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Un terrible châtiment !!!!
(document à lire avec attention )
pour information……
Un terrible châtiment, celui de l’aveuglement spirituel, touche les prêtres traditionalistes de plein fouet ! Lisez plutôt et notamment tout le délirant chapître mis en encadré rouge par mes soins ! (Y aller directement)
Source : “Avec l’Immaculée” (les anti-ralliéristes de la F$$PX)
Jean-Paul II était-il franc-maçon ?
Il semble bien que tous les papes depuis Vatican II soient francs-maçons (ici, “Avec l’Immaculée” découvre l’Eau-Chaude !!!), sauf Jean-Paul Ier (c’est d’ailleurs pour cela qu’il a été assassiné, le soir du jour où il avait signifié leur renvoi à deux francs-maçons, Marcinkus et Villot). Les preuves selon lesquelles Jean XXIII et Paul VI étaient francs-maçons abondent. (cf. ici, ici, ici). Après Jean XXIII et Paul VI, étudions Jean-Paul II. Jean Paul II est arrivé après l’assassinat de Jean-Paul Ier, ce qui n’est déjà pas bon signe. C’est lui qui a lancé les cérémonies sacrilèges d’Assise, en 1986. On sait que le but de la franc-maçonnerie est de fondre toutes les religions en une seule religion mondiale et c’est le but poursuivi par les réunions d’Assise. C’est Jean-Paul II qui a instauré le nouveau code de droit canon (1983). Mgr Lefebvre (qui fut lui-même ordonné et consacré Évêque par un F∴M∴ notoire !!!) disait que ce nouveau code de droit canon, (appliqué dorénavant par Mgr Fellay pour le renvoi des prêtres de la Fraternité), était pire que Vatican II.
C’est aussi sous le pontificat de Jean-Paul II qu’a été changé le serment demandé aux prêtres avant leur ordination. Mgr Lefebvre a dit lors de son jubilé au Bourget : « La nouvelle profession de foi qui a été rédigée par le cardinal Ratzinger contient explicitement l’acceptation du Concile et de ses conséquences. (…) Comment pouvons-nous l’accepter ! » (Le Bourget, 19 nov. 1989)
« C’est un fait très grave. Car il demande à tous ceux qui se sont ralliés, ou qui pourraient le faire, de faire une profession de foi dans les documents du Concile et dans les réformes post-conciliaires. Pour nous, c’est impossible ». (Fideliter, janv. 1991, n°79 p. 4)
« Telle qu’elle est, cette formule [de la profession de foi] est dangereuse. Cela démontre bien l’esprit de ces gens avec lesquels il est impossible de s’entendre ». (Fideliter n°70 p. 16, juillet 1989 ; n°73 p. 12 et n°76 p. 11)
Mgr Lefebvre, à la fin de sa vie, a parlé de l’esprit du concile Vatican II en l’associant à l’esprit de Jean-Paul II. C’est à propos du concile et de Jean-Paul II qu’il a parlé d’une perversion totale de l’esprit : Voici un passage de la conférence du 6 septembre 1990 à Écône :
« Ce combat entre l’Église et les libéraux modernistes, c’est celui du concile Vatican Il. Il ne faut pas chercher midi à quatorze heures. Et cela va très loin. Plus on analyse les documents de Vatican II et l’interprétation qu’en ont données les autorités de l’Église, plus on s’aperçoit qu’il s’agit non seulement de quelques erreurs, l’œcuménisme, la liberté religieuse, la collégialité, un certain libéralisme, mais encore d’une perversion de l’esprit. C’est toute une nouvelle philosophie, basée sur la philosophie moderne du subjectivisme. Le livre que vient de faire paraître un théologien allemand, et qui, j’espère sera traduit en français afin que vous puissiez l’avoir en mains, est très instructif de ce point de vue. Il commente la pensée du Pape, spécialement une retraite que, simple évêque, il prêcha au Vatican. Il montre bien que tout est subjectif chez le Pape. Quand on relit ensuite ses discours, on s’aperçoit bien que telle est sa pensée. Malgré les apparences, ce n’est pas catholique. La pensée que le Pape a de Dieu, de Notre Seigneur, vient du tréfonds de sa conscience et non pas d’une Révélation objective à laquelle il adhère par son intelligence. Il construit l’idée de Dieu. Il a dit dernièrement, dans un document invraisemblable, que l’idée de la Trinité n’a pu venir que très tard, parce qu’il fallait que la psychologie de l’homme intérieur puisse être capable d’arriver à la Trinité Sainte. C’est donc que l’idée de la Trinité n’est pas venue d’une révélation, mais du tréfonds de la conscience. C’est toute une autre conception de la Révélation, de la foi et de la philosophie, c’est une perversion totale. »
N’oublions pas non plus les cérémonies sacrilèges de bénédiction du pape par des sorciers Indiens d’Amérique. En voici une :
(source : site sédévacantiste Most Holy Family monastery.)
