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L’Église est éclipsée… le monde est dans la consternation
L’Église est éclipsée…
le monde est dans la consternation
M. l’abbé Grossin fait un commentaire sur la dernière intervention de Mgr Sandborn.
Elle nous a paru intéressante.
Mgr Sandborn n’a pas tout compris ou ???????
…la Thèse est grotesque.
Quelle est la valeur des actes d’un pape materialiter ?
À cette question Mgr Guérard avait répondu : nulle.
Et donc la thèse s’éteint dans le temps ?
Oui.
Alors 50 ans après, la Thèse est éteinte depuis longtemps.
(Ndlr du CatholicaPedia : les accentuations sont de nous)
50 ans de Vatican II
Sermon de Mgr Donald Sanborn, donné le 22 novembre 2015.
Abbé Grossin
Admin
Ce sermon tranche sur tout ce que l’on peut entendre ou lire du côté de la F$$PX. Sa fermeté et sa clarté réjouit les cœurs catholiques qui aiment la vérité et détestent les hérésies modernistes de Vatican II. Cela, c’est la première impression que l’on a si l’on ne creuse pas et que l’on ne cherche pas plus loin. Ce sermon satisfera 99% des catholiques “non una cum” qui le trouveront formidable.
Personnellement, il ne me satisfait pas et ce sur quoi je m’écarte de Mgr Sanborn réside dans Ce qu’il ne dit pas, alors que je suis complètement d’accord avec ce qu’il dit à 100 %.
Je m’explique.
L’Évêque à la Rose… plus grand avocat vivant de la position sédévacantiste
Notre confrère Osko de Radio Cristiandad vient de publier encore une fois, une très bonne analyse du cas Williamson (la seconde voie sans issue de la “Tradition”.
(OSKO : COMMENTAIRE ELEISON n° 410 – 23 mai 2015)
La Mesure est Comble
(grâce au plus grand avocat vivant de la position sédévacantiste)
Mgr Williamson, avec son insistance, avec sa quête quasi permanente d’idées, de raisonnements et d’arguments souvent irrecevables, parfois désopilants, voire rocambolesques (c’est le cas de son ELEISON 410), a largement dépassé les bornes de la prudence en devenant le meilleur diffuseur de la position théologique selon laquelle le Siège Apostolique est vacant.
Mgr Williamson a finalement réussi à combler la mesure. Je ne parle évidemment pas de celle de ma patience ; je ne me réfère pas non plus à celle de la patience divine, quoique il ne me semblerait pas étrange qu’elle fût comble (je tiens à le souligner). En revanche, je crois que Mgr Williamson a comblé la mesure qu’il aurait dû s’imposer quant à la question du SÉDÉVACANTISME.
Ne lui en déplaise, il rend un fier service à la cause ardue de ceux qui veulent diffuser et faire connaître le plus tôt possible, et au plus grand nombre de gens possibles, tout ce qui a traite à cette position théologique.
Un aveugle fou… jugé par d’autres aveugles… Ils vont tous dans la fosse !
WILLIAMSON évêque catholique ? Que nenni !!! CQFD………
Chers lecteurs, Dieu ne laisse pas ses fidèles et adorateurs sans aucune lumière.
Car l’Esprit Saint, qui est l’ESPRIT DE VÉRITÉ, veille sans cesse pour garder jalousement le dépôt de la foi et surtout pour exciter les cœurs fidèles et de bonne volonté à toujours l’aimer davantage…ce dépôt…en esprit de vérité.
Pas d’amour véritable sans amour de la vérité. Car en Dieu coexistent éternellement ces deux réalités.
