Archive for the ‘Joseph Ratzinger’ tag
Un pape pour deux Eglises ou Deux papes pour une Eglise ?
Après la F$$PX qui déclarait qu’ « il y a “un pape pour deux Eglises” » !…
En 2009, sur le site officiel de la F$$PX, la Porte Latine, Monsieur l’abbé Barrère déclarait dans un éditorial plusieurs énormités, dont :
« Un pape pour deux Eglises »
La formule « un pape pour deux Eglises » sans être rigoureusement exacte semble exprimer assez bien la situation présente.
Voir : http://www.catholique-sedevacantiste.com/article-28166575.html
C’est maintenant l’église Conciliaire qui déclare qu’il y a « Une Eglise à deux papes » !!!
Avis de danger : une Église à deux papes
Le conclave imminent va élire le nouveau pontife. Mais il ne lèvera pas les inconnues concernant le rôle du « pape émérite ». Un grand canoniste montre les risques de cette appellation. Et des autres équivoques qui l’entourent
par Sandro Magister
ROME, le 9 mars 2013 – Comment le nouveau pape qui est sur le point d’être élu va-t-il guider l’Église alors que celui qui l’a précédé sur la chaire de Pierre est encore vivant ?
Je vous laisse découvrir ce qui les préoccupent en lisant les articles de Sandro Magister et de Carlo Fantappiè du 9 mars 2013 :
Le président de la banque vaticane
Flashback ou retour en arrière
— Quarante huit heures avant l’annonce de sa démission, Joseph Ratzinger recevait le très puissant Ordre de Malte et l’encourageait à poursuivre son œuvre dans la société. Or, il ne fait aucun doute qu’aujourd’hui, l’Ordre des Chevaliers de Malte est une organisation internationale étroitement liée aux plus grandes loges de la franc-maçonnerie, ayant des ramifications dans toutes les couches de la société, le commerce, la politique, les banques, les services secrets, l’Église, le monde de l’éducation, l’armée, les loges, l’ONU, l’Otan, etc. Les Chevaliers de Malte ont leur propre constitution, ils ont juré de soutenir les membres du Nouvel Ordre Mondial qui soutiennent le Vatican. La plupart de ses membres sont membres du CFR et des autres organisations secrètes. Un des facteurs déterminants qui permettent de comprendre l’influence que le Vatican a su développer au cours de son histoire.
— le Vatican était sous pression : pour des raisons inexpliquées, quelques semaines après le renvoi du président de la banque du Vatican (photo) en mai 2012, tous les paiements bancaires étaient suspendus depuis début janvier 2013 ce qui non seulement entrainait l’asphyxie économique du Saint Siège mais gênaient considérablement les touristes sur place. Le Vatican était déconnecté du système Swift (comme l’a été l’Iran suite aux sanctions internationales), ce qui lui a fait perdre 1 170 000 euros entre le début et la fin de cette histoire, c’est à dire 39 jours.
— or fait incroyable le 12 février ! Le lendemain même de l’annonce de la démission de Benoit XVI, le paiement par carte bancaire est à nouveau possible dans le périmètre du Vatican de même que le réseau Swift fonctionne à nouveau, voila qui ressemble fort à une levée de sanction !
— le surlendemain, le 13, un nouveau banquier est nommé à la tête de la banque vaticane (L’Institut pour les Œuvres de Religion) : L’Allemand Ernst von Freyberg, un avocat membre de l’Ordre de Malte, a été nommé vendredi à la tête de l’IOR, l’Institut pour les Œuvres de Religion, privée de président depuis le limogeage d’Ettore Gotti Tesdechi en mai 2012.
Contribution à l’article de notre confrère Clément LECUYER (Extrait de Sédévacantiste, pour rester CATHOLIQUE !)
Notre ami Pierre Hillard vient de nous envoyer son article sur le nouveau patron de la Banque du Vatican, que nous relayons bien volontiers :
Bonjour,
Je me permets de vous envoyer mon article consacré au nouveau président de la banque vaticane. Il pourrait vous intéresser.