N’oublions pas le signe de Shiva qu’il s’est fait imposer sur le front, la cérémonie secrète avec les sorciers dans le bois de Lomé, le baiser qu’il a donné au Coran, la phrase sacrilège : « Que saint Jean-Baptiste protège l’Islam » etc.
Jean-Paul II avait donc une pensée maçonnique, mais mise à part son arrivée sur le siège de Pierre après l’assassinat de Jean-Paul Ier par des francs-maçons, avons-nous d’autres indices qu’il était franc-maçon ? Oui, nous en avons :
Ce document intéressant mentionne que Jean-Paul II a reçu trois fois les B’nai B’rith au Vatican : la première fois, c’était le 22 mars 1984. Le pape a, paraît-il, commencé son discours de façon originale, en nommant trois fois de suite les B’nai B’rith « Mes chers amis, mes chers amis, mes chers amis ». Le script du Vatican ne mentionne pas que le pape ait fait cette triple appellation. Mais quand on voit comment la Fraternité Saint-Pie X en prend à son aise avec les scripts, par exemple celui de la conférence de Mgr de Galarreta à Villepreux le 13 octobre 2012, on peut se dire que le Vatican est bien capable d’en faire autant avec les discours du pape. On ne voit pas pourquoi les sédévacantistes auraient inventé cette triple appellation. D’ailleurs, on voit que le Vatican s’est trompé dans la date du discours qui était le 22 mars et non le 2 mars, comme il est noté ici. Ce discours du pape du 22 mars 1984 insiste lourdement à plusieurs reprises sur les liens de fraternité et le lien spirituel (« spiritual link ») que le pape a avec ces B’nai B’rith et avec tous les Juifs en général. Vous pouvez le lire en anglais sur le lien ci-dessus. Il vaut son pesant.
Jean-Paul II faisait partie du Rotary club : Armando Corona, grand maître de la maçonnerie italienne en 1986 a dit, dans la revue officielle du Rotary italien du 9 septembre 1986, après avoir exalté « les valeurs spirituelles communes à la maçonnerie et aux Rotary Clubs », que l’excommunication à l’égard de la maçonnerie a disparu et en même temps les interdits canoniques à l’égard des Rotary clubs. Il affirme ensuite que « le pape Jean-Paul II lui-même est un Paul Harris fellow » (c’est-à-dire un rotarien). Cela n’a pas été démenti (à la connaissance du juge Agnoli, édité au Courrier de Rome). Le pape Jean-Paul II a reçu à plusieurs reprises les rotariens au Vatican et il a loué les principes de leur association. Pourtant le Père Pirri, jésuite, a dit : « le Rotary ne diffère absolument pas de la Franc-maçonnerie. » (source)
Jean-Paul II a élevé au rang de cardinal deux personnages officiellement francs-maçons, d’après la liste Pecorelli : Fiorenzo Angelini et Virgilio Noé. (source)
Non seulement on constate des indices de franc-maçonnerie chez Jean-Paul II mais aussi des indices de satanisme. Jean-Paul II a fait ce signe, soi-disant pour plaisanter, mais en fait, ce geste est très connoté :
On peut voir que ce signe est prisé par Lady Gaga :
Ici Lady Gaga le fait en dehors de l’œil.
Serge Lama qui avait fait pourtant dans sa jeunesse une chanson à la sainte Vierge
et sur la crise de l’Église le fait aussi. Son discours a changé à présent. Il est devenu mauvais.
Prions pour lui.
Jean-Paul II utilisait aussi, à la suite de Paul VI, la croix tordue, emblème de sorcellerie :
Pour en savoir plus sur cet art expressionniste religieux qui a été condamné en son temps par Benoît XV, lire cet article bien documenté avec Google traduction (nombreuses photos) : http://www.traditioninaction.org/HotTopics/c031_Cross.htm
Photo provenant de PAUL VI… bienheureux ? par Don Luigi Villa
La Croix tordue ?
Pour répondre à cette question, nous revenons à un auteur catholique, Piers Compton, et ce qu’il écrit dans son livre “The Broken Cross: Hidden Hand in the Vatican”, Channel Islands, Neville Spearman, 1981.
Ce crucifix tordu est un symbole sinistre, utilisée par les satanistes, au sixième siècle, qui a été repris au moment de Vatican II. Ce fut une croix tordue ou cassée, sur laquelle figurait un personnage répugnant et déformé du Christ. Les sorciers noirs et les sorcières du Moyen Âge en avaient fait usage pour représenter la “Marque de la Bête”.
Source : http://www.paperblog.fr/5432285/l-etoile-a-cinq-branches-la-croix-tordue-paul-vi-et-la-franc-maconnerie/#Otw3HAFA1kQCYDWl.99
Jean-Paul II a même siégé sur un trône avec une croix inversée (signe sataniste) dessinée dans le dossier. Il a porté aussi des ornements avec une croix inversée.
Source des images ci-dessous (Most holy Family Monastery) :
« The instruction of the popes
Various popes have also told us that popes can err from the Faith and should then be resisted.
