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RORE SANCTIFICA : Conférence de M. Philippe Bourcier de Carbon
LHR ayant été obligés de reporter en mai et juin la conférence de M. Bourcier de Carbon sur le nouveau rituel du sacre des évêques, il a pu enfin trouver une date convenant à tous.
Cette conférence exceptionnelle sur un sujet aussi important, aura bien lieu :
Conférence de
M. Philippe Bourcier de Carbon
Le nouveau rituel du Sacre des Évêques
Pourquoi en changer ? Histoire de ce combat depuis les Anglicans ; l’équipe de faussaires ; les mensonges
¤ ¤ ¤ ¤
Les travaux du site Rore Sanctifica ; les essais de réfutation ; les escroqueries.
La situation en 2015.
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Bilan et gravité de la situation
Bourcier de Carbon, Polytechnicien, après avoir été le fondateur du CIELT (Centre International d’Études sur le Linceul de Turin), a dirigé les travaux du Comité International de Recherches Scientifiques sur les origines et la validité de Pontificalis Romani (Rore Sanctifica) et est certainement le meilleur spécialiste sur la question.
Le dimanche 27 septembre 2015
14h30
Salle Loïc Merlant
(à côté de La Poste)
Rue de la mairie
44130 Fay de Bretagne
Localisation GPS : | Latitude : -1.79043000 |
Longitude : 47.41444000 |
Possibilité de pique-niquer sur place
Invitez vos amis et même les contradicteurs.
Il y aura toute possibilité de débattre.
À diffuser : un bon dimanche en perspective
Rivarol : Abbé Anthony Cekada : “Bergoglio est un moderniste typique des années 1960-1970 !”
Jérôme BOURBON, dans le dernier “Rivarol” – N° 3152 du 31/7/2014 – à recueilli les propos de l’abbé Anthony CEKADA sur Bergo(go)glio.
Nota : Bien que l’abbé Cekada a publié en son temps une étude érudite concernant l’invalidité des nouveaux “sacres” conciliaires de 1968 (cf. Rore-Sanctifica) il est désolant que dans cette publication de RIVAROL celui-ci, tout en défendant la position sédévacantiste, ne précise pas (et entretient même la confusion) que l’église Conciliaire est une entité différente de l’Église catholique.
L’abbé Cekada a réalisé son étude érudite concernant l’invalidité des nouveaux “sacres” conciliaires de 1968 suite aux travaux du Comité International Rore Sanctifica :
S’il dit bien que cette Église (en utilisant justement un “É” majuscule blasphématoire !) n’est pas catholique, que « ce que dit Bergoglio n’est pas catholique »… « qu’il ne faut pas suivre Bergoglio pour rester catholique »… à aucun moment il ne précise que cette église n’est pas l’Église Catholique !
A-t-il compris le problème de l’éclipse ?
Nous regrettons donc que dans l’article que vous allez lire ci-dessous la typographie ne vous aide pas a définir clairement lorsqu’il parle de l’église Conciliaire ou de l’Église catholique… (Le problème peu venir aussi de Jérôme Bourbon & de Rivarol, auquel cas nous les encourageons à être plus précis !)
Ndlr du CatholicaPedia : Les accentuations sont de nous.
Rivarol n°3152 du 31/7/2014 au 3/9/2014
Abbé Anthony Cekada : “Bergoglio est un moderniste typique des années 1960-1970 !”
F$$PX : l’abbé Gleize blasphème !
Un Bon Article Mais Une Fausse Conclusion
Le dilemme que pose la canonisation de Jean-Paul II,
DICI/Abbé Gleize – 14 Février 2014
http://www.dici.org/documents/le-dilemme-que-pose-la-canonisation-de-jean-paul-ii/
Dans le Courrier de Rome de janvier 2014 (n°372), l’abbé Jean-Michel Gleize, professeur d’ecclésiologie au Séminaire Saint-Pie X d’Écône, publie une étude intitulée
« Jean-Paul II : un nouveau saint pour l’Eglise ? ».
Après avoir rappelé qu’une canonisation est infaillible, il pose la question :
« Les nouvelles canonisations obligent-elles en conscience tous les fidèles catholiques ? ».
Puis il demande : « Jean-Paul II peut-il être canonisé ? », citant les déclarations du pape polonais aux luthériens, anglicans, orthodoxes, juifs et musulmans, reprenant également ses propos sur la liberté religieuse.
Un “prêtre” coquin de Miami change d’ “Église” pour épouser sa belle
Un “prêtre” coquin de Miami change d’ “Église” pour épouser sa belle
Suite de la série d’articles sur Vatican d’Eux et la volonté farouche qu’ils [Eux] ont de mettre fin au “célibat des prêtres”… (enfin, ceux qui ne sont pas pédérastes ! quoi que ?!!!)
Quatrième et dernier (???) épisode, en 2009, un “prêtre” américain brise le vœu de célibat et provoque un scandale…
Alberto Cutié, alias Padre Alberto, est une figure ecclésiastique très connue aux États-Unis. Habitué des plateaux télé, il fait de la musculation, adore le disco (!!! Normalement, on n’adore que son Dieu…) et anime des émissions de radio et télévision. Il a défrayé la chronique en 2009 après avoir été pris en photo enlacé avec sa petite amie sur une des plages les plus fréquentées de Miami (Floride, sud-est).
