7404

Le CatholicaPedia Blog

CatholicaPedia, une mémoire de la Tradition… en toute liberté

Archive for the ‘pape François’ tag

Rome : La collection de maillots de football de papeFrançois s’enrichit !

with 29 comments

Rome : La collection de maillots de football du pape François s’enrichit

Rome, 17 avril 2013 (Apic) La collection de maillots de football du pape François s’est enrichie d’une pièce de grande valeur : celui de l’attaquant argentin Lionel Messi, star du club catalan du FC Barcelone.

Caricature: Bernard Bovigny 28.02.2013

Le maillot blaugrana, qui porte la signature du quadruple Ballon d’or et l’inscription “avec beaucoup d’affection“, a été remis au souverain pontife au terme de l’audience générale du 17 avril 2013 par le sous-secrétaire du Conseil pontifical pour les laïcs, Mgr Miguel Delgado Galindo, originaire de Barcelone. (apic/imedia/cp/mp)

 

Elles est pas belle cette église Conciliaire !!!

[slideshow post_id=7404]

Tout est clair désormais !

with 7 comments

papeFrançois a déclaré dans l’homélie qu’il a prononcée lors de la « Sainte Marthe » :

« Grâce à l’Esprit du Concile, l’Église s’est ouverte au monde, mais de nombreux pas doivent encore être accomplis. Quelques voix demandent à retourner en arrière. Cela s’appelle « être entêté », cela s’appelle « vouloir apprivoiser l’Esprit Saint », cela s’appelle devenir « sot et lent du cœur ». Grâce au Concile, la hiérarchie s’est mise au service du peuple de Dieu. »

Source : vaticaninsider.lastampa.it

 

Le doute n’est plus permis. Le Père François, « Évêque de Rome » (sic) a dévoilé ses batteries. Pas de retour en arrière !

L’église s’est mise au service du peuple de Dieu, « grâce à l’Esprit du Concile » !

Mais il reste encore de « nombreux pas » à accomplir !

Les abbés Célier et Lorans auront à envisager, au sein du GREC, comment insuffler aux « entêtés » restés « sots et lents du cœur » l’endurance nécessaire à cette « mise au service au peuple de Dieu » !

« PERSEVERARE DIABOLICUM EST »

 

* * *

 

Le pape François Célèbre Vatican II

Peu avant de devenir pape Benoît XVI considérait que l’Église ressemblait à « une barque qui prend l’eau de toutes parts ».  Jean Paul II avait lui parler de « l’apostasie silencieuse » et même Paul VI dénonçait « les fumées de Satan » qui avaient pénétré dans une Église en état « d’auto-démolition ». Le pape François lui semble considérer que la dynamique, depuis 50, est positive et qu’il faut l’intensifier. C’est ainsi qu’il déclaré dans son l’homélie de la messe qu’il a célébrée le 16 avril en la chapelle de la Maison Sainte-Marthe :

« Grâce à l’Esprit du concile, l’Église s’est ouverte au monde, mais de nombreux pas doivent encore être accomplis »

« Quelques voix demandent à retourner en arrière. Cela s’appelle “être entêté”, cela s’appelle vouloir “apprivoiser l’Esprit-Saint”, cela s’appelle devenir “sot et lent du cœur”»
– « Grâce au concile, la hiérarchie s’est mise au service du peuple de Dieu »

Ceux qui s’étaient réjouis que le pape n’avait jusqu’ici jamais fait référence au brigandage de Vatican II ont été servis.

