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28 avril : Anniversaire du Dies Natalis de Saint Louis-Marie Grignion de Montfort
28 avril : Anniversaire du Dies Natalis de Saint Louis-Marie Grignion de Montfort
Nous fêtons cette année le tricentenaire du Dies natalis (1) du Révérend Père de Montfort.
Saint Louis-Marie Grignion de Montfort (2) est né le 31 Janvier 1673 à Montfort sur Meu, en Bretagne, Missionnaire Apostolique, fondateur des prêtres Missionnaires de la Compagnie de Marie et de la Congrégation des Filles de la Sagesse, il est mort à St Laurent sur Sèvre (Vendée) le 28 avril 1716.
Saint Louis-Marie Grignion de Montfort a été béatifié par Léon XIII, le 22 janvier 1888, et il a été canonisé par Pie XII, le 20 juillet 1947.
Si les saints n’apparaissent pas fortuitement sur la scène du monde,
ce n’est pas non plus le hasard qui, après leur mort,
détermine l’époque de leur glorification….Cardinal Pie
Dans « Vie du vénérable Louis-Marie Grignion de Montfort : missionnaire apostolique, fondateur des prêtres missionnaires de la Compagnie de Marie et de la Congrégation des Filles-de-la-Sagesse » M. l’abbé Pauvert, curé de Châtellerault, écrit en Préface de son édition de 1875 :
Une importante raison de prier la T.S.V.M. au Jubilé du Puy
Une Importante Raison de Prier la T.S. Vierge Marie au Jubilé du Puy
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L’Islam Manipulée par Israël pour Détruire la Chrétienté
« L’islam est le balai d’Israël » : la stratégie sioniste contre l’Europe…
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l’année liturgique de dom Guéranger
le jeudi de la sexagésime
Dieu promit solennellement à Noé de ne plus employer contre la terre coupable le terrible châtiment du déluge ; mais sa justice l’a contraint plusieurs fois, pour punir les nations révoltées, de recourir à un moyen sévère, et qui présente plus d’une analogie avec le déluge ; il a déchaîné contre les peuples le fléau des invasions ennemies. L’histoire en présente, dans tout son cours, la suite effrayante ; et toujours la divine Providence s’est justifiée dans ses œuvres. Les invasions étrangères ont été toujours amenées par les crimes des hommes, et il n’en est pas une seule qui n’atteste la suprême équité avec laquelle Dieu gouverne le monde.
Nous ne rappellerons point ici la succession de ces grandes catastrophes dont le récit forme, pour ainsi dire, les annales de l’humanité, ces conquêtes, ces extinctions de races, ces pertes de nationalités, ces fusions violentes de peuples, dans lesquelles tout un passé est submergé. Qu’on se rappelle seulement les deux grands faits de ce genre qui ont désolé le monde depuis l’ère chrétienne, et qu’on adore la justice de Dieu.
L’Empire romain avait accumulé les crimes jusqu’au ciel ; l’adoration de l’homme et la licence effrénée des mœurs avaient été portées par son influence au dernier degré dans les nations qu’il avait perverties. Le Christianisme pouvait sauver les hommes dans l’Empire, mais l’Empire lui-même ne pouvait devenir chrétien. Dieu le voua au déluge des barbares, et il disparut sous les flots de l’invasion qui montaient toujours, jusqu’à ce qu’ils eussent couvert les sommets dorés du Capitule. Les farouches exécuteurs de la vengeance céleste avaient eux-mêmes l’instinct de leur mission, et ils prenaient le nom de Fléaux de Dieu.
Plus tard, lorsque les nations chrétiennes de l’Orient, celles qui avaient transmis aux Occidentaux le flambeau de la foi qu’elles ont laissé s’éteindre chez elles, eurent assez fatigué la justice divine par les sacrilèges hérésies dont elles défiguraient l’auguste symbole de la foi, Dieu déchaîna sur elles, du fond de l’Arabie, le déluge de l’Islamisme qui engloutit les chrétientés premières, sans épargner même Jérusalem, teinte du sang et témoin de la résurrection de l’Homme-Dieu. Antioche et Alexandrie avec leurs Patriarcats, s’abîmèrent dans l’ignominie de l’esclavage, en attendant que Constantinople à son tour, ayant lassé la patience divine, devînt elle-même le siège du Croissant.
C’est notre tour maintenant, nations occidentales, si nous ne revenons pas au Seigneur notre Dieu. Déjà les cataractes du Ciel sont entr’ouvertes, et le flot vengeur de la barbarie menace de se précipiter sur nous. Mais aussi, dans notre Europe, toute chair n’a-t-elle pas corrompu sa voie comme aux jours de Noé ? n’avons-nous pas conspiré de toutes parts contre le Seigneur et contre son Christ ? n’avons-nous pas crié comme les nations impies dont parle le Psalmiste : « Brisons leurs liens, et rejetons leur joug loin de nous » (Ps. II) ? Tremblons que le moment ne soit venu, où, en dépit de notre orgueil et de nos fragiles moyens de défense, le Christ irrité, à qui seul les peuples appartiennent, nous régira avec la verge de fer, et « nous brisera comme un vase d’argile » (Ps. II). Le temps presse, profitons du conseil que nous donne le Roi-Prophète : « Servez le Seigneur dans la crainte ; embrassez sa loi, de peur que le Seigneur ne s’irrite, et que vous ne périssiez quand sa colère s’allumera soudain » (Ps. II).
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La théologie brillante de Richard Williamson…
La théologie brillante de Richard Williamson…
Williamson et la “messe” moderne
Pour Monseigneur Williamson :
« La Novus Ordo ‘Messe’ est Mauvaise,
mais OK si elle “Nourrit votre Foi” »
(La nouvelle ‘Messe’ est Mauvaise,
mais bien si elle “Nourrit votre Foi”)
Nous critiquions depuis longtemps la “théologie” absurde, non-catholique et intransigeante de la Société Lefebvriste Saint Pie X. Maintenant, elle devient vraiment pauvre et bizarre comme vient juste de le démontrer récemment l’Évêque Anglais “à la Rose” Richard Nelson Williamson, consacré par Monseigneur Marcel Lefebvre en 1988.
Bien que dorénavant il ne fasse plus partie de la F$$PX officielle, il est maintenant partie prenante de la fausse “résistance” semi-traditionaliste contre le Vatican Moderniste qui reconnaît François Ø et ses cinq prédécesseurs, de malheureuse mémoire, comme de légitimes Papes Catholiques Romains.
Le 28 juin 2015, Mgr Williamson donnait une conférence à Mahopcac, New York. L’ensemble du discours prononcé par Son Excellence a été posté au complet et est disponible ici (écoutez à vos risques et périls) :
À la fin de la conférence, il y avait une séance de questions-réponses durant laquelle Mgr Williamson a été interrogé sur l’assistance à la “Nouvelle Messe” (sic !), qui est, le culte moderniste Novus Ordo Missae du “pape” Paul VI.
La réponse de 10 minutes de l’évêque “à la Rose” fut un parangon, du charabia illogique et absurde de la F$$PX qui était, comme on pouvait s’y attendre, totalement dépourvu de tous principes théologiques Catholiques discernables.