Il n’en fallait pas plus pour choquer l’Amérique puritaine : un homme d’église pris en flagrant délit avec sa maîtresse dévêtue, en pleine séance de câlins au milieu d’une plage.
Plutôt que de nier, Padre Alberto avait d’abord choisi la voie du pardon. « Je m’excuse auprès de ceux qui auraient pu être heurtés ou attristés par mes actes », avait expliqué le “prêtre”. « Mon engagement pour servir Dieu est intact », explique le “prêtre” sur son site Internet.
Les images prises par des paparazzi et publiées par la revue espagnol TVNotas (le Paris Match [ou Voici] Mexicain !) montraient le père Alberto Cutié, en train d’embrasser fougueusement une jeune femme sur une des plages les plus fréquentées de Miami. Tous deux en maillot de bain. Le “prêtre” avait admis les faits et demandé “pardon” dans une lettre, en assurant que son « dévouement envers Dieu restait intact ».
Toutefois, l’archevêché de Miami avait déclaré qu’il ne pourrait plus dire la “messe” dans sa paroisse de San Francisco de Sales, où la gent féminine se pressait pour admirer ses beaux yeux bleus, selon des paroissiens. L’archevêque de Miami John Favalora avait alors déclaré (pour faire bonne figure) que le « père Cutié avait fait vœu de célibat et que tous les curés devaient tenir leur promesse avec l’aide de Dieu ».
La revue TVNotas affirme par ailleurs détenir une vidéo dans laquelle on voit le “prêtre” « introduire la main dans le bas du bikini de la femme ». La vidéo n’a pas été diffusée, mais des chaînes de télévision locales ont avoué qu’elle leur avait été proposée pour plusieurs centaines de milliers de dollars. (!!!)
Le très médiatique père Alberto critiquait publiquement de longue date, le célibat imposé aux prêtres. Depuis 2002, l’Église catholique américaine (l’église Conciliaire américaine) a été éclaboussée par de nombreux scandales impliquant des “prêtres” (des laïcs de l’église Conciliaire ! puisque celle-ci n’a plus de sacrements valides tout comme l’église Anglicane…) dans des affaires d’abus sexuels (pédérastes ou homosexuelles)…
* * *
Le “prêtre” catholique [conciliaire] change d’ “Église” pour épouser sa belle
Les photos montrant le père Alberto Cutié et une jeune femme tendrement enlacés sur une plage avaient fait scandale.
Quand le scandale des photos de paparazzi a éclaté, Padre Alberto se disait déchiré entre Dieu et sa belle, une Guatémaltèque dont il a avoué être tombé amoureux deux ans auparavant. Répudié par l’archevêque catholique de Miami, il a choisi de rejoindre l’église Épiscopalienne et « au sein de laquelle il poursuivra son “sacerdoce” ». Trois semaines plus tard, le plus célèbre “curé” de la communauté hispanique américaine n’a finalement renié ni l’un ni l’autre. Le 31 mai [2009], il a prononcé son premier sermon dans l’église de la Résurrection à Biscayne, une petite ville de Floride, mais il lui faudra se former pendant un an avant d’être autorisé à enfiler sa chasuble de “prêtre épiscopalien”.
L’église Épiscopalienne américaine, à mi-chemin entre le catholicisme romain et le protestantisme, présente l’avantage de ne pas imposer le célibat à ses membres. Le père Alberto a déjà officiellement présenté l’élue de son cœur à l’ “évêque” du diocèse. Ruhama Buni Canellis, une trentenaire divorcée (femme adultère donc !!! elle aussi…) qui élève seule un fils adolescent, semble ravie de la tournure prise par les événements.
« Fortes tentations » sous le soleil de Floride !
Les photos montrant l’homme d’église sur une plage début mai [2009] embrassant une jeune femme en bikini avaient suscité une grande émotion chez les catholiques (conciliaires). Padre Alberto est une célébrité dans la communauté hispanique, qui compte des millions de fidèles à travers tous les États-Unis. Le quadragénaire aux yeux bleus fréquente volontiers les soirées de la jet-set locale, a écrit un best-seller intitulé “Vraie vie, vrai amour” et donne des conseils matrimoniaux à la télévision et la radio. On le surnomme « Padre Oprah », en référence à la célèbre animatrice de télévision américaine.
Certains fidèles se sont sentis trahis par les écarts de leur idole (!!!). Le clergé, arguant du vœu de célibat qu’Alberto Cutié avait prononcé en devenant “prêtre”, l’a fermement condamné, bien qu’il ait demandé pardon pour son péché. Mais des voix se sont élevées pour prendre la défense du pécheur. Certains ont évoqué les « fortes tentations » auxquelles était soumis, sous le soleil de Floride (!!!), cet homme qui entretient son physique en faisant de la musculation. D’autres ont dénoncé les règles « archaïques » de l’Église catholique (église Conciliaire ! on a dit !).
