plus de douze légions d’anges ? La légion romaine était composée de six mille hommes. Douze légions angéliques eussent formé une véritable armée : soixante-douze mille anges.
Ô bon Jésus, daignez mettre au cœur des femmes chrétiennes et de vos vierges le dessein de former au Chemin de la Croix cette armée angélique qui sauvera la foi en France. Voici une association providentielle pour favoriser ce dessein : il s’est fondé à Rome en 1884 l’Association du Chemin de Croix perpétuel ; son centre est l’antique église de l’Ara coeli au sommet du Capitole. Notre Éminentissime et bien-aimé Cardinal-Archevêque vient d’obtenir qu’en dépendance de l’Ara coeli, un centre secondaire du Chemin de Croix perpétuel soit établi, pour toute la France, dans sa chère ville de Lyon. Ô Jésus, inspirez à vos vierges qui gardent le feu sacré, aux mères chrétiennes dont le cœur a été froissé par les audaces de l’apostasie, aux humbles ouvrières dont le trésor est le travail et la pureté, inspirez-leur à toutes la générosité d’entrer dans cette Association du Chemin de Croix perpétuel, et de former ainsi, sur la voie douloureuse de France, les douze légions d’anges dont il fut parlé à Gethsémani. Jésus, ô bon Jésus, vous les avez refusées pour vous-même, mais n’est-ce pas l’heure de les demander et de les faire accourir pour conserver la vie de votre France bien-aimée ? Tous les prêtres adorateurs vous adressent cette supplication.
(Allocution de M. le chanoine Joseph Lémann aux prêtres adorateurs dans l’église Saint-Pierre, 3 mai, fête de l’Invention de la Sainte Croix.)
Bibliographie sur l’infaillibilité
Bibliographie sur l’infaillibilité
Pour les personnes de “mauvaise foi”
Auteur : Dr. Alain DROTZ
CSI (Catholique Semper Idem)
Introduction
Je conseille au lecteur quel que soit son état, fidèle, prêtre et … hélas évêques de lire le chapitre premier, page 5 à 10 de l’ouvrage (voir lien ci-dessous) de Jean Loyseau, pseudonyme de Monsieur l’abbé Paul Alexandre de Geslin de Kergoson. Il lui suffira par la pensée de remplacer Mon très révérend-Père, par Monsieur l’abbé ou par Votre excellence ; de remplacer votre brochure par vos sermons, revues etc. de rajouter en plus d’Honorius, les papes Libère et Vigile et d’autres pour certains.
- Lire & Télécharger en PDF :
« Le Chant du Cygne Gallican, Paroles et Musique du R. P. GRATRY, Prêtre de l’Oratoire, Membre de l’Académie française ; Exécuté après Jugement Préalable par Jean Loyseau Cordonnier et pas Académicien »
Oui, comme cet auteur, « vous aurez peine à imaginer la terreur que me font éprouver » vos sermons et autres écrits au sujet de soi-disant papes ayant pu errer ! C’est avec cet état d’esprit que j’ai été forcé d’effectuer cette recherche bibliographique et de faire définitivement miennes les écrits du pape LÉON XIII (Bref Saepenumero considerantes) et de Mgr Claude-Henri-Auguste Plantier (Lettre pastorale).
Lisez les ouvrages des Mgrs Bégin, Dechamps, De la Tour d’Auvergne et de tous ces prêtres dont la liste serait trop longue, Messieurs les abbés Béchillon, Boylesves, Constant, Capellari (futur pape), etc.
Et après ne venait plus dire que vous ne saviez pas. Mais comme l’a écrit Monseigneur de Ségur :
« Avis à tous ceux qui ont eu l’imprudence de lire ces brochures, ces pamphlets, ces journaux où l’autorité du Souverain-Pontife était indignement attaquée et ridiculisée de mille manières ; où la liberté du Concile du Vatican était journellement mise en doute avec autant de légèreté que d’audace ; où l’histoire était défigurée et la science faussée ; où le venin de l’hérésie était habilement distillé, afin d’empoisonner les âmes.