Pope Innocent III († 1216) stated that a pope can “wither away into heresy” and “not believe” the Faith.
“The pope should not flatter himself about his power, nor should he rashly glory in his honour and high estate, because the less he is judged by man, the more he is judged by God. Still the less can the Roman Pontiff glory, because he can be judged by men, or rather, can be shown to be already judged, if for example he should wither away into heresy, because “he who does not believe is already judged.” (St. John 3:18) In such a case it should be said of him: ‘If salt should lose its savour, it is good for nothing but to be cast out and trampled under foot by men.’” (Sermo 4)
Pope Adrian VI († 1523) stated that “it is beyond question” that a pope can “err in matters touching the Faith”, he can “teach heresy” in decrees. He also stated “many Roman Pontiffs were heretics”.
“If by the Roman Church you mean its head or pontiff, it is beyond question that he can err even in matters touching the faith. He does this when he teaches heresy by his own judgement or decretal. In truth, many Roman pontiffs were heretics. The last of them was Pope John XXII († 1334).” (Quaest. in IV Sent.; quoted in Viollet, Papal Infallibility and the Syllabus, 1908).*
(* According to the 1907 Catholic Encyclopedia, this work was published in 1512 from the notes of his student and without his supervision, but as it saw “many editions” it would appear that the pope did not repudiate the passage as not his own, in a work attributed to him.)
Venerable Pope Pius IX († 1878) recognised the danger that a future pope would be a heretic and “teach contrary to the Catholic Faith”, and he instructed, “do not follow him.”
“If a future pope teaches anything contrary to the Catholic Faith, do not follow him.” (Letter to Bishop Brizen)
Pope Adrian II († 872) admitted that papal heresy “renders lawful the resistance of subordinates to their superiors, and their rejection of the latter’s pernicious teachings.”
“We read that the Roman Pontiff has always possessed authority to pass judgment on the heads of all the Churches (i.e., the patriarchs and bishops), but nowhere do we read that he has been the subject of judgment by others. It is true that Honorius was posthumously anathematised by the Eastern churches, but it must be borne in mind that he had been accused of heresy, the only offence which renders lawful the resistance of subordinates to their superiors, and their rejection of the latter’s pernicious teachings”.
However, I must disagree with Pope Adrian when he said that heresy was the only offence that justified resistance: the Saints and Doctors have informed us otherwise, as we shall see.
Further, Pope Honorius I († 638) was not merely “accused of heresy” or “anathematised by the Eastern Churches”: he was anathematised as a heretic by the ecumenical Council of III Constantinople, whose Acts were confirmed by Pope Leo II († 683).
“We foresaw that, together with them, also Honorius, before Pope of Old Rome, is cast out of the Holy Catholic Church of God and anathematized, for we have found by his writings sent to [the heretic] Sergius, that he followed the thinking of the latter in everything, and continued his impious principles. […] To Sergius, the heretic, anathema! To Cyrus, the heretic, anathema! To Honorius, the heretic, anathema!”
So we see that popes have told us that a pope can “wither away into heresy” and “not believe” the Faith; that “it is beyond question” that a pope can “err in matters touching the Faith”, he can “teach heresy” in decrees; that “many Roman Pontiffs were heretics”; that a pope may be a heretic and “teach […] contrary to the Catholic Faith”, in which case we are to follow the instruction “do not follow him”; and that papal heresy “renders lawful the resistance of subordinates to their superiors, and their rejection of the latter’s pernicious teachings.” »
* * *
Traduction (nos notes en vert) :
1ère déformation du texte !
« Le Pontife pourrait être jugé par les hommes ou plutôt être montré comme jugé,
s’il arrivait qu’il s’évanouisse dans l’hérésie, car « celui qui ne croit pas est déjà jugé » (Jn.3,18). »
(Innocent III, sermon 4 pour l’anniv. de sa consecr. pontif.)
Il faut donc une condition. La voici :
S’il arrivait qu’il s’évanouisse dans l’hérésie
Innocent III – Sermon 4 – L’hérésie subjective ou formelle qui se présente dans le cas d’un refus obstiné ou d’un doute concernant ce que l’on sait être d’enseignement officiel du Magistère, est indispensable pour que l’on soit considéré comme hérétique formel. Si c’était le cas d’un pape, il cesserait d’être pape. “Si jamais un pape, en tant que personne privée, tombait dans l’hérésie, il serait tout de suite déchu du pontificat.” – St. Alphonse de Liguori, Œuvres Complètes. 9:232.
“Un pape manifestement hérétique cesse automatiquement d’être Pape et tête de l’Église tout comme il cesse automatiquement d’être chrétien et membre de l’Église, il peut donc subir jugement et peine de la part de l’Église. Tel est l’enseignement de tous les anciens Pères de l’Église qui enseignent que les hérétiques manifestes perdent immédiatement toute juridiction”. St Robert Bellarmin, De Romano Pontifice, II.30.
