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Venir ou (RE)VENIR À L’ESSENTIEL
Urgence Absolue : (re)Venir à l’Essentiel !!!
Le monde, sous le règne du Prince de l’Enfer, est au bord du gouffre.
Bientôt la T. S. Vierge ne pourra plus retenir le bras de Son Fils et les châtiments vont s’abattre sur le monde avec une intensité toute particulière. Seuls les sacrifices d’oblation pure peuvent encore retarder cette terrible échéance. Nous serons sévèrement jugés sur les choix que nous aurons faits et l’ignorance n’est déjà plus de mise parmi nous. Tout ce que nous bâtirons ou subirons sur les ruines de Satan nous sera compté pour rien dans l’économie de notre salut. Refusons, même au prix des plus grands sacrifices, toute mystification et ne permettons pas que Satan vienne aussi « visiter » notre maison !
Pierre Legrand
Lundi de Pâques, 28 mars de l’An de grâce 2016.
Chers amis lecteurs,
Les saintes fêtes de Pâques ont revivifié notre foi et nous ont fait sans doute prendre quelques bonnes résolutions pour la plus grande gloire de Dieu.
S’il est bien un point où nous devons rester très fermes dans la foi, c’est bien celui de la liturgie sacrificielle, trésor éminemment catholique et qui ne se retrouve dans aucune autre religion même chrétienne.
Aussi nous ne saurions trop conseiller en cette période pascale de relire et relire l’étude magistrale de Phazaël (en réalité un nom collectif) intitulé « La nouvelle messe, sacrifice de Caïn ».
QUIS UT ECCLESIA ! ! !
Notre dernier article, « Vatican D’Eux : canonisations, béatifications, synode & Cie… » a entraîné une Disputatio effrénée suite à la « contestation » du fait que je disais que « pour nous », Fidèles semper idem, il ne s’était RIEN passé dans l’Église catholique le week-end dernier alors que la secte « église Conciliaire » concluait en ce « Dimanche des conviés aux noces » ses parodies de béatification et de synode et que « pour nous », Fidèles semper idem… ce dimanche 19 octobre, n’était pas un jour de tristesse, jour de deuil…marqué malheureusement d’une pierre noire !…
Le premier a avoir “ouvert les hostilités” étant « Alexandre » (lien permanent), c’est lui le premier visé (mais c’est valable aussi pour tous les contradicteurs) par la très bonne réponse que nous donne notre cher correspondant « Omnibus Orthodoxis atque Catholicae, et Apostolicae Fidei Cultoribus ». (lien permanent) :
Quis Ut Ecclesia ! ! !
Ou le monde perdu d’Alexandre le bienheureux qui s’attriste que Michou soit sur la table conciliaire et nous fait consterner une drolatique fâcheuse petite crise nerveuse.
Alexandre s’attriste et moi paraphrasant Saint Paul, je me réjouis qu’ils ne fassent pas plus de progrès dans la déchéance, espérant toutefois que leurs égarements insensés soient prochainement vraiment flagrants pour tous … c’est pas gagné … avec Fellay l’Iscariote !
Première homélie de papeFrançois…
Lors de son premier sermon à la chapelle Sixtine, le 14 mars 2013, le « pape » conciliaire n’a fait référence qu’à une seule personne : N-S ? la TSVM ? un évangéliste ? un saint ? un pape ?
NON : à Léon Bloy. De même en recevant les journalistes le lendemain il fait de nouveau référence à Léon Bloy.
* * *
Première homélie du pape François : l’Église n’est pas une ONG philanthropique
Avec, en prime, une citation de Léon Bloy !
Extrait de l’homélie décapante du pape François :
« Cheminer, édifier, confesser. La première chose que Dieu dit à Abraham : Marche en ma présence et sois parfait. Donc la vie est un voyage et lorsqu’on s’arrête, plus rien ne va. Il ne faut pas cesser d’avancer en la présence du Seigneur, dans la lumière du Seigneur, en essayant de vivre avec la qualité irréprochable que Dieu demanda à Abraham. Édifier ! Pour construire l’Église, il est question de pierres, mais de pierres qui ont une consistance, de pierres vivantes, bénies par l’Esprit en vue de bâtir l’Église, l’Épouse du Christ, dont la pierre angulaire est le Seigneur en personne. Le troisième point est confesser. Nous pouvons marcher tant que nous le voulons, construire un tas de choses, mais si nous ne confessons pas Jésus Christ, rien ne va. Nous deviendrions une philanthropique ONG mais non l’Église, l’Épouse du Seigneur. Si on ne bâtit pas sur la roche il arrive ce qu’il arrive aux enfants sur la plage avec leurs châteaux de sable. Sans consistance, ils s’effondrent. »
Puis le pape François a cité une phrase de Léon Bloy à propos de qui ne confesse pas Jésus Christ :
« Celui qui ne prie pas Dieu, prie pour le Diable, car qui ne confesse pas le Christ confesse la mondanité du Diable… Marcher, construire et confesser aujourd’hui n’est pas si facile, parce qu’il y a des secousses, des mouvements de terrains et des tractions arrière.