Bien cordialement
Pierre Hillard
http://www.bvoltaire.fr/pierrehillard/mais-qui-est-le-nouveau-patron-de-la-banque-du-vatican,12659
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Mais qui est le nouveau patron de la Banque du Vatican ?
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L’argent est avec le sexe un des éléments essentiels du pouvoir… et le Vatican n’échappe pas à cette loi vieille comme le monde. La nomination du nouveau président de la Banque vaticane le 15 février (appelée « Institut pour les œuvres de la religion »), l’aristocrate allemand Ernst von Freyberg, en est la parfaite illustration. Prenant la suite d’Ettore Gotti Tedeschi démis de ses fonctions en mai 2012, Freyberg a reçu l’accord du pape dont la fonction s’apparente désormais à un CDD. La question automatique que nous devons nous poser est : qui est ce Ernst von Freyberg ? Et selon l’adage « dis-moi qui tu fréquentes, je dirai qui tu es », il est possible de cerner dans quelles eaux la barque de saint Pierre glisse.
Après des études de droit et des techniques administratives, Ernst von Freyberg a travaillé pour différentes entreprises comme TCE Europe Limited, Three Cities Research et DC Advisory Partners (sociétés d’investissements) à Londres et à New-York. Ses activités se sont élargies en prenant la présidence du conseil de surveillance de Blohm + Voss (B+V) début 2012. Peu de temps avant son arrivée, cette entreprise navale, encadrée par Thyssen Krupp Marine System (TKMS), a été scindée entre activités civiles et militaires. Ernst von Freyberg a hérité de la partie civile. Rappelons qu’avant cette mutation, B+V fabriquait du matériel de guerre, en particulier des sous-marins (type « Dolphin ») vendus à Israël. Une partie du capital de B+V (pourcentage non connu) a été vendue à la société anglaise d’investissement Star Capital Partners. La transaction s’est faite par l’intermédiaire de Freyberg en tant que conseiller de DC Advisory. L’opération sûrement lucrative n’a pas été communiquée. Comme l’indique DC Advisory, les activités financières de Freyberg sont variées.
Une société de gestion financière basée à Cologne se fait remarquer dans la galaxie mondialiste. Son logo représente un décagone contenant un pentagone symbolisant les cinq principes fondamentaux de la société « Flossbach von Storch », principes regroupés sous la dénomination de « Pentagramme » terme qui, s’il en était besoin, renforce la forte valeur symbolique de cette figure géométrique (« Flossbach von Storch Pentagramm »). Ses dirigeants ont fait une partie de leur carrière chez Goldman Sachs et sont encadrés par un comité de surveillance dont un des représentants s’appelle Ernst von Freyberg. Ajoutons que cet aristocrate est membre du conseil de surveillance et trésorier de la branche allemande de l’Ordre de Malte dirigée par le prince Erich von Lobkowicz… citoyen américain. Précisons que cet ordre n’est que la façade mondaine de l’idéologie maçonnique déiste à l’instar de la société de Cincinnati.
Fort de ce CV, Freyberg à la tête de la Banque vaticane est secondé par un vice-président allemand, Ronaldo Hermann Schmitz, qui a fait une partie de sa carrière au sein du comité directeur de la Deutsche Bank au même titre qu’Elmar Pauke membre du comité de direction de l’Ordre de Malte allemand. Cette présence de la Deutsche Bank permet toutes les collusions possibles avec l’appareil politique, économique et financier allemand très lié au monde anglo-saxon. Aussi, il n’est pas étonnant de trouver au sein de l’équipe dirigeante de la banque vaticane l’Américain Carl A. Anderson, président des « Chevaliers de Colomb ». Ce dernier, après avoir été l’assistant du sénateur Jesse Helms, a travaillé dans les années 1980 au sein de l’administration Reagan. Au vu de ces exemples, nous pouvons conclure que le dieu Mammon a de dignes serviteurs au sommet de la hiérarchique financière vaticane.