Ce texte, même s’il est signalé au titre des « œuvres » du pontife, après examen très attentif, ne se trouve pas en effet cité dans le Magnum Bullarium Romanum de Cherubini.
D’après les recherches de l’abbé Zins, cette citation provient d’un ouvrage mis l’index par l’Église.
(voir la note “Rappel” ci-dessous !)
(idem…voir la note “Rappel” ci-dessous !)
Les théories des ennemis de l’Église à propos des Papes Vigile, Honorius ou saint Libère ont été réfutées par les meilleurs historiens catholiques…
(idem…voir la note “Rappel” ci-dessous !)
Ainsi qu’on le voit…l’auteur anglo-saxon de ces lignes est un faussaire !
Rappel :
Face aux hérésies et au modernisme des prétendus « papes » qui se succèdent sur la chaire de Pierre depuis Vatican II (Paul VI, J-P II et Benoît XVI), certains prétendent qu’il est possible que le Vicaire du Christ puisse tomber dans l’hérésie. Ainsi, pour tâcher de prouver ses dires, l’abbé Boulet (F$$PX) dans une de ses études en 2004 se base essentiellement sur des propos qu’aurait tenus le Pape Adrien VI († 1523). Le site LaQuestion vient récemment d’y faire référence afin de réfuter la position « sédévacantiste ». Voici cette fameuse citation :
« Si dans l’Église Romaine, on considère la tête ou le pontife, il est hors de question qu’un Pape peut errer dans les domaines touchant à la foi. Il le fait quand il enseigne une hérésie par son jugement propre ou par ses décrets. En vérité, beaucoup de Pontifes Romains ont été hérétiques. Le dernier en date était le Pape Jean XXII (†1334). »
Nous pouvons constater que l’abbé Boulet – tout comme le site LaQuestion – n’indique aucune source. Faut-il s’en étonner ? Non, car d’après les recherches de l’abbé Zins, cette citation provient d’un ouvrage mis l’index par l’Église. La source exacte de cette citation du pape Adrien VI est celle-ci : Quaest. in IV Sent. ; cité in Viollet, L’infaillibilité pontificale et le Syllabus :
Par ailleurs, l’abbé Belmont réagit à l’époque en écrivant un article dans son bulletin Notre-Dame de la Sainte Espérance, (n° 219) :
« En vérité, c’est chez les ennemis de l’Église qu’on trouve citée cette (prétendue) déclaration d’Adrien VI. Ainsi dans la justification des évêques schismatiques d’Utrecht :
« Déclaration des évêques de Hollande adressée à toute l’Église catholique et acte d’appel des bulles d’excommunication lancées contre eux par Léon XII les 25 août 1825 et 13 janvier 1826 ». En vérité, ces révoltés ne mettent pas dans la bouche d’Adrien VI le nom de Jean XXII, que l’auteur canadien place [sans vergogne] à l’intérieur de ses guillemets.
On trouve encore le texte latin de cette « citation » dans une histoire protestante des dogmes chrétiens (celle d’Eugène Haag) et ce texte latin porte : plures enim fuerunt pontifices romani hæritici, ce qui en vérité veut dire plusieurs, et non pas beaucoup.
En vérité, on retrouve cette citation chez les gallicans de tout poil, trop contents de l’aubaine.
En vérité, aucun de ceux qui citent ce texte ne fait référence à un acte pontifical. Il semble plutôt qu’ils l’attribuent à un livre publié par Adrien VI (Adriaan Florensz) De ministro Confirmationis (sent. iv, art. 3) que d’ailleurs ils citent de seconde main (au mieux) à travers l’historien Jean de Launoi, qui fut le maître ès gallicanismes de Bossuet au collège de Navarre, et un précurseur des encyclopédistes.
Pour ma part, je n’ai rien trouvé de semblable ni d’approchant dans mon Grand Bullaire Romain. »
Mais ce n’est pas tout. L’abbé Boulet et le site LaQuestion tentent de nous faire croire que « le Bienheureux (sic!) Pape Pie IX (†1878) a reconnu le danger qu’un pape soit hérétique et « enseigne (…) contrairement à la foi Catholique », et il a ordonné: « ne le suivez pas ». Il dit encore : « si, dans le futur, un pape enseigne quoi que ce soit contre la foi Catholique, ne le suivez pas. » (Lettre à Mgr. Brizen). »
Étonnante déclaration du Pape qui a promulgué le dogme de l’infaillibilité pontificale ! Il s’agirait d’une lettre que le pape Pie IX aurait adressée à un certain Mgr Brizen. Là encore, aucune référence donnée. Rien d’étonnant puisque, après de longues recherches, nous ne trouvons aucune trace d’un Mgr Brizen au XIX° siècle ! En revanche, sous le pontificat de Pie IX, un diocèse portait comme nom « Brixen », diocèse ayant eu deux évêques : Mgr Bernhard Galura (év. de 1829 à 1856) et Mgr Vinzenz Gasser (év. de 1856 à 1879).
