Archive for the ‘Mgr Sanborn’ Category
L’Église est éclipsée… le monde est dans la consternation
L’Église est éclipsée…
le monde est dans la consternation
M. l’abbé Grossin fait un commentaire sur la dernière intervention de Mgr Sandborn.
Elle nous a paru intéressante.
Mgr Sandborn n’a pas tout compris ou ???????
…la Thèse est grotesque.
Quelle est la valeur des actes d’un pape materialiter ?
À cette question Mgr Guérard avait répondu : nulle.
Et donc la thèse s’éteint dans le temps ?
Oui.
Alors 50 ans après, la Thèse est éteinte depuis longtemps.
(Ndlr du CatholicaPedia : les accentuations sont de nous)
50 ans de Vatican II
Sermon de Mgr Donald Sanborn, donné le 22 novembre 2015.
Abbé Grossin
Admin
Ce sermon tranche sur tout ce que l’on peut entendre ou lire du côté de la F$$PX. Sa fermeté et sa clarté réjouit les cœurs catholiques qui aiment la vérité et détestent les hérésies modernistes de Vatican II. Cela, c’est la première impression que l’on a si l’on ne creuse pas et que l’on ne cherche pas plus loin. Ce sermon satisfera 99% des catholiques “non una cum” qui le trouveront formidable.
Personnellement, il ne me satisfait pas et ce sur quoi je m’écarte de Mgr Sanborn réside dans Ce qu’il ne dit pas, alors que je suis complètement d’accord avec ce qu’il dit à 100 %.
Je m’explique.
Commentaires sur la réponse de Mgr Sanborn à Mgr Williamson
Pour apporter quelques éléments au débat au sujet de la Vacance du Saint Siège, je vous propose mes « commentaires » sur la réponse de Mgr Sanborn à Mgr Williamson.
J’ai « accentué » en rouge certains passages de Mgr Sanborn et écrit en bleu mes commentaires.
Commentaire de Ludovicus à la Réponse à
Mgr Williamson
Au Sujet de la Vacance du Saint Siège
Par Mgr Donald J. Sanborn
In caritate veritatis
Ludovicus
UN ENCOMBRANT VOISIN DE PALIER !!!!
Un Encombrant Voisin de Palier !!!!
Dans un article non dénué d’intérêt, Mgr Sanborn répond à Mgr Williamson, le mettant en quelque sorte en face de ses graves responsabilités en tant qu’évêque validement sacré.
Mgr Donald J. Sanborn, natif des usa, a été ordonné par Mgr Lefebvre en 1975, avant d’être expulsé de la FSSPX en 1983, avec 8 autres prêtres américains. Il fonde en 1995 un séminaire en Floride, puis en 2002, se fait consacrer évêque par Mgr McKenna (sacré lui-même par Guérard des Lauriers).
Nous n’avons pas toujours été en phase complète avec Mgr Sanborn… Il suffira de rappeler quelques-unes de ses études comme « La montagne de Gelboé » dans laquelle on pouvait lire que « les modernistes (sont) privés d’autorité » et que « les papes conciliaires ne détiennent pas l’autorité papale et ne sont pas de vrais papes ». Il a été répondu à ces pétitions et inversions de principes qui empêchent beaucoup de déclarer tout simplement que l’Église Catholique est éclipsée par une secte qui n’a rien de catholique et qui, par conséquent, ne peut être privée de quoi que ce soit ni détenir quoi que ce soit en raison d’une privation antérieure qui en serait comme la cause nécessaire et suffisante de cette impossibilité d’être « vrais papes » par exemple….
Toutefois, nous ne bouderons pas notre plaisir, en parcourant ensemble l’argumentaire de Mgr Sanborn qui assimile presque, en un raccourci audacieux, Mgr Williamson à un dangereux moderniste qui s’ignore !!! Nous nous permettrons quant à nous d’ajouter, que, la schizophrénie habituelle des fraterneux ou ex-fraterneux aidant, il n’est pas du tout surprenant que Mgr Williamson puisse « partager », Tout en Proclamant sa Foi Traditionnelle, certaines des erreurs d’Hans Küng (Photo ci-contre), notamment sur l’infaillibilité du MOU (Magistère Ordinaire Universel) et sur l’indéfectibilité de l’Église.