Pierre Hillard, le 24 février 2013
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Pendant ce temps là, L.I.E.S.I. consacrait deux articles sur le sujet sur les des histoires financières du Vatican (d’Eux !) :
Peppone et Don Camillo, Urbi et Orbi (I) & (II)
Vous allez voir qu’il y a un parallèle étonnant entre Peppone et Don Camillo et ce qui se passe en Italie en ce moment. (…)
Sans remonter à différents scandales par le passé, celui de la Banco Ambrosiano, dont le premier actionnaire était la Banque du Vatican, a fait couler beaucoup d’encre ces quarante dernières années. On retrouve dans cette affaire la Banque du Vatican, la mafia, la CIA, les francs maçons et Clearstream. Cette dernière étant l’une des plus grosses machines européennes à blanchir l’argent.
(…)
Ces banquiers détruisent sciemment la richesse des nations. En détruisant la capacité industrielle, en créant le chômage et la pauvreté, ils affaiblissent les rentrées fiscales futures et donc la valeur même des monnaies. Au final, ils règneront au sommet d’une très large pyramide à 3 étages. La plèbe miséreuse et corvéable à merci occupera le rez-de-chaussée, les kapos des loges maçonniques, ces idiots utiles qui font tourner le système, heureux de ronger un os jeté par leurs maîtres, occuperont le premier. Au sommet très étroit, les magnats de la ploutocratie se partageront ou se disputeront le pouvoir.
Il y a seulement quinze ans, je n’aurai pas compris que des banquiers puissent vouloir une telle société, qui ressemble au hideux communisme vécu par les russes, les chinois, ou même les coréens du nord. Je les créditais d’une certaine sagesse, mais je me trompais. Ils nous dirigent fermement vers ce monde-là et désormais, ils le font au pas de charge.
F$$PX-ROME : Benoît 1er de Vatican d’Eux jette l’éponge !
Contrairement à ce que l’abbé Barthe déclarait dans le quotidien Présent du 16 février 2013 et que nous vous signalions mardi dernier « Abbé Claude Barthe – Présent : Où l’on reparle de la Réintégration de la F$$PX… » :
Il y a ce tout petit passage, dans l’entretien que l’abbé Claude Barthe a donné ces jours-ci au quotidien Présent : « Tout le monde sait désormais que la Commission Ecclesia Dei a adressé une lettre à Mgr Fellay le 8 janvier et qu’elle attend une réponse de lui pour le 22 février, jour de la fête de la Chaire de Saint-Pierre. De ce jour-là, 22 février, pourrait être datée l’érection de la Prélature Saint-Pie-X. Cela deviendrait la vraie conclusion du pontificat de Benoît XVI : la réhabilitation de Mgr Lefebvre. »
Le Directeur de la Salle de Presse du Saint-Siège, le père Lombardi a déclaré ce jour, jeudi 21 février — à 24 h de l’échéance qu’ils avaient eux-même fixé !!! — que « À propos de la Fraternité St. Pie X, la date butoir du 22 avancée par la presse n’est que pure hypothèse, Benoît XVI ayant décidé de remettre la question à son successeur. Il est donc inutile d’attendre un règlement de la situation avant la fin de ce pontificat. » (Cité du Vatican, 21 février 2013 (VIS))
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Le dossier des Lefebvristes sera transmis au successeur de Benoît XVI
Par ailleurs le père Lombardi s’est voulu très clair sur le dossier des Lefebvristes. Il sera transmis automatiquement au successeur de Benoît XVI. Le père jésuite a démenti qu’il faille attendre d’ici vendredi « une définition des rapports » entre le Vatican et la fraternité sacerdotale Saint-Pie X. Plusieurs médias avaient parlé d’une lettre du Vatican faisant état d’un ultimatum au 22 février, soit six jours avant la fin du pontificat, pour demander au supérieur des Lefebvristes, Mgr Bernard Fellay, une réponse définitive à l’offre de réintégration du Vatican qui lui avait été faite.
Radio Vatican : http://fr.radiovaticana.va/articolo.asp?c=667060
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Jean-Marie Guénois titrait le 20 février 2013 :
Il est minuit moins le quart Mgr Fellay…
La succession de Joseph Ratzinger est déjà décidée…
Sophie Esposito
Journaliste italienne
Fin de règne pour Benoît XVI ?