M. l’abbé Belmont :
« En vérité, le Canadien, qui prend ce texte à son compte, ne cite pas un seul fait : ce serait dangereux, ses lecteurs pourraient aller vérifier ; on est prié de le croire sur parole. Voilà quelqu’un qui insulte l’Église, et il voudrait qu’on le croie sur sa seule parole. C’est une sorte de cléricalisme à rebours.
Non seulement ce serait dangereux de citer un nom, mais il faudrait aussi en être capable. Les théories des ennemis de l’Église à propos des Papes Vigile, Honorius ou saint Libère ont été réfutées par les meilleurs historiens catholiques, en particulier par Dom Guéranger (La Monarchie pontificale ou encore Défense de la sainte Église romaine). Quant à Jean XXII (le Pape qui a canonisé saint Thomas d’Aquin), il s’agit d’un fameux sermon qui mit la chrétienté en feu, mais qu’on ne peut déclarer hérétique, sinon par anachronisme.
L’auteur canadien appartient à ces gens pour lesquels la théologie consiste à tenter de prendre leur Mère en défaut, je veux dire à chercher (et à prétendre trouver) des exemples historiques dans lesquels l’Église se serait trompée, afin d’y découvrir un prétexte à faire ce que bon leur semble – c’est-à-dire n’importe quoi. Ce n’est pas de la théologie, c’est de l’impiété.
Tout cela est malhonnête et d’une nullité affligeante.
Voici un exemple de cette nullité : le « Mgr Brizen », appelé au secours comme destinataire d’une lettre de Pie IX, n’existe pas. Il s’agit de Mgr Vincenz Gasser (1809-1856-1879) prince-évêque de Brixen ou Bressanone (Tyrol du sud, aujourd’hui en Italie). Et la lettre que Pie IX est censé lui avoir adressée est inconnue au bataillon : serait-elle, elle aussi, le fruit d’un cauchemar qui a impressionné un esprit faible ? »
Notre-Dame de la Sainte Espérance, (n° 219)
Affligeant ! Aller chercher des prétendues déclarations chez les ennemis de l’Église ou en inventer pour crédibiliser des thèses fausses, voilà où mène le combat de ceux qui rejettent coûte que coûte la position catholique dite sédévacantiste !
« Un Pape peut enseigner des hérésies » nous dit-on. Non ! Aucune déclaration sérieuse de Papes ou de docteurs de l’Église ne peut être trouvée en faveur de cette affirmation car le Pape « est toujours pur de toute erreur doctrinal […] sa foi est à jamais indéfectible » (Constitution dogmatique Pastor Aeternus – Concile Vatican [le 1 est superflu !!!]).
Documents à télécharger en pdf :
- Télécharger l’article en PDF
- Télécharger l’article de « Avec l’Immaculé » : Quand »Avec-l’Immaculée » découvre l’Eau-Chaude !!!
- Télécharger le dossier de Abbé Luigi Villa : Paul VI bienheureux ?
- Télécharger le dossier de Clément Lecuyer : Karol Józef Wojtyla, un antichrist « béatifié » par les siens
- Télécharger le dossier de Clément Lecuyer : Le Pape Adrien VI et l’infaillibilité pontificale les mensonges du blog La Question
* * *
À suivre… avec un article intitulé « contre-poison » afin de pouvoir répondre aux criminelles et sacrilèges allégations des prêtres traditionalistes (et anti-ralliéristes !) de la Fraternité.
Le surréalisme de l’Abbé Arnold Trauner (f$$px – sédévac pratic’)
Dans cet article qui relève du surréalisme le plus absolu, l’Abbé Trauner invente de nouveaux concepts afin de donner une “ligne de conduite” à tous ceux qui, dans la Fraternité St Pie X veulent rester fidèles à la ligne de conduite de Mgr Lefebvre. Nous avons commenté en vert, surligné ou souligné tous les passages qui nous paraissent les plus significatifs de ce rêve éveillé traditionaliste. Chacun jugera ensuite en conscience, mais malgré cette nouvelle posture, aux formes séduisantes et intransigeantes (en apparence) l’on est légitimement en droit de redouter qu’il n’y ait aucun changement de “substance doctrinale” au sein de la FSSPX et ses différentes chapelles d’opposition. Lorsqu’un arbre est empoisonné et se meurt, ce sont toutes les branches qui sont malades et finissent tôt ou tard par mourir…
Pierre Legrand
L’abbé Trauner explique ses raisons de
quitter la Fraternité
Pour un « sédévacantisme pratique »
définition et application de ce concept
L’abbé Trauner, explique plusieurs points importants de la situation actuelle de l’Église et de la Fraternité saint Pie X et donne une ligne de conduite. (Pragmatisme, quand tu nous tiens…) Cette ligne de conduite est-elle révolutionnaire et schismatique (sic!) ou bien la sagesse même (sagesse toute humaine) ? Cette ligne de conduite est-elle différente de ce que Mgr Lefebvre prêchait à la fin de sa vie ? (poser la question, c’est y répondre !)
