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VATICAN D’EUX : Scandales aux Vatican, papeFrançois ne fait aucune correction de trajectoire

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Plus de deux mois se sont écoulés depuis que “Mgr” Battista Ricca a été malencontreusement nommé “prélat” de l’Institut pour les Œuvres de Religion (IOR) et plus d’un mois depuis que Francesca Immacolata Chaouqui a été nommée, non moins malencontreusement, membre de la commission pour la réorganisation des services économico-administratifs du Vatican.

Ricca et pape-François

Un média romain a révélé les frasques gays de “Mgr” Ricca qui venait d'être nommé à la banque du Vatican

Ces nominations ont été toutes les deux faites par papeFrançois et la première a été pour lui une décision très personnelle.

Francesca Immacolata Chaouqui

Un nouveau Conseiller du pape argentin pose nue

Pourtant, alors que le mois d’août touche à sa fin, aucune correction de trajectoire ne se manifeste…

* * *

Telle est l’introduction de Sandro Magister dans son article du 26 août dernier (Voir plus bas).

Topless et tweetant : le nouveau visage féminin du Vatican

 

 

Chaouqui et son BoyfriendAu cours des deux millénaires de l’Église catholique romaine, il n’y a jamais eu un conseiller papal qui ait affiché (même discrètement) une photo seins nus d’elle-même sur l’Internet, en étant “grignoté” sur l’épaule par son compagnon (boyfriend) de la même façon déshabillé.

La photo semi-nue de F. I. Chaouqui (…Immacolata était surement un désir de sa maman… mais le résultat n’est pas là !!! — Il n’y en a qu’Une d’Immaculée !) et son partenaire masculin qui est sorti sur son compte YouTube,(1) a finalement été retirée. Voici la capture d’écran  par News.com.au de la photo initialement publiée.

Francesca Chaouqui a brisé le moule au Vatican dominée par les hommes. Âgée de seulement 30 ans, elle a récemment été nommé par le “pape” François comme la seule femme sur une puissante commission de huit membres chargé de réformer les finances scandaleuses (elles aussi !!!) du Vatican.

L’italo-marocaine (2) “PR woman” (3) glamour, qui a récemment travaillé comme journaliste en charge de la communication et des relations extérieures chez Ernst & Young Italia, a déjà été surnommée la « lobbyiste du Pape ».

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Elle est la seule femme qui fait partie du comité de conseillers du pontife. Francesca Chaouqui a connu la gloire pour ses tweets incendiaires sur le Vatican :

Lorsque Benoît a abandonné son pontificat, Chaouqui a écrit sur son compte Twitter : « Il a gagné Bertone. J’étais sûr qu’il ne le ferait pas, mais il a jeté l’éponge. En tant que croyante, je suis juste déçue. » Mais ce n’était pas son premier ni son dernier commentaire robuste.

Chaouqui par exemple, a chaleureusement félicité l’un des journalistes qui ont découvert les documents du Vatileaks. « Heureusement que tu existes », a-t-elle écrit à l’enquêteur Gianluigi Nuzzi, qui a publié un livre avec les documents volés par le Majordome de Benoît XVI, « Bravo, c’est ce qu’on appelle faire une bonne information. Fier de vous. »

Mais dans un autre, elle a dit que Paolo Gabriele, l’ancien Majordome de Benoît XVI, n’avais pas fuité (répandu) les dossiers papaux publiés dans ce livre à succès – bien qu’il ait été reconnu coupable du vol et la fuite de ceux-ci.

twitter_logoDans un autre encore, elle a catalogué le Cardinal Tarcisio Bertone, le secrétaire d’État du Vatican, comme “corrompu”. Le Cardinal Bertone nie la corruption et envisagerait une action en justice…

En attendant, Giulio Tremonti, un ancien ministre des Finances italien, a dit à la mi-août qu’il poursuivait en justice Mme Chaouqui et des journaux pour un autre tweet où elle a dit qu’il était homosexuel.

Avec son nom et son image à l’honneur, la Miss Chaouqui a rapidement fermé son compte du réseau de micro-blogging, ce qui n’a pas empêché les médias italiens de récupérer avant cela une copie de certains de ses tweets les plus controversés.

 

* * *

 

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Ricca et Chaouqui, deux ennemis de l’intérieur

 

Il est prélat de l’IOR, elle est membre de la commission pour la réorganisation des administrations du Vatican. Deux nominations qui ont été voulues et décidées par le pape François mais qui sont la négation vivante de son programme de nettoyage et de réforme.

Sandro Magisterpar Sandro Magister

Francesca Immacolata Chaouqui

ROME, le 26 août 2013 – Plus de deux mois se sont écoulés depuis que Mgr Battista Ricca a été malencontreusement nommé “prélat” de l’Institut pour les Œuvres de Religion (IOR) et plus d’un mois depuis que Francesca Immacolata Chaouqui (photo) a été nommée, non moins malencontreusement, membre de la commission pour la réorganisation des services économico-administratifs du Vatican.

Ces nominations ont été toutes les deux faites par le pape François et la première a été pour lui une décision très personnelle.

Et tout de suite après, dans un cas comme dans l’autre, de graves contre-indications ont été découvertes dont le pape ne savait rien initialement.

Pourtant, alors que le mois d’août touche à sa fin, aucune correction de trajectoire ne se manifeste.

*

En ce qui concerne le “prélat” de la banque du Vatican, le pape François, après l’avoir nommé, a été rapidement informé, par plusieurs personnes dignes de confiance, des antécédents scandaleux du personnage et des protections dont il avait bénéficié et bénéficie encore actuellement au Vatican. Et il a exprimé sa gratitude à ces personnes.

Mais, dans l’avion qui le ramenait du Brésil, le pape Jorge Mario Bergoglio a évité, lorsqu’il a répondu à une journaliste, de prendre une position nette en ce qui concerne l’affaire de Mgr Ricca.

Les propos du pape que les médias du monde entier ont repris avec le plus d’emphase – en un festival de commentaires favorables à son “ouverture” aux homosexuels – ont été interprétés comme une façon de suspendre son jugement : « Si une personne est gay et cherche le Seigneur et qu’elle est de bonne volonté, mais qui suis-je pour la juger ? ».

Quelques jours après être rentré à Rome, le pape François a été plus clair. Il a fait savoir à la secrétairerie d’état que Mgr Ricca « restera à son poste ».

Et c’est ainsi que va rester intacte, à travers celui-ci, la contradiction spectaculaire entre d’une part la volonté de nettoyer et de réorganiser la curie romaine exprimée à plusieurs reprises par le pape François et d’autre part le fait que celui-ci continue à faire confiance au “prélat” qu’il a nommé et qui est vraiment le parfait symbole de ces comportements scandaleux et de ces “lobbies” qui devraient être balayés.

*

L’affaire de Francesca Immacolata Chaouqui est différente de celle de Mgr Ricca. La secrétairerie d’état du Vatican disposait déjà, à son sujet, d’informations précises plusieurs mois avant qu’elle ne soit nommée, le 18 juillet dernier, membre de la commission pour la réorganisation des services économico-administratifs du Saint-Siège, avec la possibilité d’accéder à tous les documents les plus confidentiels.

Mais que pour la création de cette commission et la nomination de ses huit membres, le pape François a agi de manière autonome. La secrétairerie d’état n’y a pas été associée et elle n’en a été informée qu’après coup.

La secrétairerie d’état avait déjà été mise en état de pré-alerte, au printemps 2012, par certains articles parus dans le plus lu des quotidiens progressistes italiens, “La Repubblica”.

Il était affirmé dans ces articles que Paolo Gabriele, le majordome de Benoît XVI arrêté et condamné pour avoir volé au pape une quantité énorme de documents confidentiels qui étaient ensuite transmis à la presse, n’était pas le seul, à la curie, à avoir agi de cette manière, mais que d’autres, comme lui et après lui, étaient encore en activité, parmi lesquels une femme.

Les “révélations” concernant cette affaire ne donnaient pas le nom des personnes impliquées. Y compris la dernière interview anonyme, celle qui a fait le plus de bruit, publiée dans “La Repubblica” le 7 mars 2013, quelques jours avant le conclave qui a élu Bergoglio pape.

Mais la personne interviewée était tellement bavarde qu’elle se vantait à droite et à gauche d’être l’informatrice qui fournissait la matière des articles de “La Repubblica” : Francesca Immacolata Chaouqui, 32 ans, fille d’un père marocain et d’une mère calabraise, vivant à Rome, mariée. Elle a été chargée, de 2007 à 2009, des relations extérieures du cabinet international d’avocats Pavia & Ansaldo, puis, à partir de 2010, du cabinet Orrick Herrington & Sutcliffe et enfin, à partir de 2013, du cabinet Ernst & Young, disposant pour cela d’un vaste réseau de relations réelles ou relevant de la vantardise, composé de journalistes, de politiciens, d’hommes d’affaires, de prélats et de cardinaux.

Lorsque, dans les jours où avait lieu le conclave, l’identité de l’informatrice anonyme de “La Repubblica” est parvenue aux oreilles du substitut à la secrétairerie d’état, l’archevêque Giovanni Angelo Becciu, celui-ci a adressé une protestation au journal. À partir de ce moment, la publication d’articles clairement attribuables à la “source” Chaouqui a en effet cessé.