Le passage de l’Évangile proposé dans la liturgie se poursuit avec une situation particulière. Le même Pierre qui a confessé en Jésus le Christ, réplique : Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant. Je te suivrai, mais pas sans parler de croix. Que cela voudrait-il dire sans la croix ? Quand nous marchons sans la croix, quand on construit sans la croix et quand nous confessons le Christ sans croix, nous ne sommes pas les disciples du Seigneur mais des serviteurs de ce monde. Nous sommes des évêques et des prêtres, des cardinaux et des papes, mais pas les disciples du Seigneur ! Je voudrais qu’après ces jours de grâce nous ayons tous le courage, simplement le courage, de marcher en présence du Seigneur, avec la croix du Seigneur, d’édifier l’Église sur le sang du Seigneur, qui est a été versé sur la croix, et de confesser la gloire du Christ crucifié. Ainsi seulement l’Église ira de l’avant. J’espère pour chacun d’entre nous que l’action de l’Esprit, la prière de Marie, notre Mère, nous accorde cette grâce de marche, de construire et de confesser Jésus, le Christ crucifié. »
Sur YouTube : http://www.youtube.com/watch?v=QI6d6bb-R0k
Est-ce un message « aux initiés » ?
Toujours est-il qu’il est bon de ressortir ce livre qui explique qui est Léon Bloy.
On lira le conclusion avec grand intérêt.
Un Prophète Luciférien Léon Bloy
Raymond Barbeau
Aubier, éditions Montaigne, Paris, 1957
Son mysticisme eschatologique et son symbolisme caché, dépouillés d’un style amphigourique à souhait, se résumaient en quelques idées-mères qui renouaient sournoisement, – à l’intérieur même de l’Église, – par leur base et leur conclusion avec toute une tradition ésotérique, maçonnique, initiatique, théosophique, manichéenne et gnostique. Léon Bloy, par son secret, récapitulait les données fondamentales des divers courants martinistes, caïnites, rosicruciens, kabbalistiques, anthroposophiques, spirites, swedenborgistes, paraclétistes, trinosophiques, lucifériens, hermétistes et satanistes du XIXe siècle.
Notre intention, en publiant aujourd’hui cette étude, n’est pas de vouloir soutenir un paradoxe sur ce que Léon Bloy a pu croire, mais seulement d’exposer, aussi loyalement que possible, sa pensée réelle,– telle qu’il aurait dû la faire connaître lui-même, – à la lumière de textes totalement inaperçus ou indéchiffrés, sinon camouflés, jusqu’à ce jour par des dizaines de commentateurs qui ont accepté la légende du Bloy catholique alors qu’indiscutablement il fut le Prophète de Lucifer. L’heure est venue de répondre à cette accusation : « J’ai la sensation nette que tout le monde se trompe, que tout le monde est trompé, que l’esprit humain est tombé dans les plus épaisses ténèbres »[1]. Nous verrons par qui et par quoi « tout le monde est trompé ».
Dans le conclusion :
Son mysticisme s’ouvre sur un monde où le mystère divin, se dégradant en mythe, se laisse, dès lors, pénétrer par l’initié audacieux, délibéré et phénoménal que fut Léon Bloy, l’un des grands écrivains français du XIXe siècle. Son œuvre se présente comme une fête du sacré démoniaque, un sabbat de cynisme, un chef-d’œuvre de licence exégétique, de débauche érotico-mystagogique, de sacrilège prémédité, où tous les symboles simili-chrétiens prennent une forme caricaturale. Il s’agissait avant tout, pour Bloy, de mimer les prophètes dans le but inavoué de plonger, à l’instar de Baudelaire, « au fond de l’Inconnu, pour trouver du nouveau ». Comme les « poètes maudits », il fut fasciné par l’épouvante et la terreur du Gouffre, et l’on est justifié de donner comme sous-titre à ses écrits, non pas Une Saison en Enfer, mais Une Vie en Enfer, car c’est bien de cet endroit que sa pensée scruta la vie intra-divine, en raturant la Révélation, pour tenter une des plus colossales aventures spirituelles de notre temps, au moyen de l’intuition et du « blasphème par amour ». Pour arriver, par l’imagination, à la vision du face à face illusoire sur cette terre, il n’a même pas craint d’annuler le dogme, lui qui désirait prononcer un fiat mais ne sut que clamer un non serviam.