Mais voici la réponse qui ne tarde pas ! :
Avec l’Immaculée (1) pense que cette vision est très sage et ne diverge en rien de la ligne de Mgr Lefebvre dans son Itinéraire spirituel : « C’est donc un devoir strict pour tout prêtre voulant demeurer catholique de se séparer (une séparation c’est différent d’un divorce !) de cette Eglise conciliaire (vous noterez le E majuscule !!! Blasphématoire !), tant qu’elle ne retrouvera pas la tradition du Magistère de l’Église et de la foi catholique. » (Itinéraire spirituel, 1990, p. 29). Il s’agit de rester séparés entièrement de Rome tant qu’elle n’a pas donné des preuves fortes et évidentes de sa conversion entière… (Nous y voilà ! les mêmes erreurs engendrent les mêmes conséquences, y compris sémantiques) Cependant, l’abbé Trauner donne à cette attitude un nom qui peut faire peur (Ah ! et pour quelle raison ? devinez…) à certains : le sédévacantisme pratique. (Car nous allons le voir plus loin, il s’agit d’un leurre puisque le sédévacantisme “pratique” est un faux sédévacantisme !!!)
Définissons le sédévacantisme pratique. Est-ce un sédévacantisme doctrinal (qui s’oppose donc au sédévacantisme “pratique” !) déguisé ? (nous savons que tout déguisement dans la Sainte Église est le signe du démon, symbole du loup déguisé en agneau…) Cela veut-il dire que nous considérons que le pape n’est pas le pape ? Non, cela ne veut pas dire cela. Sur le plan doctrinal (sic!), nous ne voulons pas trancher ce problème théologique qui sera tranché plus tard par le saint pape qui reviendra après cette crise, quand la Russie sera consacrée et convertie. En attendant, nous suivons sur ce point de doctrine la fameuse lettre du 28 février 2009 de Mgr Tissier de Mallerais à l’abbé Schoonbroodt (2) :
Cher Monsieur le Curé, j’admets très bien qu’un prêtre, que des fidèles, aient des doutes sur la validité d’un pape tel que Jean-Paul II ou Benoît XVI ; Mgr Lefebvre n’en a-t-il pas eu parfois ? Mais pas plus que notre vénéré fondateur, je ne veux faire de ce doute légitime (faux-cul clérical qui se retranche derrière son fondateur !) un cheval de bataille ou une justification (ainsi sommes-nous heureux d’apprendre que l’attitude “pratique” de ce prélat n’a en fait aucune justification !) de mon action. Mon action se fonde toute entière sur le devoir du combat de la foi, selon saint Paul. (Et par voie de conséquence le devoir du combat de la foi, lui aussi, n’a qu’une justification “pratique” et hiérarchique – l’obéissance au fondateur – mais aucune justification doctrinale ! Aveugles conducteurs d’aveugles….)
Donc le sédévacantisme pratique n’est pas un sédévacantisme théorique (entre temps on évacue le terme “doctrinal” trop compromettant) déguisé. D’ailleurs, Avec l’Immaculée pense qu’il est beaucoup plus probable (que voilà une saine théologie !) que François soit pape et le considère comme tel, malgré ses hérésies… ( !!! donc rien de substantiellement différent sur le fond avec ceux qui, dans la FSSPX, veulent continuer à dialoguer avec Rome)
Ce qui est important, c’est de savoir quelle attitude avoir vis-à-vis de Rome en attendant sa conversion. En effet, que le pape soit le pape ou qu’il ne le soit pas, notre attitude doit être strictement la même : nullam partem avec les hérétiques. (Cette pensée véritablement monstrueuse montre à quel point ces clercs sont rigoureusement incapables d’abandonner les erreurs mortelles de leur secte schismatique !) Nullam partem, c’est-à-dire : « n’avoir aucune part ». « Aucune part » (mais si Rome est, malgré tout, restée catholique – hypothèse non niée absolument –, cette attitude est Impossible précisément à un catholique qui doit rester soumis au Pontife Romain ; ces clercs jouent leur sacerdoce et leur salut au poker !!! c’est dramatique !) : c’est-à-dire non seulement n’avoir aucun accord pratique avec Rome mais aussi n’avoir aucune discussion, aucune relation, tant que Rome n’a pas donné des signes de conversion multiples et évidents qui consisteront en :
— l’abrogation solennelle de Vatican II, du nouveau Magistère, de la nouvelle Messe (3), des nouveaux rites des sacrements, du nouveau Notre-Père, des nouveaux exorcismes etc. (rêvez messieurs les clercs… mais pendant que vous rêvez les apostats entraînent des millions d’âme dans la perdition…)
— le retour à la messe de saint Pie V (et non à une messe hybride “façon abbé Célier”) (4). Retour à tous les anciens rituels et anciennes prières et à l’ancien magistère. (Retour sous Pie XII (5) ou St Pie V, ??!…)
— condamnation des réunions d’Assise et de toutes les réunions interreligieuses, la condamnation de l’Islam, du protestantisme et des autres fausses religions,
— la réhabilitation du serment anti-moderniste, (et que faites-vous de votre propre serment secret au sein même de votre fraternité ?)