Voilà pourquoi lorsque, le 18 juillet, on a appris que le pape avait nommé cette jeune “Public Relations” membre de la commission pour la réorganisation des administrations du Vatican, ceux qui connaissaient ses antécédents ont été absolument stupéfaits.

Mais même les gens qui ne savaient rien d’elle auraient pu très facilement se faire une idée du personnage. Il suffisait pour cela d’ouvrir sa page Twitter, d’y lire son auto-présentation, de parcourir ses messages.

On y apprenait, entre autres choses, que Francesca Chaouqui a un lien direct avec Gianluigi Nuzzi, le journaliste qui a reçu et publié les documents volés à Benoît XVI par son majordome infidèle, et qu’elle est une informatrice assidue du site dagospia.com, le réceptacle de médisances et poisons vaticanesques le plus lu d’Italie.

Par précaution, le 23 juillet, Francesca Chaouqui a retiré sa photo (voir ci-dessus) et, le 10 août, elle a désactivé sa page Twitter. Mais elle l’a fait trop tard et de manière incomplète.

*

Étant donc établi que le pape François ne connaissait pas personnellement Francesca Chaouqui, qui l’a convaincu de la nommer à un poste à si hautes responsabilités ?

L’hypothèse la plus crédible conduit à Mgr Lucio Angel Vallejo Balda, secrétaire de la préfecture des affaires économiques du Saint-Siège et également, depuis le 18 juillet, secrétaire et factotum de la commission nouvellement créée dont Francesca Chaouqui est membre.

Mgr Vallejo Balda, 52 ans, est espagnol et membre de la Fraternité de la Sainte-Croix, la branche sacerdotale de l’Opus Dei. Après avoir donné la preuve de ses talents d’administrateur dans le diocèse d’Astorga, il s’est distingué en organisant avec succès les Journées Mondiales de la Jeunesse de Madrid, en 2011, aux côtés du cardinal Antonio María Rouco Varela. Ce qui a favorisé, la même année, sa promotion à la fonction de numéro deux de la préfecture des affaires économiques du Saint-Siège, à Rome.

À ce nouveau poste, Vallejo Balda a dépassé, dans les faits, son supérieur direct, le cardinal Giuseppe Versaldi, qui est désavantagé – entre autres – par le fait qu’il appartient à l’équipe déclinante du cardinal secrétaire d’état Tarcisio Bertone.

Il n’est donc pas surprenant que, une fois élu pape, Bergoglio ait rapidement détecté dans le dynamique monsignor espagnol l’un des hommes sur lesquels il pourrait compter pour la réorganisation administrative de la curie.

La preuve en est le rôle dominant que le chirographe pontifical instituant la commission attribue à Mgr Vallejo Balda : non seulement celui-ci est le secrétaire de la commission, mais il en est également le « coordinateur qui a des pouvoirs de délégué et qui agit au nom et pour le compte de la commission en ce qui concerne la collecte des documents, données et informations nécessaires à l’exercice de ses fonctions institutionnelles ».

On peut d’autre part affirmer que le pape a également confié la tâche de choisir et de recruter les membres de la commission à Vallejo Balda. Cela se déduit de la lettre par laquelle celui-ci a annoncé à chacun d’eux sa nomination et de sa manière de rédiger les curriculum vitæ, en se référant (dans un italien quelque peu confus) aux rencontres personnelles qu’il a eues avec l’un ou l’autre.

On peut, par exemple, lire ceci à propos de l’ancien ministre des Affaires étrangères de Singapour, George Yeo :

« C’est un homme courtois et empressé, mais il a un style intellectuel fort ; il a beaucoup lu et connaît à fond les plaques tectoniques mouvantes de l’Histoire. C’est, ou c’était les deux fois où j’en ai parlé longuement avec lui, un catholique sérieux et consciencieux, ayant beaucoup d’intuitions fascinantes à propos du catholicisme avec des caractéristiques chinoises ».

Et à propos de Francesca Chaouqui :

« Expérience de plusieurs années dans le domaine du conseil en gestion de la communication d’entreprise et en management des relations extérieures et institutionnelles ; leadership faisant autorité, fondé sur de grandes aptitudes en matière de relations publiques et de communication, et forte capacité à finaliser les contacts au niveau business ; guidée par des principes et des valeurs éthiques et moraux très forts ».

Ces curriculum vitæ – comportant les adresses électroniques et les numéros de téléphone privés – se trouvaient dans l’un des trois fichiers joints à l’e-mail confidentiel par lequel, le 18 juillet, Mgr Vallejo Balda a annoncé de manière anticipée aux sept autres membres de la commission la publication, le jour suivant, du chirographe par lequel le pape les nommait.

Les deux autres fichiers joints étaient d’une part le texte du chirographe pontifical et d’autre part l’annexe au chirographe lui-même, également signée par le pape François, indiquant les mesures opérationnelles pour la commission. Et portant la mention :

« Ne pas publier et ne pas distribuer en dehors de la commission ».

Le premier de ces deux documents a effectivement été rendu public le lendemain. Le second, non. Mais on peut le lire sur cette page de www.chiesa :

> Disposizioni operative… (en italien)

Dans son e-mail du 18 juillet, envoyé le matin à 9 heures 41, Mgr Vallejo Balda demandait aux destinataires de garder le secret.

Mais tout de suite après, ce matin-là, Francesca Chaouqui avait déjà violé la consigne, en faisant suivre l’e-mail de Vallejo Balda, avec les trois fichiers joints, à un certain nombre de ses contacts.

On a dit que Francesca Chaouqui appartient à l’Opus Dei, comme Mgr Vallejo Balda. Mais ce n’est pas vrai.

En revanche il est certain qu’elle fréquente des résidences romaines de l’Opus, parmi lesquelles celle où habite le numéraire Joaquin Navarro-Valls, l’inoubliable porte-parole de Jean-Paul II.

__________

Les précédents articles de www.chiesa à propos des cas de Mgr Ricca et de Francesca Immacolata Chaouqui :

> Double tempête sur l’IOR (3.7.2013)

> Le prélat du lobby gay (18.7.2013)

> La tromperie ayant été révélée, François “saura comment agir” (25.7.2013)

> La “segretariola” de François, le pape qui veut tout faire lui-même (8.8.2013)

__________

À propos de Mgr Vallejo Balda, le portrait flatteur qu’en a fait José Manuel Vidal sur “Religión Digital” :

> Quién es Lucio Ángel Vallejo Balda, el nuevo “gerente del papa” (en espanol)

__________

Traduction française par Charles de Pechpeyrou.

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www.chiesa : http://chiesa.espresso.repubblica.it/articolo/1350582?fr=y

 

 


[1] En 2010, elle a affiché un diaporama sur YouTube qui comprend plusieurs portraits de studio apparemment nus avec son petit ami.

[2] Francesca Chaouqui âgée de 30 ans (Sandro Magister lui donne 32 ans, d’autres 27 !!!) est née d’un père français d’origine marocaine et d’une mère italienne. Elle fait partie de «Vedro» (“je verrai”), le think tank dirigé par Enrico Letta. Et elle est inscrite à la FERPI, la Fédération des relations publiques italiennes qui depuis des années se bat pour que le parlement approuve une loi pour la transparence des activités de lobbying. Elle se présente ainsi sur sa page Twitter : « Je vis comme si j’avais plus de temps, j’aime, je souris toujours, parfois je me mets en colère, j’écris la nuit. Heureuse ».

La presse italienne l’encense déjà et la présente même comme une excellente gestionnaire. Le quotidien La Repubblica rappelle ainsi son passage chez Ernst & Young où elle s’est occupée de communication et de relations publiques.

Mais si Francesca Chaouqui a du sang marocain, La Republicca voit d’abord en elle une fervente catholique, plutôt proche de l’Opus Dei, un mouvement de l’Eglise catholique qui fait du travail et de la moindre circonstance de la vie comme une occasion de rencontrer Dieu.

[3] PR woman (Femme responsable des relations publiques)

Le pseudo “Vicaire du Christ sur terre” déclare publiquement :
« Qui suis-je pour juger un prêtre gay ? »

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Le pseudo “Vicaire du Christ sur terre”
déclare publiquement :

 

« Qui suis-je pour juger un prêtre gay ? »

 
 
Télécharger l’article en PDF

 

Dans l’avion qui le ramenait des JMJ de Rio à Rome, papeFrançois a affirmé lors de sa première conférence de presse ne pas juger les homosexuels…

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Suite à une question des journalistes, il a évoqué la question des homosexuels. « Le problème n’est pas d’avoir cette tendance, c’est de faire du lobbying. C’est le problème le plus grave selon moi. Si une personne est gay et cherche le Seigneur avec bonne volonté, qui suis-je pour la juger ? » a-t-il demandé.

C’était la première fois que cet antipape, version V.2.6 donnait une véritable conférence de presse. Détendu, plaisantant mais prudent, il a répondu à toutes les questions sans en esquiver, parfois après des pauses de réflexion, de manière très maîtrisée, que lui posaient une quinzaine des 70 journalistes présents sur le vol.