Source : Le Courrier de Tychique

 

CRC : Frère Bruno Bonnet-Eymard fait allégeance à papeFrançois

with 23 comments

Frère Bruno Bonnet-Eymard – CRC : Lettre ouverte au pape

SOURCE – Frère Bruno Bonnet-Eymard – CRC – 27 avril 2013


Très Saint Père,

L’annonce de votre élection au souverain pontificat, au soir du mercredi 13 mars, a été pour notre communauté une vive surprise. Mais votre simplicité, votre sourire qui nous ont rappelé ceux de votre prédécesseur Jean-Paul Ier, nous ont immédiatement conquis. Et, rapidement, une joie indicible nous a envahis à mesure que se manifestaient votre foi sûre, votre piété ardente, et votre tendre dévotion à la Sainte Vierge. C’est alors qu’un frère m’a rappelé qu’en février 2003, notre Père fondateur, l’abbé Georges de Nantes, rappelé à Dieu il y a trois ans, avait eu votre photographie entre les mains et l’avait longuement contemplée, nous disant : « C’est vraiment la photographie d’un saint, je ne me lasse pas de la regarder. » D’ailleurs, vous répondez précisément aux aspirations de ce bien-aimé Père dont l’une des maximes était que « la pauvreté sauvera le monde », pauvreté que vous avez pour ainsi dire épousée comme votre patron saint François.

Si pauvreté et simplicité sont deux vertus emblématiques de saint François d’Assise, elles nous font aussi irrésistiblement penser à un autre François, cher à nos cœurs, le bienheureux petit pâtre de Fatima, qui priait tellement et se sacrifiait « pour le Saint-Père ». Vous avez donc un intercesseur bien puissant auprès de la Très Sainte Vierge. Peut-être même êtes-vous son élu, celui qu’elle a choisi pour consacrer la Russie à son Cœur Immaculé, ainsi qu’elle l’a demandé le 13 juin 1929 ? Peut-être êtes-vous celui qui a été montré à Jacinthe, la petite sœur de François dans ses visions prophétiques ?

Quoi qu’il en soit, vous êtes le nouveau vicaire de Jésus-Christ, et je vous exprime l’hommage filial de toutes les communautés religieuses dont j’ai la charge. Pardonnez-moi de le faire publiquement, mais c’est dans l’espoir que ce témoignage de notre attachement dévoué et confiant vous atteindra ainsi plus sûrement que par voie “ privée ”.

J’ose vous demander, Très Saint Père, votre chère bénédiction, pour moi-même et pour toutes nos communautés, qui sont vôtres, certain que, en vrai vicaire de celui qui a dit : « Demandez et l’on vous donnera », vous ne sauriez y manquer.

Je vous assure de nos prières, pour l’Église et pour vous-même, sous le regard de l’Immaculée, notre Mère à tous à jamais, afin qu’elle vous garde et qu’elle fasse de vous l’instrument diligent des volontés de son Cœur Immaculé qui ne sont autres que celles de son Divin Fils,

frère Bruno de Jésus-Marie

pour les Petits frères et les Petites sœurs du Sacré-Cœur,

et les membres laïcs de la Phalange de l’Immaculée.

 

Sources :

http://tradinews.blogspot.fr/2013/04/frere-bruno-bonneteymard-crc-lettre.html

http://www.crc-resurrection.org/2305-lettre-ouverte-au-pape.html

www.site-crc.org

p-francois-bouquet

Le pape dépose son bouquet de fleurs à l’autel de la Très Sainte Vierge, à la basilique Sainte-Marie-Majeure.
© ServizioFotograficoor/cpp/ciric

 

 
Il est devenu fou ! comme son vénéré Père fondateur, l’abbé Georges de Nantes…

Peut-être même êtes-vous son élu, celui qu’elle a choisi pour consacrer la Russie à son Cœur Immaculé, ainsi qu’elle l’a demandé le 13 juin 1929 ? Peut-être êtes-vous celui qui a été montré à Jacinthe, la petite sœur de François dans ses visions prophétiques ?

Et encore un qui se fout complètement de l’invalidité des sacrements !!! et qui apostasie…

papeFrançois (Jésuite) indifférent, voire dédaigneux envers la liturgie !

with 2 comments

Un conciliaire, Mr Florent Husson, nous explique ici pourquoi papeFrançois est indifférent, voire dédaigneux envers la liturgie ! C’est, dit-il, :

« Le défaut congénital des Jésuites depuis 500 ans, car cela ne date en rien du concile Vatican II, leur défaut depuis leur fondation donc, c’est leur indifférence, voire leur dédain envers la liturgie, et il faudra faire avec… »