— l’abrogation du nouveau code de droit canon et le retour à l’ancien,
— le renvoi de la totalité de la Curie romaine et son remplacement en totalité par des personnes appartenant à la tradition sans compromission etc. (Ah….que de bonnes places à prendre en perspective….!)
— Et bien évidemment, le signe final : consécration de toute urgence de la Russie au Cœur Immaculé de Marie, en union avec les évêques (lesquels ???!) du monde entier (???) dont beaucoup seront renvoyés (sic!) auparavant. Tous ceux qui refuseraient de faire correctement cette consécration seraient également immédiatement chassés ainsi que tous ceux qui refuseraient les réformes ci-dessus. (Allez ! tout le monde dehors !!! eh bien il est à craindre qu’il ne reste plus personne dans l’Église église Conciliaire !!!!!)
Pourquoi exiger ces conditions ? Parce que la sainte Vierge nous enseigne dans les règles du discernement des esprits qu’elle a donné à saint Ignace : on ne dialogue pas, on ne discute pas avec le démon. (Donc Rome EST le démon et le “pape” son grand prêtre !) Et l’histoire depuis 40 ans nous a confirmé ce sage (sic!) conseil : à chaque fois que la Fraternité ou un groupement de la Tradition a discuté avec Rome, il (lui) a fallu signer des ambiguïtés ou des erreurs graves et cela c’est toujours terminé par l’affaiblissement de la Tradition au profit de la Rome conciliaire qui récupérait une partie des nôtres. (Qui ne le sont donc plus ! faut-il rire ou pleurer ? on atteint le sommet du grotesque de la pensée cléricale…)
Les enfants de lumière, naïfs et candides, (vous ne nous le faites pas dire messieurs les clercs !!!) ne sont pas de taille (ah ça non ! cet article en est la meilleure démonstration !) à lutter avec des francs-maçons rompus à toutes les ruses. La seule façon d’être protégés d’eux, c’est de couper entièrement les ponts tant qu’ils n’auront pas donné les signes de conversion (nous y revoilà ! le malade revient à son vomissement !) énoncés ci-dessus. Sinon, c’est sûr que nous nous ferons encore tromper. (Pour être sûr, C’est Sûr !)
Il en va de nos discussions avec Rome comme du démon (savourez…savourez….) :
Rome et le démon sont comme un gros chien féroce attaché à un pieu. Ils n’ont pas le pouvoir de nous nuire tant que nous restons hors de leur portée en fuyant les occasions de péché et les discussions. Ils peuvent juste nous attirer de loin par les tentations, les appels enjôleurs et faussement amicaux. Si nous n’y prêtons pas l’oreille, rien ne nous arrivera. (Ces laïcs et ces clercs sont non seulement aveugles mais téméraires et imprudents : ce sont des vierges folles !) ; si nous faisons comme Ève, que nous nous rapprochons et que nous commençons à discuter avec le serpent sous apparence de bien, « pour le convertir » (alors comment faire pour convertir les autres démons que sont les “papes de Rome” si l’on ne peut discuter avec eux ??? Quel mystère !), nous sommes perdus. (Hélas, c’est à craindre !) Dieu nous retirera sa protection et livrés à nos propres forces, nous ne ferons pas le poids contre les forces des ténèbres. (Ça c’est sûr !)
L’abbé Trauner affirme aussi clairement que ce serait un péché (à cause de son schisme ?!) pour les prêtres de rester plus longtemps dans la Fraternité saint Pie X sans rien dire publiquement. (Eh ! oui en effet c’est impossible ! comme de se dire publiquement non una cum !…) C’est aussi ce que nous pensons.
Nous, fidèles, avons des problèmes de conscience graves à rester en communio in sacris (aller à la même messe et recevoir les sacrements) avec des gens qui trouvent que la Déclaration doctrinale du 15 avril n’a rien de mauvais (6). Tous ceux qui pensent cela sont en fait des Ecclesia Dei. (Quelle merveilleuse trouvaille mesdames et messieurs les abbés d’Avec L’Immaculée ! c’est pour nous dire ça que vous avez quitté la Frat ?!) Mgr Lefebvre disait que nous ne pouvions pas être en communio in sacris avec les Ecclesia Dei à cause, non de leur liturgie (qui est bonne), mais de leurs idées. (Ce qui ne veut pas dire que les vôtres sont meilleures, messieurs…) Or, Mgr Fellay et tous les prêtres qui soutiennent la DQA sont de parfaits Ecclesia Dei, dans les idées. (Nous sommes heureux de l’apprendre !)