Interrogé sur les affirmations selon lesquelles il aurait été tenu dans l’ignorance des relations homosexuelles d’un prélat qu’il a nommé à la banque du Vatican, l’IOR, “Mgr” Ricca, papeFrançois a répondu : « J’ai fait diligenter une enquête brève et nous n’avons rien trouvé sur lui ».

« Je n’ai encore vu personne au Vatican sur la carte d’identité duquel est inscrit gay. On affirme qu’il y en a. Le catéchisme de l’Église catholique dit très bien qu’on ne doit pas marginaliser ces personnes qui doivent être intégrées dans la société ». « Sur le lobby gay, je n’ai rien trouvé. Les lobbies ne sont pas bons », a-t-il dit citant en exemple les lobbies politiques ou francs-maçons.

Évoquant plus largement la sexualité dans l’Église [entendre église Conciliaire], il a distingué “les délits” comme “les abus sur mineurs” et les “péchés”, notamment les « péchés de jeunesse ». « Des laïcs, des prêtres, des sœurs ont fait des péchés et se sont convertis. Quand le Seigneur pardonne, il oublie tout. »

 

papeFrançois interrogé sur les divorcés remariés, le mariage gay et l’avortement

 

papeFrançois a par rapport à la question “du pouvoir communier” des divorcés remariés, précisé qu’il « fallait regarder cela dans la totalité de la pastorale du mariage ». « Entre parenthèses, les orthodoxes ont une pratique différente. Ils suivent ce qu’ils appellent la théologie de l’économie et offrent une deuxième possibilité. Je crois que ce problème doit être étudié dans le cadre de la pastorale du mariage. L’un des thèmes sur lesquels je consulterai le conseil des huit cardinaux, du 1er au 3 octobre, sera de voir comment avancer en termes de pastorale matrimoniale ». Après avoir indiqué que le prochain synode des évêques devrait traiter de la pastorale du mariage, il a précisé : « On se marie sans maturité, sans s’apercevoir que c’est pour toute la vie ou parce que, socialement, l’on doit se marier. Cela entre dans la pastorale du mariage, comme le problème judiciaire de la nullité des mariages ».

Interrogé sur le mariage gay et sur l’avortement, auxquels l’Église est fermement opposée, papeFrançois a répondu : « Vous savez parfaitement la position de l’Église ». Pour la seule fois, il a répondu brièvement, sèchement.

Dans ces derniers cas l’église Conciliaire singe (pour le moment) la position ferme de l’Église catholique.

À un journaliste qui faisait remarquer qu’il n’avait durant son voyage au Brésil pas abordé directement les questions de l’avortement et du mariage gay, papeFrançois a répondu très brièvement : « L’Église s’est déjà parfaitement exprimée sur cela, il n’était pas nécessaire de revenir dessus. Il n’était pas nécessaire d’en parler à moins de dire des choses positives. Les jeunes savent parfaitement quelle est la position de l’Église. »

 

 

 

L’agence conciliaire Zenit.org rapporte les faits de cette façon :

Si une personne est gay, cherche le Seigneur, est de bonne volonté…

Réponse du pape François

Anita Bourdin

ROME, 2 août 2013 (Zenit.org) – « Si une personne est gay et cherche le Seigneur et qu’elle est de bonne volonté, mais qui suis-je pour la juger ? » : cette phrase du pape François sur le vol de Rio à Rome a fait couler beaucoup d’encre.

Nous continuons de publier au fur et à mesure notre traduction intégrale de la rencontre du pape et de la presse sur le vol de retour de JMJ (28-29 juillet).

À une question sur la nomination de Mgr Battista Ricca, mi-juin comme prélat de l’Institut pour les œuvres de religion (IOR), et accusé d’homosexualité par un magazine italien, le pape a répondu en quatre temps : d’abord sur l’enquête, puis sur le péché, ensuite sur l’attitude de l’Église vis à vis des personnes homosexuelles et sur le “lobby gay”.

Question sur Mgr Ricca et sur le lobby gay

Pour Mgr Ricca, j’ai fait ce que le droit canon demande de faire, c’est la investigatio previa [enquête préalable à toute nomination, ndlr]. Et de cette investigatio, il n’y a rien des accusations portées contre lui, nous n’avons rien trouvé à ce sujet. Voilà la réponse.

Mais je voudrais ajouter quelque chose sur ce point : je vois que souvent, dans l’Église, en dehors de ce cas et aussi dans ce cas, on va chercher les “péchés de jeunesse”, par exemple, et on le publie. Pas les délits, hein ? Les délits, c’est autre chose : l’abus des mineurs est un délit. Non, les péchés. Mais si une personne, laïque ou prêtre, ou sœur, a fait un péché et s’est convertie ensuite, le Seigneur pardonne, et quand le Seigneur pardonne, le Seigneur oublie et ça, c’est important pour notre vie. Quand nous allons nous confesser et que nous disons vraiment « J’ai péché sur ce point », le Seigneur oublie et nous n’avons pas le droit de ne pas oublier, parce que nous courons le risque que le Seigneur n’oublie pas nos péchés. C’est un danger, ceci. C’est important : une théologie du péché. Si souvent, je pense à Saint Pierre : il a fait un des pires péchés, qui est de renier le Christ, et avec ce péché, on l’a fait pape. Nous devons beaucoup y réfléchir.

Mais, pour revenir à votre question plus concrète : dans ce cas, j’ai fait l’investigatio previa et nous n’avons pas trouvé. C’est la première question. Et puis, vous parliez du lobby gay. Bah ! On écrit tellement sur le lobby gay. Je n’ai pas encore trouvé quelqu’un qui puisse me donner la carte d’identité, au Vatican, avec “gay”. On dit qu’il y en a. Je crois que quand on se trouve avec quelqu’un comme ça, on doit distinguer le fait d’être une personne gay du fait de faire un lobby, parce que les lobbies, tous, ne sont pas bons. Ça, c’est mauvais.

Si une personne est gay et cherche le Seigneur et qu’elle est de bonne volonté, mais qui suis-je pour la juger ? Le Catéchisme de l’Église catholique explique cela d’une manière très belle, mais il dit, attends un peu, comment dire, et il dit : « il ne faut pas marginaliser ces personnes pour autant, elles doivent être intégrées dans la société ». Le problème n’est pas d’avoir cette tendance, non, nous devons être frères, parce que lui c’en est un, mais s’il y en a un autre, un autre. Le problème, c’est de faire un lobby de cette tendance : lobby d’avares, lobby de politiciens, lobby de francs-maçons, tous ces lobbies. C’est cela, le problème le plus grave pour moi. Et je vous remercie beaucoup d’avoir posé cette question. Merci beaucoup !

Traduction de Zenit, Hélène Ginabat

 

* * *

papeFrançois et le lobby gay au Vatican

Comment devant le regard obséquieux et pervers de ce personnage “Mgr” Battista Ricca, Bergo(go)glio peut-il nous faire croire qu’il n’était au courant de rien !

Le prélat du lobby gay

par Sandro Magister

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ROME, le 18 juillet 2013 – « À la curie on parle d’un “lobby gay”. Et c’est vrai, il y en a un. Voyons ce que nous pouvons faire », a déclaré le pape François à des religieux latino-américains qu’il recevait en audience, le 6 juin.

Lire l’article : http://chiesa.espresso.repubblica.it/articolo/1350561?fr=y  et en particulier : « Le trou noir qu’il y a dans l’histoire personnelle de Ricca, c’est la période qu’il a passée en Uruguay, à Montevideo, sur la rive nord du Rio de la Plata, en face de Buenos Aires. »

* * *

 

 

UN PEU PLUS SUR FRANCISCO ET LES SODOMITES

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Sainte Catherine de Sienne, a reçu cette phrase de Notre Monsieur Jésus-Christ :

“ LA SODOMIE EST PESTILENTE POUR MOI ET DÉSAGRÉABLE MÊME POUR LES DÉMONS EUX-MÊMES ”

« Voilà l’horreur et le dégoût que ce péché me cause, et non seulement à moi, mais aux démons eux-mêmes, que ces malheureux ont choisis pour maîtres. »

http://www.abbaye-saint-benoit.ch/saints/catherine/oeuvres/dialogue.htm#124


Sainte Catherine de Sienne : vice maudit qui répugne aux démons eux-mêmes

La grande sainte Catherine de Sienne (1347-1380), maîtresse en spiritualité et Docteur de l’Église, condamna avec véhémence l’homosexualité.

Voici comment, dans son Dialogue de la divine Providence, elle relate les enseignements du Christ lui-même à propos du vice contre nature :

« C’est tout immondes qu’ils approchent de ce mystère, et non pas seulement avec l’impureté et la fragilité vers laquelle votre fragile nature vous incline (bien que la raison, quand le libre arbitre le veut, réprime cette rébellion) mais en commettant misérablement, au lieu de le réprimer, le maudit péché contre nature. Comme des maudits et des insensés, puisque la lumière de leur jugement s’est obscurcie, ils ne sont plus incommodés par cette puanteur et par tant de misère ! Non seulement je l’ai en horreur, moi suprême et éternelle pureté (je l’abomine tellement que mon divin jugement a englouti cinq villes uniquement à cause de ce péché) mais que les démons eux-mêmes, les démons que ces misérables se sont donnés pour maîtres, ne peuvent le supporter. Non pas que le mal ne leur déplaise, ils n’aiment aucun bien, mais leur nature a été une nature angélique et c’est pourquoi elle répugne à voir commettre cet énorme péché » (Sainte Catherine de Sienne, Le Livre des Dialogues, chapitre 124, pp. 401402).

http://www.virgo-maria.org/articles_HTML/2009/001_2009/VM-2009-01-22/VM-2009-01-21-A-00-Sodomie_et_St_Pierre_Damien.html

À lire (ou relire) avec intérêt : Saint Pierre Damien (1007-1072), Docteur de l’Église, Cardinal, dans son Liber Gomorrhianus (1048-1051) condamne avec une extrême sévérité la pédérastie cléricale et ceux qui la protègent.