Oh ! Que les hommes qui ont mené cette conspiration ont donc été coupables ou du moins aveugles ! Que de milliers d’âmes ils ont égarées ! De combien de blasphèmes contre la foi ne sont-ils pas et ne seront-ils pas longtemps encore peut-être responsables devant Dieu !
Laissons-les dire : ils se trompent. Ne prêtons pas l’oreille à leurs discours plus ou moins captieux. N’a-t-on pas toujours eu une cargaison d’arguments au service des plus mauvaises causes ?
Quels qu’ils puissent être, laïques ou ecclésiastiques, prêtres, religieux, Évêques même (ce qu’à Dieu ne plaise !), séparons-nous d’eux sans discuter et demeurons à tout prix fidèles à Dieu, en demeurant fidèles à son infaillible Vicaire. »
AVANT DE PRENDRE LE MAQUIS, LA RÉSISTANCE VEUT, ELLE AUSSI, FAIRE L’UNITÉ
Avant de Prendre le Maquis, La Résistance veut, Elle Aussi, Faire l’Unité (c’est très à la mode en ce moment !) en combattant le seul ennemi mortel : le SÉDÉVACANTISME “dogmatique” !!! Elle nous dit : il ne faut rien dogmatiser !
Nous avons déjà EU, dans la FSSPX, des études (dites) “sérieuses” et surtout sérieusement anti-sédévacantistes….. La résistance (!) s’y met à présent et nous promet une nouvelle ÉTUDE encore plus fouillée, encore plus “antisédévacantiste dogmatique” pour l’été prochain !… eh oui ! car nous apprenons médusés qu’il y a plusieurs formes de sédévacantismes (et de SENSIBILITÉS catholiques sans doute ?!) et que toutes ces formes peuvent être soit una cum soit non una cum !!!! c’est merveilleux ! la sainte résistance vient d’inventer une nouvelle tour de Babel à vocation RÉCONCILIATRICE et unitariste ! Mais dans quel but ultime ? devinez……. : préserver l’unité de la résistance…..tant il est vrai que la seule menace au monde pour tous ces clercs de toutes mouvances porte un nom maudit qui lui a valu sur d’autres blogues des noms d’oiseaux particulièrement gratinés : j’ai nommé le sédévacantisme dogmatique (dit autrefois “complet”) qui a pour premier principe — catholique semper idem — de refuser toute compromission avec l’erreur et tous ses artisans !
AVERTISSEMENT : la LÉGITIME euphorie et sa détente subséquente devant des ÉCRITS aussi hallucinants ne doivent pas nous faire oublier la gravité du sujet et de l’heure PRÉSENTE… et la CHARITÉ surnaturelle qui doit en ÊTRE le fruit…
Savourons NÉANMOINS, avec tristesse et effroi, ce que des cervelles CLÉRICALES, PÉTRIES des meilleures intentions, ne craignent pas de soumettre À nos intelligences offusquées :
Les arguments théologiques précis de ce que dit l’abbé Abrahamowicz
Pour faire suite à notre article « Un Clerc Enfin Clair » publié hier, dans lequel « Face aux angoisses antisedevacantistes de Mgr Williamson », l’abbé Abrahamowicz fait le point sur ce “sédévacantisme” et expose les absurdités de Mgr Willianson et celles de ses confrères “résistants” opposés aux aventures de Mgr Fellay.
Bruno Saglio, directeur des Éditions Saint Remi, nous autorise de publier l’article qu’il a fait dans le n°31 de La Voix des Francs Catholiques, qui donne les arguments théologiques précis de ce que dit l’abbé Abrahamowicz.
La Voix Des Francs
Catholiques n°31
Revue trimestrielle des Éditions Saint-Remi.