Nous nous contenterons, (nonobstant la lecture complète qu’on aura à cœur d’en faire et, le cas échéant, le souci d’y relever des points de critique, de noter les phrases-clés qui illustrent la pensée de Mgr Sanborn, ceci afin de ne pas trop lasser nos lecteurs.
Nous mettrons en couleur à la fois les arguments qui montrent que Mgr Williamson est dans l’erreur mais aussi certaines des assertions insuffisantes ou erronées de Mgr Sanborn que parfois nous commenterons brièvement en vert.
Réponse à
Mgr Williamson
Au Sujet de la Vacance du Saint Siège
Par Mgr Donald J. Sanborn
Introduction
Mgr Williamson a récemment publié sur son blog Kyrie Eleison une série d’articles dont le but est de réfuter le sédévacantisme. Après avoir attiré à lui les fervents antimodernistes de la Fraternité Saint Pie X, Mgr Williamson, je crois, est en train de découvrir parmi eux une certaine tendance au sédévacantisme. Certains d’entre eux sont des sédévacantistes déclarés, quoique opinionistes dans la plupart des cas. Cela signifie que, même s’ils pensent que Bergoglio n’est pas le pape, ils reconnaissent que l’opinion contraire, à savoir que Bergoglio est le pape, a des arguments probables en sa faveur. Je suis sûr que ma visite récente en Angleterre a aussi fait un peu bouger les choses.
Dans cet article, je réponds à deux articles du blog de Mgr Williamson, numéros 343 du 8 février 2014, et 344 du 14 février 2014.
Permettez-moi de dire que je n’ai aucun conflit personnel avec Mgr Williamson, en dépit de nos nombreuses années d’opposition dans le passé. Il a gardé la discussion sur un niveau élevé et rationnel, et j’ai l’intention de faire la même chose.
J’ai résumé et paraphrasé ses arguments pour des raisons de concision.
Réponse à « L’opinionisme » de Mgr Donald Sanborn
Un lecteur nous pris d’accepter de voir insérer sur CatholicaPedia à la suite de l’article de Mgr Sanborn intitulé « L’opinionisme », la réponse ci-dessous. Nous accédons à sa requête et vous la soumettons telle quelle avant d’y revenir plus en détail pour une nouvelle « Disputatio » dont son auteur, M. Philippe Tailhades, acceptera certainement d’y débattre ici.
— Philippe Tailhades —
« L’opinionisme » de Mgr Donald Sanborn
Une réponse ?
APOSTOLICA SEDES VACANS : L’Opinionisme par Mgr Sanborn (Suite…)
Comme un veilleur dans la nuit, L-H R nous a adressé ce matin une note rectificative sur le texte de Mgr Donald J. Sanborn pour relever quelques erreurs et ne pas se laisser endormir par le ronron du quotidien.
À tous, il manifeste la situation de l’homme de foi : être un veilleur dans la nuit.
Jésus nous commande de “veiller et prier”. (Matt. 26.41 ; Marc 14.38 : « Veillez et priez afin que vous n’entriez point en tentation. L’esprit est ardent, mais la chair est faible. »). C’est-à-dire, d’être vigilants, d’être sur nos gardes contre les desseins de Satan et attendre Dieu qui vient…
* * *
Dans le texte de Monseigneur, L-H R a relevé les choses suivantes :
III. Cinq erreurs de l’opinionisme
Erreur 1 : L’opinionisme met l’identité du Pontife Romain, c’est-à-dire, Bergoglio est le Vicaire du Christ ou non, dans le domaine de l’“opinion théologique”.
Le même terme opinion indique qu’on n’est pas certain que le pape soit pape ou ne le soit pas. Pourtant il est impossible de prétendre qu’il n’y a pas de certitude à ce sujet.