 * * *

 

Nous vous présentons maintenant un article de l’américain Michael Anthony Hoffman (à ne pas confondre avec Michael Hoffman, réalisateur, producteur, scénariste et acteur américain né le 30 novembre 1956 à Hawaii.).

 

Michael Anthony Hoffman, est né en 1954 dans une famille juive d’un quartier populaire de l’est du Queens à New York. Auteur américain de New York, spécialiste des théories du complot, en particulier antimaçonniques, il a étudié l’histoire de la Seconde Guerre mondiale, et entre dans des discours qui contredisent la version “officielle” des événements – il est donc classé “révisionniste”. Il est peut-être l’homme qui a inventé le terme Holocaustianity —  Grand mensonge de l’Holocauste (sionisme) —pour désigner le culte qui a émergé dans le monde de l’après-guerre. Hoffman a puisé dans l’histoire de la Franc-Maçonnerie et de la pègre Kabbalo-Hermético-Gnostique plus généralement, surtout dans des contextes qui révèlent leur influence sur les idées de gouvernement contemporaine et des ingénieurs médias sociaux.

 

Présenté comme chrétien, il a vécu chez les Amish (1) !… et il est Protestant-américain (pourtant il parle de (défend) Marie ???) Anti-papiste”, il met en cause tous les papes en tant qu’usuriers et pro-sodomites depuis 1515, y compris – donc – saint Pie X, entre autres saints papes : excusez du peu !

 

Pour cette raison, nous mettons en garde nos lecteurs sur les propos d’Hoffman sur l’usure contenus dans l’article ci-dessous. Article que nous vous proposons « in extenso » pour la valeur de sa critique de la question sodomite.


 

Le « Vicaire du Christ sur terre » déclare textuellement :

« Qui suis-je pour juger un prêtre gay ? »

 

 

Par Michael Hoffman

www.revisionisthistory.org

(Lundi 29 juillet 2013)

L’Église catholique de la Renaissance a donné son approbation à l’usure sous le masque de maints euphémismes et ambiguïtés qui éblouissent et sidèrent depuis 1515 les vrais croyants de l’Église de Rome. L’encyclique « Vix Pervenit » du Pape Benoît XIV, avocat des usuriers, en offre un exemple des plus pertinents. Il s’agit, en effet, d’un discours qui, composé à 95% d’anti-usure et à 5% de formules trompeuses, a permis l’adoption d’une clause dérogatoire autorisant certains types d’usure. Or, des « érudits catholiques conservateurs » de mentalité suicidaire défendent aujourd’hui encore cette clause comme constituant une défense contre l’usure.

Forts d’exemples comme celui-ci, nous devrions savoir qu’il est aberrant d’imaginer que l’ambiguïté et les élucubrations équivoques de l’actuel Pape François soient le sous-produit d’une mentalité « vaticandeuse » des années soixante. Quiconque croirait cela prouverait que la cryptocratie vaticane s’est assuré sur son cerveau une maîtrise aussi absolue que celle avec laquelle l’araignée attire une mouche dans sa toile. Foin de toute amnésie, par conséquent, car « Vix Pervenit » a été publiée en 1745, non en 1965 !

Observez bien la manière dont le Pape François aborde la question sodomite. Selon le New York Times, il a déclaré aux journalistes présents sur son vol : « Si quelqu’un est gay et cherche le Seigneur dans un esprit de bonne volonté, qui suis-je pour le juger ? » (cf. « Pope Says He Will Not Judge Gay Priests » [le Pape dit qu’il ne jugera pas les prêtres gay], NY Times (en ligne) du 29 juillet 2013.

Sodomites

A-t-il vraiment employé le terme gay, orwellien et « novlangue » à souhait, à la place du mot sodomie ? Si oui, c’est déjà en soi une faute grave de ne pas appeler une chose par son nom.

Voyez-vous l’hameçon que cache le double langage du pape ? Percevez-vous la clause dérogatoire qu’il a jetée en pâture à son aile droite ? Ce qu’il a dit, ce n’est pas qu’il refusait de juger les actes homosexuels, c’est seulement qu’il se refusait à juger du point de savoir si un prêtre était homosexuel, ce qui donne à son aile droite la possibilité de supposer qu’il fait allusion à un prêtre célibataire « d’orientation homosexuelle ». Telle est la clause dérogatoire que ses partisans de droite exploiteront pour faire taire le tollé : « Le pape a dit simplement qu’il ne voulait pas juger les prêtres de bonne foi qui ont une orientation gay, sans approuver pour autant les pratiques gay. » (Au cours des prochains jours, on va lire et entendre des « éclaircissements » visant à mettre du baume sur les sensibilités de droite écorchées.)

Même dans ce cas, on est face à une énorme trahison, car le fait d’identifier immuablement les êtres humains à leur « orientation sexuelle » vient soutenir le mythe populaire selon lequel la plupart des homosexuels « sont nés ainsi et ne peuvent pas changer ». Or, c’est le contraire qui est vrai. La cryptocratie encourage l’androgynie et l’homosexualité, ne serait-ce que parce qu’elles contribuent à réduire l’« excédent » démographique, et aussi parce qu’elles amènent les individus sur la voie de l’anarchie et du déracinement, ce qui les expose à d’autres changements révolutionnaires et antinaturels. N’importe quel jeune qu’attire normalement le sexe opposé pourra ainsi se laisser inciter par l’ambiance culturelle à expérimenter l’homosexualité, après quoi on lui dira qu’il a une « orientation gay » définitive.

Tout véritable vicaire du Christ aurait dit aux journalistes ce qui suit : « Avec Dieu, tout est possible ; c’est pourquoi ceux qui croient avoir une orientation homosexuelle peuvent, par la prière comme par la pureté de cœur et d’esprit, clarifier leurs désirs et découvrir qu’ils éprouvent un sain attrait pour le sexe opposé, quand bien même cet attrait serait enterré sous les présupposés et les fantasmes que leur impose une culture plaçant tout ce qui est « tendance » au dessus de la morale biblique et de l’anoblissement de l’être humain. L’homosexuel est un individu qu’exalte la culture contemporaine. C’est ainsi que des gens sont amenés à s’identifier à la condition homosexuelle alors même que celle-ci ne fait pas vraiment partie de leur moi profond. Dans le même temps, ces mères héroïques et ces pères de famille nombreuse qui s’échinent quotidiennement pour nourrir et éduquer les leurs, formant ainsi le socle de la société, sont perçus et présentés par la publicité et les autres médias comme des bêtes de somme sans intérêt, comme les tout derniers exemples à suivre. Ne vous attendez pas à ce que j’approuve ces attitudes pathologiques. » Voilà ce que François aurait dit s’il était un pape digne de ce nom.

Les partisans que le « Pape François » compte sur sa gauche ne manqueront pas de saisir le symbolisme évident et téméraire de sa déclaration pour interpréter celle-ci largement et de telle sorte que la plupart des gens, y compris les jeunes, croient qu’il n’est pas moralement répréhensible de pratiquer la sodomie « si l’on cherche le Seigneur ».

 

Si les prêtres homosexuels de ce pontife étaient d’« orientation » nazie plutôt que sodomite, je serais prêt à parier n’importe quoi qu’il les vouerait sans hésiter au barbecue de l’enfer éternel. Mais lorsqu’il s’agit de prêtres « seulement » attirés par les rapports sexuels anaux, il s’interdit de les juger en tant que Pontifex Maximus.

 

Imaginez un adolescent catholique de quinze ou seize ans à la sexualité hésitante qui se sent surtout attiré par les filles, mais aussi un peu par les autres garçons et qui lirait les gros titres consacrés actuellement au pape. Si ce jeune catholique choisit une « orientation gay », François veut qu’il sache qu’en tant que pape, il n’a ni le pouvoir ni l’autorité de le « juger ». Si, ayant commencé à sortir, ce garçon se fait sodomiser, l’aile droite catholique dira : « Ce n’est pas la faute du Saint Père ; il n’a pas approuvé la sodomie, il s’est juste abstenu de juger l’orientation sodomite ».

Nos recherches font apparaître de plus en plus clairement qu’à mesure que l’Église de Rome autorisait depuis le début du seizième siècle l’usure et sa stérilité d’argent autoproductif, la pratique de la sodomie progressait de manière exponentielle dans les rangs supérieurs du clergé romain, le phénomène restant voilé durant des siècles sous un secret clérical qui commence à se fissurer aujourd’hui. Et nous attirons l’attention sur le fait évident que la sodomie est, elle aussi, une forme de stérilité.