* * *

Mr Florent Husson : “La barrette de St Pierre des Latins” Les Jésuites et la liturgie

SOURCE – “Abbé” Florent Husson – ‘La barrette de St Pierre des Latins’ – avril 2013


Les Jésuites et la liturgie

Des auditeurs attentifs au sermon du premier dimanche de la Passion m’ont demandé d’expliciter les propos que j’avais alors tenus : « Le défaut congénital des Jésuites depuis 500 ans, car cela ne date en rien du concile Vatican II, leur défaut depuis leur fondation donc, c’est leur indifférence, voire leur dédain envers la liturgie, et il faudra faire avec… ». Ce jugement a semblé péremptoire à certains, mais il est fondé sur 500 ans d’histoire…

Après les premières apparitions « liturgiques » du Pape François (je dois avouer que l’absence de numérotation fait bizarre, et qu’il est difficile de dire « de François » comme nous disions « de Paul VI, de Benoît XVI »), certains journalistes catholiques ont hissé haut le pavillon de leur jubilation de voir disparaître les fastes rétablis par Benoît XVI, car pour être « un Pape des pauvres », il faut donc, selon leur esprit mal (in)formé, être un « Pape a-liturgique », voire « anti-liturgique ».

D’abord ils oublient le soin qu’apportait Saint François d’Assise à la liturgie (1), confondant selon l’idéologie des années 70 amour des pauvres et misérabilisme, ensuite ils oublient que le nouveau Pape est un jésuite.

Et c’est bien là réellement le fond du problème…

Benoît XVI, profond théologien dont la spiritualité était marquée tant par la patristique que la liturgie, avait des racines aux antipodes de la spiritualité des Jésuites.

En effet, la Compagnie de Jésus fut fondée par Saint Ignace de Loyola et reconnue par Rome en 1540 : nous sommes en plein dans le règne de la devotio moderna, cette dévotion née avec l’Imitation de Jésus-Christ (2), un chemin spirituel qui privilégie l’individualisme à la piété populaire du Moyen-Âge.

Les grands de ce monde, à la fin du Moyen-Âge, disaient encore le bréviaire liturgique, nous connaissons nombre de manuscrits comme les « Grandes Heures », et donc ils vivaient spirituellement en union avec l’Église et tous les chœurs de moines, moniales, religieux et chanoines qui chantaient l’office.

Or la devotio moderna va faire disparaître cette union, chacun aura désormais son livre de spiritualité qui lui plaît le plus, et selon les époques, qui l’Imitation, qui le Combat Spirituel de Scupoli (3), qui l’Introduction à la vie dévote de Saint François de Sales (4). C’est l’époque qui verra les fidèles à la Messe faire leurs propres dévotions privées, ne s’occupant guère du célébrant sauf à la consécration et aux élévations.

Saint Ignace est donc totalement imprégné de cet esprit qui est de fait la mentalité de l’Église au XVIème siècle, et ses Exercices Spirituels dont il commence l’écriture en 1523 l’attestent. Tous ses efforts personnels sont tendus vers les études et les exercices spirituels. Et cela transparaît en 1539 dans l’esquisse des statuts de la future Compagnie, quand, à côté de l’obéissance à un Préposé général et l’exaltation de la pauvreté, on trouve le refus du cérémonial monastique, et en particulier de la prière collective. Si on lit bien Saint Ignace, on en arrive à avoir l’impression que l’examen de conscience est plus important que l’assistance à la Messe.

Malheureusement, le Pape Paul III, en approuvant la compagnie, va entériner ce choix d’Ignace, et fera des Jésuites le premier ordre religieux dispensé de la liturgie communautaire, véritable anomalie depuis les débuts des ordres religieux dans l’Église au IVème siècle.

On lit dans les constitutions jésuites : « Parce que les occupations qu’on prend pour aider les âmes sont de grande importance, qu’elles sont propres à notre Institut et très nombreuses, et que d’autre part notre séjour en tel ou tel lieu est précaire, les Nôtres n’auront pas l’office du chœur pour les heures canoniales ni pour chanter des messes ou d’autres offices ; car pour ceux (5) que leur dévotion (6) pousserait à les entendre, il y aura abondance de lieux où ils satisfassent leur désir. Quant aux Nôtres, il convient qu’ils s’occupent de ce qui est davantage propre à notre vocation (7), pour la gloire de Dieu ».