Au sommaire :
- § Éditorial, par Bruno Saglio directeur de la revue.
- § Trésors des Auteurs Anti-Libéraux « Le Plan Judéo-Maçonnique contre l’Église » par le Marquis de La Franquerie (1927), présenté et annoté par Ernest Larisse
- § Des Causes qui Séparent le Baptisé du Corps de L’Église par Bruno Saglio
- § Les Illuminati, note d’Ernest Larisse
Sommaire et extrait
des 30 numéros précédents
En même temps nous recommandons vivement à tous nos lecteurs de s’abonner à cette revue antilibérale trimestrielle, soutien des ESR, qui figure parmi celles que tout Catholique semper idem devrait posséder (et lire bien sûr !).
Pour être capable de rendre compte et de transmettre sa foi ; avoir des connaissances religieuses au niveau de ses connaissances profanes ; pouvoir discerner l’erreur et la réfuter…
Il faut donc avoir un budget livre et pouvoir consacrer 30 minutes minimum par jour à la lecture.
Former les enfants à la lecture dès sept ans (les y obliger au départ, mais très vite ils y prendront goût), suivre leurs lectures chaque jour.
Des causes qui séparent le baptisé
du corps de l’Église
Dans cet article, nous allons apporter les preuves, que l’Hérésie, l’Apostasie et le Schisme séparent ipso facto (par le fait même) du corps de l’Église, ainsi que l’Excommunication prononcée par l’autorité légitime (qui elle nécessite une déclaration nominative)
Il est de foi que le baptisé est constitué membre de l’Église. Cependant le baptême est un sacrement qui imprime un caractère indélébile dans l’âme, qui par conséquent ne peut être réitéré. On se demande donc si on peut perdre la qualité de membre de l’Église ; existe-t-il des causes par lesquelles les baptisés puissent ne plus être membre de l’Église ?
APOSTOLICA SEDES VACANS : L’Opinionisme par Mgr Sanborn
L’Opinionisme par Mgr Sanborn
Nous publions la récente traduction d’un article de Mgr Donald Sanborn très éclairant sur le relativisme de certains prêtres et laïcs sur la question du Pape.
Dans une approche tout à fait originale du concept de l’ “opinion”, et de l’ “opinion théologique”, Mgr Sanborn nous délivre une démonstration claire et solide pour réduire à néant la portée de l’un des nombreux qualificatifs dont est affublé le catholique semper idem, plus souvent dénommé du titre infâmant de « sédévacantiste ».
Nous avons vu, dans un précédent article, que l’aveuglement de nos clercs n’avait plus de borne, que, sans nous, ils avaient presque du mal à exister et qu’il leur était nécessaire de forger de nouveaux concepts comme celui, quelque peu hilarant, de sédévacantisme non dogmatique ou, en quelque sorte, “modéré”.
Un reproche fréquent fait par nos clercs à la « gens sedevacans », outre le sempiternel, fameux et éculé « manque de charité », c’est de ne nous considérer que comme une « opinion théologique » qui serait à mettre au même rang que les autres opinions par une confusion savamment entretenue entre ce que Mgr nous rappelle et enseigne: la conclusion théologique et sa sœur cadette, si j’ose dire, l’opinion théologique.
Nos lecteurs liront donc avec le plus grand intérêt (et le plus grand plaisir) cette petite étude de Mgr et en retireront le plus grand profit tant au niveau de leur âme , assoiffée de « charité de la vérité », qu’au niveau plus humble de leur culture lexicale…!!!
L’Opinionisme
Par Mgr Donald J. Sanborn
La question du pape : “Juste une opinion” ?
La Vacance du Siège Apostolique, la non-papauté de François I ainsi que de Benoît XVI, Jean-Paul II, Jean-Paul I, Paul VI et même Jean XXIII est un problème qui a, plus que tout autre, divisé les traditionalistes ces cinquante dernières années.