Le Pape François offre un reflet de ce courant pro-sodomite, d’abord souterrain mais apparaissant maintenant au grand jour en tant que « Révélation-de-la-Méthode » (2), et les médias confèrent un imprimatur enthousiaste à ce moderne Uriah Heep (3) en le baptisant « pape de l’humilité ».

Il ne faut pas s’étonner que des millions de chrétiens latino-américains fuient l’Église de Rome pour se réfugier dans les chapelles des églises protestantes qui restent ancrées au socle biblique, apostolique et patristique du christianisme. Elles n’ont pas au-dessus d’elles un pape « infaillible » pour les fourvoyer et leur faire perdre leur salut éternel. Elles ont la liberté d’adhérer ou non à la Vérité biblique et de défier le mouvement sodomite, indépendantes qu’elles sont du dernier en date des fossoyeurs suicidaires romains, ultime représentant d’une lignée de plus de quarante papes usuriers. Les catholiques craignant Dieu et ne présentant pas un encéphalogramme plat doivent oser entreprendre une profonde réflexion sur les tromperies et les ravages que l’on doit aux papes de Rome depuis 1515, c’est-à-dire pendant les 498 années où l’usure cléricale et la sodomie sont allées de pair au sein de l’institution romaine.

Cette pourriture impie n’a pas commencé avec les « Lumières », la Révolution française ou Vatican II. Si vous ajoutez foi à ce bobard, le préféré des catholiques « traditionalistes », vous ne serez jamais capable de décoder l’actuelle manifestation du Mystère de Babylone, à savoir la déclaration par le supposé « Vicaire du Christ sur terre » qu’il ne peut pas juger les prêtres catholiques portés à la sodomie. Ce type de mensonge papal éhonté n’est autre qu’un défi lancé aux moutons hypnotisés que nous sommes pour voir s’ils vont gober une telle vomissure sans broncher ou si, au contraire, ils vont se dresser et rendre témoignage à la Vérité de Dieu, de Ses Apôtres, de Ses patriarches et de Ses saints.

Le Pape François n’a d’autre boussole morale qu’une éthique de circonstance. Or, c’est précisément l’éthique de circonstance qui a suscité la légalisation du péché mortel d’usure, d’abord au sein de l’Église de Rome lorsque Jean Calvin n’était qu’un enfant, puis par Calvin lui-même, sous l’influence de l’équité circonstancielle de Rome – ou epikeia –, qui est parfois juste quand elle sert à infléchir les lois humaines, mais qui est toujours talmudique et rabbinique quand on l’invoque pour modifier ou abroger les lois de Dieu.

C’est le zeitgeist ou « esprit du temps » qui détermine l’éthique du Vatican rebellé contre Dieu. L’esprit du temps présent étant entièrement imprégné d’homosexualité, la papauté s’adapte à ce pervers état de choses. Lorsque le Pouvoir de l’argent s’est emparé du zeitgeist durant la Renaissance, une papauté absolutiste a ouvert la porte au capitalisme prédateur. Or, aucun pape n’a le droit d’altérer la loi de Dieu, et si un pape le fait, il doit exister un mécanisme pour le corriger ou même le déposer.

Depuis 498 ans, les éthiciens de circonstance qui occupent le trône de Pierre s’abstiennent d’observer la loi éternelle de Dieu. Forts de cette éthique de circonstance, les papes de la Renaissance ont déformé la loi divine, et le papisme va s’arranger pour que d’ici à ce que les catholiques autoproclamés finissent par comprendre que l’autorité absolue conférée au pape porte en elle les germes de la catastrophe, cette catastrophe soit déjà sur nous. Le Christ voulait que Ses fidèles fussent des soldats (miles Christi), non des esclaves de simples humains, moins encore d’un sinistre clown blanc qui invoque Jésus pour mieux se moquer de Lui et de Sa Loi éternelle et immuable, que celle-ci condamne les prêts d’argent (Luc 6 : 32-36) ou les relations sexuelles entre hommes (Lévitique 18 : 22 ; Romains 1 : 26-27).

Enfin, promettons-nous de ne plus nous laisser endormir dorénavant par une novlangue orwellienne qui emprisonne nos esprits en nous amenant à penser selon la manière occlusive dont les manipulateurs masqués fabriquent de toutes pièces cette controverse. Ce dont il est question ici, c’est de rapports sexuels centrés sur l’égout rectal du corps humain. Il n’y a à cela strictement rien d’innocent ni de joyeux (« gai ») ; cessons donc de nous soumettre à la double pensée que nous imposent nos maîtres des médias lorsque nous luttons pour conserver leur pureté à nos enfants face au loup ravisseur couvert d’une peau de brebis ou – comme en l’espèce – des vêtements de saint Pierre.

***

Source :

http://revisionistreview.blogspot.fr/2013/07/vicar-of-christ-on-earth-asks-who-am-i.html

 

Traduction CatholicaPedia.net

Que notre traducteur soit ici une nouvelle fois remercié.

 


[1] Les Amish sont une communauté anabaptiste présente en Amérique du Nord, vivant de façon simple et à l’écart de la société moderne. L’anabaptisme est le courant protestant qui prône un baptême volontaire et conscient, à un âge où la personne est en mesure de comprendre l’engagement.

[2] NdT : Expression crée par Michael Hoffman. Dans l’absolu, la « Révélation de la Méthode » est un rituel occulte, particulièrement un psychodrame franc-maçon. Employée ordinairement, l’expression décrit la tactique utilisée par la cryptocratie quand elle s’apprête à commettre un grand crime : elle manifeste ses intentions par avance en se servant pour cela du cinéma populaire et de la télévision.

[3] NdT : Personnage du roman de Charles Dickens David Copperfield. D’une obséquiosité et d’une hypocrisie écœurantes, cet individu – qui occupe une place centrale dans la dernière partie de l’ouvrage – se vante sans cesse de son humilité affectée. Dans les pays anglo-saxons, son nom a fini par devenir synonyme de « béni-oui-oui ».

 

 

Written by Cave Ne Cadas

août 4th, 2013 at 3:53 pm

Posted in église Conciliaire,Jorge Mario Bergoglio,Michael A. Hoffman,Sandro Magister,Sodome et Gomorrhe

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Cette société décadente aura le sort qu’elle mérite !

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Suite à un débat passionné sur la décomposition de notre société par la gent politique mensongère (plus menteurs qu’eux tu meurs !…) qui nous renvoie à l’époque de Sodome et Gomorrhe… (cf. http://wordpress.catholicapedia.net/?p=7404#comments)

N’étant pas démocrate ! et donc pas concerné (dans le sens pas intéressé !…) par ces faits politiques… j’avais pris parti de ne pas abordé ce sujet sur notre blogue ! (cf. http://wordpress.catholicapedia.net/?p=7404#comment-8121) mais le site “Le Grand RéveilRévélations pour la fin des temps —” vient de publier un article intéressant que je relaie bien volontiers.

Ndlr du CatholicaPedia : Malgré de bons articles, ce site “Le Grand RéveilRévélations pour la fin des temps –” est à lire avec précaution !

En effet, admirateurs de la prose de “Louis de Boanergès” alias Vincent Morlier (adepte de la thèse millénariste), les ou le rédacteur(s) de ce site font l’impasse sur le Règne du Christ-Roy et nous envoient prochainement directement au règne de l’Antéchrist…

Concernant Vincent Morlier, lire le document « Réponse à L’IMPUBLIABLE de Vincent Morlier, DFT (Diffusion de la Fin des Temps) » : http://www.a-c-r-f.com/documents/LHR-Reponse_a_impubliable.pdf

« Nous ne sommes pas aux temps eschatologiques. Le règne du Sacré-Cœur, tant promis, doit suivre. Là encore le vénérable Holzhauser a tout dit. Là encore nous différons avec V. M. »

 

Concernant l’Antéchrist, lire le document « À propos du RÈGNE DE L’ANTÉCHRIST » : http://www.a-c-r-f.com/documents/LHR-Regne_Antechrist.pdf

« Il n’est pas rare de lire dans nos milieux que nous sommes au temps de l’Antéchrist.

Question éminemment importante car si l‘on se trompe, les conséquences peuvent en être graves.

(…)

Nous ne partageons pas cette vision de la situation annonçant pour demain le Règne de Satan.

(…)

Rien ne confirme que le Règne de Notre-Seigneur vienne après le Règne de l’Antéchrist.

Et à notre avis il ne peut pas venir après. Il faut que le Règne de l’Antéchrist soit une vengeance complète de l’Adversaire et donc une victoire diabolique sur Notre-Seigneur Jésus-Christ. Quelle plus grande victoire que d’abattre le Règne du Sacré-Cœur et d’y succéder !

De plus, le retour prédit de Notre-Seigneur est réservé pour le jugement général. »

* * *

Cette société décadente aura le sort qu’elle mérite

 

Le 23 avril 2013 aura été une grande victoire pour les francs-maçons mondialistes qui nous gouvernent. Ce fut même un coup de maître, diaboliquement pervers, car ils ont remporté en réalité 3 victoires dans cette grande bataille entre le bien et le mal.