Depuis qu’il est tombé en disgrâce, le père Alberto a relancé malgré lui le débat sur le mariage des “prêtres” dans l’Église catholique. Il fut un temps, avant le XIIe siècle, où celui-ci n’était pas une hérésie, rappellent ses défenseurs. Aux États-Unis, on estime à 25 000 le nombre de “prêtres” catholiques (conciliaires) qui se sont défroqués pour se marier. Afin de calmer les passions, le père Alberto a affirmé ne pas vouloir s’ériger en apôtre du mariage, mais depuis le scandale, 74 % des personnes interrogées dans la région de Miami se disent opposées à l’obligation du célibat pour les prêtres. Un pourcentage en augmentation dans la communauté hispanique. La popularité du père Alberto n’y serait pas étrangère.
(D’après : New York, Adèle Smith ; lefigaro.fr — Publié le 13/06/2009)
* * *
Le « scandale » a fait resurgir dans l’opinion publique le débat sur les supposés problèmes créés par la contrainte de célibat imposé aux “prêtres” dans l’Église catholique. Le père Cutié, âgé de 40 ans alors, s’est marié dans la matinée du 16/06/09 au civil avec sa fiancée originaire du Guatemala Ruhama Buni Canellis.
Le père Alberto Cutié s’est marié mardi 16 juin 2009 après avoir changé d’Église, a rapporté la presse locale
Le père Cutié, âgé de 40 ans [en 2009], s’est marié dans la matinée du 26 juin 2009 au civil avec sa fiancée originaire du Guatemala Ruhama Buni Canellis, 35 ans [idem], à Coral Gables, une ville située près de Miami (Floride, sud-est), selon l’édition électronique du Nuevo Herald.
Le père Cutié avait rejoint fin mai l’église Épiscopale — branche américaine de l’église Anglicane qui n’oblige pas au célibat — après le scandale provoqué début mai par des photos le montrant en maillot de bain en train d’embrasser fougueusement Ruhama Buni Canellis en bikini sur une des plages les plus fréquentées de Miami.
Le 26 juin 2009, Alberto Cutié et Ruhama Buni Canellis se sont mariés dans une cérémonie à l’église de Saint-Bernard de Clairvaux à North Miami Beach. “Bishop” (Faux “évêque” Épisco-Anglican puisque « absolument nul et totalement vain » : l’abbé Antoine Cékada) Frade officiait, assisté par le Rt. Rev Onell Soto (retraité “évêque” épiscopal du Venezuela) et plusieurs autres membres du clergé Épiscopal.
Un bébé est arrivé comme un cadeau de Noël pour le mariage… Le 30 Novembre, Ruhama a donné naissance à une fille Camila Victoria.
(Comme un cadeau de Noël, effectivement !)
Le 31 mai 2012, le “prêtre” épiscopal a annoncé ensuite qu’ils attendaient leur deuxième enfant dans une interview avec le magazine People en espagnol :
« Nous considérons que c’est un cadeau de l’enfant Jésus que nous obtenons un autre enfant dans cette période particulière. C’est le meilleur cadeau de Noël que nous puissions recevoir ».
Le couple, qui s’est marié en 2009, a déjà une fille d’un an appelé Camila Victoria et un adolescent Christian Norton, fils de Ruhama d’une précédente union.
Lors d’une cérémonie intime dans son église épiscopale à Miami, le “prêtre” cubano-américain Alberto Cutié a baptisé dimanche 15 juillet 2012 son fils, Alberto Felipe.
Dans l’église de la Résurrection à Biscayne Park, en Floride, l’eau bénite a coulé dimanche matin sur la tête d’Alberto Felipe, un mois et demi, qui était baptisé par son père, le révérend Alberto Cutié.
Entouré de sa femme, Ruhama Cutié, de sa fille aînée Camila Victoria qu’il a également baptisé l’année dernière, âgée aujourd’hui de 18 mois et de son beau-fils Christian Norton, entre autres, des parents, amis et plus de 100 paroissiens de son église, le révérend embrassa tendrement Alberto Felipe à côté des fonts baptismaux et l’a levé au-dessus de sa tête pour le montré à la congrégation.
« Puisse cette lumière, la lumière de la foi et du baptême, le mener à la lumière qui ne finit jamais, à la lumière de la vie éternelle », a déclaré Cutié après avoir allumé les bougies qu’il a donné aux parrains et marraines de l’enfant : la sœur du “prêtre”, Alina Cutié Rodríguez ; le mari de celle-ci, Freddy Rodríguez ; les frère et sœur de Ruhama, Hermes Canellis et Ileana Canellis.
Tous étaient heureux d’assister à ce dernier chapitre de la vie de Cutié, celui qui après avoir admis qu’il avait une liaison avec sa femme de maintenant, s’est détourné de l’Église catholique romaine (de l’église Conciliaire, bien sûr !) et a rejoint le siège Épiscopal avant de l’épouser en Juin 2009.