Et en ce qui concerne l’apostolat : « Si, dans certaines maisons ou dans certains collèges, on jugeait que cela conviendrait, on pourrait, à l’heure où il doit y avoir dans l’après-midi une prédication ou un enseignement, ne dire que les vêpres pour retenir le peuple avant ces enseignements ou ces prédications. On pourrait aussi le faire habituellement les dimanches et jours de fête, sans musique d’orgue ni plain-chant, mais sur un ton qui soit religieux, agréable et simple. Et cela, parce que et pour autant que l’on jugerait que le peuple serait par-là porté à fréquenter davantage les confessions, les sermons et les enseignements, et non pas pour une autre raison (8) ».

Donc il n’est pas question de former le Jésuite à l’Ars celebrandi, c’est-à-dire la capacité de célébrer dignement : le Jésuite dit son bréviaire seul et les Messes sont réduites à leurs plus simples dispositions liturgiques : « Pour les Messes plus importantes que l’on dira, quoique simplement lues, il pourra y avoir, en considération de la dévotion et de la convenance, deux servants vêtus de surplis, ou un seul, selon ce qui pourra se faire dans le Seigneur ».

Pas de Messes chantées, et encore moins de Messes solennelles.

Mais en plus, la liturgie communautaire pour les fidèles confiés à la charge des Jésuites n’a de sens que si elle amène « à fréquenter davantage les confessions, les sermons et les enseignements ».

Saint Ignace voulait des soldats pour les missions étrangères, l’éducation des jeunes, l’instruction des pauvres. Et il est manifeste que face à l’hérésie protestante, l’Église avait besoin de soldats. Mais c’est oublier que les moines « traditionnels » avaient été aussi des soldats car c’est eux qui évangélisèrent l’Europe ! Et des religieux comme les Capucins, fervents fers de lance de la lutte anti-protestante (il suffit de voir l’action de Saint Laurent de Brindes, Docteur de l’Église, ou le martyre de Saint Fidèle de Sigmaringen, massacré par des réformés) n’ont abandonné ni l’office choral, ni les solennités liturgiques (9)… et pourtant… c’étaient des franciscains (10).

De plus, comme l’indique le paragraphe des Constitutions sur la liturgie dans l’apostolat, on s’aperçoit que pour un Jésuite, la liturgie n’est qu’un moyen, un outil.

Et cela donnera lieu au XXème siècle à la grande « hérésie » liturgique qui veut faire de la Messe une simple catéchèse, et non plus, comme l’enseigne le concile Vatican II, « la source et le sommet de la vie chrétienne ». C’est ainsi qu’entre deux guerres, les nombreux Jésuites aumôniers scouts (n’oublions pas que le Père Sevin était Jésuite) posèrent les prodromes de la réforme liturgique, réforme à but uniquement pastoral et catéchétique.

On comprend donc pourquoi le défaut congénital des Jésuites depuis 500 ans est leur indifférence, voire leur dédain envers la liturgie, sauf quand ils peuvent l’utiliser dans un but de formation.

Certes, il y a eu de célèbres liturgistes Jésuites, comme le Père Jungmann. Mais quand on lit leurs ouvrages, on s’aperçoit qu’il ne s’agit pas de théologie liturgique, mais qu’en bons universitaires et scientifiques, ils s’appliquent à étudier les rites et les prières comme un chirurgien étudierait le corps humain, et leurs ouvrages sont sans âme, ni spiritualité.

Alors, ne demandons pas à un Pape Jésuite, héritier d’une telle tradition, d’être un bon liturge… Il ne le sera pas, non par parti-pris, mais par formation, je dirai même par constitution.

 

Florent Husson.