Passons rapidement sur le mécanisme de destruction de la civilisation chrétienne, qui est déjà bien avancé. Cette loi sur le mariage pour tous vient s’ajouter à une longue liste de lois iniques, de l’avortement à l’autorisation des recherches sur l’embryon, en passant par la séparation de l’Église et de l’État en 1905, tout ayant commencé par la loi de 1882 de Jules Ferry imposant l’école laïque. Vous voyez, ça ne date pas d’hier.

Je n’ai pas souvenir d’ailleurs que la loi Veil de 1974 autorisant l’avortement ait autant mobilisé les foules. Et pourtant, le péché était beaucoup plus grand.

Passons sur le renversement des valeurs, où le mal prend la place du bien, où le vice est dorénavant considéré comme une vertu, où la confusion est extrême. Rappelez-vous les paroles d’Isaïe (V,20) : « Malheur à ceux qui appellent le mal bien, et le bien mal, qui changent les ténèbres en lumière, et la lumière en ténèbres. »

Passons sur cette république qui veut imposer ses valeurs laïques en lieu et place des valeurs chrétiennes, valeurs qui reposent sur la trilogie satanique et franc-maçonne de liberté, égalité, fraternité – jusqu’à concocter leur propre morale ! – pour aboutir à la résurgence de Sodome & Gomorrhe… Ils devraient se rappeler comment cette histoire s’est terminée… les deux villes détruites par le feu… en totalité… pas un n’en a réchappé.

Passons sur l’état de décomposition avancée de la société – et pas uniquement française – qui faisait dire à Raoul Auclair en 1973 (Histoire et Prophétie, NEL) : « Mais il n’est pas que la dissolution de la morale, la bestialité désormais affichée et la pornographie qui s’étale et nous provoque ; il y a aussi la dissolution de la pensée dans la philosophie ; de la parole dans la littérature ; de la forme dans la peinture et de l’harmonie dans la musique. ». Et c’était il y a 40 ans ! Que dirait-il aujourd’hui ?

Non. En réalité, les socialistes ont remporté 3 victoires :

1. Confirmation d’un État policier et totalitaire

Nous savions déjà depuis longtemps que notre système pseudo-démocratique était en réalité une ploutocratie. Les oligarques au pouvoir font ce qu’ils veulent et se fichent totalement de la volonté du peuple. Depuis presque un siècle, les médias aux ordres ont eu pour mission de faire basculer l’opinion en faveur du pouvoir : on critique les dirigeants mais personne ne remet en cause l’autorité de la république. Avec cette affaire du mariage pour tous, ils ont tombé le masque et montré que la phase II était prête : nous sommes officiellement dans un État totalitaire qui méprise le peuple, censé être souverain, et s’appuie sur la force policière pour le réprimer si jamais il avait des velléités de s’opposer à ses projets.
Donc, malgré une mobilisation du peuple jamais vue à cette échelle, la loi est passée.

2. Officialisation de l’homosexualité

Les opposants au mariage pour tous ont été roulés dans la farine. En beauté. Car cette affaire a permis de légaliser l’homosexualité sous prétexte d’homophobie. C’est-à-dire que plus personne, y compris et surtout parmi les opposants, ne s’avise de critiquer ou de dénoncer l’homosexualité. Ce qui était un comportement contre-nature, un péché grave au regard de Dieu, une perversion humaine, est devenu un comportement normal, une pratique comme une autre. Cette stratégie a permis de placer l’homophobie sur le même plan que le racisme ou l’antisémitisme. On va l’enseigner dans les écoles, dès le primaire. Bref, on en fait la promotion ; et les opposants au mariage gay acquiescent. On ne fait plus la différence entre les homosexuels, qui sont des personnes humaines pour la plupart parfaitement respectables et que notre devoir de chrétiens est d’inciter à renoncer à leur vice, et l’homosexualité, pratique abominable faisant partie des péchés graves qui offensent le plus Dieu.

3. Préparation de la guerre civile

La dialectique marxiste fonctionne très bien : thèse, antithèse, synthèse. Jusqu’à maintenant, la tactique classique consistant à créer des oppositions de toutes sortes pour nous dresser les uns contre les autres avait bien fonctionné : riches contre pauvres, patrons contre employés, blancs contre noirs, jeunes contre vieux, hommes contre femmes, enfants contre parents, fonctionnaires contre privé… la liste est aussi longue que le diable est puissant. Dans la plupart des manifestations, toujours de gauche, un certain nombre d’éléments perturbateurs (syndicalistes, voyous, casseurs) sèment le désordre et multiplient les incivilités et les dégradations. On les reconnaît facilement : ils sont encagoulés et encapuchonnés.
Cette fois-ci, pour une fois que la droite descend dans la rue, elle a droit au même traitement. Finalement, ces manifestants perturbent la république. En plus, ceux-là on peut les gazer, les matraquer, les arrêter, les placer en garde à vue, et leur mettre des amendes : ils les payent eux ! Pire : en minimisant effrontément les chiffres des manifestations, en jetant aux orties une pétition de 700 000 signatures, en les assimilant à des voyous, en embastillant plus de braves gens que de casseurs, bref en nous crachant dessus ouvertement avec la complicité des médias, ils exaspèrent le bon peuple de France. Ils créent des tensions supplémentaires et préparent le terrain à la guerre civile.

 

Alors que se passera-t-il ? Quel sera notre châtiment ? Comment expierons-nous nos crimes ? Acteurs de l’iniquité ou complices par notre passivité et notre manque de courage, nous aurons tous à répondre de nos actes et de nos pensées devant Dieu.

Quant au sort de cette république pourrie jusqu’à la moelle, je crois que Marie-Julie Jahenny a été assez explicite :

« Le feu du ciel tombera sur Sodome (probablement Paris) et principalement sur cette salle de l’enfer où se fabriquent les mauvaises lois. Elle sera engloutie et sa place sera comme une immense carrière de laquelle, jusqu’à la fin du monde, on ne pourra s’approcher sans frémissement d’horreur. »

Des paroles qui font écho à ceux de la Vierge Marie à la Salette : « Paris sera brûlé. »
Nous ne méritons pas mieux.

 

Source : http://legrandreveil.wordpress.com/2013/04/25/cette-societe-decadente-aura-le-sort-quelle-merite/

 

 

Written by Cave Ne Cadas

avril 26th, 2013 at 4:28 pm

Posted in Le Grand Réveil,Sodome et Gomorrhe

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Jérôme Bourbon dans RIVAROL : Le Vatican défend les “droits des gays”

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Jérôme Bourbon dans le RIVAROL n° 3080 du 8 février, publie un article sur l’information que nous vous donnions hier : Le Vatican [de l’anti-pape Ratzinger] ouvert à des “droits civils” pour les couples gays

 

Ndlr du CatholicaPedia : Les accentuations sont de nous.

Rivarol n°3080 du 8/2/2013


Le Vatican défend les “droits des gays”

 

Comme d’habitude quand il s’agit de questions dites sociétales le législateur avance masqué. Aujourd’hui François Hollande se dit opposé à la gestation pour autrui (GPA) mais hélas nous y viendrons. D’ailleurs, après moult tergiversations, le Premier ministre a confirmé que le Parlement débattrait avant la fin de l’année de la procréation médicalement assistée (PMA), évident premier pas vers la GPA. Il s’agit comme d’ordinaire d’utiliser un double discours voire de mentir ouvertement pour mieux désarmer et diviser les résistances et ainsi faire aboutir un projet révolutionnant le droit de la famille et l’état civil puisque dans le projet gouvernemental il est prévu que les enfants auront désormais le nom des deux géniteurs.

Au moment où le Parlement français vote en faveur du mariage homosexuel, comme vient de le faire le Parlement britannique pourtant dominé par de prétendus conservateurs, le Vatican se prononce en faveur des « droits des gays ». Président du « Conseil pontifical pour la famille », l’archevêque Vincenzo Paglia a reconnu qu’il existe « toutes sortes d’unions familiales » et qu’ « il y a des droits individuels à garantir. Il faut chercher des solutions dans le droit privé et dans le domaine patrimonial. Je pense que la politique doit, sereinement, s’en occuper ». Le « ministre de la Famille » de Benoît XVI lance ouvertement un appel au monde politique en vue d’une solution légiférée : « Certains ne veulent rien changer. Moi, je pense qu’il faut trouver de nouvelles voies pour arriver à une solution », a souligné Mgr Paglia, avant de condamner la discrimination des homosexuels dans le monde : « Je veux réaffirmer la dignité de tous les fils de Dieu. Une dignité intouchable. Tous les hommes sont égaux parce qu’ils ont le signe de Dieu. Dans une vingtaine de pays, l’homosexualité est un délit. Je souhaite que nous nous battions contre ça. » Franco Grillini, chef historique des gays italiens se réjouit évidemment de cette déclaration : « c’est la première fois qu’un prélat reconnaît les droits des couples gays et que les homosexuels sont persécutés dans le monde ».