« Je suis heureuse et en paix », a déclaré un Ruhama souriante après la “messe”, qui a été suivie d’une petite réception à l’église, située au nord de Miami. « Aujourd’hui est un jour de nombreuses bénédictions. Nous sommes heureux. » a-t-elle dit.
Photos : Hector Torres & YAMPhotography ©
Happy end !
(Potins Cléricaux)
* * *
Ordonné “prêtre” de l’église conciliaire dans l’archidiocèse de Miami le 13 mai 1995 – donc totalement invalide depuis la réforme Pontificalis Romani du 18 juin 1968 – le Padre Alberto a reçu bien sûr, une formation somme toute conciliaire…où l’on voit que pour eux (Eux !) « toutes les religions sont des visages différent du même dieu » (1) ! Aussi, il n’est pas surprenant, pour eux (Eux !) de passer d’une secte (qu’ils croient Église !) à l’autre pour des convenances personnelles.
Il a été officiellement reçu en tant que “prêtre” de l’église Épiscopale (totalement invalide également puisque Anglicane !) le 29 mai 2010 par “Mgr” Leo Frade dans le diocèse de Floride du Sud.
[1] Selon l’église Conciliaire de France (Quel est le sens de l’œcuménisme ? – Eglise Catholique en France) :
« Dans le monde, les Chrétiens représentent une diversité. L’œcuménisme exprime la recherche de communion entre Protestants, Anglicans, Orthodoxes et Catholiques.
L’unité se construit :
– Par la prise de conscience de ce qui se vit de la foi reçue du Baptême dans chacune des confessions chrétiennes.
– Par la prière et l’appel à la conversion adressés à chaque communauté et à l’ensemble de leurs membres.
– Dans la recherche et la relecture patiente de l’histoire pour résoudre les problèmes de division.
– En acceptant de légitimes divergences.
Ce dialogue dans le respect des différences reconnaît et permet d’accroître une réelle communion, entre tous les chrétiens (Protestants, Anglicans, Orthodoxes et Catholiques) qui partagent la même foi en Dieu, Père, Fils et Esprit et le Baptême d’eau. »
Et dans la pensée et le langage de nombreux conciliaires on trouve et on entend :
« N’attends pas que j’essaie de te prouver que ma religion (chrétienne) est la meilleure ! »
« Le Christianisme est-il vraiment une voie privilégiée pour aller à Dieu ? Les autres religions ne sont-elles pas également bonnes ? »
Un lobby sollicite papeFrançois pour qu’il rende le célibat des prêtres facultatif
…Un lobby sollicite papeFrançois pour qu’il rende le célibat des “prêtres” catholiques [conciliaires] facultatif
Suite de la série d’articles sur Vatican d’Eux et la volonté farouche qu’ils [Eux] ont de mettre fin au “célibat des prêtres”… (enfin, ceux qui ne sont pas pédérastes ! quoi que ?!!!)
Troisième épisode, retour sur la copine de Bergo(go)glio, militante et lobbyiste pour l’abolition du célibat des prêtres.
(London Evening Post, 23 avril 2013)
Un lobby sollicite le “Pape” François pour qu’il rende le célibat des prêtres facultatif
Clelia Luro montre une photo de son défunt mari, Jerónimo Podestá,
ancien évêque d’Avellaneda, à son domicile de Buenos Aires
Clelia Luro est en fauteuil roulant et porte le poids de ses quatre-vingt-sept ans, mais elle se sent la force d’obliger l’Église catholique romaine (l’église Conciliaire qui occupe Rome) à prêter attention à sa campagne pour qu’il soit mis fin au célibat des prêtres. Cette femme, dont l’histoire d’amour, puis le mariage avec un évêque (défroqué) avaient fait scandale durant les années soixante, est une amie intime du Pape François, qui l’appelait tous les dimanches quand il était le premier cardinal d’Argentine.
Luro est persuadée que le Pape finira par faire en sorte d’amener l’Église universelle à en finir avec l’obligation du célibat sacerdotal, obligation que, selon elle, « le monde ne comprend plus ». Elle pense que cela pourra résoudre la pénurie mondiale de prêtres et convaincre les nombreux catholiques ne pratiquant plus de retourner à l’Église. « Je crois qu’en temps voulu, le célibat des prêtres deviendra facultatif », a-t-elle déclaré dans une interview recueillie par l’Associated Press chez elle, à Buenos Aires, à la suite d’une lettre ouverte qu’elle avait adressée au pape et dans laquelle elle exposait sa cause. « Je suis sûre que François le suggérera ».
Jean-Paul II, Benoît XVI et d’autres papes avant eux ont interdit toute discussion tendant à modifier la règle du célibat, et François n’a pas parlé de cette question depuis qu’il est devenu pape, le mois dernier. « Je ne vois pas comment cela pourrait faire le moins du monde partie de son programme », a déclaré le Père Robert Gahl, membre de l’Opus Dei et professeur de théologie morale à l’Université pontificale de la Sainte-Croix, à Rome. Pourtant, lorsqu’il était le Cardinal Bergoglio, il avait évoqué la question en des termes inspirant aux militants anti-célibat l’idée que le temps du changement était venu.