Comme nous l’allons voir, ce sont nos “frères et sœurs” dans la foi qui nous donnent les éléments certains du naufrage dans la foi de nos évêques traditionalistes. Mais objecteront certains, ils n’arrivent pas encore aux mêmes conclusions que nous, l’on ne peut donc pas les appeler frères dans la foi… L’amour est patient car la vérité est immuable et ne change pas… Aimons-les donc pour ce qu’ils sont capables de devenir et non pas pour ce qui nous sépare gravement encore d’eux, car contrairement aux hérétiques et apostats, eux ne rejettent pas a priori la vérité, ils la cherchent avec bonne volonté mais ont encore peur de conclure pour des raisons psycho-affectives que Dieu seul jugera au for interne… Oui, je sais, ils sont encore très tordus et donc toxiques !… Mais notre attention se porte ici plus particulièrement sur un évêque. Entre tordus, la compétition fait rage ! Et le traditionalisme de se décomposer chaque jour davantage… Néanmoins, notre attitude, charitable car sans concession, peut être déterminante afin que l’Esprit Saint daigne éclairer leur âme et leur intelligence, lever leurs doutes, calmer leurs craintes et exalter leur espérance. Oremus. (Qu’est-ce que je vais prendre !!!)
D’aucuns encore vont me dire que parler de naufrage dans la foi est excessif et qu’il ne faut pas éteindre la mèche qui fume encore….
Entendons-nous bien : proclamer la vérité n’a JAMAIS éteint les mèches qui fumeraient encore… Ici même, nous qui nous voulons catholiques semper idem, n’éteindront jamais les mèches…à condition qu’elles fument encore…là est toute la question !
Au for externe, chacun sera libre, après une lecture attentive et charitable de cet article de se prononcer sur la mèche “qui fume encore”…et de déclarer en conscience qu’elle ne fume plus !… À condition aussi d’en assumer toutes les conséquences pratiques…
Au for interne, que nul ne s’arroge ce droit car il n’appartient qu’à Dieu…qui aime d’un amour tout particulier ses consacrés.
Les plus critiques me diront que mon titre d’article semble indiquer clairement une position partisane au for externe… C’est bien possible… Petit privilège de celui qui s’exprime par écrit, un titre ne saurait orienter définitivement les esprits véritablement libres car fidèles aux impulsions de l’Esprit de Vérité. Aussi revendiqué-je ce droit et cette liberté chrétienne d’exprimer mon avis à travers une formulation ou un titre d’article.
La notion de “conversion” est tellement galvaudée au sein de la secte et de certaines chapelles dites traditionalistes, que je réclame ici un appel à la conversion d’un évêque dont on penserait objectivement qu’il n’est plus — stricto sensu — catholique…
Je vais laisser la parole d’abord à Mgr Williamson puis à la très intéressante critique — quoique aussi très tordue sous certains rapports — de ses propos.
Qu’on ne perde pas de vue l’unique question qui se présente avec intérêt à nous : la mèche fume-t-elle encore ? Si la réponse est oui, alors tout est possible et la conversion est l’aboutissement obligé d’un tel drame épiscopal… Si la réponse est non, ne faut-il pas alors en conclure au moins qu’il faut se séparer (si ce n’est déjà fait !) et fuir ce personnage, véritable danger subtil et permanent pour la foi ?
Chacun veillera donc à étayer solidement sa prise de position personnelle sur des critères objectifs basés sur la foi de toujours.
C’est ce que j’ai peut-être eu la faiblesse de discerner à travers ce long article de la dissidence traditionaliste….
Les âmes sensibles m’en voudront beaucoup……… Tant pis pour moi !
Pierre LEGRAND
(Je mettrai quelques annotations en vert et accentuerai les aberrations en rouge)
La FSSPX : un vrai panier de crabes fraternels !
La FSSPX : un vrai panier de crabes fraternels !