Publication: 15/02/2012 14h29
« Benoît XVI est la cible d’un complot » voici l’information qui, telle qu’elle était présentée à la une du journal Il Fatto [1] vendredi dernier, a fait du bruit en Italie. Le journal publiait un document confidentiel, où une plume anonyme raconte (en allemand) le voyage secret en Chine du cardinal de Palerme, Paolo Romeo. Pendant ce voyage, qui s’est déroulé en novembre dernier, le cardinal aurait déclaré qu’il ne reste plus que 12 mois à vivre à Joseph Ratzinger. « Pendant ses entretiens en Chine, détaille le papier, le cardinal Romeo a prédit la mort du pape Benoît XVI dans les 12 prochains mois. Les déclarations du cardinal ont été exposées, en tant que personne probablement informée d’un complot sérieux et délictueux, avec une telle sureté et fermeté, que ses interlocuteurs en Chine ont pensé avec effroi qu’un attentat soit programmé contre le Saint Père ». Ni plus ni moins !
De plus, le papier affirme que la succession de Joseph Ratzinger est déjà décidée : ce sera « en tous cas un candidat d’origine italienne », selon le palermitain Paolo Romeo, et même « le Saint Père […] aurait déjà choisi le cardinal Angelo Scola comme candidat, car il est le plus proche [du Pape] pour sa personnalité ». Évêque de Milan, Angelo Scola y aurait été transféré pour préparer la suite au pontificat de Benoît XVI. Les Italiens seront contents de revoir un pape italien, sans doute. Mais est-ce vrai ? Selon le porte-parole du Vatican, Federico Lombardi, oui. Le document est vrai, mais son contenu serait une série d’affirmations “délirantes”. Mais en Italie on doute : est-ce une “fin de règne” pour Benoît XVI ?
Voilà qu’une théorie du complot entoure le petit État dans l’État, si plein de légendes et mystères irrésolus depuis sa naissance. Les récits des journaux font penser à une sorte de vie de cour entre les murs du Vatican, faite de trahisons et de carriérisme. Les images, juste à côté, montrent la coupole de Saint-Pierre en noir sur fond orange, dans un coucher de soleil à la Dan Brown. Mais ce n’est pas un roman, c’est la vérité, parfois cachée, du Saint-Siège. De mystères, il en est plein.
Le dernier en date : la mort subite du pape Jean Paul I, un mois seulement après son élection, alors qu’il avait annoncé une réforme profonde de la hiérarchie catholique. Mais un élément teinte cette histoire d’une touche de mystère : le corps du pape n’a jamais été autopsié. Ces scénarios de polar sont ressortis en même temps que le document prouvant le complot. Ils rajoutent un peu d’ambiance…
Et comme « les disgrâces ne viennent jamais seules » (autre proverbe italien), le complot du cardinal Romeo s’insère dans un contexte où le Saint-Siège est au centre de plusieurs polémiques concernant sa transparence. La première, selon le même Fatto, la Curie refuse de donner accès aux opérations bancaires de sa propre banque, l’Institut des Œuvres Religieuses (IOR). La deuxième, le secrétaire d’État du Vatican, Tarcisio Bertone avait envoyé à Washington un cardinal qui promettait de lutter contre la corruption et les fausses facturations. Autant d’éléments obscurs et inexplicables, ainsi qu’inexpliqués, qui ont fait naître un débat. Mais il est loin. Loin de la vraie Italie, dans cet État si différent que l’on confond souvent avec la ville de Rome tout autour. Loin des problèmes des ouvriers licenciés, des jeunes qui ne trouvent pas de travail, et des plus vieux qui ne peuvent toujours pas partir à la retraite. Loin, et pourtant si proche, car en Italie les catholiques sont légion, et le Pape est plus qu’un guide spirituel. Il est le symbole d’une époque, un critère pour distinguer les années, comme pour nos grands-parents. Et les complots, le carriérisme, même dans ce petit État caché dans la Capitale, montrent une Italie en pleine régression. Un pays qui revient aux années 60, à un après-guerre où on ne gagne rien et on s’approprie tout, en l’arrachant.