Dans son livre « Sur la Terre comme au Ciel », publié l’an dernier, Bergoglio écrit : « Pour le moment, je suis favorable au maintien du célibat, avec ses avantages et ses inconvénients, parce qu’en dix siècles, il a produit plus de bons résultats que d’échecs. » Il précise cependant : « C’est une question de discipline, non de foi. Cela peut changer », et il ajoute que dans le Rite oriental de l’Église catholique, où le célibat est facultatif, il y a aussi de bons prêtres. « Dans l’hypothèse où l’Église déciderait de revenir sur cette règle […] ce serait pour un motif culturel, comme dans le cas de l’Église d’Orient, où l’on ordonne des prêtres mariés » ; tels sont les propos qu’il a tenus dans « Le Pape François. Je crois en l’homme. Conversations avec Jorge Bergoglio », réédité le mois dernier par ses biographes agréés, Sergio Rubin et Francesca Ambrogetti.
Luro et son mari Jerónimo Podestá, ex-évêque d’Avellaneda, se sont sentis ostracisés par l’Église pendant de nombreuses années, mais selon elle, Bergoglio n’a pas hésité à leur apporter son soutien pastoral quand Podestá était hospitalisé, peu avant sa mort en 2000. Ils devinrent bons amis ensuite, au point que Bergoglio – raconte-t-elle – l’a appelée chaque dimanche au téléphone pendant douze ans, parlant souvent avec elle de la question du célibat, entre autres discussions portant sur toutes sortes de sujets brûlants. Luro a maintenant le sentiment que si les cardinaux ont élu un jésuite étranger au Vatican, qui s’emploie à étendre l’Église universelle et à réaffirmer l’attachement de celle-ci aux pauvres, cela montre qu’ils ont la volonté d’entreprendre de profonds changements afin d’enrayer l’exode des fidèles.
Le Père Thomas Reese, prêtre jésuite et professeur spécialiste du Vatican à l’Université de Georgetown, a déclaré que pour François, une première mesure pourrait consister à indiquer que rien ne s’oppose à l’ouverture d’un débat sur la question : « Selon le Vatican conduit par Jean-Paul et Benoît, certaines questions ne pouvaient simplement pas être abordées, et tout évêque qui en aurait parlé se serait exposé à des ennuis, de même que les théologiens qui auraient écrit à ce sujet. » Cela s’inscrit donc dans la question plus vaste de savoir dans quelle mesure le “Pape” François va autoriser de franches discussions au sein de l’Église. D’après Reese, « Ce serait exactement le genre de discussion franche que le Vatican n’aime pas », et il ajoute : « Dans leur esprit, les parents de doivent pas exposer leurs enfants à la confusion en discutant devant eux ».
Le Canon 277 du Code canonique [de 1983] est ainsi rédigé : « Les clercs sont tenus par l’obligation de garder la continence parfaite et perpétuelle à cause du Royaume des Cieux, et sont donc astreints au célibat, don particulier de Dieu par lequel les ministres sacrés peuvent s’unir plus facilement au Christ avec un cœur sans partage et s’adonner plus librement au service de Dieu et des hommes. »
Pourtant, le célibat sacerdotal n’est pas un dogme, une loi d’origine divine, c’est une tradition de l’Église catholique romaine ; or, si les dogmes ne peuvent changer, les traditions changent. « Nous sommes très enthousiastes et espérons vivement que François pourra renverser cette disposition canonique », a déclaré Guillermo Schefer, ancien prêtre qui copréside avec son épouse, Natalia Bertoldi, la Fédération latino-américaine des prêtres mariés. « Il importe que les prêtres puissent, eux aussi, opter pour le mariage et une vie de famille. Cela les aiderait à mieux s’intégrer aux laïcs. »
Dans le rite catholique oriental, les séminaristes déjà mariés peuvent ensuite être ordonnés prêtres ; en outre, certains “prêtres” anglicans mariés ont déjà été autorisé à se convertir au catholicisme romain (de l’église Conciliaire, bien sûr !) ; enfin, certains veufs ayant des enfants sont devenus prêtres de l’Église romaine (des laïcs de l’église Conciliaire ! puisque celle-ci n’a plus de sacrements valides tout comme l’église Anglicane…). Mais comme le note Gahl, aucune tradition catholique romaine n’autorise des hommes ayant déjà « épousé l’Église » à contracter ensuite un mariage. Selon lui, cela créerait des cœurs partagés, affaiblirait le dévouement sacerdotal des intéressés et irait tout à fait là l’encontre de ce que François a déclaré depuis qu’il est “pape” quant à la nécessité pour les prêtres de se refuser les plaisirs terrestres, dans la mesure où ils ont à répandre l’Évangile.