Ou lorsque le fruit est mur, il faut sans tarder commencer à le déguster… Tant il est vrai qu’à Rome de nombreux « gourmets » sont à l’affût…
FSSPX : un vrai panier de crabes fraternels !" width="300" height="210" />
Les opposants-résistants à Mgr Fellay et consorts nous rappellent que :
Le 6 juillet 1988, des supérieurs de la Fraternité Saint Pie X avaient signé le texte suivant dont voici un extrait :
« En revanche, nous n’avons jamais voulu appartenir à ce système qui se qualifie lui-même d’Église Conciliaire, et se définit par le Novus Ordo Missæ, l’œcuménisme indifférentiste et la laïcisation de toute la Société. Oui, nous n’avons aucune part, nullam partem habemus, avec le panthéon des religions d’Assise ; notre propre excommunication par un décret de votre Éminence ou d’un autre dicastère n’en serait que la preuve irréfutable. Nous ne demandons pas mieux que d’être déclarés ex communione de l’esprit adultère qui souffle dans l’Église depuis vingt-cinq ans, exclus de la communion impie avec les infidèles. Nous croyons au seul Dieu, Notre-Seigneur Jésus-Christ, avec le Père et le Saint-Esprit, et nous serons toujours fidèles à Son unique Épouse, l’Église Une, Sainte, Catholique, Apostolique et Romaine.
Être donc associés publiquement à la sanction qui frappe les six évêques catholiques, défenseurs de la foi dans son intégrité et son intégralité, serait pour nous une marque d’honneur et un signe d’orthodoxie devant les fidèles. Ceux-ci ont en effet, un droit strict à savoir que les prêtres auxquels ils s’adressent ne sont pas de la communion d’une contrefaçon d’Église, évolutive, pentecôtiste, et syncrétiste. »
« C’était le bon temps… » nous disent-ils sans rire… En lisant ce texte, on peut mesurer le changement de mentalité (sic!) de la FSSPX, ajoutent-ils… Et encore : « N’oublions pas de prier pour les prêtres, afin qu’ils y voient clair et aient un sursaut. (sic!) Vont-ils tous se laisser avoir ? (sic!) Personne ne va donc rien faire ? Les capucins de Morgon vont-t-il se taire ? Et les Bénédictins ? »
Alors me direz-vous que se passe-t-il au sein de la FSSPX ? Voici :
L’IMPASSE DE LA « RÉSISTANCE »
Une nouvelle hérésie : le Williamsonisme
L’IMPASSE DE LA « RÉSISTANCE »
Mgr Williamson – 13 septembre 2014
Ni les libéraux ni les sédévacantistes n’apprécient de s’entendre dire qu’ils sont comme pile et face d’une même monnaie, mais cela est vrai [Il ne suffit pas de l’affirmer pour que cela soit, cette affirmation n’est nullement fondée]. Par exemple, ni les uns ni les autres ne peuvent concevoir une troisième alternative. Voyez par exemple dans sa Lettre à Trois Évêques du 14 avril 2012 comment Mgr. Fellay ne pouvait voir d’autre alternative à son libéralisme qui ne fût le sédévacantisme. Inversement, pour plus d’un sédévacantiste, si quelqu’un accepte que l’un des Papes Conciliaires ait été réellement Pape, alors on ne peut être qu’un libéral, et si quelqu’un critique le sédévacantisme, alors il promeut le libéralisme. Mais pas du tout !
Pourquoi non ? Parce que les uns comme les autres commettent la même erreur qui consiste à exagérer l’infaillibilité du Pape [Quand d’autres ont une fâcheuse tendance à la relativiser]. Pourquoi ? Ne serait-ce pas parce que les uns comme les autres ils sont des hommes modernes, lesquels croient plus dans les personnes que dans les institutions ? Et pourquoi cela devrait-il être un trait de l’homme moderne ? Parce que plus ou moins à partir du Protestantisme, de moins en moins d’institutions ont véritablement recherché le bien commun, tandis qu’elles ont de plus en plus recherché quelqu’intérêt particulier, tel l’argent (ma réclamation contre vous), ce qui diminue bien sûr le respect que nous leur devons. Ainsi par exemple, des hommes bons ont évité, pour un temps, à l’institution pourrie de la banque moderne de produire immédiatement tous ses effets mauvais, mais les banksters pourris actuels ont fini par montrer ce qu’étaient en elles-mêmes, depuis le début, ces institutions que sont le système bancaire de la réserve fractionnaire et les banques centrales. Le Diable est présent dans les structures modernes, grâce aux ennemis de Dieu et des hommes.