 

 ihs2

 

 

Ndlr du CatholicaPedia :

Mr Florent Husson est un simple laïc officiant de manière “extraordinaire” dans le diocèse de Nancy et de Toul…

Ces prétendus abbés qui portent la soutane et font profession de célébrer la messe de Saint Pie V, ne sont en réalité, le sachant ou non, que de simples laïcs, entièrement démunis de tout véritable pouvoir sacramentel et sacrificiel.

Les prétendues messes qu’ils disent dans le rite de Saint Pie V sont absolument invalides et leurs fidèles n’y adorent que du pain, tout comme restent sacramentellement invalides les pseudo-absolutions qu’ils délivrent.

Annuaire diocésain Nancy

Diocèse de Nancy et de Toul

 

M. l’abbé Florent Husson

Année de naissance : 1967

Année d’Incardination : 1993

Année d’Ordination : 1994

Année de dernière nomination : 2007

chargé de la célébration de la messe dominicale selon l’Ordo Missae de 1962

167 avenue de Strasbourg – 54000 Nancy

abbefh@gmail.com

Prêtre coopérateur

Saint-Pierre – Notre-Dame de Bonsecours

 

http://nancy.annuaire-eglise.net/displayElem.php?a=nancy&get=unitorg&id=40

http://nancy.annuaire-eglise.net/getxml.php?a=nancy&get=personne&id=873

* * *

Coat_of_arms_of_Franciscus

 

* * *

Nous vous proposons maintenant de visionner une “ordination” totalement invalide d’un jésuite à Marseille par l’abbé aposta Georges Paul Pontier (voir son pedigree ici) :

sj_france_une

Source : http://www.jesuites.com/2013/04/ordination-dun-jesuite-a-marseille/

Voir aussi :
A Marseille, les jésuites sont dans la ville  (Article dans le journal La Provence)

Marseille_les-jesuites-sont-dans-la-ville

 


[1] Saint François d’Assise, epistola ad cleros.

[2] Date de composition et auteur contestés, entre la fin du XIVème siècle et le début du XVème siècle.

[3] 1588

[4] 1608

[5] Les fidèles

[6] La liturgie est donc une affaire de dévotion privée, non « d’Église ».

[7] Le culte divin, premier devoir d’un prêtre, n’est donc pas la vocation d’un Jésuite…

[8] La liturgie n’a donc pas de valeur en soi.

[9] Dans les limites permises par le fait qu’un couvent ne reçoit en général pas plus de douze religieux, ce qui limite bien sûr le déploiement de la liturgie. Le Cérémonial capucin prévoit par exemple des Messes non chantées avec encensement.

[10] Les Capucins sont une branche de l’Ordre franciscain, fondée au XVIème siècle pour un retour aux origines radicales de la Règle de Saint François.

 

Written by Cave Ne Cadas

avril 12th, 2013 at 2:42 pm

Posted in église Conciliaire,Invalidité nouveaux sacrements,Jésuites

Tagged with , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , ,

Abbé H. L. Roméro : “En tant qu’argentin, j’ai honte”

with 4 comments

Dans son sermon du 17 mars 2013, M. l’Abbé Héctor Lázaro Romero, à Rennes, déclare au sujet de l’élection de papeFrançois : « En tant qu’argentin, j’ai honte  » !

La semaine dernière, nous avons assisté à des évènements très graves que les moyens de communication ont rapportés. Aux yeux du monde, le collège cardinalice a élu celui qui se fait appeler François. En tant qu’argentin, j’ai honte. Ce François, considéré comme un cardinal primat de l’Argentine et archevêque de Buenos Aires, était vraiment l’ami des ennemis de Notre-Seigneur. On l’a vu, lors des fêtes juives, à la synagogue de Buenos Aires, à côté du rabbin, kippa sur la tête, en train d’allumer le chandelier. Lors d’un “congrès charismatique” à Buenos Aires, en présence du prédicateur des exercices spirituels du Vatican, Bergoglio s’était mis à genoux devant des pasteurs protestants pour recevoir leur soit disant bénédiction. On l’a vu aussi, le soir de son élection, avant de donner la bénédiction à la foule, s’incliner vers elle pour qu’elle prie Dieu de le bénir lui-même ; c’est un geste inouï ! Dans ses premières paroles à la foule, il s’était présenté avec insistance comme “l’évêque de Rome” et il n’a pas prononcé, même pas une fois, le mot “Pape”, dans un autre geste inouï qui va dans le sens, toujours, de la destruction de l’autorité et de la collégialité épiscopale de Vatican II.