« Il prêche beaucoup dans ce sens chaque matin » au Vatican, souligne Gahl. Les partisans du célibat facultatif disent : « La prêtrise, c’est trop dur, pourquoi ne la rendons-nous pas plus facile ? » Mais le Pape, lui, déclare : « Si vous faites ce sacrifice, il vous apportera de la joie pure ». Ceux qui résistent au changement disent que le célibat a d’autres avantages, et non pas moins dans le domaine financier ( 😆 !!!) : imaginons que les quatre cent mille prêtres du monde entier aient chacun une famille, sans doute nombreuses compte tenu de l’interdiction de la contraception par l’Église. Les salaires relativement maigres des prêtres devraient subir instantanément un accroissement exponentiel.
Il n’en est pas moins vrai que des milliers de prêtres (prêtres oui, avant 1970…mais depuis, que des faux prêtres !) ont quitté leur ministère pour se marier et que beaucoup d’autres, surtout en Afrique et en Amérique latine, sont restés prêtres en ayant des relations féminines et des enfants. Bergoglio condamne cette pratique dans ses ouvrages. « Ce que je ne permettrai pas, c’est la double vie », a-t-il écrit. « S’il ne peut s’acquitter de son ministère, je lui demande de rester chez lui, je lui dis que nous sollicitons pour lui une dispense papale et qu’ainsi, il pourra recevoir le sacrement du mariage. »
Benoît a réaffirmé le caractère obligatoire du célibat en réaction à la croisade tumultueuse d’un archevêque africain marié qui fut excommunié après avoir défié le Vatican en sacrant évêques quatre hommes mariés. De son côté, le Cardinal brésilien Claudio Hummes, grand ami de Bergoglio, s’est retrouvé sur des charbons ardents après avoir déclaré que le célibat des prêtres n’était pas une question de droit divin dans une interview qu’il avait accordée à un journal en 2006 avant d’arriver à Rome pour s’occuper des prêtres du monde entier au sein du Vatican. Cela déclencha de telles spéculations sur la possibilité d’un changement que Hummes fut obligé de publier une longue déclaration réaffirmant l’obligation du célibat.
Luro était âgée de trente-neuf ans, séparée de son mari et mère de six enfants (femme adultère donc !!!) lorsqu’en 1966, elle fit la connaissance de Podestá, alors âgé de quarante-cinq ans. Il était déjà évêque et très engagé en faveur des causes sociales, puisqu’il prêchait la « théologie de la libération » dans le cadre du Mouvement des prêtres du tiers-monde. « Pour Jerónimo, j’étais la première femme », se rappelle-t-elle. Loin de cacher leur relation, ils la rendirent publique, et pour que soit supprimée l’obligation du célibat sacerdotal, ils lancèrent une campagne qui les amena aux portes du Vatican. Mais peu après, en 1967, le Pape Paul VI publia son encyclique « Sacerdotalis Caelibatus », dans laquelle il soutenait le maintien des vœux sacerdotaux de célibat perpétuel.
Luro déclare que les appels dominicaux de Bergoglio lui ont été d’un grand soutien. « Nous parlions de l’église, nous discutions. Je lui envoyais les écrits de Jerónimo ». Après être devenu François, il l’a appelée une nouvelle fois, dit-elle, mais par respect pour le “pape”, elle ne veut pas rapporter ce qu’il lui a dit.
Vatican d’Eux : Huitième Anniversaire de la mort de Roger Schutz
Nous avons reçu cet article d’un fidèle lecteur :
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Huitième anniversaire de l’exécution du « Frère » Roger ?
Le 18 août 2005 (certains disent le 16 ?), le fondateur de Taizé est mort « assassiné. » La presse unanime en a fait le panégyrique. Valeurs actuelles (1), du 19, le qualifiait d’ « homme de paix ».
Sous le titre général L’Europe entière rend hommage à Frère Roger, le même numéro du Monde note la « tristesse de Benoît XVI… Entamant, mercredi 17 août, son audience publique hebdomadaire à Castel Gandolfo par quelques phrases : j’ai reçu une nouvelle très triste, terrible…Le frère Roger était pour moi surtout l’un des piliers de l’Europe qui s’unit. » Si Benoît XVI le connaissait le 17, l’assassinat du frère Roger a donc eu lieu au plus tard le 16. Pourquoi, la presse n’en a-t-elle parlé que le 19, en le datant du 18 ? Curieux, mais ce n’est pas la seule anomalie dans cette affaire !
L’homme d’un réseau.