Ceux qui soutiennent qu’il est le pape, soulignent certains signes définitifs : (1) une élection valide universellement acceptée ; (2) l’acceptation de l’élection par Bergoglio ; (3) Bergoglio agissant en tant que pape ; (4) l’acceptation universelle de Bergoglio comme pape légitime.
Aucune de ces choses n’est incertaine. Si l’on utilise ces arguments comme preuve de sa papauté, où y a-t-il place pour le doute ?
Ceux qui argumentent contre sa papauté utilisent des arguments qui sont en eux-mêmes certains et incontestables : (1) qu’il a promulgué pour l’Église universelle des doctrines fausses, un enseignement moral faux, et des disciplines mauvaises ; (2) qu’il a dit des choses hérétiques et agi comme un hérétique, un apostat même, dans une multitude d’occasions ; (3) qu’il a nommé des hérétiques et/ou des apostats à la Curie Romaine et à des sièges épiscopaux, les a maintenus en fonction, et est en communion avec eux.
Aucun de ces faits ne peut être discuté ou laisser place au doute. Ils sont suffisants, particulièrement le n° 1, pour l’empêcher d’être pape.
(…)
Conclure que Bergoglio est pape entraîne ces conclusions obligées : les doctrines, disciplines et rites qu’il a promulguées universellement sont catholiques et non scandaleuses. Si Bergoglio est pape, alors, en raison de l’indéfectibilité et de l’infaillibilité de l’Église, la religion qu’il approuve et promulgue est la Foi catholique. On pourrait la pratiquer en toute bonne conscience ; en fait, on le devrait.
D’un autre côté, conclure que les doctrines, disciplines et rites de Vatican II sont fausses et mauvaises, contraires à la Foi, la religion et la bonne morale entraîne ses conclusions obligées : les personnes qui les ont promulguées n’ont pas l’autorité du Christ (a)). L’infaillibilité et l’indéfectibilité de l’Église, qui viennent de l’assistance solennellement promise par le Christ, ne peuvent permettre qu’une telle chose arrive. On doit conclure à la non-papauté de Bergoglio, si l’on conclut cela de Vatican II.
Donc, il est impossible, sur les plans de la logique et de la théologie, de dire, « j’accepte Bergoglio comme pape, mais je rejette Vatican II et ses réformes ». De même, il est impossible, sur les plans de la logique et de la théologie, d’aller dans l’autre sens, disant, « je rejette Vatican II et ses réformes, mais j’accepte Bergoglio comme pape ».
En d’autres termes, la papauté de Bergoglio signifie nécessairement que la religion qu’il promulgue est catholique, et le non-catholicisme de Vatican II et de ses réformes signifie nécessairement que Bergoglio ne peut être pape (b).
La Fraternité Saint Pie X [et d’autres] est coupable de la première erreur, en acceptant Bergoglio mais en rejetant sa religion. Ils développent une défiance globale envers lui en établissant un apostolat parallèle par lequel ils essayent de lui soustraire les âmes ainsi qu’à sa hiérarchie.
L’opinionisme est coupable de la seconde erreur. Il rejette Vatican II et ses réformes, mais admet que l’acceptation de Bergoglio est théologiquement soutenable. Cela n’a aucun sens.
[a] Note lhr : Voilà, encore, la grande erreur de Mgr Sandborn. Il dit plus haut : il est certain qu’elles ne sont pas promulguées par l’Église. Tout était dit ! Pourquoi parler maintenant du manque d’autorité ? Il aurait fallu dire : les personnes qui les ont promulguées ne sont pas de l’Église Catholique, ce qui est l’évidence et la conclusion la plus claire.
Je ne comprends pas, que les clercs ne comprennent pas cette conclusion et nous enferme toujours dans ce débat de l’autorité. Il y a une conclusion qui prime et clos tout débat : la secte conciliaire n’est pas l’Église catholique. Les “papes” conciliaires ne sont pas Papes de la sainte Église catholique.