Il a pris le nom de François. Il y a une fable, comme les fables dites de La Fontaine, qui nous parle du roi Midas. Tout ce que touchait le roi devenait de l’or. Et bien les modernistes, tout ce qu’ils touchent, ils le salissent, ils le détruisent, et, permettez-moi l’expression, ils le pourrissent. Il a profané le nom d’un très grand saint : saint François d’Assise qui n’a rien à voir avec cette “fraternité universelle” dont il a parlé le soir de son élection, ni avec l’œcuménisme conciliaire, puisque saint François n’a pas hésité à aller dans les terres islamiques pour essayer de convertir le sultan, le roi musulman, en disant devant lui, sans peur et sans respect humain, pendant que les imams, entourant le sultan, serraient les dents de rage, que Jésus est le seul vrai Dieu et que pour sauver son âme, le sultan devait abandonner la fausse religion de l’islam.

Ni l’Église, ni saint François n’ont rien à voir non plus avec cette pauvreté qui va plus ou moins dans le sens de la Gauche. L’Église enseigne l’esprit de pauvreté et la pauvreté volontaire et condamne toute sorte de socialisme, de communisme, qui suppriment ou qui mettent en danger la propriété privée et qui montent les classes les unes contre les autres.

Pour tout cela, Jorge Bergoglio, François, n’est pas Pape, tout comme ses prédécesseurs de Vatican II, et ne peut pas être Pape, en vertu de l’assistance divine du Saint-Esprit qui est accordée à l’autorité légitime de l’Église. Et le Saint-Esprit, manifestement, n’est pas là, en ayant abandonné le Vatican, mes chers amis, depuis quelques décennies. Et on pourrait ajouter à tout cela, la question de son ordination sacerdotale avec le rit réformé qui est plus que douteux ((Nous nous disons INVALIDE !!!)). Ce n’est pas possible d’être en communion avec ces modernistes, avec François, avec la synagogue et les autres religions. Pensez à cela sérieusement. On ne peut pas être en communion avec ces gens-là, à la liturgie, à la messe, puisque la messe c’est tellement important pour nous, catholiques, puisque c’est le centre de notre vie. Du fait d’accorder de l’importance à cette question dépend la conservation de la Foi, pour nous, pour nos enfants, pour les générations futures.

 

Extrait du sermon de Monsieur l’Abbé Héctor Lázaro Romero, Rennes, le 17 mars 2013. Publié par notre confrère Clément LECUYER : http://www.catholique-sedevacantiste.com/article-sermon-de-mr-l-abbe-romero-concernant-la-nomination-de-bergoglio-en-tant-qu-argentin-j-ai-honte-116449159.html

 

Verront-ils enfin clair ?

with 6 comments

L’Abbé Claude Barthe – dans Présent – et Valentino Ganimara – rédacteur en chef du blog Osservatore Vaticano – débattent de l’élection de pape-François…

Verront-ils enfin clair ?

 

I

[Présent – Abbé Claude Barthe – Olivier Figueras] Une analyse sur l’élection du pape François –  TradiNews

SOURCE – Présent – Abbé Claude Barthe – Olivier Figueras – 23 mars 2013

ab_barthe

Propos recueillis par Olivier Figueras – Article extrait du n° 7819 du Samedi 23 mars 2013

Source : http://tradinews.blogspot.fr/2013/03/present-abbe-claude-barthe-olivier.html
 

* * * * *

 
II

[Vini Ganimara – Osservatore Vaticano] Conclave : la déconfiture des ratzinguériens ? –  TradiNews

SOURCE – Vini Ganimara – Osservatore Vaticano – 22 mars 2013

banniere-OV

Source : http://tradinews.blogspot.fr/2013/03/vini-ganimara-osservatore-vaticano_22.html