Quant à Mgr Tissier, Fr Morgan et l’abbé de Cacqueray, ils nous disent que la DQA était mauvaise mais en même temps, ils condamnent ceux qui la combattent… (allez comprendre en effet !!! ) Ils soutiennent Mgr Fellay qui trouve bonne cette infâme déclaration. (Il l’a défendue dans le Cor Unum 104). Et ils applaudissent à la déclaration du 27 juin 2013 qui n’ose même pas réaffirmer que la nouvelle messe est illégitime (“invalide” vous écorcherait sans doute votre cléricale bouche !?) et qui réaffirme par contre le principe d’un accord pratique avec Rome… (Comme c’est amusant ! je viens de m’apercevoir que tout est Pratique dans la Fraternité !!!)
Mgr Tissier, l’abbé de Cacqueray et Fr Morgan sont donc d’accord avec le principe (??? pratique ?!) d’un accord avec un hérétique, François, qui souhaite que le Ramadan apporte beaucoup de fruits spirituels (mais pas de grâces ??? ) aux musulmans (à Lampedusa), qui affirme au discours du pré-conclave qu’il est mondain d’affirmer que l’Église catholique détient la vérité (c’est vrai ça, ça ne se fait plus !), et qui ne croit pas en la multiplication des pains ! (quand je vous dis que la secte conciliaire finira par mourir de faim !!!) Et pour se dédouaner de cette accusation, l’abbé de Cacqueray dit que si François concluait un accord avec nous en nous autorisant à le critiquer, (petite question en passant : François Bergoglio est-il maso ???) cela signifierait qu’il est converti ! Cela suffit ! Assez de bêtises ! (ah oui alors !!) Cette affirmation est tellement naïve (tu l’as dit et tu en as dit aussi d’autres !) et enfantine qu’on a peine à croire en la sincérité (un critère moral de premier choix…) de celui qui profère ces énormités… (Tout le problème est là !!!)
Le salut est donc dans la fuite. (Ah oui ! réflexion faite, après avoir lu tout ça, je n’ai qu’une envie moi aussi : Prendre la Fuite !) Nous demandons instamment à nos bons (sic!) prêtres de faire de nouveaux centres (una cum ? ou non una cum ?) de messe. (Ainsi la boucle est bouclée chers abbés… vous allez redevenir ce que vous n’avez jamais cessé d’être : des distributeurs schismatiques de sacrements !!! Dieu jugera. Oremus.)
Source de cette Pièce d’anthologie : http://aveclimmaculee.blogspot.fr/2013/08/labbe-trauner-explique-ses-raisons-de.html
Et c’est avec ça qu’ils veulent « sauver ce qu’il est encore possible de sauver de la Fraternité », les pÔvres…
F$$PX : Voie sans issue !!!
* * *
La Sapinière – LaSapiniere.info
le 9 août 2013
« Je suis l’appel à quitter ma maison spirituelle »
— Abbé Arnold Trauner FSSPX
[1] Ndlr : Site d’opposition au ralliement de la F$$PX créé au mois d’août 2012 (avec comme but de “sauver ce qu’il est encore possible de sauver de la Fraternité” (!!!) ) par une transfuge du Forum de la GentilLoup : “Un évêque s’est levé”, créé lui aussi en d’opposition au ralliement de la F$$PX en juillet 2012 par une ancienne de FECIT et du FC.
Tous ces « sites d’opposition au ralliement » (de la F$$PX) ont comme point commun la « tare » (congénitale) de la Frat’…à savoir : la peur du “sédévacantisme” ; les graves erreurs – hérésies – concernant le Magistère de l’Église et la juridiction universelle du pape ; le fait que le Pape peut “se tromper” ou enseigner “l’erreur” ! Etc. etc. etc…
Ils ne veulent rien changer quant à la position de la F$$PX. Ils veulent seulement en changer la tête !…
[2] Ndlr : Ils savent utiliser le sédévacantiste curé Schoonbroodt lorsque c’est à leur avantage… Source VM qui plus est ! http://virgo-maria.info/wordpress/2009/06/20/mgr-tissier-fsspx-avoue-quil-existe-un-doute-legitime-sur-la-validite-dun-pape-tel-que-benoit-xvi/
[3] Ndlr : Remarquez le “M” majuscule à messe, comme si la “nouvelle messe” (synaxe)* était la sainte Messe !…
*Définition : Synaxe – Église Catholique [Conciliaire] en France :
www.eglise.catholique.fr/ressources-annuaires/lexique/definition.html?…?
Synaxe. du grec sunaxis : réunion liturgique. Assemblée des fidèles réunis pour la prière.
[4] Ndlr : « Pipaule » (Pie-Paul) : Virgo-Maria N° 226 : http://www.virgo-maria.org/articles_HTML/2007/002_2007/VM-2007-02-25/VM-2007-02-25-B-00-Revolution_liturgique_des_infiltres_V2.htm
[5] Ndlr : Pie XII versus Bugnini (1962) ou vs 1950 ?
[6] Ndlr : Et être en communio in sacris avec l’« una cum fámulo tuo Papa nostro Franciscus » ? Voir : Le problème de l’Una cum