Il est donc compréhensible que des Catholiques modernes aient eu tendance à mettre trop de foi dans le Pape et trop peu dans l’Église [Ubi est Petrus ibi Ecclesia], et voilà la réponse à ce lecteur qui me demandait pourquoi je n’écris pas au sujet de l’infaillibilité comme le font les manuels classiques de théologie catholique. Ces manuels sont merveilleux dans leur genre, mais ils ont tous été écrits avant Vatican II, et ils ont tendance à attribuer au Pape une infaillibilité qui appartient à l’Église [Mgr Williamson préfère la banque au banquier]. Par exemple, le sommet de l’infaillibilité peut être présenté dans les manuels comme étant une définition solennelle par le Pape, ou par le Pape avec un Concile, mais dans tous les cas par le Pape. Le dilemme libéral-sédévacantiste en a été une conséquence et en même temps un châtiment de cette tendance à surestimer la personne et à sous-estimer l’institution, car l’Église n’est pas une institution purement humaine. [Elle est même fondée sur Pierre, par la Vérité incarnée qui a prié pour que sa foi ne défaille pas et qu’il puisse confirmer ses frères]
Et cette tendance est erronée parce que, en premier lieu, le Magistère Solennel, en tant que la couche de neige qui recouvre la montagne du Magistère Ordinaire, ne constitue le sommet de cette montagne que dans un sens très restreint – il est totalement soutenu par le sommet rocheux sous-jacent à la neige. Et en second lieu, cela ressort du texte le plus autorisée de l’Église au sujet de l’infaillibilité, à savoir la Définition du Concile vraiment catholique, Vatican I (1870), grâce auquel nous savons que l’infaillibilité du Pape vient de l’Église, et non l’inverse [Erreur grossière, la Primauté a été accordée à Pierre dans les trois domaines : enseignement, gouvernement, sanctification, c’est lui le fondement posé par Jésus-Christ et de ce fondement que vient l’infaillibilité de l’Église]. Lorsque le Pape engage l’ensemble des quatre conditions nécessaires à un enseignement ex cathedra, alors, déclare la Définition, il possède « cette infaillibilité dont le Divin Rédempteur a voulu que son Église ait le privilège lorsqu’elle définit un point de la doctrine ». Mais, évidemment ! D’où pourrait bien venir l’infaillibilité, sinon de Dieu ? [L’infaillibilité est l’assistance du Saint-Esprit qui confirme qu’une vérité appartient à la Révélation, c’est l’impossibilité de tomber dans l’erreur en matière de foi et de mœurs] Les meilleurs parmi les êtres humains – et quelques Papes ont été de très bons êtres humains – peuvent rester exempts d’erreur, c’est-à-dire, être inerrants, mais du moment qu’ils ont le péché originel ils ne peuvent être infaillibles comme Dieu seul peut l’être [Et le baptême, la grâce, l’ordre, la grâce d’état, l’assistance du Saint-Esprit ?]. S’il leur arrive d’être infaillible cette infaillibilité passe par leur humanité, mais en venant de l’extérieur, venant de Dieu, qui choisit de la concéder à travers l’Église catholique, et cette infaillibilité n’a pas besoin de durer plus longtemps que le temps nécessaire pour faire la Définition.
Par conséquent en dehors des moments ex cathedra du Pape, rien ne l’empêche de dire des aberrations telles que celles de la nouvelle religion de Vatican II. Par conséquent ni les libéraux ni les sédévacantistes n’ont besoin ni ne doivent prêter attention à ces aberrations, parce que, comme disait Mgr. Lefebvre, ils ont 2000 ans d’enseignement Ordinairement infaillible de l’Église derrière eux pour juger qu’il ne s’agit là que d’un ensemble d’aberrations. [Et François peut quand même, malgré tout, rester pape un pape faillible, dans une Église infaillible, voilà la nouvelle religion que nous propose Mgr Williamson]
Kyrie eleison.