[1] Le Mendiant Ingrat, le 29 mai 1892.
Le Vatican [de l’anti-pape Ratzinger] ouvert à des “droits civils” pour les couples gays
Dans le courrier des Lecteurs nous recevons ce message :
Bonjour à tous,
Il serait bon de faire parvenir cet article à Mgr Fellay, qu’il soit au courant de la vraie nature de Vatican II et des intentions papales.
06/02/2013 11:09:31
Un nouvel article sur le blog www.brujitafr.frLe Vatican ouvert à des « droits civils » pour les couples gays
© epa. Pour la première fois, un ministre du pape a encouragé mardi la reconnaissance de droits pour les couples non mariés, homosexuels ou non, tout en réaffirmant l’opposition absolue et sans…Pour lire la suite cliquez ici
© epa.
Pour la première fois, un ministre du pape a encouragé mardi la reconnaissance de droits pour les couples non mariés, homosexuels ou non, tout en réaffirmant l’opposition absolue et sans ambiguïté de l’Église au mariage gay.
Le monde politique doit trouver des « solutions de droit privé » et aménager des « perspectives patrimoniales » pour les couples non mariés qui sont toujours plus nombreux et divers au point de former une véritable « archipel », a déclaré le « ministre » de la Famille du Saint-Siège, Mgr Vincenzo Paglia, dont les propos ont été rapportés mardi par le journal catholique Avvenire.
« Dans le cadre de l’actuel code civil et patrimonial, des solutions peuvent être trouvées dont il faut tenir compte, soit au plan patrimonial, soit pour faciliter les conditions de vie afin d’empêcher que des injustices frappent les plus faibles », a dit Mgr Paglia. « Qu’il y ait des droits individuels à garantir est évident », a-t-il ajouté.
Il répondait à des journalistes sur la position de l’Église face aux différentes formes de foyers – couples non mariés, gays ou non, divorcés remariés, mères célibataires notamment – devenues très courantes et que vivent de nombreux catholiques.
Une question brûlante pour le Vatican, alors que le parlement français est en train d’approuver la légalisation du mariage et de l’adoption par les couples gays, malgré l’opposition des chefs des principales religions de France. Le sujet préoccupe d’autant plus le Saint-Siège que des réformes sont discutées ou votées non seulement en Europe et aux États-Unis, mais aussi en Amérique Latine. Le sujet monte aussi en Asie.
Le pape lui-même a exprimé sa désapprobation, pour des raisons religieuses et « anthropologiques » au nom de la « loi naturelle ». Mgr Paglia, de la communauté de Sant’Egidio, dirige depuis l’an dernier l’important ministère de la Famille, et aborde cette problématique complexe avec un esprit et un vocabulaire plus ouverts et modernes que ses prédécesseurs.
Mgr Paglia a rappelé l’opposition totale à l’adoption par les couples gays : « l’Église, a-t-il expliqué, connaît le prix des fragilités familiales qui est surtout acquitté par les enfants (nés ou non), les personnes âgées, les malades. Des transformations, importantes même, de l’institution familiale ont eu lieu à différentes époques, mais jamais on n’avait abandonné son « génome », c’est-à-dire une institution formée par un homme, une femme et des enfants », a-t-il dénoncé.
Lundi, un autre prélat, Mgr Rino Fisichella, « ministre » de la Nouvelle évangélisation, avait souligné la nécessité de trouver des réponses à ces réalités sociétales : « le législateur doit apporter des réponses à certaines exigences qui auparavant ne se posaient pas ».
« Autre chose est d’imposer une loi comme en Espagne, en France au Portugal sans un minimum de débat », a-t-il distingué. Mgr Paglia s’est aussi opposé à toute forme de discrimination contre les homosexuels, notamment du Moyen-Orient et d’Afrique, où leur relation est parfois passible de la peine de mort : si « dans certains pays », l’homosexualité est considérée comme un « délit », « je voudrais que cela soit combattu ».
Les associations homosexuelles italiennes se sont montrées partagées. Le président de Gaynet, Franco Grillini, a relevé que « pour la première fois un haut prélat reconnaît qu’il y a aussi des droits des couples homosexuels et que, dans de nombreux pays, l’homosexualité est un délit ».