Selon les vaticanistes, ces déclarations de Mgr Paglia s’inscrivent dans le cadre d’une vaste réflexion de Benoît XVI sur tous les thèmes touchant la famille, y compris celui de l’eucharistie pour les divorcés remariés. « Le pape veut résoudre la question grâce à la possibilité de reconnaître l’annulation d’un mariage par manque de foi, a affirmé le président du “Conseil pontifical pour la famille”. Les procédures peuvent être abrégées. Le synode des évêques a longuement abordé ce thème. Il faut trouver une solution, rapidement. » Déjà, en septembre dernier, la « conférence des évêques de France », par sa commission « Famille et société », avait publié une note sur l’homosexualité disant ceci  : « La société, tout comme l’Église dans le domaine qui lui est propre, entend cette demande de la part des personnes homosexuelles et peut chercher une réponse. Tout en affirmant l’importance de l’altérité sexuelle et le fait que les partenaires homosexuels se différencient des couples hétérosexuels par l’impossibilité de procréer naturellement, nous pouvons estimer le désir d’un engagement à la fidélité d’une affection, d’un attachement sincère, du souci de l’autre et d’une solidarité qui dépasse la réduction de la relation homosexuelle à un simple engagement érotique. » Nous sommes là à des années lumières de ce que disent tant la Bible que le catéchisme sur l’homosexualité. Rappelons seulement que le Catéchisme de saint Pie X définit « le péché impur contre l’ordre de la nature » comme l’un des quatre « péchés qui crient vengeance devant Dieu » avec l’homicide volontaire, l’oppression des pauvres et le refus de salaire aux ouvriers.

Ces déclarations ahurissantes des prélats modernistes ne sont pas sans précédent. Dans un livre d’entretiens paru fin 2010 “Lumière du monde”, Josef Ratzinger avait pris l’exemple d’un prostitué masculin pour justifier l’usage du préservatif. « Il peut y avoir des cas individuels, comme quand un homme prostitué utilise un préservatif, où cela peut être un premier pas vers une moralisation (sic !), un début de responsabilité permettant de prendre à nouveau conscience que tout n’est pas permis et que l’on ne peut pas faire tout ce que l’on veut ». On le voit, il est totalement vain de compter sur les occupants du Vatican pour défendre sans concession la morale naturelle et s’opposer sincèrement et avec vigueur aux projets de loi mortifères qui se multiplient actuellement dans les pays occidentaux autrefois chrétiens. Beaucoup, même parmi les traditionalistes, croient souvent qu’au moins sur les questions de morale l’on peut se fier aux dirigeants de l’église Conciliaire. C’est une mortelle illusion. Lorsque, en 1997, le docteur Dor avait demandé l’asile politique au Vatican car il avait été condamné à de la prison ferme pour s’être opposé à l’avortement en récitant le chapelet à proximité des avortoirs, la nonciature à Paris l’avait traité ignominieusement ainsi qu’il l’avait lui-même raconté. Et les prélats modernistes ont toujours été tout sourire avec des dirigeants politiques défendant le droit à l’avortement, leur distribuant même la communion à l’occasion. De même le cardinal Vingt-Trois qui a récemment rencontré François Hollande sur la question du mariage homosexuel était hilare à la sortie ! Rappelons également que l’épiscopat moderniste avait approuvé le mouvement de mai 1968 qui voulait en finir avec la morale bourgeoise, qu’il a approuvé la parité en 2000 et qu’il est à tout le moins resté d’une grande tiédeur au moment du vote des lois Neuwirth (1967) et Veil (1975).

On ne le répètera jamais assez, depuis la mort de Pie XII et le funeste conciliabule Vatican II, nous vivons l’époque de la Grande Apostasie de sorte que l’on ne saurait faire confiance à aucune structure, à aucun chef. Les intrus du Vatican travaillent main dans la main avec les cénacles mondialistes dont ils font partie. D’ailleurs, dans son encyclique “Caritas in veritate” publiée le 7 juillet 2009, Benoît XVI qui a reçu plusieurs fois les B’nai B’rith se prononçait explicitement en faveur d’un gouvernement mondial. « Il est urgent que soit mise en place une véritable Autorité politique mondiale (…) Cette Autorité devra en outre être reconnue par tous, jouir d’un pouvoir effectif (…) Elle devra évidemment posséder la faculté de faire respecter ses décisions » (paragraphe 57). Et le successeur de Jean Paul II d’insister dans le même document : « Le développement intégral des peuples et la collaboration internationale exigent que soit institué un degré supérieur d’organisation à l’échelle internationale de type subsidiaire pour la gouvernance de la mondialisation. » Nous sommes trahis et abandonnés de tous les côtés. Mais aussi douloureuse et effrayante que soit la réalité, il faut avoir le courage de la regarder en face et d’en tirer toutes les conséquences car comme l’écrivait Bossuet « il n’est pire dérèglement de l’esprit que de voir la réalité non telle qu’elle est mais telle qu’on voudrait qu’elle soit ». À l’évidence un monde qui accepte que l’on massacre en masse des bébés dans le ventre de leur mère et qui s’apprête à donner le plus légalement du monde des enfants en pâture à des “couples” d’invertis ne mérite pas de durer.

 

Jérôme BOURBON.

 

 

RIVAROL

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Le Vatican [de l’anti-pape Ratzinger] ouvert à des “droits civils” pour les couples gays

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Dans le courrier des Lecteurs nous recevons ce message :

Bonjour à tous,

Il serait bon de faire parvenir cet article à Mgr Fellay, qu’il soit au courant de la vraie nature de Vatican II et des intentions papales.

 

06/02/2013 11:09:31
Un nouvel article sur le blog www.brujitafr.fr

Le Vatican ouvert à des « droits civils » pour les couples gays

© epa. Pour la première fois, un ministre du pape a encouragé mardi la reconnaissance de droits pour les couples non mariés, homosexuels ou non, tout en réaffirmant l’opposition absolue et sans…
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Le Vatican ouvert à des « droits civils » pour les couples gays

© epa.

 

Pour la première fois, un ministre du pape a encouragé mardi la reconnaissance de droits pour les couples non mariés, homosexuels ou non, tout en réaffirmant l’opposition absolue et sans ambiguïté de l’Église au mariage gay.

 

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Le monde politique doit trouver des « solutions de droit privé » et aménager des « perspectives patrimoniales » pour les couples non mariés qui sont toujours plus nombreux et divers au point de former une véritable « archipel », a déclaré le « ministre » de la Famille du Saint-Siège, Mgr Vincenzo Paglia, dont les propos ont été rapportés mardi par le journal catholique Avvenire.

« Dans le cadre de l’actuel code civil et patrimonial, des solutions peuvent être trouvées dont il faut tenir compte, soit au plan patrimonial, soit pour faciliter les conditions de vie afin d’empêcher que des injustices frappent les plus faibles », a dit Mgr Paglia. « Qu’il y ait des droits individuels à garantir est évident », a-t-il ajouté.

Il répondait à des journalistes sur la position de l’Église face aux différentes formes de foyers – couples non mariés, gays ou non, divorcés remariés, mères célibataires notamment – devenues très courantes et que vivent de nombreux catholiques.

Une question brûlante pour le Vatican, alors que le parlement français est en train d’approuver la légalisation du mariage et de l’adoption par les couples gays, malgré l’opposition des chefs des principales religions de France. Le sujet préoccupe d’autant plus le Saint-Siège que des réformes sont discutées ou votées non seulement en Europe et aux États-Unis, mais aussi en Amérique Latine. Le sujet monte aussi en Asie.

Le pape lui-même a exprimé sa désapprobation, pour des raisons religieuses et « anthropologiques » au nom de la « loi naturelle ». Mgr Paglia, de la communauté de Sant’Egidio, dirige depuis l’an dernier l’important ministère de la Famille, et aborde cette problématique complexe avec un esprit et un vocabulaire plus ouverts et modernes que ses prédécesseurs.

Mgr Paglia a rappelé l’opposition totale à l’adoption par les couples gays : « l’Église, a-t-il expliqué, connaît le prix des fragilités familiales qui est surtout acquitté par les enfants (nés ou non), les personnes âgées, les malades. Des transformations, importantes même, de l’institution familiale ont eu lieu à différentes époques, mais jamais on n’avait abandonné son « génome », c’est-à-dire une institution formée par un homme, une femme et des enfants », a-t-il dénoncé.

Lundi, un autre prélat, Mgr Rino Fisichella, « ministre » de la Nouvelle évangélisation, avait souligné la nécessité de trouver des réponses à ces réalités sociétales : « le législateur doit apporter des réponses à certaines exigences qui auparavant ne se posaient pas ».

« Autre chose est d’imposer une loi comme en Espagne, en France au Portugal sans un minimum de débat », a-t-il distingué. Mgr Paglia s’est aussi opposé à toute forme de discrimination contre les homosexuels, notamment du Moyen-Orient et d’Afrique, où leur relation est parfois passible de la peine de mort : si « dans certains pays », l’homosexualité est considérée comme un « délit », « je voudrais que cela soit combattu ».

Les associations homosexuelles italiennes se sont montrées partagées. Le président de Gaynet, Franco Grillini, a relevé que « pour la première fois un haut prélat reconnaît qu’il y a aussi des droits des couples homosexuels et que, dans de nombreux pays, l’homosexualité est un délit ».

Malgré le ton bienveillant de Mgr Paglia, Flavio Romani, président d’Arcigay, relève le nouveau « non » de l »Église au mariage entre personnes de même sexe, alors même que cette réforme « engrange des voix favorables dans l’opinion publique ».