Sur le web :
Vatican : un complot contre Benoît XVI ? – YouTube
Lalibre.be – Un complot pour assassiner Benoît XVI ?
Vatican : un complot contre Benoît XVI ? | euronews, monde
Source : http://www.huffingtonpost.fr/sophie-esposito/fin-de-regne-pour-benoit-_b_1278589.html
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Le Pape Benoît XVI est-il sous la menace d’un complot visant à l’assassiner ? C’est en tout cas ce qu’affirme ce vendredi un quotidien italien, Il Fatto Quotidiano, qui s’appuie sur un document confidentiel, daté du 30 décembre 2011, circulant au Vatican.
Commentaire du porte-parole du Saint-Siège : c’est du délire.
Certains observateurs avancent que la diffusion de ce genre de rumeurs s’inscrit dans le cadre d’une lutte de pouvoir au Vatican. (euronews.com)
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Toute la question est de savoir si Scola réussira à faire mentir le vieil adage selon lequel « qui entre pape au conclave, en sort cardinal… »
[1] Il Fatto Quotidiano : http://www.ilfattoquotidiano.it/2012/02/10/complotto-di-morte-benedetto-xvi/190221/
en français Google : http://translate.google.com/translate?sl=auto&tl=fr&js=n&prev=_t&hl=fr&ie=UTF-8&eotf=1&u=http%3A%2F%2Fwww.ilfattoquotidiano.it%2F2012%2F02%2F10%2Fcomplotto-di-morte-benedetto-xvi%2F190221%2F
LE VOLEUR CONTINUE DE VOLER… ET LE TRAÎTRE… DE TRAHIR !
Le Voleur Continue de Voler… Et le Traître… De Trahir !
Déclarations Insolites de Mgr Fellay à l’Égard du “Renoncement” de Benoît XVI
Monseigeur Fellay :
« J’ai pensé qu’en annonçant sa renonciation, Benoît XVI ferait peut-être un dernier geste envers nous en tant que Pape »
Monseigneur Fellay est le supérieur de la Fraternité Sacerdotale Saint-Pie X fondée par Monseigneur Lefebvre. Il revient, pour Nouvelles de France, sur les tentatives de rapprochement de la FSSPX avec Rome qui ont marqué le pontificat de Benoît XVI.
Monseigneur, apprécieriez-vous le fait que le dernier acte majeur du pontificat de Benoît XVI puisse être la réintégration de la Fraternité Saint Pie X ?
Un bref instant, j’ai pensé qu’en annonçant sa renonciation, Benoît XVI ferait peut-être un dernier geste envers nous en tant que Pape. Cela étant, je vois difficilement comment cela peut être possible. Il faudra probablement attendre le prochain Pape. Je vais même vous dire, au risque de vous surprendre, il y a des problèmes plus importants pour l’Église que celui de la Fraternité Saint-Pie X et c’est, d’une certaine manière, en les réglant, que le problème de la Fraternité sera réglé.
Certains disent que vous souhaitez que Rome reconnaisse le rit ordinaire comme illicite, pouvez-vous nous éclairer sur ce point ?
Nous sommes bien conscients qu’il est très difficile de demander des autorités une condamnation de la nouvelle messe. En réalité, si ce qui doit être corrigé l’était, ce serait déjà un grand pas.
Comment cela ?
Cela peut être réalisé par une instruction de la Congrégation pour le Culte Divin et la Discipline des Sacrements. Ce n’est pas si compliqué en fin de compte. Je pense qu’il y a des changements importants à effectuer à cause des graves et dangereuses déficiences, qui font que ce rite est condamnable. L’Église peut très bien effectuer ces importantes corrections sans perdre la face ou son autorité. Mais je note actuellement l’opposition d’une partie des évêques à la demande légitime du Pape de corriger, au canon de la messe, la traduction du « pro multis » par « pour beaucoup » et non pas « pour tous », traduction fausse que l’on retrouve dans plusieurs langues.