Malgré le ton bienveillant de Mgr Paglia, Flavio Romani, président d’Arcigay, relève le nouveau « non » de l »Église au mariage entre personnes de même sexe, alors même que cette réforme « engrange des voix favorables dans l’opinion publique ».
L’affirmation par ce prélat de Curie que des solutions civiles hors mariage doivent être trouvées pour ces formes d’union n’est pas révolutionnaire, et ne concerne pas seulement les couples gays, observe-t-on.
Le Vatican exprime sa reconnaissance d’une nécessaire protection de ces situations multiples, tout en maintenant que le mariage chrétien homme/femme, indissoluble et pour la vie, est la seule solution catholiquement conforme. Il continue d’appeler les catholiques à s’y engager.
* * *
Autre message reçu :
Le « Mariage » vu par notre notre apostat.
Crime sémantique et sacrilège de l’emploi du mot « MARIAGE » – confirmé le 3 février 2013 au Palais Bourbon par C. Taubira.
Une analyse brève mais magistrale de notre ami sur le mot « MARIAGE »
utilisé pour désigner l’union de tout couple sans distinction de sexe, homo ou hétérosexuel (cf. l’intervention démentielle et manifestement satanique du 3 février 2013 de C. TAUBIRA, à Versailles, au Palais Bourbon).
Un coup monté ! – « une synagogue de Satan plutôt ! » : Apocalypse, 2 : 9 (et cf. 3 : 9) : les maîtres de la franc-maçonnerie.
Mais qui parle du crime sémantique et sacrilège de l’emploi du mot « MARIAGE » ? Pratiquement personne… même chez les prêtres… alors que le simple changement de mot nous aurait évité cette énorme manif manipulée par la Synagogue… Rendons à César-socialiste ce qui lui appartient et laissons les païens (homos ou non) s’ « UNIR » autant qu’ils le souhaitent devant M. le maire ! À Dieu seul le jugement et chacun sera rétribué selon ses œuvres.
Après tout, il y a une logique révolutionnaire intrinsèque à la profonde déchristianisation de nos pays européens et à l’éclipse de l’Église.
Souvenons-nous que rien n’arrive sans la permission de Dieu ! Il me semble qu’une immense part de nos bons « catholiques » sont en déni de cela… Nos socialistes ne font que se mettre à la remorque de cette « évolution »!…
Le divorce (maçonnique) et la contraception quasi obligatoire ont voilé pour longtemps le caractère sacré du mariage qui est avant tout un sacrement. Mais que sont devenus les sacrements de nos jours dans la secte ?
Une coquille vide…
Avez-vous remarqué la profonde aberration que recouvre l’expression « mariage pour tous » ? Nos sociétés laïcisées sont en train d’atteindre le point de non retour de la folie planifiée. Bien sûr cela est voulu en haut lieu… Il s’agit de restructurer entièrement la mentalité archaïque de l’homme en un homme « nouveau » (caricature diabolique de l’Homme Nouveau chrétien), celui qui a pris la place de Dieu en brandissant le « non serviam » de Lucifer ! La banalisation et la désacralisation du mot »mariage » nous montrent à l’évidence son origine préternaturelle…
Un sacrement en remplace un autre. Il y a une raison profonde à garder la coquille pour mieux faire passer la pilule car même les païens, même les « athées », même les homosexuels ont besoin de sacré ! C’est dans la nature profonde de l’homme. Les révolutionnaires ont compris cela depuis bien longtemps…
Le sacrement républicain du « mariage pour tous » viendra tout naturellement remplacer le vieux concept catholique et cette sécularisation gardera ce qui dans la coquille vide garde au plus profond des mentalités un caractère sacré ! L’emploi indifférencié (ou presque !) des mots union ou mariage permet, subliminalement, de contenter toutes les sensibilités (!) dans leur approche personnelle de la notion (revisitée) du sacré.
La nature profonde d’une manifestation extérieure (de rue) étant toujours basée sur la force du nombre, il y a des affinités profondes entre ce genre d’action et la religion démocratique que même le nombre ne réussit pas toujours à impressionner ! Là encore, les forces d’En-Bas y trouveront toujours leur compte, sans compter sur la vulgarité qui est la marque presqu’obligatoire de tout phénomène de groupe et a fortiori de foule… Je pense particulièrement à tous ces enfants entraînés dans ce marasme humain…. Ce qui tend encore à prouver qu’il n’y a plus d’innocence préservée même au sein des « catholiques ».
Vous allez me trouver sans doute bien sévère mais je ne vois pas d’autre analyse possible pour le temps présent.