L’affirmation par ce prélat de Curie que des solutions civiles hors mariage doivent être trouvées pour ces formes d’union n’est pas révolutionnaire, et ne concerne pas seulement les couples gays, observe-t-on.

Le Vatican exprime sa reconnaissance d’une nécessaire protection de ces situations multiples, tout en maintenant que le mariage chrétien homme/femme, indissoluble et pour la vie, est la seule solution catholiquement conforme. Il continue d’appeler les catholiques à s’y engager.

Source : www.7sur7.be

 * * *

Autre message reçu :

Le « Mariage » vu par notre notre apostat.

Crime sémantique et sacrilège de l’emploi du mot « MARIAGE » – confirmé le 3 février 2013 au Palais Bourbon par C. Taubira.

Une analyse brève mais magistrale de notre ami sur le mot « MARIAGE »
utilisé pour désigner l’union de tout couple sans distinction de sexe, homo ou hétérosexuel (cf. l’intervention démentielle et manifestement satanique du 3 février 2013 de C. TAUBIRA, à Versailles, au Palais Bourbon).

Un coup monté ! – « une synagogue de Satan plutôt ! » : Apocalypse, 2 : 9 (et cf. 3 : 9) : les maîtres de la franc-maçonnerie.

 

Mais qui parle du crime sémantique et sacrilège de l’emploi du mot « MARIAGE » ? Pratiquement personne… même chez les prêtres… alors que le simple changement de mot nous aurait évité cette énorme manif manipulée par la Synagogue… Rendons à César-socialiste ce qui lui appartient et laissons les païens (homos ou non) s’ « UNIR » autant qu’ils le souhaitent devant M. le maire ! À Dieu seul le jugement et chacun sera rétribué selon ses œuvres.

Après tout, il y a une logique révolutionnaire intrinsèque à la profonde déchristianisation de nos pays européens et à l’éclipse de l’Église.

Souvenons-nous que rien n’arrive sans la permission de Dieu ! Il me semble qu’une immense part de nos bons « catholiques » sont en déni de cela… Nos socialistes ne font que se mettre à la remorque de cette « évolution »!…

Le divorce (maçonnique) et la contraception quasi obligatoire ont voilé pour longtemps le caractère sacré du mariage qui est avant tout un sacrement. Mais que sont devenus les sacrements de nos jours dans la secte ?

Une coquille vide…

Avez-vous remarqué la profonde aberration que recouvre l’expression « mariage pour tous » ? Nos sociétés laïcisées sont en train d’atteindre le point de non retour de la folie planifiée. Bien sûr cela est voulu en haut lieu… Il s’agit de restructurer entièrement la mentalité archaïque de l’homme en un homme « nouveau » (caricature diabolique de l’Homme Nouveau chrétien), celui qui a pris la place de Dieu en brandissant le « non serviam » de Lucifer ! La banalisation et la désacralisation du mot »mariage » nous montrent à l’évidence son origine préternaturelle…

Un sacrement en remplace un autre. Il y a une raison profonde à garder la coquille pour mieux faire passer la pilule car même les païens, même les « athées », même les homosexuels ont besoin de sacré ! C’est dans la nature profonde de l’homme. Les révolutionnaires ont compris cela depuis bien longtemps…

Le sacrement républicain du « mariage pour tous » viendra tout naturellement remplacer le vieux concept catholique et cette sécularisation gardera ce qui dans la coquille vide garde au plus profond des mentalités un caractère sacré ! L’emploi indifférencié (ou presque !) des mots union ou mariage permet, subliminalement, de contenter toutes les sensibilités (!) dans leur approche personnelle de la notion (revisitée) du sacré.

La nature profonde d’une manifestation extérieure (de rue) étant toujours basée sur la force du nombre, il y a des affinités profondes entre ce genre d’action et la religion démocratique que même le nombre ne réussit pas toujours à impressionner ! Là encore, les forces d’En-Bas y trouveront toujours leur compte, sans compter sur la vulgarité qui est la marque presqu’obligatoire de tout phénomène de groupe et a fortiori de foule… Je pense particulièrement à tous ces enfants entraînés dans ce marasme humain…. Ce qui tend encore à prouver qu’il n’y a plus d’innocence préservée même au sein des « catholiques ».

Vous allez me trouver sans doute bien sévère mais je ne vois pas d’autre analyse possible pour le temps présent.

Mgr Williamson est-il un défenseur de la Foi ?

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Mgr Williamson est-il un défenseur de la Foi ?

Jamais on n’a vu Mgr Williamson attaquer Nostra Ætate et Vatican II !

Que pense Mgr Williamson de la question, lui qui n’en a jamais parlé ? Ce silence est un aveu. Rien sur l’approche théologique du problème soulevé, ce qui est indigne d’un évêque et démonstratif : Mgr Williamson est-il avant tout catholique ? Mgr Williamson est-il catholique ?

Pourquoi oublie-t-on les analyses plus ou moins récentes sur le passé et les actions de Mgr Williamson ? (voir Virgo-Maria). Dis-moi qui tu aimes, dis-moi qui tu crosses, je te dirai qui tu es !

Ayant couvert l’abbé Celier (particulièrement dans l’affaire du “Dieu Mortel”, mais aussi pendant toute sa carrière) ;

ayant couvert son compère l’abbé de Tanouarn ;

ayant couvert des prêtres sodomites ;

ayant couvert les ennemis de Rore-Sanctifica sur le grave problème des nouveaux rituels des sacres épiscopaux ;

ayant défendu des hérésies graves réfutées par Sodalitium ;

ayant propagé des thèses apparitionnistes tordues alors qu’il omettait La Salette ;

ayant neutralisé de vrais défenseurs de la vérité ;

ayant crossé violemment ceux qui s’opposaient à lui, particulièrement aux USA (l’affaire importante dite “des neufs”) mais aussi bien d’autres… ;

s’étant constamment opposé aux sédévacantistes (les seuls qu’il crosse) ;

n’ayant jamais attaqué Vatican II comme il aurait dû le faire mais mollement ;

ce Monseigneur est-il un défenseur de la Foi ? Il nous est difficile de le croire. Ses derniers agissements vont toujours dans le même sens.

 

Oublie-t-on que la première exhortation de la cérémonie du sacre est :

« L’évêque doit juger, interpréter, consacrer, ordonner, offrir, baptiser et confirmer » ? ce qui veut dire que son premier devoir est de juger.

Oublie-t-on que lors de la consécration de la tête il est dit :

« Qu’il ne fasse pas des ténèbres de la lumière, ni de la lumière des ténèbres. Qu’il n’appelle pas bien le mal, ni mal le bien » ?

Comme tout évêque, Mgr Williamson a donc des grâces d’état pour juger et discerner du bien et du mal, du vrai et du faux, qui est ami et qui est ennemi. Se tromper et aller contre la vérité connue c’est faire le péché contre le Saint-Esprit, c’est le châtiment des évêques lors du Concile Vatican II, péché irrémissible comme on l’a vu. Mgr Williamson, pertinace dans de si nombreuses “erreurs”, ne serait-il pas, lui aussi, tombé dans ce très grave péché ?

 

Alors, NON, trois fois NON à Mgr Williamson. Nous l’accusons d’avoir saboté depuis toujours l’œuvre de Mgr Lefebvre, infiltrant, couvrant, dirigeant les fossoyeurs du combat de la transmission du sacerdoce catholique. Les ennemis de nos ennemis ne sont pas forcément nos amis.

L’ex-anglican de la FSSPX devenu évêque,
Monseigneur Williamson : un leurre !

Celui-ci s’est toujours positionné comme leader d’une “fausse opposition” afin de lui permettre de constituer un « deuxième anneau » — Le piège fabien de « gestion des contraires » appliqué à la F$$PX – issu des opposants au ralliement de la F$$PX.

« Le schéma, pour ces ennemis de l’Église consiste tout simplement à prendre les devants, à positionner l’évêque britannique à la Rose comme le chef auto-proclamé, et qui a toujours été désigné comme tel par les médias à la botte des loges et des intérêts mondialistes anglo-saxons, du camp du refus du ralliement. »

(Virgo-Maria.org : http://www.virgo-maria.org/articles_HTML/2010/009_2010/VM-2010-09-05/VM-2010-09-05-A-00-Mgr_Williamson-Echec_des_discussions.html)

« Cette manœuvre de l’évêque britannique protecteur et promoteur de clercs homosexuels au sein de la FSSPX, vise de façon évidente à provoquer son éviction, au nom d’une forme d’intransigeance, et afin de lui permettre de constituer un « deuxième anneau » issu de la FSSPX. Ce 2° anneau aura pour but évident d’attirer dans sa mouvance les clercs les plus courageux et les plus résolument opposés à Vatican II et de leur faire quitter la FSSPX pour les rapprocher de lui. » (Virgo-Maria.org : http://www.virgo-maria.org/articles_HTML/2010/011_2010/VM-2010-11-22/VM-2010-11-22-A-00-Mgr-Williamson_Chat_sorti_du_sac.html)

Lire (ou relire) les dossiers factuels de VM : Monseigneur Williamson : un leurre
(Virgo-Maria.org)

CatholicaPedia Blog : « Archive pour la catégorie ‘Mgr Williamson’ » :

http://wordpress.catholicapedia.net/?cat=29