[b] Note lhr : Comme dit dans la note précédente il est ʺpapeʺ de la secte conciliaire. En aucun cas il ne peut être Pape de la sainte Église. Dire cela éclaircirait la démonstration de Mgr Sandborn.
* * *
Erreur 5 : Aucune position n’est contre la Foi.
Faux. Maintenir qu’un homme est le pape, le Vicaire du Christ sur terre, et dans le même temps conduire un apostolat mondial en lui désobéissant offense la Foi. Dire que les doctrines, disciplines et rites liturgiques qui sont promulguées par le Pontife Romain sont erronés, hérétiques, faux, mauvais et/ou scandaleux offense la Foi.
Mais c’est pourtant la position des traditionalistes sédépleinistes de la Fraternité Saint Pie X. Pire, c’est la position des sédévacantistes opinionistes qui maintiennent que Bergoglio n’est pas pape, mais disent en même temps que la position sédépleiniste n’offense pas la Foi.
De même, reconnaître l’autorité du Christ dans la promulgation de fausses doctrines et de disciplines mauvaises est contre la Foi. Reconnaître l’Église Catholique Romaine dans les croyances et observances universelles de Vatican II et de ses réformes est contre la Foi.
D’un autre côté, si Bergoglio est vraiment pape, alors il est contre la Foi de maintenir qu’il n’est pas le pape, et/ou de maintenir que ses doctrines et disciplines sont contraires à la foi et à la morale.
Donc, le sédépleiniste convaincu ne peut, en toute conscience, regarder la position sédévacantiste comme une position théologique soutenable sans offenser la Foi. De même, le sédévacantiste convaincu ne peut, en toute conscience, tenir que la position sédépleiniste est soutenable théologiquement sans offenser la Foi.
Reconnaître, comme les sédépleinistes, dans la défection de Vatican II et ses réformes l’autorité de l’Église, est détruire de fond en comble la nature même de l’Église, qui est une institution divine qui bénéficie de l’assistance perpétuelle du Christ par le Saint Esprit. Si l’Église peut faire une faute comme Vatican II et ses réformes, une faute telle que nous devons y résister fortement pour sauver nos âmes, où est alors l’assistance du Christ ? (c) Les sédévacantistes résolvent ce problème en disant, « ces réformes ne proviennent pas de l’autorité de l’Église » (d)). Mais les sédépleinistes n’ont pas de réponse sans avoir recours à une interprétation privée et à un rejet privé de Vatican II et ses réformes. C’est une attitude protestante.
Les sédévacantistes ne peuvent maintenir que la position sédépleiniste est une opinion soutenable théologiquement, comme si elle avait un probable mérite. Si quelqu’un est un véritable sédévacantiste, et est convaincu de cela, il doit considérer que le sédépleiniste est dans une position absolument intenable.
[c] Note lhr : Il n’y a qu’une seule réponse à cette question : c’est une secte qui s’introduisant dans les locaux et sièges de la sainte Église a fait ces fausses réformes.
[d] Note lhr : Non ! Non ! Non ! ces réformes ne proviennent pas de l’Église Catholique ! Un point, c’est Tout.
* * *
OBJECTION : Et si vous avez un doute sur la papauté de Bergoglio ?
Je réponds en disant d’abord que le doute n’existe que dans l’esprit, jamais dans la réalité. En réalité, soit Bergoglio est pape, soit il ne l’est pas.
Pouvons-nous moralement demeurer dans le doute ?
Non. Comme je l’ai déjà expliqué, l’identité du Pontife Romain est essentiellement l’identité de l’Église Catholique Romaine, et le fondement de son unité. Étant donné que nous sommes obligés de professer la vraie foi et d’appartenir à la véritable Église sans y rester indifférents, nous sommes donc obligés de lever notre doute à propos de l’identité du véritable Pontife Romain. Demeurer dans le doute à son propos signifie demeurer dans le doute à propos de l’identité véritable de l’Église. Plus encore, nous sommes obligés de lui obéir sous peine de péché. Par conséquent, nous ne pouvons pas nous complaire dans le doute sur son identité.