Souhaitez-vous revenir sur le Concile Vatican II ?
En ce qui concerne Vatican II, comme pour la messe, nous estimons qu’il est nécessaire de clarifier et de corriger un certain nombre de points qui sont soit erronés, soit conduisant à l’erreur. Cela étant, nous ne nous attendons pas à ce que Rome condamne Vatican II avant longtemps. Elle peut rappeler la Vérité, corriger discrètement les erreurs en sauvegardant son autorité. Toutefois, nous pensons que la Fraternité apporte sa pierre à l’édifice du Seigneur en dénonçant certains points litigieux.
Concrètement, vous savez bien que vos revendications ne seront pas satisfaites du jour au lendemain.
Certainement, mais au fur et à mesure, elles le seront, je pense. Et il y aura un moment, où la situation deviendra acceptable et nous pourrons être d’accord, même si aujourd’hui cela ne semble pas être le cas.
Vous avez rencontré Benoît XVI dès les premiers mois de son pontificat, pouvez-vous nous dire quel a été votre sentiment à son endroit à ce moment-là ?
Je peux dire que j’ai rencontré un Pape qui avait un désir sincère de réaliser l’unité de l’Église, même si nous n’avons pas réussi à nous accorder. Mais croyez bien que je prie pour lui tous les jours.
Quel a été, selon vous, l’acte le plus important de son pontificat ?
Je pense que sans conteste, l’acte le plus important fut la publication du Motu Proprio Summorum Pontificum qui accorde aux prêtres du monde entier la liberté de célébrer la messe traditionnelle. Il l’a fait, il faut le dire, avec courage car il y avait des oppositions. Je pense d’ailleurs que cet acte portera des fruits très positifs à la longue.
Source Nouvelles de France : http://www.ndf.fr/nos-breves/15-02-2013/mgr-fellay-jai-pense-quen-annoncant-sa-renonciation-benoit-xvi-ferait-peut-etre-un-dernier-geste-envers-nous-en-tant-que-pape#.USDsume8CSo
Courrier des Lecteurs : Le début des châtiments ?
Avis d’un lecteur :
Avant-hier, le 10 février (c’est-à-dire la veille de l’annonce de la démission de B16 !), sur son forum Fecit, en réponse à un message (convenu ?) d’un intervenant intitulé « Ambiance morose… ou fin de règne », le trise sire Ennemond (disciple des abbés Celier et Lorans, agents occultes du Vatican), écrit cette chose étrange :
« Et le Saint Esprit ?
Pas de désespoir, ce n’est pas chrétien.
Nous risquons de traverser ces prochains jours des zones de turbulence, ce n’est pas le moment de déprimer, mais de garder l’équilibre et de mettre sa ceinture : Amour de la foi, de la Tradition, de la vérité, des dogmes, sans pour autant brader l’un d’entre eux : la primauté de Pierre, même si nous nous faisons crosser par quelques-uns de ses représentants ».
Il ne dit pas « ces prochains mois » ou « ces prochaines années » mais « ces prochains jours » !
http://www.fecit-forum.org/forum.php?id=25147
En 2012, des rumeurs avaient été lancées sur un futur assassinat de Ratzi.
Assassinat ou pas, le « pontificat » de Benoît 16 prendra donc fin le 28 février.
Le « conclave » de faux cardinaux se réunira ensuite 15 à 20 jours après, soit entre le 15 et 20 mars.
Pendant ce temps-là, le 20 et 21 mars Obama se rendra en visite en Israël, essentiellement pour parler de l’Iran.
Certes, les US se disent encore réticents pour des frappes contre l’Iran mais le vice-président, Joe Biden, déclara lors de sa visite à Paris lundi dernier que « la fenêtre diplomatique se referme ».
Il suffirait donc d’un acte de provocation délibéré du Mossad (déguisé en « attentat islamique ») au moment de la visite d’Obama en Israël pour décider les US à attaquer la Syrie et l’Iran immédiatement.
L’embrasement de la région (et du monde ?) empêcherait alors le déroulement du « conclave » laissant les catholiques « una cum » désemparés.
Le début des châtiments ?