« Le Frère (notons la majuscule) Roger, 90 ans, avait consacré toute sa vie…aux jeunes de plusieurs nationalités », indique Valeurs actuelles, qui poursuit : « Protestant, diplômé en théologie, Roger Schutz était arrivé de Suisse en août 1940, en Saône et Loire, dans le petit village de Taizé, non loin de Cluny, pour y fonder une communauté monastique œcuménique travaillant à la réconciliation des chrétiens. Taizé se trouvait…à quelques kilomètres de la ligne de démarcation. Frère Roger avait alors hébergé de nombreux réfugiés en particulier des juifs qui fuyaient la zone occupée…des milliers de jeunes venus du monde entier, protestants, catholiques, orthodoxes se retrouvaient chaque semaine à Taizé pour y prier. Les rencontres de Taizé organisées chaque année depuis 1978…attirent à chaque fois plusieurs milliers de jeunes (plus de 80 000 à Paris en 2002)… »
Le journal Le Monde (2) ne consacre pas moins de trois colonnes entières à la biographie du frère Roger, dans son numéro du 18 août ! On y apprend qu’ « en 1940…sa maison devient un refuge (qui) accueille sans distinction juifs, réfugiés politiques et résistants… Le 11 novembre 1942, à la suite d’une dénonciation, sa maison est fouillée de fond en comble par la gestapo…Roger Schutz est obligé de quitter Taizé et de repasser la frontière (a-t-il bénéficié de protections, pour n’avoir eu qu’une si faible sanction ?)…son projet communautaire va mûrir dans l’éloignement de Genève. C’est là que le rejoignent ses premiers compagnons de route suisses comme lui, Max, un théologien… » Le Monde n’en dit pas plus de Max Thurian qui eut, à n’en pas douter, avec Roger Schutz des liens qui ne sont pas au-dessus de tout soupçon. Curieux ce silence sur le compagnon du frère Roger, dont on ne nous dit nullement ce qu’il est devenu, alors qu’il a partagé sa notoriété des années durant.
On nous apprend par contre que le frère Roger est né le 12 mai 1915 en Suisse près de Neuchâtel d’un pasteur protestant suisse et d’Amélie Marsauche, appartenant elle aussi à l’église prétendue réformée. Sa mère est originaire de Bourgogne où il passe ses vacances ; de là son choix de Taizé. « En famille, on lisait Blaise Pascal et Angélique Arnaud. »
Ce que Le Monde omet de nous dire, c’est que les Schutz sont cousins des Schlumberger. Richissimes banquiers suisses, cette famille est notoirement connue en milieu protestant pour être de race israélite. Roger Schutz était donc lui aussi de « la race élue ». Quant à Max Thurian, c’est un cousin de Giscard, prétendu d’Estaing. Ce dernier, le jour de son emménagement à l’Élysée, s’est vanté à la télévision, de descendre du comte de Saint Germain. Celui-ci est un juif occultiste qui joua un certain rôle dans la préparation de la Révolution dite française.
Ce que nous apprend par contre Le Monde c’est que : « en 1948, (ayant fait une) demande à l’évêque d’Autun (d’utiliser l’église du lieu)…(Roger Schutz) reçoit une réponse chaleureusement positive signée du nonce apostolique…Mgr Angelo Roncalli. Ce fut le début d’une longue amitié Jean XXIII est l’un des hommes qui auront le plus compté pour le prieur de Taizé. »
Comment la demande insignifiante d’user de l’église d’un patelin obscur, qui plus est adressée à l’évêque d’Autun, est-elle parvenue au nonce apostolique à Paris ? Comment la requête d’un inconnu, protestant de surcroît, put-elle être prise en compte et recevoir une réponse chaleureusement positive du futur « pape » Jean XXIII ? Ceci ne peut se comprendre que si elle a cheminé par une filière occulte composée d’initiés, bref par un réseau d’amitiés au service de la Cause. Là est également l’explication du fait que « de 1962 à 1965, Frère Roger est l’un des observateurs les plus attentifs du concile Vatican II », en clair, un des protagonistes les plus actifs du brigandage qui substituera au catholicisme romain, l’œcuménisme judéo-maçonnique.
L’Europe judéo-maçonnique.
Et Le Monde de poursuivre : « Les rencontres avec Paul VI furent également confiantes. Au cours de son voyage dans la région lyonnaise, le 5 octobre 1986, Jean Paul II franchit le seuil de la communauté : « je me suis senti poussé par une nécessité intérieure » dira le pape ; ajoutant cette autre formule restée célèbre « on passe à Taizé comme on passe près d’une source ». Karol Wojtyla aimait le Frère Roger qu’il avait invité à prêcher dans son ancien diocèse de Cracovie devant 200 000 mineurs. » Ce qu’omet pourtant de dire Le Monde, c’est que Katz Wojtyla, dont le marranisme est notoire, vint de nombreuses fois à Taizé avec l’autorisation du gouvernement polonais communiste et que, lors de l’écroulement du mur de Berlin, les manifestants chantaient des cantiques appris à Taizé !
Ainsi avons-nous affaire à une entreprise politico-religieuse à dimension mondialiste puisque Le Monde toujours, nous apprend que le frère Roger devait « déclarer à l’UNESCO en 1989 : « Il dépend des jeunes que la grande famille européenne sorte de l’ère de la méfiance » c’est « l’une des urgences des années à venir… Le tournant », précise Le Monde, « est « le concile des jeunes » que le prieur de Taizé convoque en pleine bourrasque de l’après 68… Avant 1970, par centaines, des jeunes venaient déjà passer Pâques sur la colline : ils sont 2 500 en 1970…7 500 puis 16 000, 18 000, 20 000 à Pâques 74, 50 000 le 30 août suivant pour l’ouverture du « le concile des jeunes ». Banc d’essai pour les JMJ », conclut Le Monde.