La théologie morale nous enjoint de lever notre doute par une recherche diligente. Dans la plupart des cas, une telle recherche guérira le doute à propos de Bergoglio en faveur du sédévacantisme. Si quelqu’un doute à son propos, c’est parce qu’il a déjà été amené, par les horreurs de Vatican II, à mettre en question l’orthodoxie de ceux qui l’ont promu. Une recherche rigoureuse révèle facilement que nos soupçons sont plus que justifiés, et l’on passe rapidement du doute à la certitude.
Si, pour quelque raison légitime, nous sommes empêchés de mener une recherche de preuves contre Bergoglio, alors nous devons lever le doute par les principes réflexes, c’est-à-dire certains principes généraux de morale et de droit qui nous apportent la certitude lorsque nous ne pouvons lever le doute par nous-mêmes. La théologie morale lèverait le doute en faveur de la papauté de Bergoglio, compte tenu du fait qu’il jouit, au moins apparemment, d’une élection valide et de l’acceptation générale de ce qui est considéré communément comme l’Église Catholique (e).
Donc, le sédévacantiste ne peut l’être que s’il est certain que Bergoglio n’est pas pape, ou bien le doute irrésolu le mettrait dans le camp des sédépleinistes.
Par conséquent, le sédévacantiste ne peut considérer la position sédépleiniste comme une opinion théologique soutenable, comme si toute la question était douteuse.
[e] Note lhr : Non ! Non ! Non ! encore ! Il n’y a ni élection valide, ni acceptation générale, puisque les votants ne sont pas de la sainte Église et l’acceptation générale n’est pas celle de la sainte Église ! Mgr Sandborn n’a rien compris au scénario !
* * *
Source : Qui Legit Intellegat (Forum Catholique Contre-Révolutionnaire, Antilibéral et Antimoderniste)
« Le Saint-Siège actuellement vacant, une simple opinion ? » :
C’est article est excellent. Mgr Sanborn a fait le tour de la question (f)). Qui legit intellegat. (Bernardus)
APOSTOLICA SEDES VACANS : L’Opinionisme par Mgr Sanborn
L’Opinionisme par Mgr Sanborn
Nous publions la récente traduction d’un article de Mgr Donald Sanborn très éclairant sur le relativisme de certains prêtres et laïcs sur la question du Pape.
Dans une approche tout à fait originale du concept de l’ “opinion”, et de l’ “opinion théologique”, Mgr Sanborn nous délivre une démonstration claire et solide pour réduire à néant la portée de l’un des nombreux qualificatifs dont est affublé le catholique semper idem, plus souvent dénommé du titre infâmant de « sédévacantiste ».
Nous avons vu, dans un précédent article, que l’aveuglement de nos clercs n’avait plus de borne, que, sans nous, ils avaient presque du mal à exister et qu’il leur était nécessaire de forger de nouveaux concepts comme celui, quelque peu hilarant, de sédévacantisme non dogmatique ou, en quelque sorte, “modéré”.
Un reproche fréquent fait par nos clercs à la « gens sedevacans », outre le sempiternel, fameux et éculé « manque de charité », c’est de ne nous considérer que comme une « opinion théologique » qui serait à mettre au même rang que les autres opinions par une confusion savamment entretenue entre ce que Mgr nous rappelle et enseigne: la conclusion théologique et sa sœur cadette, si j’ose dire, l’opinion théologique.
Nos lecteurs liront donc avec le plus grand intérêt (et le plus grand plaisir) cette petite étude de Mgr et en retireront le plus grand profit tant au niveau de leur âme , assoiffée de « charité de la vérité », qu’au niveau plus humble de leur culture lexicale…!!!
L’Opinionisme
Par Mgr Donald J. Sanborn
La question du pape : “Juste une opinion” ?
La Vacance du Siège Apostolique, la non-papauté de François I ainsi que de Benoît XVI, Jean-Paul II, Jean-Paul I, Paul VI et même Jean XXIII est un problème qui a, plus que tout autre, divisé les traditionalistes ces cinquante dernières années.