UN ENCOMBRANT VOISIN DE PALIER !!!!
Un Encombrant Voisin de Palier !!!!
Dans un article non dénué d’intérêt, Mgr Sanborn répond à Mgr Williamson, le mettant en quelque sorte en face de ses graves responsabilités en tant qu’évêque validement sacré.
Mgr Donald J. Sanborn, natif des usa, a été ordonné par Mgr Lefebvre en 1975, avant d’être expulsé de la FSSPX en 1983, avec 8 autres prêtres américains. Il fonde en 1995 un séminaire en Floride, puis en 2002, se fait consacrer évêque par Mgr McKenna (sacré lui-même par Guérard des Lauriers).
Nous n’avons pas toujours été en phase complète avec Mgr Sanborn… Il suffira de rappeler quelques-unes de ses études comme « La montagne de Gelboé » dans laquelle on pouvait lire que « les modernistes (sont) privés d’autorité » et que « les papes conciliaires ne détiennent pas l’autorité papale et ne sont pas de vrais papes ». Il a été répondu à ces pétitions et inversions de principes qui empêchent beaucoup de déclarer tout simplement que l’Église Catholique est éclipsée par une secte qui n’a rien de catholique et qui, par conséquent, ne peut être privée de quoi que ce soit ni détenir quoi que ce soit en raison d’une privation antérieure qui en serait comme la cause nécessaire et suffisante de cette impossibilité d’être « vrais papes » par exemple….
Toutefois, nous ne bouderons pas notre plaisir, en parcourant ensemble l’argumentaire de Mgr Sanborn qui assimile presque, en un raccourci audacieux, Mgr Williamson à un dangereux moderniste qui s’ignore !!! Nous nous permettrons quant à nous d’ajouter, que, la schizophrénie habituelle des fraterneux ou ex-fraterneux aidant, il n’est pas du tout surprenant que Mgr Williamson puisse « partager », Tout en Proclamant sa Foi Traditionnelle, certaines des erreurs d’Hans Küng (Photo ci-contre), notamment sur l’infaillibilité du MOU (Magistère Ordinaire Universel) et sur l’indéfectibilité de l’Église.
Nous nous contenterons, (nonobstant la lecture complète qu’on aura à cœur d’en faire et, le cas échéant, le souci d’y relever des points de critique, de noter les phrases-clés qui illustrent la pensée de Mgr Sanborn, ceci afin de ne pas trop lasser nos lecteurs.
Nous mettrons en couleur à la fois les arguments qui montrent que Mgr Williamson est dans l’erreur mais aussi certaines des assertions insuffisantes ou erronées de Mgr Sanborn que parfois nous commenterons brièvement en vert.
Réponse à
Mgr Williamson
Au Sujet de la Vacance du Saint Siège
Par Mgr Donald J. Sanborn
Introduction
Mgr Williamson a récemment publié sur son blog Kyrie Eleison une série d’articles dont le but est de réfuter le sédévacantisme. Après avoir attiré à lui les fervents antimodernistes de la Fraternité Saint Pie X, Mgr Williamson, je crois, est en train de découvrir parmi eux une certaine tendance au sédévacantisme. Certains d’entre eux sont des sédévacantistes déclarés, quoique opinionistes dans la plupart des cas. Cela signifie que, même s’ils pensent que Bergoglio n’est pas le pape, ils reconnaissent que l’opinion contraire, à savoir que Bergoglio est le pape, a des arguments probables en sa faveur. Je suis sûr que ma visite récente en Angleterre a aussi fait un peu bouger les choses.
Dans cet article, je réponds à deux articles du blog de Mgr Williamson, numéros 343 du 8 février 2014, et 344 du 14 février 2014.
Permettez-moi de dire que je n’ai aucun conflit personnel avec Mgr Williamson, en dépit de nos nombreuses années d’opposition dans le passé. Il a gardé la discussion sur un niveau élevé et rationnel, et j’ai l’intention de faire la même chose.
J’ai résumé et paraphrasé ses arguments pour des raisons de concision.