Concluons en matière de réseau subversif, sur cette phrase du Monde : « Hubert Beuve-Méry, fondateur du Monde, était un grand ami de Frère Roger et un visiteur assidu de Taizé. » Lorsqu’on a en tête la conclusion relative à « La face cachée du Monde », que ce journal n’est autre qu’ « une loge maçonnique, courroie de transmission du judaïsme mondialiste », la boucle est bouclée !
Une drôle de mort !
Lorsque la nouvelle tombe, le 18 août, « frère Roger a été poignardé » Au fur et à mesure, on apprend qu’il a été égorgé ! Le Parisien daté de ce jour, titre « La roumaine qui a égorgé frère Roger ».
L’assassin présumé, dont on a pu prouver qu’elle avait acheté le couteau la veille, prétend ne pas avoir porté le coup qui a tranché la trachée artère du prieur œcuménique. Une femme frêle comme apparaît être Luminata Solcanu sur les photos qu’on a publiées d’elle, a-t-elle pu porter un tel coup ? Elle prétend également, ainsi que l’indique Le Parisien (3), avoir « voulu avertir frère Roger d’un complot de moines francs-maçons ». Le Monde (4), confirme les propos tenus par la jeune femme par le témoignage même du procureur de la République Coste, chargé de l’affaire près du tribunal de Mâcon. Il y a en outre toute une variation sur le nom de la coupable présumée. Dénommée Luminata Sunacu, dans Le Parien, elle devient Luminata Solcanu dans Valeurs actuelles et dans Le Monde du même jour, mais Luminata Solcan dans celui du 20 août. Bref ! On saura au Jugement Dernier.
Toutefois, il nous semble que Solcanu pourrait être la forme roumaine de Solcan et que Le Monde informerait ainsi ses lecteurs initiés, en imprimant que l’auteur présumé de l’assassinat se nomme Solcan, nom indubitablement juif comme Laban, Lacan, Gozlan… Ce qui laisserait supposer l’hypothèse d’un règlement de comptes ?
Beaucoup de Roumains sont passés par Taizé. L’affaire Ceauscescu n’était pas si ancienne et y avait trempé un candidat à l’émigration pour Israël. Trotski n’est-il pas mort d’un coup de pic à glace ? Les haines dans ces milieux sont terribles.
Frère Roger, principal artisan de l’attentat sacrilège contre la messe.
Mais le non du « frère » Roger restera attaché, dans la mémoire des catholiques, à l’attentat sacrilège contre la sainte Messe. Ainsi, le nom de ce prétendu « homme de paix » restera attaché à l’un des plus grands attentats sacrilèges de tous les temps : la tentative au XX° siècle, heureusement avortée par la grâce de Dieu, de destruction de la sainte Messe catholique.
En effet, si le novus ordo missae de 1969 fut proposé par une commission officielle, présidée par le cardinal Bugnini, promulgué par Paul VI et imposé, en 1970, en France par un épiscopat apostat depuis 1958, les travaux préparatoires furent diligentés par une sous commission, dont le noyau dirigeant était constitué des « frères Roger Schutz et Max Thurian ».
Ils furent photographiés avec l’ensemble des membres de cette sous-commission. Cette photographie fut diffusée dans le monde entier, car elle fit l’objet d’une publication sur la page de couverture des Informations Catholiques Internationales, cliché repris depuis par plusieurs publications traditionalistes.
On mesure ici l’importance du rôle joué par les deux complices. Il ressort du reste que le texte lui même, qui fut promulgué par le marrane Montini, avait été rédigé par frère Roger, lui-même. Il s’en servait pour célébrer à Taizé ce qu’il avait l’hypocrisie d’appeler la messe ! Mais « Desiderium impiorum peribit : le désir des impies périra », leurs efforts contre la messe se sont soldés par un échec. Il en ira de même en ce qui concerne ceux qu’ils ont déployés, de concert avec Katz Wojtyla, en faveur de la construction européenne. Déjà la confusion des langues se profile à l’horizon politique entre les protagonistes : Allemagne, France, Grande Bretagne …
Mais revenons à la date de sa mort. Nous avons dit au plus tard le 16. Ne serait-ce pas plutôt le 15 ? On sait, par la vénérable Marie d’Agréda, auteur de la Cité Mystique, qui révèle des faits surnaturels de l’histoire de la Très Sainte Vierge, que cette dernière donna l’ordre à ses anges d’exécuter Hérode, le persécuteur impénitent de l’Église naissante, l’assassin de saint Jean Baptiste et de Saint Jacques.
Roger Schutz n’aurait-il pas enfreint, en pénétrant dans le domaine sacré de la sainte Messe, une interdiction ? Ne serait-ce pas en vertu de cet impératif moral que Dieu, dans sa justice, lui a réservé la fin qu’il a rencontrée au cours d’une célébration de son propre ordo missae et qu’il aurait dès lors pleinement méritée ?
Une exécution le 15 août, ne serait-ce pas une marque de la punition infligée, comme pour Hérode, à la demande de la Sainte Vierge ?
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Et ça continu toujours sous François 1er (Bergo(go)glio) :